Mythe et symbole dans la légende de «Tristan et Iseut»

Dans cette thèse je cherche à mettre en avant et à argumenter les mythes et les symboles
présents dans les différentes versions orales qui se concretisent entre 1150 et 1200 quand
apparaissent plusieurs versions écrites : Bernat de Ventadorn, Raimbaut d’Orange (1150),
Tristan de Béroul (1150-1190), Tristrant d’Eilhart d’Oberg (1170), Thomas (1175), Folie de
Tristan Oxford et Berne (XIIe-XIIIe), Gottfried de Strasbourg (1200-1210), plusieurs versions
du Tristan en prose (XIIIe-XVe), Hans Sachs (1553) : Tragedia von der strengen Lieb herr
Tristantmit der schönen Königin Isalden (« Tragédie du fort amour de Sire Tristan et de la
bellereine Iseut »)…, Wagner (1865), Bédier, Maeterlinck (1893), Debussy (1902) et d’autres
musiciens comme Sibelius ou Schoenberg. i ( Tristan et Iseult fiches de lecture, anonyme) .

Durant les année cette legende a beaucoup évolué : du conte au mythe, d’une forme littéraire à
une autre ( conte en vers , roman en prose, pièces théâtrales)

Un mythe est un ,,récit mettant en scène des êtres surnaturels, des actions imaginaires, des
fantasmes collectifs’’ (Dictionnaire Larousse) . Le mythe est donc un récit qui expose les
mystères de l'homme et du monde.

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Auteur anonyme, Tristan et Iseut Fiches de lecture, Encyclopaedia Universalis 2017, p.6