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Sommaire :
• Introduction générale
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Introduction
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Chapitre I : Le choix intertemporel du consommateur
➢ Présentation du contexte :
Le choix intertemporel est le choix d'un agent qui porte à la fois sur ses actions
présentes et futures: les agents déterminent ce qu'ils vont produire et consommer durant
toute leur vie à partir d'un point initial.
Le choix intertemporel est donc un choix qui porte sur toute la "durée de vie" d'une
économie ou, plus modestement, d'un agent.
Une des grandes sources des dangers de l'économie selon les néoclassiques se situe dans
l'incertitude de l'avenir.
Les choix intertemporels sont donc une réponse à cette incertitude. En effet, si l'agent ne fait
pas de choix dès l'instant initial qui porte sur toute la "durée de vie", alors il doit recourir aux
paramètres des anticipations pour appréhender le futur.
Si l'on admet que le consommateur raisonne sur plusieurs périodes et qu'il ne dépense pas
nécessairement tout son revenu au cours de chacune de ces périodes, cela signifie qu'il a la
possibilité d'épargner et d'emprunter. C'est d'ailleurs pour cela que ce choix intertemporel du
consommateur est souvent décrit comme étant le choix qu'il a entre consommation
immédiate et consommation différée(future).Comme dans le raisonnement de base, la
détermination de l'équilibre du consommateur consiste en une optimisation c'est-à-dire en
une maximisation d'une fonction objectif -sa fonction d'utilité -sous une contrainte
budgétaire. Pour simplifier au maximum les développements, on raisonne sur deux périodes
seulement.
Soit c0, c1, y0 et y1 les consommations et revenus du consommateur pour les deux
périodes.
Trois cas peuvent se présenter :
➢ 1er cas :
C0 < y0 ➔ épargne S0 = y0 – c0
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Le consommateur décide de ne pas dépenser en période t = 0 tout son revenu et
par conséquent de dégager une épargne. Il le fait parce qu’il estime que cela peut lui
permettre d’augmenter sa satisfaction sur l’ensemble des deux périodes. Cela n’est
concevable pour les néoclassiques que s’il a la possibilité de faire fructifier cette
épargne, que s’il peut recevoir une récompense financière du sacrifice qu’il fait. Pour
cela, il est nécessaire d’introduire, en plus des marchés des biens et services et du
travail, un marché des capitaux où vont se rencontrer l’offre de capitaux des
épargnants et la demande de capitaux qu’expriment par ailleurs les emprunteurs,
avec le taux d’intérêt r comme prix d’équilibre.
D’où : c0 + c1 = y0 + y1 + r*S0
c0 + c1 = y0 + y1 + r*(R0 – c0)
c0 + c1 = y0 + y1 + r*y0 – r*c0
➔ c0*(1 + r) + c1 = y0*(1 + r) + y1
A
C1
Y1
C0 y0
Figure1 : épargnant
➢ 3ème cas :
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c0 + c1 + rc0 - ry0 = y0 + y1
c0 (1+r) + c1 = y0(1+r) + y1
S
C1
y1
c0 y0 B
Figure 2 : Emprunteur
On parvient dans l'un et l'autre des deux derniers cas à la même formule générale
pour exprimer la contrainte budgétaire du consommateur.
Exemple :
Pour simplifier notre raisonnement, nous supposons un ménage représentatif :
– dont l’espérance de vie est de deux périodes : le présent (période1) et le futur
(période 2),
– qui n’a pas de richesse initiale et qui ne lègue rien à ses héritiers.
Supposons que ce ménage a une préférence pour le présent, c’est-à-dire qu’entre
une unité de consommation au présent et la même unité au futur, il préfère
consommer au présent. Le taux d’intérêt réel (r) est la récompense de la
renonciation au présent, c’est-à-dire la récompense de l’abstinence. Autrement dit,
ce ménage obtiendrait (1 + r) unités de consommation au futur s’il accepte de
renoncer à une unité de consommation au présent.
Ce ménage peut donc, à chaque période, avoir une consommation inférieure à son
revenu courant et épargner le reste ou avoir une consommation supérieure à son
revenu courant et emprunter la différence.
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• Notion de la courbe d’indifférence :
Cette courbe d’indifférence est représentée par une “fonction d’utilité“ qui mesure la
satisfaction du consommateur.
Cette fonction peut être représentée, dans un espace à trois dimensions, par une
colline d’utilité ou, dans un plan, par une carte d’indifférence qui représente l’ensemble
des courbes d’indifférence. Une courbe d’indifférence intemporelle est le lieu
géométrique de toutes les combinaisons de consommation (c 1, c2) qui donnent le
même niveau d’utilité.
U1
U2
Par analogie avec le TMS (taux marginal de substitution entre les biens X et Y), on
peut calculer le taux de substitution temporelle : TST qui mesure le supplément de
consommation différée (ou future) qui compense une réduction unitaire de la
consommation immédiate (ou présente), à utilité intertemporelle constante.
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Cependant, les néoclassiques estiment que les individus ont naturellement une
préférence pour le présent et par conséquent pour la consommation immédiate (ou,
symétriquement, une dépréciation du futur et de la consommation différée). Cela
correspond tout simplement à l'idée que "un tiens vaut mieux que deux tu l'auras".
Cette préférence pour le présent amène le consommateur à exiger, pour accepter un
sacrifice de consommation immédiate, une compensation par un gain de
consommation future : contre ce sacrifice, il veut le paiement d'une prime à la hauteur
du prix que le temps a pour lui. Autrement dit, il exige le paiement une prime
d'abstinence pour le présent. On donne à cette prime plusieurs dénominations : taux
de préférence temporelle, taux d'arbitrage temporel, taux d'escompte psychologique.
Ce taux n'est autre que le taux d'actualisation. Appelons-le t.
Le consommateur trouve son équilibre dans le panier qui assure les consommations
immédiate et différée (future) optimales. Cet équilibre atteint en résolvant le
programme suivant :
Max U(c0,c1)
Sous condition
c0(1+r)+c1 = y0(1+r)+y1
• La méthode algébrique :
L’optimum est atteint lorsque les dérivées partielles par rapport aux trois arguments
sont nulles :
𝜕(𝑐0,𝑐1) 𝜕(𝑐0,c1)
• 𝜕𝑐0
=0 𝜕𝑐0
= λ(1+r)
𝜕(𝑐0,𝑐1) 𝜕(𝑐0,𝑐1)
• =0 = λ
𝜕𝑐1 𝜕𝑐1
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• c0(1+r)+c1 = y0(1+r)+y1
Sous contrainte :
Le lagrangien s’écrit :
𝜕(𝑐0,𝑐1) 1
• =0 = 1,1𝜆
𝜕𝑐0 𝑐0
𝜕(𝑐0,𝑐1) 1
• 𝜕𝑐1
=0 2𝑐1
= 𝜆
• 1,1c0 + c1 = 2750
c1= 0,55 c0
1,1c0 + c1 = 2750
C0= 916,67
C1= 1666,67
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Alors la présentation graphique sera comme suit :
1650 _ _ _ _ R
1000 1666,67 B
• La méthode graphique :
1+r=1+t
=> r =t
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C1
C0
1667,67
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supplémentaire de c1. Pour le voir, la pente de la courbe d’indifférence dans le plan
(c1, c2) est obtenue en différenciant totalement le bien être inter temporel :
= .dc2
Pour le comprendre, il faut garder à l’esprit que le TMS intertemporel indique le prix
relatif maximum que l’on est prêt à payer pour une unité de consommation présente
supplémentaire.
Lorsque ce prix relatif maximum est juste égal au prix que l’on doit débourser,
l’arbitrage entre consommation présente et consommation futur est optimale.
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5- Le modèle de Fisher
Le traitement des choix intertemporels comme des arbitrages a été formalise trois
décennies plus tard par Irving Fisher (1930). Fisher à reporter la décision
intertemporelle de consommation sur un digramme d’indifférence entre deux biens,
avec la consommation présente en abscisse et la consommation future en ordonne.
Les préférences temporelles que l’auteur concède relever de multiples facteurs
« objectifs » ou « personnels » peuvent être synthétises par un seul paramètre égal
au taux marginal de substitution entre des consommations de deux périodes
successives :
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future. Plus la pente est forte, moindre est la volonté de diminuer sa consommation
présente et plus le « taux de préférence temporelle » est important. Le pante des
tangentes au niveau de la première bissectrice, c’est à dire quand la consommation
présente égale la consommation future, livre « le taux de préférence temporelle pure
» on a alors :
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Exercice
Un consommateur dont la vie se limite a de deux périodes dispose aujourd’hui
d’une dotation initiale notée 𝑄𝑑1= (5,2). Les préférences de ce consommateur sont
formalisées par la fonction d’utilité intertemporelle suivante :
𝑢(𝑞1,𝑞2) = 𝑞1 ∗ 𝑞20.5
Le prix du bien en première période est utilisé comme numéraire ainsi 𝑝1 = 1. Enfin,
le taux d’intérêt spécifique est égal a 0,1.
1. Déterminez les ressources du consommateur en fonction du taux d’intérêt
spécifique du bien.
2. Déterminez la contrainte budgétaire intertemporelle et l’équation de la droit de
budget intertemporel dans le repère (𝑞1, 𝑞2 ).
3. Calculez le TMS pour un panier de bien intertemporel quelconque. Le
consommateur préfère- t-il le présent ?
4. Déterminez le panier de bien intertemporel optimal de ce
consommateur.
Corriger
1/ R = 𝑝1 ∗ 𝑞1𝑑1 + 𝑝2 ∗ 𝑞2𝑑1
= 5 + 2 * 𝑝2.
donc
Où r = 0,1 est le taux d’intérêt spécifique du bien ou le taux de variation du
prix entre les deux périodes.
Donc = q2
R=
𝑞1 + 𝑝2 ∗ 𝑞2 = 5 + 2 * p2
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On peut réécrire la contrainte budgétaire de la manière suivante :
𝑞2 = 2
=2
Quand 𝑞1 = 𝑞2 ⟼le consommateur a une préférence pour le futur.
On déduit de cette égale les quantités de biens consommes pour les périodes
1 et 2 :
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Chapitre II : L’équilibre du producteur en incertitude sur
les prix
1- Le cas de certitude:
∏ = 𝑝0 q - CF - C(q)
Ce qui équivaut à maximiser le profit étant donné que la fonction de l’utilité croît avec
son argument :
𝑑∏
= 𝑝0 – C’(q) = 0
𝑑𝑞
⇔ 𝑝0 = C’(q)
• La condition de second ordre :
𝑑2∏
= - C’’(q) ≤ 0
𝑑𝑞2
⇔ C’’(q) ≥ 0
Interprétation : Cela signifie que les coûts variables constituent une fonction convexe
des quantités. C’est-à-dire les coûts augmentent de plus en plus au fur et à mesure que
les quantités le feront également.
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L’équilibre du producteur sera représenté comme suit :
C(q)
𝑝0
𝑞∗ q
Avec
et
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Ce qui signifie que le prix de vente dans le cas de l’incertitude peut s’exprimer en
fonction de celui de la certitude :
Avec et
Pour que cette équation admette une solution, on doit avoir , car l’utilité
la condition précitée.
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tableau ci-dessous donne le programme et l’équation permettant de déterminer ces
différentes solutions :
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Par conséquent, les quantités optimales dans le cadre de la certitude vérifient
*
Or : vérifie
D’où :
De plus : car
Donc :
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Nous savons que , or cette utilité marginale est croissante, ce qui implique
que :
D’où :
Soit
D’autre part nous connaissons le sens de variation de la fonction C’est une fonction
décroissante qui nous mène à déduire que est inferieur à
D’où :
Soit
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Donc :
Selon le sens de la variation de l’utilité marginale, on aura les deux configurations ci-
dessous :
Exemple :
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Ce qui nous conduit à la représentation ci-après :
même probabilité.
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Dérivons le profit par rapport à la quantité, on a :
Quand la quantité se trouve entre et , le profit marginal est toujours positif (égal
à 100 F). Par conséquent le producteur a intérêt à augmenter les quantités dépassent
100 unités, ce même profit marginal devient négatif. Le producteur n’a pas intérêt à
augmenter les quantités. En définitive, La quantité optimale à produire sera égale à
unités, , ce qui engendre un profit de
Le profit marginal étant toujours positif il faudrait produire le maximum possible, c'est-
à-dire faire saturer la production. Soit produire 200 unités :
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Considérons maintenait l’hypothèse où le prix est fixé à 200 F
Déterminons la quantité à produire quand il existe une incertitude sur les prix :
Ou encore :
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La quantité optimale à produire sera ici égale à 75 unités ce qui induit à un
profit aléatoire adoptant les valeurs et
Avec une chance sur deux. Résultats
signifiant que : soit ce producteur réalise un profit de soit alors il subit une
perte de avec la même probabilité. Son profit espéré sera .
Dans la mesure où nous saurions de quoi serait fait demain, deux cas de figure seront
à envisager :
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On a
1er cas : le système d’information (SI) nous indique que le prix futur sera égal à P + =
800 F
Il faudrait donc produire q+ = 200 unités et en retirer un profit qui s’élèverait à 55000
F.
2éme cas : Le système d’information (SI) indique que le prix futur sera égal à p - = 200
F
Nous devrons résoudre cette fois-ci un problème de décision en avenir certain pour le
producteur, soit :
Si p+ => q+ = 200
Si p- => q- = 0
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C'est-à-dire résoudre le problème du producteur faisant face au prix moyen et produire
alors une quantité équivalente de q*=100.
Valeur
Information Décision à priori Décision à d’information
possible posteriori parfaite
Prix Probabilité Décision Profit Décision Profit Regret
P+ (800 0,5 q** (100) 35 000 q+ (200) 55 000 20 000 F
F) F F
P- (200 0,5 q** (100) -25 000 q- (0) -5 000 20 000 F
F) F F
= 20 000 F
Cela signifie qu’un individu neutre par rapport au risque est prêt à dépenser 20 000 F
afin de connaitre le niveau des prix qui prévaudra ultérieurement sur le marché.
4- Le marché à terme :
Nous venons de voire que le producteur était prêt à payer un certain prix afin d’obtenir
une connaissance plus ou moins précise des prix futurs sur le marché, il existe un
marché sur lequel les prix sont fixés longtemps à l’avance, c’est le marché dit marché à
terme. Au moment de choisir la quantité de biens à produire, le producteur ignore le prix
qui prévaudra sur le marché du comptant. Par contre, il connait celui qui s’affichera sur
le marché à terme. Ce producteur devra donc choisir la quantité à produire mais
également celle à écouler sur même marché, quantité que nous noterons 𝒒𝑴𝑻 . Ceci
étant, celle qu’il apportera sur le marché du comptant sera égale àq - 𝒒𝑴𝑻 . Deux cas
pourront alors se présenter :
• -q > 𝒒𝑴𝑻 : Le producteur n’a écoulé sur le marché à terme qu’une fraction de sa
production, le solde étant écoulé sur le marché du comptant.
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• -q < 𝒒𝑴𝑻 : Le producteur vend sur le marché à terme plus que ce qu’il produit, et
achète la différence sur le marché du comptant.
C’(q) = 𝑝𝑀𝑇
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optimale). Par contre, la répartition entre ces deux marchés, en l’occurrence les
quantités 𝒒𝑴𝑻 et q - 𝒒𝑴𝑻 résulteront d’une arbitrage entres les prix aléatoires et le profit à
réaliser.
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Conclusion :
Ce travail mis en avant un modèle de choix intertemporel qui d’applique à des individus
incertains de leurs préférences temporelles. Il permet d’expliquer la divergences entre le
comportements des différents types de consommateurs ainsi que les producteurs.
On peut dire que, l’influence du contexte sur les comportements rend plus difficile la
découverte des préférences temporelles à partir des seuls choix des individus. Au final,
l’utilisation des fonctions d’utilité enrichies permet d’appréhender le futur et prendre le
choix le plus efficace et efficient.
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Bibliographie :
❖ Webographie :
https://www.tifawt.com/cours-macroeconomie/la-theorie-du-choix-intertemporel-de-fisher/
❖ Rapports :
-Michel Mangot, « Choix intertemporels : un modèle comportemental d’escompte quasi-
hybrolique », Paris 2007
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