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7.3.1. Graines
8
a. P ( X = 5 ) = 0,85 0,23 ≈ 0,147 .
5
8 8
b. P ( X ≥ 7 ) = 0,87 0,21 + 0,88 0,20 ≈ 0,503 .
7
8
2. a. P ( germe et pas détruite ) = 0,8 × 0,5 = 0,4 .
10
P ( X = 3 ) = 0,6230,387 ≈ 0,033 .
3
7.3.3.Urnes
3 × 3 + 4 × 2 + 4 × 3 29
1. Pour avoir X + Y ≥ 8 il faut avoir 2 et 6 ou 4 et 5 ou 4 et 6, soit = .
8×6 48
29 29
2. Z suit B 10, : E ( Z ) = 10 × ≈6 .
48 48
1
1. B 9, ; 2/3 de 9 = 6 ; P ( X ≥ 6 ) = 1 − P ( X ≤ 5 ) ≈ 0,254 en utilisant la calculatrice (inutile de faire ces
2
calculs compliqués à la main…)
1
2. X= nombre de noires tirées ; B 6, ; P ( X = 2 ) ≈ 0,329 .
3
1
3. X = nombre de « 6 » obtenus ; B 5, ; P ( X ≥ 2 ) = 1 − P ( X ≤ 1 ) ≈ 0,196 .
6
1
4. X = nombre de filles dans la famille ; B n, ;
2
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2m k 2 m− k 2m
2m 1 1 2m 1
Si n est pair, n = 2m et on cherche P ( X > m ) = ∑ k
k= m+1
2 2
= ∑ k
k=m+1
2m ; on peut tracer la
2
courbe des probas en fonction de n :
U=Séquence[(n,1-Binomiale[n,0.5,floor(n/2),True]),n,0,100]
Si n est impair c’est semblable, sauf que ça semble constant et valoir 1/2 : ce qui semble normal (réfléchissez)…
4 4
5. Avec 4 parties on a B ( 4, p ) et P ( X ≥ 3 ) = p3 ( 1 − p ) + p 4 = 4 p3 ( 1 − p ) + p4 = 4 p3 − 3 p4 ;
3
4
avec 8 parties on a B ( 8, p ) et
= p5 56 ( 1 − p ) + 28 p ( 1 − p ) + 8 p2 ( 1 − p ) + p3 = p5 56 − 140 p + 120 p2 − 35 p3 .
3 2
n n− k n−( n− k ) n n− k n n
6. b ( n − k, n, 1 − p ) = ( 1 − p ) p = ( 1 − p ) p k = b ( n, p, k ) car = : propriété de
n− k k n− k k
symétrie des coefficients binomiaux.
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n−1
7. R ( p ) = P ( X > 1 ) = 1 − P ( X = 0 ) + P ( X = 1 ) = 1 − ( 1 − p ) − np ( 1 − p )
n
, soit avec n = 10 :
R( p ) = P ( X > 1 ) = 1 − ( 1 − p ) − 10 p ( 1 − p ) .
10 9
7.4.1.Rhésus
1. a. 0,45
b. 0,45 × 0,2 = 0,09 .
c. 0,4 × 0,18 + 0,1 × 0,19 + 0,05 × 0,17 + 0,45 × 0,2 = 0,1895 .
2. a. X suit B ( 5 ; 0,09 ) .
b. E ( X ) = 5 × 0,09 = 0,45 .
1. a. 0,25.
b. 0,155
2. a. X suit B ( 20 ; 0,845 ) . E ( X ) = 20 × 0,845 = 16,9 .
b. P ( X ≥ 4 ) = 1 − P ( X ≤ 3 ) = 1 − 1,22 × 10 −11 ≈ 1 .
7.4.3. Rangements
Le nombre total de possibilités de rangement est n!
1. Supposons que A est en premier, B est derrière, il reste ( n − 2 ) ! répartitions possibles. Comme A peut être
placé n’importe où dans la file avec B derrière lui, il y a ( n − 1 ) places possibles pour A et donc la probabilité
( n − 1 )! 1 2
= d’avoir A suivi de B ; c’est pareil pour B suivi de A, soit la probabilité finale .
n! n n
2. Même raisonnement ; au pire B est en dernier et A r places devant ; on peut placer A de n − r manières, la
( n − r )( n − 2 ) ! 2 ( n − r )
probabilité finale est alors 2 = .
n! n( n − 1 )
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2 2
7 4 7 23
3. Loi binomiale : n = 4 , p = ; il en gagne 2 avec la probabilité ≈ 0,192 .
30 2 30 30
n
7 23
4. Loi binomiale : n quelconque, p = ; P( X ≥ 1) = 1 − P ( X = 0 ) = 1 − ; on a alors à résoudre
30 30
n n
23 23
P( X ≥ 1) ≥ 0,99 ⇔ 1 − ≥ 0,99 ⇔ ≤ 0,01 d’où n = 18 à la machine.
30 30
Partie B
23 7
1. a. X prend les valeurs −1 et 4 ; P ( X = −1 ) = P ( P ) = , P( X = 4 ) = P( G ) = .
30 30
23 7 5 1
E( X ) = − +4 = = .
30 30 30 6
b. L’organisateur ne semble pas très matheux…
1 5 n 1 5+n
2. Il faut recalculer P ( G ) = P ( B ) × P ( dé < 6 ) + P ( N ) × P ( dé = 6 ) = × + × = d’où
n+1 6 n+1 6 6( n+1 )
5+n 5+n − ( 6 n + 6 − 5 − n ) + 20 + 4n − n + 19
E ( X ) = −1 × 1 − + 4 × 6 ( n + 1 ) = =
6 ( n+1) 6( n+1 ) 6( n+1 )
qui sera positif lorsque n ≤ 19 .
7.4.6. Tulipes
1. b. P( F ∩ R) = 0,8 × 0,5 = 0,4 .
c. P( F ∩ B) = 0,8 × 0,1 = 0,08 .
2. a. Le succès est obtenir une fleur Rouge, il y a n = 5 épreuves, il y a k succès : p = P( F ∩ R) = 0,4 .
b.
R
0,5
B
F 0,1
0,4
0,8
J
F
0,2
5 5
P( X = 0) = (0,4)0 × (0,6)5 = 0,07776, P( X = 1) = (0,4)1 × (0,6)4 = 0,2592,
0
1
5 5
P( X = 2) = (0,4)2 × (0,6)3 = 0,3456, P( X = 3) = (0,4)3 × (0,6)2 = 0,2304,
2
3
5 5
P( X = 4) = (0,4)4 × (0,6)1 = 0,0768, P( X = 5) = (0,4)5 × (0,6)0 = 0,01024.
4
5
X = xi 0 1 2 3 4 5
P (X = xi) 0,0776 0,2592 0,3456 0,2304 0,0768 0,01024
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5
E( X ) = ∑p ×x = 2.
i =1
i i
n
3. On répète n fois l'expérience et on n'a obtenu aucune fleur blanche : Pn ( X = 0) = (0,08)0 × (0,92)n = 0,92n .
0
4. Le contraire de « au moins une fleur blanche » est « aucune fleur blanche » : cette probabilité est donc
19 19 1
p = 1 − pn = 1 − 0, 92n . Il faut donc que 1 − 0,92n ≥ ⇔ 0,92n ≤ 1 − ⇔ 0,92n ≤ , soit n ≥ 36 à la machine.
20 20 20
On doit donc planter au minimum 36 fleurs pour avoir une probabilité supérieure à 19/20 d'obtenir une fleur
Blanche.
7.4.8. Parties de ping-pong
Lucie ou Gilles gagnent si ils remportent au moins a parties.
Soient Ln et Gn les variables aléatoires égales au nombre de parties gagnées par Lucie et Gilles : Lucie gagne si
Ln ≥ a ou Gn ≤ a .
La distribution de Gn est une loi binomiale B ( n, 1 − p ) = B ( n, q ) et
n n n
P ( Gn ≤ a ) = P ( Gn = 0 ) + P ( Gn = 1 ) + ... + P ( Gn = a ) = q0 pn + q1 pn−1 + ... + qa pn− a .
0
1
a
n a P ( Gn ≤ a ) Probabilité que Lucie gagne
1 0 p 0,6
3 1 p3 + 3 qp2 0,648
5 2 p5 + 5 qp4 + 10 q2 p3 0,683
13 6 … 0,771
45 22 … 0,913
On voit que plus le nombre de parties augmente plus Lucie est sûre de gagner… Par contre avec relativement
peu de parties les chances de Gilles de gagner sont loin d’être négligeables : par exemple 25% de chances sur 11
parties, c’est la « glorieuse incertitude du sport » !
7.4.10. Sécurité des transmissions
1. a. Il y a deux possibilités pour chaque chiffre, soit 24=16.
1
b. X peut prendre les valeurs 0, 1, 2, 3 ou 4. La loi de X est une loi binomiale B 4, . Son espérance est
2
1
np = 4. = 2 .
2
2. P ( En ) = 32 × 10 −3 .
3
a. P ( E 4 ) = 1 − ∑P( E
n=0
n ) = 1 − 4 × 32 × 10−3 ≈ 0,872 .
b. Si E0 s’est produit, l’imprimante n’a marqué que des 0, il fallait donc que l’appareil envoie la séquence 0000 :
1 1
P0 ( C ) = . On en déduit P ( C ∩ E0 ) = E0 ( C ) × P ( E0 ) = × 0,032 = 0,002 .
16 16
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c. On résume les résultats dans un tableau.
n Séquences correctes Pn ( C ) P ( C ∩ En )
1
0 0000 0,002
16
2
1 0000, 1000 0,004
16
4
2 0000, 1000, 0100, 1100 0,008
16
16
4 0000, …., 1111 0,872
16
4
P( C ) = ∑P( C ∩ E
n=0
n ) = 0,002 + 0,004 + 0,008 + 0,016 + 0,872 = 0,902 .
P ( C ∩ E2 ) 0,008
d. On cherche = ≈ 0,0089 .
P( C ) 0,902
P( X ≤ 2) = ( 1 − p )
38
(
(1 − p)2 + 40 p(1 − p) + 780 p2 = ( 1 − p )38 1 − 2 p + p2 + 40 p − 40 p2 + 780 p2
)
= (1− p)
38
( 1 + 38 p + 741p ) . 2
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f ′( x) = −38 ( 1 − x )
37
( 741x 2
)
+ 38 x + 1 + ( 1 − x )
38
( 1482 x + 38 )
= (1− x ) −28158 x2 − 1444 x − 38 + 1482 x + 38 − 1482 x 2 − 38 x = −29640 x2 ( 1 − x )37 .
37
f’ est bien négative sur [0 ; 1]. Comme f (0) = 1 et f (1) = 0 , il existe un unique réel x0 appartenant à l’intervalle
[0 ; 1] tel que f (x0) = 0,01.
19 20
A la calculette on a f (0,19) ≈ 0, 0116 et f (0, 20) ≈ 0,0079 d’où < x0 < et n = 19.
100 100
c. En fait on cherche P( X ≥ 3) = 1 − P( X < 3) = 1 − P( X ≤ 2) et on veut que cette probabilité soit supérieure à
0,99, soit que 1 − P( X ≤ 2) ≥ 0,99 ⇔ − P( X ≤ 2) ≥ −0, 01 ⇔ P( X ≤ 2) ≤ 0, 01 d’où avec ce que l’on a fait
précédemment : p ≥ 0,19 . Pratiquement, cela signifie qu’il faut contrôler un passager sur 5 environ (et dans ce
cas le « gain » de Claude est de −400 €).
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