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18 KOUAME K. A. & al. : Evaluation des modèles de travail au laboratoire de prothèse : ...

Rev. Iv. Odonto-Stomatol., vol. 16, n° 1, 2014, pp. 18-23


© EDUCI 2014

ÉVALUATION DES MODELES DE TRAVAIL AU LABORATOIRE DE


PROTHESE : DECISIONS DE VALIDATION ET CORRECTIONS AVANT
REALISATION DES PIECES PROTHETIQUES

Auteurs
RESUME
KOUAME K A., Le modèle de travail est la reproduction en positif
DIDIA E L., des structures bucco-dentaires obtenue après mou-
PESSON D. M.,
BAKOU O., lage de l’empreinte. Le but de cette étude était d’évaluer
BINATE A., d’une part, la conformité entre les modèles de travail
TRA BI Z., réalisés par les prothésistes et les empreintes reçues
KONATE N. Y., des cabinets dentaires et d’autre part, les corrections
SANGARE A., apportées en vue de leur exploitation. Elle a consisté
DJEREDOU K. B.
à l’examen de 575 modèles de travail par deux opéra-
teurs, un chirurgien dentiste et un prothésiste. Ils ont
relèvent des taux sensiblement égaux de modèles de
travail présentant des défauts (p=0,8993). Les modèles
Services dont la qualité n’était pas optimale étaient corrigés
généralement par la technique de soustraction de
Service de prothèse et plâtre (74,6%).
Occlusodontie Mots-clés : Empreintes - Modèles de travail –
UFR d’Odonto-Stomatologie Prothèse - Laboratoire de prothèse dentaire
Université Félix
HOUPHOUET BOIGNY SUMMARY
Cocody-Abidjan The model of work is positive of the oral structures
reproduction obtained after moulding of the impres-
sions. The purpose of this study was to evaluate the
one hand, the conformity between the models of work
done by prothesists and impressions received dental
Correspondance practices and secondly, the corrections to their exploi-
tation. It consisted of review of 575 models of work by
two operators, a dentist and a prosthetist. They have
approximately equal rate of models of work with defects
Dr KOUAME Koffi (p = 0.8993). Besides, the subtraction of plaster seems
Alexandre to be the technique the more used (74.6%) to correct the
Chirurgien dentiste, models of work.
attaché de consultation,
Key words : Dental prints- Models of work –
Service de prothèse,
Prosthesis - Dental prosthesis laboratory
Centre de Consultation
et Traitements Odonto-
Stomatologiques CHU de
Cocody
UFR d’Odonto-
Stomatologie
22 BP 612 Abidjan 22
kalex08@hotmail.fr
Rev. Iv. Odonto-Stomatol., Vol. 16, n° 1, 2014, pp. 18-23 19

INTRODUCTION I- MATERIEL ET METHODES


Le modèle de travail est la reproduction 1- Type d’étude et échantillonnage
en positif des structures bucco-dentaires, en
Il s’agit d’une étude transversale, des-
plâtre ou tout autre matériau de réplique,
criptive et analytique qui s’est déroulée sur
obtenue après moulage de l’empreinte [1]. Il
une période de 5 mois allant de novembre
occupe une place importante dans la chaîne
2012 à mars 2013.
de l’élaboration prothétique : il sert non seu-
Elle a ciblé les modèles de travail issues
lement de point de départ à la réalisation des
des empreintes réceptionnées dans quatre
pièces prothétiques, mais aussi de moyen de
(4) laboratoires de prothèse privés de la
contrôle de certaines étapes [2].
ville d’Abidjan dirigés et animés par des
La précision d’adaptation des pièces pro-
prothésistes diplômés.
thétiques réalisées est directement dépen-
L’échantillon des modèles de travail sont
dante de la qualité des modèles de travail [1,
des modèles de travail issus :
3, 4]
. Or, celle-ci est liée pour une grande part
à la précision et à la fidélité des empreintes - d’empreintes pour prothèse adjointe
dont ils sont issus [5]. Ainsi, l’adaptation partielle résine (PAPR) ;
optimale en bouche de l’élément prothétique - d’empreintes secondaires pour prothèse
fini dépend de la fidélité et de la précision de adjointe partielle à châssis métallique
l’empreinte et du degré de conformité entre (PAPCM) et de prothèse adjointe
le modèle de travail, l’empreinte et l’original totale (PAT) ;
clinique [5]. C’est pourquoi, empreintes et
modèles de travail doivent être respective- - d’empreintes définitives pour prothèses
ment la transmission et la reproduction la fixées (PF).
plus exacte possible de la situation buccale Ont été exclus de cette étude, tout
[1]
. De ce fait, praticiens et techniciens doivent modèle de travail émanant d’empreintes
partager les mêmes critères de lecture et vali- reprises suite à un rejet de la première em-
dation de ces supports de travail intimement preinte ou aux observations du technicien
liés. Plusieurs études indiquent pourtant et d’empreintes destinées à la réalisation
que ce n’est pas toujours le cas et les échecs d’appareils orthopédiques ou de prothèses
thérapeutiques font souvent l’objet du refus obturatrices.
de l’un ou l’autre d’assumer sa part de res- Dans chaque laboratoire, 150 em-
ponsabilité [6, 7, 8, 9, 10, 11]. preintes ont été examinés sur la période de
S’agissant de l’évaluation de la qualité des l’étude, soit 600 empreinte pour l’ensemble
empreintes, une étude récente de KOUAME des laboratoires visités. Sur ces 600 em-
et coll. a certes montré que les deux acteurs preintes, 25 ont été rejetées d’emblée après
de la chaîne prothétique identifient les lecture [12]. Ce sont les 575 modèles de tra-
mêmes défauts sur les empreintes. Cepen- vail issues du lot des empreintes qui ont été
dant, leur décision diffère quant à la valida- coulées qui font l’objet de la présente étude.
tion de celles-ci en vue de leur exploitation 2- Protocole d’étude
pour la réalisation des pièces prothétiques [12].
La lecture et l’examen des modèles de
La présente étude s’intéresse aux
travail en vue de leur validation technique
modèles de travail. Elle a pour objectifs
ont été effectués par deux opérateurs : un
d’évaluer la conformité entre les modèles
chirurgien dentiste spécialiste de prothèse
de travail et les empreintes d’une part et,
qui est l’enquêteur principal et le chef de
d’autre part, d’identifier les corrections
laboratoire ou tout autre technicien den-
apportées à ceux-ci avant l’élaboration de
taire commis à cet effet dans chacun des
la pièce prothétique.
laboratoires qui ont collaboré à cette étude.
20 KOUAME K. A. & al. : Evaluation des modèles de travail au laboratoire de prothèse : ...

La lecture critique des modèles de travail a Le taux de modèles de travail présen-


été effectuée à l’aide d’une loupe à grossisse- tant des défauts identifiés par l’enquêteur
ment 10. Leur évaluation a permis de les ré- (126 soit 21,9 %) n’est pas statiquement
partir en deux groupes par chaque opérateur. différent de celui du technicien (124 soit
- Groupe A : ce sont des modèles de travail 21,6%) (p=0,8993).
retenus par le laboratoire pour être exploitées
pour la réalisation des pièces prothétiques. 2- Décision de validation des modèles
Selon l’évaluation des modèles, ce groupe a de travail
été également réparti en deux sous-groupes :
Tableau II : Répartition des modèles de tra-
• sous-groupe A1 : modèles de travail vail selon la décision prise après lecture
d’emblée validés car jugées sans
Type d’opérateur
défauts après lecture directe Décision
Test de Khi²
après
Enquêteur Prothésiste
• sous-groupe A2 : modèles de tra- lecture du
modèle
vail présentant des défauts à priori
de travail N % N % p Sign
mineurs, qui sont secondairement
validées après une correction. Accepté
470 81,7% 477 83,0% 0,8201 NS
d’emblée
- Groupe R : modèles de travail rejetés
d’emblée pour défauts importants les rendant Correction
56 9,7% 67 11,7% 0,3213 NS
nécessaire
inexploitables ou modèles de travail présent-
ant des défauts à priori mineurs mais non Rejeté
49 8,5% 31 5,4% 0,0442 S
d’emblée
validés après une correction.
3- Traitement informatique et Total 575 100% 575 100%

statistique des données


Les données ont été recueillies sur une fiche Les décisions des opérateurs diffèrent
d’enquête conçue à cet effet. Elles ont été saisies statistiquement pour les modèles de tra-
et traitées par ordinateur à l’aide du logiciel EPI vail à rejeter d’emblée (8,5% pour l’enquê-
INFO 2000. Les applications Microsoft office teur contre 5,4% pour les prothésistes,
2010 (Word et Excel) sous pour Windows7 ont P=0,0442).
permis la réalisation des tableaux. 3- Correction des modèles de travail
Le calcul des fréquences des différentes
variables et le test de Chi² ont été utilisés Tableau III : Répartition des modèles de
pour l’analyse statistique des différentes travail en fonction des techniques de correction
variables étudiées.
Technique de
Fréquence Pourcentage
II- RESULTATS correction utilisée

1- Lecture critique des modèles de travail Ajout de cire 4 6%

Ajout de plâtre 8 11,9%


Tableau I : Répartition des modèles de travail
selon l’existence ou non de défauts Collage de la fracture 3 4,5%

Contact dent-métal 2 3%
Défauts Type d’opérateurs
du Test de Khi² Soustraction de
Enquêteur Prothésiste 50 74,6%
modèle plâtre
de
N % N % P Sign Total 67 100%
travail

Non 449 79,8% 451 78,4% 0,9468 NS La soustraction de plâtre est la tech-
Oui 126 21,9% 124 21,6% 0,8993 NS nique de correction des modèles de travail
Total 575 100% 575 100% la plus utilisée (74,6%).
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III- DISCUSSION tiques, il n’y avait pas de différence statistique-


ment significative entre les décisions des deux
1- Lecture des modèles de travail
opérateurs : 477 sur 575 soit 83% pour les
Sur les 575 modèles de travail exami- prothésistes et 470 (81,7%) pour le chirurgien
nés, le nombre de modèles présentant des dentiste enquêteur (Tableau II : p = 0,8201).
défauts identifiés (126 modèles pour le Aussi, pour les modèles de travail dont la
chirurgien dentiste enquêteur et 124 pour qualité n’était certes pas optimale, mais qui
les prothésistes) n’est pas statistiquement pouvaient être corrigés en vue de leur exploi-
différent entre les deux opérateurs (Tableau tation, les prothésistes avaient retenu 67
I : p = 0,8993). Il en est de même pour les modèles soit 11,7% de l’échantillon contre 56
modèles de travail jugées correctes : 449 (9,7%) pour le chirurgien dentiste enquêteur.
(78,1%) pour le chirurgien dentiste enquê- Mais cette différence n’était statistiquement
teur et 451 (78,4%) pour les prothésistes significative (Tableau II : p = 0,3213).
(Tableau I : p = 0,9468). Par contre, s’agissant des modèles de travail
Si l’on se réfère au nombre d’empreintes jugées inexploitables du fait de leur mauvaise
jugées d’emblée exploitables (497 pour qualité, les décisions des deux opérateurs
l’enquêteur et 504 pour les prothésistes) différaient significativement (Tableau II : p =
de la même étude selon les résultats de 0,0442) : 31(5,4%) modèles présentant des
KOUAME et coll. en 2013 [12], nous notons défauts étaient rejetées d’emblée par les pro-
une différence de 48 modèles de travail thésistes contre 49 (8,5%) par le chirurgien
correctes pour l’enquêteur et 53 pour les dentiste enquêteur (Tableau II).
prothésistes. Ce différentiel correspond aux Ce constat montre que les prothésistes
empreintes pour lesquels, l’examen visuel retiennent très souvent des modèles de travail
n’a pas n’a pas permis de déceler les dé- aux qualités approximatives pour la réalisation
fauts. En effet, une vision, même attentive, des pièces prothétiques. Or, de tels modèles
n’offre pas toujours la possibilité de mettre sont à rejeter d’emblée et les empreintes des-
en évidence une contre dépouille, un tirage quelles elles sont issues doivent être reprises.
ou une bulle. De tels défauts ne sont révé- Ce qui n’est pas toujours le cas dans les labora-
lés qu’après la coulée de l’empreinte. C’est toires de notre étude. Les techniciens adoptent
pourquoi, pour CAIRE [13] et HOORNAERT [14], cette attitude pour se conformer aux exigences
le modèle de travail est le meilleur support pour des praticiens qui désirent obtenir le travail
valider une empreinte. Il permet d’identifier demandé dans des délais parfois intenables,
les défauts des modèles de travail et de juger peu importe la qualité de l’empreinte [8]. Les évo-
de leur conformité avec l’empreinte. Ainsi, en lutions technologiques de ces dernières années
raison des difficultés inhérentes au condition- permettent de remédier aux désagréments
nement et au respect des délais de traitement, il des techniques traditionnelles de confection
est important d’encourager la coulée au cabinet des modèles de travail. [15]. En prothèse fixée
dentaire pour réduire les risques de déforma- et implantaire, l’empreinte optique permet au
tion [13, 15]. En effet, le traitement immédiat des praticien d’obtenir, au fauteuil, une image tri-
empreintes permet de garantir la précision, la dimensionnelle d’une ou plusieurs dents grâce
fidélité et la stabilité dimensionnelle de celles- à un système optique couplé à un ordinateur.
ci ; ce qui optimise le niveau de conformité entre À partir de cette empreinte optique, un logiciel
l’empreinte, le modèle de travail qui en est issu spécifique élabore un maître modèle virtuel
et la situation clinique. permettant de réaliser les étapes de conception
2- Décision de validation des modèles et fabrication assistées par ordinateur (CFAO).
de travail Avec cette technologie, le maître modèle virtuel
Concernant les modèles de travail jugés s’affiche à l’écran très rapidement. Il est alors
corrects et donc acceptés d’emblée pour être possible au praticien de vérifier que tous les
exploitées pour la réalisation des pièces prothé- détails importants ont bien été enregistrés et
22 KOUAME K. A. & al. : Evaluation des modèles de travail au laboratoire de prothèse : ...

que l’empreinte optique ne présente pas de tés approximatives conduisent à la confection


défaut. Dans le cas contraire, il est très facile des pièces prothétiques dont l’adaptation cli-
de corriger les erreurs de préparation et/ou niques nécessitent de nombreuses retouches
d’acquisition dans la même séance. [16]. qui altèrent leurs précision et sont la cause
3- Correction des modèles de travail d’échec du traitement prothétique.
L’avènement de l’empreinte optique et
Les corrections effectuées par les prothé-
des systèmes de conception et de fabri-
sistes ont concerné les 67 (11, 65%) modèles
cation assistées par ordinateur (CFAO)
de travail qu’ils ont jugés exploitables pour
apparaît comme la solution idoine aux
la confection des pièces prothétiques, bien
problèmes de précision et de fidélité lors
que leur qualité n’était pas optimale. Trois
de l’élaboration prothétique. En atten-
méthodes de correction ont été principale-
dant que cette technique soit accessible
ment utilisées par les techniciens (Tableau
à la pratique quotidienne des chirurgiens
III). La soustraction de plâtre : elle est fré-
dentistes et des techniciens de laboratoire
quemment utilisée (74,6%) pour dégager les
de notre pays, le traitement immédiat des
limites cervicales difficiles à lire, corriger les
empreintes au cabinet dentaire semble
contre-dépouilles légères, éliminer les excès
être le meilleur compromis pour garantir
de plâtre issus des défauts de coulée ou de
la conformité entre situation clinique, em-
l’incrustation de plâtre dans les vacuoles (bulles
preinte et modèle de travail afin de prévenir
d’air). L’ajout de plâtre : les prothésistes y ont
les échecs. Ce qui est indispensable pour
quelquefois (11,9%) recours pour combler les
améliorer les relations entre techniciens et
vacuoles ou anfractuosités liées à une spatula-
praticiens et permettre une prise en charge
tion incorrecte du plâtre. L’adjonction de cire :
efficiente des patients.
elle sert parfois (6%) à combler les zones de
contre-dépouille. REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
Il importe de souligner que les correc- 1- KANNENGIESSER F. Le modèle de travail
tions tolérables du modèle de travail doivent en prothèse fixée : concepts et préceptes.
être mineures et ne surtout pas concerner les Thèse chir Dent, Académie Nancy-Metz, Univ.
piliers dentaires préparés, la morphologie axiale Lorraine, fac Odont, 2013.
des dents adjacentes (risques de sur-contour
2- EL YAMANI A, SOUALHI H, NOURREDDI-
et sous-contour) et antagonistes (risque de NE K, BENANI H. Le joint dento-prothétique :
sur-occlusion). Dans le cas contraire, les Facteurs de laboratoire et précision du joint
modèles de travail issus de ces corrections ne dento-prothétique. Web Journal du Dentiste,
sont pas fiables en termes de précision dimen- 2006, 2 (1).
sionnelle et, les pièces prothétiques issues de 3- GUEYE M, TOURE S N, SECK M T, BAD-
ces modèles de travail souffrent très souvent AOUI R K, DIENG L, MBODJ E B, DJEREDOU
d’imperfections qui se manifestent lors des es- K B, GAYE-NDIAYE F. Traitement des em-
sayages cliniques par des difficultés d’insertion, preintes et des pièces prothétiques : évalua-
des défauts de rétention comme le rapportent tion des pratiques des chirurgiens dentistes
plusieurs auteurs [2, 3, 4, 6, 8, 13]. de Dakar. Rev Col Odonto-Stomatol Afr Chir
Maxillo-fac, 2012, 9 (4) : 34-39.
CONCLUSION
4- LAVIOLE O, BARTALA M. Confection des
Cette étude montre que, comme pour les modèles de travail en prothèse conjointe.
empreintes, les praticiens et les techniciens de EMC 2000, 23-380-A-10.
laboratoire partagent des critères communs
de lecture, de réussite et de validation des 5- BUGUGNANI R, LANDEZ C. Les empreintes en
prothèses conjointes. Paris, Editions CDP, 1979.
modèles de travail. Cependant, leurs décisions
diffèrent significativement quant aux modèles 6- BUISSON H. La qualité : un état d’esprit
de travail inexploitables. L’exploitation après pour une démarche cabinet-laboratoire. Syn
correction de ces modèles de travail aux quali- Proth, 1999, 1 (1) : 85-96.
Rev. Iv. Odonto-Stomatol., Vol. 16, n° 1, 2014, pp. 18-23 23

7- BUISSON H. La démarche qualité : une op- 12- KOUAME K A, PESSON D.M., BAKOU O,
portunité pour développer la relation cabinet KONATE N Y, DIDIA E L, SANGARE A, DJE-
laboratoire. Réal Clin, 2001, 12 (3) : 251-266. REDOU K B. Validation des empreintes au la-
boratoire de prothèse dentaire: étude réalisée
8- DIOMANDE M. Evaluation de la relation
sur 600 empreintes dans quatre laboratoires
praticien-technicien de laboratoire au cours
privés d’Abidjan. Rev Col Odonto-Stomatol Afr
du traitement prothétique : enquête réalisée
Chir Maxillo-fac, 2013, 20 (2): 21-27.
auprès des chirurgiens-dentistes exerçant dans
le secteur privé de la région d’Abidjan. Thèse 13- CAIRE T. Pourquoi et comment couler
Chir Dent UFROS, Univ Cocody-Abidjan, 2007. les modèles au cabinet dentaire. Stratégie
prothétique 2004, 4 (5) : 387-392.
9- GAMBADE S. Les moyens de communica-
tion cabinet dentaire laboratoire de prothèse. 14- HOORNAERT A, THIRY M. Empreintes et
Thèse. Chir. Dent. Bordeaux 2004. modèles de travail : Critères de conformité.
Réal. Clin., 2001, 12 (3) : 307-322.
10- GAMBADE S, LASSERE J-F, CHEVA-
LIER J-M. Enquête auprès des prothésistes 15- LALLICH B, SCHOENDORFF R. Le joint
dentaires sur la communication cabinet vélo-palatin. Ann odontostomatol (Lyon),
laboratoire. Stratégie prothétique 2006, 6 1974, 31:155-65.
(1) : 47-54.
16- MOUSSALLY C, CAZIER S, ATTAL J.P.
11- SANGARE S. Relations praticiens et tech- L’empreinte optique. Entretiens de Bichat,
niciens de laboratoire de Côte d’Ivoire. Thèse 2010 : 46-48.
Chir Dent, UFROS Univ Cocody Abidjan, 2008.

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