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EXERCICE

10-10

Un atelier fabrique cinq produits A, B, C, D, E.


Cet atelier est constitué de 10 machines automatiques, servies par des ouvriers travaillant en deux
équipes qui se succèdent, chacune pendant 45 semaines de 39 heures. Le taux de marche, rapport
du temps productif au temps de présence, est de 80 %. On peut ainsi produire, au maximum,
140 400 produits A ou 561 600 produits B ou 112 320 produits C ou 70 200 produits D ou
280 800 produits E.
En aval des machines, 20 ouvriers, travaillant chacun 39 heures pendant 45 semaines, effectuent
des tâches manuelles de contrôle et de conditionnement des produits. Le taux d’emploi, rapport
du temps de travail au temps de présence, est de 86 %, et les rendements horaires sont de 5 unités
pour le produit A, 10 pour le produit B, 16 pour le produit C, 8 pour le produit D et 2 pour le pro-
duit E.
Les charges de personnel et d’atelier sont considérées comme fixes sur l’exercice. Seul le coût des
matières consommées par l’atelier est proportionnel aux quantités produites.
L’étude des marchés amont et aval a donné les résultats suivants :

A B C D E
Prix de vente souhaitable (en euros) 200 150 240 300 350
Demande à servir obligatoirement (en nombre d'unités de produit) 40 000 20 000 12 000 20 000 10 000
Demande maximale (en nombre d'unités de produit) 60 000 30 000 25 000 40 000 20 000
Coût d'achat des matières consommées pour une unité de produit (en euros) 100 120 200 200 200

1- On se propose de déterminer un programme de production optimal.


a- Écrire la forme canonique du programme linéaire à résoudre et montrer qu’il peut
être simplifié.
b- Déterminer le programme optimal de production en utilisant la méthode du
simplexe.
c- Calculer la marge sur coût variable et le résultat correspondant obtenus à
l’optimum.

2- L’objectif de cette question est de retrouver, par une autre méthode, la solution
obtenue à la question 1-a-.
a- Montrer que n’importe quel programme de production respectant la capacité de
l’atelier (en heures-machines) et les contraintes de demandes est réalisable par la
main-d’œuvre.
b- En déduire le programme de production optimal en raisonnant sur les marges uni-
taires par heure-machine.

3- Quelle conclusion peut-on tirer de l’utilisation des facteurs de production à


l’optimum ?
[D’après concours.]
CORRIGÉ 1- Calculs préalables
10-10

• Potentiel d’activité de l’atelier en heures-machines (HM) :


10 ¥ 2 ¥ 45 ¥ 39 ¥ 0,80 = 28 080, il y a donc 28 080 HM disponibles.
• Potentiel d’activité du « contrôle-conditionnement » en heures de main-d’œuvre (HMO) :
20 ¥ 45 ¥ 39 ¥ 0,86 = 30 186, il y a donc 30 186 HMO disponibles.

• Temps consacré à la fabrication d’une unité de produit :


A B C D E
Heures-machines 28 080 = 0,2 28 080 = 0,05 28 080 = 0,25 28 080 = 0,4 28 080 = 0,1
(HM) 140 400 561 600 112 320 70 200 280 800
Heures de main- 1 = 0,2 1 = 0,1 1 = 0,0625 1 = 0,125 1 = 0,5
d’œuvre (HMO) 5 10 16 8 2

a- Notons x 1, x 2 , x 3 , x 4 et x 5 les quantités respectives (en nombre d’unités de produit) des


produits A, B, C, D et E à fabriquer.
Le programme linéaire à résoudre s’écrit :
Maximiser Z = 100x 1 + 30 x 2 + 40 x 3 + 100 x 4 + 150 x 5 (marge sur coûts variables)
sous les contraintes :

*
40 000 ≤ x 1 ≤ 60 000

5
20 000 ≤ x 2 ≤ 30 000
12 000 ≤ x 3 ≤ 25 000 (contraintes de demande)
20 000 ≤ x 4 ≤ 40 000
10 000 ≤ x 5 ≤ 20 000
0,2x + 0,05x 2 + 0,25x 3 + 0,4 x 4 + 0,1x 5 ≤ 28 080
et 5 0,2x 1

1
+ 0,1x 2 + 0,0625x 3 + 0,125x 4 + 0,5x 5 ≤ 30 186
(contraintes de production).

Simplification de la forme canonique


Notons y 1, y 2 , y 3 , y 4 et y 5 les productions supplémentaires à réaliser par rapport aux demandes à servir obli-
gatoirement, soit :
y 1 = x 1 – 40 000 ; y 2 = x 2 – 20 000 ; y 3 = x 3 – 12 000 ; y 4 = x 4 – 20 000 ; y 5 = x 5 – 10 000.
En remplaçant alors, dans le programme ci-dessus, x 1 par y1 + 40 000, x 2 par y2 + 20 000, etc. puis enfin
x 5 par y5 + 10 000, on obtient le programme linéaire, simplifié, suivant :
Maximiser Z© = 100y 1 + 30 y 2 + 40 y 3 + 100 y 4 + 150 y 5 (1)
avec y 1 ≥ 0, y 2 ≥ 0, y 3 ≥ 0, y 4 ≥ 0, y 5 ≥ 0,

*
sous les contraintes :
y1 ≤ 20 000 (2)

5
y2 ≤ 10 000
y3 ≤ 13 000
y4 ≤ 20 000
y5 ≤ 10 000
+ 0,05y 2 + 0,25y 3 + 0,4 y 4 + 0,1y 5 ≤ 7 080
et 5 0,2y
0,2y
1

1 + 0,1y 2 + 0,0625y 3 + 0,125y 4 + 0,5y 5 ≤ 11 936


(3)
(1) On a :
Z = 100(y1 + 40 000) + 30(y2 + 20 000) + 40(y3 + 12 000) + 100 (y4 + 20 000) + 150 (y5 + 10 000)
soit :
Z = 100 y1 + 30y2 + 40y3 + 100y4 + 150y5 + 100 ¥ 40 000 + 30 ¥ 20 000 + 40 ¥ 12 000 + 100 ¥ 20 000 + 150 ¥ 10 000.
Z© 8 580 000

Les 8 580 000 euros représentent la marge dégagée par les demandes à servir obligatoirement ;
Z est la marge sur coûts variables totale et Z© la marge sur coûts variables dégagée par les productions sup-
plémentaires.
Maximiser Z revient donc à maximiser Z©.
(2) L’inégalité : 40 000 ≤ x 1 ≤ 60 000
devient : 40 000 ≤ y1 + 40 000 ≤ 60 000, soit : 0 ≤ y1 ≤ 20 000.
Le premier membre de cette inégalité est donné dans les contraintes de positivité des yi , et on garde le
second membre sous la forme : y1 ≤ 20 000.

0,2x + 0,05x 2 + 0,25x 3 + 0,4 x 4 + 0,1x 5 ≤ 28 080


(3) Les contraintes : 5 0,2x 1
1 + 0,1x 2 + 0,0625x 3 + 0,125x 4 + 0,5x 5 ≤ 30 186
deviennent :

+ 40 000) + 0,05(y + 20 000) + 0,25(y + 12 000) + 0,4(y + 20 000) + 0,1(y + 10 000) ≤ 28 080
5 0,2(y 1 2 3 4
0,2(y + 40 000) + 0,1(y + 20 000) + 0,0625(y + 12 000) + 0,125(y + 20 000) + 0,5(y + 10 000) ≤ 30 186
1 2 3 4
5

soit :

0,2y1 + 0,05y2 + 0,25y3 + 0,4y4 + 0,1y5 ≤ 28 080 – (0,2 ¥ 40 000 + 0,05 ¥ 20 000 + 0,25 ¥ 12 000 + 0,4 ¥ 20 000 + 0,1 ¥ 10 000)
21 000
0,2y1 + 0,1y2 + 0,0625y3 + 0,125y4 + 0,5y5 ≤ 30 186 – (0,2 ¥ 40 000 + 0,1 ¥ 20 000 + 0,0625 ¥ 12 000 + 0,125 ¥ 20 000 + 0,5 ¥ 10 000)
18 250

21 000 correspond au nombre d’heures-machines (HM) et 18 250 au nombre d’heures de main-d’œuvre


(HMO) consommées pour les demandes à servir obligatoirement,
et les différences : 28 080 – 21 000 soit 7 080 HM et 30 186 – 18 250 soit 11 936 HMO donnent les
disponibilités en HM et HMO pour les productions supplémentaires.

b- Résolution par la méthode du simplexe.


La forme standard du problème, obtenue après introduction des variables d’écart, s’écrit :
Maximiser Z© = 100y 1 + 30 y 2 + 40 y 3 + 100 y 4 + 150 y 5 + 0 e 1 + 0 e 2 + 0 e 3 + 0 e 4 + 0 e 5 + 0 e 6 + 0 e 7
avec y 1 ≥ 0, y 2 ≥ 0, y 3 ≥ 0, y 4 ≥ 0, y 5 ≥ 0, e 1 ≥ 0, e 2 ≥ 0, e 3 ≥ 0, e 4 ≥ 0, e 5 ≥ 0, e 6 ≥ 0, e 7 ≥ 0,

*
sous les contraintes :
y1 + e 1 = 20 000

5
y2 + e 2 = 10 000
y3 + e 3 = 13 000
y4 + e 4 = 20 000
y5 + e 5 = 10 000
0,2y 1 + 0,05y 2 + 0,25y 3 + 0,4y 4 + 0,1y 5 + e 6 = 7 080
et 5 0,2y 1
+ 0,1y 2 + 0,0625y 3 + 0,125y 4 + 0,5y 5 + e 7 = 11 936.
Tableaux de calculs

y1 y2 y3 y4 y5 e1 e2 e3 e4 e5 e6 e7 D
e1 1 0 0 0 0 1 0 0 0 0 0 0 20 000
e2 0 1 0 0 0 0 1 0 0 0 0 0 10 000
e3 0 0 1 0 0 0 0 1 0 0 0 0 13 000
e4 0 0 0 1 0 0 0 0 1 0 0 0 20 000
e5 0 0 0 0 1 0 0 0 0 1 0 0 10 000
e6 0,2 0,05 0,25 0,4 0,1 0 0 0 0 0 1 0 7 080
e7 0,2 0,1 0,0625 0,125 0,5 0 0 0 0 0 0 1 11 936
Z© 100 30 40 100 150 0 0 0 0 0 0 0 0

y1 y2 y3 y4 y5 e1 e2 e3 e4 e5 e6 e7 D
e1 1 0 0 0 0 1 0 0 0 0 0 0 20 000
e2 0 1 0 0 0 0 1 0 0 0 0 0 10 000
e3 0 0 1 0 0 0 0 1 0 0 0 0 13 000
e4 0 0 0 1 0 0 0 0 1 0 0 0 20 000
y5 0 0 0 0 1 0 0 0 0 1 0 0 10 000
e6 0,2 0,05 0,25 0,4 0 0 0 0 0 – 0,1 1 0 6 080
e7 0,2 0,1 0,0625 0,125 0 0 0 0 0 – 0,5 0 1 6 936
Z© 100 30 40 100 0 0 0 0 0 – 150 0 0 – 1 500 000

y1 y2 y3 y4 y5 e1 e2 e3 e4 e5 e6 e7 D
y1 1 0 0 0 0 1 0 0 0 0 0 0 20 000
e2 0 1 0 0 0 0 1 0 0 0 0 0 10 000
e3 0 0 1 0 0 0 0 1 0 0 0 0 13 000
e4 0 0 0 1 0 0 0 0 1 0 0 0 20 000
y5 0 0 0 0 1 0 0 0 0 1 0 0 10 000
e6 0 0,05 0,25 0,4 0 – 0,2 0 0 0 – 0,1 1 0 2 080
e7 0 0,1 0,0625 0,125 0 – 0,2 0 0 0 – 0,5 0 1 2 936
Z© 0 30 40 100 0 –100 0 0 0 – 150 0 0 –3 500 000

y1 y2 y3 y4 y5 e1 e2 e3 e4 e5 e6 e7 D
y1 1 0 0 0 0 1 0 0 0 0 0 0 20 000
e2 0 1 0 0 0 0 1 0 0 0 0 0 10 000
e3 0 0 1 0 0 0 0 1 0 0 0 0 13 000
e4 0 – 0,125 – 0,625 0 0 0,5 0 0 1 0,25 – 2,5 0 14 800
y5 0 0 0 0 1 0 0 0 0 1 0 0 10 000
y4 0 0,125 0,625 1 0 – 0,5 0 0 0 – 0,25 2,5 0 5 200
e7 0 0,084375 –0,015625 0 0 – 0,1375 0 0 0 – 0,46875 – 0,3125 1 2 286
Z© 0 17,5 – 22,5 0 0 –50 0 0 0 – 125 – 250 0 – 4 020 000
y1 y2 y3 y4 y5 e1 e2 e3 e4 e5 e6 e7 D
y1 20 000
y2 10 000
e3 13 000
e4 Calculs inutiles 16 050
y5 10 000
y4 3 950
e7 1 442,25
Z© 0 0 – 22,5 0 0 –50 –17,5 0 0 – 125 – 250 0 – 4 195 000

On obtient, à l’optimum : A : y1 = 20 000 soit x 1 = 60 000


B: y2 = 10 000 soit x 2 = 30 000
C : y3 = 0 soit x 3 = 12 000
D : y4 = 3 950 soit x 4 = 23 950
E: y5 = 10 000 soit x 5 = 20 000.
Le programme optimal de production est de :
60 000 unités de produit A, 30 000 unités de produit B, 12 000 unités de produit C, 23 950 unités de
produit D et 20 000 unités de produit E.

c- La marge sur coût variable dégagée par les productions supplémentaires s’élève, à l’opti-
mum, à 4 195 000 €, soit une marge sur coût variable totale de 12 725 000 €, puisque :
8 550 000 + 4 195 000 = 12 725 000, ou encore :
100 ¥ 60 000 + 30 ¥ 30 000 + 40 ¥ 12 000 + 100 ¥ 23 950+ 150 ¥ 20 000 = 12 775 000.
La marge sur coût variable totale dégagée à l’optimum est de 12 775 000 €.

2- a- Considérons un programme (y 1, y 2 , y 3 , y 4, y 5) respectant les contraintes de capacité de


l’atelier et les contraintes de demandes, c’est-à-dire vérifiant :
• 0 ≤ y1 ≤ 20 000 ; 0 ≤ y2 ≤ 10 000 ; 0 ≤ y3 ≤ 13 000 ; 0 ≤ y4 ≤ 20 000 ; 0 ≤ y5 ≤ 10 000
• et 0,2y 1 + 0,05y 2 + 0,25y 3 + 0,4 y 4 + 0,1y 5 ≤ 7 080 (1).

Montrons qu’un tel programme est forcément réalisable par la main-d’œuvre, c’est-à-dire qu’il vérifie :
0,2y 1 + 0,1y 2 + 0,0625y 3 + 0,125y 4 + 0,5y 5 ≤ 11 936 (2).

Cherchons pour cela à majorer le premier membre de l’inégalité (2). On peut écrire :
0,2y 1 + 0,1y 2 + 0,0625y 3 + 0,125y 4 + 0,5y 5
= 0,2y 1 + (0,05 + 0,05) y 2 + (0,25 – 0,1875) y 3 + (0,4 – 0,275) y 4 + (0,1 + 0,4) y 5

= 0,2y1 + 0,05y2 + 0,25y3 + 0,4y4 + 0,1y5 + 0,05y2 – 0,1875y3 – 0,275y4 + 0,4y5.


Premier membre de (1)
y3 et y4 étant positifs ou nuls, cette dernière expression est majorée par :
0,2y1 + 0,05y2 + 0,25y3 + 0,4y4 + 0,1y5 + 0,05y2 + 0,4y5.
Premier membre de (1)

On a de plus : y2 ≤ 10 000 donc 0,05y 2 ≤ 500,


et : y5 ≤ 10 000 donc 0,4y 5 ≤ 4 000.
Enfin, le premier membre de (1) étant majoré par 7 080, on obtient :
0,2y1 + 0,1y2 + 0,0625y3 + 0,125y4 + 0,5y5 ≤ 7 080 + 500 + 4 000
11 580

11 580 étant inférieur à 11 936, l’inégalité (2) est vérifiée.


On a bien établi que tout programme de production respectant la capacité de l’atelier (en heures-
machines) et les contraintes de demandes est réalisable par la main-d’œuvre.
b- La démonstration effectuée à la question précédente prouve que la contrainte de
capacité en HMO peut être ignorée. Le « goulet d’étranglement majeur » se situe au niveau des
heures-machines, ce qui permet de raisonner directement sur les marges par unité de « facteur rare », le
facteur rare étant ici les HM. On fabriquera donc, en priorité, les produits qui dégagent la plus forte marge
par HM.

A B C D E
Marge unitaire (en euros) 100 30 40 100 150
Nombre d’HM pour un produit 0,2 0,05 0,25 0,4 0,1
Marge par HM (en euros) 500 600 160 250 1 500
Ordre de priorité 3e 2e 5e 4e 1er

Les quantités supplémentaires fabriquées seront déterminées de façon à saturer la demande dans la mesure
du nombre d’HM disponibles :
Produit Quantité produite Nombre d’HM utilisées Nombre d’HM disponibles
1er E 10 000 1 000 7 080 – 1 000 = 6 080
2e B 10 000 500 5 580
3e A 20 000 4 000 1 580
1 580 = 3 950
4e D 1 580 0
0,4
e
5 C 0 0 0

On retrouve bien le programme optimal :


A : y1 = 20 000 soit x 1 = 60 000
B : y2 = 10 000 soit x 2 = 30 000
C : y3 = 0 soit x 3 = 12 000
D : y4 = 3 950 soit x 4 = 23 950
E : y5 = 10 000 soit x 5 = 20 000.
Le lecteur peut voir l’intérêt du raisonnement utilisant la notion de facteur rare en comparant la longueur
des calculs effectués dans cette question à celle des tableaux du simplexe : le gain de temps n’est pas négli-
geable…
3- Conclusion
On constate que le programme optimal :
• sature la capacité en heures-machines puisque e6 = 0
(ou encore puisque
0,2 ¥ 20 000 + 0,05 ¥ 10 000 + 0,25 ¥ 0 + 0,4 ¥ 3 950 + 0,1 ¥ 10 000 = 7 080) ;
• n’utilise pas toute la capacité en heures de main-d’œuvre puisque e7 = 1 442,25
(ou encore :
11 936 – (0,2 ¥ 20 000 + 0,1 ¥ 10 000 + 0,0625 ¥ 0 + 0,125 ¥ 3 950 + 0,5 ¥ 10 000) = 1 442,25).
30 186
Comme chaque ouvrier travaille heures, soit 1 509,30 heures, on peut envisager de supprimer
20
un poste, à condition d’augmenter très légèrement le rendement de la main-d’œuvre…

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