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Le succès d’un traitement est déterminé

par l’alignement de la ligne médiane si


elle est bien alignée entre les 2 incisives
sup et les 2 incisives inferieurs. Si elle
n’est pas alignée le traitement a échoué.

Canine en rotation, elle est entre incisive


centrale et latérale, il faut faire une
chirurgie de traction dentaire pour la
rendre à sa place normale

Chez L’adulte :
• La demande de traitement chez l’adulte est en constante augmentation, cette augmentation est
notamment liée aux progrès techniques des appareillages qui sont de plus en plus esthétiques et
confortables : les brackets (braces) céramiques, l’orthodontie lingual Incognito ou les gouttières
transparentes Invisalign (si cas simple).

L’adulte se caractérise par l'absence de croissance, l'absence de certaines dents, la présence de


restaurations prothétiques, d'atteintes gingivales ce qui rendent les traitements parfois plus
complexes.

Les indications seront :


• Améliorer l’esthétique. • Obtenir une occlusion fonctionnelle.
• Assurer la pérénité ‫ استدامة‬du système dentaire. • Contribuer à la réalisation prothétique. ‫اصطناعيه‬
• Chez certains patients présentant des décalages squelettiques importants (classe 2 ou 3),
l’orthodontie pourra alors être associée à une chirurgie des mâchoires
Chevauchement
Extraction de la prémolaire pour que la canine descend
et prend sa place

Res. Final

La Contention : (étape transitoire mais indispensable se fait à la fin du traitement)


Sinon on perd le résultat car les ligaments ont des récepteurs de mémoire biraj3ouhon mtl ma
keno. Il faut mettre la contention 3-6 mois le temps que l’os passe de l’immature en mature

• La phase de contention ou stabilisation est une étape indispensable du traitement orthodontique


car les dents ont tendance à retrouver leur place initiale (récidive). La contention doit permettre :
la stabilisation des dents pendant la réorganisation tissulaire et les phénomènes de croissance. La
contention doit être immédiate, prolongée et chaque fois que possible fixée
On distingue :
• les fils collés sur la face interne
des dents
• les appareils amovibles à porter
12h/24h (gouttières, plaques
palatines...)

Traitement de Classe -1

(A) Fille de 14 ans présentant des dents hors de l’arcade dentaire et un manque d’espace important.
(B) Après les corrections orthodontiques, l’engrenage des dents est fonctionnel et esthétique.
(C) Les dents chevauchées ont été logées dans l’arcade sans avoir recours à des extractions.
(D) Correction de l’encombrement dentaire à l’arcade inferieure
Traitement de Classe 2-1

12 mm d’écart entre les dents (overjet)


Les corrections ont été faites pendant
la période de croissance sans aucune
extraction

Traitement de Classe 2-2

Deep bite corrigée

Traitement de Classe 3

ligne mediane not 100%

Relation entre Orthodontie et Orthophonie (imp)


• L’écran oral : pour contrer la langue et les habitudes de doigts
• L’écran oral est un appareil fixé à la mâchoire
supérieure qui est utilisé pour des enfants qui
ont l’habitude de sucer leur pouce (crée béance)
ou d’autres doigts ou chez qui la langue exerce
une pression excessive sur les dents antérieures.
L’appareil a pour but de tenter d’éliminer ces
habitudes qui affectent la position des dents.

• Pour être efficace, cet appareil doit demeurer en bouche en tout temps. Il est donc fixé aux
dents et l’enfant ne peut l’enlever.
• L’écran oral a pour but de limiter des forces qui agissent sur les dents antérieures et qui peuvent
les déplacer ou les maintenir dans une position anormale.
• L’adaptation initiale peut causer certains problèmes de prononciation mais, après quelque temps
et un peu de pratique, l’enfant parlera presque aussi bien que s’il n’avait pas d’appareil.
• L’enfant peut très bien manger avec l’appareil et le nettoyage ne requiert qu’une légère
modification de la technique de brossage.
• L’appareil doit être porté pour une période pouvant varier de 6 à 9 mois en moyenne. • Certains
réfèrent à cet appareil comme un “piège” ou une “trappe” à langue
Correction de la déglutition primaire.
• Pour assurer la stabilité du traitement : qui passe obligatoirement par un équilibre
neuromusculaire compatible avec la position des dents. Les dents sont placées dans un couloir
neutre où les forces musculaires antagonistes s’annulent au repos et en fonction : leur position
dépend donc du déplacement et de l’équilibre de ces forces. Pour obtenir que la déglutition
s’effectue : sans appui lingual sur les dents ; sans participation des muscles faciaux ; mâchoires
pratiquement serrées.
• Correction Par la rééducation : Rééducation par l’orthophoniste : prise de conscience de la langue,
de sa position et de l’occlusion dentaire. Elle nécessite la coopération du patient. Elle sera contre-
indiquée si la maturation psychoaffective est insuffisante ou retardée.
• Création d’un réflexe conditionné à la gêne ou à un obstacle : pique langue, grille anti-langue,
guide langue, perle ou bille, enveloppe linguale nocturne, etc.…
Chronologie
• Rééducation avant traitement orthodontique ou d’Orthopédie Dento-Faciale (ODF)
L’orthophonie ne sera pas mise en œuvre avant l’éruption des incisives permanentes (entre 1-8
ans) sous peine d’un risque de récidive important. Il faudra aussi tenir compte du degré de maturité
de l’enfant.
• Rééducation pendant le traitement ODF La plupart des appareils ODF ne permettent pas
d’entreprendre une rééducation par leur seule présence en bouche. Il faudra profiter des périodes
de surveillance après une phase d’interception pour l’effectuer. En revanche, certains dispositifs
peuvent être considérés comme de véritables rééducateurs myo-fonctionnels (ex : enveloppe
linguale nocturne).
• Rééducation après traitement ODF Elle est entreprise afin de minimiser les risques de récidive
une fois que l’environnement dento-alvéolaire est replacé dans des conditions favorables. Quoi
qu’il en soit, la rééducation nécessite en général 12 séances qui ont pour but d’obtenir un
mouvement de langue efficace assurant un joint langue-palais et non plus langue-lèvres. La
coopération du jeune patient est indispensable.
• Les critères de succès des traitements orthodontiques exigent qu’un équilibre fonctionnel et
musculaire soit respecté ou établi. La rééducation de la déglutition primaire sera donc nécessaire
à la correction des anomalies dento-squelettiques ainsi qu’à la stabilité des résultats.
• L’âge idéal de début de la rééducation de la déglutition et de la phonation est de 8 à 12 ans.
• Bouvet affirme que la rééducation ne peut être entreprise qu’après la correction mécanique de
certaines malocclusions : une béance importante, un over jet marqué ou un mauvais engrènement
risque de gêner la réalisation des exercices.
Dernier chap : TRAITEMENT ORTHOGNATIQUE DE LA MALOCLUSION
• La chirurgie orthognatique, activité spécifique du service de chirurgie maxillo-faciale,
correspond (étymologiquement) à rendre les os (Arcade) maxillaire supérieur et de la mâchoire
"droits".
• Son but ultime est de rendre au patient un positionnement normal des dents en intervenant sur
l’os des maxillaires.
• La réalisation de l’acte chirurgical résulte :
- d’une nécessité d’intervention
- d’une préparation orthodontique préalable (port de bagues et d’appareil)
- du concours éclairé et motivé du patient

L’HARMONIE DE LA FACE ET DES DENTS (critères nécessaires pour travailler)


• L’harmonie d’un visage est le fruit d’une perception subjective d’un ensemble de structures
musculaires, cutanées et cartilagineuses sous tendues par les os de la face et les dents.
• Ces structures sont éminemment variables selon les individus (sexe, hérédité, appartenance
ethnique etc…).
De face :
divisé en 3 parties mnl front ll rmoush (etage sup), mnl rmoush la
base du nez (moyen) mn base du nez ll menton (etage inf) si ces 3
parties sont egales =>harmonie=symetrie de face, sinon long face
syndrome wej mtawal

• Les commissures labiales (jonction entre les levres) sont alignées


avec le bord interne de l’iris.
• Les ailes du nez sont alignées avec l’angle interne des yeux.
• Les étages supérieurs (front) moyens (maxillaire supérieur) et
inférieurs (mâchoire) constituent 1/3 chacun de la hauteur totale de
la face
De profil :
• Les lèvres et le menton sont inscrits entre deux lignes verticales
théoriques tracées selon des repères cutanés précis.

Les dents :
• Les dents du maxillaire supérieur recouvrent en tout point celles
de la mâchoire (maxillaire inférieur ).
• Les molaires du bas sont décalées d’une demi couronne vers l’avant par rapport à celles du haut.
(classe 1)
• La couronne des
canines du bas se situe
dans l’espace situé entre
la canine et l’incisive
latérale du haut.

• Les incisives du haut recouvrent celles du bas sur environ 2 à 3 mm.


• L’espace entre les 2 incisives centrales du haut et du bas est aligné.
L’os :
• L’équilibre osseux est au mieux apprécié par la réalisation d’une radiographie spéciale du crâne
et de la face (téléradiographie) qui permet de procéder à une ANALYSE.
• Le but est de définir, et construire, des
points et des angles (tracés sur la
radiographie) qui permettent de montrer la
position "normale" et théorique du
maxillaire supérieur, de la mâchoire, du
menton et des dents.

• Les analyses pratiquées par l’orthodontiste


diffèrent de celles effectuées par le
chirurgien maxillo facial. Les premières
sont plus orientées vers les malpositions
dentaires alors que les secondes vers les
malpositions osseuses.

Intérêt pratique de l’analyse :


• Elle permet, en indiquant la position " idéale " des os de la face, et de certains points dentaires :
• De comprendre les raisons de la malposition des dents et des os de la face et éventuellement d’en
donner les causes.
• De planifier l’opération chirurgicale à venir en indiquant la position " idéale " des os et des dents
après intervention
• Pour compléter cette analyse, il faut rechercher d’autres facteurs qu’anatomiques qui, lorsqu’ils
sont pathologiques, peuvent entraîner une déformation osseuse et une malposition dentaire. Il est
nécessaire de les dépister afin de les traiter et ainsi obtenir un résultat post opératoire STABLE.
Ces facteurs se résument comme suit :
• La déglutition anormale (langue mal placée).
• La phonation pathologique (parler par le nez.
• la respiration buccale (par la bouche).
• La présence de "dysfonctions" telles que : la succion du pouce ou d’une sucette
LE BUT DE LA CHIRURGIE ORTHOGNATIQUE
• Il s’agit de restaurer une bonne position des dents. Pour cela, le chirurgien maxillo-facial peut
modifier la position de l’ensemble des dents du haut (maxillaire supérieur) ou du bas (mâchoire)
dans les 3 plans de l’espace.
Cette modification anatomique entraîne, outre le repositionnement des dents, un changement
de la morphologie du visage (les tissus mous s’y attachant), qui doit être pris en compte lors de
la planification du type d’opération
Il peut être évalué par les analyses radiologiques et l’examen clinique pré opératoire. Cependant
on s’attache à respecter les caractéristiques personnelles de chaque visage.
Il n’existe PAS UNE SEULE SOLUTION dictée par la seule analyse radiographique. Chaque
patient est différent et le chirurgien prend en compte les nombreux facteurs cliniques, dentaires,
morphologiques et psychologiques
LES ETAPES DE LA PRISE EN CHARGE
• A. La consultation chirurgicale
• Le patient est vu soit à sa propre demande, soit par l’intermédiaire d’un orthodontiste, dentiste
ou médecin généraliste.
• Les problèmes rencontrées par le patient sont notées.
L’examen clinique :
• Evalue et classe le trouble de l’occlusion dentaire (quelle classe)
• Examine l’état de la dentition, la phonation, la déglutition, la respiration.
• Permet la réalisation de photographies, sous des angles standardisés, de la face et des dents.
• Recherche la présence des para fonctions.
Les examens "para cliniques" :
• Réalisation de téléradiographies de face et de profil.
• Réalisation d’un panoramique dentaire.
• Réalisation éventuelle de radiographies du poignet afin d’évaluer "l’âge osseux" qui renseigne
quant au moment où il faudra réaliser le geste chirurgical.
Au terme de la consultation :
• Le diagnostic et la recherche de dysfonctions sont effectués, l’indication opératoire est précisée.
• Le chirurgien maxillo-facial envisage, en fonction de l’objectif thérapeutique, un geste
chirurgical qui visera à modifier la position dans l’espace de l’arcade dentaire.
Ce geste, expliqué au patient lors de la consultation, ne pourra cependant être effectué sans au
préalable: • Un traitement orthodontique.
• L’élimination des facteurs favorisant l’éventuelle récidive de la malposition.
• Un accord éclairé du patient (consultation psychologique).
• Des consultations régulières afin de mieux évaluer les demandes du patient et juger du moment
opportun de l’acte chirurgical.
Le traitement orthodontique
• Préparation indispensable à la réalisation de l’acte chirurgical, il est le garant de la réussite
optimale de ce dernier.
• S’étalant généralement sur quelques mois (10 à 24), il aura pour but de modifier la position des
dents afin d’obtenir, lorsque l’acte chirurgical sera réalisé, une position des dents aussi proche que
possible de l’idéal théorique.
• De multiples dispositifs intra buccaux (appareils à l’intérieur de la bouche) sont utilisés pour
tracter, impacter ou faire sortir une ou plusieurs dents (le but c’est d’aligner les dents, le
chirurgien corrige l’occlusion). Cette capacité de mobilisation des dents est fournie par la très
grande plasticité de l’os de soutien de la dent : l’os alvéolaire (os sur lequel l’intervention
chirurgicale ne portera pas).
• Il est IMPERATIF de garder l’appareillage orthodontique jusqu’à l’intervention chirurgicale et
au-delà.
• Le chirurgien, en fonction du plan de traitement opératoire, demande à l’orthodontiste
d’intervenir AVANT l’opération chirurgicale de façon à préparer au mieux la future position des
dents.
• Cette modification pré opératoire entraîne pour le patient une gène transitoire puisque les dents
ne se "toucheront" correctement qu’APRES la chirurgie. Il est parfois nécessaire, dans le cadre du
traitement, de procéder à l’extraction de certaines dents ( dents de sagesse ou pré molaires).
• Le suivi de l’évolution de la modification du positionnement des dents est évalué de façon
régulière par la confection de moulages des arcades dentaires qui seront le moyen, pour chirurgien
et l’orthodontiste, d'apprécier le travail effectué et de juger du moment de l’acte chirurgical

occluseur qui simule l’occlusion


Elimination des facteurs de récidive
• Corriger les dysfonctions est un impératif de stabilité orthodontique et osseux dans le temps.
• Le bilan pré opératoire est fait au moindre doute par nos collègues kinésithérapeutes spécialisés
de la face ou orthophonistes.
• En cas de nécessité, le traitement devra être impérativement poursuivi en post opératoire et
pourra concerner la langue, la respiration ou la phonation. Une vraie collaboration du patient
permet d’aboutir à de bons résultats.
Donc si malocclusion sévère : d’abord il faut la traiter car parfois la position des dents empêche
de faire la myothérapie fonctionnelles=> on commence traitement orthodontique, puis traitement
orthophonique puis chirurgie orthog. puis on continue trait. orthoden et orthophonique, on ne
termine pas le trait. Avant que le patient dispose de toute les parafonctions pour ne pas avoir des
récidives.
LES TECHNIQUES CHIRURGICALES
• Pour les dents du haut : l’intervention est appelée "Le Fort.«
• Pour les dents du bas : l’intervention est appelée "Epker« .
• Pour le menton : l’intervention est appelée "génioplastie."
INTERVENTION DE LE FORT (MAXILLAIRE SUPERIEUR) DEPLACEMENT DS 3
PLAN DE L’ESPACE
• Elle permet de replacer toute l’arcade dentaire du haut (maxillaire supérieur) dans les trois plans
de l’espace (en avant, en arrière, en haut et en bas).
Les risques (principaux et non exhaustifs) :
• Section d’une racine dentaire. • Hémorragie pendant l’intervention. • Fracture maxillaire. •
Diminution transitoire de la sensibilité de la muqueuse de la joue
INTERVENTION D’EPKER (MACHOIRE)
• Elle permet de mobiliser la totalité de l’arcade dentaire du bas (celle de la mâchoire ou
mandibule) en la désolidarisant de la partie verticale de la mâchoire qui porte l’articulation avec
le crâne.
Conséquence de l’acte chirurgical
• Possible diminution transitoire de la sensibilité de la lèvre inférieure (si on touche le nerf dentaire
qui se ramifie et se dirige vers les levres) : Lésion du nerf dentaire inférieur.
• Lésion du nerf lingual. • Perception au toucher d’une petite encoche (joura btnwejed bs nshil l
os) (quelques millimètres) au niveau de l’angle de la mâchoire.

Mtloub n3ref l indication ll chirurgie msh kif btsir

Trauma du chapiter 2 not required

Iza ija l3ana patient 3ndo hek cas shu mn3melo (so2al exam)

20 Qcm, schema avec qcm, fehem

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