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Il n'est sans doute pas facile d'aborder ce que le docteur Ryke Geerd Hamer a
découvert au cours de la dernière décennie, c'est à dire: une manière de considérer
l'homme dans son existence biologique et psychique et permettant de comprendre
non seulement la nature des tumeurs, au lieu de seulement les classifier, mais aussi
d'innombrables et diverses affections que, jusqu'à présent, nous étions forcés
d'accepter comme une fatalité généralement inexplicable, et dont nous tentions de
résoudre le mystère en établissant des relations de cause à effet avec les facteurs
supposés de risque.
Cependant, le fait que le bien-fondé et la précision de son point de vue aient été
vérifiés et confirmés des milliers de fois, et surtout, que cette découverte permette
une thérapeutique efficace, avec un taux de guérison de 97%, rend complètement
inexplicable que, malgré des possibilités de vérification jusque dans les moindres
détails, les responsables de la médecine et de la santé aient jusqu'à présent rejeté en
bloc et ignoré systématiquement toute cette affaire. Ou plutôt qu'ils l'aient condamnée
au silence, imposant un hermétisme total pour éviter sa diffusion dans la pratique et
l'enseignement médical.
Pour comprendre ce paradoxe il faut avoir vécu très près du monde de la médecine,
connaître notre justice, notre société, tous mus par l'appât du gain (surtout à leur
sommet). Renoncer à la matière morte, aux cytostatiques, aux radiations et au
bistouri, aux marqueurs tumoraux, aux récepteurs, aux prélèvements, aux bâtiments
stérilisés, à la médecine nucléaire, en peu de mots, renoncer aux grands centres et aux
installations d'extermination de tumeurs et de patients conduirait à la ruine, sinon
totale du moins partielle, de branches entières de l'industrie (et il ne s'agirait pas
seulement de l'industrie pharmaceutique et médicale...) (la médecine contemporaine
est reliée par un fil conducteur à la médecine des camps de concentration, dit un
analyste réputé).
Toutefois, en terme général, tout ceci serait positif. De nombreux procédés très
coûteux et erronés (selon Hamer) seraient alors innécessaires. Ceux qui ont des
doutes n'ont qu'à demander la documentation à une petite maison d'édition de
Cologne (Amici di Dirk Verlagsgesellschaft), et digérer l'information à la libre
disposition de tout un chacun, sans se préoccuper excessivement des preuves: tout ce
que l'on y dit est vérifiable, et les preuves ont été apportées un nombre infini de fois.
Pour reproduire la démonstration, il suffit d'une matinée, d'un scanner et... de
patients.
Et il se passe quelque chose...
Tout ceci, nous devons le reconnaître, semble assez mystérieux. Moi aussi, j'avais été
intrigué lorsque, neuf mois après mon internat et l'inévitable examen pour l'obtention
du diplôme d'Etat, une patiente posa devant mon nez un livre relié de carton jaune,
intitulé «fondement d'une Médecine Nouvelle- Tome I: Le système ontogénétique des
tumeurs, cancers, leucémie, psychoses, épilepsie».
Tout ceci me parut encore étrange quand, quelques semaines plus tard, naïvement et
sans complexes, je me suis présenté chez le Dr. Hamer à Cologne (Il eut la
gentillesse, quand je lui téléphonai, d'accepter de me recevoir immédiatement, et il
me fut un peu difficile de le suivre, même si j'y suis tout de même parvenu). J'ai vu le
petit bureau, dans un désordre relatif (mais où tout était localisable) et le pare-brise
comportant deux impacts de balles pendu dans un coin (il avait reçu ce cadeau en
allant chercher les premiers exemplaires de son livre chez l'imprimeur), les bureaux
de la maison d'édition, installés dans des pièces latérales, et les livres empilés le long
du couloir étroit. Et puis un gros dossier de plus de dix centimètres d'épaisseur, plein
d'ordres, de rapports, et de procédures engagées contre lui.
Aucun doute, ici, il se passe quelque chose...
Et ensuite, l'impression qu'il lui était difficile de mettre un terme à la conversation,
quand je dus me dépêcher de prendre congé pour me rendre à un autre rendez-vous,
de même que, le lendemain, lorsque je l'ai appelé au téléphone pour le remercier de
m'avoir reçu la veille et du livre qu'il m'avait offert, pour m'excuser en même temps
d'avoir dû l'abandonner d'une manière si peu courtoise à son immense et
compréhensible désir de communiquer. De toute façon, on voyait bien qu'il était
stressé, apparemment sans en être conscient, puisque malgré tout, il restait serein et
combatif. Je me dis que ce devait être parce qu'il s'y était déjà habitué...
Mais le comble de l'insolite est que l'on ait retiré à ce médecin le permis d'exercer la
médecine. A l'occasion de sa thèse d'agrégation, il avait voulu publier ses
découvertes, réservant les prémices à la faculté de Médecine. Il n'aurait recouvré
l'autorisation d'exercer qu'en abjurant, en se rétractant publiquement. Et il ne l'a pas
fait.
Un travail médical à tâtons, dans l'humiliation.
Peu après l'obtention de mon doctorat en médecine, à la fin des études qui m'avaient
donné certaines bases mais me laissaient désemparé devant un agglomérat
inextricable, non systématique, de faits et de contenus apparemment dépourvus de
toute relation les uns avec les autres, à la suite d'un examen que jusqu'à ce jour, je n'ai
toujours pas compris, qui consistait seulement en une discussion - apparemment une
comédie -, j'avais abandonné le travail clinique avec une légère amertume, presque
par instinct, parce que je ne pouvais plus le supporter. Et voilà qu'à présent, on
m'offrait ceci.
Selon un dicton, la fortune vient en dormant. Pour assumer certaines responsabilités,
il est nécessaire de savoir se rétracter. C'est justement ce qui fait malheureusement
défaut à la plupart de mes collègues, docteurs et professeurs, pour pouvoir donner
leur accord ou examiner avec impartialité et une totale neutralité ce dont notre faculté
pourrait être dotée. L'inaptitude à reconnaître leur ignorance et leurs erreurs (qui ne
sont pas un déshonneur en elles-mêmes), conduit sans transition au crime qui consiste
à commettre sans honte et sans subtilité des erreurs mortelles, depuis la base,
superficielles à tous les degrés, jusqu'au Ministère Fédéral de la Santé (Voir à ce
propos les «lettres pour une Médecine Nouvelle», diffusées par la maison d'édition
mentionnée antérieurement). Après ma lecture et ma visite, j'aurais préféré, si cela
avait été possible, transférer immédiatement mon permis d'exercer à ce médecin, qui
aurait su s'en servir bien mieux que moi.
Tout est lié. Les poursuites, dont le Dr. Hamer m'a montré les preuves contenues dans
son dossier, et les découvertes capitales dans le domaine médical, débutèrent
simultanément le 18 août 1978 devant la petite île de Cavallo, au large de la Corse,
lorsque son fils Dirk fut mortellement atteint, pendant son sommeil, par une balle
tirée par un prince italien. Le Dr. Hamer écrit dans la dédicace de son livre: «à cause
de sa mort, je suis moi-même tombé malade peu de temps après, présentant un DHS
(un Syndrome Dirk Hamer), un conflit de perte avec cancer des testicules. Cette
coïncidence étonnante entre le choc conflictuel et dramatique et mon propre cancer
m'amenèrent à découvrir la Loi d'Airain du Cancer».
Surveillance totale.
Dirk Hamer est mort le 7 décembre 1978 à Heidelberg des suites de sa blessure par
balle. Cependant, le contentieux légal n'a pas suivi son cours habituel, c'est à dire que
l'on n'a pas demandé d'explications à l'assassin auquel un procès a été intenté, mais,
chose curieuse, et à l'indignation du Dr. Hamer, c'est le contraire qui s'est justement
produit. Soudain, et comme l'assassin était un personnage aussi représentatif que
protégé, la balle avait ricoché, et pour avoir osé formuler une accusation si
monstrueuse contre cet assassin, c'est le père de la victime qui, jusqu'à ce jour, est
l'objet de poursuites pénales, se trouve sur le fichier international des personnes
recherchées et est soumis à une surveillance totale.
Publié en novembre 1987, le livre que j'ai mentionné ci-dessus correspond à un stade
relativement récent des recherches scientifiques du Docteur Hamer. Quelques années
auparavant, il avait publié l'œuvre intitulée «Le cancer, maladie de l'âme». Le résultat
de ces recherches constitue une remise en question pour tout médecin s'étant appliqué
avec sagesse à l'étude de la médecine académique.
Lorsque, par exemple, il est dit que tout cancer est causé par un choc psychique
brutal, un conflit aigu et dramatique, vécu dans l'isolement, que le dogme de
l'ensemencement hématogène est complètement inexact, que l'infarctus du myocarde
correspond à un phénomène d'involution de la dysfonction cérébrale proprement dite
et indique, par conséquent, une amélioration survenue dans le cours d'une maladie,
comme par exemple, dans la leucémie, que pour le Dr. Hamer c'est là l'expression
d'une guérison et, en tant que telle, une manifestation inoffensive, lorsque le lecteur
formé en médecine académique se retrouve ainsi confronté avec des choses
absolument incroyables qui, à première vue, paraissent incompréhensibles, seule une
lecture exhaustive et sans préjugés est capable de dissiper la confusion initiale.
S'embarquer dans cette aventure peut certainement coûter cher, mais cela ne signifie
rien en comparaison avec l'enrichissement et la révélation des relations de cause à
effet que le Dr. Hamer met en évidence. Tout ceci est plutôt une libération pour les
patients qui se voient libérés de la fatalité, du caractère prétendument inéluctable de
leur destin.
Autant les études de médecine clinique m'avaient donné l'impression de n'être que
des pages de livres arrachées à ma vie, sans correspondre à rien de vivant ou de
naturel, et dont le contenu faisait penser à des sculptures confuses et bizarres posées
dans le paysage du monde, autant la médecine acquérait là soudain une forme
équilibrée et cohérente, à ne pas confondre toutefois avec la prétention d'être
exhaustive. Les prémisses permettent de tirer des conclusions logiques entre l'histoire
de l'évolution de l'homme, du cerveau, des organes et des mécanismes
comportementaux biologiques correspondant à ces structures.
C'est ainsi que la réaction à un conflit biologique correspond exactement avec
l'altération d'une aire cérébrale spécifique, et de façon synchrone, au début d'un
cancer de l'organe correspondant. L'enchaînement événement psychico-cérébral-
organique doit être ici conçu comme un événement absolument simultané dans les
différents niveaux.
Transformations dans le cerveau.
Les modifications survenues dans les aires cérébrales sont désignées par le
terme Foyers de Hamer, et sont observables dans le cerveau. Durant la phase active
du conflit, on observe un état vasospastique qui, une fois le conflit résolu, laisse place
à un œdème intra ou périfocal. Il arrive que celui-ci puisse présenter un danger mortel
(lorsqu'il se situe, par exemple, dans le tronc cérébral). Cependant, et en lui-même,
cet œdème que la médecine académique interprète erronément comme une métastase
cérébrale, annonce uniquement la phase de guérison.
C'est le code erroné émis par l'aire cérébrale affectée durant la phase vasospastique
qui induit la prolifération tumorale dans l'organe-cible. Cette croissance se produit
seulement durant la phase vasospastique de l'activité conflictuelle. Une fois cette
phase terminée, c'est à dire quand le conflit a été solutionné, la prolifération est
interrompue et, en fonction des types spécifiques des tissus histologiques, il se
produit un enkystement, une restitution cicatricielle ou une réduction bactérienne.
La rigoureuse corrélation existant entre la perturbation de la sphère comportementale,
la fonction cérébrale (Foyers de Hamer) et la maladie organique concorde
précisément avec l'origine embryonnaire des organes ou, plus concrètement, avec les
composants organiques d'un côté et, d'un autre côté avec les parties du cerveau qui se
sont successivement développées au cours des différentes étapes de l'évolution. C'est
ainsi que les Foyers de Hamer correspondant aux tumeurs malignes des tissus
d'origine endodermique sont localisés dans le tronc cérébral, alors que les tumeurs
affectant les tissus d'origine mésodermiques sont localisées soit dans le cervelet soit
dans la moelle cérébrale, et les cas qui surviennent dans les tissus d'origine
ectodermique sont localisés dans le cortex cérébral.
La thérapeutique exige une connaissance exacte de ces processus. L'intuition des états
de dépendance psychique du patient et le plus possible d'expérience et de maniement,
de tact, dans le domaine des complications et des situations de crise en relation avec
la phase de guérison consécutive à la conflictolyse. Sur le plan organique, la phase de
guérison comporte – tout comme la phase de croissance tumorale – des différences
caractéristiques selon que le tissu dépend de l'une ou l'autre des trois couches
embryonnaires.
La Loi d'Airain du Cancer.
Afin d'être plus clairs, citons textuellement le livre: «La Loi d'Airain du cancer est
une loi biologique, empirique, fondée sur l'expérience et l'observation. Elle a été
vérifiée sans exception dans les presque 10.000 cas que j'ai examinés jusqu'à présent.
Il s'agit d'un système surdéterminé des trois fonctions corrélatives, permettant, quand
on connaît l'une d'elles, de déduire les deux autres».
Au début, la Loi d'Airain du Cancer s'énonçait ainsi:
Premier critère: toute maladie cancéreuse commence par un DHS (Syndrome
Dirk Hamer), c'est à dire un choc conflictuel, extrêmement brutal, aigu et
dramatique, vécu dans l'isolement.
Second critère: à l'instant où se produit le Syndrome Dirk Hamer, c'est le type
de conflit qui détermine la localisation du cancer dans l'organe.
Troisième critère: à partir du Syndrome Dirk Hamer, il se produit une
corrélation exacte entre l'évolution du conflit et l'évolution du cancer dans
l'organe.
Actuellement, la Loi d'Airain du Cancer s'énonce ainsi:
Premier critère: tout cancer commence par un DHS, c'est à dire par un choc
conflictuel extrêmement brutal, dramatique et vécu dans l'isolement et qui, au
moment où se produit le Syndrome Dirk Hamer, provoque dans le cerveau un
Foyer de Hamer, et, au même instant, le début d'un cancer.
Second critère: Au moment où se produit le DHS, le type de conflit détermine
à la fois la localisation du Foyer de Hamer et la localisation de la tumeur
cancéreuse.
Troisième critère: a partir du DHS, il existe une corrélation entre l'évolution
du conflit, la modification du Foyer de Hamer dans le cerveau et la
modification de la tumeur cancéreuse.
Le Système Ontogénétique des Tumeurs est un système global et logique.
Naturellement, il découle de la Loi d'Airain du Cancer et de la découverte du Foyer
de Hamer dans le cerveau. Mais ce système ontogénétique de la médecine, et en
particulier des tumeurs, revêt pour la médecine une importance comparable à celle de
la table périodique des éléments pour les sciences physiques et naturelles. Il met en
relief les corrélations qui existent dans la médecine tout entière.
Le Système Ontogénétique des Tumeurs.
Le Système Ontogénétique des Tumeurs s'énonce ainsi:
Premièrement: Aux trois couches embryonnaires correspondent des types
spécifiques de tissus histologiques semblables, sinon identiques. Cependant, la
couche embryonnaire moyenne, ou mésoderme, se subdivise en un mésoderme
ancien (ou mésoderme cérébéleux) et un mésoderme nouveau (ou mésoderme
cérébral). Le mésoderme cérébéleux a un comportement analogue à celui de
l'endoderme du tronc cérébral, alors que le mésoderme du cerveau se comporte
comme l'ectoderme cérébral.
Deuxièmement: Quand un DHS provoque un Foyer de Hamer, les sphères
organiques correspondant à ce Foyer de Hamer présentent une réaction spécifique, en
fonction de la couche embryonnaire dont elles sont dérivées: