Vous êtes sur la page 1sur 12

0 langue développé replié

Ajouter des liens

Mine des Télots


La mine des Télots exploitait du schiste
bitumineux d'âge autunien à Saint-Forgeot à la Mine des Télots
limite de la ville d'Autun en Saône-et-Loire dans le
centre-est de la France.

L'extraction du schiste dans le secteur commence


en 1824 à Igornay. De l'huile de schiste est
produite dès 1837 pour l'éclairage public et les
installations sont améliorées en permanence pour
diversifier la production. La concession des Télots
est accordée en 1865. La raffinerie complète l'usine
de distillation du pétrole en 1936 et emploie
plusieurs centaines d'ouvriers qui produisent du
carburant pour automobile. Sous l'Occupation, ce
site est stratégique pour l'armée allemande qui le
surveille et des actes de sabotages mineurs sont
menés par la résistance locale et les alliés Au premier plan, une cité ouvrière. Derrière, l'usine de
(notamment les raids Scullion). En représailles les distillation, la raffinerie et les deux terrils coniques.
miliciens exécutent cinq ouvriers.
Ressources Schiste bitumineux d'Autun
À la fermeture en 1957, le site est démantelé et Exploitant 1865-1881 : Concession des
partiellement démoli. Des vestiges des installations Télots,
(ruines) et deux grands terrils marquant le paysage 1881-1936 : SLSB (Société
subsistent au début du XXIe siècle, envahi par une
lyonnaise des schistes
végétation particulière étudiée pour sa biodiversité.
bitumineux),
Les Télots sont reconnues comme zone naturelle
1936-1957 : SMSB (Société
d'intérêt écologique, faunistique et floristique
Minière des Schistes
(ZNIEFF).
Bitumineux)
Ouverture 22 avril 1865
Fermeture 31 août 1957

Pays France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Saône-et-Loire
Commune Saint-Forgeot
Coordonnées 46° 59′ 12″ N, 4° 18′ 12″ E
Localisation sur la carte de Saône-et-Loire
Sommaire
Situation
Géologie
Histoire
Généralités
Les Télots
Personnel
Après-mine
Localisation sur la carte de Bourgogne-Franche-Comté
Reconversion
Vestiges
Biodiversité
Notes et références
Références aux ouvrages
Références à internet
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
Bibliographie
Localisation sur la carte de France

Situation
La mine est implantée dans une vallée du Morvan
sur le territoire de la commune de Saint-Forgeot, à
la limite d'Autun dans le nord du département de
Saône-et-Loire, en région de Bourgogne-Franche-
1
Comté, dans le Grand Est français .

Géologie
Le gisement de schiste bitumineux d'Autun a
donné son nom à la période géologique à laquelle il
s'est formé : l'Autunien qui s'étage entre −299 et
2
−282 millions d'années mesure 1,3 km
d'épaisseur. Les couches de schiste bitumineux sont entrecoupées par des sédiments détritiques fins dont du
calcaire. Les couches forment des lentilles dont l'épaisseur et la qualité varient fortement. Le gisement
3
s'appuie sur le socle houiller du Stéphanien d'Épinac .

Le bassin est divisé en deux strates, elles-mêmes subdivisées en deux assises. La mine des Télots exploite
un gisement appartenant à l'Autunien supérieur et à l'assise de Millery qui mesure 250 mètres d'épaisseur de
schiste, traversée par de la roche détritique. Elle possède dix couches bitumineuses, la couche supérieure est
4
composée de boghead, un type de charbon bitumineux .

Au début des années 1980, des études sont menées par Pascal Martaud, pour le BRGM, qui révèlent des
5 o1
réserves importantes (20 à 30 millions de tonnes). Le gisement s'étend sur une surface de 240 km2 .

Histoire

Généralités

Le gisement est découvert en 1813 à Igornay et


l’extraction commence en 1824 sur cette commune.
De l'huile de schiste est produite de façon
industrielle dès 1837 pour l'éclairage public de
plusieurs grandes villes comme Paris, Lyon, Dijon
6, i 1, o 2, i 2
ou Strasbourg . Pour cela, le schiste est
concassé puis chauffé à une température comprise
entre 450 et 500 °C dans un espace confiné, privé
Carte des communes de Saône-et-Loire, présentant d'air. La vapeur qui s'en échappe est alors condensée
l'étendue du gisement de schiste bitumineux d'Autun pour obtenir de la matière liquide proche du
i 3
en noir et la mine des Télots en rouge. pétrole . En 1847, l'huile lampante autunoise est
confrontée à la concurrence du gaz de houille mais
o1
la production repart rapidement à la hausse .

À la fin du XIXe siècle, le schiste est extrait jusqu’à 300 mètres sous terre, les actionnaires obtiennent un
bénéfice de 30 % et l'apogée en 1864 et 1865 (6 700 tonnes d'huiles extraites à partir des schistes
o3
bitumineux en 1865 ). Avec l'arrivée de la concurrence du pétrole américain et russe en 1870, plusieurs
concessions disparaissent. En 1881, la Société lyonnaise des schistes bitumineux (SLSB) rachète plusieurs
concessions subsistantes pour relancer la production avec de nouveaux capitaux privés et l'aide de l'État,
elle obtient le monopole en 1891. Les installations de surface se complètent progressivement de 1840 à
1870 notamment pour produire de l'huile, de la paraffine, des sulfates et de l'ammoniaque. Ces derniers
6, i 1, o 2, o 1, i 4
produits sont abandonnés après la Première Guerre mondiale .

En 1892, l'État diminue les taxes douanières sur les pétroles étrangers ce qui augmente leur compétitivité
face au pétrole de schiste autunois. Pour compenser, des primes sont mises en place, ce qui permet de
moderniser les installations, en augmentant de 30 % le rendement de l'huile brute. À la suite de la
mobilisation de 1914, les mines et usines de Ravelon (Dracy-Saint-Loup) et de la Margenne (Monthelon)
sont contraintes de fermer. L'exploitation est alors concentrée aux Télots et à Surmoulin (Dracy-Saint-
Loup). En 1933, une loi permet l'exonération fiscale des essences issues de l'huile de schiste, ce qui ouvre
de nouvelles perspectives. Les réformes sociales mises en place par le Front populaire en 1936 diminuent la
rentabilité de la SLSB. Une nouvelle compagnie, la Société Minière des Schistes Bitumineux (SMSB) est
7
créée avec l'appui financier de Pechelbronn SAEM .
8
Liste des 21 concessions
Les concessions du gisement de schiste d'Autun.
Agglomération d'Autun
Zones exploitées
Limites de concessions
Zones exploitées par la
Limites communales
mine des Télots
Nom Surface Institution
Igornay 522 29 juillet 1841
Millery 522 11 juillet 1843
Surmoulin 1068 4 novembre 1843
Dracy-Saint-Loup 398 4 novembre 1843
Saint-Léger-du-Bois 515 14 février 1846
Comaille 331 31 août 1847
Petite-Chaume 280 25 juillet 1855
Poisot 638 17 décembre 1856
Chambois 1130 27 juillet 1859
Ruet 810 21 octobre 1861
Abots 305 8 mai 1862
Chevigny 304 25 juillet 1864
Ravelon 610 1er août 1864
Lally 278 4 décembre 1864
Saint-Forgeot 364 18 février 1865
Thélot 518 22 avril 1865
Hauterive 518 20 août 1865
Margenne 243 6 février 1877
Cerveau 327 ?
Champsigny 113 ?
Miens 486 ?

Les Télots
8
La concession des Télots, d'une superficie de 126 hectares, est accordée le 22 avril 1865 . Les installations
minières et l'usine de traitement sont développées par la SLSB après 1881. En 1911, le matériel français est
o2
remplacé par un système écossais, notamment des cornues Pumpherston plus performantes .

Une raffinerie avec unités de craquage est ouverte en 1936 pour compléter l'usine de distillation du pétrole
et l’entreprise se spécialise dans les carburants automobiles. La société change de nom à la suite d'un
i 2, o 2
changement de propriétaire et devient la Société minière des schistes bitumineux (SMSB) . Le
personnel se compose alors de 600 employés dont une centaine de mineurs qui extraient quotidiennement
i4
près de 1 000 tonnes de schiste assurant une production de 70 millions de litres d'essence par an .

Sous l'Occupation, 600 ouvriers travaillent aux Télots, dont d'anciens mineurs des houillères d'Épinac. Il y
9
a également une population d'origine polonaise, qui vit essentiellement dans les cités ouvrières . Du
matériel est récupéré au puits Eugène Soyez des houillères de Sincey en Côte-d'Or pour être employé aux
o 4
Télots . Les installations de pyrogénation sont stratégiques pour l'armée allemande qui s'y fournit en
carburant. La zone est surveillée par la Luftwaffe et des miliciens d'Autun. Des actes de sabotages (dont
des incendies) sont menés dans un premier temps par l'armée française en 1940 lors de la débâcle. Deux
9
9
missions dites « Scullion 1 et 2 » sont menés par le Special Air Service (SAS) , notamment par les agents
du SOE : George Connerade, George Demand, George Larcher, Eugène Levene, Jack Hayes, Jean Le
Harivel, David Sibree et Victor
o 5
Soskice . D'autres actions sont
menées par la résistance locale
(maquis Socrate). Mais chacune de
ces attaques n'inflige que des dégâts
mineurs aux installations. En
représailles, les miliciens exécutent de
jeunes ouvriers âgés de 17 à 20 ans :
trois Français et un Polonais ainsi que
le père de ce dernier. À la Libération,
le carburant est utilisé par la Première
i 1, i 5
Armée Française .

Le 1er avril 1944, les concessions de


charbon de Saint-Léger-du-Bois et de
Moloy à Épinac sont reprises par les
mines des Télots qui ont besoin de
i2
combustible . Dans les années 1950,
la production s'élève à 22 000 tonnes
de produits traités malgré la baisse L’environnement du puits de la mine des Télots et de ses
10 installations annexes vers 1950.
progressive des effectifs , grâce à
l'utilisation de haveuses, de Plans d'eau
Terrils
pelleteuses et de bandes Autres constructions
transporteuses qui modifient la Bâtiments miniers
Voies ferrées
méthode d'exploitation et remplacent Cité minière
celle de l'extraction par piliers. Cette
méthode permet de récupérer 95 %
o 2
des couches visitées contre 60 % au maximum avant la Seconde Guerre mondiale . L'activité cesse le
31 août 1957 à cause de la concurrence du pétrole liquide, plus facile à exploiter, alors que 340 ouvriers y
i 1, i 3
travaillent encore .

Le puits des Télots vers Le puits d'extraction La préparation du


1880. vers 1900. schiste.

Le concassage-
stockage.

P l
Personnel
Le personnel est essentiellement composé d'agriculteurs de la région ; des mineurs polonais sont recrutés au
début des années 1930. Le nombre maximum d’employés est de 1 420 personnes. Les salaires sont
inférieurs à ceux des Houillères d'Épinac. Les mineurs de fond y travaillent 46 h 30 par semaine, tandis que
les ouvriers de surface travaillent entre 44 et 48 heures par semaine selon le poste. La mine des Télots ne
connaît pas de grande catastrophe minière, mais une dizaine de mineurs meurent dans des accidents
techniques entre 1914 et 1957. Une chambre syndicale s'occupe de la protection sociale des ouvriers des
Télots à partir de 1872. Elle est remplacée par une société de secours en 1936. En 1946, les travailleurs du
o2
fond bénéficient d'un statut de mineur identique à celui des Charbonnages de France .

Après-mine

Reconversion
o2
La reconversion est assurée par Électricité de France (EDF) . Après la fermeture, les entrées de mines
sont remblayées, les installations sont démantelées et en grande partie démolies par la société Pigeat. Une
9
unité de craquage Dubbs est démontée pour être remontée sur le site de Pechelbronn en Alsace .

Vestiges

Des ruines de la recette du plan incliné, le bâtiment de concassage-stockage, deux châteaux d'eau et une
cheminée d'usine subsistent au début du XXIe siècle et sont envahis par la végétation, tout comme les deux
i 2, i 3, 11
grands terrils culminant à 386 et 397 mètres d’altitude, soit une élévation d'une centaine de mètres
9, i 6
par rapport à la plaine, marquant ainsi le paysage .

Les vestiges de surface.

Vue générale aérienne. Perspective, cheminée, Ancien accès


deux châteaux d'eau et ferroviaire.
deux terrils.

Bâtiment du concasseur
vue des terrils.
Château Vue de Château Base de Cheminé Concasse Bâtiment du
d'eau l'intérieur. d'eau la e ur. concasseur
fermé. ouvert. cheminée complète (côté
. . descenderie).

Machineri
e de la
descende
rie.

Les deux terrils coniques.

Vue au sol. Vue aérienne. Pente.

Sommet.

Biodiversité

La biodiversité est étudiée par des naturalistes, notamment pour ses papillons, ses amphibiens et sa flore.
Depuis 2007, le muséum d'histoire naturelle d'Autun met en avant ce patrimoine industriel et naturel avec
12
des expositions .

Les Télots sont reconnues comme zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF).
À partir d'un sol stérile et caillouteux, plusieurs types d'espaces naturels sont apparus : éboulis siliceux,
plusieurs sortes de pelouses silicicoles faiblement acides avec plantes annuelles, des prairies maigres de
p p p , p g

fauche colonisées par Arrhenatherum elatius, de la végétation aquatique telle que le Potamot nageant
13
(Potamogeton natans), qui se développent dans les mares d'affaissement minier .

Les terrils pentus sont colonisés par une boulaie, tandis que la friche industrielle plane est occupée par une
chênaie-frênaie. Les zones humides incluent à la fois des roselières avec Phragmites et Typha et à la fois de
prairies humides peuplées de Jonc glauque (Juncus inflexus). Plus de 210 espèces végétales ont été
inventoriées tel que l'oseille à oreillettes (Rumex thyrsiflorus (en)), l'Orpin à feuilles de fève (Hylotelephium
telephium), l'Épilobe à feuilles de romarin, la Céphalanthère blanche (Cephalanthera damasonium) pour
les plus notables. La présence de mares permet l'accueil d'amphibiens, notamment la rainette verte (Hyla
13
arborea), une espèce protégée .

Espèces les plus notables répertoriées.

Rumex Hylotelephi Épilobe à Cephalanth Rainette


thyrsifloru um feuilles de era verte.
s (en). telephium. romarin. damasoniu
m.

Notes et références

Références aux ouvrages


Ouvrages en bibliographie
1. J. Le Goff 2013, p. 9.
2. Georges Gand 2010.
3. J. Le Goff 2013, p. 11.
4. J. Le Goff 2013, p. 12.
5. Jean-Philippe Passaqui et Sylvain Bellenfant 2010, p. 9.
6. R.Feys 1945, p. 16-17.
7. J. Le Goff 2013, p. 17.
8. R.Feys 1945, p. 20-21.
9. Jean-Philippe Passaqui et Sylvain Bellenfant 2010, p. 5.
10. Jean-Philippe Passaqui et Sylvain Bellenfant 2010, p. 4-5.
11. J. Le Goff 2013 (4), p. 9 (Annexe 7).
12. Jean-Philippe Passaqui et Sylvain Bellenfant 2010, p. 5-7.
13. S.H.N.A. (Bellenfant S., Balay G.) 2016, p. 2-3.

Autres ouvrages
1. Recherches des étudiants, Gilles Miot, « L'exploitation de schiste bitumineux dans
l'Autunois : La mine et l'usine des Télots » (http://www.bm-dijon.fr/documents/ANNALES%20
BOURGOGNE/1984/1984-056-08-074-075-1372363.pdf) [PDF].
p )[ ]

2. Bernard Lecomte, La Bourgogne Pour les Nuls, EDI8, 20 juin 2013 (ISBN 9782754054874,
lire en ligne (https://books.google.fr/books?
id=C3Qjcflrg04C&dq=Mine+des+T%C3%A9lots)), Deux mystérieux terrils à l'entrée
d'Autun....
3. Lucien Taupenot, « Quand le pétrole autunois éclairait Paris, Lyon, Dijon, Strasbourg »,
Images de Saône-et-Loire, no 145, mars 2006, p. 2 et 3.
4. [PDF] Jean-Philippe Passaqui, Mines et minières de Côte-d'Or au XIXe siècle, 2001 (lire en
ligne (http://www.bm-dijon.fr/documents/MEMOIRES%20CACO/1832-2001/1993-1996-037-
22-379-396-1433049.pdf)), p. 394.
5. Michael R D Foot, Jean-Louis Crémieux-Brilhac, Des anglais dans la résistance. Le SOE en
France, 1940-1944, Tallandier, 2013, 831 p. (ISBN 979-10-210-0194-7, lire en ligne (https://b
ooks.google.fr/books?id=qOGbBAAAQBAJ&pg=PT266&dq=op%C3%A9ration+scullion+aut
un)).

Références à internet
1. CCCA d'après Gilles Pacaud, « Quel avenir pour les schistes bitumineux ? » (https://web.arc
hive.org/web/20190331104106/http://www.gensdumorvan.fr/culture/ccca-l-quel-avenir-pour-l
es-schistes-bitumineux-r-conference-de-gilles-pacaud.html), sur gensdumorvan.fr (http://ww
w.gensdumorvan.fr/).
2. « Les Houillères de Blanzy en Bourgogne : Mine de schiste bitumineux des Télots - Autun /
Saint-Forgeot » (http://www.patrimoine-minier.fr/bourgogne/index.html), sur patrimoine-
minier.fr (http://www.patrimoine-minier.fr).
3. « Les Houillères de Blanzy : Mine des Télots » (http://www.exxplore.fr/pages/Houilleres-Blan
zy.php), sur exxplore.fr (http://www.exxplore.fr).
4. Lilian Bonnard, « Gaz de schiste et si on rouvrait la mine d'Autun ? » (https://web.archive.org/
web/20170530180816/http://www.miroir-mag.fr/8688-gaz-de-schiste-et-si-on-rouvrait-la-mine
-dautun/), sur miroir-mag.fr (http://www.miroir-mag.fr/), 14 octobre 2013.
5. « 20 juillet 1944 aux Télots, assassinat des Warzybok » (http://www.respol71.com/20-juillet-1
944-aux-telots-assassinat-des-warzybok), sur respol71.com (http://www.respol71.com).
6. « Carte IGN des terrils (https://www.geoportail.gouv.fr/carte?c=4.303224,46.986607&z=0.000
10140992&l0=GEOGRAPHICALGRIDSYSTEMS.MAPS::GEOPORTAIL:OGC:WMTS(0.2)&l
1=ADMINISTRATIVEUNITS.BOUNDARIES::GEOPORTAIL:OGC:WMTS(1)&l2=ADMINIST
RATIVEUNITS.CITYCOUNCILS::GEOPORTAIL:KML3D(0.6)&permalink=yes) » sur
Géoportail.

Voir aussi
Sur les autres projets Wikimedia :
Articles connexes
Mine des Télots (https://commons.wikime
Raids Scullion dia.org/wiki/Category:Mine_des_T%C3%
Gisement de schiste bitumineux d'Autun A9lots?uselang=fr), sur Wikimedia
Exploitation de schiste de Creveney Commons
Exploitation de pétrole de Pechelbronn
Mine en France
Réserves de pétrole en France
Pétrole non conventionnel
Huile de schiste
Huile de schiste
Schiste bitumineux
Liens externes
[vidéo] Autun : à la découverte de l'ancienne mine des Télots (https://www.youtube.com/w
atch?v=vKTgR_LMNpw) sur YouTube par France 3 Bourgogne-Franche-Comté
« Histoire des mines de schiste » (http://www.mairie-saint-forgeot.fr/Histoire-et-patrimoine.
aspx), sur mairie-saint-forgeot.fr (http://www.mairie-saint-forgeot.fr/)
ZNIEFF 260030145 - Les Télots à Saint-Forgeot (https://inpn.mnhn.fr/zone/znieff/2600301
45/tab/commentaires), site de l'INPN

Bibliographie

: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

[PDF] R. Feys, Puits et sondage dans le bassin d'Autun et Epinac, des origines à nos jours,
BRGM, 15 octobre 1945 (lire en ligne (http://infoterre.brgm.fr/rapports/BRGG-A0068.pdf)).
Dominique Chabard et Jean-Philippe Passaqui, L'essence autunoise, un carburant
national : Patrimoine industriel, scientifique et technique, Autun, Muséum d'histoire
naturelle d'Autun, 2006, 99 p.
Jean-Philippe Passaqui et Dominique Chabard, Les routes de l'énergie : Epinac, Autun,
Morvan, Muséum d'histoire naturelle d'Autun, 2007.
[PDF] Jean-Philippe Passaqui et Sylvain Bellenfant, Les Télots : une usine devenue friche
industrielle aux portes d’Autun, Bourgogne-Nature, décembre 2010 (lire en ligne (https://web.ar
chive.org/web/20170821003819/http://www.bourgogne-nature.fr/fichiers/bn12-3-9-telots_1390841955.pdf)).
[PDF] Georges Gand, Reprise de fouilles paléontologiques dans un gîte bourguignon
célèbre : les « schistes bitumineux » de l’Autunien de Muse (Bassin d’Autun) : Bilan 2010
et perspectives, Bourgogne-Nature, décembre 2010 (lire en ligne (https://web.archive.org/web/201
80810205835/http://www.bourgogne-nature.fr/fichiers/bn12-10-29-muse_1364396735.pdf)).
[PDF] J. Le Goff, Etude des aléas miniers dans le bassin d'Autun, Bourgogne (71)
(exploitations de houille, schistes bitumineux et fluorine) : Communes de Autun, Barnay,
Cordesse, Curgy, Dracy-Saint-Loup, Igornay, La Celle en Morvan, Monthelon, La Grande
Verrière, La Petite Verrière, Reclesne, Saint Forgeot, Saint Léger du Bois, Sully et
Tavernay, vol. 1, Géoderis, 21 février 2013 (lire en ligne (http://www.saone-et-loire.gouv.fr/IMG/pdf/Ba
ssin_Autun_Etude_alea_volume1.pdf)).
[PDF] S.H.N.A. (Bellenfant S., Balay G.), Les Télots à Saint-Forgeot, INPN, 2016 (lire en ligne
(https://inpn.mnhn.fr/docs/ZNIEFF/znieffpdf/260030145.pdf)).
[PDF] J. Le Goff, Etude des aléas miniers dans le bassin d'Autun, Bourgogne (71)
(exploitations de houille, schistes bitumineux et fluorine) : Communes de Autun, Barnay,
Cordesse, Curgy, Dracy-Saint-Loup, Igornay, La Celle en Morvan, Monthelon, La Grande
Verrière, La Petite Verrière, Reclesne, Saint Forgeot, Saint Léger du Bois, Sully et
Tavernay, vol. 4, Géoderis, 2013 (4) (lire en ligne (http://www.saone-et-loire.gouv.fr/IMG/pdf/Bassin_Au
tun_Etude_alea_volume4.pdf)).

La version du 16 mai 2021 de cet article a été reconnue comme « bon article », c'est-à-dire
qu'elle répond à des critères de qualité concernant le style, la clarté, la pertinence, la citation
des sources et l'illustration.
Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Mine_des_Télots&oldid=184366488 ».

La dernière modification de cette page a été faite le 4 juillet 2021 à 19:40.

Droit d'auteur : les textes sont disponibles sous licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes
conditions ; d’autres conditions peuvent s’appliquer. Voyez les conditions d’utilisation pour plus de détails, ainsi que
les crédits graphiques. En cas de réutilisation des textes de cette page, voyez comment citer les auteurs et
mentionner la licence.
Wikipedia® est une marque déposée de la Wikimedia Foundation, Inc., organisation de bienfaisance régie par le
paragraphe 501(c)(3) du code fiscal des États-Unis.

Politique de confidentialité
À propos de Wikipédia
Avertissements
Contact
Développeurs
Statistiques
Déclaration sur les témoins (cookies)

Vous aimerez peut-être aussi