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Déterminants thérapeutiques :

Patient : apparence esthétique mais elle est dépendante de la résistance de la restau qui elle-même est
dépendante de sa fonction

Pour lui phoito essentielle + art + céphalo


Relations MM (3 items)

- Plan d’occlusion prothétique : dans le cas des reconstitutions prothétiques simples réalisées sur
occluseur.
- Plan axio orbitaire : c’est la réf dans la majorité des articulateurs. L’Arc facial permet de faciliter le
transfert du modèle supérieur en le situant par rapport au PAO. L’arc facial est obligatoire quand il
monte en art sinon risque de pb de cinématique.
La table de montage est seulement utilisable quand on veut utiliser l’articulateur comme un
occluseur (un simulateur est impératif pour toute réalisation prothétique)

La référence est pas toujours les yeux mais la perpendiculaire à l’axe de


symétrie du visage global comme Fradeani donc on doit adapter l’arc
Enregistrer l’occlusion c’est choisir, enregistrer une position de réf pour la simuler
Relation intermaxillaire de référence : physiologique, reproductible, indépendante du traitement.
Il n’existe que deux positions mandibulaire répondant à ces critères : l’O.I.M et la Relation Centrée
 Avec un 0 et plan de réf on peut commencer à discuter de la construction

Il dit merde à l’OIM de déglutition et au TENS


Il utilise
jamais
Dawson, il
préfère
éduquer le
patient, et si
difficultés, il
utilise un
BOA pour

déprogrammer :
Relation centrée myostabilisée (selon JD.Orthlieb) :
-demander au patient d’effectuer des mouvements d’ouverture et de fermeture tout en stabilisant sa tête
;
- le patient doit identifier le premier contact, une fois ce contact retrouvé à chaque manipulation
(reproductible) on passe à l’enregistrement de la RC.
1 -OIM : comme position de référence et position thérapeutique si la situation initiale est stable (dans les
cas simples avec le calage et le centrage conservés et les ATM stables).
2- RC : comme position de référence dans le cas où :
- le calage, centrage et/ ou le guidage sont perturbés.
- OIM pathogène et ATM instable.
- Si on envisage une éventuelle augmentation de la DV,
- l’équilibration préprothétique est envisageable.
 Dans ce cas-là le choix de la position thérapeutique est fait selon la situation du cas clinique :
 Nouvelle OIM en RC.
 Nouvelle OIM en antéposition.
 OIM de convenance.

Ici OIM thérapeutique les implants doivent être en occlu sans différentiel avec les autres dents donc il
complète l’occlusion avec de la résine déposée sur la Duralay solidarisée sur les transferts

Ici il a besoin de l’articulateur pour la dynamique et l’esthétique


DVO augmentée = RC
OIM de convenance si par exemple équilibration occlusale impossible donc c’est un compromis pour
éviter une correction invasive

« Moins il y a de dents plus l’équilibration est simple car plus on va pencher vers la RC ». Iic il a juste eu à
faire une équilibration pré-prothétique des dents résiduelles en RC

Ici il équilibre ces trois dents en RC et comme ça il pourra tout reconstruire en RC


Perte de DV = Perte de calage postérieur
+ perte de support antérieur
On peut jouer avec la DV selon des
critères esthétiques et foncionnels, la H
prothétique et la relations des dents
antérieures.
C’est la C Spee qui détermine la répartition de l’espace inter-arcade
Ici il doit garder la DV car il a pas de surplomb

Relations occlusales
La situation du groupe incisivo-canin mandibulaire constitue la première pierre de l’édifice dentaire
(Dawson), 1ère étape de la construction dentaire (starting point for the occlusal scheme) pour
plusieurs raisons :
- ensemble compact, simple à modeler en wax-up (morphologie homogène avec peu de variations
d’inclinaison/ position, impact esthétique modéré car faible visibilité, guidage simple car ce travail
est réalisé par le bord libre et contraintes occlusales homogènes)
- guidant la stabilité occlusale, l’esthétique et l’espace dispo sur l’arcade mand;
- Il présente de faibles variations céphalométriques  réf fiable de positionnement
- Support labial indispensable pour l’analmyse des dents ant max
- Suit la nature (premières dents définitives qui apparaissent

L’axe de l’Orthogonalité : l’axe de la dent antérieure mandibulaire est


perpendiculaire à ligne qui rejoint le condyle et le bord libre de la dent
c’est-à-dire 90° (+/-5° si CII ou CIII) par rapport à l’axe de fermeture
(critère très stable selon les études céphalométriques)

Sur l’articulateur c’est facile de transférer cet axe pour réaliser le


montage des dents antérieures mandibulaires

Une fois le groupe incisivo-canin


mandibulaire en place, les
critères de positionnement du groupe incisivo-canin maxillaire sont fondés sur des références esthétiques
largement décrites.
• Différencier l’aspect esthétique concernant la face vestibulaire de ces dents, de la fonction de guidage
concernant la face linguale.
• C’est uniquement la face vestibulaire qui est définie à ce stade (aspect esthétique).

Situation du groupe antérieur maxillaire


Elle permet la distribution du PO dans l’espace prothétique résiduel. Le PO est dominé par la morphologie
mandibulaire et il permet :
- d’axialiser les contraintes occlusales (explique dérive mésiale des arcades).
- de favoriser le rapprochement des tables occlusales sans interférences grâce à un espace de
mastication homogène entre les dents

Détermination du POP:
- Utiliser une Téléradiographie (TLR).
- Choix du rayon de courbure est lié à la morphologie mandibulaire (rapport entre la hauteur de la
branche montante et la longueur mandibulaire) et des mesures réalisées à l’aide d’une TLR et
d’une table de correspondance ;
- positionner le gabarit du rayon désiré entre canine mandibulaire et l’axe charnière pour guider la
réalisation du WU pour les dents postérieures.
- + PO est horizontal  + courbe Spee marquée

Camper pas // au PO
Avant de déterminer schéma occlusal post, la position de réf, la DV et la position des dents ant doivent
être définies
C Spee va donner l’inclinaison du PO. Cette courbe joint les têtes condyliennes D et G (points postérieurs)
aux bords incisifs des dents ant mandibulaires (point antérieur) même si la définition de la C Spee ne
l’inclut pas. La limite de la H prothétique postérieur est définie par les contours des molaires et l’os
alvéolaire. On place un film contenant des cercles de différents rayons (30-180mm) sur la céphalo du
patient et le praticien choisit le meilleur cercle qui passe par les points antérieurs et postérieurs et permet
la meilleure distribution de l’espace prothétique postérieur. Le cercle est placé entre l’axe charnière de
l’articulateur et la canine mand pour que le labo puisse faire le wax-up (comme cela l’axe charnière, les
dents post, et les canines sont dans le même plan sagittal vertical

Quel est le problème du drapeau de Broadrick ?


Les points de réf de construction : dents et centre du cercle ne sont pas sur le même plan sagittal et c’est
difficile pour le labo d’utiliser un compas pour positionner les cuspides durant la réalisation du WU au
labo.
Après avoir défini le plan d’occlusion : l’idéal c’est d’avoir un guidage fonctionnel.
1 -Guidage fonctionnel :
Avec un angle de liberté fonctionnel de 10° entre les incisives maxillaires et mandibulaires.
• Quelle valeur pour la pente de guidage ?
- Prédominance antérieure: pas d’interférence postérieure,
- liberté de translation : pas d’interférence antérieure
- Il faut adapter la pente aux déterminants postérieurs afin d’avoir une faible désocclusion
postérieure en diduction
2- Concordance fonctionnelle A.T.M / guidage :
pente canine = pente condylienne (moyenne = 50°, reflet de
la morpho du tubercule articulaire), Symétrie de guidage.
3- Harmonie de guidage:
- pente canine = pente incisive -10° (60°,
Prédominance sensorielle des incisives par
conséquent)
- Reproduire les crêtes permet de reproduire le
guidage.
-
Si on a décidé la position des BI mand
Point cervical et BI sont des critères esthétiques.
Attention régler des pentes sur provi = easy mais pas sur des cérams donc demander des biscuits

Finition des pentes cuspidiennes :

Le choix de la fonction canine ou groupe influence l’inclinaison des dents (pentes


cuspidiennes et courbe de wilson).
Le but du guidage = Désocclusion postérieure minimale et symétrique
 la fonction groupe : sera un choix par défaut de fonction canine faisable ou
fiable la moins étendue possible. Permet de répartir les charges, stimuler le parodonte et protéger
l’ATM. Mais on augmente la surface de frottement et les charges excentrées avec risque de créer
des interférences occlusales
 la fonction canine : physiologique (ou du moins caractère pathogène non démontré), simple à
obtenir, peu de risque de créer des interférences.

Courbe de Wilson :
-c’est le reflet de l’axe des dents.
L’insert de Wilson permet de reconstruire la courbe de Wilson: reconstruire la
cuspide linguale des dents mandibulaire sur l articulateur.
On utilise le gabarit de la courbe de spee pour le montage des cuspides linguales des
dents mandibulaires en respectant la courbe de Wilson
F groupe ne veut pas dire répartition des charges

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