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Méditerranée
L é A
Lycée Antonin
t i A Artaud
t d
“L’éclairage public”
Marseille
16 Février 2009
22/10/07
1
CETE
Sommaire de la présentation Méditerranée
couleurs:
l lle rôle
ôl dde lla rétine
éti
La rétine est une couche photosensible grâce à
2 types de récepteurs:
(1)
Altération de la perception des couleurs
« La nuit, tous les chats sont gris »
0,8
Sensibilité
06
0,6
0,4
0,2
0
400 450 500 550 600 650 700
-0,2
Longue ur d'onde
Rét é i
Rétrécissement
tddu champ
h visuel
i l
Facteurs aggravants
gg : vitesse ((réduction
du champ de vision accentuée), âge,
fatigue,
g alcool, tabac, altitude ….
9
10
11
d’ ti d
d’action de l’é
l’éclairagiste
l i i t !
Action sur la
lumière émise
Action sur les
objets éclairés Image « renvoyée »
(ex: chaussées) par l’objet
12
380 nm 700 nm
Un spectre
continu
Une répartition
homogène (légère
augmentation dans les
bleus))
13
La synthèse
3 ttypes de
d cônes
ô additive
14
- - voir et être vu
15
16
La réglementation “travaux” :
17
NF C 14 100 NF C 17 200
3.2
3 2 kV 3 km
5.5 kV 10 km
NF C 17 200
Poste de livraison
NF C 13 100
NF C 13 200
Le poste transformateur
I t ll ti
Installations d’é
d’éclairage
l i public
bli
Sur domaine public géré par les Collectivités et domaine privé fréquenté par le
public
Concerne également l’éclairage du mobilier urbain, les feux tricolores, les
illuminations de fin d’année
La norme précise que les matériels doivent posséder par construction ou
installation les degrés de protection mini :
• IP 34 pour les matériels au-dessus du sol
• IP 57 pour les matériels au-dessous du sol
• IK 08 pour les enveloppes contre les impacts mécaniques IP
• IP 21 pour les appareillages internes au candélabre
IK
Détermination des classes électriques :
• Classe 1
• Classe 2
Classes
• Classe 3
L contrôles
Les ôl avant misei en service
i
Un rapport écrit autorisant ou non la mise en service doit être établi à l’issue de ces vérifications, selon le décret du 14 novembre 1988
21
La réglementation “travaux” :
22
- Les
L chutes
h t ded tension
t i préjudiciables
éj di i bl pour l’allumage
l’ ll des
d lampes
l à
décharge (limite : 3%)
23
La réglementation “travaux” :
24
La réception
L é ti photométrique
h t ét i d
des i t ll ti
installations d’é l i
d’éclairage public
bli neuves ou
rénovées est gérée par la partie 4 de la norme NF EN 13201-4.
Elle aborde les méthodes de mesure des éclairements (contractuelles selon
l fascicule
le f i l 36 du
d CCTG contrairement
t i t aux mesures de
d luminance).
l i )
d’éclairage
d éclairage public
L’armoire de commande
Le massif d’ancrage
26
- le dispositif d
d’allumage/extinction
allumage/extinction
Lumandar Horloge
(extérieur à l’armoire)
q »
« astronomique
28
Chaque candélabre est équipé d’un DDA (Différentiel de Déconnexion Automatique – UTE 17-210)
Chaque candélabre est équipé d’un DDR non retardé, un DDR de type S (retardé) étant placé en amont
29
Qu’est
Qu est-ce
ce qu’un
qu un différentiel ?
Tout le courant qui le traverse dans un sens doit le retraverser après avoir alimenté le
récepteur (ex : luminaire) :
protection
i contre les
l surintensités
i i é (ex
( > 15 A)
30
Schéma TT
- Le neutre a un point relié directement à la terre, les masses de l’installation électrique étant reliées à des prises
électriquement distinctes de la prise de terre de l’alimentation.
- La protection contre les contacts indirects doit être assurée par un ou plusieurs dispositifs différentiels
Classe I Classe II
31
32
Constitution de la tranchée :
Conduit TPC
H t
Hauteur de
d remblaiement
bl i t:
0.80 m 0.80 m
0.80 m sous trottoir
1.00 m sous chaussée
Un dispositif avertisseur rouge sera installé à 0,20 m minimum au dessus des conduits. Ce
dispositif doit se conformer à la norme NF T 54-080
33
Les massifs d’ancrage sont parfois exécutés lors du marché des terrassements et tranchées (Génie-civil),
les travaux d’éclairage étant intégrés à un autre marché ultérieur :
Dans ce cas, les fourreaux sont « mis en attente » avant la réalisation du lot éclairage :
- sortie
i en aérien
é i d’environ
d i 1 m au-dessus
d ddu massif
if
34
- exécution en 2 parties :
- l’espace éventuel entre massif et plaque d’appui est rempli d’un coulis
de remplissage (NF P 18-821) (e > 30 mm et < 4 Ø tige d’ancrage)
- aciers
i conformes
f aux aciers
i pour ouvrages de
d Génie
Gé i civil
i il
(Fascicule 65 A du CCTG)
35
36
37
Pour cet usage, le câble comporte 3 conducteurs (brun, bleu, vert/jaune) type A.
câble rigide
g U 1000 R2V
Conducteur de neutre
1 - Ame : circulaire massive en aluminium.
2 - Isolation : Polyéthylène réticulé bleu clair.
clair
Conducteurs de phase
1 - Ame : circulaire massive en aluminium.
2 - Isolation : Polyéthylène réticulé noir pour le monophasé; noir, brun, crème (ou gris) pour le triphasé..
3 - Bourrage
B : PVC éécru.
4 - Gainé : PVC noir sans plomb, traitement anti-termites possible.
38
Le rayon de courbure admissible en permanence sur ce type de câble est limitée à 6 fois son diamètre
extérieur.
Pour les câbles de type « A » : U-1000 R2V (nombre de conducteurs) G (section des conducteurs en mm²) USE n°
d’usine,, ou U-1000 R2V NF-USE n° d’usine ((nombre de conducteurs)) G ((section des conducteurs en mm²))
Pour les câbles de type « B » : U-1000 R2V (nombre de conducteurs) × (section des conducteurs en mm²) USE n°
d’usine, ou U-1000 R2V NF-USE n° d’usine (nombre de conducteurs) × (section des conducteurs en mm²)
39
Les câbles du type U1000 R2V doivent être posés sous fourreaux, le tracé doit être sensiblement rectiligne.
Le diamètre du conduit TPC doit être au moins 1,8 fois le diamètre du câble.
L section
La ti d’occupation
d’ ti doit
d it être
êt inférieure
i fé i au tiers
ti d
de lla section
ti iintérieure
té i d
du conduit
d it TPC
TPC.
Si les angles ne peuvent être évités, des chambres de tirage seront installées.
Seules les canalisations du domaine BT peuvent être placées dans des bordures de trottoirs ou des caniveaux de
surface.
En général, le rayon de courbure admissible pendant le déroulage correspond sensiblement à 1,5 fois le rayon de
courbure applicable en permanence.
40
Le repérage des conducteurs est réalisé par coloration dans la masse : bleu clair, brun, noir, orange, rouge et vert/jaune.
Les câbles d’alimentation sont repérés à chaque extrémité depuis l’armoire jusqu’au dernier candélabre.
F
Fonction
i : faciliter
f ili le l tirage
i des
d câbles
âbl et les
l opérations
é i de
d maintenance
i
Position :
- Aux changements de direction quand l’angle dépasse la courbure
autorisée du câble
- Tous les 80 m environ en alignement droit
- de part et d’autre d’ouvrages d’art, de traversées de chaussée…
Le câble
L âbl dans
d la
l chambre
h b de d tirage
ti estt “lové”
“l é” pour éviter
é it les
l efforts
ff t ded traction
t ti permanents
t ett
anticiper les dérivations futures
41
Les réseaux en conducteurs isolés se composent d’un ou plusieurs câbles isolés torsadés
(neutre + conducteurs de phase de transport dd’énergie
énergie plus éventuellement 1,
1 2,
2 ou 3
conducteurs isolés d’éclairage public – neutre commun).
Le réseau d’éclairage public est constitué de conducteurs nus (2 ou 3 conducteurs) ou
d’un câble constitué de 2 ou 3 conducteurs isolés.
42
Les alimentations
- coffret BT EDF 20 à 30 % du coût
- armoire de répartition d’investissement
- raccordement au réseau
43
44
Les luminaires
Les appareillages
pp g d’alimentation
45
46
COEFFICIENT D’EXPOSITION
CATEGORIE DE TERRAIN EN 40 -3-1
CATEGORIE I : Bord de mer ; bord de lac avec longueur au vent
d’a moins 5 km
d’au km.Terrain
Terrain plat et lisse,
lisse sans obstacles
CATEGORIE II : Terres cultivées, quelques bâtiments agricoles,
maisons ou arbres
CATEGORIE III : Zones industrielles ou suburbaines et forêts
permanentes : DOIT ETRE JUSTIFIEE PAR LE CLIENT
CATEGORIE IV : Périmètre urbain rbain dont au
a moins 15% de la
surface sont bâties et où la hauteur moyenne des bâtiments dépasse
15 m : NON UTILISEE
En l’absence de renseignement du donneur d’ordre
Carte des vents
Cat II
47
Obligation
Ob ga o d’imposer
d pose lee marquage
a quage CE
C
Marquage conventionnel
Zone I = 24 m / s
Catégorie de terrain: II
Classe de déformée: 3 (10 % de H).
Masse : 15 Kg .
Coefficient de charge partiel B: (1,2).
Classe de choc: 0
Surface admissible en tête
48
Projecteurs
Appliques
Bornes
Plots
49
50
- sur mâts
â
- en console
sur façade
Décoratif - architectural
- sur caténaires
Utilisation :
voiries urbaines
voies piétonnes
places,
l espaces publics
bli
51
Les projecteurs
- encastrés
- sur mâts ou
en console
- immergeables
52
Utilisation :
cheminements piétons
p
délimitation d’espaces
scénographies
53
Utilisation :
balisage des circulations
cheminements
scénographies
Illuminations patrimoniales
Luminaires EP
énergie solaire
+ éolien
Luminaires EP
énergie solaire 54
55
Caractéristiques de la lampe :
- puissance/ flux émis / efficacité lumineuse (lm/W)
- durée de vie
- forme (tubulaire, ovoïde / claire, poudrée)
Référence :
Lumière solaire : IRC = 100
57
58
3000° K
Teintes chaudes | Teintes froides
Quelques exemples :
- Filament Tungstène de la lampe à incandescence : 2500° K
- Flash appareil photo : 4280° K
- Lumière du soleil : 6000° K (zénith)
60
10000 K
4000 K
6000 K
a lumière artificielle
5000 K
6000 K
age couverte par la
2000 K
2000 K
Pla
61
Sodium
Blanc
2 500 K
SHP
2 000 K
Vapeur de
Mercure
3 500 K Iodures
métalliques
3 000 K – 4 000 K
62
Exemple :
Une source de lumière « jaune » dont la courbe spectrale est riche en radiations
jaune-orangées (ex : SHP) ne pourra valoriser des matériaux à dominantes bleues
ou vertes. Ils apparaîtront plutôt gris ou noir avec cet illuminant.
Spectre continu et très étalé, légère augmentation dans les ondes vertes.
63
Sodi m Haute
Sodium Ha te Pression (SHP) :
64
Iodures métalliques :
2 générations :
- à brûleur à quartz
- à brûleur céramique
Efficacité lumineuse de 110 lm/W
Durée de vie : 10 000 h
IRC > 80 et Tc de 3000 K à + 4200 K
Ex : Courbe spectrale
66
67
68
La méthodologie d’étude
d étude
Exemple
70
71
Dimensionnement
72
73
74
75
76
Marché (DCE)
Contrôles Application obligatoire de la
(maintenance préventive) partie IV de la Norme :
Application obligatoire des parties II et « Méthodes de mesures des
Dimensionnement du projet III de la Norme 13 201 : performances photométriques »
« Exigences de performances »
« Méthodes de calculs »
Négatifs Positifs
Travaux de réalisation de l’installation
d’éclairage public Selon la gravité des
anomalies constatées
Application obligatoire de la partie IV
d lla Norme
de N :
Réception « Méthodes de mesures des
performances photométriques » Maintenance curative
77
78
ME3a
79
80
Loi n
n° 2005-102 du 11 février 2005 pour l’égalité
l égalité
des droits et des chances, la participation et la
citoyenneté
y des p
personnes handicapées
p
Elle réaffirme la prise en compte de tous les handicaps, et
notamment des déficiences visuelles,, ppar le biais de p
préconisations
en terme d’éclairage et de visibilité.
81
ERP, IOP
ERP Exigences chiffrées (valeurs d’éclairement)
d éclairement)
Abords des Exigences qualitatives (suppression des
bâtiments gênes à la vision)
82
Le Parking de l’Auditorium
Réglementation
g « Accessibilité » Norme « Éclairage
g »
• 50 lux en tout point des circulations • situation d’éclairage D2
piétonnes des parcs de stationnement ; • classe d’éclairage retenue CE4
• 20 lux en tout autre point des parcs de
stationnement.
t ti t E moyen minimal maintenu : 10 lux
•repérage des zones de cheminement et Uniformité générale d’éclairement : 0,4
des zones de conflit
• éviter […] les sources d’éblouissement
d éblouissement
• exigences en matière de contrastes
V b l i de
Vocabulaire d l’éclairage
l’é l i
85
FLUX LUMINEUX
Quantité totale de lumière (énergie) émise par une source (en 1 s)
U ité
Unité en lumen
l (l )
(lm)
Exemples :
SHP 400 W 55 000 lm
SHP 250 W 32 000 lm
IM 70 W 6 500 lm
Fluo compacte 18 W 1 200 lm
Incandescence 60 W 800 lm
86
180,0
160,0
140,0
120,0
100,0
80,0
60,0
40,0
20,0
00
0,0
Sodium Basse Sodium Haut e Iodures Tube Fluorescent Fluo compact e Vapeur de Halogène Incandescence
Pression (SBP) Pression (SHP) mét alliques (IM) Mercure (BF)
Sources
87
Rapport de la quantité de lumière reçue par une surface sur l’aire de celle-ci
Exemples
p :
Eclairement Plein Soleil100 000 lux
Eclairement Jour couvert 20 000 lux
Stade de football (L1) 1 500 lux
Bureau 400 lux
Eclairage urbain 35 lux
Pleine lune 0 5 lux
0.5
88
Eclairement moyen : Εm ou E
33 29 25 28
- à la
l mise
i en service
i
- mini à maintenir 29 27 17 22
Eclairement mini 25 18 11 21
89
Le concept de luminance
La prépondérance est donnée à la lisibilité préférentielle de
l’infrastructure (« clarté » de la chaussée) pour une lecture
optimale de l’itinéraire et la sécurisation des déplacements
rapides.
Voies où la fonction « guidage » et la perception au plus tôt
des conflits sont essentielles au vu des vitesses pratiquées
Ex: Voies principales urbaines
Références
éfé :
Neige ensoleillée 20 000 cd/m²
Tunnel 50 cd/m²
Voie routière 2 cd/m²
90
60 m
Zone de calcul
1,50 m
Position de l’observateur
Réception : les mesures de luminance ne sont pas contractuelles (en raison des
difficultés de réalisation et des paramètres évolutifs)
91
Illustration :
- stade de foot : selon l’orientation de l’herbe après la tonte, « l’effet
visuel » nn’est
est pas le même selon les observateurs - cause : différences de
texture des 2 faces de l’herbe
92
Valeurs dérivées
1.23 1.17 1.05 1.12
Luminance moyenne : Lm
1.35 1.28 1.18 1.18
- à la mise en service
- mini à maintenir 1.52 1.45 1.25 1.35
Ok « Effet d’échelle »
93
94
95
A
Avantages
t :
Investissement limité (une seule rangée de mâts)
Encombrement limité d’un seul trottoir
Inconvénients :
Adaptée
Ad té aux chaussées
h é d de llargeur lilimitée
ité
(hauteur de feu >= Lchaussée)
Uniformités de luminance réduite côté opposé
Utilisation :
Voiries urbaines – Cheminements piétons – pistes cyclables
96
Avantages :
- Adaptée aux chaussées de largeur plus importante
- Recouvrement des flux lumineux à l’axe
- Li it ti possible
Limitation ibl de
d la
l hauteur
h t de
d feu
f (H=L/2)
(H L/2)
- Eclairement identique de chaque côté
- Bien adapté aux chaussées doubles
Inconvénients :
Investissement plus important (deux rangées de mâts)
Encombrement des 2 trottoirs
Utilisation :
Voiries urbaines larges
97
Avantages :
Adaptée aux chaussées de largeur importante
Limitation possible de la hauteur de feu
Eclairement identique de chaque côté
Esthétique intéressante
Inconvénients :
Investissement plus important (deux rangées de mâts)
Encombrement des 2 trottoirs et des réseaux
é
Uniformités de luminance plus complexes à obtenir
Utilisation :
Voiries de desserte – Cheminements piétons – pistes cyclables
Parcs et jardins
98
Avantages :
- Investissement limité
é (une seule rangée
é de mâts)
â
- Pas d’encombrement des trottoirs
- Bien adaptée aux chaussées doubles (avec TPC) ou
rues étroites (candélabres dans l’axe)
- Hauteurs limitées
l é si rue étroite
é
Inconvénients :
- Uniformités de luminance réduite côté opposé
- Maintenance difficile si chaussées doubles
Utilisation :
- Voiries urbaines importantes
- Voiries mixtes
Rues Chaussées
Ch é
étroites doubles
99
hauteur de feu
f : Voiries : 6 à 10 m selon la largeur à éclairer (l = h à 1.5 h)
Espaces publics : h = 3.50 m à 5 m
l ≥ 1,5 h
e=3à4h
e = 4 à 5 h (luminaires architecturaux)
100
d réseaux
des é souterrains
t i existants
i t t
101
Trottoir (urbain)
Urbain
Retour
102
de plus
plus, libère le trottoir de mobilier encombrant
(favorise le déplacement des PMR)
103
L économies
Les é i d’énergie
d’é i
La pollution lumineuse
Le recyclage
104
105
Les avantages
Suppression des surintensités d’amorçage
Gain sur la durée de vie des lampes
106
108
- les sur-éclairements
sur éclairements ou éclairage “anarchiques”
anarchiques
Source : AFE
109
La filière RECYLUM
110
Financé p
par l’Éco-contribution reversée
par ses 440 producteurs adhérents
((fabricants,, importateurs,
p , distributeurs…).
)
Organisation
g à but non lucratif ayant
y une mission
d’intérêt général.
111
3 familles :
Lampes à iodures métalliques
® commerces, monuments,..
2 Lampes fluo-compactes
® éclairage de locaux tertiaires, habitat
privé, …
3 Autres
lampes:
Lampes à L.E.D. ®
1 Tubes fluorescents balisage,
® éclairage bureaux, supermarchés, signalétique,…
habitat,..
113
114
www.certu.fr
115
116
Autres ouvrages
Traité de ll’éclairage
éclairage (W.
(W Sanial)
Paysage Lumière (CERTU)
La Lumière Urbaine (R.
(R Narboni)
Recherches sur les spécificités urbaines de la perception visuelle de
nuit (LCPC)
Eclairer Juste (ADEME – SE)
R
Revues LUX
117
119
au-delà : 2 IK10 = 40 j
3 IK10 = 60 j…
120
Classe 1 :
La protection contre les chocs électriques ne repose pas uniquement sur l’isolation
l isolation principale,
principale elle comporte une
mesure de sécurité par raccordement des parties conductrices à un conducteur de mise à la terre.
Classe I
Classe
C asse II
Cl
Classe 2:
La protection contre les chocs électriques ne repose pas uniquement sur l’isolation principale, elle comporte une
mesure de sécurité par double isolation ou isolation renforcée.
122