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H 2H 2H
2H H H
Nota : On considère dans tous les cas envisagés précédemment le coefficient de consolidation C v comme
constant.
H, Cv H, Cv H, 4Cv
On considère le profil, avant travaux, représenté sur la figure 3.1. L’argile est supposée saturée et
normalement consolidée. Son indice de compression est C c 0.20 et son indice de gonflement C s 0.04
Couche n°1
Terrassement fouille
5.00 m
7.00 m A
9.00 m Couche n° 2 B
11.00 m C
Couche n° 3
17.00 m
Substratum
Figure 3.1 : Lithologie des sols en place et conditions hydrogéologiques
Sur le graphique oedométrique, figure 3.2, placer le point représentatif, (désigné par O), de l’état en B, ainsi
que la courbe de première compression correspondant à C c 0.20 et la courbe de déchargement
correspondant à C s 0.04 .
En vue de construire un immeuble de 12 niveaux, on veut réaliser une fouille de 5 m de profondeur (2 niveaux
de sous-sols). La nappe est rabattue simultanément dans les deux couches de sable à -1 m sous le fond de
fouille, au moyen d’un puits traversant ces deux couches
Calculer le gonflement de l’argile en supposant que celle-ci ait le temps de se déconsolider entièrement (on
fera le calcul au point B, sans découper la couche d’argile).
Placer sur le graphique oedométrique le point représentatif (désigné par 1) de l’état du sol en B, après
ouverture de la fouille.
En admettant que chaque niveau construit rapporte une surcharge répartie au sol de 10 kPa. L’ouvrage est
entièrement construit sans faire varier le niveau de la nappe.
Quel serait le tassement final, toute consolidation terminée, du bâtiment, la nappe restant rabattue ? (On
admettra que l’indice de recompression est identique à l’indice de gonflement)
Placer sur le graphique oedométrique le point représentatif, désigné par 2, de l’état du sol en B, tout
tassement achevé.
Après gonflement, placer sur le graphique oedométrique le point représentatif de l’état du sol (état 3)
Au lieu de construire entièrement l’immeuble sans modifier le niveau de la nappe, on relâche celle-ci de 1 m
dès que l’on a construit un niveau.
Comparer les deux méthodes de construction avec les hypothèses du problème. L’état 3 correspond-il à un
sol normalement consolidé ou surconsolidé ? Même question pour l’état 4.
Les tassements calculs en phase finale sont-ils admissibles pour la structure envisagée ?
1.2
1.15
1.1
Indice des vide e
1.05
0.95
0.9
10 100 1000
Contrainte verticale effective v
Figure 3.2 : Diagramme log contraintes effectives / indice des vides
On veut construire un remblai de 6m de haut (cote finale) selon le schéma de la figure 1 avec un coefficient de
sécurité vis-à-vis du poinçonnement de 1.3.
12 m
3H
2V
6m
Remblai en graves
0.00 m
Position de la nappe
-3.50 m Argile très plastique type 1
-4.00 m
Argile molle
-9.00 m
Graves : 20 kN/m3
Argile très plastique type 1 Argile molle Argile très plastique type 2
e 0 2.5 e0 4 e 0 2.2
C c 1.06 C c 2.3 C c 0.93
C v 8.10 8 m2 / s C v 8.10 8 m2 / s C v 25.10 8 m2 / s
14.35 kN/m3 13.82 kN/m3 13.82 kN/m3
'p 60 kPa 'p 65 kPa 'p 100 kPa
C u 30 kPa (scissomètre) C u 30 kPa (scissomètre) C u 30 kPa (scissomètre)
Ip 75 Ip 75 Ip 75
cu 15 cu 15 cu 15
Substratum sableux
Calculer les tassements primaires pour des hauteurs de remblais respectives de 7 m, 8 m et 9 m à l’axe du
remblai.
Montrer qu’on ne peu pas construire le remblai en une phase en prenant un coefficient de sécurité de 1.3
par rapport au poinçonnement.
Déterminer les 3 phases de construction du remblai (hauteur et délais). On pourra utiliser la relation
suivante : TV 1.781 0.933 log10 100 U avec U 53%
On veut accélérer la consolidation, pour obtenir U 90% pour la hauteur totale du remblai dans un délai de 6
mois.
Déterminer le maillage des drains verticaux en géotextile, d 5 cm , et leur longueur pour un remblai de
1km de long.
Nota : On prendra C r 6 10 7 m2 s