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QCM Classés &

Organisés par COURS

+ CHERRAK

Faculté de Médecine - Oran


 Questions Compilés & Organisés par :
- B. Imad Eddine : étudiant de la promo 2017-2018 (5ème année) médecine Sec B

 Répertoire :
01. Relations Hypothalamo-Hypophysaires.................................................. 03
02. Dyscalcémies .......................................................................................... 05
03. Thyroïde................................................................................................. 07
04. Hyperthyroïdie ....................................................................................... 07
05. Goitre & Nodules Thyroïdiens.................................................................. 09
06. Tumeurs Hypophysaires.......................................................................... 10
07. Hypothyroïdie ........................................................................................ 11
08. Hyperandrogénie.................................................................................... 12
09. Physio, Exploration Surrénale ///............................................................. 12
10. Insuffisance Antéhypophysaire............................................................... 12
11. Cancer Thyroïdien................................................................................... 14
12. HTA Endocrinienne.................................................................................. 15
13. Insuffisances Surrénaliennes.................................................................. 16
14. Dyslipidémie........................................................................................... 17
15. Diabète Sucré......................................................................................... 19
16. Hypoglycémie......................................................................................... 20
17. Diabète Insipide...................................................................................... 21
18. Complications Aiguës du Diabète Sucré................................................... 22
19. Aménorrhées.......................................................................................... 23
20. Hypercorticisme ..................................................................................... 24
21. Obésité................................................................................................... 26
22. Complications Chroniques du Diabète /// ................................................ 26
23. Pratique............................................................................................... 27
5ème Année Med Oran 2021/2022

01. Relations Hypothalamo-Hypophysaires :


01. Toutes ces hormones sont secrétées au niveau 06. À propos de l’hormone de croissance : La/Les RJ
de l'antéhypophyse sauf une, laquelle ? La RJ A. Agit par l'intermédiaire de facteurs sécrétés par le
A. GH foie et le cartilage,
B. ACTH B. Est une hormone polypeptidique.
C. TSH C. Peut agir directement sur les cellules cibles.
D. ADH D. Est synthétisée par l'hypothalamus et stockée au
E. PRL niveau de la posthypophyse.
Source : Q29 - 20-21 Sec A Réponse : D E. Sa sécrétion est inhibée par l'hypoglycémie.
Source : Q01 - 20-21 Sec B Réponse : ABC
02. Quel peptide hypothalamique stimule la
sécrétion de l'hormone de croissance : La RJ 07. A propos du système porte hypothalamo-
A.CRH hypophysaire : La/Les RJ
B. TRH A. Constitue un système veineux situé entre deux
C. GHRH plexus capillaires et relie entre l'hypothalamus et la
D. GnRH post hypophyse.
E. Somatostatine. B. Permet de véhiculer les neuro-hormones
Source : Q30 - 20-21 Sec A Réponse : C hypothalamiques vers l'antélypophyse.
C. La corticotrophic-releasing-hormone (CRM) est
03. Quel peptide hypothalamique stimule la véhiculée par le système porte pour stimuler la
sécrétion de la prolactine : La RJ sécrétion de l'adreno-corticotrophic hormone (ACTH)
A. Somatostatine au niveau de l'hypophyse.
B. GHRH. D. La dopamine est véhiculée par le système porte
C. Dopamine. pour stimuler la sécrétion de la prolactine au niveau
D. GnRH de l'hypophyse.
E. TRH. E. L’hormone anti-diurétique (ADH) est véhiculée par
Source : Q31 - 20-21 Sec A Réponse : E le système porte pour être stockée au niveau de
l'hypophyse.
04. La TSH est une : La/Les RJ Source : Q02 - 20-21 Sec B Réponse : BC
A. Hormone hypothalamique
B. Hormone stimulante. 08. A propos des axes hypothalamo-hypophysaires :
C. Hormone hypophysaire stimulée par la TRH La/Les RJ
D. Hormone hypothalamique stimulée par la TRH A. La TRH stimule la sécrétion de la TSH.
E. Hormone hypophysaire stimulée par les hormones B. La CRH stimule la sécrétion de l'ACTH.
thyroïdiennes en excès C. La GH-RH inhibe la sécrétion de GH.
Source : Q32 - 20-21 Sec A Réponse : BC D. La Dopamine inhibe la sécrétion de Prolactine.
E. La GnRH stimule la sécrétion de FSH et LH.
05. Toutes ces hormones sont dérivées d’acide Source : Q05 - 19-20 Sec A Réponse : ABDE
aminé de la tyrosine sauf : La/Les RJ
A. Cortisol. 09. A propos des axes hypothalamo-
B. Adrenaline. hypophysaires : La/Les RJ
C. GH A. La TRH stimule la sécrétion de la TSH.
D. Noradrenaline. B. La CRH stimule la sécrétion de l’ACTH.
E. T4 C. La GH-RH stimule la sécrétion de la GH.
Source : Q33 - 20-21 Sec A Réponse : AC D. La dopamine stimule la sécrétion de prolactine.
E. La GnRH inhibe la sécrétion des FSH et LH.
Source : Q01 - 19-20 Sec B Q02 - 19-20 Sec C Réponse : ABC
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10. Le rétrocontrôle hormonal : La/Les RJ 13. Le rétrocontrôle hormonal : La/Les RJ


A. Le rétrocontrôle négatif est un inhibiteur exercé A. Le rétrocontrôle négatif est un effet inhibiteur
par une hormone périphérique sur l’hypophyse et/ou exercé par une hormone périphérique sur l'hypophyse
l’hypothalamus sur la sécrétion de sa stimuline et/ou et/ou l'hypothalamus sur la sécrétion de sa stimuline
sa libérine respective. et/ou sa libérine respective.
B. Cet effet est exercé par la majorité des hormones. B. Cet effet est exercé par toutes les hormones.
C. Il existe le rétrocontrôle positif qui a un effet C. Il existe le rétrocontrôle positif qui a un effet
stimulateur. stimulateur.
D. L’œstradiol en période pré ovulatoire exerce un D. L’œstradiol en période pré ovulatoire exerce un
rétrocontrôle négatif sur la sécrétion de LH. rétrocontrôle négatif sur la sécrétion de LH.
E. Les hormones thyroïdiennes exercent un E. Toutes les réponses sont Justes.
rétrocontrôle positif sur la sécrétion de TRH. Source : Q03 - 19-20 Sec C Réponse : AC
Source : Q02 - 19-20 Sec B Réponse : ABC
14. Une hormone : La/Les RJ
11. A propos des relations hypothalamo- A. Est une molécule qui est sécrétée par un tissu
hypophysaires : glandulaire spécialisé
A. L'hypothalamus est formé de noyaux cellulaires B. Est déversée directement dans le sang
bien individualisés disposés de façon symétrique par C. Agis sur une cellule cible sur laquelle est exercé
rapport à la cavité médiane du 3ème ventricule. une action spécifique
B. La tige pituitaire contient des axones des cellules D. Sa nature chimique est toujours peptidique
nerveuses hypothalamiques. E. Sa nature chimique n'est jamais stéroïde dérivée du
C. La tige pituitaire contient un système vasculaire « cholestérol
Source : Q31 - 18-19 Sec B Réponse : ABC
porte » qui relie l'hypothalamus à la posthypophyse.
D. Les hormones hypothalamiques jouent un rôle
15. Le rétrocontrôle positif se voit : La RJ
régulateur sur la sécrétion antéhypophysaire.
A. Au cours du cycle menstruel, lorsque le pic
E. Certaines hormones hypothalamiques sont stockées
d'œstradiol stimule la sécrétion de LH dont le pic
au niveau de la post hypophyse
Source : Q01 - 19-20 Sec C Réponse : ABDE
entraîne l'ovulation
B. Lorsque l'hypoglycémie stimule la sécrétion de GH,
12. A propos des axes hypothalamo-hypophysaires : ACTH, cortisol et catécholamines
A. La TRH stimule la sécrétion de la TSH. C.Lorsque le stress inhibe le GnRH
B. La CRH stimule la sécrétion de l'ACTH. D. Lorsque la parathormone engendre une
C. La GH-RH stimule la sécrétion de GH. . augmentation de la calcémie
D. La Dopamine stimule la sécrétion de Prolactine. E. Lorsque l'insuline entraîne une baisse de la
E. La GnRH stimule la sécrétion de FSH et LH. glycémie
Source : Q32 - 18-19 Sec B Réponse : A
Source : Q02 - 19-20 Sec C Réponse : ABCE
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02. Dyscalcémies :
01. A propos de l’hypocalcémie : La/Les RJ 05. A propos de l’hypercalcémie et les tumeurs :
A. La recherche du signe de Chvosteck s'effectue par La/Les RJ
des percussions à type de chiquenaude en avant du A. L'hypercalcémie est inhérente à une libération
lobe de l'oreille. excessive de calcium osseux sous l'effet d'un peptide
B. La manoeuvre du Trousseau est dite « positive » analogue de la calcitonine. Peptide qui est secrété
lorsque le patient fait une contraction de la par une tumeur
commissure labiale homolatérale. B. L'ostéolyse métastatique de tumeurs ostéophiles est
C. L'organisme est en situation d'hypoexcitabilité une étiologie fréquente des hypercalcemies
neuromusculaire. C. L'hypercalcémie peut être inhérente à une
D. Le signe de Chvosteck est négatif. libération excessive de calcium osseux sous l'effet de
E. Dans les situations d'urgence, le traitement à la calcitonine sécrétée en excès par un cancer
entreprendre est la perfusion de calcium. thyroïdien.
Source : Q35 - 20-21 Sec A Réponse : AE D. L'hypercalcemie est inhérente à une libération
excessive de calcium osseux par ostéolyse
02. A propos de la calcémie corrigée : La/Les RJ métastatique de tumeurs ostéophiles.
A. Son intérêt réside dans le fait que la calcémie E. Le cancer médullaire de la thyroïde est une
totale peut être faussée par les variations de étiologie fréquente des hypercalcémies.
Source : Q39 - 20-21 Sec A Réponse : BD
l'albuminémie.
B. Doit toujours être calculée lorsque la calcémie
totale est mesurée. 06. A propos du métabolisme phosphocalcique :
C. Son calcul nécessite le dosage de l'albuminémie. La/Les RJ
D. Doit être calculée lorsque la calcémie ionisée est A. Le rein régule la calcémie en modulant la
mesurée. réabsorption tubulaire du calcium.
E. Elle se calcule par la formule suivante : B. Le foie constitue un organe de stockage
Catotale (mg/l) + albuminemie(g/l) C. La parathormone et la 1,25(OH), vitamine D sont
Cacorr(mg/l) les deux principales hormones de regulation du
Caionisée (mg/l) métabolisme phosphocalcique.
Source : Q36 - 20-21 Sec A Réponse : ABC D. La majorité du calcium de l'organisme circule dans
le sang.
03. A propos de l’hypocalcémie : La/Les RJ E. Valeurs de la calcémie normale : 88 à 104 mg/i.
A. Peut se voir dans l’insuffisance rénale par défaut Source : Q40 - 20-21 Sec A Réponse : ACE
de l’hydroxylation du carbone 1 de la vitamine D.
B. L'hypoparathyroidie post opératoire est une 07. A propos de l’hypocalcémie : La/Les RJ
étiologie rare. A. Le signe de Chvosteck est dit e positif » lorsque le
C. L’hypoparathyroidie peut être d'origine auto- patient fait une main d'accoucheur.
immune. B. La recherche du signe de Chvosteck s'effectue par
D. Il faut toujours rechercher une carence en vit D des percussions a type de chiquenaude en avant du
E. En cas d'insuffisance rénale, le traitement doit lobe de l'oreille.
associer avec le calcium la vitamine D 1-a hydroxylée C. La manoeuvre du Trousseau est positive.
Source : Q37 - 20-21 Sec A Réponse : ACDE D. Dans les situations d'urgence, le traitement à
entreprendre est le furosemide par voie parenterale.
04. A propos de l’hypercalcémie : La/Les RJ E. L'organisme est en situation d'hyperexcitabilité
A. L'étiologie de l'hypercalcémie la plus fréquente est neuromusculaire.
l'hypercalcémie iatrogène Source : Q03 - 20-21 Sec B Réponse : BCE
B. Elle se manifeste à l’électrocardiogramme par un
raccourcissement de l'espace QT 08. A propos de l’hypocalcémie : La/Les RJ
C. L’hypercalcémie se manifeste par un syndrome A. Peut se voir dans l'insuffisance rénale par défaut
polyuropolydipsique avec hypotension artérielle de l'hydroxylation du carbone 25 de la vitamine D.
D. L'hyperparathyroidie primaire se manifeste par B. L'hypoparathyroidie peut être congenitale.
une hypercalcémie, une hyperphosphatémie, C. L'hypoparathyroidie post opératoire est une
hypocalciurie et hyperphosphaturie. étiologie fréquente.
E. Constitue une urgence médicale thérapeutique D. En cas d'insuffisance rénale, le traitement doit
majeure quand is calcémie corrigée est de 150 mg/l associer avec le calcium la vitamine D 25 hydroxylée.
Source : Q38 - 20-21 Sec A Réponse : BE E. Faut toujours rechercher une hypomagnésémie.
Source : Q04 - 20-21 Sec B Réponse : BCE
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09. A propos de l’hypercalcémie : La/Les RJ 15. A propos de l’hypercalcémie : La/Les RJ


A. Constitue une urgence médicale thérapeutique à A. L'hypercalcémie est définie par une calcémie
partir d'une calcémie corrigée de 100 mg/l. corrigée ≥ 105 mg/I (2,63mmol/l).
B. Elle se manifeste a l'électrocardiogramme par un B. Elle expose au risque de fibrillation ventriculaire
allongement de l'espace QT menaçant le pronostic vital.
C. L’étiologie de l'hypercalcémie la plus fréquente est C. L’hyperparathyroïdie primaire en est une étiologie
l’hyperparathyroidie primaire. fréquente.
D. L’hypercalcémie aiguë engage le pronostic Vital D. Elle se manifeste par un syndrome polyuro-
par le risque de troubles du rythme cardiaque graves. polydipsique.
E. L'hyperparathyroidie primaire se manifeste par E. Elle se manifeste par une hypotension artérielle.
une hypercalcemie avec démineralisation osseuse. Source : Q13 - 19-20 Sec C Q10 - 18-19 Sec B Réponse : ABCD
Source : Q05 - 20-21 Sec B Réponse : CDE
16. L'hyperparathyroïdie primaire se manifeste
10. L’hypercalcémie se manifeste par : La/Les RJ biologiquement par : La/Les RJ
A. Une altération de l'état général. A. Une hypercalcémie.
B. Une hypotension artérielle. B. Une hyperphosphatémie.
C. Un raccourcissement de l'espace QT à l'ECG. C. Une hypercalciurie.
D. Peut conduire à une fibrillation ventriculaire D. Une hyperphosphaturie.
engageant le pronostic vital. E. Une hyperparathormonémie.
E. Le traitement est indiqué à partir d'une calcémie Source : Q14 - 19-20 Sec C Réponse : ACDE
supérieure à 120mg/l par perfusion de gluconate de
Calcium dilué dans du sérum glucosé. 17. A propos de l’hypocalcémie : La/Les RJ
Source : Q03 - 19-20 Sec A Q38 - 18-19 Sec A Réponse : ACD A. Peut se voir en cas de carence en vitamine D
B. Peut se voir dans l'Insuffisance hépatique.
11. A propos de l'hypocalcémie : La/Les RJ C. Est définie par une calcémie corrigée < 85 mg/l
A. Peut se voir dans l’insuffisance rénale. D. Se manifeste par le signe de Chvosteck.
B. Peut se voir dans l’insuffisance hépatique. E. Peut être responsable de convulsions.
C. Est définie par une calcémie corrigée < 100 mg/l. Source : Q15 - 19-20 Sec C Réponse : ABCDE
D. Se manifeste par une hyperexcitabilité neuromusculaire.
E. La manœuvre de Trousseau est positive. 18. Un patient se présente à votre cabinet médical pour
Source : Q04 - 19-20 Sec A Q39 - 18-19 Sec A Réponse : ABDE des crampes musculaires et paresthésies des extrémités.
Vous demandez un bilan calcique dont le résultat
12. L’hyperparathyroïdie primaire se manifeste par : retrouve une calcémie totale dans les valeurs normales
A. Des signes d’hypocalcémie et une élévation de l’albuminémie : La RJ
B. Une déminéralisation osseuse A. La calcémie corrigée sera plus élevée.
C. Des lithiases rénales B. La calcémie corrigée sera plus basse.
D. Une hyperphosphatémie C. Il s'agit obligatoirement d'une hypocalcémie.
E. Une hyperparathormonémie D. Il s'agit d'une fausse hypercalcémie.
Source : Q21 - 19-20 Sec B Réponse : BCE E. la calcémie corrigée sera la même que la calcémie
totale.
13. A propos de l’hypercalcémie : La/Les RJ Source : Q40 - 18-19 Sec A Réponse : B
A. Elle peut se voir en cas de carence en vitamine D
B. Elle peut se voir dans l’insuffisance hépatique 19. Le traitement de l'hypocalcémie comprend :
C. Est définie par une calcémie corrigée <95 mg /l A. Calcium par voie orale
D. Elle se manifeste par un syndrome polyuropolydipsique B. Calcium par voie parentérale dans les
E. Elle peut être responsable de convulsions hypocalcémies aigues associé au furosémide
Source : Q23 - 19-20 Sec B Réponse : ABE C. Vit D 1-a hydroxylée en cas d'insuffisance rénale
D. Magnésium en cas de déficit en magnésium
14. Equilibre phosphocalcique : La/Les RJ E. Biophosphanate dans l’hypocalcémie aiguës
A. Le calcium Joue plusieurs rôles essentiels dans Source : Q09 - 18-19 Sec B Réponse : ACD
l'organisme dont la minéralisation osseuse.
B. Les deux principales hormones régulatrices sont la 20. Quelles sont les deux étiologies les plus
parathormone et la calcitonine. fréquentes de l’hypercalcémie ?
C. La PTH augmente la calcémie et la phosphatémie. A. Hypercalcémies hypercalciurique familiale.
D. Le calcium est stocké essentiellement au niveau de l'os. B. Hypercalcémies tumorales.
E. La 1,25 di-hydroxy-vitamine D est une hormone qui C. Hypercalcémies iatrogènes.
favorise l'absorption intestinale du calcium. D. Hypercalcémies endocrinienne.
Source : Q12 - 19-20 Sec C Réponse : ADE E. Hyperparathyroïdie primaire
Source : Q10 - 17-18 Sec A Réponse : BE
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03. Thyroïde : 04. Hyperthyroïdie :


01. La glande thyroïde : Les RJ 01. Parmi les manifestations cliniques suivantes, Quel
A. Assure la synthèse des hormones idées T3-T4 est celui qui oriente vers une maladie de Basedow
B. Assure la synthèse et la calcitonine, chez un patient qui présente une hyperthyroïdie ?
C. Assure la synthèse de l’iode. A. Tachycardie.
D. Est paire, située de part et d'autre de la trachée à B. Hypersudation.
la partie postéro-supérieure du cou.
C. Amaigrissement.
E. Est constituée de lobules comprenant des vésicules
D. Exophtalmie.
(ou follicules).
Source : Q03 - 20-21 Sec A Réponse : ABE E. Insomnie.
Source : Q22 - 19-20 Sec A Réponse : D
02. La glande thyroïde : Les RJ
A. Assure la synthèse des hormones iodées T3-T4. 02. Au cours d'une maladie de Basedow, à quelles
B. Assure la synthèse de la serotonine. valeurs de FT4 et de TSH s'attend-on ?
C. Est paire, située de part et d'autre de la trachée à A. FT4 élevée + TSH élevée.
la partie postéro-supérieure du cou. B. FT4 basse + TSH basse.
D. Est formée de deux lobes latéraux réunis par une C. FT4 élevée + TSH basse.
mince lame de tissu appelée l'isthme.
D. FT4 basse + TSH élevée.
E. Est constituée de lobules comprenant des vésicules
E. FT4 élevée + TSH normale.
(ou follicules).
Source : Q23 - 19-20 Sec A Réponse : C
Source : Q16 - 20-21 Sec B Réponse : ADE

03. La glande thyroïde : La/Les RJ 03. Quelle est l’effet indésirable le plus redouté du
A. Assure la synthèse des hormones iodées t3-t4 traitement par antithyroïdiens de synthèse ?
B. Assure la synthèse de la calcitonine A. Hypothyroïdie iatrogène.
C. Est paire, située de part et d'autre de la trachée à B. Allergie.
la partie postéro-supérieure du cou C. Cholestase.
D. Est formée de deux lobes latéraux réunis par une D. Cytolyse hépatique.
mince lame de tissu appelée l'isthme. E. Agranulocytose.
E. Est constituée de lobules comprenant des vésicules Source : Q24 - 19-20 Sec A Réponse : E
(ou follicules)
Source : Q22 - 19-20 Sec C Réponse : ABDE
04. L’image suivante représente le résultat d'une
04. La glande thyroïde : Les RJ scintigraphie thyroïdienne : La/Les RJ (photo indispo)
A. Impaire, médiane, située à la partie antéro- A. Il s'agit d'une scintigraphie thyroïdienne qui montre
inférieure du cou. une hyperfixation diffuse et homogène.
B. Formée de quatre lobes réunis par une mince lame B. Cette scintigraphie est en faveur d'une thyroïdite
de tissu appelée isthme. de Hashimoto.
C. De couleur jaune rosée de consistance élastique C. Cette image est en faveur d'une thyroïde non
friable. fonctionnelle.
D. Riche en vaisseaux.
D. La scintigraphie est un examen paraclinique
E. Formée de lobules comprenant 30 à 40 unités
anatomo-fonctionnel.
fonctionnelles de base appelées vésicules ou follicules.
Source : Q17 - 18-19 Sec A Réponse : ACDE E. La scintigraphie consiste en l'injection d'un produit
radioactif comme l'iode radioactif dans le cas de la
05. La glande thyroïde est : La/Les RJ thyroïde.
A. Impaire Source : Q25 - 19-20 Sec A Réponse : ADE
B. Médiane
C. Située à la partie antéro-inférieure du cou
D. Formée de quatre lobes
E. Les lobes sont réunis par une mince lame de tissu
appelée l'isthme
Source : Q30 - 18-19 Sec B Réponse : ABCE
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05. Parmi les causes des hyperthyroïdies d'origine 09. L'examen indispensable pour surveiller la
auto-immune, la plus fréquente est : bonne tolérance d'un antithyroïdien de synthèse
A. La thyroïdite du post-partum manifestée par une est :
hyperthyroïdie transitoire avec Ac anti TPO très + A. Hémogramme
B. La maladie de Basedow B. Glycémie
C. L’adénome toxique C. Calcémie
D. Le goitre multinodulaire toxique D. Uricémie
E. Les interférons, les cytokines qui régulent l'immunité E. Créatininémie
Source : Q16 - 18-19 Sec B Réponse : B Source : Q317 CHERRAK Réponse : A

06. Les moyens thérapeutiques utilisés dans le 10. Le traitement par Carbimazole peut entraîner :
traitement des hyperthyroïdies sont : La/Les RJ A. Une leuconeutropénie
A. Les antithyroïdiens de synthèse inhibant la synthèse B. Une agranulocytose
hormonale C. Un rash cutané
B. Le traitement chirurgical, en exerçant une D. Une tubulopathie
thyroïdectomie totale E. Une aplasie médullaire
C. Le traitement par radio-iode ayant comme but de Source : Q318 CHERRAK Réponse : ABCE
détruire la thyroïde ou les zones hyperactives
D. Une prise prolongée (plusieurs mois) d'iode sous 11. Dans la maladie de Basedow on peut voir tous
forme de solution orale les signes oculaires suivants à l'exception d'un seul.
E. Une corticothérapie associée aux immunosuppresseurs Lequel ?
Source : Q17 - 18-19 Sec B Réponse : ABC A. Protrusion du globe oculaire
B. Rétraction de la paupière supérieure
07. Une patiente âgée de 35 ans se présente à C. Parésie de la convergence
votre consultation ; elle présente une nervosité D. Hypertrophie des fibres nerveuses cornéennes à
récente, des palpitations, une perte de poids l'examen par la lampe à fente
inexpliquée, une irritation conjonctivale. E. Asynergie oculo-palpébrale ou oculo-frontale
Vous pensez à une hyperthyroïdie et vous Source : Q319 CHERRAK Réponse : D
demandez le(s) examen(s) complémentaires
suivant(s) en première intention : La/Les RJ 12. Parmi les médicaments suivants, lequel peut
A. Dosage de la TSH, thyroxine (T4), T3 et anticorps s'utiliser pour traiter une hyperthyroïdie, en
anti TPO association aux antithyroïdiens ?
B. Dosage de la TSH, échographie thyroïdienne, A. Isoprénaline (ISUPREL*)
anticorps anti TPO B. Terbutaline (BRICANYL*)
C. Dosage TSH et de T4 C. Propranolol (AVLOCARDYL*)
D. Dosage TSH D. Noradrénaline (LEVOPHED*)
E. Dosage TSH et échographie thyroïdienne E. Clomipramine (ANAFRANIL*)
Source : Q18 - 18-19 Sec B Réponse : D Source : Q321 CHERRAK Réponse : C

08. Dans I’hyperthyroïdie périphérique, on peut 13. Parmi les signes suivants, lequel est absent
retrouver sur le plan biologique : La/Les RJ dans la thyrotoxicose ?
A. Une augmentation des phosphatases alcalines et A. Amaigrissement avec appétit conservé
des Gamma GT B. Tachycardie avec éréthisme
B. Une hypercholestérolémie C. Accélération du transit digestif
C. Une TSH et des hormones thyroïdiennes T4L et T3L D. Tremblements fins des extrémités
sériques augmentées E. Mains sèches et froides
D. TSH abaissée et des hormones thyroïdiennes T4L et Source : Q323 CHERRAK Réponse : E
T3L sériques élevées
E. Une prolactine et une TSH élevées
Source : Q19 - 18-19 Sec B Réponse : AD
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05. Goitre & Nodules Thyroïdiens :


01. Un goitre simple est : La RJ 06. En ce qui concerne la physiopathologie du
A. Endemique avec des signes inflammatoires goitre, on citera les facteurs nutritionnels : La/Les RJ
B. Multi nodulaire avec des adénopathies A. La carence iodée
C. Accompagne de dysthyroïdie B. La vitamine D
D. Sporadique, homogène, indolore, sans C. La théocyanates
inflammation, sans dysthyroidie ni compression ni D. Les lactates
adenopathies. E. L’éthylisme chronique
E. Accompagné de dysphonie Source : Q14 - 19-20 Sec B Réponse : AC
Source : Q01 - 20-21 Sec A Q20 - 19-20 Sec C Réponse : D
07. La croissance thyroïdienne peut être stimulée
02. Un goitre peut être : Les RJ par des facteurs de croissance parmi lesquels :
A. Diffus ou nodulaire (nodule thyroidien) et alors uni La/Les RJ
ou multi nodulaire A. FSH
B. TSH
B. Benin ou malin
C. LH
C. Congenital ou acquis. D. IGF1
D. Hypo ou hyperfonctionnel mais jamais E. Alpha-MSH
normofonctionnel Source : Q15 - 19-20 Sec B Réponse : BD
E. Diffus et asymétrique (plus développé d'un côte
que de l'autre). 08. Un goitre : Les RJ
Source : Q02 - 20-21 Sec A Réponse : ABCE A. Peut être nodulaire ou diffus.
B. Peut être malin ou bénin.
03. Concernant les signes échographiques de forte C. Peut être congénital ou acquis.
suspicion d'un nodule thyroidien EU-TIRADS 5 : La D. Peut être normo, hypo, ou hyperfonctionnel.
RF E. Est plus fréquent chez l'homme que chez la femme.
Source : Q21 - 19-20 Sec C Q16 - 18-19 Sec A Réponse : ABCD
A. La forme ovale Q29 - 18-19 Sec B
B. Les contours irréguliers.
C. Les ponctuations hyperéchogènes 09. Quelles sont les circonstances de découverte
D. L’hypoechogenicité marquée. d’un goitre ? Les RJ
E. Les microcalcifications A. Examen systématique.
Source : Q26 - 20-21 Sec A Réponse : C B. Saignement.
C. Auto-découverte.
04. Le développement du goitre est stimulé pas des D. Apparition de signes de compression.
facteurs de croissance extrinsèques et intrinsèques E. Apparition de signes de déplétion.
Source : Q05 - 17-18 Sec A Réponse : ACD
et qui sont : Les RJ
A. La TSH. 10. Que doit-on rechercher à l’inspection chez un
B. L'insulin-like growth factor-1(IGF-1). patient qui consulte pour un goitre ? Les RJ
C. La thyroid growth immunoglobulin (TGI). A. Visualiser la tuméfaction.
D. Les facteurs génétiques. B. Préciser le volume de la tuméfaction.
E. La thyroglobuline. C. Des signes de compression veineuse.
Source : Q17 - 20-21 Sec B Réponse : ABCD D. L’aspect de la peau.
E. Une cicatrice d’intervention chirurgicale
05. Parmi les éléments échographiques suivants Source : Q05 - 17-18 Sec A Réponse : ABCDE
d'un nodule thyroïdien, quel est celui qui n'est pas
suspect de malignité ? 11. Devant un goitre nodulaire avec avec une
hyperthyroïdie, quel est l’examen clé du diagnostic
A. Nodule hypo échogène.
étiologique ?
B. Nodule hyper échogène. A. Un scanner cervical
C. Contours irréguliers. B. Une angiographie sélective des carotides.
D. Nodule Ovale. C. Une scintigraphie thyroïdienne.
E. Microcalcifications D. Une radiographie du cou de face et de profile.
Source : Q19 - 20-21 Sec B Q23 - 19-20 Sec C Réponse : B E. Une cytoponction des nodules visibles.
Q19 - 17-18 Sec B Source : Q20 - 17-18 Sec A Réponse : C
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06. Tumeurs Hypophysaires :


01. Les adénomes hypophysaires non fonctionnels : 06. Les adénomes non fonctionnels : Les RJ
Les RJ A. Sont découverts à l'occasion de d'un syndrome
A. Leur typage est fait par l'analyse tumoral crânien.
immunocytochimique du tissu adénomateux. B. Sont découverts de manière fortuite (Incidentalome).
B. Sont caractérisés par l'absence d'hypersécrétion C. S’accompagnent d'un syndrome clinique et
hormonale. hormonal hyper sécrétoire.
C. Sont les plus fréquents des tumeurs hypophysaires. D. S’accompagnent parfois d'une insuffisance hypophysaire
D. Se déclarent le plus souvent par un syndrome E. Sont uniquement des macrolesions.
tumoral. Source : Q07 - 20-21 Sec B Q08 - 19-20 Sec C Réponse : ABD

E. Associés toujours à une hypersécrétion hormonale.


Source : Q04 - 20-21 Sec A Réponse : ABD
07. Le cranyopharyngiome : La/Les RF
A. Est une tumeur développée aux dépens aux tissus
endocrine
02. L’adénome à prolactine (prolactinome) : Les RF B. Est une tumeur développée aux dépens de vestiges
A. Plus fréquent chez les hommes que chez les femmes du canal pharyngo-hypophysaire
B. Est découvert chez l'homme le plus souvent par une C. Est à triple composante : charnue, calcifiée et
galactorrhée. kystique
C. Est à l'origine d'une insuffisance gonadotrope. D. S’accompagne d’un syndrome clinique et hormonal
D. Est toujours mixte Hypersécrétion de prolactine et hyper-sécrétoire
de l'hormone de croissance. E. S’accompagne parfois d’une insuffisance hypophysaire
Source : Q19 - 19-20 Sec B Réponse : AD
E. Est traité par les agonistes dopaminergiques
Source : Q05 - 20-21 Sec A Q18 - 19-20 Sec B Réponse : ABD
08. Le syndrome dysmorphique dans l'adénome
somatotrope : La RF
03. L’adénome somatotrope : Les RJ
A. Est acquis progressivement.
A. Est une tumeur développée au dépend du tissu B. S’accompagne d'une élévation de la GH et de l’IGF1.
endocrine secrétant l’hormone de croissance. C. Est congénital.
B. Il est à l'origine d’un acromegalo-gigantisme quand D. S’accompagne de céphalées, parfois de troubles visuels.
il survient après la soudure des cartilages de E. Concerne le visage les mains et les Pieds
conjugaison Source : Q07 - 19-20 Sec C Q30 - 18-19 Sec A Réponse : C
C. Nécessite un dosage de l’IGF1 dans le suivi post
opératoire. 09. Le craniopharyngiome est une tumeur : Les RJ
A. Rare chez l'enfant.
D. S’accompagne d’un syndrome clinique et hormonal
B. Charnue, calcifiée et kystique à l'imagerie.
hyper sécrétoire. C. Qui peut s'accompagner d'un hypopituitarisme.
E. S’accompagne parfois de diabète sucré et d’HTA D. A une situation intra ou suprasellaire.
Source : Q06 - 20-21 Sec A Réponse : ACDE E. Qui peut entraîner des troubles visuels.
Source : Q31 - 18-19 Sec A Réponse : BCDE
04. Le bilan hormonal d’une tumeur hypophysaire :
La/Les RJ 10. Le microprolactinomes chez la femme donne : La RJ
A. Recherche une hypersécrétion A. Une hyperprolactinėmie sans adénome
B. Recherche un hypopituitarisme B. Une prolactine basse avec adénome < 10 mm
C. Concernera uniquement les dosages hormonaux de C. Une hyperprolactinémie avec adénome < 10 mm
base D. Une hypoprolactinémie avec adénome >10 mm
E. Une prolactine normale avec un adénome > 10 mm
D. Se fera avant toute thérapeutique. Source : Q07 - 18-19 Sec B Réponse : C
E. Concerne tous les axes hypophysaires.
Source : Q07 - 20-21 Sec A Q06 - 19-20 Sec C Réponse : ABDE 11. Dans l’adénome somatotrope : La RJ
Q29 - 18-19 Sec A A. GH basse, taux IGF1 bas
B. GH élevée, taux IGF1 élevé, GH non freinable
05. Une tumeur hypophysaire peut être : Les RJ sous HGPO
A. Adénomateuse. C. GH élevée, taux IGF1 normal, GH freinable sous
B. Non adenomateuse. HPGO
C. Peut-être fonctionnelle ou non fonctionnelle. D. Taux IGF1 normal, GH normale, prolactine élevée
D. Doit toujours être opérée. E. Taux IGF1 bas, GH normale, prolactine élevée
E. Associée toujours à une hypersécrétion hormonale. Source : Q08 - 18-19 Sec B Réponse : B
Source : Q06 - 20-21 Sec B Q17 - 19-20 Sec B Réponse : ABC
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07. Hypothyroïdie :
01. Dans le déficit thyréotrope, il existe : La RJ 06. La cause la plus fréquente de l'hypothyroïdie
A. Un volumineux goitre. primaire est : La RJ
B. Un aspect cyanotique des lèvres. A. Thyroïdite du post-partum
C. Une FT4 basse avec une TSH très élevée. B. Thyroïdite virale
D. Une asthénie, une constipation, une friosité. C. Hypothyroïdie post-opératoire
E. Une infiltration myxœdemateuse. D. Thyroïdite d’Hashimoto
Source : Q20 - 20-21 Sec A Réponse : D E. Hypothyroïdie post ira thérapie
Source : Q27 - 19-20 Sec C Réponse : D
02. Devant une hypothyroïdie, tous ces examens
para cliniques sont utiles sauf un, lequel ? La RJ 07. Le bilan hormonal à réaliser en première
A. L'échographie thyroidienne, intention devant la suspicion d'une hypothyroïdie :
B. Le dosage de la TSH. La RJ
C. Le dosage des anti TPO. A. Dosage de la TSH, FT4 et AC anti TPO.
D. La scintigraphie thyroidienne B. Dosage de la TSH et FT4.
E. Le dosage de la FT4. C. Dosage de la TSH et AC anti TPO.
Source : Q28 - 20-21 Sec A Réponse : D D. Dosage des AC anti Tg.
E. Dosage de la TSH seule.
03. La cause la plus fréquente de l'hypothyroidie Source : Q37 - 18-19 Sec A Réponse : E
primaire est : La RJ
A. L’hypothyroidie post-opératoire. 08. Le bilan hormonal à réaliser en première
B. La sarcoidose intention, devant la suspicion clinique d'une
C. L’hypothyroidie post-radiothérapie. hypothyroidie est : La RJ
D. Les thyroïdites auto-immunes. A. Le dosage de la TSH seule
E. L'hypothyroidie post-irathérapie. B. Le dosage de la TSH et FT4
Source : Q18 - 20-21 Sec B Réponse : D C. Le dosage de la TSH et des anticorps anti TPO
D. Le dosage de la TSH, FT4 et des Ac anti TPO
04. Parmi les propositions ci-dessous, quels Source : Q24 - 18-19 Sec B Réponse : A
éléments devraient être absents à l'examen clinique
d'un patient présentant une hypothyroïdie 09. La scintigraphie thyroïdienne est nécessaire au
secondaire ? Les RJ diagnostic étiologique d'une hypothyroidie :
A. Une sécheresse cutanée A. Vrai
B. Goitre B. Faux
C. Une constipation Source : Q25 - 18-19 Sec B Réponse : B

D. Une bradycardie
E. Infiltration myxœdémateuse 10. Les caractéristiques de la thyroïdites
Source : Q16 - 19-20 Sec A Réponse : BE d’Hashimoto : 2 RF
A. Association d’hypothyroïdie à un goitre parfois
05. Les signes électriques de l’hypothyroïdie sont : nodulaire.
La/Les RJ B. Hyperfixation de la glande thyroïde en
A. Bradycardie scintigraphie.
B. Extrasystoles C. Association d’exophtalmie à une hyperthyroïdie et
C. Trouble de rythme atrophie thyroïdienne.
D. Microvoltage D. Généralement son traitement est médical par
E. Aplatissement ou inversion des ondes T Levothyroxine.
Source : Q08 - 19-20 Sec B Réponse : ADE E. Survient surtout chez la femme.
Source : Q08 - 17-18 Sec A Réponse : BC
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08. Hyperandrogénie : 09. Physio, Exploration Surrénale : /


01. Le bilan hormonal de première intention devant 10. Insuffisance Antéhypophysaire :
un hirsutisme : La RJ 01. Quel signe clinique est absent dans
A. La SDHEA l'insuffisance antehypophysaire globale ? La RJ
B. La testosteronémie, et la 17 hydroxyprogesterone A. Asthénie
(17 OHP) B. Peau mince, froide et sèche
C. Mélanodermie
C. L'androstenedione. D. Dépilation
D. La FSH E. Pâleur
E. La testostéronemie seule. Source : Q19 - 20-21 Sec A Q11 - 20-21 Sec B Réponse : C
Source : Q27 - 20-21 Sec A Réponse : B
02. Le traitement de l’IAH aiguë comprend : La RF
A. Une injection IV ou de 100 mg d’hémisuccinate
02. Le bilan hormonal de première intention d’une
d’hydrocortisone.
hyperandrogénie comporte : La/Les RJ B. Le traitement spécifique de l'affection causale de
A. Test au Synacthène. la décompensation
B. 17 Hydroxyprogesterone (17 OHP) de base C. Prévention des complications thromboemboliques
C. Testostéronémie. D. Le traitement du déficit thyréotrope en premier lieu.
E. Des inhibiteurs de la pompe à protons pour
D. SDHEA
prévenir l'ulcère gastrique de stress
E. Delta 4 Androstenedione. Source : Q21 - 20-21 Sec A Q12 - 20-21 Sec B Réponse : D
Source : Q37 - 20-21 Sec B Réponse : BC
03. Lors de l’insuffisance antéhypophysaire chez
03. L’hirsutisme d'origine tumorale est caractérisé l’adulte : quel est le déficit le plus précoce et le plus
constant ? La RJ
par : La/Les RJ
A. Insuffisance thyréotrope.
A. Début en péri pubertaire B. Insuffisance corticotrope.
B. L'absence de signes de virilisme C. Insuffisance gonadotrope.
C. Un hirsutisme Important D. Insuffisance somatotrope.
D. Son évolution rapide E. Insuffisance lactotrope.
Source : Q03 - 19-20 Sec B Réponse : C
E. Un taux de testostérone très élevé
Source : Q26 - 19-20 Sec C Réponse : CDE 04. Lors de l'insuffisance antéhypophysaire,
certains signes parmi les suivants évoquent une
04. La cause surrénalienne la plus fréquente de atteinte hypothalamique, lesquels ? Les RJ
l'hirsutisme : La RJ A. La constatation lors de votre examen clinique de
troubles du comportement alimentaire, d'une
A. Hyperplasie congénitale des surrénales par bloc
galactorrhée ou d'un diabète insipide.
en 21 hydroxylase. B. Une hyper prolactinémie biologique modérée
B. Insuffisance surrénalienne. (<100 mg/ml)
C. Syndrome de Cushing. C. L'aspect d'un micro adénome hypophysaire sur une
D. Tumeurs surrénaliennes virilisantes. IRM hypothalamo-hypophysaire.
D. Une réponse ample et retardée, lors d'un test de
E. Toutes ces réponses sont fausses.
stimulation par des neuropeptides hypothalamiques
Source : Q26 - 18-19 Sec A Réponse : A
E. L'absence de réponse, lors d'un test de stimulation
par des neuropeptides hypothalamiques.
05. L’hirsutisme d’origine tumorale est caractérisé Source : Q04 - 19-20 Sec C Réponse : ACD
par : La RJ
A. Son évolution lente. 05. Un seul test dynamique parmi les suivants est
inutile lors de l'exploration d'un déficit somatotrope,
B. La présence de signes de virilisme. lequel ? La RJ
C. Son intensité modéré. A. Test à la clonidine.
D. Son apparition en péri pubertaire. B. Test au glucagon.
E. Toujours d’origine héréditaire. C. Test à la GHRH + arginine.
Source : Q13 - 17-18 Sec A Réponse : B D. Test a la métopirone
E. Test a l'ornithine
Source : Q05 - 19-20 Sec C Réponse : D
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06. Concernant la clinique de l’insuffisance 09. Concernant le traitement de l'IAH : La RJ


antéhypophysaire (IAH) : La RJ A. La surveillance du déficit thyréotrope se fait par la
A. Le tableau clinique est habituellement d'installation mesure de la TSH
brutale. B. La substitution du deficit corticotrope repose les
B. Des signes cliniques évoquant une insuffisance minéralocorticoides
gonadotrope, corticotrope ou thyréotrope peuvent C. la testostérone est le traitement de choix chez un
coexister avec une hypersécrétion somatotrope. homme en insuffisance gonadotrope en désirant une
C. Un syndrome de perte de sel est fréquent lors de procréation
l'insuffisance corticotrope. D. La substitution du déficit lactotrope est nécessaire
D. L'hyperpigmentation cutanée est classique que lors en cas de grossesse
de l'IAH E. Un processus néoplasique actif est une contre-
E. L'insuffisance thyréotrope est le déficit le plus indication à la substitution du déficit somatotrope
fréquent de tous les déficits antéhypophysaires Source : Q11 - 18-19 Sec B Réponse : E
Source : Q04 - 18-19 Sec A Réponse : B
10. Concernant l’IAH : La RJ
07. Au cours l'exploration hormonale d'une A. L'IAH est le plus souvent d'installation brutale
insuffisance antéhypophysaire (AH) : La RF B. L'insuffisance gonadotrope est le déficit le plus
A. Un taux de sulfate de (S-DHEA) plasmatique bas précoce et le plus constant
est en faveur d'une insuffisance corticotrope C. L'insuffisance thyréotrope s'accompagne souvent
B. Le test d'hypoglycémie insulinique permet d'un goitre
d'explorer à la fois l'axe corticotrope et somatotrope D. L'hypophysite chronique est à l'origine d'une IAH
C. Le test à la CRH est le test de référence lors de E. Les métastases hypophysaires sont l'étiologie la
l'exploration de l'axe corticotrope. plus fréquente de l'IAH
D. Des taux bas de gonadotrophines plasmatiques Source : Q12 - 18-19 Sec B Réponse : B
chez une femme ménopausée sont suffisants pour
affirmer une insuffisance gonadotrope. 11. Concernant l’IAH : La RJ
E. Des cas d'apoplexie hypophysaire ont été décrits A. Les métastases hypophysaires sont la principale
lors de la réalisation des tests dynamiques à la TRH étiologie.
ou la GnRH. B. Sur le plan physiopathologique, l’atteinte est
Source : Q05 - 18-19 Sec A Réponse : C toujours hypophysaire.
C. Un goitre est souvent retrouvé lors d’une
08. Lors du traitement de l'IAH : La RJ insuffisance thyréotrope.
A. La surveillance de la substitution corticotrope se D. L’IAH est parfois fonctionnelle.
fait par la mesure du cortisol plasmatique matinal. E. L’IAH s’installe généralement de façon brutale et
B. La dose substitutive en lévothyroxine (LTA) d'un rapide
déficit thyréotrope est de 2 à 2.5 µg/kg/j. Source : Q01 - 17-18 Sec A Réponse : D
C. Les gonadotrophines sont le traitement substitutif
de choix chez une femme en IAH et ne désirant pas
une procréation.
D. Le but thérapeutique lors de la substitution d'un
déficit somatotrope est d'avoir une IGF-1 sériques
dans les valeurs normales-hautes pour l'âge et le sexe.
E. Lors d'une IAH aiguë, l'hormonothérapie
thyroïdienne est la plus vitale
Source : Q06 - 18-19 Sec A Réponse : D
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11. Cancer Thyroïdien :

01. Parmi les cancers thyroïdiens suivant, quel est 05. Parmi les marqueurs biologiques ci-après, un
celui dont le pronostic est le plus favorable : La RJ seul peut s’élever en cas de métastase d’un cancer
A. Cancer vésiculaire différencié de la thyroïde. Lequel ? La/Les RJ
B. Cancer médullaire. A. TSH us
C. Cancer anaplasique B. Thyrocalcitonine
D. Microcancer thyroidien. C. Thyroglobuline
E. Cancer papillaire.
D. T4 libre
Source : Q25 - 20-21 Sec A Réponse : D
E. Thyroïd binding globulin TGB
Source : Q07 - 19-20 Sec B Réponse : C
02. Les microcancers de la thyroïde : La RF
A. Sont des tumeurs dont la taille est < 1 cm.
06. Les éléments anamnestiques évocateurs de
B. Sont le plus souvent de type papillaire.
malignité d'une lésion thyroïdienne : La RF
C. Sont rarement de type vésiculaire.
A. Antécédents personnels et familiaux de cancers
D. Sont évolutifs et de mauvais pronostic.
thyroïdiens.
E. Sont hormonodépendants.
B. Notion d'irradiation cervicale dans l'enfance.
Source : Q20 - 20-21 Sec B Q24 - 19-20 Sec C Réponse : D
C. L'ancienneté et l'évolutivité du nodule.
D. L’existence de signes compressifs.
03. Vous recevez un patient en consultation qui se
E. Toutes ces réponses sont fausses.
plaint d'une gêne cervicale. A l'inspection vous
Source : Q12 - 18-19 Sec A Réponse : E
remarquez une tuméfaction cervicale en regard de
la loge thyroïdienne et à la palpation vous
07. Parmi les tumeurs thyroïdiennes suivantes
percevez une hypertrophie thyroïdienne. Quel est
quelle est celle dont le pronostic est le plus
l'examen radiologique que vous demanderez en
péjoratif : La RJ
premier ?
A. Carcinome papillaire de la thyroïde
A. Scintigraphie thyroïdienne.
B. Carcinome vésiculaire de la thyroïde
B. Echographie thyroïdienne.
C. Carcinome anaplasique de la thyroïde
C. Scanner cervical.
D. Microcancer de la thyroïde
D. Téléthorax. Source : Q26 - 18-19 Sec B Réponse : C
E. Imagerie par résonance magnétique (IRM) cervicale.
Source : Q21 - 19-20 Sec A Réponse : B

04. A propos du carcinome papillaire de la


thyroïde : La/Les RJ
A. Il prédomine chez l’adulte jeune
B. Il est de mauvais pronostic
C. Il peut-être multifocal
D. Il peut apparaitre après radiothérapie cervicale
E. Il se propage par voie hématogène
Source : Q06 - 19-20 Sec B Réponse : ACD
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12. HTA Endocrinienne :


01. L’origine endocrinienne d’une HTA est évoquée 05. Les causes d'une hypertension artérielle
devant les éléments suivants : La RF hypokaliémiante : La RF
A. Age < 40 ans. A. Hyperaldostéronisme primaire.
B. Caractère résistant de l’HTA. B. Pseudohyperaldostéronisme.
C. Présence d'un syndrome de thyrotoxicose. C. Hypercorticisme (Syndrome de cushing).
D. Une insuffisance surrénalienne, D. Phéochromocytome
E. Une hypokaliémie E. Insuffisance surrénalienne.
Source : Q24 - 20-21 Sec A Réponse : D Source : Q11 - 18-19 Sec A Réponse : E

02. Les endocrinopathies suivantes sont 06. Parmi les endocrinopathies suivantes quelle est
habituellement responsable d’une HTA sauf une, celle qui n'est pas responsable d’une hypertension
laquelle ? artérielle (HTA) hypokalémiante : La RJ
A. Adénome de Conn. A. Phéochromocytome
B. Hypercorticisme. B. Adénome de Conn
C. Insuffisance surrénalienne. C. Syndrome de Cushing
D. Hyperthyroïdie. D. Hypothyroïdie primaire
E. Phéochromocytome. Source : Q27 - 18-19 Sec B Réponse : D
Source : Q21 - 20-21 Sec B Q25 - 19-20 Sec C Réponse : C
07. L'hypertension artérielle (HTA) d'origine
03. Une hypertension artérielle paroxystique est endocrinienne doit être évoquée devant les
d’autant plus évocatrice d’un phéochromocytome arguments suivants : La RF
que les poussées s’accompagnent : La/Les RJ A. Age < 40 ans
A. D’une sensation de malaise intense B. Caractère résistant de l'HTA
B. De sueurs profuses C. Présence de signe clinique en faveur d'une maladie
C. De troubles vasomoteurs en particulier au niveau endocrinienne habituellement responsable d'une HTA
du visage D. Hyperkaliémie
D. D’une bradycardie E. Hypokaliémie
E. De céphalées Source : Q28 - 18-19 Sec B Q12 - 17-18 Sec A Réponse : D
Source : Q05 - 19-20 Sec B Réponse : ABCE
08. Dans les HTA endocriniennes : Les RJ
04. Les arguments suggestifs d’une hypertension A. On évoque le diagnostic devant une insuffisance
artérielle d'origine endocrinienne sont : La RF surrénalienne
A. Hypertension artérielle résistante à une trithérapie B. L’hypokaliémie est l'élément évocateur.
anti-hypertensive. C. Le diabète insipide peut être la cause.
B. Age inférieur à 40 ans. D. On doit supplémenter le patient en sodium et
C. Signes clinique d'une maladie endocrinienne calcium pour corriger l'ionogramme.
pourvoyeuse d'HTA. E. Certaines de ces HTA sont guérissables après
D. Sténose de l'artère rénale. ablation de la tumeur en cause.
E. Hypokaliémie. Source : Q03 - 17-18 Sec B Réponse : BE
Source : Q10 - 18-19 Sec A Réponse : D
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13. Insuffisances Surrénaliennes :


01. Toutes les affections suivantes peuvent être à 06. Le traitement de l'insuffisance surrénalienne
l'origine d'insuffisance surrénalienne, Sauf : La RJ primaire aiguë fait appel à : La RF
A. Tuberculose A. Réhydratation parenterale
B. Rétraction corticale auto-immune B. Correction des troubles hydro électrolytiques.
C. Métastase surrénalienne d’un cancer C. Glucocorticoides et minéralocorticoides par voie
D. Hémorragie des surrénale. parentérale.
E. Corticosurrénalome malin sécrétant les glucocorticoïdes D. Insulinothérapie.
Source : Q16 - 20-21 Sec A Q35 - 19-20 Sec C Réponse : E E. Parfois aux solutés macromoléculaires en cas d'état
Q27 - 18-19 Sec A de choc.
Source : Q23 - 20-21 Sec B Q28 - 18-19 Sec A Réponse : D

02. Parmi ces anomalies biologiques, quelles sont


celles qui peuvent être observées au cours de 07. Au cours de l'insuffisance surrénalienne
l'insuffisance surrénalienne primaire : La/Les RJ primitive les symptômes suivants sont présents :
A. Hypokaliémie, hypernatrémie La/Les RF
B. Hyperkaliémie, hyponatrémie. A. Asthenie à triple composante physique, psychique
C. Eosinophilie et sexuelle.
D. Hyperglycémie. B. Hypotension artérielle,
C. Hypoglycémie.
E. CRP augmentée
Source : Q17 - 20-21 Sec A Réponse : BC
D. Anorexie.
E. Dépigmentation des téguments et des muqueuses.
Source : Q24 - 20-21 Sec B Réponse : E
03. Au cours de la maladie d’Addison, les
symptômes suivants sont présents : La/Les RF 08. Parmi les propositions ci-dessous, quels
A. Prise de poids éléments devraient être absents à l'examen clinique
B. Asthénie d'un patient présentant un déficit corticotrope ? Les RJ
C. Mélanodermie A. Asthénie profonde.
D. Hypertension artérielle maligne B. Mélanodermie.
E. Troubles digestifs C. Hypotension orthostatique.
Source : Q18 - 20-21 Sec A Q22 - 19-20 Sec B Réponse : AD D. Hyperkaliémie.
Q05 - 18-19 Sec B Q18 - 17-18 Sec B E. Hypoglycémie.
Source : Q17 - 19-20 Sec A Réponse : BD

04. Dans le déficit corticotrope, il existe : La RJ


09. Au cours de la maladie d Addison, on observe :
A. Un déficit isolé en glucocorticoïde.
La/Les RF
B. Un déficit isole en androgènes surrénaliens A. Un amaigrissement progressif
C. Un déficit combine en glucocorticoïdes et en B. Une hypotension artérielle
androgènes surrénaliens. C. Une dépigmentation
D. Un déficit combiné en glucocorticoïdes et en D. Une augmentation du taux de l’ACTH plasmatique
aldostérone. E. Des troubles du transit
E. Un déficit isolé en aldostérone. Source : Q20 - 19-20 Sec B Q04 - 18-19 Sec B Réponse : C
Source : Q13 - 20-21 Sec B Réponse : C
10. Parmi ces anomalies biologiques, quelles sont
05. L’insuffisance surrénalienne primaire : La RF celles qui peuvent être observées au cours de
A. Peut être d'origine auto-immune. l'insuffisance surrénalienne primaire : La/Les RJ
A. Hypokaliémie, hypernatrémie
B. Se caractérise par un cortisol bas et une ACTH
B. Hyperkaliémie, hyponatrémie.
plasmatique élevée.
C. Eosinophilie
C. Peut se révéler par une hypoglycémie. D. Hyperglycémie.
D. Les troubles ioniques sont toujours absents. E. Hypercalcémie
E. Se traite par les glucocorticoides associés aux Source : Q06 - 18-19 Sec B Réponse : BCE
minéralocorticoides.
Source : Q22 - 20-21 Sec B Q14 - 17-18 Sec A Réponse : D
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14. Dyslipidémie :
01. Concernant la dyslipidémie : La/Les RJ 05. Parmi ces complications du traitement des
A. Les lipoprotéines riches en triglycerides sont dyslipidémies, laquelle est (lesquelles sont)
fréquemment retrouvées en postprandial absente(s) : La/Les RJ
B. Les VLDL sont essentiellement composés de A. Troubles digestifs.
cholesterol B. Perturbation du bilan hépatique.
C. Le type Ill de la classification de Fredrickson C. Myopathies.
correspond à une augmentation des chylomicrons. D. Cardiopathie.
D. L’Apo B est considérée comme antiathérogène. E. Artériopathie des membres inférieurs.
E. Le calcul du LDL-CT est réalisé par la formule de Source : Q13 - 19-20 Sec A Réponse : DE

Friedwald que si le taux des triglycerides est > 4 g/1.


Source : Q29 - 20-21 Sec B Réponse : A 06. Concernant la dyslipidémie : La/Les RJ
A. La formule de Friedwald n est utilisé pour le calcul
02. Concernant les facteurs de risque retenus dans du LDL-CT que si les TG sont > à 4g /l
la dyslipidémie : La/Les RJ B. Le type lla désigne l’augmentation exclusive des
A. Age > 35 ans chez la femme. VLDL
B. L'existence d'antécédents familiaux de mort subite C. L’Apo A-1 est considérée comme antiathérogène
chez les apparentés du 2ème degré. D. Un age > 45 ans chez la femme est considéré
C. Présence d'une insuffisance rénale est un facteur de comme facteur de risque
risque majeur. E. Un HDL-CT > 0,60 g/l est un facteur protecteur
D. Un HDL-CT > 0,60 g/l est un facteur protecteur. Source : Q27 - 19-20 Sec B Réponse : CE

E. Un diabète sucré connu mais non traité.


Source : Q30 - 20-21 Sec B Réponse : CDE 07. Concernant le trt des dyslipidémies : La/Les RJ
A. Les statines agissent préférentiellement sur les TG
03. Concernant le traitement de la dyslipidémie, les B. L’association statine inhibiteur de l’absorption du
fibrates : Les RJ cholestérol expose à un risque élevé de rhabdomyolyse
A. Agissent préférentiellement sur la baisse des C. Une surveillance par un éléctromyogramme est
triglycerides nécessaire lors du trt par statine
B. Une protection sur la morbi-mortalité prouvée. D. La paravastatine est considéré actuellement comme
C. Peuvent entraîner une atteinte musculaire moindre la statine la plus puissante
que les statines E. La cholestyramine peut être associée dans certains
D. Intéressantes chez les diabétiques car elles baissent cas aux fibrates
sensiblement le HDL-CT. Source : Q28 - 19-20 Sec B Réponse : E

E. La Rosuvastatine en est une molécule de choix.


Source : Q31 - 20-21 Sec B Réponse : AC 08. Concernant les facteurs de risque de la
dyslipidémie : La/Les RJ
04. Dans le traitement des dyslipidémies, les A. Age < 45 ans pour le sexe masculin
statines agissent préférentiellement sur : La/Les RJ B. Obésité avec un BMI >30 kg/m2
A. La diminution des triglycérides. C. Antécédents de mort subite avant l'âge de 65 ans
B. La diminution du cholestérol total. chez un parent du 1er degré de sexe féminin
C. La diminution du HDL-cholestérol. D. Tabagisme arrêté depuis moins 10 ans
D. La diminution du LDL-cholestérol. E. HDL-CT < 0.60 g/I est un facteur protecteur
E. La diminution de la morbi-mortalité chez les diabétiques Source : Q16 - 19-20 Sec C Réponse : C
Source : Q12 - 19-20 Sec A Réponse : BDE
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09. Concernant le régime hypolipémiant : La/Les RJ 14. Quelle statine est considérée comme la plus
A. Favoriser la perte de poids en cas d'obésité puissante pour baisser le LDL-CT ?
B. Favoriser les graisses saturés au dépens des A. Atorvastatine.
Insaturés B. Fluvastatine.
C. Favoriser les aliments à index glycémique élevé C. Simvastatine.
D. Favoriser la consommation de crudités et les huiles D. Rosuvastatine.
de poisson. E. Pravastatine.
E. Favoriser une activité physique régulière en cas Source : Q35 - 18-19 Sec A Réponse : D
d'hypertriglycéridémie
Source : Q17 - 19-20 Sec C Réponse : ADE 15. Dans la dyslipidémie ; l'Ezetimibe est un : La RJ
A. Inhibiteur de HMG Coa réductase
10. Concernant le traitement médicamenteux de la B. Une fibrate
dyslipidémie, celui qui agit préférentiellement sur le C. Une résine
LDL-CT : La RJ D. De l'acide nicotinique
A. Gemfibrozil
E. Inhibiteur de l'absorption du cholestérol
B. Fenofibrate
Source : Q38 - 18-19 Sec B Réponse : E
C. Ezetimibe
D. Cholestyramine
16. Quel facteur de risque n'est pas retenu au cours
E. Pravastatine
Source : Q18 - 19-20 Sec C Réponse : E
des dyslipidémies ?
A. HTA
11. Concernant la classification de Frederickson le B. Obésité
type IV est une : La RJ C. Tabagisme
A. Augmentation des chylomicrons. D. HDL-CT bas
B. Augmentation du LDL. E. Diabète de type 2
C. Augmentation des IDL. Source : Q39 - 18-19 Sec B Réponse : B
D. Augmentation des chylomicrons et des VLDL.
E. Augmentation des VLDL. 17. Les graisses polyinsaturées sont privilégiées au
Source : Q32 - 18-19 Sec A Réponse : E
cours du régime hypolipémiant :
A. Vrai
12. Les dyslipidémies : La/Les RJ
A. Sont fréquemment asymptomatique. B. Faux
Source : Q40 - 18-19 Sec B Réponse : A
B. Peuvent être perturbés par des affections aigues.
C. La formule de Friedwald permet de calculer le
HDL-CT. 18. Les dyslipidémies peuvent être compliquées de :
D. Apo B est considérée comme anti-athérogène. 2 RJ
E. Toutes les réponses sont justes. A. Ischémie myocardique voire IDM pour les
Source : Q33 - 18-19 Sec A Réponse : AB hypercholestérolémies
B. Syndrome polyuropolydipsique pouvant dépasser
13. Quel facteur de risque n’est pas retenu dans les 10 litres
dyslipidémies ? C. Pancréatites aiguës dans les hypertriglycéridémies
A. Age > 55 ans chez les femmes.
importantes.
B. Obésité importante.
D. Crises de priapisme
C. HDI-CT bas.
D. Diabète sucré ancien. E. Hypoglycémies sévères.
Source : Q15 - 17-18 Sec B Réponse : AC
E. Existence d'une atteinte rénale.
Source : Q34 - 18-19 Sec A Réponse : B
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15. Diabète Sucré :


01. Parmi ces critères diagnostiques du diabète 06. Patient âgé de 50 ans, obèse, ses parents et ses
sucré, (les)lequels n'est(sont) pas inclus : La/Les RJ frères et sœur sont diabétique. Sa première
A. Glycémie >2 g/l n’importe quel moment de la journée. glycémie à jeun est à 1,28 g/l et la deuxième,
B. Glycémie > 1,40 g/l mais < 2 g/l après HGPO. réalisé une semaine plus tard, à 1,36 g/l. Il s’agit
C. Glycémie à jeun > 1 g/l mais < 1,10 g/l probablement : La RJ
D. Glycémie à jeun entre 1,10 g/l et 1,26 g/l A. D’un pré diabète
E. Une glycémie > 2 g/l après HGPO. B. D’un Diabète type 1
Source : Q25 - 20-21 Sec B Q14 - 19-20 Sec A Réponse : BCD
C. D’un Diabète type 2
D. D’une intolérance au glucose
E. Faire une bandelette urinaire pour confirmer
02. Parmi les hypoglycémiants suivants quels sont Source : Q29 - 19-20 Sec B Q36 - 18-19 Sec A Réponse : C
ceux qui ne donnent ni hypoglycémies ni prises de Q20 - 18-19 Sec B Q02 - 17-18 Sec A
poids : La/Les RJ
A. Analogues du GLP1, sulfonylorées, inhibiteurs des 07. Selon les recommandations 2019 de l'ADA,
SGLT2 quelle classe thérapeutique proposeriez-vous à un
B. Insuline lente, sulfonylorées, glinides diabétique de type 2 ayant dans ses antécédents un
C. Insuline rapide, inhibiteurs des DPP4, glinides Infarctus du myocarde et dont l'HbA1c = 8,9%
D. Inhibiteurs des ɑ glucosidases, inhibiteurs des DPP4, sous 2 g/jour de metformine ?
metformine A. Insuline
B. Inhibiteur de DPP4
E. Metformine, insuline lente
Source : Q26 - 20-21 Sec B Réponse : D
C. Sulfonylurée
D. Analogue du GLP-1
E. Inhibiteur des a glucosidases
03. Parmi les propositions suivantes quelle(s) est Source : Q29 - 19-20 Sec C Réponse : D
(sont) celle(s) qui plaident en faveur d’un Diabète
Type 1 : 08. Parmi les hypoglycémiants suivants quels sont
A. Age jeune. ceux qui ne donnent ni hypoglycémies ni prises de
B. Début insidieux. poids : La RJ
C. Tendance à faire des cétoacidoses diabétiques A. Analogues du GLP1, sulfonylorées, inhibiteurs des
spontanément. SGLT2
D. Obésité. B. Insuline rapide, inhibiteurs des DPP4, glinides
C. Inhibiteurs des a glucosidases, inhibiteurs des DPP4,
E. Destruction des cellules ß des ilots de Langerhans
metformine
du pancréas endocrine par un processus auto-immun. D. Réponses B et C
Source : Q26 - 19-20 Sec A Réponse : ACE Source : Q21 - 18-19 Sec B Q03 - 17-18 Sec A Réponse : D

04. Parmi les antidiabétiques suivants, quels sont 09. Mr B.M âgé de 59ans diabétiques depuis 3 ans
ceux qui ne donnent pas d’hypoglycémie et qui sous metformine 2/jour à un BMI à 32 kg/m, une
donnent une perte de poids ? HbA1c à 8,3%, la moyenne des glycémies à jeun
A. Glitazones, biguanides. se situe autour de 1,20 g/l et celle des Glycémies
postprandiales autour de 2,30 g/. Une bithérapie
B. Sulfonylurées, glinides
est indiquée. Quel est Hypoglycémiant le plus
C. Inhibiteurs des α glucosidases, inhibiteurs de DPP4 approprié à associer à la metformine ? La RJ
D. Inhibiteurs des SGLT2, analogues du GLP1 A. Un sulfamide hypoglycemiant
E. Sulfonylurées, insuline B. Un inhibiteur des SGLT2
Source : Q04 - 19-20 Sec B Q28 - 19-20 Sec C Réponse : D C. Un inhibiteur des ɑ glucosidases
D. Un analogue du GLP1
05. Parmi les critères suivants du syndrome E. Réponses A + C
métabolique selon la définition de la fédération Source : Q22 - 18-19 Sec B Réponse : D
internationale du diabète 2005 (IDF), lequel est ou
lesquels sont présent(s) : 10. Dans le diabète gestationnel quels
A. Hypercholestérolémie > 2 g/l. antidiabétiques sont indiqués ? La/Les RJ
A. Glinide
B. Une glycémie à jeun > 1g/l.
B. Analogues GLP1
C. Une augmentation du HDL-CT > 0,60 g/l. C. Inhibiteurs du SGLT2
D. Une atteinte rénale. D. Glitazones
E. Une obésité gynoïde. E. Toutes les réponses sont fausses
Source : Q15 - 19-20 Sec A Réponse : B Source : Q20 - 17-18 Sec B Réponse : E
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16. Hypoglycémie :
01. Le syndrome neurovégétatif lors d’une 05. La triade de Whipple : La RJ
hypoglycémie peut être absents : Les RJ A. Signes neurovégétatifs + une glycémie < 0,70 g/I
A. Prise de béta-bloquants + coma.
B. Prise de diurétique B. Signes neurovégétatifs + signes neuroglucopéniques
C. Hypoglycémies à répétition + une glycémie < 0,70 g/l.
D. Neuropathie vegetative diabétique C. Signes neurovégétatifs + signes neuroglucopéniques
E. Neuropathie alcoolique + une glycémie < 0,40 g/l.
Source : Q12 - 20-21 Sec A Q39 - 20-21 Sec B Réponse : ACD D. Signes neuroglucopéniques + une glycémie < 0,50
Q08 - 19-20 Sec A g/l + disparition des signes après resucrage.
E. Signes neurovégétatifs + une glycémie < 0,40 g/1
02. Parmi les caractéristiques cliniques du coma + disparition des signes après resucrage.
hypoglycémique : Les RF Source : Q10 - 19-20 Sec A Réponse : D
A. Les sueurs profuses ont une excellente valeur
d'orientation 06. Votre CAT devant une hypoglycémie : La/Les RF
B. La reversibilité rapide après resucrage ne contime A. Chez un patient calme et conscient, administration
pas le diagnostic, per os de sucre : 10-20 grammes puis administration
C. Il existe un signe de Babinski bilateral par irritation d'un sucre lent (exemple : le pain).
pyramidale B. L'injection de glucagon est systématique.
D. Le coma est +/- agité, pouvant être entrecoupé de C. En cas d'hypoglycémie par sulfamides, l'arrêt de
crises convulsives, ces derniers pendant 24 à 48 heures est obligatoire.
E. Il ya de signes de localisation D. Injection intra veineuse directe (IVD) de soluté
Source : Q13 - 20-21 Sec A Réponse : BE glucosé à 10% : 50 ml à visée diagnostique et
thérapeutique en cas de coma.
03. Dans le syndrome neurovégétatif quels signes E. L'injection de glucagon se fait en intraveineuse
cliniques sont absents ? directe.
A. Hémiplégie transitoire. Source : Q11 - 19-20 Sec A Réponse : BDE
B. Tremblements
C. Sueurs 07. Dans l’hypoglycémie Idiopathique ou
D. Faim douloureuse. fonctionnelle : La/Les RF
E. Bradycardie A. Survenue d'une hypoglycémie en général 12h
Source : Q14 - 20-21 Sec A Q38 - 20-21 Sec B Réponse : AE après le repas
B. Tableau généralement grave avec mise en jeu du
04. L’insulinome : Les RJ pronostic vital
A. Est un adénome des cellules alpha de Langerhans C. Hypoglycémie survenant 2 h environ après Une
B. Est la cause la plus fréquente des hypoglycémies dose de charge de glucose.
organiques. D. Nécessite un fractionnement des repas
C. Est un adénome bénin (50% des cas). E. Inhibiteurs de l'alpha-glucosidase (Glucor) qui
D. Il peut être isolé augmentent l'absorption du glucose
E. Il peut être intégré dans une NEM I Source : Q33 - 19-20 Sec C Réponse : ABE
Source : Q15 - 20-21 Sec A Q40 - 20-21 Sec B Réponse : BDE
Q09 - 19-20 Sec A 08. Dans l’insulinome : La RJ
A. Les hypoglycémies sont induites par les repas
B. Le dosage de l'insulinémie est inutile.
C. La localisation de la tumeur se fait plus
fréquemment par l' échoendoscopie digestive.
D. Le diabète peut révéler la maladie.
E. Est médical à base de sulfamides.
Source : Q10 - 17-18 Sec B Réponse : C
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17. Diabète Insipide :


01. L’ADH est : La/Les RJ 06. Le diabète insipide néphrogénique : Les RJ
A. Un neurotransmetteur stimulé par l’AMP cyclique A. Peut-être secondaire au venin de serpent.
B. Un peptide de 9 AA dont 7 sont identiques B. On utilise le clofibrate pour renforcer l'effet de
l'ADH,
C. Une hormone sécrétée par la post hypophyse C. La diurèse peut être diminuée par un régime peu
D. Une hormone favorisant la diurèse salé.
E. Toutes les réponses sont fausses D. On utilise les diurétiques thiazidiques.
Source : Q08 - 20-21 Sec A Q33 - 18-19 Sec B Réponse : BC E. Peut-être congenital autosomal-récessif
Source : Q15 - 20-21 Sec B Réponse : CDE

02. Parmi les Caractéristiques de la polydipsie du 07. A propos du test de restriction hydrique : La/Les RF
diabète insipide : La RF A. Critères d'interruption : perte pondérale 10%;
A. Soif intense Impérieuse. [Na] >130 mmol ; osmolalité plasmatique ≤ 300
B. Diurne. mosm/kg
C. Insatiable. B. Après 8 heures de test, on effectue un test
thérapeutique au Minirin®.
D. Angoisse. C. Repas léger avec boissons (ni café ni thé) autorisé
E. Peut entraîner une déshydratation chez le sujet âge. environ 2 heures avant le test.
Source : Q09 - 20-21 Sec A Q23 - 18-19 Sec A Réponse : B D. Si critères d'interruption, on effectue un test
Q34 - 18-19 Sec B thérapeutique au Minirin®.
E. Si est atteinte une osmolalité urinaire >800
03. Caractéristiques de la polyurie dans le diabète mosm/kg avec osmolalité plasmatique parallèle
insipide : La/Les RJ <300 mosm/kg : le diabète insipide est confirmé.
Source : Q07 - 19-20 Sec A Q30 - 19-20 Sec C Réponse : AE
A. Diurèse ≥ 3L/24h
B. Diurèse > 150 ml/kg/24h à la naissance 08. La potomanie (psychogène) : La/Les RJ
C. Persistance nocturne A. Trouble du comportement avec besoin impérieux
D. Urine hyperosmolaire. de boire.
B. La quantité de liquide Ingérée peut être > à celle
E. Toutes les réponses sont justes absorbée dans un diabète Insipide
Source : Q10 - 20-21 Sec A Q24 - 18-19 Sec A Réponse : ABC
C. Le début de la potomanie est souvent plus brutal.
Q34 - 18-19 Sec B
D. La polydipsie est variable d'un jour à l'autre.
E. Ne présente jamais de troubles psychiatriques.
04. Quelles sont les épreuves dynamiques pour le Source : Q31 - 19-20 Sec C Q25 - 18-19 Sec A Réponse : ABCD
diagnostic du diabète insipide : La/Les RJ
09. L’AVP contrôle la perméabilité à l'eau dans le
A. Test de restriction hydrique.
rein : La/Les RF
B. Essai thérapeutique par la DAVP (minirin) A. Au niveau du tube contourné distal
C. Épreuve au serum sale hypotonique B. Au niveau du tube contourné proximal
D. Épreuve au serum sale hypertonique C. Au niveau du tube collecteur.
E. Test d'orthostatisme D. Par fixation sur les récepteurs V2
Source : Q11 - 20-21 Sec A Q06 - 19-20 Sec A Réponse : ABD
E. En rendant la cellule imperméable à l'eau.
Source : Q32 - 19-20 Sec C Réponse : ABE
Q30 - 19-20 Sec B Q35 - 18-19 Sec B

10. Le diabète insipide : La RJ


05. Dans le diabète insipide central : Les RF A. Est une maladie héréditaire touchant
A. Il y a toujours un contexte chirurgical. l'hypothalamus
B. Le médicament de choix est la dDAVP B. Son traitement est à base de diurétiques de l'anse
C. Peut nécessiter une insulinothérapie dans les formes
(desmopressine ou Minirin),
évoluées
C. Le scanner hypothalamo hypophysaire est D. Peut être une complication de chirurgie
l'examen paraclinique de choix hypophysaire
D. L'IRM hypothalamo hypophysaire est l'examen E. Survient uniquement chez la femme
Source : Q17 - 17-18 Sec B Réponse : D
paraclinique de choix
E. Il peut être héréditaire liée au chromosome X
Source : Q14 - 20-21 Sec B Réponse : ACE
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18. Complications Aiguës du Diabète Sucré :


01. Chez le diabétique, une hypoglycémie de 05. A propos de la surveillance d'une cétoacidose
niveau 2 se définit par : La RJ diabétique sous traitement : La/Les RJ
A. Une glycémie entre 0,54 et 0,70 g/l A. Un électrocardiogramme doit être réalisé au début
B. Une hypoglycémie nécessitant l'aide d'une tierce et répété toutes les 2 heures.
personne. B. La glycémie doit être contrôlée chaque heure.
C. Une hypoglycémie symptomatique <0,54 g/l, sans C. L'ionogramme plasmatique doit être fait toutes les
perte de connaissance, 4 heures.
D. Une hypoglycémie <0,50 g/l D. Les bandelettes urinaires doivent être contrôlées
E. Coma hypoglycémique. chaque 6 heures.
Source : Q34 - 20-21 Sec A Réponse : C E. L'état de conscience est un paramètre extrêmement
important.
02. Le traitement d’une cétoacidose diabétique avec Source : Q29 - 19-20 Sec A Réponse : BCE
hyperglycémie à 3,75 g/l comprend la ou les
mesures suivantes : Les RJ 06. Mme H.R âgée de 22 ans est reçue aux
A. Restauration de l'hémodynamique par perfusion de urgences. Elle est inconsciente, sa glycémie est de 3
sérum glucose à 10%. g/l glycosurie +++, acétonurie +++, bicarbonates
B. Insulinothérapie intraveineuse. 10 mmol/1, PH 7.15, urée 120mg, créatinine 16 mg.
C. Équilibre hydroélectrolytique. Vous pensez à une : La RJ
D. Traitement d'un éventuel facteur déclenchant. A. Une hypoglycémie
E. Insulinothéraple à la seringue électrique. B. Une cétoacidose débutante
Source : Q32 - 20-21 Sec B Q28 - 19-20 Sec A Réponse : BCDE C. Une acidose lactique
D. Un coma hyperosmolaire
03. Quelle est la complication la plus redoutée au E. Une cétoacisode décompensée
cours du traitement de la cétoacidose métabolique Source : Q23 - 18-19 Sec B Q04 - 17-18 Sec A Réponse : E
surtout en cas de chute brutale de la glycémie ? La
RJ 07. Le profil biologique d'une acido-cétose
A. Infection d'origine diabétique est évoqué devant : La/Les RJ
B. Abdomen chirurgical A. Une hyperglycémie > 4,00 gr/l
C. Hypokaliémie. B. Une glycosurie à 50 g/l
D. Accident thromboembolique. C. Une cétonurie à + + +
E. Œdème cérébral. D. Un pH capillaire < 7.20
Source : Q33 - 20-21 Sec B Q30 - 19-20 Sec A Réponse : E E. Une Pa CO2 supérieure à 50 mmHg
Source : Q247 CHERRAK Réponse : ABCD
04. Au cours d'une cétoacidose diabétique, quel est
l'électrolyte qu'il faut surveiller étroitement en 08. Le coma hyper-osmolaire du diabète sucré :
raison du risque élevé de sa déplétion ? La/Les RJ
A. Sodium. A. Survient généralement sur un terrain de diabète de
B. Potassium. type 2
C. Chlore. B. S’installe généralement en quelques heures
D. Calcium. C. Se traduit par une déshydratation à maximum
E. Magnésium. cellulaire
Source : Q27 - 19-20 Sec A Réponse : B D. Ne s'accompagne jamais d'acidose
E. Est de pronostic en moyenne plus favorable que le
coma céto-acidosique
Source : Q257 CHERRAK Réponse : AC
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19. Aménorrhées :
01. Parmi ces étiologies quelles sont que vous 06. Quelles sont les caractéristiques compatibles
retenez devant une aménorrhée secondaire avec une aménorrhée hypothalamique ?
associée à un hypogonadisme hypogonadotrope ? 1. Elle secondaire à une atteinte de la sécrétion et /
Les RJ ou de la pulsatilité de la GnRH
A. Prolactinome. 2. Elle peut être organique, génétique ou fonctionnelle
B. Syndrome de Turner 3. L’IRM hypothalamo-hypophysaire est toujours normale
C. Antecedent d'un traumatisme crânien. 4. Les gonadotropines sont toujours basses
D. Grossesse. 5. En cas de désir de grossesse, le trt se fait par une
E. Activité physique intense, pompe à GnRH
Source : Q34 - 20-21 Sec B Réponse : ACE A. (1,2,3) B. (1,4,5) C. (1,2,5)
D. (3,4,5) E. (1,2,4)
02. Mlle M.S âgée de 32 ans consulte pour une Source : Q24 - 19-20 Sec B Réponse : C
aménorrhée secondaire, l'examen clinique retrouve
des signes d'hyperandrogénie (hirsutisme, acné, 07. Toutes les étiologies peuvent être à l’origine
seborrhée), quels sont les diagnostics à évoquer ? d’une aménorrhée associée à des signes
A. Dystrophie ovarienne. d’hyperandrogénie :
B. Hyperplasie congenitale des surrénales. 1. Un syndrome de Kallmann
C. Prise de corticoides 2. Un corticosurrénalome
D. Insuffisance ovarienne prématurée. 3. Une hyperplasie congénitale des surrénales
E. Maladie de Cushing. 4. Un syndrome des des ovaires polykystiques
Source : Q35 - 20-21 Sec B Réponse : ABE 5. Un syndrome de Turner
A. (1,2,3) B. (2,4,5) C. (2,3,4)
03. Ces examens peuvent être demandé devant D. (3,4,5) E. (1,3,4)
une aménorrhée primaire sans développement Source : Q25 - 19-20 Sec B Q13 - 18-19 Sec B Réponse : C
pubertaire sauf :
A. Caryotype. 08. Ces étiologies peuvent expliquer une
B. IRM hypyhalamohypophysaire. aménorrhée associée à un développement
C. BhCG pubertaire et des douleurs pelviennes cycliques :
D. E2, FSH, LH 1. Un syndrome de Rokistanski
E. Echographie pelvienne. 2. Un syndrome de Kallmann
Source : Q36 - 20-21 Sec B Q14 - 18-19 Sec B Réponse : C 3. Une imperforation de l’hymen
4. Une sténose cervicale
04. Quels sont les bilans à demander devant une 5. Une aplasie vaginale
aménorrhée primaire sans signes de A. (1,3,4) B. (3,4,5) C. (2,3,5)
développement pubertaire ? D. (1,2,3) E. (2,4,5)
1) FSH-LH Source : Q26 - 19-20 Sec B Réponse : B
2) Prolactine
3) B-hCG plasmatique 09. Devant toute aménorrhée primaire, il est justifié
4) Testostérone de faire ou de donner : La/Les RJ
5) Œstradiol A. Un test aux progestatifs
A. (1-2-3-5) B. (2-3-4-5) C. (1-2-4-5) B. Un traitement hormonal à base œstrogènes
D. (1-2-3-4) E. (1-3-4-5) C. TSH
Source : Q19 - 19-20 Sec A Réponse : C D. Age osseux
E. Caryotype en cas d'hypogonadisme hypo gonadotrope
05. Chez une patiente présentant une aménorrhée Source : Q19 - 19-20 Sec C Réponse : CD
secondaire associée à un taux de FSH : 3.2 UI/L
(N:0.8-7.4), LH : 2.00 UI/L (N : 2.1-11.9), Œstradiol 10. Devant une aménorrhée primaire chez une fille
à 12 pg/ml (N=25-100). Quels sont les diagnostics de 16 ans le bilan montre une œstradiolémie basse
à évoquer ? avec FSH, LH élevées : Les RJ
1) Syndrome de Sheehan A. C'est un hypogonadisme d'origine hypophysaire
2) Insuffisance ovarienne prématurée B. Demander une IRM hypophysaire et un test à la LHRH.
3) Aménorrhée psychogène C. On doit demander un caryotype à la recherche de
4) Grossesse dysgénésie gonadique
5) Adénome hypophysaire D. Ce bilan peut expliquer un impubérisme
A. (1-3-5) B. (2-3-4) C. (3-4-5) E. On doit traiter par des progestatifs
D. (1-4-5) E. (2-3-5) Source : Q02 - 17-18 Sec B Réponse : CD
Source : Q20 - 19-20 Sec A Q15 - 18-19 Sec B Réponse : A
5ème Année Med Oran 2021/2022

20. Hypercorticisme :
01. Le diagnostic différentiel du syndrome de 04. Quels examens complémentaires de 1ère
cushing comporte : Les RJ intention allez-vous demander pour confirmer votre
A. L'alcoolisme chronique intuition clinique ? La/Les RJ
B. L'obésité. A. Dosage statique du cortisol plasmatique à 08h
6. L'adénome cortisolique. B. Dosage du cortisol après test au CRH
D. La dépression endogene. C. Dosage cortisol libre urinaire des 24H
E. Le corticosurrénalome malin. D. Dosage du cortisol sous test de freinage minute à
Source : Q27 - 20-21 Sec B Q01 - 19-20 Sec A Réponse : ABD la déxaméthasone
E. Dosage de l’ACTH plasmatique
02. La maladie de Cushing : Les RJ Source : Q11 - 19-20 Sec B Réponse : CD
A. Est un Etat d'Hypercortisolisme ACTH-indépendant,
B. Est un Etat d'Hypercortisolisme ACTH-dépendant. 05. Les résultats sont en faveur du diagnostic, vous
C. ll s'agit d'un adénome hypophysaire qui secrète décidez d’hospitaliser la patiente.
d'une façon inapproprié l'ACTH. Quel est l’examen indispensable pour être certain
D. Le test au freinage fort est positif. du diagnostic du syndrome de cushing ?
E. L'hypokaliémie avec alcalose métabolique est très A. Freinage faible du cortisol par la dexaméthasone
évocatrice. B. Freinage minute du cortisol par la dexaméthasone
Source : Q28 - 20-21 Sec B Réponse : BCD C. Freinage de l’ACTH plasmatique par la
dexaméthasone
03. La maladie de Cushing : La/Les RJ D. Freinage de l’ACTH par le cortisol
A. Est un Etat d'Hypercortisolisme ACTH-indépendant. E. Freinage de l’ACTH par la CRH
B. Est un Etat d'Hypercortisolisme ACTH-dépendant. Source : Q12 - 19-20 Sec B Réponse : A
C. Il s'agit d'un adénome hypophysaire qui secrète
d'une façon inapproprié la CRH. 06. Le freinage revient négatif, parmi les résultats
D. L'hypokaliémie avec alcalose métabolique est très suivants, quelles sont celles qui vous orientent vers
évocatrice. le diagnostic de la maladie de cushing : La/Les RJ
E. Le test au freinage fort est positif. A. Freinage fort positif
Source : Q02 - 19-20 Sec A Réponse : BE B. Freinage fort négatif
C. Taux d’ACTH supérieur à 15 pg/ml
D. Taux d’ACTH inférieur à 5 pg/ml
E. Hypokaliémie
Mme F. 37 ans consulte chez vous pour une Source : Q13 - 19-20 Sec B Réponse : AC
hypertension artérielle (HTA).
A l’interrogatoire : c’est une HTA qui résiste à un 07. Le test de freinage minute : La/Les RJ
traitement médical bien conduit, la patiente ne prend A. Est un test qui se fait en ambulatoire
pas d’alcool, ni de corticoïdes. B. Consiste à donner 1 mg de dexaméthasone à
A l’examen : vous êtes d’emblée frappé par la minuit et de doser le cortisol plasmatique a8h
morphologie de la patiente : obésité abdominale, avec C. Normalement le freinage est positif et le cortisol a
un visage érythrosique, et aspect en bosse de bison de 8h revient <1.8 ųg/dl ou (< 50 nmol/l)
la nuque. L’examen clinique objective des vergetures D. Dans le syndrome de cushing : absence de
larges, rouges et verticales siégeant au niveau freinage du cortisol plasmatique
abdominal, avec une amyotrophie des membres. E. Toutes les réponses sont justes
Vous pensez au syndrome de cushing Source : Q09 - 19-20 Sec C Réponse : E
5ème Année Med Oran 2021/2022

08. Un syndrome de cushing associé à une 13. Le Pseudo syndrome de Cushing est caractérisé
hypokaliémie franche et une alcalose métabolique, par : La/Les RJ
vous oriente vers quel type d’étiologie ? La/Les RJ A. ACTH élevée
A. Un syndrome de cushing ACTH dépendant B. ACTH basse
B. Un syndrome de cushing ACTH indépendant C. Cortisol libre urinaire élevé
C. Un cushing paranéoplasique D. Cortisol libre urinaire bas
D. Un corticosurrénalome malin E. Cycle nycthéméral conservé à un niveau élevé
E. Un adénome corticotrope Source : Q01 - 18-19 Sec B Réponse : ACE
Source : Q10 - 19-20 Sec C Réponse : AC
14. La mélanodermie s'observe dans les situations
09. La maladie de cushing : La/Les RJ suivantes : La/Les RJ
A. Est un état d'Hypercortisolisme ACTH dépendant A. L'adénome surrénalien cortisolique
B. Est un état d'Hypercortisolisme ACTH indépendant B. La maladie de Cushing
C. Le test au freinage faible est positif C. Le Pseudo Cushing
D. Le test au freinage fort est positif D. La maladie d'Addison
E. Le test au freinage fort est négatif E. Le syndrome de Cushing paranéoplasique
Source : Q11 - 19-20 Sec C Réponse : AD Source : Q02 - 18-19 Sec B Réponse : BDE

10. Dans l'hypercorticisme métabolique : La/Les RJ 15. Tous ces cancers sont pourvoyeurs de
A. Une hypertension artérielle est habituelle. syndrome de Cushing paranéoplasique sauf un :
B. Une note de virilisation fréquente. A. Cancer du sein
C. Le test de freinage faible est négatif. B. Cancer de la thyroïde
D. Un cortisol plasmatique élevé 3 heures suffit pour C. Cancer du poumon
le diagnostic. D. Cancer du thymus
E. L’ACTH plasmatique est toujours élevée. E. Cancer de pancréas
Source : Q13 - 18-19 Sec A Réponse : ABC Source : Q03 - 18-19 Sec B Réponse : A

11. Les anomalies biologiques caractérisant le 16. Dans la maladie de Cushing : La RJ


syndrome de Cushing sont les suivantes sauf une : A. La cortisolémie est basse et ACTH élevée
A. Un diabète sucré. B. La mélanodermie est un signe fréquent
B. Une dyslipidémie. C. Absence totale de freinage fort à la
C. Une hyperleucocytose 3 polynucléaire neutrophile. dexamethasone
D. Alcalose hypokaliémique. D. Il n’y a jamais d'HTA mais une hypotension
E. Hypocalciurie. E. Le traitement est exclusivement médical
Source : Q14 - 18-19 Sec A Réponse : E Source : Q08 - 17-18 Sec B Réponse : B

12. Les tests suivants sont des tests de dépistage


sauf deux :
A. Cycle cortisolique.
B. Cortisol libre urinaire des 24H.
C. Cortisol salivaire a minuit.
D. Test de freinage faible.
E. ACTH.
Source : Q15 - 18-19 Sec A Réponse : DE
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21. Obésité :
01. Dans le diagnostic de l'obésité : La/Les RJ 05. A propos de l'obésité, il est exact que : La/Les
A. Le calcul de l'Indice de Masse Corporel est la RJ
méthode de référence. A. Le risque d'être obèse est plus important dans les
familles de sujets obèses.
B. Un IMC entre 25kg/m2 et 29,9kg/m2, définit B. La consommation de lipides accroît le risque
l'obésité. d'obésité.
C. Le scanner (TDM), est le critère le plus simple pour C. Les complications cardio-métaboliques sont plus
évaluer l'adiposité abdominale. fréquentes dans l'obésité génoïde que dans l'obésité
D. Pour l'enfant l'IMC est calculé et reporté sur la androïde.
D. Une prise en charge chirurgicale est indiquée dans
courbe de corpulence. l'obésité morbide
E. Toutes ces réponses sont justes. E. La répartition androïde est définie par un tour de
Source : Q22 - 20-21 Sec A Q08 - 20-21 Sec B Réponse : AD taille ≥ 94cm chez la femme.
Q18 - 19-20 Sec A Source : Q34 - 19-20 Sec C Réponse : ABD

02. Dans le traitement de l'obésité : Les RJ 06. A propos de l'obésité, il est exacte que : La/Les
A. La prise en charge est multidisciplinaire. RJ
B. Le traitement médicamenteux est la premiere des A. Le risque d'être obèse plus important dans les
familles de sujets obèses.
mesures thérapeutiques B. La consommation de lipides réduit le risque obésité.
C. La chirurgie est indiquée chez les patients qui ne C. Les complications cardio-métaboliques sont plus
veulent pas faire d'effort. fréquentes dans l’obésité androïde que dans l’obésité
D. Le maintien de la perte de poids est l'objectif gynoïde.
prioritaire D. Une prise en charge chirurgicale est indiquée dans
l’obésité avec IMC >8g/m2.
E. Les psychothérapies sont indispensables, ne passent E. La répartition androïde est définie par un tour de
pas toujours par l'intermédiaire d'un spécialiste taille supérieur ou égale à 94cm chez la femme
Source : Q23 - 20-21 Sec A Réponse : ADE Source : Q08 - 18-19 Sec A Réponse : AC

03. Parmi les facteurs suivants pouvant expliquer 07. Dans la prise en charge de l'obésité : La RF
la survenue d'une obésité, un est faux. Lequel ? A. La stratégie thérapeutique se construit au cas par cas.
A. Hyperphagie. B. La perte de poids doit être le plus souvent rapide
B. Baisse des dépenses d'énergie. et massive.
C. Augmentation de la thermogénèse. C. Le traitement s'inscrit dans la durée.
D. Stress D. Certaines complications sont améliores par une
E. Prédispositions génétique. perte de poids de l'ordre de 10%.
Source : Q09 - 20-21 Sec B Q07 - 18-19 Sec A Réponse : C E. La surveillance fréquente est essentielle.
Source : Q09 - 18-19 Sec A Réponse : B
04. Toute ses propositions concernant l'obésité sont
justes sauf une, laquelle ? 08. Les obésités : Les RJ
A. Les hommes sont plus atteints que les femmes. A. Le risque d'être obèse est plus important dans les
B. Son incidence est en augmentation dans la familles de sujets obèses.
population infantile. B. L'obésité morbide résistant aux traitements
C. C'est la pathologie de la nutrition la plus fréquente conventionnels est une indication la chirurgie bariatrique.
dans les pays industrialisés. C. L’obésité est dite abdominale quand le tour de
D. L'obésité est une maladie multifactorielle taille est supérieur à 80 cm chez I'homme
E. Le risque d'être obèse est plus élevé dans les D. L'obésité est un facteur protecteur contre tous les
familles de sujets obèses. cancers
Source : Q10 - 20-21 Sec B Réponse : A E. l'obésité ganoïde expose au risque de phlébite
Source : Q11 - 17-18 Sec B Réponse : ABE

22. Complications Chroniques du Diabète : /


5ème Année Med Oran 2021/2022

2020 - 2021 Sec A


05. Quelles sont les complications à redouter des ta
Mr FD 18 ans, est admis aux urgences accompagne par mise en route du traitement ? Les RJ
sa maman qui s'inquiète de ses vomissements répétés A. Hyponatrémie
depuis la veille et d'une somnolence apparue ce soir. B. Agranulocytose
Il est diabétique type 1 depuis l'age de 08 ans, C. Hypoglycémie.
habituellement bien équilibré sous 2 injections d'insuline D. Hypokaliémie
mixte, qu'il fait lui-même depuis le diagnostic de son E. Œdème cérébral
diabète. Le malade pratique une activités sportive Source : Q45 - 20-21 Sec A Réponse : CDE
régulière. Il n'a jamais présenté de complications, et n'a
pas d'autre antecedent. 06. Selon vous, quelle sont les causes possible de cette
complications ? Les RJ
L'examen d'entrée par l'équipe de garde : le patient est
A. Regime alimentaire hypocalorique
nauséeux, se poignant d'une douleur abdominale diffuse B. Infection intercurrente
modérée. Il est polypnéique, légèrement déshydraté, C. Schéma d'insulinothérapie inadaptée pour ce patient
obnubilé et répond difficilement aux questions, TA normale, D. Mauvaises conditions de stockage de l'insuline
FC 110/min, FR 28/mn, SpO2 98 %, T 38°C, Glycémie E. Maladie de Basedow.
capillaire 22 mmol/l (3,96 /0), Source : Q46 - 20-21 Sec A Réponse : BCD

01. Vous pensez à : La RJ 07. Vous avez très bien géré la phase aiguë, quelle
A. Une céto acidose diabétique. modification thérapeutique entreprenez-vous ?
B. Une acidose lactique. A. Traitement par de l'iode radioactif.
C. Un coma hyperosmolaire B. Ajouter de la metformine au schéma déjà instauré.
C. Instaurer un schéma d'insulinotherapie type basal bolus
D. Un coma hypoglycémique.
D. Remplacer les 2 injections d'insuline mixte par de
E. Une hyperthyroidie. l'insuline rapide.
Source : Q41 - 20-21 Sec A Réponse : A E. Remplacer les 2 injections d'insuline mixte par de
l'insuline intermédiaire.
02. Quels sont les examens para-cliniques à réaliser Source : Q47 - 20-21 Sec A Réponse : C
chez ce patient ? Les RJ
A. Une TDM cérébrale. 02 mois après le patient reconsulte chez vous, il se plaint
B. Une chimie urinaire aux bandelettes récemment d’un malaise frequent en particulier après son
C. Une formule numeration sanguine. activité sportive type palpitations, tremblements, et flou
D. Une TSH et une échographie thyroidienne, visuel. En poussant l'interrogatoire, le patient rapporte
également la notion de prise de poids.
E. Un ionogramme sanguin.
Source : Q42 - 20-21 Sec A Réponse : BCE 08. Quel est votre hypothèse diagnostic ? La RJ
A. Surmenage
03. En attendant les résultats, vous demandez à B. Hypoglycémie.
C. Hypothyroidie
l'infirmier de garde de réaliser un ECG, quelle sont les
D. Rétinopathie diabétique.
anomalies électriques à rechercher ? La RJ E. Cétose diabétique
A. Diminution d'amplitude de l'onde U physiologique Source : Q48 - 20-21 Sec A Réponse : B
B. L'onde T devient haute, pointue et symétrique.
C. Des anomalies de la conduction auriculaire (diminution 09. Quels en sont les éventuels facteurs étiologiques ?
puis disparition de l'onde P). A. Un état de stress
D. Blocs sino-auriculaires et auriculo-ventriculaires. B. Le sexe masculin
E. Diminution ou négativation de l'onde T sur toutes les C. Une mauvaise adaptation thérapeutique lors de la
dérivations pratique de l'activité sportive
Source : Q43 - 20-21 Sec A Réponse : E D. Présence d'éventuelle lipodystrophies,
E. Présence d'anticorps dans le sérum du patient.
Source : Q49 - 20-21 Sec A Réponse : CD
04. Les examens para-cliniques confirment le diagnostic,
quelles sont les mesures thérapeutiques urgentes à 10. Que faite vous pour y remédier ? Les RJ
entreprendre ? Les RJ A. Arrêter l’insulinothérapie et la remplacer par un
A. Réhydratation par du sérum sale à 0,9 % sulfamide hypoglycémiant.
B. Insulinothérapie en intra veineux à 0,1 UI/kg/h jusqu'à B. Arrêter l'insulinothérapie et la remplacer par de la
disparition de la cétonurie. metformine.
C. Insulinothérapie en intra veineux à 0,1 UI/kg/h jusqu'à C. Diminution des doses d'insuline lors de la pratique de
normalisation de la glycémie. l'activité sportive.
D. Traitement par les antithyroïdiens de synthèse. D. Faire une rotation sur les sites d’injection d’insuline en
E. Apport potassique. espaçant les piqûres.
E. Retour au schéma antérieur
Source : Q44 - 20-21 Sec A Réponse : ABE
Source : Q50 - 20-21 Sec A Réponse : CD
5ème Année Med Oran 2021/2022

2020 - 2021 Sec B


Un homme de 60 ans, aux antécédents de cancer du 05. D'après ce tableau clinique, quels sont les
cavum il y a 15 ans traité par chimiothérapie et étiologies les plus probables ?
radiothérapie, actuellement sans aucune thérapeutique, A. Adénome cortisolique.
consulte à votre niveau pour une constipation apparue il y
a quelque temps. L'examen clinique : B. Insulinome
D'emblée, la tenue vestimentaire du malade vous attire : C. Thyroidite d'Hashimoto.
il est couvert d'un long manteau malgré une chaleur atroce D. Hypothyroidie post radiotherapie.
à la salle d'attente ; E. Maladie de Basedow.
A l'interrogatoire, le malade vous semble ralenti, visage Source : Q45 - 20-21 Sec B Réponse : CD
infiltré, sécheresse de la peau ; Le patient se plaint d'une
prise de poids, et d'une frilosité permanente ;
FC 52 bpm ; TA 12/08 mmHg, poids à 82 Kg ; 06. Comment allez-vous traiter ce malade ? La/Les RJ
Le bilan biochimique ramené par ce dernier retrouve : A. Thyroidectomie totale.
Cholesterol total à 2,60 g/l avec LDL-cholesterol à 1.90 B. Traitement par lode radioactif.
g/l et triglycerides à 1g/l, alors que 06 mois avant le C. Levothyroxine en prise quotidienne.
cholesterol total était à 1,35 g/l ; D. Surrénalectomie unilatérale.
Hb : 11,2 g/100ml, VGM = 97 ; Ferritine : 69 mcg/l ;
VS et CRP normales ; Créatinine : 6 mg/l; C. Diazoxide (Proglycemol) : 300 mg/l per os.
Glycémie à jeun : 0,92g/1 TSHus : 83 mU/l (0,3-3,8) AC Source : Q46 - 20-21 Sec B Réponse : C
anti-thyroperoxydase : 123 U/l (N < 60). 02 mois après, le patient reconsulte chez vous, un
En relisant le dossier, vous noter que la TSHus six mois
auparavant était à 6,4 mU/l et le dosage n'avait plus été amaigrissement est noté, ainsi qu'une légère
refait depuis tachycardie. Le malade rapporte la notion de
tremblement des extrémités, et des sueurs.
01. Quel est votre diagnostic ? La RJ
A. Hypoglycémie. 07. Quel est votre hypothèse diagnostic ? La RJ
B. Hyperthyroidie. A. Sous dosage en hormones thyroïdiennes.
C. Hypothyroidie. B. Sur dosage en hormones thyroïdiennes,
D. Insuffisance surrénalienne. C. Cétose diabétique.
E. Syndrome de cushing. D. Décompensation aiguë d'une insuffisance surrénalienne.
Source : Q41 - 20-21 Sec B Réponse : C E. Metastases
Source : Q47 - 20-21 Sec B Réponse : B
02. Quels sont les examens complémentaires à
viser étiologique ? La/Les RJ 08. Comment allez-vous le confirmer ? La/Les RJ
A. Dosage insulinémie et peptide C.
A. Dosage de la glycémie veineuse, et chimie urinaire.
B. Dosage de la FT3.
C. Echographie thyroidienne. B. Ionogramme sanguin.
D. Scintigraphie thyroïdienne. C. Scintigraphie osseuse.
E. Cortisolémie à 8h D. Dosage de la FT4
Source : Q42 - 20-21 Sec B Réponse : C E. Dosage de la TSH
Source : Q48 - 20-21 Sec B Réponse : E
03. Quels sont les autres anomalies biologiques
possibles dans cette affection ? La/Les RJ 09. À quels résultats vous vous attendiez ? La/Les RJ
A. Hyponatrémie. A. Hyperkaliémie.
B. Hypernatrémie. B. Glycemie basse, et corps cétoniques élevés.
C. Augmentation des CPK, et des transaminases. C. FT4 basse.
D. Élévation des anticorps anti récepteur de la TSH.
D. TSH freinée.
E. Élévation des anticorps antithyroglobuline.
Source : Q43 - 20-21 Sec B Réponse : ACE E. Aucune réponse n'est juste.
Source : Q49 - 20-21 Sec B Réponse : D
04. Quelles sont les anomalies électriques
possibles dans cette pathologie : La/Les RJ 10. Quel est votre conduite thérapeutique ?
A. La tachycardie A. Diminuer la dose en Lévothyroxine.
B. Les troubles du rythme. B. Traitement par hydrocortisone.
C. Le microvoltage C. Traitement par les antithyroidiens de synthèse.
D. La bradycardie. D. Augmenter la dose en Lévothyroxine.
E. L'aplatissement ou l'inversion des ondes T. E. Insulinothérapie.
Source : Q44 - 20-21 Sec B Réponse : CDE
Source : Q50 - 20-21 Sec B Réponse : A

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