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FICHE N° 2

Economie territoriale et urbaine


DÉCEMBRE 2010

Les mécanismes
de l’investissement immobilier
L a s é r i e
« Economie territo-
riale et urbaine » a
pour but de faire
connaître, de diffu-
ser et de discuter L’investissement immobilier est un phénomène économique majeur de ces vingt dernières
des méthodes uti- années. Il témoigne de la financiarisation de l’économie qui affecte les marchés des logements, des
les pour la réalisa- locaux d’activité, des bureaux et des commerces. Cette contribution d’Ingrid Nappi-Choulet,
tion de diagnostics
professeur à l’école supérieure des sciences économiques et commerciales (ESSEC) met en
économiques de
territoires. évidence les logiques d’acteurs, leur comportement d’investissement et leurs conséquences sur les
différents marchés immobiliers. En France, les acteurs présentés se concentrent aujourd’hui
Elle est destinée à davantage sur l’immobilier d’entreprise que sur le secteur résidentiel et considèrent les biens
l’ensemble des immobiliers comme des actifs financiers. La description des types de comportements adoptés par
personnes dont le les investisseurs met en évidence des stratégies de court et de long terme qu’il convient d’intégrer
métier nécessite la dans l’observation des marchés immobiliers des grandes agglomérations.
connaissance des
dynamiques éco-
nomiques territo-
riales.

L’investisseur immobilier peut être une personne physique ou une personne morale. Dans ce der-
nier cas, on fait référence aux investisseurs institutionnels (une compagnie d’assurances, une cais-
se de retraites par exemple), à des sociétés foncières cotées ou non - dont l’objet est d’être pro-
priétaire et de gérer un patrimoine immobilier locatif - enfin à des véhicules spécifiques d’investis-
sement immobilier, réglementés ou non. Ces acteurs investissent directement et/ou indirectement
dans l’immobilier.

Types d’investisseurs et d’investissements immobiliers en France

Certu 2010/79

(Source : I.Nappi-Choulet, « L’immobilier d’entreprise, analyse économique des marchés », Economica, 2010)

Certu – Série « Economie territoriale et urbaine » - Décembre 2010 1 Fiche n° 2 - Les mécanismes de l’investissement immobilier
Si l’investissement direct constitue la manière cules d’investissement à sous-jacent immobi-
traditionnelle d’investir sur les marchés immo- lier non cotés, à capital ouvert ou fermé, à hori-
biliers, avec des immeubles détenus physique- zon d’investissement généralement fini. Leur
ment, seuls ou en copropriété, les grands in- patrimoine est constitué, exclusivement ou
vestisseurs investissent de plus en plus indi- principalement selon les cas, d’actifs immobi-
rectement dans l’immobilier. On parle alors liers locatifs qu’ils ont acquis en direct
d’investissement « pierre-papier ». Il peut s’agir (logements, commerces, bureaux, etc.). Ces
d’acquérir des titres et actions de sociétés fon- fonds d’investissements peuvent être consti-
cières cotées (SIIC principalement) sur un mar- tués sous forme d’entités réglementées
ché réglementé dont les dividendes sont es- (société civile de placement immobilier, orga-
sentiellement constitués de revenus locatifs et nisme de placement collectif en immobilier,
d’appréciation en capital des actifs immobiliers principalement en France) ou non réglemen-
sous-jacents. Cela peut également concerner tées.
l’acquisition de parts de structures ou de véhi-
La globalisation des acteurs : de l’ap-
Le volume de l'immobilier d'investissement proche patrimoniale à l’approche finan-
en France depuis 10 ans cière
Entre 1997 et 2007, les investissements im-
mobiliers en France dus à des institutionnels Depuis ces vingt dernières années, le dévelop-
et acteurs financiers sont allés en augmentant pement considérable des marchés financiers
(de 2 milliards d'€ en 1996 à 30 milliards d’€ dans l’économie mondiale en relation avec la
en 2007) et étaient principalement le fait d'in- déréglementation des mouvements de capi-
vestisseurs étrangers (allemands et améri-
taux internationaux a accentué la financiarisa-
cains).
En France, les SIIC représentent une capitali- tion des économies. Parallèlement, le secteur
sation boursière de l'ordre de 53 milliards d'€ immobilier s’est également financiarisé : les
en 2008, d'après les données publiées par volumes des investissements immobiliers di-
l'Autorité des Marchés Financiers (AMF) et rects et indirects ont explosé dans le monde.
elles gèrent un patrimoine de 108 milliards Entre 2003 et 2007, avant la crise financière, le
d'€. Leurs investissements immobiliers s'éle-
vaient à près de 7,7 milliards d'€ en 2007 volume d’investissement immobilier annuel
(dont 4,92 milliards pour les bureaux). Au passe dans le monde de 42 000 milliards de
total, l'ensemble des actifs détenus par des dollars à plus de 202 000 milliards de dollars,
personnes morales et des grands institution- dont 43 % réalisés en Europe – soit un accrois-
nels s'élève à 209 milliards d'euros en France sement de plus de 400 % – d’après Money into
en 2008 (source : IEIF d'après données IPD et
CBRE, Le patrimoine immobilier des grands Property 2009, DTZ Research (cartographie
investisseurs, mai 2010). des transactions immobilières).

Rendement global immobilier annualisé sur 12 ans (1998-2010)

Source : IPD France

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La financiarisation de l’immobilier marque nouveaux investisseurs privilégient essentielle-
un phénomène nouveau affecté momenta- ment le secteur des bureaux, des locaux d’acti-
nément par la crise financière internationale vité, des plates formes logistiques, des hôtels
actuelle et le retournement de la plupart des et centres commerciaux, au détriment du sec-
marchés immobiliers en Europe et en Fran- teur résidentiel qui échappe, notamment en
ce. Après une explosion des engagements France, à cette nouvelle approche. Dans ce
immobiliers et des valeurs locatives et vénales contexte de recherche de plus-values, et de
sur les grands marchés européens, les indica- recentrage sur des actifs immobiliers d’entre-
teurs témoignent aujourd’hui d’une contraction prise, la plupart des grandes foncières de loge-
des marchés immobiliers locatifs et des mar- ments, telle que Gecina ou SFL, se désenga-
chés d’investissement. gent de leur patrimoine résidentiel dont les ren-
dements locatifs et globaux sont nettement
C’est l’arrivée soudaine et massive des fonds inférieurs à ceux de l’immobilier d’entreprise.
d’investissement nord-américains à partir de
1996 au moment de la crise immobilière, ac- Les immeubles ne sont plus analysés sous
compagnés par leurs banques d’affaires anglo- l’angle patrimonial comme des produits ou des
saxonnes, qui marque les profonds change- actifs réels dont l’adresse peut être prestigieu-
ments du secteur de l’immobilier en France. En se, mais sont considérés essentiellement com-
devenant les plus importants investisseurs sur me des actifs semblables aux actifs financiers,
le marché, avec près des deux tiers des inves- rapportant des revenus locatifs récurrents ainsi
tissements étrangers sur le sol français et près qu’une plus-value à la revente. Les flux de re-
de la moitié de l’ensemble des investissements venus récurrents ou cash flows locatifs, sont la
dans l’immobilier en France, ces nouveaux base même de l’analyse de l’investissement
acteurs immobiliers bouleversent les méthodes immobilier et de l’évolution de ses performan-
d’investissement en Europe en introduisant de ces. Avec la financiarisation de l’immobilier, les
nouvelles techniques et indicateurs financiers. critères de décision de l’investissement se font
Qualifiés d’investisseurs opportunistes, ils mo- suivant un calcul financier dépendant des flux
difient les stratégies d’investissement en adop- en utilisant notamment deux principaux outils
tant une stratégie exclusivement financière financiers de base que sont la valeur actuelle
contra-cyclique, qui consiste à investir en bas nette (VAN) et le taux de rendement interne
de cycle lorsque les prix sont au plus bas et les (TRI).
marchés immobiliers dépressifs, pour revendre
les actifs immobiliers en haut de cycle quand La VAN représente l’enrichissement net
les prix augmentent afin de maximiser la plus pour l’investisseur qui découlerait de l’ac-
value immobilière. quisition d’un actif. Elle permet de comparer
et de déterminer la différence entre les flux de
Cette nouvelle approche financière des ac- revenus futurs que procure l’investissement
tifs immobiliers amène la plupart des inves- immobilier et le montant initial de l’investisse-
tisseurs internationaux à utiliser et à appli- ment. Les flux de revenus futurs sont actuali-
quer aux actifs immobiliers des outils finan- sés au coût moyen du capital généré par l’in-
ciers spécifiques issus du monde de la fi- vestissement et ce afin de prendre en compte
nance. D’une approche patrimoniale, on passe le temps et le risque associé à l’incertitude.
dans un moment de gestion de la crise immo- Dans sa prise de décision, l’investisseur choisi-
bilière des années quatre-vingt-dix, à une ap- ra d’investir dans l’actif immobilier qui aura la
proche financière de l’immobilier. La valeur VAN la plus élevée. Inversement, une VAN
intrinsèque de l’immeuble est délaissée au pro- négative entraîne un rejet du projet d’investis-
fit de ses propriétés financières et de la nature sement.
du montage financier de l’opération, dans un
contexte de surcroit de crédit abondant. Les

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Le TRI est quant à lui la valeur qui annule On distingue ainsi deux grandes familles d’in-
la VAN. En d’autres termes, il représente le vestisseurs : d’une part, des investisseurs dits
taux d’actualisation pour lequel la valeur opportunistes qui recherchent un TRI (taux de
actualisée des flux de revenus locatifs fu- rendement interne) élevé et supérieur en
turs d’un investissement est égale à la va- moyenne à 10-15 %, d’autre part, des investis-
leur actualisée du flux initial d’investisse- seurs dits patrimoniaux pour lesquels le TRI
ment. Plus le TRI est élevé, plus le projet est inférieur à 10-15 %. On parle dans ce der-
d’investissement est rentable pour l’investis- nier cas d’investisseurs core, core plus, ou
seur. Ce TRI peut également être calculé sur value added.
fonds propres, en tenant compte de l’effet de
levier de la dette, afin de déterminer si la ren- Chaque type d’investisseur se caractérise par
tabilité attendue par les actionnaires est at- une demande de risque liée à une attente de
teinte et si l’investissement peut être engagé. rendement locatif et de performance. Certains
d’entre eux recherchent un rendement régu-
À ces nouveaux outils, s’ajoute un nouveau lier, au détriment d’une plus-value à terme.
vocabulaire immobilier anglo-saxon importé D’autres au contraire n’ont pas besoin de dis-
du monde de la finance tel que data room, tribuer de rendement et privilégient des gains
due diligence, loan to value ou covenant. et plus-values en capital importants. L’arbitra-
ge se fait en général entre un rendement régu-
lier et un rendement total appelé TRI, qui
Une nouvelle typologie d’investisseurs prend en compte la plus-value totale sur la
période d’investissement.
Il existe plusieurs stratégies d’investissement
dans l’immobilier. Il est courant d’établir une Les investisseurs « Core »
typologie des investisseurs immobiliers qui
prenne en compte à la fois le degré d’endet- Les investisseurs core représentent les inves-
tement de l’investisseur, ainsi que les objec- tisseurs qui recherchent un rendement régu-
tifs de rendement et notamment le couple lier, souvent dans un objectif de redistribution
rentabilité-risque associé à l’investissement. des cash-flows récurrents générés par les ac-
tifs immobiliers.

Typologies des stratégies d’investissement immobilier

Source : Inrev

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Ces investisseurs ont une très forte aver- travaux de bâtiment. Ils interviennent également
sion au risque locatif, et en particulier au sur des opérations de promotion ou de développe-
risque de vacance locative des immeubles ment immobiliers. Les actifs recherchés sont en
qui entraine une baisse équivalente des reve- général plus risqués et moins chers que les actifs
nus pour l’investisseur et menace leur objectif core. Par conséquent, le rendement attendu est
de redistribution. Ces investisseurs, très sou- supérieur à celui d’un investisseur core de l’ordre
vent institutionnels, recherchent en priorité de 13 % à 20 %.
des actifs sécurisés avec des locataires sûrs
qui ont signé des baux fermes à long terme Cette catégorie d’investisseurs est surtout active
qui permettent d’assurer des revenus locatifs quand le cycle économique est dans sa phase
récurrents. haussière, c’est-à-dire quand les possibilités de
création de valeur sont les plus importantes. La
Les actifs privilégiés sont en conséquence durée de détention des actifs varie en fonction des
des actifs immobiliers peu risqués, dans des opportunités, en général entre 3 et 6 ans.
secteurs géographiques où la demande loca-
tive est soutenue pour des actifs immobiliers Les investisseurs opportunistes
de qualité offrant un niveau de prestation
technique satisfaisant recherché par les utili- À l’opposé, les investisseurs dits opportunistes
sateurs. Au sein de ce secteur, les actifs dits recherchent des actifs immobiliers à très forte
prime, c’est-à-dire des immeubles les mieux valeur ajoutée, par nature plus risqués et créa-
localisés avec les plus belles prestations teurs d’importantes plus-values, rendues possi-
techniques, sont privilégiés. Les actifs core bles par les inefficiences de marché ou par l’exis-
plus correspondent quant à eux à des actifs tence de niches (comme celles des créances dou-
immobiliers qui ont davantage vieilli et qui en teuses en 1996).
conséquence sont un peu plus risqués.
En France, ils sont représentés par des fonds d’in-
Ces investisseurs interviennent à moyen et vestissement appartenant notamment à des ban-
long terme tout au long des cycles immobi- ques d’affaires anglo-saxonnes (comme par exem-
liers. Les investissements sont financés sur ple les fonds Morgan Stanley Real Estate Funds)
longue période avec peu d’endettement, utili- surtout actifs au moment où le marché est au plus
sant un levier financier inférieur à 30 %, bien bas de son cycle. Leur stratégie consiste à analy-
souvent sur fonds propres. L’objectif est de ser le cycle immobilier, à acheter les immeubles en
préserver la valeur des actifs immobiliers en blanc, de les pré-louer, et ensuite de les revendre
encaissant principalement les revenus locatifs à des investisseurs core dits long terme, avec un
durant la détention des actifs avec un objectif rendement élevé. Les actifs sont acquis au plus
de redistribution. Cette stratégie patrimoniale bas de leur valeur et détenus à court terme, pério-
se retrouve généralement chez les investis- de nécessaire à la reprise des marchés et à la ré-
seurs institutionnels qui privilégient des mar- alisation des plus-values, mesurées par le rende-
chés immobiliers matures et sécures pour des ment en capital. L’objectif est la maximisation du
immeubles de qualité : immeubles de bureaux TRI (taux de rendement interne), très sensible à la
dans les quartiers centraux des affaires, com- durée de détention des actifs (plus la durée de dé-
merces de centre-ville, parcs technologiques. tention est courte, plus le TRI est optimisé).

Les investisseurs « Value Added » La gestion opportuniste est donc une gestion dy-
namique et active qui, combinée à l'utilisation de
Les investisseurs dits value added recher- levier financier pour accroître la performance (au-
chent des actifs immobiliers sur lesquels il delà de 60 % de levier) a pour objectif d'atteindre
est possible de créer ou de recréer de la un taux de rentabilité sur fonds propres de 18 % à
valeur, soit en renégociant les baux avec 20 % par an pour une période d'investissement en
les locataires soit en effectuant des petits moyenne de cinq ans.

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C’est en 1995-1996, que ces investisseurs fi- Glossaire :
nanciers opportunistes ont véritablement révo-
lutionné le marché de l’investissement notam-
société foncière : entreprise dont l'objet social
ment en immobilier d’entreprise par leur vision
consiste à acquérir, à gérer et à louer un parc
très financière de l’immobilier qui les a amenés immobilier. Elles peuvent être cotées en bourse
à définir de nouvelles stratégies. Leur produit (Gecina, Unibail-Rodamcco par exemple) ou non
phare est le bureau, mais ils n’hésitent pas à cotées (Poste-Immo par exemple).
investir dans d’autres types de produits
(entrepôts, centres commerciaux ou hôtels)
SIIC (Société d'Investissement Immobilier Co-
pour peu que les perspectives de création de tée) : société foncière cotée qui bénéficie du régi-
valeur existent. En acceptant des hauts ni- me de transparence fiscale, inspiré des REITs
veaux de risque, les investisseurs opportunis- (Real Estate Investment Trusts) nord-
tes peuvent investir dans des zones complète- américains.
Certu
Centre d’Études ment délaissées par les investisseurs tradition-
sur les réseaux, nels.
les transports, investisseurs institutionnels : Les investisseurs
l’urbanisme et institutionnels (compagnies d'assurances, cais-
les constructions Ingrid Nappi-Choulet, professeur à l’ESSEC ses de retraites, etc.) sont des organismes collec-
publiques teurs de l’épargne qui placent leurs fonds direc-
9, rue Juliette Récamier tement sur les marchés immobiliers ou finan-
69456 Lyon ciers pour leur compte propre ou celui de leurs
Cedex 06
Tél. : 04 72 74 58 00
clients (particuliers, fonds de pensions, etc.). Ils
Fax : 04 72 74 59 00 sont tenus institutionnellement de placer long
www.certu.fr terme une part importante de leurs ressources,
notamment directement dans des immeubles.

© Certu 2010
La reproduction actif sous-jacent : il s’agit dans notre cas d’actifs
totale ou partielle
immobiliers réels (physiques) sur lesquels un
du document doit
être soumise à
produit dérivé est porté dessus.
l'accord préalable
du Certu.
rendement locatif : ratio de performance immo-
Vos contacts au Certu bilière mesurant le rapport des revenus locatifs
Nicolas Gillio
procurés par un investissement immobilier.
Tél : 04-72-74-57-74
Fax : 04-72-74-59-10
URB.CERTU@developpe
ment-durable.gouv.fr Pour en savoir plus :

Nappi-Choulet Ingrid, Les mutations de l’immobilier : de la finance au développement durable,


Autrement, 2009, 303 pages.

Nappi-Choulet Ingrid, L’Immobilier d’Entreprise : analyse économique des marchés, Economica,


2010, 256 pages.

Éléments d'économie territoriale et urbaine. État de la connaissance, outils et débats, rapport


d'étude, Certu, novembre 2009.

Gillio Nicolas, L'immobilier d'entreprise, un outil de développement économique, Technicités, juin


2010.

Gillio Nicolas, Les activités économiques et la propriété foncière et immobilière, in Revue Études
Foncières, Adef/ADCF/ ACFCI/Certu, janvier-février 2011 (À paraître).

Voir également les travaux du Réseau national des observatoires de l'immobilier d'entreprise
(RNOIE) : www.rnoie.fr . Le réseau est animé par Christine Encinas (agence d'urbanisme de l'ag-
glomération toulousaine).

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