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Introduction
Enregistrement
Qualité de l'empreinte des rapports occlusaux
La qualité du modèle de travail est directement liée à la qualité de
l’empreinte réalisée par le praticien. Dans la chaîne du travail
prothétique, la précision de la reconstitution finale est soumise à la
rigueur de chacune des étapes de réalisation, le modèle de travail Montage
étant la première étape de laboratoire, essentielle pour l’obtention Précision en articulateur
d’une réplique fidèle de la situation clinique. Analyse du travail du modèle de travail
final
De nombreux paramètres entrent en jeu dans la précision du modèle
de travail et les manipulations successives nécessaires sont autant
de sources d’erreur ou de déformation (fig 1). La connaissance des Matériaux de réplique
propriétés et impératifs des matériaux utilisés ainsi qu’une analyse Soclage
globale du cas à traiter sont indispensables pour limiter les risques Modèle positif unitaire
d’imprécision.
1 Modèle de travail.
Traitement de l’empreinte
Remarquons néanmoins que la bibliographie ne fournit aucune
au laboratoire certitude ni sur le produit adéquat à chaque matériau, ni sur le mode
de décontamination (immersion ou vaporisation), ni sur le temps de
Les empreintes sont source d’infection potentielle et le simple décontamination, ni sur les concentrations efficaces pour chaque
rinçage à l’eau courante, s’il est indispensable pour l’élimination des produit. De façon générale, les recommandations de l’ADA de 1996
résidus salivaires et sanguins, ne peut en aucun cas supprimer les
font référence [7].
risques de contamination croisée. La décontamination de l’empreinte
est impérative et doit se faire en toute logique au cabinet dentaire,
de façon à éviter tout transfert de germes au laboratoire, mais ceci
implique un lien étroit et une confiance réciproque entre les deux Modèles de travail pour denture
partenaires. D’après une enquête réalisée auprès de naturelle
668 praticiens [21], 7,04 % seulement réalisent une décontamination
de leurs empreintes. Le prothésiste doit donc être particulièrement
vigilant vis-à-vis de la contamination : les désinfections par La technique de réalisation du modèle de travail diffère selon que
immersion ou par vaporisation sont les plus utilisées alors que les l’appui de la future prothèse est naturel ou implantaire, une prothèse
méthodes par rayonnement sont rares et que la thermostérilisation a à appui mixte nécessitant donc une combinaison de procédés. De
été abandonnée car non supportée par les matériaux à empreinte. plus, la rapidité de coulée de l’empreinte dépend du matériau
Les solutions désinfectantes doivent être bactéricides, virucides, d’empreinte : en effet, on sait que la précision dimensionnelle se
fongicides et sporicides. Elles se répartissent en quatre familles de dégrade plus ou moins rapidement selon les matériaux et l’on
produits : les solutions à base de formaldéhyde, glutaraldéhyde, connaît le délai qu’ils peuvent supporter sans déformation
hypochlorite de sodium et dérivés iodés. Chacune possède des notable [23] :
caractéristiques différentes, des avantages et des inconvénients : leur – à 24 heures : silicones A (réticulant par addition) ;
utilisation variera donc en fonction du matériau à empreinte [28].
– à 12 heures : polyéthers ;
– à 6 heures : polysulfures ;
Odile Laviole : Docteur d’université mention sciences odontologiques, maître de conférences des Universités,
praticien hospitalier. – à 3 heures : silicones C (réticulant par condensation) ;
Michel Bartala : Docteur en chirurgie dentaire, assistant hospitalo-universitaire.
Université Victor-Segalen Bordeaux 2 Bordeaux, France. – à 30 minutes : hydrocolloïdes.
Toute référence à cet article doit porter la mention : Laviole O et Bartala M. Confection des modèles de travail en prothèse conjointe. Encycl Méd Chir (Editions Scientifiques et Médicales Elsevier SAS, Paris, tous droits réservés),
Odontologie, 23-380-A-10, 2000, 10 p.
23-380-A-10 Confection des modèles de travail en prothèse conjointe Odontologie
Le traitement rapide de l’empreinte préserve donc la précision – réaliser le malaxage manuellement sur un vibreur ou, mieux,
dimensionnelle, ce qui implique une mise en œuvre, le plus souvent mécaniquement ce qui augmente l’homogénéisation du mélange et
au cabinet dentaire et parfois au laboratoire s’il est suffisamment donc sa dureté finale en respectant toujours le temps de malaxage
proche. Si le travail prothétique à réaliser exige un maître modèle préconisé par le fabricant. Sinon, d’importantes variations
complexe, le praticien doit privilégier le matériau à empreinte le d’expansion peuvent se produire. Il est à noter que le malaxage sous
plus stable dans le temps. vide n’apporte pas d’amélioration sensible aux propriétés du
matériau [16] ;
MATÉRIAUX DE COULÉE – laisser durcir le modèle en milieu thermostable et peu humide
(55 % d’hygrométrie) pendant 30 à 40 minutes [29] ;
La propriété essentielle de tout matériau de réplique est la fiabilité,
définie par plusieurs critères [22], dont le principal est l’exactitude – sécher modérément le modèle après démoulage ou attendre
dimensionnelle garantissant la similitude de dimensions entre l’évaporation de l’eau libre résiduelle avant utilisation, ce qui
l’enregistrement des préparations et leur réplique. Les autres critères augmente la résistance ;
sont : – éviter les durcisseurs de surface qui nuisent à la précision
– la capacité à reproduire les détails : notamment les lignes de dimensionnelle, sauf la colle cyanoacrylate qui induit une
finition et les arêtes vives ; surépaisseur négligeable (dans le cas de moignons longs et fins).
Tout manque de rigueur dans la mise en œuvre du plâtre entraînera
– la résistance à l’abrasion : pour pallier l’usure provoquée par
donc une perte de précision dimensionnelle ou une diminution des
toutes les manipulations nécessaires à la fabrication et à l’ajustage
qualités mécaniques.
de la pièce prothétique ;
Le plâtre traditionnel est additionné par certains fabricants de résine
– la résistance à la fracture. vinylique : on parle alors de plâtre-résine qui présenterait comme
La facilité de manipulation, la compatibilité avec le matériau avantages de donner des modèles plus lisses, plus résistants à
d’empreinte et l’absence de toxicité sont également à prendre en l’abrasion et à l’effritement, produisant une poussière plus fine au
compte. sciage [6].
Le matériau « parfait » n’existant pas, il convient de choisir le plus Pour des raisons économiques, la coulée des arcades et celle des
adapté au cas et d’y associer la technique de traitement permettant socles se fait le plus souvent avec des plâtres différents, le socle ne
de rendre utilisable le modèle de travail. Les matériaux de réplique nécessitant pas les mêmes propriétés mécaniques. Quel que soit le
disponibles sont : plâtre utilisé, il faut veiller à ce que celui de soclage présente une
expansion proche de celui de coulée de l’arcade, sous peine
– les plâtres ;
d’entraîner des distorsions du modèle [25].
– les résines époxy ;
– les métaux électrodéposés (traitement par galvanoplastie) ; ¶ Résines époxy [24]
– les revêtements pour modèle réfractaire ; Seuls les hydrocolloïdes sont incompatibles avec ces matériaux.
– les polyuréthanes. Qualités
C’est le matériau le plus fréquemment utilisé en prothèse fixée, – Bonne résistance à l’abrasion.
notamment les plâtres pierre de type IV, extradurs, alors que les – Faible dureté mais excellente résistance à l’écrasement.
types III seront réservés à la coulée des modèles antagonistes [1]. De – Manipulation aisée.
manipulation facile et relativement rapide, le plâtre est compatible
avec tous les matériaux d’empreinte mais sa mise en œuvre est Particularités
« trompeusement simple » [5]. En effet, la précision dimensionnelle
est excellente puisque l’expansion de prise inhérente à ce matériau – Contraction lors de la polymérisation donnant un modèle
va de 0,01 % à 0,4 % [4], la capacité à reproduire les détails est assez légèrement sous-dimensionné, de 0,2 % à 0,46 % selon les auteurs
bonne mais la dureté et la résistance à l’abrasion sont assez
[4, 17]
.
médiocres, ces propriétés mécaniques étant très dépendantes des – Matériau relativement allergisant.
conditions de préparation et de la composition propre à chaque – Temps de polymérisation long (3 heures).
marque [3]. C’est pourquoi, pour concilier une expansion minimale,
une dureté maximale et un temps de prise convenable, il faut Mise en œuvre
respecter un certain nombre de conditions :
De consistance crémeuse, la résine époxy est déposée au niveau des
– utiliser un plâtre dit « équilibré » : en effet, l’adjonction de préparations avec une spatule ou un pinceau, puis la totalité de
retardateurs et d’accélérateurs de prise (sels de sodium et de l’arcade est coulée sur vibreur ou, mieux, centrifugée pour limiter le
potassium par exemple) diminue l’expansion de prise alors que les risque de bulles d’air.
durcisseurs incorporés au mélange (Gypsum Hardener), qui
augmentent donc les qualités mécaniques du plâtre, peuvent ¶ Revêtements pour modèle réfractaire
doubler ce phénomène. Un dosage judicieux est nécessaire pour
obtenir un équilibre satisfaisant. C’est le cas des plâtres de type III Les inlays, onlays et facettes céramique sont montés et cuits sur des
et IV [5, 29] ; modèles positifs unitaires (MPU) dupliqués à partir du maître
modèle (généralement en plâtre) grâce à une empreinte aux
– respecter scrupuleusement le rapport eau-poudre préconisé par le élastomères. Cette empreinte est coulée en revêtement spécialement
fabricant et, pour cela, peser la poudre et doser l’eau ou, mieux, conçu pour chaque procédé de céramique. Ces revêtements à liant
utiliser des sachets prédosés. Un mélange trop liquide donne un phosphate présentent une charge minérale adaptée pour assurer une
plâtre poreux, fragile, mais avec une faible expansion de prise. Un concordance entre les courbes de dilatation de la céramique et du
mélange épais présente une dureté plus élevée, une prise plus rapide matériau [32].
mais une expansion beaucoup plus importante ; Le mélange doit respecter rigoureusement les indications du
– ne jamais rajouter d’eau en cours de mélange sous peine de fabricant et doit subir après sa prise un ou plusieurs traitements
diminuer la dureté et de provoquer une expansion de prise thermiques pour lui donner les propriétés mécaniques nécessaires
anormalement élevée ; au montage de la céramique.
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– Les polyuréthanes ne sont utilisables que pour des empreintes aux – il existe un risque important d’endommager les faces proximales
silicones. des dents adjacentes aux préparations si la séparation est faite avec
une scie à die (l’utilisation d’un disque monté sur tour électrique
– De résistance à la traction et à la flexion élevée, ces matériaux fixe minimise ce risque) ou si le sciage se fait des faces occlusales
minimisent le risque de fracture au démoulage ou lors du travail vers le socle (surtout dans le cas de proximités dentaires) [25].
sur des parties particulièrement fines. Le fractionnement peut être conçu avant ou après la coulée de
l’empreinte.
CONFECTION DU MODÈLE DE TRAVAIL
Le modèle de travail issu de l’empreinte permet au prothésiste de • Avant coulée de l’empreinte
laboratoire de confectionner la maquette prothétique et d’en assurer Système des « dowel-pins » : les dowel-pins sont des tiges en laiton
la meilleure finition possible. De la parfaite adaptation de la prothèse positionnées dans l’empreinte au niveau des dents préparées et des
dépend son intégration buccale. Pour assurer cette adaptation, secteurs latéraux si besoin, comprenant une tête rétentive et une ou
l’empreinte doit fixer les rapports des préparations avec les dents plusieurs tiges coniques (fig 3). La tête rétentive est incluse dans le
adjacentes, avec les dents antagonistes, avec le parodonte marginal matériau de réplique tandis que la tige est noyée dans le matériau
et les structures anatomiques. Tous les renseignements donnés par de soclage (le plus souvent du plâtre).
l’empreinte se retrouvent sur le modèle de travail mais la mise en Les dowel-pins sont positionnés dans l’empreinte et maintenus en
forme nécessaire de ce modèle (la confection des MPU) entraîne une place avec des épingles à cheveux et des aiguilles (fig 4). L’arcade
perte des informations parodontales et esthétiques [15, 19]. C’est est coulée de façon à englober les têtes rétentives, du séparateur est
pourquoi les techniques traditionnelles de confection des modèles passé sur les tiges pour permettre de les désolidariser du socle et
de travail ont évolué ces dernières années pour conserver au mieux des boulettes de cire rose sont placées à l’extrémité de chaque pin
la topographie dentaire et gingivale tout en permettant l’accès à la (fig 5). Après avoir réalisé des rétentions au niveau des zones non
ligne de finition de chaque préparation. concernées par les préparations (cavaliers métalliques ou rainures),
La réalisation de la maquette prothétique nécessite le socle est coulé jusqu’aux boulettes de cire, sans les recouvrir
l’individualisation de chaque dent préparée sous forme de MPU. totalement si possible. Une fois la prise effectuée, la séparation de
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chaque MPU est faite avec une scie fine ou un disque jusqu’à la
jonction des deux matériaux de coulée ; la cire est dégagée pour
permettre d’exercer une poussée sur l’extrémité du pin et séparer 8 La plaque de Plexi-
ainsi chaque MPU. glast est essayée pour véri-
fier sa mise en place correcte
– Avantages : cette technique est rapide et ne nécessite pas de par rapport à l’empreinte et
matériel spécifique. aux repères postérieurs ver-
ticaux du support.
– Inconvénients :
– le MPU présente une certaine imprécision de position au fil des
manipulations, liée à l’usure du plâtre autour des tiges de
repositionnement ;
– il est difficile de paralléliser « à l’œil » les différents pins entre
eux et, dans des reconstructions plurales, il sera nécessaire
d’utiliser des systèmes paralléliseurs (Fixatort de Herbst,
positionneur Oxy automatic pin settert d’Oxydental par
exemple) ;
– la stabilité des dowel-pins est parfois aléatoire lors de la coulée
de l’empreinte et la vibration du plâtre. positionnée sur l’empreinte remplie de plâtre de façon à englober
Les dowel-pins bifides avec gaines plastiques ou métalliques et les les têtes des pins. Après durcissement, la partie en plâtre est
systèmes à aiguille minimisent certains de ces inconvénients. désolidarisée du socle, régularisée à la détoureuse (Rutext), remise
en place et les MPU sont séparés à la scie (fig 7 à 12).
Système Zeizert [13, 14, 20, 27] : si l’empreinte est coulée classiquement, le
socle est constitué d’une plaque de Plexiglast qui sera perforée au
niveau des préparations grâce à un appareil de forage, pour mettre – Avantages : cette méthode donne un résultat très précis car le
en place les pins avec leurs gaines métalliques (fig 6). La plaque est Plexiglast est un matériau non soumis aux variations volumétriques
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15 Coulée de l’empreinte
double mélange.
comme les matériaux de réplique (fig 13, 14) et aux aléas de
préparation. Il est homogène car fabriqué industriellement et, de
plus, il est facile à percer et à scier.
– Inconvénients : le matériel nécessaire et le socle lui-même
augmentent le prix de revient de chaque modèle.
Ces deux techniques avant coulée impliquent une mise en œuvre au
laboratoire ce qui nécessite soit que celui-ci soit très proche du
cabinet du praticien, soit que l’empreinte soit réalisée avec des
matériaux présentant une certaine stabilité dans le temps.
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25 Après le fractionne-
ment des modèles positifs
unitaires.
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Axe 0˚
1 *
A
*
B *
C
28 Détourage d’un modèle positif unitaire [10].
A. MPU avant préparation.
B. Détourage correct.
C. Détourage incorrect, la gorge étant réalisée juste au-dessous de la ligne
de finition.
RC
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