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Comment le Jour et la

nuit ?
Rotation de la Terre

Image montrant la rotation de la Terre vers l'Est.

Cette photographie en pose longue du ciel nocturne dans l’hémisphère nord au-dessus de
l’Himalaya népalais montre les trajectoires apparentes des étoiles lors de la rotation de la Terre.

La rotation de la Terre est le mouvement de la Terre sur elle-même autour de l'axe des pôles
géographiques qui relie le pôle Nord au pôle Sud. Ce mouvement ne doit pas être confondu avec
la révolution de la Terre, mouvement de translation elliptique de la Terre autour du Soleil.

La rotation de la Terre autour de son axe est un mouvement complexe dont la composante
principale est une rotation effectuée en moyenne en 23 h 56 min 4,1 s. L'axe de rotation est
incliné sur l'écliptique en moyenne de 23° 26′ ; cette inclinaison est la cause des saisons.

Si, par la pensée, on regarde la Terre d'un point très éloigné dans la direction du nord, la rotation
de la Terre se fait vers l'Est, dans le sens direct, c'est-à-dire dans le sens inverse des aiguilles
d'une montre. Du même point de vue, son mouvement de révolution autour du Soleil s'effectue
également dans le sens inverse des aiguilles d'une montre.
Sommaire

 1 Origine des mouvements de rotation et de révolution


 2 Rotation de la Terre
o 2.1 Difficulté de définition
o 2.2 Composantes du mouvement de rotation
 2.2.1 Mouvement de rotation de la Terre autour de son axe
 2.2.2 Précession des équinoxes
 2.2.3 Nutation
 2.2.4 Causes de la précession et de la nutation
 3 Longueur du jour
 4 Durée de l'année
o 4.1 Le calendrier grégorien
 5 Synchronisation passée de la Lune autour de la Terre
 6 Synchronisation future de la rotation terrestre avec le Soleil et la Lune
 7 Références
 8 Voir aussi
o 8.1 Articles connexes
o 8.2 Bibliographie
o 8.3 Liens externes

Origine des mouvements de rotation et de révolution

L'hypothèse le plus souvent admise par les cosmologistes et planétologues est que les systèmes
stellaires, constitués d'une étoile (ou d'un groupe de plusieurs étoiles) autour de laquelle gravitent
des planètes, se sont formés par condensation et accrétion d'un nuage de gaz et de poussières
sous l'influence de la gravitation. Les modèles de systèmes stellaires commencent donc par la
formation, lors d'un effondrement, d'une étoile centrale - voire de deux ou plus -, puis par
l'accrétion en planètes des gaz et poussières du disque circumstellaire résiduel.

Du fait du principe de la conservation du moment cinétique, celui du nuage primordial s'est


réparti entre le mouvement de rotation du Soleil sur lui-même, les mouvements de révolution des
planètes autour du Soleil et les mouvements de rotation des planètes sur elles-mêmes (auxquels il
faut adjoindre les mouvements de révolution et de rotation de tous les petits corps :
planétésimaux et satellites des planètes).

Lors de l'accrétion du nuage primordial, les frottements entre particules se sont transformés en
chaleur. Celle-ci a élevé la température du Soleil suffisamment pour démarrer la réaction
nucléaire qui l'alimente et pour donner à la Terre sa température interne (laquelle est également
alimentée par des désintégrations nucléaires).
Rotation de la Terre

Difficulté de définition

Considérée aux échelles de temps et de distance astronomiques, la Terre a une consistance non
pas solide mais plastique. Sa rotation sur elle-même lui a conféré la forme d'un ellipsoïde de
rotation : par l'effet de l'accélération centrifuge, son rayon aux pôles (6 357 km) est inférieur à
son rayon à l'équateur (6 378 km).

La Terre n'étant pas un simple solide, il faut définir précisément sa forme pour étudier sa
rotation.

Les déplacements des masses continentales sont étudiés par la tectonique des plaques. On sait
mesurer les déplacements de la croûte terrestre, par exemple avec le GPS. Avec la convention
dite de Tisserand, ceci permet de figer un modèle théorique du globe, appelé ITRS (Système
international de référence terrestre).

Il reste alors à tenir compte des autres facteurs, intervenants dans les différents milieux et
interfaces terrestres, qui modulent sa forme :

 les vents (aéronomie), la marée atmosphérique, la marée thermique solaire ;


 les courants océaniques, les marées océaniques, les interactions océan-atmosphère ;
 les marées continentales ; les mouvements du manteau (par exemple, le rebond post-
glaciaire a déplacé énormément le pôle nord vers le Groenland) ; les mouvements de la
graine du noyau et du noyau lui-même et l'interaction noyau-manteau ;
 les interactions Terre-Atmosphère-Océan (interactions TAO) : par exemple l'altitude de
Brest varie beaucoup et celle de Rennes beaucoup moins.

La Terre ainsi « solidifiée » par ces différentes « réductions », on peut étudier l'action des astres
sur ce solide (voir angles d'Euler et rotation synchrone).
Composantes du mouvement de rotation

Le mouvement de rotation de la Terre considérée comme un solide indéformable est la


superposition de trois mouvements : la rotation propre R (en vert), la précession P (en bleu) et la
nutation N (en rouge).

La rotation de la Terre est un mouvement complexe résultant de la superposition de trois


mouvements :

 La rotation propre est la rotation de la Terre autour de son axe ;


 l'axe de rotation de la Terre est l'objet d'une rotation dans un référentiel galiléen : cet axe
demeure incliné d'un angle constant par rapport à l'écliptique mais décrit un cône d'axe
perpendiculaire à l'écliptique. Ce mouvement de l'axe de la Terre est appelé précession
des équinoxes ;
 le mouvement de rotation de l'axe de la terre est lui-même affecté d’oscillations
périodiques appelées nutation.

Une image du mouvement de rotation complexe de la Terre est donnée par une toupie lorsque
celle-ci ralentit du fait des frottements : l'axe de la toupie commence à tourner et cette rotation
est elle-même affectée d'oscillations.
Mouvement de rotation de la Terre autour de son axe

Dans un repère galiléen, lié à la sphère des fixes, la Terre tourne autour de son axe d'ouest en est
dans le sens direct, c'est-à-dire dans le sens inverse des aiguilles d'une montre vue d'une distance
éloignée dans la direction du nord. Dans ce repère, une rotation complète s'effectue en moyenne
en un peu moins de 86 164,1 s, soit 23 h 56 min 4,1 s (jour stellaire)1,2. C'est parce que la Terre
tourne autour du Soleil en même temps qu'elle tourne sur elle-même que le jour solaire dure
quelques minutes de plus, soit 24 heures. La rotation de la Terre sur son axe correspond à une
vitesse angulaire de 7,292 115 × 10−5 rad/s3 et a une vitesse linéaire en surface de 465,1 m/s à
l'équateur4.

Comme la Terre n'est pas rigoureusement un solide indéformable, la vitesse de rotation angulaire
doit être soigneusement définie par les géodésiens et les astronomes. Sa mesure est effectuée par
le Service international de la rotation terrestre et des systèmes de référence (International Earth
Rotation and Reference Systems Service, IERS) qui met en ligne ses résultats.

Cette vitesse de rotation oscille de manière irrégulière. On observe des variations de la période
de rotation (longueur du jour), principalement une variation saisonnière d'environ 1 ms et des
changements décennaux (de 10 à 70 ans) d'environ 5 ms. De plus, les actions du Soleil et de la
Lune sur le soulèvement de la marée produisent un couple retardateur qui induit une
augmentation de la durée du jour d'environ 2 ms par siècle et un éloignement de la Lune de
3,84 cm par an (voir Rotation synchrone).

Le pôle de rotation est l'intersection de l'axe de rotation avec la surface de l'hémisphère nord. La
direction du pôle dans l'espace comme sur la Terre est mesurée avec une précision de l'ordre de
0,1 milliseconde d'arc.

Précession des équinoxes

Article détaillé : Précession des équinoxes.

L'axe de rotation de la Terre fait avec la perpendiculaire au plan de l'écliptique un angle constant
de 23° 26′. Les équinoxes ont lieu lorsque le plan perpendiculaire à l'orbite de la Terre
(écliptique) et contenant son axe de rotation passe par le Soleil, tous les six mois. Toutefois, ce
plan est en rotation par rapport à la sphère des fixes. L'axe de rotation de la Terre décrit un cône
autour de la perpendiculaire au plan de l'écliptique. Autrement dit, les étoiles fixes dans la
direction du nord au moment de l'équinoxe paraissent rétrograder chaque année. Cette rotation a
une période approximative de 28 500 ans. On appelle polodie le points d'intersection de l'axe de
rotation de la Terre avec la sphère des fixes dans la direction du nord et herpolodie la courbe
décrite par ce point sur la sphère des fixes. C'est Hipparque qui a découvert et décrit la
précession des équinoxes en 130 av. J.-C..
Nutation

Article détaillé : Nutation de la Terre.

La nutation est un mouvement d'oscillation rapide et de petite amplitude de l'axe de la Terre


autour du cône de rotation de l'axe. Ce mouvement est lui-même décrit comme la combinaison
de plusieurs nutations. La principale d'entre elles est la nutation de Bradley qui a une période de
18,6 ans et une amplitude de 9,2″.

Causes de la précession et de la nutation

La forme de la Terre n’est pas exactement sphérique mais celle d'un ellipsoïde de révolution
légèrement oblate, et son diamètre à l’équateur est légèrement plus grand que celui passant par
les pôles. Son axe de rotation étant incliné par rapport à l’écliptique, la Terre subit en moyenne
des forces de marée plus grandes sur l’équateur que sur le reste de la planète, du fait d'une plus
grande concentration de matière. Cela provoque un couple qui tend à amener l'équateur vers le
plan de l'écliptique. Comme l’axe de ce couple est à peu près perpendiculaire à l’axe de rotation
de la Terre, cet axe subit une précession, de la même manière qu’une toupie. Ces mouvements
n’existeraient pas si la Terre était parfaitement sphérique.

Longueur du jour

La longueur du jour dépend du référentiel utilisé pour le mesurer :

 le jour solaire est la durée comprise entre deux passages du Soleil au méridien d'un lieu.
Elle varie légèrement au cours de l'année. Le jour solaire moyen est fixé par convention à
86 400 s TAI5, c'est-à-dire 24 h, à plus ou moins 5 ms près.

Le service international de la rotation terrestre et des systèmes de référence6 détermine


quotidiennement l'écart du jour solaire avec le jour atomique. Cet écart présente une
variation saisonnière de l'ordre de la milliseconde à laquelle se superposent des
oscillations à plus long terme entre 10 et 70 ans, atteignant 5 ms et difficilement
prévisibles.
Selon la théorie commune, ces oscillations sont provoquées par le couplage entre le
noyau fluide et le manteau. Sur des échelles de temps plus grandes, le ralentissement de
la rotation terrestre est prédominant et entraîne une augmentation de la longueur du jour
de deux à quatre millisecondes sur deux siècles7,8.
La longueur du jour est mesurée par la technique GPS et les tirs lasers sur satellites
artificiels avec une précision de l'ordre de 20 µs. On peut ainsi calculer l'écart de la
longueur du jour par rapport au jour atomique9.
 le jour stellaire est la durée entre deux passages consécutifs des étoiles au méridien d’un
lieu, correction faite de leur mouvement propre. La longueur du jour stellaire est fixée à
86 164,098 903 691 s soit 23 h 56 min 4,1 s. La différence avec le jour solaire résulte du
déplacement quotidien de la Terre sur son orbite autour du Soleil.

 le jour sidéral est la durée entre deux passages au méridien d'un lieu du point vernal,
point d'intersection de l'équateur céleste et de l'équateur terrestre. Le jour sidéral est très
voisin du jour stellaire ; la différence, très faible à l'échelle du jour, est due à la
précession des équinoxes, c'est-à-dire à la rotation de l'axe de la Terre sur la sphère des
fixes.

Durée de l'année

La période annuelle de rotation de la Terre dépend du repère utilisé10 :

 dans un repère galiléen, lié à la sphère des fixes, la Terre tourne sur elle-même en un peu
moins de 86 164,1 s, soit 23 h 56 min 4,1 s. Elle revient à la même position sur son orbite
en 365,256 3 j, soit 365 j 6 h 9 min 4 s. C'est l'année sidérale.

 si l'on mesure la rotation par rapport au point vernal (point d'intersection de la sphère des
fixes avec la direction Terre-Soleil), elle tourne en 365,242 2 j soit 365 j 5 h 48 min 45 s.
C'est l'année tropique, un peu plus courte que l'année sidérale du fait de la rotation de
l'axe de la Terre.

 si on considère le point de l'orbite de la Terre le plus près du Soleil (le périhélie de


l'orbite terrestre, actuellement le 3 janvier), puisque l'orbite de la Terre est une ellipse, la
Terre met 365,259 6 j, soit 365 j 6 h 13 min 53 s pour y revenir. On appelle cette durée
l'année anomalistique. Cette durée est différente de l'année sidérale parce que l'ellipse de
l'orbite terrestre pivote lentement dans un repère galiléen.

 enfin, si l'on se repère par rapport au nœud de l'orbite lunaire, l'année dure 365,593 0 j
soit 365 j 14 h 13 min 53 s. C'est l'année draconitique.
Le calendrier grégorien

Le calendrier grégorien a été établi pour assurer la stabilité des saisons, c'est-à-dire que
l'équinoxe de printemps ait toujours lieu à la même date. Ce calendrier est donc une
approximation en fractions entières de l'année tropique (en fractions entières car on ne peut pas
ajouter ou retrancher des fractions de jours pour ajuster la durée de l'année).

La méthode qu'il utilise est d'ajouter un jour entier tous les 4 ans (années bissextiles) et de
retrancher trois jours tous les 400 ans (années séculaires non bissextiles), soit :

Année grégorienne moyenne en jours =

L'année grégorienne diffère de l'année tropique de 0,000 310 2 j chaque année et il faudra
3 224 ans pour que l'équinoxe de printemps diffère en moyenne de un jour de l'équinoxe
calendaire fixé au 21 mars. (Dans la pratique, l'ajout d'un jour entier tous les quatre ans fait que
l'équinoxe de printemps astronomique tombe cycliquement les 20, 21 ou 22 mars, mais sa date
moyenne est fixe à l'approximation ci-dessus près).

Synchronisation passée de la Lune autour de la Terre

L'impact géant il y 4,4 milliards d'années serait responsable de l'inclinaison de l'axe de rotation
de la Terre et d'une accélération de la rotation de la Terre (à l'époque, il semble qu'un jour durait
dix heures). Si l'orbite de la Terre avait été la même qu'actuellement, une année devait durer 880
jours11. La rotation synchrone de la Lune est due aux forces de marée exercées par la Terre et
dont les frottements provoquent le ralentissement de la rotation et la synchronisation de la Lune
autour de la Terre, si bien que les anneaux de croissance annuels des coraux fossiles du
Dévonien (il y a 380 Ma) révèlent qu'à cette époque, la journée ne durait que 22 heures et que
l'année comportait 400 jours12.

Synchronisation future de la rotation terrestre avec le Soleil et la Lune

Lorsque deux corps gravitent l'un autour de l'autre, la force de gravitation tend à synchroniser la
rotation des deux corps avec leur révolution de telle façon qu'à terme, les deux corps apparaissent
fixes dans le ciel vus l'un de l'autre. L'effet dépend du rapport des masses et de l'éloignement des
deux corps. Or la Terre est un satellite du Soleil et possède la Lune comme satellite. Sa rotation
est donc influencée par ces deux astres.
Le rapport de masses et de distances le plus important est celui de la Terre sur la Lune : la
rotation de la Lune sur elle-même est synchronisée avec sa révolution autour de la Terre et elle
lui présente toujours la même face.
En tant que membre du couple Terre-Lune, la Terre va tourner sur elle-même de plus en plus
lentement pour atteindre ultimement la synchronisation avec le mois lunaire qui, lui, augmente
aussi lentement du fait que la Lune s’éloigne de la Terre. La vitesse angulaire de rotation de la
Terre étant plus grande que celle de la Lune sur son orbite, elle tend à ralentir et la durée du jour
s’allonge inéluctablement. Du fait du principe de conservation du moment cinétique, le moment
cinétique de rotation de la Terre ainsi perdu est exactement gagné par la Lune dans sa translation
orbitale, ce qui se traduit par l'éloignement de celle-ci de la Terre. L’énergie cinétique de rotation
perdue par la Terre est transformée en chaleur du fait de la friction des marées. La Lune perd
aussi lentement de son énergie cinétique, Ec, (une grandeur toujours positive), car sa vitesse
orbitale ralentit plus elle s’éloigne (elle décélère sur son orbite qui s’allonge) ; mais, comme pour
tout satellite, son énergie potentielle Ep et son énergie orbitale totale E sont négatives (E = Ep +
Ec = -Ec = (1/2)Ep, du fait du théorème du Viriel : Ep = - 2 Ec). Ainsi E devient moins négative et
donc augmente. Actuellement, la perte totale d’énergie « mécanique » du système Terre-Lune est
de l’ordre de -3.2 TW, soit -3.321 TW perdus par la Terre qui ralentit et +0,121 TW gagnés par
la Lune qui s’éloigne.
L'effet de la Lune sur la Terre est presque un demi-million de fois plus élevé que celui du Soleil.
La Terre présentera toujours la même face à la Lune bien avant qu'elle ne présente la même face
au Soleil. Les calculs suggèrent qu'il faudra plusieurs milliards d'années pour que le jour terrestre
et le mois lunaire soient de 47 de nos jours et encore plus pour qu'il y ait synchronisation des
trois astres, soit plus que la durée de vie estimée du système solaire13. Le sytème Pluton-Charon
a déjà atteint cet état avec une rotation synchrone de 6 jours 9 heures et 17 minutes.
Références

1. ↑ Christian Bizouard, « Constantes utiles » [archive] [html], sur hpiers.obspm.fr/eop-pc/,


Centre d'orientation de la Terre du Service international de la rotation terrestre et des
systèmes de référence à l'Observatoire de Paris, mis à jour le 13 février 2014 (consulté le
15 janvier 2016).
2. ↑ Entrée « jour » dans Richard Taillet, Loïc Villain et Pascal Febvre, Dictionnaire de
physique, Bruxelles, De Boeck Université, 2009 [2e éd.] (1re éd. 2008), XII-741 p., 24 cm
(ISBN 2-8041-0248-3 et 978-2-8041-0248-7, OCLC 632092205, notice BnF
no FRBNF42122945), p. 301-302 [lire en ligne [archive] (page consultée le 15 janvier
2016)].
3. ↑ D.D. McCarthy, G. Petit (Hrsg.): IERS Conventions (2003) (IERS Technical Note No.
32), Kap. 1: General Definitions and Numerical Standards. (PDF [archive])
4. ↑ (en) Clabon Walter Allen et Arthur N. Cox (rédacteur), Allen's Astrophysical
Quantities, Springer Science & Business Media, 2000, 719 p. (ISBN 9780387987460),
p. 244.
5. ↑ TAI : Temps Atomique International, temps des horloges atomique depuis 1967.
6. ↑ (en) « Measuring the irregularities of the Earth's rotation » [archive], sur Observatoire
de Paris (consulté le 7 mars 2019).
7. ↑ Cyril Langlois, Mini manuel de Géologie - Géophysique - Cours + exos corrigés:
Cours et exos corrigés, Dunod, 15 juin 2011 (ISBN 978-2-10-056821-5, lire en
ligne [archive]), p. 23
8. ↑ Jean-Philippe Debleds, La Parallaxe de Mercator, TheBookEdition, 26 mai 2015
(ISBN 978-2-9553208-0-8, lire en ligne [archive]), p. 30
9. ↑ « Écart depuis janvier 2000 jusqu'à la semaine en cours » [archive], sur Observatoire de
Paris .
10. ↑ « Définition de l'année » [archive], sur Observatoire de Paris (consulté le 6 mars 2019).
11. ↑ (en) Jim Baggott, Origins. The Scientific Story of Creation, Oxford University Press,
2018, p. 190.
12. ↑ Encyclopædia universalis, vol. 14, Encyclopædia universalis France, 1990, p. 86.
13. ↑ Christian Buty, « Rotation de la Terre sur elle-même et distance Terre Lune » [archive],
Comité de Liaison Enseignants et Astronomes
Voir aussi

Articles connexes

 Astronomie fondamentale ;
 Géodésie ;
 Période de rotation ;
 Rotation synchrone ;
 Calcul de la date de Pâques.

Bibliographie

 Emmanuel di Folco, Pourquoi la Terre tourne-t-elle ?, Les Petites Pommes du Savoir


no 73, éditions Le Pommier, Paris, 2011, 64 pages (ISBN 978-2-7465-0564-3)

Liens externes

 « Cours de ligne » [archive], sur Observatoire de Paris


 (en) « International Earth Rotation Service and Reference Frame » [archive], sur IERS
 « ITRF » [archive]
 « Orientation terrestre observée par VLBI (Observatoire de Paris) » [archive]
 « Service de la Rotation de la Terre de l'Observatoire de Paris » [archive]

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