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IOSR Journal of Agriculture and Veterinary Science (IOSR-JAVS)

e-ISSN: 2319-2380, p-ISSN: 2319-2372.  Volume 8, numéro 12 Ver. I (déc. 2015), PP 45-51
www.iosrjournals.org
DOI: 10.9790 / 2380-081214551
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Analyse de la rentabilité de la pisciculture à Warri South
Zone d'administration locale de l'État du Delta, Nigéria.
Okpeke, Mercy Yemi, Akarue, Blessing Okiemute
Département d'Agric. Extension and Management Delta State Polytechnic, PMB 005, Ozoro. Delta State,
Nigeria.
Department of Agricultural Science Education, College of Education, Warri PMB 1251, Warri.Delta State,
Nigeria.
Résumé:  Ce travail de recherche a été conçu pour évaluer la rentabilité de la pisciculture dans Warri South Local
Zone gouvernementale de l'État du Delta, Nigéria. Une technique d'échantillonnage délibérée a été utilisée pour
sélectionner cinquante (50) poissons
agriculteurs de la zone d'étude. Les données recueillies ont été analysées à l'aide de statistiques descriptives - fréquence,
pourcentages,
tandis que la marge budgétaire et brute a été utilisée pour déterminer le revenu net agricole (FNI). L'étude indique que
le coût variable représentait (72,95%) du coût total tandis que le coût fixe de production représentait 27,05%.
Le résultat montre qu'un coût total (CT) de 592 316 N a été engagé par un répondant par saison agricole alors que le total
le revenu (TR) de N976, 622 a été réalisé avec une marge brute de retour (GM) de N544, 528 et une ferme nette
revenu (NFl) de N 384, 306 par agriculteur par an, indiquant ainsi que la pisciculture est rentable dans l'étude
zone. Les contraintes rencontrées par les agriculteurs comprennent, l'insuffisance des fonds, le coût élevé des aliments pour
animaux, le manque de
installations de transformation / conservation / stockage et fluctuation des prix du marché. L'étude recommande donc que
le gouvernement et les autres parties prenantes devraient contribuer à fournir des aliments bon marché pour les poissons,
tout en générant des fonds
disponible entre autres.
Mots-clés:  pisciculture, marge brute, revenu agricole net, rentabilité, Nigéria.
JE.
introduction
1.1
Contexte de l'étude
L’industrie de la pêche nigériane serait constituée de trois sous-secteurs principaux, qui sont artisanaux,
industriel et aquacole. La sensibilisation au potentiel de l'aquaculture pour contribuer aux poissons domestiques
la production a continué d'augmenter dans le pays. La raison en est qu'il est nécessaire de répondre aux
le poisson nécessaire à la production nationale et à l'exportation, le sous-secteur de l'aquaculture contribuerait entre 0,5%
et 1% à la production nationale de poisson du Nigéria. [1]. L'élevage de poissons est l'aliment d'origine animale à la
croissance la plus rapide
secteur de la production, en particulier dans les pays en développement - principalement de Chine et d'autres pays asiatiques
[2]. Dans
L'Afrique, le gouvernement du continent sous la tutelle de l'Union africaine, a identifié le grand
potentiel de la pisciculture et sont déterminés à encourager les investissements du secteur privé [3].
Le poisson serait une source importante de nourriture et de revenus pour de nombreuses personnes dans les pays en
développement.
Par exemple, au Nigéria, jusqu'à 10% de la population, quelque 14 millions de personnes dépendent entièrement ou
partiellement de
le poisson dans le secteur de la pêche pour leur subsistance, il fournit également une riche source de protéines pour l'homme
consommation. En raison de sa digestibilité facile et de son utilisation immédiate par le corps humain, le poisson est
approprié et complémentaire pour les régions du monde avec un régime riche en glucides. [4]. Le secteur de la pêche est
également
on estime que cela fournirait un revenu à plus de 10 millions de personnes engagées dans la production, la transformation et
le commerce du poisson
[3]. Environ 2,7 milliards de dollars (US) représenteraient la valeur des exportations du secteur du poisson, mais ces
avantages
risque en raison de l'exploitation de stocks naturels de poissons qui atteindraient leurs limites [5].
Pour corroborer ce point de vue, le faible niveau des pêcheries de capture qui représente l'un des principaux aspects
la production de poisson au Nigeria semble également avoir atteint ses limites naturelles en raison de
la dégradation et la surpêche, la conséquence en est la surexploitation de nombreuses espèces de poissons
sources. Ces poissons qui étaient autrefois considérés comme vastes et sans fin, sont maintenant surexploités et
étiquetés comme non durables dans leur état actuel [6].
De même, la demande de poisson dans le pays a augmenté, la demande dépassant de loin l'offre.
L'offre de poisson au Nigéria est actuellement d'environ 800 000 tonnes tandis que la demande est estimée à 2,7 millions de
tonnes, ce qui
le pays est confronté à une carence d'environ 1,9 million de tonnes métriques [7].
échange de devises avec environ 125 milliards de nairas a été dépensé uniquement pour l'importation de poisson.
Donner à ce senario la seule façon de résoudre ce problème est par l'aquaculture. L'aquaculture est un
industrie qui englobe la culture du poisson (nageoires et mollusques) dans des systèmes contrôlés à des fins commerciales
à des fins récréatives ou de gestion des ressources dans le but d'augmenter la production au-delà de la limite naturelle [8].
L'aquaculture a été introduite au Nigeria au début des années 50 et la production de poisson par l'aquaculture a augmenté
de quelques centaines de kilogrammes à plus de 45 000 tonnes en 2004 [9]. Corroborant ce point de vue [10]

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a noté que la première trace d'aquaculture au Nigéria était la pratique de certains missionnaires du début de l'État d'Oyo,
où le poisson a été élevé pour compléter l'apport en protéines des femmes enceintes. Il a en outre souligné que la pisciculture
au Nigéria, se divise en deux périodes distinctes; entre 1950-1970 et 1970-1992. La période 1950-1970
la pisciculture popularisée alors que la période 1970-1992 est en expansion et mise en place de démonstrations de poissons
exploitations agricoles en plus des tentatives audacieuses de réduire les principales contraintes du développement rapide de
l'aquaculture.
Le gouvernement nigérian a reconnu l’importance du sous-secteur de la pêche et a fait plusieurs
tente au fil des ans d’augmenter leur productivité par des réformes institutionnelles et diverses
les mesures. Récemment, l'administration dirigée par Jonathan a imposé des restrictions à l'importation de poisson afin de
encourager la production locale. Selon le ministère fédéral de l'Agriculture et du Développement rural, le
embargo structuré sur l'importation de poisson dans le pays, avec la mise en œuvre du
politique d'intégration du secteur de la pêche à partir de janvier 2014. Selon le ministre des Affaires
Agriculture, Dr Akinwumi Adesina, le gouvernement travaille actuellement sur une politique intégrée qui
délivrer progressivement le pays de la dépendance inutile du poisson produit dans des pays étrangers, tout en
Les abondantes ressources aquatiques du Nigéria restent inexploitées [11].
1.2 Énoncé du problème:
La pisciculture ou la culture du poisson est censée être le moyen de combler l'écart à court terme entre le total
la production intérieure de poisson et la demande intérieure totale. Malgré ce rôle perçu, le niveau de poisson est faible
une production qui est due à des contraintes d'utilisation des ressources telles que l'approvisionnement en aliments pour
animaux, un faible savoir-faire en matière de gestion,
le faible capital a retardé le rythme de développement dans le sous-secteur de la pisciculture. Beaucoup d'opportunités
abonde toujours dans la petite pisciculture. [12; 13].
Compte tenu de cette situation compte tenu du faible niveau de production, le Nigéria doit dépasser le
niveau de subsistance à un niveau de rentabilité plus élevé grâce à une utilisation plus efficace de leurs ressources de
production.
C’est dans ce contexte que l’étude s’engagera en vue de fournir des réponses aux
questions de recherche suivantes. La production de poisson-chat dans la zone d'étude est-elle rentable? Les ressources sont-
elles employées dans
la production de poisson-chat utilisée efficacement? Quels facteurs déterminent les revenus de la production de poisson-
chat? Sont là
les contraintes liées à la production de poisson-chat qui pourraient être rencontrées par les éleveurs de poisson-chat en
perspective?
1,3
Examen de la documentation connexe
Nombre d'études publiées sur l'économie de la production halieutique dans le monde.
peu. Une évaluation de l'analyse socio-économique de la pisciculture dans l'État d'Oyo, au Nigeria, a été réalisée. UNE
une technique d'échantillonnage aléatoire à plusieurs degrés a été utilisée pour sélectionner 222 aquaculteurs dans les quatre
zones
l'état. Le résultat de l'analyse budgétaire montre que le coût total moyen (TC) de 2 883 515,08 N a été engagé,
un revenu total (TR) de 4 873 521,29 N a été réalisé et une marge brute (GM) de 2 376 616,36 N. le
le ratio de rentabilité a donné un rapport avantages-coûts de 1,69, un taux de rendement de 0,69, le ratio des revenus bruts
(GRR) de 0,59 et
ratio de structure de dépenses (ESR) de 0,15. Ceci indique que la pisciculture est rentable dans la zone d'étude. [14].
De même, il a été constaté que 80% des pisciculteurs de l'État d'Oyo, au Nigeria, exploitaient moins de deux (2) ha
qui ne pouvait pas saisir l’économie de taille, alors que plus de 90% des répondants ont distribué leur poisson au
site . 60% avaient peu accès aux agents de vulgarisation et enfin, la pisciculture s'est avérée rentable dans l'étude
zone [15].
Dans une autre étude sur l'évaluation de l'économie de la pisciculture à Ibadan Metropolis, Nigeria.
L’étude a révélé que la plupart des agriculteurs ayant un niveau d’enseignement secondaire et supérieur opèrent à petite
échelle
moyenne de trois (3) étangs. Les aquaculteurs pratiquaient la polyculture. Clarias spp est le poisson le plus élevé
espèces suivies par Heteroclarias spp. L’analyse de la marge brute a révélé que les agriculteurs de taille moyenne
le rendement le plus élevé de N1.55 pour chaque naira dépensé. Viennent ensuite les grands agriculteurs à 1,52 N,
ainsi pour chaque 1 naira contre seulement 1,34 N pour chaque 1 naira dépensé par les petits agriculteurs. [16].
Dans une autre étude réalisée au Nigéria, le coût de la pêche de capture était plus élevé que celui
l'aquaculture, à l'exception du coût d'opportunité du travail familial. Par conséquent, les pêches de capture étaient plus de
travail
intensive que l’aquaculture. Le coût de la main-d’œuvre familiale en aquaculture était environ 63% inférieur à celui de
dans les pêcheries de capture. Le résultat a révélé que la rentabilité à court terme de l'aquaculture est plus prometteuse que
celle des pêches de capture et que le revenu brut ou la valeur de la production de poisson associée à l'aquaculture dépassait
celle des pêches de capture d'environ 35%. Une analyse plus approfondie a également montré que les résultats de l'étude ont
montré que
le bénéfice net a été négatif dans les deux systèmes, ce qui indique que les pêches de capture et l'aquaculture ne sont pas
économiquement viable à long terme car les rendements générés ne sont pas suffisants pour couvrir le coût fixe de
[17].
De même, l'économie de la pêche continentale, de l'aquaculture et de la commercialisation du poisson à Niamey et Tillabery
les régions de la République du Niger ont également été analysées. L'étude a montré que l'aquaculture et les poissons
continentaux
la production a été rentable avec un taux de rentabilité de 61% et 320% respectivement tandis que deux types de
commercialisation du poisson
[18] En outre, [19] examine les aspects économiques de la pisciculture dans le gouvernorat de Behera de

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Egypte. Ils ont découvert que les prix élevés des aliments pour poissons; la baisse des prix du poisson et le manque de
financement ont été les principaux
classer les graves contraintes auxquelles sont confrontés les pisciculteurs de cette région. Les coûts d'alimentation par kg de
poisson étaient de 3,87 LE, ce qui représente
58,9% des coûts de production. L'analyse du seuil de rentabilité a montré que les coûts de production moyens de 6,57 LE
kilogramme de poisson alors que le prix de vente est de 7,5 LE / kg. Les résultats révèlent également que la quantité de
graines de poisson est un
facteur notable et significatif contribuant à la pisciculture dans la zone d'étude.
Une étude sur l'analyse économique de la pisciculture à Calabar, dans l'État de Cross River, au Nigeria, a également été
réalisée, ses objectifs étaient de déterminer les facteurs affectant la pisciculture, la marge brute estimée des poissons
exploitations agricoles et a examiné la relation coûts-bénéfices de la pisciculture dans la zone d'étude. L'étude a utilisé deux
technique d'échantillonnage par étapes pour sélectionner 36 fermes piscicoles à Calabar. La pisciculture dans la zone d'étude
est rentable car
la majorité des agriculteurs ont réalisé une marge brute de 400 000 à 700 000 N par an. Il a également été découvert que
le montant dépensé pour le stockage représentait 37,27% du coût de fonctionnement, suivi du montant dépensé pour l'eau
(30,21%), l'alimentation (16,51%) et le travail (14,84%). Une analyse de régression multiple a été utilisée pour analyser les
données.
L'équation Cob-Douglas a été choisie pour être l'équation principale en raison de la signification statistique du coefficient
et une valeur R 2 élevée de 0,94. Le résultat a indiqué que l'alimentation (kg), les années d'expérience en agriculture et la
densité de stockage
ont un effet significatif sur les niveaux de sortie. [20]
1.4. Objectif de l'étude
L'objectif général de l'étude était d'analyser la rentabilité de la pisciculture dans Warri South Local
Zone gouvernementale de l'État du Delta, Nigéria.
Les objectifs spécifiques sont les suivants:
(je)
décrire les caractéristiques socio-économiques des pisciculteurs de la zone d'étude;
(ii)
identifier les types prédominants de structures d'étangs à poissons et le type de systèmes d'élevage;
(iii)
déterminer les coûts et les rendements de la pisciculture dans la région; et
(iv)
identifier les contraintes affectant la pisciculture dans la zone d'étude.
II.
Méthodologie
2.1
Zone d'étude
La zone d'administration locale de Warri South a été créée à partir de l'ancienne zone d'administration locale de Warri en
1991,
et a une population totale de 303 417 dont 156 098 hommes et 147 319 femmes [21].
par les zones de gouvernement local de Warri North et Sapele, délimitées au sud par Udu, Warri South West et
Burutu Local Government Areas, et à l'est par Warri South West et à l'ouest par Okpe Local Government
Domaines.
La zone d'administration locale de Warri South a connu une restructuration politique de ses quartiers en raison de la nécessité
pour l'émancipation économique et la planification stratégique pour un développement uniforme de la zone d'administration
locale;
il existe actuellement un total de dix-neuf (19) quartiers. Les habitants de la zone de gouvernement local de Warri South sont
principalement
les Itsekiris, les Ijaws et les Urhobos. Ce sont des gens très industrieux; ce sont des hommes et des femmes d'affaires,
agriculteurs, pêcheurs et professionnels de diverses carrières. Ils ont des similitudes dans la culture, par exemple s'habiller,
adorer,
nourriture, festival et autres modes de vie [22].
2.2
Population de l'étude
La population cible utilisée pour cette étude, composée de tous les aquaculteurs qui pratiquaient la pêche
l'agriculture dans la zone d'administration locale de Warri South, dans l'État du Delta.
2.3
Techniques d'échantillonnage
Une technique d'échantillonnage ciblée a été utilisée pour sélectionner cinq (5) aquaculteurs dans dix communautés de
Ogunu, lyara, Okere-Urhobo, Ode-Itsekiri, Ekurede-Urhobo, EkuredeItsekiri, Ubeji, Ugbuwangwe, Merogun
et Ifie-kporo dans la zone d'étude pour donner un échantillon total de 50 aquaculteurs. Ces communautés étaient
délibérément sélectionnés en raison de la prévalence de la pisciculture en eux.
2.4
Méthode de collecte des données
Un questionnaire bien structuré a été administré à cinquante (50) répondants qui ont été utilisés pour
collecte de données. Le questionnaire était divisé en quatre (4) sections; la section «A» contient les données socio-
économiques
caractéristiques des pisciculteurs de la zone d'étude; la section «B» a couvert le type de système de culture utilisé; section
―C‖ a capturé des données sur les coûts et les retours impliqués dans la pisciculture tandis que la section ―D ― a couvert
les contraintes
rencontrés par les pisciculteurs de la zone d'étude.
2,5
Cadre analytique
Divers outils analytiques ont été utilisés pour atteindre les objectifs de l'étude et comprenaient:
statistiques descriptives telles que les distributions de fréquences, les tableaux, les pourcentages, la marge brute (GM) et la
ferme nette
revenu (NFl)

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La marge brute est la différence entre le revenu agricole brut et le coût variable total [23].
Donc; GM = GFI — TVC --------------------------------------------- (1)
Où GM = marge brute
GFI = Revenu agricole brut
TVC = coût variable total
Le revenu agricole net donne un niveau global de rentabilité d'une entreprise en mettant à la fois fixe et variable
les coûts en considération et en soustrayant les coûts totaux des recettes totales. [23].
Par conséquent, NFl = TR - TC ------------------------------------------- --- (2)
Où;
NFl = revenu agricole net, TR = revenu total, TC = coût total
III.
Résultats et discussion
3.1
caractéristiques socio-économiques des répondants.
Le tableau 1 montre que la majorité (90%) des répondants étaient des hommes tandis que 10% étaient des femmes. Le
résultat
montre que les hommes dominaient la population étudiée et étaient plus impliqués dans la pisciculture dans la zone d'étude. le
Le résultat indique également que la majorité (40%) des répondants se situaient dans la tranche d'âge de 30> 40 ans et 30%
étaient dans la fourchette d'âge de 41> 50 ans tandis que 20 ° k tombaient dans la fourchette de 51> 60 ans et 10% étaient en
dessous
30 ans. Le résultat indique que la majorité des agriculteurs appartenaient à leur groupe d'âge économique actif. le
le résultat montre également que 60% des répondants étaient mariés alors que 40% des répondants étaient célibataires.
Tableau 1: Caractéristiques socio-économiques des répondants. (N = 50)
Variable
La fréquence
Pourcentage (%)
Sexe
Masculin
45
90
Femme
5
dix
Âge
Moins de 30 ans
5
dix
30> 40 ans
20
40
41> 50 ans
15
30
51> 60 ans
dix
20
Plus de 60 ans
État civil
Célibataire
20
40
Marié
30
60
Divorcé
-
-
Contexte éducatif
Aucune éducation formelle
5
dix
Enseignement primaire
15
30
Éducation secondaire
20
40
Éducation tertiaire
dix
20
Occupation
Pisciculture uniquement
20
40
Pisciculture et autre agriculture
30
60
Fonctionnaire d'Etat
-
-
Type de travail utilisé
Travail familial
40
80
Travail salarié
8
16
Tous les deux
2
4
Culture mono
38
76
Poly culture
dix
20
Intégré
2
4
Type d'espèces cultivées stockées
Application Clarias uniquement
45
90
Clarias et Heterobranchus
4
8
Clarias et Tilapia
1
2
Les trois types de poissons
-
-
Type de livre
Étang en béton
15
30
Étang de bâche
30
60
Étang en terre
5
dix
Source de financement
Épargne personnelle
15
30
Ami / parents
dix
20
Sociétés coopératives
20
40
prêts bancaires
5
dix
Source: Données d'enquête sur le terrain, 2014.

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La majorité (40%) des répondants avaient fait des études secondaires, 30% avaient fait des études primaires tandis que 20%
avaient une éducation supérieure tandis que 10% n'avaient pas d'éducation formelle. Cela montre que les aquaculteurs de la
zone d'étude
formés et peuvent combiner des ressources rares pour une production efficace. La majorité (60%) des répondants
la pisciculture combinée et d'autres types d'élevage, 40% se consacraient uniquement à la pisciculture et aucun n'était civil
serviteurs. Le résultat indique que la majorité des répondants étaient des agriculteurs mixtes.
D'après les résultats, le résultat montre que la majorité (80%) des répondants ont eu recours au travail familial, 16%
recouru à du travail salarié tandis que 04% utilisaient les deux sources de travail.
3.2
Système de pisciculture identifié
Le tableau 1 ci-dessus montre que 76% des répondants ont cultivé des espèces de monoculture de poissons, 20% des
les répondants ont cultivé la polyculture alors que seulement 04% des répondants ont pratiqué le système intégré.
Le résultat montre également que la majorité (90%) des répondants ne cultivent que des clarias, 8% des
répondants ont cultivé des clarias et du tilapia, 2% des répondants ont cultivé des clarias et des heterobranchus alors qu'aucun
les répondants ont cultivé les trois types d'espèces.
La majorité (60%) des répondants ont utilisé la structure de l'étang de bâche pour la culture, 30% des répondants
ont utilisé une structure d'étang en béton tandis que 10% des répondants ont utilisé une structure d'étang en terre pour
l'élevage de poissons.
En ce qui concerne les fonds, les résultats indiquent que la majorité (40%) des répondants ont obtenu leurs fonds
des coopératives, 30% des répondants avaient leur financement grâce à l’épargne personnelle, 20% des
amis ou parents tandis que 10% ont obtenu des prêts auprès des banques.
3.3
Coûts et retours de la pisciculture dans la zone d'étude
L'étude examine la rentabilité de la production de poisson dans la zone d'étude. Pour déterminer le niveau de profit,
des tentatives ont été faites pour estimer l'analyse des coûts et des retours de la pisciculture en utilisant les intrants utilisés, le
coût, le rendement ou
données de sortie générées par les agriculteurs. L'analyse des coûts et des rendements du tableau 2 révèle que le coût variable
représentaient la plus grande proportion (72,95%) du coût total de la pisciculture dans la zone d'étude. Cela montre que
la plus grande somme d'argent dépensée par les pisciculteurs dans la zone d'étude était principalement consacrée à l'achat
d'aliments pour poissons et de combustibles
quels aliments pour poissons représentaient 59,45% du coût total de production.
Tableau 2. Coûts et rendements de l'analyse des répondants (n = 50)
Éléments de coût
Montant (N)
% Coût total
Coût variable
Alimentation des poissons
325, 116
59,45
Fingerlings
20 000
3,38
Fumier organique
770
0,13
Carburant
26, 192
4.42
La main d'oeuvre
9, 550
1,61
Traitement de l'eau
3, 152
0,53
Transport
20, 314
3,43
Coût variable moyen
432, 094
72,95
Coûts fixes
Amortissement du loyer
20, 616
3,48
Construction d'un étang
78, 293
13,22
Pompe à eau
6, 500
1.10
Naufrage de trou d'alésage
30 000
5,06
Générateur
18 000
3.04
Matériaux de plomberie
1, 564
0,26
Brouette / Pelle / Tête Pan
5, 249
0,89
Coût fixe total
160, 222
27,05%
Coût total
592, 316
Revenu total
976, 622
Marge brute
544, 528
Revenu agricole net
384, 306
Retour sur investissement
0,92
Rapport avantages / coûts
1,65
Ratio des revenus bruts
0,61
Ratio fixe
0,16
Ratio d'exploitation
0,44
Source: Données d'enquête sur le terrain, 2014.
Ce résultat est en accord avec les conclusions de [24] qui ont découvert que les aliments pour animaux représentaient
coût de la production de poisson dans l'État de Kaduna, Nigéria. Le «coût élevé des aliments pour animaux a été suivi par le
coût du carburant (4,42%),
les transports (3,43%) et les alevins (3,38%). Le coût de production fixe représente (27,05%) du
coût total; dont les principaux éléments étaient la construction d'un étang (13,22%), le fonçage de trous de forage (5,06%)
amortissement du loyer (3,48%) et du générateur (3,04%). De plus, le résultat montre qu'un coût total (TC) de N592, 316
a été encouru par un répondant par saison de culture alors que le revenu total (TR) de N976,622 a été réalisé avec un

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une marge brute (GM) de N544,528 et un revenu agricole net (NFl) de N384,306. Cela indique que le poisson
l'agriculture dans la zone d'étude était rentable. Ce résultat est conforme à la conclusion de [25] qui a examiné la
la rentabilité et la viabilité de l'élevage de poissons-chats dans l'État de Kogi et l'ont jugée rentable.
Le rapport coûts-avantages (RAC) était de 1,65, ce rapport est selon [26] du concept de remise
méthode d'évaluation du projet. Selon eux, en règle générale, un projet avec un rapport de coûts supérieur à un,
égal à un ou moins d'un indiquent respectivement le bénéfice, le seuil de rentabilité ou moins. Étant donné que le rapport de
1,65 est supérieur
plus d'un, l'entreprise est considérée comme rentable. Ce résultat est conforme à celui de [26] qui disait que la pisciculture
est rentable. De plus, selon [14], le ratio de rentabilité révèle que son ratio avantages-coûts est de (1,69). le
trouvant dans cette étude se compare favorablement à celle de [24], ils ont examiné la rentabilité et la viabilité du chat
l'aquaculture et l'a trouvée rentable. Le taux de rentabilité de la production de poisson dans la zone d'étude est de 0,69. Cette
montre que pour chaque N1.00 investi, 69 kobo sont gagnés par le répondant et un ratio de revenu brut de 0,32
indique que pour chaque retour de naira dans une entreprise piscicole, 32 kobo sont dépensés. Cela a également confirmé
rentabilité.
Le retour sur investissement dans la pisciculture dans la zone d'étude était de 0,92, ce qui implique que pour chaque naira
investi, 92 kobo ont été gagnés par l'intimé. Un ratio de revenus bruts de 0,61 indique que pour chaque naira
retour à la pisciculture, 61 kobo ont été dépensés. La valeur du ratio d'exploitation était de 0,44, ce qui signifie qu'environ
44% du coût total de production était composé de coûts fixes. Cela implique que l'entreprise en vaut la peine, car
une augmentation de la production avec un coût variable augmenterait le revenu total en laissant le coût fixe inchangé.
3.4
Contraintes rencontrées par les pisciculteurs
Les pisciculteurs ont été confrontés à un certain nombre de problèmes dans les entreprises de pisciculture dans la zone
d'étude:
Tableau 4. Contraintes rencontrées par les pisciculteurs dans la zone d'étude.
Contraintes
La fréquence
Pourcentage (%)
Acquisition de terrain
22
44
Mauvaise performance des espèces de poissons
21
42
Coût élevé des aliments pour poissons
43
86
Infestation de maladies et ravageurs
24
48
Capital insuffisant
47
94
Fluctuation des prix du marché
30
60
Source: Données d'enquête sur le terrain, 2014.
Le tableau 4 montre que les principales contraintes étaient un capital insuffisant (94%), un
installations de transformation / conservation / stockage (92%), coût élevé des aliments pour animaux (86%) et fluctuation
des prix du marché (60%).
Les contraintes mineures étaient l’infestation de maladies et de ravageurs (48%), l’acquisition de terres (44%) et les
espèces de poissons (42%). Le problème du capital insuffisant était attendu car la plupart des résultats ont montré que
des petits agriculteurs au Nigeria dépendaient uniquement de leurs économies personnelles pour financer leur production par
manque
des facilités de crédit, [27]. Ceci est également corroboré par les conclusions de [24] qui ont identifié le manque de
contrainte majeure de la production de poisson dans l'Etat de Kaduna, Nigeria. De même 100% des répondants
ont considéré la fluctuation des prix du marché et le coût élevé des aliments pour poissons comme un problème pour la
production de poisson dans leur étude
de l'évaluation de l'analyse socio-économique de la pisciculture dans l'État d'Oyo, Nigéria [14]. Ce résultat corrobore
les conclusions de [24], leurs études ont révélé que les principales contraintes affectant l'augmentation du niveau de sortie des
poissons
la production dans la zone d'étude était le coût élevé des intrants, le manque de financement adéquat, l'accès aux facilités de
crédit,
problèmes de sécurité et de travail agricole.
IV.
Conclusion et recommandations
L'étude a analysé la rentabilité de la pisciculture dans l'État du Delta, au Nigéria. Marge brute (GM) et
Le revenu agricole net (NFl) a été utilisé pour l'analyse. Les résultats empiriques ont montré que le GM et le NFl
étaient respectivement N544,528 et N384,306. Le taux de rentabilité de la pisciculture
était de 0,92. Cela indique que pour chaque N1.00 investi, 92 kobo ont été gagnés par l’intimé et un exploitant
ratio de 0,44, ratio fixe de 0,16 et ratio brut de 0,61 qui était positif et inférieur à un, ce qui implique que
la pisciculture était très rentable dans la zone d'étude.
L'étude a donc recommandé ce qui suit:
Le capital insuffisant s'est classé au premier rang des contraintes rencontrées par les aquaculteurs dans la zone d'étude.
Cela appelle une attention urgente de la part du gouvernement pour établir des institutions financières organisées
services à ce groupe d'agriculteurs de manières bien médiatisées, facilement accessibles et à un taux d'intérêt abordable.
Le coût élevé des aliments pour poissons a été corroboré par les conclusions précédentes d'une étude de plongeurs sur la
pisciculture
et la production. Cette contrainte pourrait être levée par les agriculteurs formant un formidable groupe de coopératives
sociétés avec des aides d'organisations non gouvernementales et d'autres secteurs privés organisés pour établir des
moulin pour des aliments de qualité à un prix abordable.

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Analyse de la rentabilité de la pisciculture dans la région du gouvernement local de Warri South du
Delta…
DOI: 10.9790 / 2380-081214551
www.iosrjournals.org
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Le coût de la construction d'un étang était une autre grande limitation sur laquelle le gouvernement pouvait intervenir en
former davantage d'agents de vulgarisation à l'approvisionnement en matériaux de construction d'étangs à moindre coût et
également à acquérir
compétence et habileté dans la construction d'étangs.
Le manque d'installations de transformation / conservation / stockage était un défi très sérieux dans la mesure où le poisson
produit alimentaire périssable qui peut entraîner une perte économique colossale s'il n'est pas transformé, conservé et stocké
dans
délai limité. En raison du coût élevé du ravitaillement des installations d'entreposage frigorifique, il est recommandé que le
gouvernement
devrait établir des chambres froides dans des endroits stratégiques pour permettre aux agriculteurs d'obtenir des services et de
payer pour ces services; C'est
payer selon le programme de services.
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