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Cabinet Laboratoire

Place du paralléliseur
dans la conception
des prothèses amovibles partielles
Point de vue du praticien
A. BRAUD, S. ESCURE
Chirurgiens-dentistes

A quoi sert le paralléliseur


en PAPIM ?

P
Comment l’utiliser au cabinet lusieurs études cliniques ont
dentaire ? souligné le fort taux d’échec
Comment mener la phase (17) et les effets délétères
de réalisation prothétique des réhabilitations par pro-
sur les modèles de travail ? thèse amovible partielle à
infrastructure métallique (PAPIM) sur
les dents supportant un crochet ou un
attachement (4, 20). Les dents sup-
ports sont d’une part soumises à des
contraintes mécaniques dont l’intensité
et la direction varient selon la forme
des crochets (5, 11, 12). Elles présen-
tent d’autre part une forte susceptibilité
à l’accumulation de plaque, à la colo-

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1a b

nisation bactérienne et aux problèmes • un examen intra-arcade à l’aide du paral-


Fig. 1 a. Axe d’insertion,
parodontaux (6, 19, 24). Leur pronostic léliseur, permettant de déterminer un axe
ligne guide et point de
rétention maximale. semble donc conditionné par la concep- d’insertion optimal à partir duquel seront
b. Le bras rétentif du tion prothétique. définies la situation de la ligne de plus
crochet se déforme au La difficulté majeure de la PAPIM est de grand contour et les zones de dépouille
passage de la ligne guide concilier la demande du patient (manger, et de contre-dépouille dentaires et ostéo-
(position 2). parler, sourire, communiquer, être confor- muqueuses. Cet examen permet aussi de
table) et les impératifs prothétiques du poser d’indication des corrections dentai-
praticien (triade de Housset et protection res et/ou muqueuses nécessaires au pro-
des structures restantes). Le praticien doit jet prothétique.
avoir une gestion rationnelle de la com- Une fois le projet prothétique adopté, les
plexité de la situation clinique afin d’obte- corrections réalisées sur le plâtre sont
nir une conception prothétique optimale. reportées en bouche et enregistrées.
C’est pourquoi il ne doit pas déléguer au À cette étape, seul le paralléliseur permet
prothésiste dentaire l’analyse des modè- de reporter sur les modèles de travail l’axe
les au paralléliseur et le tracé du châssis d’insertion optimal choisi, la ligne guide et
(14). le point de rétention maximale. Ces indi-
ces sont indispensables pour positionner
Pourquoi le paralléliseur les éléments rigides du châssis et l’extré-
est-il incontournable mité rétentive des crochets au niveau des
lors de la conception dents support (fig. 1) de telle sorte que les
prothétique ? contraintes exercées au niveau des dents
En théorie, la conception d’une PAPIM supports de crochet par le bras rétentif
doit permettre de répondre à des impé- lors de l’insertion et de la désinsertion
ratifs mécaniques (rétention, sustentation soient compensées par l’action récipro-
et la stabilisation), biologiques (préserva- que du bras de stabilisation.
tion des tissus de soutien), et esthétiques Après contrôle, le tracé de châssis défini-
(restauration et intégration esthétique). tif et les modèles de travail peuvent enfin
Pour ce faire, l’analyse d’un cas comporte : être envoyés au prothésiste dentaire pour
• un examen clinique et radiologique qui la réalisation du châssis.
fournit les indices dento-muqueux : l’état
des structures dentaires et parodontales, Comment utiliser
les tissus paraprothétiques, la dépressibi- le paralléliseur
lité tissulaire, au cabinet dentaire ?
• un examen interarcades à l’aide d’un Le paralléliseur est constitué d’un socle
montage des modèles d’étude sur articu- sur lequel repose un plateau support de
lateur, permettant une analyse occlusale, modèle orientable dans les trois dimen-
une étude du plan d’occlusion et de la sions de l’espace et d’une potence ver-
dimension verticale, ticale (fig. 2a). Celle-ci présente un bras

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2a c

Fig. 2 a. Eléments du
paralléliseur.
b. De gauche à droite :
tige d’analyse, jauges
de retrait (0.75, 0.5 et
0.25mm), instrument
à sculpter, mine graphite
et mine rouge.
c. La tige d’analyse est
mise au contact des
surfaces dentaires et
ostéomuqueuses.
d e
d et e Recherche de
à double articulation horizontale, main- en compte pour déterminer l’axe d’inser- l’axe d’insertion par
tenant un porte-instrument vertical pour tion optimal : inclinaisons du plateau.
fixer la tige d’analyse, les jauges de retrait, • les zones de retrait sont constituées
les mines de graphite (fig. 2b). par les surfaces des dents situées sous
la ligne guide entrant en contact avec l’ex-
Phase diagnostic sur les modèles trémité élastique du crochet. Elles parti-
d’étude cipent à la rétention prothétique (2). Ces
Recherche d’un axe d’insertion zones sont analysées grâce à l’évaluation
optimal de l’angle cervical de convergence avec
Le modèle d’étude est d’abord positionné la tige d’analyse, et à la mesure du retrait
et fixé sur le plateau. L’analyse débute en horizontal avec les jauges de retrait cali-
orientant le modèle de manière à ce que brées à 0,25 mm, 0,5 mm et 0,75 mm ;
l’axe d’insertion initial soit perpendiculaire • les surfaces de guidage entrent en
au plan d’occlusion. La tige d’analyse est contact avec les éléments rigides de la pro-
ensuite déplacée le long des surfaces en thèse lors de l’insertion et de la désinser-
plâtre qui seront au contact de la prothèse tion. Elles participent à la stabilisation de
(fig. 2b). Plusieurs paramètres sont pris la prothèse (1, 3), et assurent la protection
des structures dentaires et parodontales

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Plastie amélaire simple (17). L’orientation de ces surfaces par


rapport à l’axe d’insertion est objecti-
vée à l’aide de la tige d’analyse ;
• les interférences sont les éléments
susceptibles de gêner l’insertion et/
ou la désinsertion de la prothèse.
Elles sont visualisées à l’aide de la tige
3a d’analyse. Au niveau dentaire, celles-ci
peuvent être des éléments coronaires
(dent linguo-versée interférant avec
Plastie amélaire simple
le châssis) ou radiculaires (profil radi-
culaire interférant avec les crochets à
jonction vestibulaire). Au niveau ostéo-
muqueux, les tori peuvent interférer
avec les selles ou l’armature prothéti-
Reconstitution fixe que ;
• le choix de l’axe d’insertion doit
aussi prendre en compte l’impact
esthétique de la prothèse (visibilité
Orthodontie
des crochets et intégration des dents
prothétiques à la composition dentaire)
ainsi que la facilité de mise en place de
la prothèse par le patient.
b Indication des aménagements
tissulaires
Plastie amélaire simple Si l’axe d’insertion initialement choisi
ne satisfait pas à ces impératifs, le pra-
ticien peut soit réorienter le plateau et
modifier la position du modèle sur le
paralléliseur afin de tester un autre axe
d’insertion (fig. 2d et e), soit modifier
la morphologie des tissus de soutien
et des dents sur les modèles d’étude
(fig. 3 et 4) par soustraction ou addi-
4a
tion (céroplastie prospective).
La détermination de l’axe d’insertion
Elongation coronaire optimal doit privilégier :
• le déplacement de la ligne guide en
direction cervicale, pour réduire l’em-
brasure gingivale, faciliter le nettoyage
des zones proximales, limiter les ris-

Reconstitution fixe
Fig. 3 a. Gestion des surfaces de
guidage : déplacement de la ligne
guide par améloplastie.
b. Gestion des interférences.
Fig. 4 Gestion des zones de retrait.
a. Approfondissement de la zone de
retrait.
b. Augmentation de la hauteur de la
zone de retrait.
b

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5a b

c d e

f g h

ques d’interférence entre le châssis et les • la modification de la profondeur des Fig. 5 Séquence
dents antagonistes, assurer la réciprocité zones de retrait pour augmenter la réten- clinique dans un cas
d’action du bras de stabilisation, et enfin tion de la prothèse, et les aménagements d’édentement encastré
diminuer la visibilité des crochets ; de la hauteur des zones de retrait contri- antérieur.
• l’aménagement de larges surfaces de buant à la protection de la gencive margi- a. Situation initiale.
guidage parallèles à l’axe d’insertion au nale (fig. 4). b. Prévisualisation des
aménagements
niveau des surfaces linguales et proxima-
sur le modèle d’étude.
les des dents qui seront au contact des Phase de réalisation prothétique c-e Gestion des surfaces
éléments rigides de la prothèse permet- sur les modèles de travail de guidage.
tant de faciliter l’insertion prothétique, Réalisation des aménagements f-h Gestion
d’améliorer la stabilisation de la prothèse tissulaires des interférences.
et de diminuer les risques d’accumulation Les modifications de faible importance
de plaque à ce niveau ; prévisualisées sur le plâtre sont reportées

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6a b c

en bouche soit directement si l’axe d’in- cas d’une dent délabrée, en forte malpo-
Fig. 6 Visualisation et sertion choisi est facilement repérable, sition), les techniques indirectes seront
report de l’axe d’insertion
par exemple lorsqu’il est perpendiculaire privilégiées. L’axe d’insertion est reporté
en bouche à l’aide d’un
index en silicone. au plan d’occlusion (fig.  5), soit à l’aide sur le socle des modèles positifs unitaires
d’un index (fig. 6) placé sur les dents adja- à l’aide d’un index en résine ou en silicone.
centes (7) ou les crêtes édentées (8). Les Le contour et les fraisages des éléments
modifications morphologiques dentaires de prothèse fixée sont guidés par les
par soustraction peuvent être obtenues céroplasties prospectives réalisées sur les
en réalisant une simple préparation amé- modèles d’étude.
laire sur une profondeur allant de 2/10 Tracé de la ligne guide et report
mm à 5/10 mm (9, 13). Dans le cas de du point de rétention maximale de
modifications directes par adjonction, le chaque crochet
matériau de restauration doit présenter Une fois les aménagements tissulaires réa-
des propriétés mécaniques (résistance lisés, les modèles de travail sont confec-
à l’abrasion, propriétés de surface) adap- tionnés à partir des empreintes finales. Le
tées pour assurer la pérennité de la réten- praticien s’assure du repositionnement du
tion prothétique (10, 20,22). modèle de travail sur le plateau du paral-
Si les modifications concernent un volume léliseur grâce à un index en silicone ou
dentaire important par exemple dans le en résine permettant d’objectiver l’orien-
tation de l’axe d’insertion optimal choisi
(fig. 7). Cette étape permet de tracer la
ligne guide à l’aide d’une pointe graphite et
de positionner le point de rétention maxi-
male du bras rétentif de chaque crochet
auto-évaluation au niveau des dents support à l’aide des
jauges de retrait horizontal sur le modèle
1. L’analyse au paralléliseur fournit des renseignements concer- de travail (fig. 7). Les éléments rigides du
nant la situation de la ligne de plus grand contour ? châssis seront ainsi placés au-dessus de
n Vrai n Faux la ligne guide, tandis que seule l’extrémité
2. L’axe d’insertion est toujours perpendiculaire au plan d’occlu- rétentive des crochets est située dans une
sion ? n Vrai n Faux zone de contre-dépouille. À ce niveau, la
3. Les améloplasties réalisées en bouche découlent de l’analyse position du point de rétention maximale
prospective des modèles d’étude au paralléliseur ? est choisie en tenant compte du type de
n Vrai n Faux crochet, des traitements de surface (16)
4. Le prothésiste dentaire détermine seul la situation de l’extré- et de l’élasticité du matériau (21). Pour les
mité rétentive des crochets ? n Vrai n Faux alliages en cobalt chrome qui sont plus
5. La conception prothétique conditionne le pronostic des dents rigides que ceux en or, le retrait horizon-
support de crochet n Vrai n Faux tal le plus adapté est par exemple égal à
0,25 mm (23).

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7a b

Fig. 7 Report de
l’axe d’insertion sur
le modèle de travail.
a et b Modèle
d’étude : l’axe
d’insertion est
reporté sur le socle
(a), puis sur l’index
en silicone (b). c d
c-f Modèle
de travail : l’axe
d’insertion (c), la
ligne guide (d) et le
point de rétention
maximale (e) sont
reportés sur le
modèle de travail.
f. Relation entre la
ligne guide et le bras
rétentif du crochet.

e f

Conclusion
De nombreuses publications ont souligné la conception de ce type de restauration.
le caractère iatrogène des reconstitutions Développé au début du siècle dernier, le
amovibles partielles. Ces effets délétères paralléliseur se révèle un instrument indis-
découlent autant des conditions biolo- pensable en complément de l’examen cli-
giques (accumulation de plaque, inflam- nique pour analyser de manière objective
mation parodontale) que mécaniques les aménagements tissulaires indiqués
(contraintes transmises aux tissus de sou- avant la réalisation d’une PAPIM et fournir
tien) imputables à la conception prothéti- au prothésiste dentaire les informations
que. Face au fort taux d’échec observé en nécessaires pour la confection de la pro-
présence de PAP, il est de la responsabilité thèse.
du praticien de mettre en œuvre tous les
moyens à sa disposition pour rationaliser

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COORDONNéES des auteurs :


Adeline BRAUD, Stéphane ESCURE UFR d’Odontologie Paris Diderot, 5 rue Garancière 75006 Paris

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