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géométriques qui permettent favorables, la confection de
de modeliser les déplacements prothèse fixée unitaire ou de
mandibulaires ? prothèse amovible partielle de
Comment les articulateurs quelques dents ne nécessite
peuvent-ils simuler les pas l’utilisation d’un articulateur. Un
simple occluseur suffit. Mais lorsque les
déplacements dento-dentaires
prothèses deviennent plus importantes,
observés en bouche ? l’emploi de l’articulateur devient indispen-
Quel est le degré de précision sable. Celui-ci est un appareillage qui
des simulations réalisées permet, selon son degré de simulation ou
sur les articulateurs ? d'adaptation, la reproduction plus ou
Comment la programmation moins précise des mouvements mandibu-
améliore t-elle la fiabilité laires. Il se compose de deux parties
des articulateurs ? métalliques s'imbriquant l'une dans
l'autre. Il prend le nom d’Arcon quand les
Sécante
Axe charnière au mouvement
arbitraire de propulsion
Mouvement réel
du condyle en propulsion
1 2
Sécante au mouvement de
latéralité non travaillante
Plan
para-sagittal Plan para-sagittal
3 4
l’erreur dento dentaire réalisée. Pour trois plans de l’espace. L’un est sagittal Fig. 1 Erreur occlusale
rendre le calcul plus aisé, les valeurs pour les trajets de propulsion, l’autre est réalisée lors d’un montage
numériques choisies sont arbitraires et soit horizontal soit frontal pour les trajets sur articulateur en relation
arrondies. Elles s’approchent quand de latéralités. En effet, ces derniers sont centrée avec l’axe charniè-
re arbitraire comme
même de la réalité. plus complexes et se manifestent simul-
référence.
Soit r = 5 mm. qui représente la distance tanément dans ces deux derniers plans.
Fig. 2 Schéma de la pente
entre le véritable axe charnière du patient Propulsif
condylienne.
et sa situation arbitraire sur l’articulateur ; Dans le plan horizontal, à partir de la posi-
Fig. 3 Schéma de l’angle
d = 80 mm. situe approximativement la tion condylienne haute, les différents
de Bennett.
deuxième molaire par rapport à l’axe déplacements mandibulaires sont la
Fig. 4 Schéma du déplace-
charnière ; e = 1 mm. est l’épaisseur de propulsion et les latéralités droite et
ment latéral immédiat.
la cire de relation centrée. Quelle est gauche. En fonction de la véracité du
alors l’erreur réalisée Σ au niveau des transfert de leurs simulations, le type
contacts dentaires : d’articulateur utilisé est différent. Le
Σ = r*e = 5*1 = 5 = 1/16 mm. mouvement de propulsion s’effectue en
d 80 80 avant selon un trajet courbe. Pour le défi-
Cette valeur numérique négligeable auto- nir selon une angulation dans le plan
rise le montage de l’arc facial par rapport sagittal, une sécante au mouvement
à l’axe charnière arbitraire (8) (fig.1). propulsif du condyle est tracée. Celle-ci
fait un angle avec le plan de référence
Les différents angles axio-orbitaire (P.A.O.) appelé pente
Sur un articulateur, la matérialisation des condylienne (P.C.) (fig. 2).
différents déplacements condyliens dans Diductifs
l’espace se conçoit globalement dans les Lors d’un mouvement de latéralité, le
côté vers lequel se déplace la mandibule est indispensable de les raisonner mathé-
est nommé travaillant, le côté contro laté- matiquement dans l’espace. Ce
ral est appelé non travaillant. Le condyle raisonnement passe donc par la schéma-
travaillant tourne sur lui-même ou se tisation géométrique de la cinématique
déplace latéralement vers l’extérieur dento-dentaire qui permet de comprendre
GLOSSAIRE dans toutes les directions de l’espace la suprématie de l’un ou de l’autre des
selon une figure géométrique plus ou déterminants antérieurs et/ou posté-
AILE DE BENNETT : n.f. Pièce
moins conoïde encore dénommée rieurs. Les schémas représentent donc
du boîtier condylien d’un arti-
“cône de Guichet”. Cet angle travaillant les condyles dans leurs cavités glé-
culateur permettant de régler
la trajectoire médiane de la
n’est programmé que sur certains types noïdes, les incisives centrales maxillaires
sphère condylienne. Ang : d’articulateurs adaptables. En revanche, et mandibulaires en coupe sagittale, les
Bennett’s winglet. la latéralité non travaillante intéresse tous canines maxillaires et mandibulaires en
ANALYSE OCCLUSALE : n.f. les types d’articulateurs. Le condyle non coupe frontale, les deuxièmes molaires
Examen méthodique de l’oc- travaillant effectue soit un mouvement maxillaires et mandibulaires dont les
clusion et des rapports dirigé en bas et en dedans, associant cuspides vestibulo distales sont situées à
inter-arcades, dans les diffé- rotation et translation, soit une translation mi-distance des dents antérieures et des
rentes positions mandibulaires, immédiate en dedans suivie du déplace- condyles mandibulaires. Cette situation,
ainsi que les positions condy- ment précédent. Cette dernière obser- qui leur permet de subir l'influence égale
liennes induites par ces vation se rencontre le plus souvent sur des condyles et des dents antérieures,
rapports. L’analyse occlusale une personne âgée (2, 15). Dans le facilite les calculs numériques. Pour que
se fait en général sur des premier cas, il est possible de définir un les valeurs soient des chiffres entiers, le
moulages montés sur articula- angle, ou angle de Bennett (β), construit plan et la courbe d’occlusion font un
teur. Ang : occlusal analysis. par une sécante au mouvement latéral angle arrondi à 10° par rapport au plan
ANGLE DE FISHER : n.m. non travaillant et un plan para sagittal axio orbitaire (8, 27).
Projection sur un plan sagittal condylien (fig. 3). Dans le deuxième cas, Quoique arbitraires, les valeurs numé-
de l’angle formé par la corde le déplacement latéral est apprécié par riques utilisées ont le mérite de
de la trajectoire du condyle une valeur numérique. Il est appelé dépla- matérialiser les rapports dento dentaires
orbitant avec un plan horizon-
cement latéral immédiat (d.l.i.) (fig. 4). dans l’espace. En chiffrant les différents
tal, pendant la propulsion et la
Cette capacité à reproduire ce déplace- paramètres intervenant sur la cinéma-
médiopulsion. Du nom d’un
ment différencie le type d’articulateurs tique mandibulaire, la visualisation
praticien allemand (1877-
de première ou de seconde génération. géométrique y gagne en pédagogie et
1959). Ang : Fisher’s angle.
ARC FACIAL DE LOCALISA-
facilite la compréhension. Ces valeurs
TION : n.m. Dispositif permet- LA MÉCANIQUE MANDIBULAIRE angulaires s’approchent néanmoins d’une
tant de repérer les points cuta- Le fonctionnement harmonieux des certaine réalité clinique en se référant
nés d'émergence de l'axe déterminants postérieurs condyliens et aux différentes moyennes définies par
charnière. Ang : Face bow. des déterminants antérieurs dentaires Slavicek sur près de 6000 coupes
ARC FACIAL DE TRANSFERT : génère des rapports dento dentaires dentaires (38).
n.m. Dispositif destiné à repé- favorables dans les différentes excur-
rer et à transférer la position sions mandibulaires. Les déterminants La propulsion
de l'arcade maxillaire sur un dentaires antérieurs sont représentés par Prise en charge de la propulsion par les
articulateur, par rapport à l'axe la pente incisive et la pente canine. Elles incisives maxillaires
bicondylien et à un plan de sont schématisées par des angles Dans le plan sagittal, les valeurs numé-
référence le plus souvent axio- formés, pour la première dans le plan riques des différents déterminants
orbitaire. Ang : Face bow. sagittal et pour la seconde dans le plan agissant sur les rapports dento dentaires
ARCON : adj. Contraction de frontal. Ceux-ci sont construits, par lors de la propulsion sont de 50° pour la
l'anglais «articulator» et rapport au plan de référence axio-orbitai- pente condylienne (P.C.), de 60° pour
«condyle». Qualifie un articula- re, par la sécante du trajet de leurs points celle de l'incisive maxillaire (P.i.), le plan
teur dont les sphères de contact en intercuspidation maximale d'occlusion (W) faisant un angle de 10°
condyliennes sont solidaires avec leurs antagonistes mandibulaires avec le plan axio-orbitaire. Ces valeurs
de la branche inférieure. Non
jusqu’à leurs positions en bout à bout (18, numériques déterminent l’angle d’ap-
arcon ou Anti arcon qualifie par
21, 24, 25, 26, 39). proche sagittal (A.a.s.) au niveau des
opposition un articulateur
Afin de percevoir l’importance des diffé- deuxièmes molaires et sont comparées à
dont les sphères condyliennes
rents paramètres déterminant la la valeur éventuelle de la pente cuspi-
sont solidaires de la branche
cinématique mandibulaire et condition- dienne anatomique sagittale (P.c.s.).
supérieure. Ang : arcon.
nant donc les rapports dento dentaires, il L’angle d’approche sagittal (A.a.s.) au
Parallèle au plan
axio-orbitaire
Courbe
d'occlusion
Semi adaptables
Ces articulateurs s'animent selon des
10 11 sécantes aux mouvements de propulsion
et de latéralités sans prendre en compte
la courbure de ces mouvements. Ils ne
reproduisent pas complètement le dépla-
cement condylien mais s'en approchent.
D’où leur dénomination de semi-adap-
tables.
A l’époque de la vulgarisation des articu-
lateurs, il était classique d’en distinguer
deux classes en fonction de leur capacité
de programmation du déplacement non
travaillant. Ils étaient nommés de premiè-
12 13 re génération ou de seconde génération.
Ceux de première génération ne permet-
taient que la programmation de l’angle de
Ajustés Bennett, tandis que ceux de seconde
Fig. 10 Boîtier condylien
de l’articulateur Quick. Ces articulateurs présentent des boîtiers génération prenaient en compte le dépla-
condyliens dont les différentes angula- cement latéral immédiat. Quel que soit le
Fig. 11 Articulateur Quick
Master. tions sont usinées selon des moyennes type d’articulateur, la pente condylienne se
statistiques. Il n’est donc pas possible programmait de la même façon. Les arti-
Fig. 12 Micromètre du
Quick Axis en action. d’intervenir sur leurs réglages ni d’en culateurs semi-adaptables actuels peuvent
modifier leur forme. Ces articulateurs, de être utilisés indifféremment selon les deux
Fig. 13 Boîtier condylien
du Quick Master. type arcon, sont utilisés pour des techniques de simulation. L’exemple fran-
analyses occlusales et préprothétiques çais en est le Quick Master dont la
rapides ou la réalisation de prothèses configuration des boîtiers condyliens
postérieures amovibles ou fixées de permet le réglage de la pente condylienne
faible étendue quand le guidage antérieur et celui de l'angle de Bennett et/ou du
est efficace. L’articulateur le plus caracté- déplacement latéral immédiat à l’aide
ristique de cette absence de réglage est d’ailes de Bennett interchangeables recti-
une ancienne mécanique encore utilisée lignes ou courbes (7,22).
dans les laboratoires de prothèse. Il s’agit
du Quick de la maison F.A.G. dont la Avant l’apparition du Quick Master (fig.
pente condylienne est fixée à 40° et 11), la seule technique de programmation
l'angle de Bennett à 15° (fig. 10). des boîtiers condyliens de l'articulateur
Les plus récents articulateurs ajustés semi-adaptable était celle des enregistre-
présentent un réglage standard et l'autre ments intra-buccaux tranférés sur les
variable. En effet, la pente condylienne modèles en plâtre préalablement montés
est fixe, seul l’angulation ou le déplace- sur l’articulateur semi-adaptable. La
ment non travaillant sont programmables. conception du Quick Master impose l’en-
Ces articulateurs sont nommés les Quick registrement extra buccal des déterminants
lab de la maison F.A.G. Il en existe deux postérieurs à l’aide du Quick Axis. Celui-ci
sortes le Quick lab 40 et le Quick lab 25. est un axiographe qui enregistre la ciné-
Leurs pentes condyliennes sont fixées matique condylienne sur des drapeaux
respectivement à 40° et à 25° tout en para condyliens d’un côté puis de l’autre.
ayant la possibilité de programmer leur La lecture mathématique des tracés en
15
16b
Fig. 21 L’occlusion balan- fine est une nécessité. Sinon son emploi celle de leurs sécantes (programmées
cée en prothèse amovible est déraisonnable et l’articulateur semi sur l’articulateur semi-adaptable) n’est
complète vue du côté adaptable est, dans ce cas, l’articulateur pas programmée, l’angulation de départ
droit. privilégié. est fausse. La conception de l’occlusion
a en propulsion. balancée est approximative.
b en latéralité travaillante. INCIDENCE CLINIQUE L’âge des patients totalement édentés
c en latéralité non tra- L’occlusion balancée est en général conséquent. Le maintien
vaillante. Le concept occluso prothétique de l’oc- ligamentaire s’affaiblit et l’usure tempo-
clusion balancée est privilégié dans le relle des articulations temporo-
montage des dents du commerce en mandibulaires, se manifestant par un
prothèse amovible complète et dans aplatissement des condyles mandibulaire
certains cas d’édentement en prothèse et temporal, provoquent des déplace-
amovible partielle afin d’assurer la stabili- ments condyliens latéraux de plusieurs
té des bases prothétiques. Il consiste à millimètres. Ceci entraîne un déplace-
obtenir le plus grand nombre de contacts ment travaillant important. Il est donc
dento dentaires dans toutes les excur- nécessaire, dans ce contexte de l’occlu-
sions mandibulaires. Il faut donc obtenir sion balancée, d’en connaître l’angulation.
un enregistrement précis de la cinéma- Si l’on tient compte de cette remarque,
tique mandibulaire afin que ces contacts seule la technique pantographique
dento dentaires constants dans toutes répond à la conception académique de
les positions de la mandibule soient en l’occlusion balancée. En effet, si le dépla-
harmonie avec les contacts articulaires cement travaillant du patient a une
condyles-disques et cavités glénoïdes certaine amplitude se manifestant vers le
reflétant ces mêmes situations (1, 4, 14, haut ou vers le bas, les contacts prothé-
32, 33, 35). (fig. 21a, b, c) tiques dento dentaires excursifs
En prothèse amovible complète, il n’exis- postérieurs construits sur un articulateur
te aucune référence dentaire, seules les semi-adaptable, dont le déplacement de
références articulaires sont présentes. la boule condylienne est purement laté-
Cette particularité nécessite l’emploi d’un ral, ne correspondront pas à la réalité
articulateur programmé, reproduisant clinique (8).
avec justesse la cinématique mandibulai- Or, l’enregistrement tant pantographique
re. Il serait donc logique d’employer un qu’axiographique n’est pas aisé chez le
articulateur totalement adaptable. D’autant sujet édenté. Les impératifs écono-
que lors des déplacements mandibulaires miques freinent également l’achat de tels
physiologiques, seuls sont utilisés les appareillages. L’utilisation de l’articulateur
débuts de mouvements ou fin du mouve- adaptable est alors négligée dans la
ment mandibulaire centripète lors du conception des prothèses amovibles
cycle de mastication qui n’atteignent complètes au profit de l’articulateur semi
jamais les limites des articulations adaptable. Mais, pour les mêmes raisons
temporo mandibulaires. Si la courbure de techniques exposées précédemment, la
ces débuts de mouvements (program- programmation de ses boîtiers condy-
mée sur l’articulateur adaptable) liens n’est pas réalisée. Un compromis
présentant une angulation différente de acceptable consiste à employer quand
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