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II
SECTION :
MARINE MARCHANDE
FILIERE :
ETUDES DE MAITRISE EN TECHNOLOGIE
DANS LES SPECIALITES MARITIMES
CLASSE : 2ème ANNEE
Nom de l’enseignant :
LV Kallel Ahmed
LV KALLEL AHMED ELECTRICITE DE BORD II
SOMMAIRE
CHAPITRE 1. ____________________________________________________________________ 4
I. ISOLEMENT _________________________________________________________________ 4
2. Distributions ____________________________________________________________________________34
2. La traverse :_________________________________________________________________________37
I. Caractéristiques : ___________________________________________________________ 39
III. L’appareillages___________________________________________________________ 45
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LV KALLEL AHMED ELECTRICITE DE BORD II
CHAPITRE 1. ....................................................................................
I. ISOLEMENT
1. Définition
C’est la résistance, mesurée dans des conditions spécifiées, entre deux
conducteurs ou systèmes de conducteurs, séparés par un isolant.
2. But de la mesure de la résistance d’isolement
a. Contribuer à la protection du personnel contre les risques
d’électrocution.
b. Prévenir la détérioration du matériel et des installations par court-
circuit,
3. Caractéristiques générales des mesures de résistance d’isolement
a. Un isolant propre et sec peut comporter des craquelures le rendant
impropre à l’utilisation (rigidité diélectrique) et présenter néanmoins
une résistance d’isolement élevée ;
b. Un isolant pollué ou humide peut présenter une résistance d’isolement
faible sans être inapte au service, un nettoyage pouvant lui faire
retrouver ses qualités initiales.
c. Le contrôle périodique des résistances d’isolement fournit une
indication importante sur l’évolution de l’isolation.
d. Une faible valeur de la résistance d’isolement (observée dans les
conditions comparables à celles des relevés précédents) apparue
brusquement ou s’inscrivant dans une variation décroissante rapide en
fonction du temps, traduit presque toujours une dégradation de la
qualité diélectrique de l’isolant, souvent consécutive à une aggravation
des caractéristiques de son environnement.
e. Une résistance d’isolement élevée ne suffit pas à donner la certitude
absolue d’une isolation en bon état. Des inspections soignées doivent
compléter les mesures périodiques.
4. Paramètres influant sur la résistance d’isolement
a. Dimensions :
Les enroulements d’une machine largement dimensionnée ont une résistance
d’isolement plus faible que celle des enroulements d’une machine de dimensions
plus réduites ;
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La résistance d’isolement d’un câble est d’autant plus faible que le câble est
long.
b. Construction – Montage :
Les enroulements d’induit d’une machine à courant continu ont à cause de
l’influence du collecteur, une résistance d’isolement plus faible que celle des
enroulements de phase d’une machine à courant alternatif, à puissance
comparable.
Sur une machine à courant continu, les enroulements d’induit ont, en général,
une résistance d’isolement plus faible que celle des enroulements de
l’inducteur.
Sur une machine à courant alternatif, les enroulements rotoriques ont, par fois,
lorsqu’ils sont équipés de bagues, une résistance d’isolement plus faible que
celle des enroulements statoriques.
c. L’hygrométrie :
La résistance d’isolement varie en fonction inverse de la quantité
d’humidité absorbée par l’isolement.
Cette quantité d’humidité varie avec :
Le degré hygrométrique ambiant ;
La durée d’exposition ;
La nature des matériaux isolants ;
Le type d’imprégnation des enroulements.
Pour ce qui concerne les câbles, l’hygrométrie n’affecte pratiquement que leurs
extrémités, sauf dans le cas d’une isolation défectueuse.
d. Les polluants :
Les poussières, les particules de charbon, les condensas de vapeurs
grasses, l’huile, l’acide, le sel, ajoutent leur effet à celui de l’hygrométrie et augmentent
la difficulté de restauration des caractéristiques d’origine.
e. La température :
L’influence de la température dépend beaucoup de la nature des isolants et elle est
suffisamment sensible pour justifier des corrections de mesures.
D’une manière générale, la résistance d’isolement varie en fonction inverse
de la température.
L’annexe A reproduit le nomogramme à alignement qui est utilisé pour les
corrections ; il n’indique que des correspondances relatives à un type moyen d’isolation,
certains matériaux isolants pouvant être à l’origine d’écarts importants.
Nous notons :
que l’augmentation de l’hygrométrie et l’augmentation de la température
ont des effets comparables ;
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5. Mesures d’isolement
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Dans le cas général des réseaux à courant alternatif où le neutre est isolé de la
masse, la résistance d’isolement est fournie par un ohmmètre de tableau.
Cet appareil est, en fait, un micro-ampermètre gradué en mégohms, qui établit entre
le réseau et la masse une circulation de courant dépendant de la résistance d’isolement
équivalente. Ce courant est prélevé au réseau par l’intermédiaire d’un commutateur et d’un
ensemble redresseur-filtre. De tels appareils équipent les tableaux principaux force et
éclairage, 60 Hz et, dans certains cas, 400 Hz, à bord des bâtiments.
U ( p n)
R=g
pn
U ( p n)
Rn = g
p
U ( p n)
Rp = g
n
Pour lesquelles :
- R est la résistance d’isolement équivalente caractéristique de l’ensemble
des défauts ;
- R p est R n sont respectivement les résistances d’isolement des pôles
négatifs et positifs ;
- g est la résistance interne du voltmètre ;
- U, p et n sont respectivement les valeurs des déviations lues au
voltmètre lors des mesures de tension entre pôles, entre positif et
masse et entre négatif et masse.
Indicateur à lecture directe, comparable à celui qui est utilisé pour les réseaux à
courant alternatif.
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a/ Les indicateurs d’isolement ne doivent pas être simultanément utilisés sur plusieurs
tableaux électriques reliés, en raison de leur même fonctionnement.
b/ La mesure de résistance d’isolement ou l’isolement général d’un bâtiment alimenté par
une source extérieure (installation à terre ou autre bâtiment) englobe le réseau extérieur
jusqu’à son générateur (transformateur, convertisseur sur le quai par exemple) ainsi que
l’ensemble des autres bâtiment éventuellement.
c/ Il n’est pas tenu compte de l’influence de la température des appareils composant le
réseau. Cette influence pourra néanmoins expliquer des écarts, le cas échéant, entre
résultats obtenus dans des conditions par ailleurs équivalentes (hygrométrie,
configuration du réseau).
c. Valeurs admissibles :
L’isolement général R d’un réseau en activité ne doit pas demeurer inférieur aux
valeurs indiquées dans le tableau ci-dessous :
20
- Réseau « force », 440 V, en 60 Hz ou 400 Hz : R
P
Avec R en mégohms et P en kVA.
1
- Réseau « éclairage », 115 V en 60Hz ou « référence », 115 V en 400Hz : R
P
- Réseau unique, en courant continu ou en courant alternatif : R 50 000 ohms
- La puissance P en kVA ci-dessus est la puissance fournie sur le réseau au
moment de la mesure.
Le choix des valeurs différentes suivant la nature du réseau se justifie par les
considérations suivantes :
1. à un niveau donné de la résistance d’isolement des éléments constitutifs d’un
réseau, l’isolement général dépend de l’étendu du réseau, c’est-à-dire du nombre de
machines alimentées ou, en fait, de la puissance distribuée au moment du relevé
d’isolement ;
2. pour une puissance distribuée donnée, le nombre moyen de récepteurs est plus
élevé sur un réseau « éclairage » que sur un réseau « force » et l’isolement y est
moins poussée : la résistance d’isolement d’ensemble sera alors plus faible sur un
réseau « éclairage » ;
3. pour le cas d’un bâtiment à réseau unique relativement peu développé, desservant à
la fois des récepteurs force et éclairage, il est admis, par simplification, une valeur
minimale unique de 50 000 ohms.
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o La longueur
Il intervient en exprimant le résultat des mesures en mégohms-mètres, obtenu en
multipliant la résistance d’isolement par la longueur du câble évaluée sommairement ou à
partir des plans.
o la température,
Il convient de distinguer deux cas :
- Les mesures « à chaud ».
- Les mesures « à froid ».
* Pour les mesures à chaud, qui sont à exécuter aussitôt après mise hors tension, il est
plus difficile que pour les machines de déterminer une température de service réelle, de
fait des conditions d’emploi liées soit à la constitution du câble, soit à sa charge
effective.
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Dans ce cas, il doit être mentionné que ces mesures ont été exécutées « à chaud » et
les résultats sont à exploiter non pas en valeurs absolues, mais en valeurs comparées.
* Pour les mesures à froid, qui sont à exécuter après mise hors tension depuis une durée
minimum de quatre heures, les températures de référence à adopter sont :
- en climat tempéré : 250C ;
- en climat froid (locaux non chauffés) : 50C (voir tableau suivant).
Pour les températures différentes, une correction peut être apportée selon la règle qui
consiste à diminuer la résistance d’isolement d’une puissance de 10 kVA pour chaque
augmentation de température de 15 à 200C.
6.1. Dispositions à prendre pour exécuter les mesures d’isolent des câbles
(portions de réseaux)
o Les Câbles :
Les valeurs limites admissibles des résistances d’isolement des câbles, exprimées
en mégohms-mètres, sont données dans le tableau ci-dessous.Elles déterminent la bonne
aptitude au service des câbles.
Température de Valeurs-limites admissibles en
Câbles
référence en 0C mégohms-mètres
- Force (440 V, 60 Hz et
400 Hz) 25 100
- Eclairage, immunisation, 5 1 000
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feux…
- Propulsion 25 30
- Monoconducteurs 5 300
o Portions de réseaux :
Les valeurs-limites admissibles des résistances d’isolement (entre les phases ou pôles
mis en parallèle et la masse) des portions de réseaux prises individuellement sont données
dans le tableau ci-dessous. Elles sont exprimées en mégohms.
Si les valeurs indiquées ne sont pas obtenues, il faut procéder à une analyse plus
détaillée des éléments du réseau sur les bases des paragraphes précédents.
Valeurs-limites
Portions de réseaux admissibles en
mégohms
- Alternateur et câbles associés.
- Traverses entre tableaux principaux.
- Dérivation principale (tableau de 0,5
dérivation en aval isolé).
- Dérivation secondaire (tableau
tertiaire en aval isolé).
- Génératrice à courant continu
(dynamo) et câbles associés. 0,2
- Récepteur et dérivation terminale
(secondaire ou tertiaire associée).
- Dérogation pour le cas de
récepteurs comportant des éléments 0,1
chauffants blindés alimentés
directement.
- Secteur éclairage (ensemble des 0,05
circuits en aval d’une boite primaire).
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stable de l’instrument est atteinte lentement, l’isolation doit être relativement propre et
sèche ; si elle est atteinte rapidement et si la valeur indiquée est faible, il est fort
2. Les machines dont les enroulements sont neufs et dont l’isolation a été rénovée
peuvent avoir une résistance d’isolement faible, due à la présence de solvant utilisé dans
Cette règle est particulièrement valable pour les enroulements rotoriques pour lesquels il
convient de s’affranchir de la résistance parasite due au film d’huile des paliers. La prise
aux connexions, par exemple à celle du point neutre dans le cas d’une disposition
« étoile ».
7.3. Mesures à chaud – Seuils d’alerte :
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machines, sont données dans le tableau ci-dessous. Elles correspondent à des relevés
Avant nettoyage ;
Après nettoyage, à bord ;
Après visite en atelier.
Dans le tableau R représente une valeur de la résistance d’isolement égale à 1 000
machine considérée.
R doit cependant être supérieure ou égale à 100 000 ohms, quelle que soit la tension de
référence.
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balais en place
Généralités :
Les périodicités définies ci-dessous doivent être considérées comme des limites
- machines génératrices ;
- convertisseurs importants ;
- moteurs particulièrement exposés ;
- moteurs conditionnant la disponibilité du bâtiment, tels que :
* auxiliaires vitaux des groupes propulsifs (pompes de graissage par
exemple) ;
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* appareil à gouverner ;
* guindeau.
les tableaux force 440 V – 60 Hz et 400 Hz, éclairage 115 V – 60 Hz, référence 115
V – 400 Hz ;
les câbles (artères) issus de ces tableaux ;
les alimentations par l’extérieur ;
les feux ;
les installations d’embarcation ;
les circuits de fortune ;
les appareils « portatifs à main » fonctionnant sous la tension « éclairage » ( tels
que : appareil électroménagers, outillages électriques,…).
Tous les trimestres pour :
les convertisseurs et moteurs non prévus au paragraphe ci-dessus. Parmi eux, les
appareils nécessitant une surveillance particulière font l’objet de mesures à chaud ;
les éléments chauffant, les projecteurs ;
les circuits d’immunisation ;
les liaisons synchrones et à lampes ;
les réseaux d’éclairage de secours ;
les appareils « mobiles », c’est-à-dire plus ou moins sommairement fixés,
fonctionnant sous la tension « éclairage », exemple : réchauds, ventilateurs
d’appartement, feux rabattables de pont d’envol, etc.…
Tous les ans pour :
Actions correctives :
Les actions correctives sur le matériel peuvent avoir lieu soit après mesure « à
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Lorsqu’un contrôle « à chaud » met en évidence des valeurs inférieures aux valeurs des
permettent, il peut déjà être procédé à un nettoyage simple, sans démontage important.
Mais, de plus et dans tous les cas, un contrôle à la température ambiante ramenée à
franchies, les opérations de remise en état sont à entreprendre dans les meilleurs délais.
- soit par source extérieure : chaufferette, lampe, soufflage d’air chaud, etc. ;
- soit, dans certaines conditions, par mise sous courant des enroulements ;
Dans la majorité des cas, les défauts d’isolement des câbles proviennent :
susceptibles d’avoir été endommagées, mesures spéciales de résistance pour localiser les
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de son isolation, a été mis en évidence, le remplacement doit être décidé sous
Ce document est ouvert dès l’armement pour essais du bâtiment. Il est ensuite tenu à
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L’usage de la Très Basse Tension de Sécurité (< 25 V) -TBTS- est la solution la plus
radicale puisqu’elle supprime le risque électrique, mais elle n’est applicable qu’à la
distribution de faible puissance.
Pour l’usage courant de l’électricité, différentes études ont conduit à discerner les chocs
électriques selon leur origine, puis à leur apporter des réponses spécifiques.
Les chocs électriques ont deux origines :
Soit un contact direct, c’est le cas d’une personne, ou d’un animal, qui touche
un conducteur nu sous tension.
Soit un contact indirect, c’est le cas d’une personne qui touche la carcasse
métallique d’un récepteur électrique ayant un défaut d’isolement.
Pour se protéger contre les contacts directs, les mesures de préservation sont l’isolement
et/ou l’éloignement. Ces mesures peuvent être renforcées en distribution terminale par
une protection dite complémentaire apportée par la mise en œuvre de Dispositifs
Différentiels à courant Résiduel -DDR- à haute sensibilité.
o Protection contre les contacts indirects
En ce qui concerne la protection contre les contacts indirects, entre une masse mise
accidentellement sous tension et la terre, la solution de base est le raccordement à la
terre de toutes les masses des récepteurs via les conducteurs de protection (PE). Mais
cette disposition n’exclut pas l’existence d’une tension de contact dangereuse pour les
humains si elle est supérieure à la tension limite conventionnelle de sécurité UL définie
par la norme CEI 60479.
Cette tension de contact est fonction des Schémas des Liaisons à la Terre –SLT
normalisés au niveau international (CEI 60364).
Les trois SLT normalisés au niveau international (CEI 60364) sont aujourd’hui repris par
bon nombre de normes nationales : en France, par la norme d’installation BT NF C 15-100.
Il convient toutefois de rappeler succinctement ici leur principe de protection avant
d’aborder plus en détail le schéma IT.
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2. Défaut d’isolement.
Défaut d’isolement : C’est un contact entre un ou plusieurs des conducteurs actif (phase ou neutre)
avec la masse ou la terre.
3.1. Le régime TN
3.1.1. Principe
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o un seul et même conducteur sert de neutre et de conducteur de protection, c’est le schéma TN-C
o le neutre et le conducteur de protection sont dissociés, c’est le schéma TN-S
o et le mariage de ces deux schémas, appelé TN-C-S lorsque le neutre et le conducteur de protection sont
séparés en aval d’une partie de l’installation réalisée en TN-C. A noter que le
TN-S ne peut pas être placé en amont du TN-C.
3.1.2. Schémas
Régime TNC :
Régime TNS :
Régime TNC-S
Boucle de Défaut
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Temps de coupure
Tension Nominal
UL= 50 V UL= 25V
230 V 0,4 sec 0,2 sec
3.2. Le régime TT
3.2.1. Caractéristiques
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3.2.2. Schémas
Absence de défaut :
Id = 0 I1 = I2
Les flux engendrés par ces courants sont
égaux :
1 = 2 et 1 - 2 = 0
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1 > 2 et 1 - 2 0
Un flux circule dans le tore magnétique
Un courant induit est créé dans la
bobine de détection
Un courant circule dans K2
Les contacts s’ouvrent
L’équipement est hors tension
N Ph
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300 mA
A 1er cas :
Ici, A et B se déclenche en même temps
Id Pas de sélectivité.
2e cas :
300 mA
DDR Sélectif
A A est conçu pour fonctionner avec un retard (50 ms par
exemple).
30 mA
B
Quelque soit la valeur de Id seul B déclenche.
Id Sélectivité assurée.
3.3. Régime IT :
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LV KALLEL AHMED ELECTRICITE DE BORD II
3.3.1. Principe
Le neutre est isolé de la terre, ou relié à la terre par une impédance.
Les masses sont reliées à une prise de terre.
3.3.2. Schéma
Ru : R de la prise de terre.
Rn : R de la terre du neutre.
Zn : Impédance d’isolement.
Premier défaut
Zn = 2200
Rn = 10 - Ru = 10
Tension de défaut :
Ud = Ru x Id
Ud = 10 x 0,1 = 1V Tension non
dangereuse.
La coupure n’est pas impérative.
Exemple de calcul :
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Deuxième défaut
Id
PE
Uc
Zn
Ru
Rn
En cas de double défaut, il y a présence d’un fort courant de court circuit (entre phase)
et d’une tension de contact (Uc) dangereuse.
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3.3.4. Caractéristiques.
o le premier défaut doit être signalé par un contrôleur permanent d’isolement (CPI),
par un signal sonore ou visuel.
o la coupure est obligatoire au deuxième défaut.
o un personnel de surveillance doit être capable de réparer au 1 er défaut.
Fonctionnement du CPI
Cet appareil contrôle en permanence l’isolement
du réseau.
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publique
d’enseignement avec
ateliers
Tous les régimes de neutre permettent de protéger les personnes, le matériel contre les contacts
indirects par coupure automatique de l’alimentation.
Récapitulatif.
Règles Protection
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CHAPITRE 2.
La division en circuits : c'est la disponibilité de l'énergie électrique qui préside à la division des
Pour les circuits de sécurité (éclairage de sécurité, circuits de service d’incendie, etc.).
1. Modes de distribution
la distribution radiale arborescente :
D’usage général, la distribution radiale arborescente est la plus employée elle peut être
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Avantage : Seul le circuit en défaut est mis hors service. Localisation facile du défaut. Opération
Inconvénients : Un défaut au niveau départs principaux affecte les niveaux des départs
elle est surtout utilisée pour la commande centralisée de process ou d’installation dédiée à une
Avantage : Coupure d’un seul circuit en cas de défaut (autre qu’au niveau général).
Inconvénients : surabondance des cables due à la multiplicité des circuits. Les caractéristiques de
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LV KALLEL AHMED ELECTRICITE DE BORD II
plusieurs sources, la mise en place d'alimentations de secours, la subdivision des circuits, le choix
générateurs d'harmoniques.
ininterrompues (ASI), comme les blocs autonomes d'éclairage de sécurité en sont des exemples .
La séparation des circuits, organisée en fonction des grands textes réglementaires et des
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La production de l’énergie électrique est assurée par des groupes électriques qui alimentent un
Entre les alternateurs et les récepteurs ; on trouve les tableaux électriques. Le tableau électrique
1. Le tableau principal
cette énergie vers les appareils utilisateurs soit directement, soit via d’autre tableau (secondaire
et autre) situé dans un endroit accessible et bien ventilé le tableau comprend un jeu de barres ces
barres sont en cuivre, fixées rigidement sur des isolants dans la partie haute du tableau, de
forme et section suffisante pour éviter les échauffements et résister aux efforts
Le tableau principal est scindé en deux parties par un disjoncteur et est relié au tableau de
secours par la traverse il assure l’alimentation de tableaux divisionnaires pour l’éclairage par
exemple.
Les cellules de couplage des alternateurs principaux sont généralement situées dans la partie
centrale du tableau, la distribution vers les récepteurs se faisant de part et d’autre de ces
cellules.
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LV KALLEL AHMED ELECTRICITE DE BORD II
2. Distributions
Les matériels alimentés sont classés en deux catégories
navigation).
Lorsque les matériels <<services essentiels >> sont en double, chacun des cotés du tableau principal
permet l’alimentation de l’un de ces matériels. Les disjoncteurs de ces départs ne sont pas munis
d’un dispositif à ouverture par manque de tension les services essentiels doivent être alimentés à
partir d’un tableau principal, soit par l ‘intermédiaire d’un tableau divisionnaire alimenté lui aussi
Lorsque la charge sur les alternateurs augmente, pour éviter de dépasser I nominal une détection
de maximum d’intensité enclenche la procédure de délestage qui aura pour effet d’éliminer un
certain nombre d’appareils non essentiels. Afin d’éviter le délestage brutal d’un grand nombre de
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LV KALLEL AHMED ELECTRICITE DE BORD II
- Et dune Traverse
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I. Le tableau de secours
Il est situé en dehors du local ou se trouve l’appareil propulsif, au-dessus du pont continu le
plus élevé. Il peu être alimenté soit par le générateur de secours GS, soit par le tableau principal
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II. La traverse :
principal.
En cas de manque de tension, sur incident au tableau principal, elle permet d’isoler ce dernier en
les départs prioritaires qui sont alimentés par le tableau principal ou par le
tableau de secours par permutation automatique :
tableau auxiliaire prioritaire machine
les départs normaux, alimentation des tableaux secondaires des auxiliaires pont
et machine non prioritaires;
les départs délestables dont la coupure peut être effectuée sans gêner la
marche du navire et permettre ainsi de ne pas dépasser la charge nominale des
alternateurs en service (exemples : cuisines, prises camions sur les ferry, ...)
Le cas des propulseurs d’étrave est un peu à part étant donnée la forte puissance du moteur et
son implantation. Le moteur du propulseur d’étrave situé prés du tableau principal démarre par
autotransformateur. Celui qui est très éloigné du tableau principal démarre en direct en utilisant
A la mer, le tableau principal est normalement alimenté par un ou plusieurs groupes électrogènes,
le tableau de secours est alimenté par la traverse. Les disjoncteurs D1, D2, D3, D4, D5 sont
fermés.
bobine de manque de tension; le manque de tension au niveau du tableau principal est détecté par
des relais de tension placés sur les barres principales. Ces relais de tensions ordonnent, après une
Pendant ce temps, le manque de tension détecté au niveau du tableau de secours provoque, après
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Après le black-out, les deux tableaux (principal et de secours) sont donc séparés et alimentés
couplage du tableau de secours (en manuel ou en semi-automatique) depuis le tableau principal par
le disjoncteur D2.
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LV KALLEL AHMED ELECTRICITE DE BORD II
I. Caractéristiques :
Le concept d’un tableau électrique de distribution englobe deux aspects différents :
La sécurité des personnes
La disponibilité de l’énergie électrique
Le tableau électrique est considéré comme véritable centre nerveux des installations électriques.
De sa sûreté dépend la sûreté de l’ensemble de l’installation électrique.
Le tableau électrique est de plus en plus technique. Il nécessite un certain nombre d’études de
base afin de maîtriser, à la conception, les conditions de fonctionnement de ses constituants dans
un environnement donné.
Ces études concernent entre autres les aspects thermiques
La maîtrise thermique est de plus en plus importante pour trois raisons principales :
tendance à mettre le matériel électrique sous enveloppes (sécurité) qui sont de plus
en plus réalisées en matériaux isolants (peu efficaces pour dissiper les calories),
Une étude thermique d'un tableau électrique a pour objectif principal de déterminer le courant
admissible par chaque appareil, compatible avec ses caractéristiques compte tenue de son
environnement de fonctionnement.
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LV KALLEL AHMED ELECTRICITE DE BORD II
L’appareillage électrique est conçu dans le respect des normes de fabrication qui définissent les
températures maximales à ne pas dépasser pour la sécurité des personnes : température du
boîtier et des organes de manœuvre, écart de température maximale pour les bornes.
Ceci est vérifié par des essais de certification des produits.
Dans un tableau électrique, le matériel étant soumis à des conditions d’emploi très variées, les
causes de surtempératures sont multiples.
Tout le problème consiste à s’assurer, au moment de la conception du tableau, que tous ses
composants fonctionneront dans des conditions de température moins contraignantes que celles
prévues par leurs normes de construction. Les appareillages de connexion, (disjoncteurs,
contacteursetc...), devront évidemment pouvoir, sans problème, être traversés par le courant
prévu.
Outre l’objectif de sécurité pour les personnes et les biens, deux objectifs ne doivent pas être
perdus de vue :
Il est bien évident qu’un logiciel validé par l’expérience et les essais est très utile car il permet
d’étudier comparativement les nombreuses configurations d’installations possibles et donc
d’optimiser le tableau à réaliser sur les plans thermiques et ... coût.
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2. Système de ventilation
A/ Aération naturelle
B/ Ventilation forcée :
3. Calcul thermique :
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Exemples :
acier
Tôle Polyptère Aluminium
inoxydable
K / (W/C°m2 ) 5.5 3.5 3.7 12
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Le débit D nécesaire pour évacuer la quantité de chaleur déterminée lors du calcul thermique :
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III. L’appareillages
1. Disjoncteurs
a/ Principe
Un disjoncteur assure la protection d'une installation contre les surcharges, les court-circuits, les
défauts d'isolement, par ouverture rapide du circuit en défaut. Il remplit aussi la fonction de
sectionnement (isolement d'un circuit). Certains appareils permettent une télécommande à
distance.
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b/ Caractéristiques fondamentales:
- Courant assigné In: valeur maximale du courant permanent que peut supporter le disjoncteur.
- Courant de réglage Ir: courant maximal que peut supporter le disjoncteur, sans déclenchement. Il peut
être réglable de 0,7 In à In pour les déclencheurs thermiques, de 0,4 In à In pour les déclencheurs
électroniques.
- Courant de fonctionnement Im: courant qui provoque le déclenchement pour les fortes surintensités. Il
peut être fixe ou réglable et peut varier entre 1,5 In et 20 In.
- Pouvoir de coupure Icu ou Icn: plus grande intensité de courant de court-circuit (présumé) qu'un
disjoncteur peut interrompre sous une tension donnée. Il s'exprime en kA efficace. Icu est le pouvoir de
coupure ultime des disjoncteurs à usage industriels, Icn est le pouvoir de coupure assigné des disjoncteurs
à usage domestique. Ics est le pouvoir de coupure de service qui est un pourcentage d'Icu.
- Pouvoir de limitation: c'est la capacité d'un disjoncteur à ne laisser passer qu'un courant inférieur au
courant de court-circuit présumé.
c/ Déclencheurs:
Le déclencheur permet l'ouverture des pôles du disjoncteur lors d'un défaut (court-circuit, surcharge).
Il est de nature magnétothermique ou électronique. Ce dernier cas permet une plus grande précision et un
réglage plus souple.
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LV KALLEL AHMED ELECTRICITE DE BORD II
47
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C 7 In 10 In récepteurs classiques
MA 12 In démarreur de moteur
Sélectivité:
C'est la coordination des disjoncteurs de telle sorte qu'un défaut survenant en un point quelconque de
l'installation, soit éliminé par le disjoncteur placé immédiatement en amont du défaut et par lui seul.
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LV KALLEL AHMED ELECTRICITE DE BORD II
Le choix suivant permet une sélectivité totale du point de vue des surcharges et des faibles courts-
circuits.
En revanche, la sélectivité n'est que partielle pour les courts-circuits élevés. En effet pour des courts-
circuits au point Z supérieurs à 500 A, les deux disjoncteurs B et C peuvent s'ouvrir.
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LV KALLEL AHMED ELECTRICITE DE BORD II
Filiation:
La filiation est une technique d'association qui permet d'utiliser le pouvoir de limitation des disjoncteurs,
de façon à installer en aval des disjoncteurs à pouvoir de coupure réduit, afin de diminuer le coût de
l'installation.
Exemple: les 3 disjoncteurs A, B, C sont en série. Les courants de court - circuit présumés sont 80 kA en
aval de A, 50 kA en aval de B, 24 kA en aval de C.
D'après le tableau suivant, on constate que le C60N seul, a un pouvoir de coupure de 10 kA. Son pouvoir de
coupure augmente, si on l'associe à un NS100N (25 kA) ou à un NS250L (30 kA). Il possède donc un pouvoir
de coupure de 30 kA (supérieur à 24 kA). Le NS100N seul, a un pouvoir de coupure insuffisant (25 kA), mais
associé au NS250L, son pouvoir de coupure passe à 150 kA (supérieur à 50 kA).
Aval C60N 25 25 30 30
Pdc (kAeff)
NG125N 50 70
(filiation)
NS100N 70 150
50
LV KALLEL AHMED ELECTRICITE DE BORD II
Le choix d'un contacteur est fonction de la nature et de la valeur de la tension du réseau, de la puissance
installée, des caractéristiques de la charge, des exigences du service désiré.
Définitions:
Tension nominale d'emploi Ue : c'est la tension d'utilisation du contacteur.
Courant nominal d'emploi Ie : c'est le courant d'utilisation du contacteur.
Courant nominal thermique Ith : c'est la valeur du courant servant de base aux conditions d'échauffement
du circuit principal. Le contacteur doit être capable de supporter Ith de façon permanente, les contacts
principaux étant fermés, sans que l'échauffement des différentes parties ne dépasse les limites fixées.
Pouvoir de coupure : c'est la valeur efficace du courant maximal que le contacteur peut couper, sans usure
exagérée des contacts, ni émission excessive de flammes. Le pouvoir de coupure dépend de la tension du
réseau. Plus cette tension est faible, plus le pouvoir de coupure est grand.
Pouvoir de fermeture : c'est la valeur efficace du courant maximal que le contacteur peut établir, sans
soudure des contacts.
Robustesse mécanique : c'est le nombre de cycles de manœuvres (fermeture + ouverture), à vide (sans
courant dans les pôles), susceptible d'être effectué par le contacteur, sans aucun entretien.
Endurance électrique : c'est le nombre de manœuvres maximal que peut effectuer le contacteur. Ce nombre
dépend du service désiré.
Facteur de marche : c'est le rapport entre la durée de passage du courant et la durée d'un cycle de
manœuvre.
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LV KALLEL AHMED ELECTRICITE DE BORD II
*/ Pouvoir véhiculer le courant nominal souhaité sans induire un échauffement des barres entraînant une
détérioration des isolants qui maintiennent les barres.
Par exemple les barres peuvent être dimensionnées de façon qu’elles ne dépassent pas, en régime permanent
une température de 110 C°, cette valeur étant entièrement dépendante de la nature des matériaux isolants
en contact avec elles ; par exemple les supports.
Le tableau de la fig. 10 donne pour une température ambiante de 50C°et 65C°quelques valeurs de
températures de jeux de barres.
52
LV KALLEL AHMED ELECTRICITE DE BORD II
*/ Pouvoir supporter un courant de court-circuit sans entraîner des déformations de barres notables, une
rupture des supports isolants, un échauffement excessif. La deuxième condition correspond à un problème
d'efforts électrodynamiques et peut être étudiée séparément ; par contre la première nécessite de
connaître le niveau de fonctionnement de l’ensemble.
En particulier il faut tenir compte de la température de l’air qui entoure les barres pour les dimensionner de
façon précise et éviter qu’elles ne dépassent une température critique fonction principalement de la nature
du matériau utilisé pour les supports. Ainsi, connaissant la température de l’air dans les différentes zones
du tableau, on peut déterminer en fin de programme, la température des barres en fonction de leurs
caractéristiques (dimensions, formes, dispositions...) et donc valider leur dimensionnement.
Remarque : En ce qui concerne les calculs de flux thermique, on considère que les barres dissipent
principalement la chaleur par convection et rayonnement avec l’air interne.
Figure 10 : Valeur thermiques relatives à quelques jeux de barres, d’une longueur de 1m, placés d’une ambiance donnée
53
LV KALLEL AHMED ELECTRICITE DE BORD II
54
LV KALLEL AHMED ELECTRICITE DE BORD II
A bord en distingue trois types de machines électriques (Machine à courant continu, Machine Synchrone et
courant continu) qui est entraînée par un moteur diesel ou tribune à gaze.
- Convertisseur de fréquence:
Les Moteurs Asynchrones peuvent être utilisés comme des convertisseurs de fréquence
pompes à eau, les pompes submersibles, les pompes de pré graissages, etc.… (Moteur à courant alternatif)
Dans ce paragraphe, on va discuter les avaries principales avec ses origines dans les alternateurs (moteurs
synchrones entraînés par des groupes électrogènes) qui présentent la source principale de l’énergie
électrique à bord des unités navigantes et le disfonctionnement de ce dernier peut influer la disponibilité
du navire.
ORIGINE ET ACTION A
AVARIE
ENTREPRENDRE
La vitesse du moteur diesel est basse. Faire
55
LV KALLEL AHMED ELECTRICITE DE BORD II
l’alternateur et à rebobiner.
de l’alternateur.
- Manque ou inversement du flux rémanent. A
niveau du régulateur
1. INSTALLATION :
L’installation des machines exige une collaboration étroite entre plusieurs disciplines telles que électrique,
bâtiment, process et mécanique. Les considérations suivantes doivent être prises en compte lors de l’étude
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LV KALLEL AHMED ELECTRICITE DE BORD II
Emplacement :
- Il convient de choisir un emplacement proche du centre de la charge afin de réduire les chutes de
L’encombrement :
- L’encombrement important doit être pris en compte lors des études de transport et d’installation.
Dans le bâtiment recevant l’équipement, il faut prévoir l’espace nécessaire à l’entretien, y compris
Accessibilité :
- Le fabricant des machines devra indiquer tous les renseignements concernant les besoins d’espace
et d’accessibilité.
2. ENTRETIEN
Les machines électriques se présentent aujourd’hui comme un élément solide qui n’a pas besoin de beaucoup
Généralement, la tache la plus importante pendant l’entretien des machines électrique est la mesure
d’isolement après chaque utilisation. Cette mesure est comparée par la suite aux valeurs d’un « seuil
Il est procédé de ramenée les valeurs d’isolement mesurées à 25C° à l’aide du nomogramme à alignement.
Ces deux mesures de résistances d’isolement « machine chaude » et « machine froide » permet d’apprécier
l’importance de l’hygrométrie et, ainsi, l’état réel de l’isolation. Ce procédé a pour avantage particulier de fournir
des valeurs successives mesurées de la résistance d’isolement, il doit être précisé chaque fois :
- « machine précédemment en service, ou chaud » ;
- « machine précédemment hors service, ou froid ».
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LV KALLEL AHMED ELECTRICITE DE BORD II
l’instrument est atteinte lentement, l’isolation doit être relativement propre et sèche ; si elle est atteinte
rapidement et si la valeur indiquée est faible, il est fort probable que l’isolation est humide, encrassée et
détériorée.
2. Les machines dont les enroulements sont neufs et dont l’isolation a été rénovée peuvent avoir une
résistance d’isolement faible, due à la présence de solvant utilisé dans les vernis et non encore
complètement évaporé.
3. Les mesures sont à effectuer, autant que possible, entre le conducteur de l’enroulement et le métal du
Cette règle est particulièrement valable pour les enroulements rotoriques pour lesquels il convient de
s’affranchir de la résistance parasite due au film d’huile des paliers. La prise de masse de l’appareil de
Entre phases.
Cette opération demeure cependant assujettie (soumet) aux facilités d’accès aux connexions, par exemple à
(ensemble)
(ensemble)
58
LV KALLEL AHMED ELECTRICITE DE BORD II
3. Principe :
Les mesures à froid s’entendent après un délai minimum de quatre heures suivant l’arrêt de
annexe A.
4. Valeurs-limites admissibles :
Les valeurs-limites admissibles, qui déterminent la bonne aptitude au service des machines, sont
données dans le tableau ci-dessous. Elles correspondent à des relevés ramenés à 250C et sont données
Avant nettoyage ;
Dans le tableau R représente une valeur de la résistance d’isolement égale à 1 000 ohms par volt de
R doit cependant être supérieure ou égale à 100 000 ohms, quelle que soit la tension de référence.
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LV KALLEL AHMED ELECTRICITE DE BORD II
- machines génératrices ;
- convertisseurs importants ;
60
LV KALLEL AHMED ELECTRICITE DE BORD II
* appareil à gouverner ;
* guindeau.
chaque quinzaine : à chaud chaque fois que possible et, de toute façon, à froid ;
Il est conseillé d’effectuer une vérification périodique du moteur toutes les mille heures.
Boîte à bornes :
Vérifier le serrage des bornes et dépoussiérer éventuellement la boîte à bornes avec un jet d’air
comprimé.
Balais moteur :
Les balais sont accessibles en dévissant le bouchon plastique étanche qui ferme la gaine du porte-
balai.
Au moment du contrôle, il est très important de replacer le balai dans sa gaine d’origine et dans le
même sens.
S’assurer que :
les balais coulissent librement dans leur gaine. Les essuyer avec un chiffon sec pour enlever
les shunts ne sont ni endommagés (fil recuit par un courant excessif) ni coupés.
les ressorts n’ont pas perdu de leur élasticité. Ce peut être le cas lorsque le shunt étant
les balais ne sont pas cassés, écaillés ou brûlés à la suite d’un courant excessif (arête des
surfacesfrottantes brûlées).
61
LV KALLEL AHMED ELECTRICITE DE BORD II
l’étrier du shunt assure un bon contact avec les parois de la gaine porte-balais.
Si les balais ne satisfont pas à ces conditions, il y a lieu de les remplacer par des balais neufs pré
Avant remise en place des balais, on éliminera la poussière de charbon déposée par l’usure des balais
en soufflant dans les gaines à l’aide d’un jet d’air comprimé sec.
Balais de la génératrice:
Ces balais doivent assurer normalement un service sans entretien jusqu’à la révision générale de la machine.
En cas de nécessité, les remplacer par des balais de mêmes dimensions et de même qualité préalablement
soigneusement prérodés.
Collecteur moteur :
Vérifier que le collecteur est recouvert d’une patine de couleur uniforme. Ne pas détruire cette patine qui
Si l’état du collecteur n’est pas satisfaisant, il y aura lieu de procéder à son diamantage (opération
constructeur).
Roulements :
Les roulements sont du type à déflecteurs graissés à vie. Un bruit anormal pendant la rotation nécessite
Après avoir retiré les balais et éventuellement alimenté le frein sous 24 volts, pour le débloquer (cas des
moteurs équipés d’un frein) faire tourner le moteur à la main. La rotation doit s’effectuer librement sans
62
LV KALLEL AHMED ELECTRICITE DE BORD II
- réglage du frein (dans le cas des moteurs équipés d’un frein réglable), sont possibles au niveau de
- rectification du collecteur,
- remplacement du collecteur,
- rebobinage de la machine, ne peuvent être effectuées que par un atelier spécialisé. Il est préférable de
Démontage de la machine :
- Retirer les balais de la génératrice tachymétrique et du moteur avec précaution en repérant leur position
- Dévisser les vis qui fixent sur la carcasse le flasque porte-balais du moteur et le flasque bride.
- Déboîter le flasque bride à l’aide d’un maillet en bois. Il peut rester temporairement sur son roulement.
- Retirer l’induit du moteur du côté arbre de travail, en exerçant une traction parallèle de l’axe.
Cette traction peut être relativement importante en raison de l’attraction magnétique et il est préférable
d’immobiliser la carcasse.
- Eviter les chocs sur les aimants. Ces chocs importants peuvent écailler les aimants et laisser dans
l’entrefer des éclats qui ensuite, risquent de détériorer l’induit pendant sa rotation.
- Eviter de faire porter le collecteur sur une partie métallique quelconque (aimant ou bord de c carcasse).
- L’induit déposé, retirer le flasque bride après avoir enlevé la clavette de l’arbre, en exerçant une traction
parallèle à l’axe.
- Retirer le flasque porte-balais du moteur, repérer soigneusement sa position par rapport à la carcasse par
un trait de repère.
- Déconnecter sur la boîte à bornes les câbles du moteur en les repérant soigneusement et éventuellement
- Retirer les roulements avec un arrache roulement, si nécessaire. Dans le cas contraire, protéger le
roulement contre toute introduction de corps étranger en l’enveloppant soigneusement dans du papier.
Remontage de la machine :
63
LV KALLEL AHMED ELECTRICITE DE BORD II
- Au préalable, souffler énergiquement la carcasse pour éliminer la poussière de charbon et éviter de laisser
dans l’entrefer des éclats de ferrite qui pourraient ensuite endommager l’induit. Souffler également le
flasque porte-balais.
- Monter le flasque bride sur son roulement avec ses vis en place.
- Introduire avec précaution l’induit dans la carcasse, en évitant de porter sur les aimants et en préservant
le collecteur de tout choc. L’attraction magnétique étant importante, il y a lieu d’immobiliser la carcasse.
- Faire entrer le roulement côté collecteur dans son logement, emmancher le flasque bride sur la carcasse à
- Fixer les deux flasques sur la carcasse en serrant les vis. S’assurer que l’induit tourne librement à la main
sans contrainte.
- Remonter le flasque porte-balais sur la carcasse à l’aide d’un maillet en bois et calé suivant le repère
effectué avant démontage, en prenant soin de rétablir correctement sur la boîte à bornes les connexions du
- régulateur de tension
- et du régulateur de vitesse
a. Le régulateur de tension
En fonctionnement autonome
La régulation de tension d’un alternateur doit corriger l’effet des variations de vitesse ainsi que la réaction
Un élément détecteur mesure la tension de sortie, qui est comparée à une tension de référence ; l’écart,
ou le signal d’erreur, agit pour régler le courant d’excitation de l’excitatrice, jusqu’à ramener l’écart détecté
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LV KALLEL AHMED ELECTRICITE DE BORD II
En fonctionnement couplé
Il faut assurer aussi une répartition correcte des puissances réactives ; à défaut, on risque une surintensité
1. En marche autonome :
- Maintenir U= Cte ± ε
- Réagir rapidement
En fonctionnement couplé :
- Répartir l’énergie réactive proportionnellement aux puissances actives, les facteurs de puissance
Conclusion :
b. Régulateur de vitesse :
En régime établit :
- Linéarité de la caractéristique.
En régime variable :
- La rapidité de réponse.
- La stabilité.
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LV KALLEL AHMED ELECTRICITE DE BORD II
Définition
Un câble électrique est constitue d’une partie métallique permettant le transport du courant appelée âme
protection mécanique.
Conducteur
Un conducteur est l'appellation de l’ensemble constitue d'une âme conductrice et d’une enveloppe
isolante.
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LV KALLEL AHMED ELECTRICITE DE BORD II
Câble unipolaire.
Un câble unipolaire définit un conducteur possédant un revêtement extérieur.
Câble multipolaire.
Un multipolaire définit l'association de plusieurs conducteurs isolés les uns des autres mais mécaniquement
solidaires.
L âme conductrice peut être rigide (massive) ou souple (câblée), elle est définit par sa classe et sa
résistance linéique.
L écran monté sur l âme permet de créer une surface équipotentielle interdisant les effets de
L écran monté sur l enveloppe isolante permet la mise a la terre du câble lors des défauts, l'écoulement des
courants capacitifs et de cours circuit. La gaine d'étanchéité permet la protection du câble contre la
pénétration de l'eau ou de liquides, une gaine est toujours protégée par une armure.
La gaine de protection protège l'ensemble des constituants du câble contre les agressions du milieu
extérieur.
Caractéristiques :
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LV KALLEL AHMED ELECTRICITE DE BORD II
a) Parties conductrices
Elles concernent l'âme du conducteur ou du câble. Cette âme doit être très bonne conductrice de
l'électricité pour limiter au maximum les pertes par effet Joule lors du transport de l'énergie, d'où
L’âme et dite massive lorsqu’elle est constituée d’un conducteur (fil) unique. Utilisé pour les
installation fixes.
L’âme est dite multibrin lorsqu’elle est formée de plusieurs brins assemblés en torons. Utilisé pour
les parties mobiles des installations fixe. (machine à laver, radio, chantier…).
Km
c) Parties isolantes :
Elles doivent protéger les conducteurs contre la présence d’eau, de poussières, les chics mécaniques et la
chaleur. Elles doivent avoir une résistivité très grande (isolant), on emploie :
Les isolants utilisés sont caractérisés par leur tension nominale d'isolement. La tension nominale du câble
En basse tension on distingue différentes tensions nominales de câbles : 250V, 500V, 750V ou 1000V.
68
LV KALLEL AHMED ELECTRICITE DE BORD II
câble des influences externes. On est conduit à recouvrir l'enveloppe isolante par une gaine de protection
On emploie des enveloppes en matériaux synthétiques (PVC) ou métalliques (feuillard d'acier, d'aluminium ou
plomb).
La température maximale de fonctionnement pour les isolants est donnée par les normes NBN.
Polychlorure de vinyle : 70 °C
Polyéthylène réticulé : 90 °C
Identification et repérage :
Le repérage des conducteurs par leur couleur est impératif pour l’installateur électricien, il peut ainsi
Les conducteurs de phase peuvent être repérés par n'importe quelle couleur sauf Vert/Jaune, Vert,
Jaune, Bleu
Remarques :
L'identification des conducteurs par leur couleur ne doit être considérée que comme une présomption. Il est
toujours nécessaire de vérifier la polarité des conducteurs avant toute intervention.
La couleur bleue peut être utilisée pour un conducteur de phase si le neutre n'est pas distribué.
Marque de conformité.
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LV KALLEL AHMED ELECTRICITE DE BORD II
Pour les fils et les câbles isolés, la marque de conformité est constituée :
Soit de 2 fils blanc tendu parallèlement au conducteur sous la tresse ou gaine extérieur. Ils sont
accompagnés d’un ou plusieurs fils colorés qui constituent le signe distinctif du fabricant.
Soit de la mention CEBEC précédée d’un triangle et suivie du numéro distinctif du fabricant, gravée ou
moulée dans la gaine extérieur.
La première lettre du sigle désigne la nature de l’enveloppe isolant en contact direct avec le conducteur.
C=Caoutchouc ex : C.T.L.B
V+Vinyle ex : V.O.B
Appellations européennes.
En vue d’employer dans tous les pays du Marché Commun la même dénomination pour le même type de fil, il a
été décidé une harmonisation dans les fils électriques. Cette nouvelle dénomination est composée d’une série
de lettre et chiffres qui ont tous une signification
Symboles et pose
H Modèle harmonisé.
A Modèle national reconnu par la CENELEC
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LV KALLEL AHMED ELECTRICITE DE BORD II
.01 100/100V.
.03 300/300V.
.05 300/500V.
.07 450/750V.
.1 0,6/1KV.
.3 1,7/3KV.
.6 3,5/6KV.
3-Isolation conducteur et gaine
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LV KALLEL AHMED ELECTRICITE DE BORD II
Sur la plupart des câbles, on signale la présence d’un conducteur de terre par la lettre G. (en anglais,
Ex : V.T.M.B 3G2,5mm² = 3 conducteurs au total, de 2,5mm² de section, dont un des conducteurs est
d’énergie.
même section.
cylindriques.
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LV KALLEL AHMED ELECTRICITE DE BORD II
Sections standardisées.
0,5 – 0,7 – 1 – 1,5 – 2,5 – 4 – 6 – 10 – 16 – 25 – 35 …
Ainsi, les tableaux suivant donnent les sections à utiliser en fonction des longueurs, des tensions, et des
73
LV KALLEL AHMED ELECTRICITE DE BORD II
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LV KALLEL AHMED ELECTRICITE DE BORD II
Le logigramme de la figure ci-dessous résume le principe de la méthode qui peut être décrite par les étapes
suivantes :
1ère étape :
2ème étape :
- selon les conditions d'installation (mode de pose, température ambiante, ...), on détermine le facteur global
de correction K
3ème étape :
- pour les schémas TN et IT, vérification de la longueur maximale relative à la protection des personnes
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LV KALLEL AHMED ELECTRICITE DE BORD II
Lettre de sélection:
type de conducteurs mode de pose lettre
sous conduit, profilé ou goulotte, en apparent ou
encastré
conducteurs et câbles B
sous vide de construction, faux plafond
multiconducteurs
sous caniveau, moulures, plinthes, chambranles
en apparent contre mur ou plafond C
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LV KALLEL AHMED ELECTRICITE DE BORD II
K1
lettre cas d'installation K1
câbles dans profilés encastrés directement dans matériaux thermiquement
0,70
isolants
B,C conduit encastrés dans des matériaux thermiquement isolants 0,77
câbles multiconducteurs 0,90
vides de construction et caniveaux 0,95
C pose sous plafond 0,95
B,C,E,F autres cas 1,00
K4
cas d'installation K4
pose sous fourreaux, conduits ou profilés 0,8
autres cas 1,0
K2
disposition des câbles nombre de circuits ou de câbles multiconducteurs
lettre
jointifs 1 2 3 4 5 6 7 8 9 12 16 20
encastrés ou noyés dans
B,C 1 0,8 0,7 0,65 0,6 0,57 0,54 0,52 0,5 0,45 0,41 0,38
parois
simple couche sur murs
C 1 0,85 0,79 0,75 0,73 0,72 0,72 0,71 0,7 0,7
ou planchers ou tablettes
77
LV KALLEL AHMED ELECTRICITE DE BORD II
non perforées
simple couche au plafond 0,95 0,81 0,72 0,68 0,66 0,64 0,63 0,62 0,61 0,61
simple couche sur
tablettes horizontales
1 0,88 0,82 0,77 0,75 0,73 0,73 0,72 0,72 0,72
perforées ou tablettes
E,F verticales
simple couche sur
1 0,87 0,82 0,8 0,8 0,79 0,79 0,78 0,78 0,78
échelles ou corbeaux
K5
nombre de circuits 1 2 3 4 5 6 7 8 9 12 16 20
K5 1,00 0,80 0,70 0,65 0,60 0,57 0,54 0,52 0,50 0,45 0,41 0,38
Lorsque les câbles sont disposés en plusieurs couches, il faut appliquer en plus un facteur
de correction:
nombre de couches 2 3 4 5
facteur de correction 0,80 0,73 0,70 0,70
K3
température isolation
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LV KALLEL AHMED ELECTRICITE DE BORD II
60 0,50 0,71
K7
isolation
température du sol
polyéthylène réticulé (PR)
(°C) polychlorure de vinyle (PVC)
éthylène propylène (EPR)
10 1,10 1,07
15 1,05 1,04
20 1,00 1,00
25 0,95 0,96
30 0,89 0,93
35 0,84 0,89
40 0,77 0,85
45 0,71 0,80
50 0,63 0,76
55 0,55 0,71
60 0,45 0,65
K6
nature du sol K6
très humide 1,21
humide 1,13
normal 1,05
sec 1,00
très sec 0,86
79
LV KALLEL AHMED ELECTRICITE DE BORD II
2,5 21 24 25 27 30 31 33 36
4 28 32 34 36 40 42 45 49
6 36 41 43 48 51 54 58 63
10 50 57 60 63 70 75 80 86
4 22 25 26 28 31 33 35 38
80
LV KALLEL AHMED ELECTRICITE DE BORD II
aluminium 6 28 32 33 36 39 43 45 49
(mm²) 10 39 44 46 49 54 59 62 67
16 53 59 61 66 73 79 84 91
25 70 73 78 83 90 98 101 108 121
35 86 90 96 103 112 122 126 135 150
50 104 110 117 125 136 149 154 164 184
70 133 140 150 160 174 192 198 211 237
95 161 170 183 195 211 235 241 257 289
120 186 197 212 226 245 273 280 300 337
150 227 245 261 283 316 324 346 389
81
LV KALLEL AHMED ELECTRICITE DE BORD II
Exemple :
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LV KALLEL AHMED ELECTRICITE DE BORD II
Choix de la section
C1 C2 C3
In = 100A = Iz (disjoncteur) In = 15A In = 30A
Lettre F Iz = 1,21 x 15 = 18A (fusible Iz = 1, 1 x 30 = 33A
K1 = 1 Lettre B (fusible)K4 = 0,8
K2 = 1 K1 = 0,95 K5 = 1
K3 = 0,91 K2 = 1 K6 = 1,05
K = 0,91 Iz' = 100 / 0,91 = K3 = 0,87 K7 = 0,96
110A Triphasé : PR325 mm² / K = 0,82 Iz' = 18 / 0,82 = 22A K = 0,80 Iz' = 33 / 0,80 =
phase (138A) Monophasé : PVC22,5 mm² / 41A Triphasé : PR32,5
Neutre : 25 mm² conducteur (24A) mm² / conducteur (41A)
PE : 16 mm²
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LV KALLEL AHMED ELECTRICITE DE BORD II
Triphasé équilibré
C1 C2 C3
S = 25 mm² S = 2,5 mm² S = 2,5 mm²
L = 20m L = 200m L = 100m
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LV KALLEL AHMED ELECTRICITE DE BORD II
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LV KALLEL AHMED ELECTRICITE DE BORD II
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