Présenter l’œuvre en résumant l’histoire, en présentant l’auteur et en
essayant de la situer dans l’histoire littéraire. “L’étranger” est un roman rédige par Albert Camus, auteur algérien du 20eme siècle très reconnu mondialement ; les faits et l’histoire de cette œuvre se concentrent sur un jeune homme athée surnommé Mersault et dont la personnalité et le caractère sont assez particuliers et bizarres. Le roman est divisé en deux parties différentes. Au début du roman, l’enterrement de la mère du narrateur qui était en asile est narré. Un aperçu clair du côté exotique de la personnalité de Marsault est présent dès le premier chapitre, celui-ci ne semble pas malheureux au sujet de la mort de sa mère ; le jour suivant, il part aux bains et passe un bon jour avec sa copine Marie et le soir, ils voient un film au cinéma ; le protagoniste continue sa vie comme si de rien n’était. Mersault a deux voisins qui sont évoqués dans l’histoire : Salamano, un homme qui partage une histoire assez significative et sentimentale avec son chien ; ceux-ci restaient ensemble et se bagarraient beaucoup avant que le chien disparaisse vers la fin de la première partie, laissant son maitre dans un état de désespoir et d’isolement. L’autre voisin est un homme costaud nomme Raymond Sintes, celui-ci est connu pour son côté violent et les bagarres et conflits qu’il menait. En fait, l’amitié de Raymond et du narrateur conduit indirectement à la survenue de l’assassinat de l’Arabe par Mersault durant une journée de vacances chez l’ami de Raymond, Masson et sa femme a Algers. Cet assassinat bouscule la vie du narrateur, c’est l’élément déclencheur de l’histoire et le début de la deuxième partie de livre qui caractérise le malheur et le changement total de la vie du narrateur. Durant la deuxième partie de l’œuvre, Mersault se trouve dans un contexte judiciaire et d’isolation, il se trouve en prison le temps qu’il soit jugé et que son sort soit décidé. Celui-ci décrit les conditions de vie malheureuses et peu favorables et les émotions et pensées profondes qui le croisent lorsqu’il est emprisonné, dont le manque de liberté général lorsqu’on est en prison, qui serre comme punition aux crimes/erreurs qu’on a fait, ; la narration du roman est donc assez philosophique aussi. Vers la fin du roman, celui-ci est montré comme étant un personnage cruel et insensible devant la cour, et qui n’a pas suffisamment de vertus et les qualités pour pouvoir vivre autour de la société ; les juges décident qu’il ait la tête tranchée sur une place publique. 2. Quels liens voyez-vous entre ce roman et le titre du parcours « individu, morale et société » ? Dans ce roman, Marsault a une personnalité exotique et bizarre, et qui n’a pas vraiment les vertus et les caractéristiques d’une personne qui est intégrée dans la société et qui communique et parle normalement avec les autres. Cet aspect de Marsault est remarqué tout au long du texte et dès le début parce qu’il narre à la première personne en évoquant ses pensées et ses interactions avec les autres, Et cela relie le texte fortement au parcours « Individu, morale et société » où le sujet des qualités d’une personne, de son intégration dans une société et de ses interactions avec les autres est élémentaire. Par exemple, à l’enterrement de sa mère, Marsault montre une absence d’intérêt envers l’enterrement et il éprouve de l’ennui. De plus, le jour suivant, celui-ci continue sa vie comme si de rien n’était, il sort avec son amie et mène des activités de loisirs, ce qui est considéré comme étant immorale par le juge durant le jugement du narrateur dans la deuxième partie du roman. Cet exemple montre qu’on attend de l’individu d’avoir certaines vertus et de morales pour pouvoir vivre et être apprécie dans la société, le texte est donc relié au parcours « individu, morale et société » grâce à cela aussi.
3. Quels points communs et quelles différences essentielles voyez-vous entre ce
roman et La Princesse de Clèves ? L’un des faits communs entre « L’étranger » et « La Princesse de Clèves » est le décès de la mère du protagoniste de l’histoire. Cependant, les émotions et les actions ressenties et manifestées par le personnage principal dans chacun des deux romans sont totalement différents et opposés ; dans « L’étranger », Marsault ne semble pas si affecté par la mort de sa mère et il éprouve de l’ennui et de la fatigue lors du jour de son enterrement, or que dans « La Princesse de Clèves », Mlle. Clèves est très touchée par la mort de sa mère, elle essaie de s’éloigner de la société en partant à la campagne pour prendre un coup d’air et pouvoir se reposer tranquillement ; il est clair donc qu’il y’a une différence au niveau des personnalités des personnages des deux romans et au niveau du déroulement des faits. Ensuite, les deux romans sont ancrés dans de différentes périodes historiques : la Princesse de Clèves se déroule au 16e siècle or que « L’étranger » se déploie dans une période plus récente ce qui met en place des différences au niveau des traditions et des mentalités présents dans les deux romans. On pourrait prendre comme exemple le sujet du mariage : dans « la Princesse de Clèves », le mariage a une connotation royale, on remarque qu’il peut serrer à relier deux différentes familles royales et les rendre plus amicales l’une envers l’autre et qu’il a une signification particulière et unique à son époque. Cette connotation et importance de mariage n’est pas présente dans « L’Etranger », Mersault et Marie, sa petite copine sont endurants au sujet de leur mariage et on ne trouve pas l’idéologie de « royauté » et de familles royales. 4. Avez-vous aimé ce roman ? Pourquoi ? J’ai très aimé « l’étranger » d’Albert Camus. Premièrement, le protagoniste de l’histoire, Mersault, qui est le narrateur lui-même, m’a vraiment attiré et plu avec son caractère bizarre et unique et sa mentalité très particulière des autres. De plus, c’est une personne très honnête qui n’accepte pas de mentir. Son point de vue philosophique sur certains sujets comme l’habitude a fortement suscité ma curiosité. Autre que le protagoniste, il s’y trouve plusieurs personnages dans l’histoire, comme Raymond et Salamano que j’ai aimé, ce sont des personnages intéressants qui montrent la pureté et le côté amical et sentimental de l’Homme. Le style d’écriture de Camus et la narration dans « L’étranger » ont vraiment captiver mon attention, l’histoire se situe à Alger, ville correspondante a l’ambiance du texte, celui-ci est donc empli de descriptions claires de la ville, durant le jour et durant la nuit, dont l’esthétique est très attirante. Enfin, ce roman m’a vraiment plu et je tiens compte à découvrir d’autres œuvres appartenant à Camus. MOHAMAD CHEHAB
Les Bonnes de Jean Genet (Analyse approfondie): Approfondissez votre lecture de cette œuvre avec notre profil littéraire (résumé, fiche de lecture et axes de lecture)