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MERAKI MED - EXTERNES EN MEDECINE | FACULTE DE MEDECINE DE CONSTANTINE

QCM ET CAS CLINIQUES

ENDOCRINOLOGIE
CONTROLES DU CURSUS :
THEORIE / CLINIQUE / ANAPATH : 2014 - 2019

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MERAKI MED – ENDOCRINOLOGIE – QCM et CAS CLINIQUES 2014 - 2019

SOMMAIRE

1. ANAPATH … 2
2. DIABETOLOGIE : … 12
› QCM THEORIQUES … 13
› CAS CLINIQUES …
3. LA GLANDE THYROIDIENNE : … 42
› QCM THEORIQUES :
− HYPOTHROIDIE … 43
− HYPERTYROIDIE … 48
− NODULES THYROIDIENS … 52
› CAS CLINIQUES …54
4. LES GLANDES PARATHYROIDIENNES … 69
› QCM THEORIQUES … 70
› CAS CLINIQUE … 73
5. LA GLANDE SURRENALIENNE : … 75
› QCM THEORIQUE … 76
› CAS CLINIQUE … 85
6. LA GLANDE HYPOPHYSAIRE : … 98
› QCM THEORIQUE … 99
› CAS CLINIQUE … 114
7. HYPERLIPEDEMIE … 119

"Si vous pouvez le rêver, vous pouvez le


faire"

- Walt Disney

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1. ANAPATH

"Agissez toujours comme s’il était


impossible d’échouer"

− Winston Churchill

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1. Le neuroblastome :
A. Est un néoplasme blastémateux embryonnaire
B. Atteignant la couche corticale de la surrénale
C. Fréquent chez l'adolescent et l'adulte
D. Les cellules sont monomorphes
E. Les cellules se disposent en rosettes à centre clair fibrillaire
F. Est un néoplasme bénin
G. Est synonyme de sympathome embryonnaire
H. Atteignant la couche médullaire de la surrénale
I. Les cellules sont polymorphes
ADEGH

2. Le diagnostic positif du phéochromocytome se pose sur / Le phéochromocytome :


A. Des cellules chromaffines localisées à la médullosurrénale
B. Des Remaniements nécrotiques ou hémorragiques si la tumeur est petite
C. Une tranche de section brune ou grisâtre, ferme, assez homogène
D. Un immunomarquage négatif à la Chromogranine A
E. Des critères de malignité définis par le score de PASS
F. Des cellules chromaffines localisées à la corticosurrénale.
G. Les critères de malignité sont définis par le score de WEISS
H. Des Remaniements nécrotiques ou hémorragiques si la tumeur est petite.
I. Un immunomarquage positif à la Chromogranine A
J. Des Remaniements nécrotiques ou hémorragiques si la tumeur est volumineuse
K. Est une tumeur de grande taille parsemée de foyers nécrotiques ou hémorragiques.
L. Est une lésion généralement bien limitée par la capsule de la surrénale.
M. Son seul critère de diagnostic est la présence de métastases.
N. Est toujours bilatéral.
O. Est toujours malin.
ACEIJKL

3. Le carcinome papillaire de la thyroïde se caractérise par :


A. De larges vésicules, remplies d'un abondant colloïde
B. Des pseudo-inclusions intra cytoplasmiques
C. Aspect en verre dépoli avec chevauchement ou non des cellules
D. Un noyau avec incisure en grain de café
E. Des vésicules de grande taille
BCD

4. Le carcinome papillaire présente des caractéristiques cytologiques bien définies :


A. Aspect en verre dépoli avec chevauchement ou non des cellules.
B. Des vésicules de grande taille.
C. Un noyau avec incisure en grain de café.
D. Des pseudo-inclusions intra cytoplasmiques.
E. De larges vésicules, remplies d'un abondant colloïde.
ACD

5. Le craniopharyngiome papillaire :
A. Appelé aussi l'adamantinome hypophysaire
B. Est une tumeur maligne
C. Développée à partir de vestiges de la poche de Rathke
D. Se voit chez l'adulte
E. Comporte histologiquement un épithélium squameux avec des papilles atrophiques
CD

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6. Le diagnostic du craniopharyngiome repose sur :


A. Les foyers de momification cellulaire.
B. Foyers de calcification et même d'ossification.
C. Présence de foyers de nécrose.
D. L'invasion capsulaire qui doit être recherchée.
E. La présence d'importants remaniements hémorragiques
AB

7. Le craniopharyngiome :

A. Est fait de cellules cylindriques ciliées


B. est une tumeur bénigne.
C. Se présente sous deux sous-types histologiques principaux.
D. présente une disposition palissadique des cellules périphériques.
E. ne se voit que chez les sujets âgés
F. Est également appelé améloblastome hypophysaire.
G. Peut renfermer des foyers de calcifications et d'ossifications.
H. Représenté comme un nodule jaunâtre kystique.
I. Présente une architecture endocrinienne.
J. Se présente sous deux sous types histologiques principaux,
K. Présente une disposition palissadique des cellules périphériques.
L. Est une tumeur hautement maligne
M. Est fait de cordons de cellules pavimenteuses
N. Est un nodule gris rougeâtre
O. Peut présenter des foyers de momifications cellulaires
P. Présente d'importants remaniements nécrotiques
BCDFGJKMNO

8. La maladie de Basedow
A. Présente une architecture lobulée.
B. Les vésicules thyroïdiennes sont de grande taille.
C. L'épithélium thyroïdien présente des vacuoles de résorption.
D. La consistance varie selon le caractère colloïdal ou parenchymateux.
E. L'épithélium émet des papilles ou franges intra-luminales
CE/ACE

9. La maladie de Basedow se caractérise par :


A. Une thyroïde diffusément augmentée de volume.
B. Un colloïde pâle, comportant souvent des vacuoles de résorption.
C. Une augmentation du nombre des vésicules avec un aspect de pseudo papilles
D. Une glande tapissée de cellules hautes.
E. Une tranche de section blanchâtre et Indurée
F. Le poids de la glande dépasse les 80g.
G. La tranche de section est rougeâtre rappelant le pancréas.
H. La tranche de section a des limites irrégulières.
ABCG
10. Le dgc positif du carcinome médullaire de la thyroïde se pose sur :
A. L'immunomarquage à la calcitonine qui est positif
B. Présence de calcosphérites qui sont pathognomoniques.
C. Présence de papilles vraies comportant un axe conjonctivo-vesculaire.
D. Présence des dépots amyloïdes positifs au rouge cango.
E. Le colloïde qui est pâle aux limites irrégulières.
F. L'immunomarquage des cellules sus tentaculaires qui est positif à la PS 100

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ADF
11. Le corticosurrénalome malin
A. Est souvent unilatéral
B. L'immunomarquage à la Synaptophysine est souvent positif
C. Les critères de malignité sont définis par le score de PASS
D. L'envahissement capsulaire et vasculaire confirme la malignité.
E. Mitoses atypiques, les foyers de nécrose et de calcification confirment la malignité.
F. Est souvent bilatéral
G. Les critères de malignité sont définis par le score de WEISS
H. L'envahissement capsulaire et vasculaire suggère la malignité.
I. L'immunomarquage à la Synaptophysine est souvent négatif
J. L'immunomarquage à la Chromogranine A est positif
K. Est une tumeur peu fréquente.
L. Ne présente jamais des métastases au moment du diagnostic.
M. Est marqué par un polymorphisme cellulaire.
N. Présente de nombreuses mitoses atypiques.
O. Présente un aspect palissadique des noyaux
P. Est une tumeur très fréquente
Q. Présente souvent des métastases au moment du diagnostic
R. Présente des pseudos inclusions intra cytoplasmiques
ABGIKMNQ
12. Le myélolipome :
A. Est une tumeur corticosurrenalienne bénigne
B. Apparat comme un nodule mal limité
C. A tranche de section jaunâtre ou rougeâtre
D. C'est un mélange, de tissu adipeux et de tissu hématopoïétique
E. C'est un mélange, de tissu adipeux et de tissu musculaire.
F. Hautement maligne.
G. Qui présente d'importants remaniements nécrotiques
H. Qui se présente comme un nodule bien imité.
I. De couleur jaune ou rouge.
J. Faite d'un mélange de tissu adipeux et hématopoïétique.
ACDHIJ
13. L'adénome thyroïdien de type trabéculaire :
a. Comporte des cellules principales, régulières de petite taille
b. Comporte un stroma adipeux qui est nettement réduit
c. Comporte des cellules qui se rangent en travées irrégulières
d. Présente une coloration beige ou rouge-brun
e. Il est bien encapsulé
E

14. Le dgc de certitude du carcinome de la parathyroïde repose sur :


a. Un index de prolifération cellulaire (Ki67 /Mib1) élevé
b. Des foyers nécrotiques ou hémorragiques qui la parsèment
c. La présence de métastases
d. Une multiplication des cellules principales et des cellules claire
e. La tumeur peut atteindre une grande taille
AC

15. L'aspect microscopique de la thyroïdite granulomateuse se caractérise par :


a. La présence d'éléments cellulaires ronds ou ovalaires de petite taille
b. La présence des follicules lymphoïdes munis de centres clairs
c. La présence de granulomes tuberculoïdes
d. La présence d'un stroma fibreux plus ou moins abondant
e. Peut dégénérer en lymphome
CD

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16. La thyroïdite lymphocytaire d'Hashimoto :


A. Présente une hypertrophie régulière
B. Est une inflammatoire d'origine virale
C. Présente des follicules lymphoïdes munis de centres clairs
D. Peut dégénérer en lymphome
E. Présente des éléments cellulaires ronds ou ovalaires
ACD

17. L'adénome parathyroïdien :


A. Comporte des cellules principales, régulières de petite taille.
B. Comporte un stroma adipeux qui est nettement réduit.
C. Est rond ou ovalaire.
D. Est bien encapsulé
E. Présente une coloration beige ou rouge-brun.
F. Comporte des cellules brunes, irrégulières de grande taille.
ACDE

18. La parathyroïde peut être le siège d'hyperplasie qui se traduit :


A. Index de prolifération cellulaire élevé
B. Des foyers nécrotiques ou hémorragiques qui la parsèment
C. Présence d'atypies cellulaires marquées
D. Une multiplication des cellules principales et des cellules claires
E. La tumeur peut atteindre une grande taille
D

19. Les surrénalites vent être secondaires à :


A. Agents viraux
B. Tuberculose fibrocaséeuse chronique
C. Nécrose de liquéfaction
D. Surrénalite auto-immune
E. Agents parasitaires
ABDE

20. L'hyperplasie corticosurrenalienne peut être :


A. Nodulaire.
B. Diffuse.
C. Auto-immune.
D. Virale.
E. Secondaire à un syndrome d'hyperoestrogénie
AB

21. La thyroïdite de De Quervain se caractérise macroscopiquement par :


A. Une glande légèrement hypertrophique, souvent asymétrique
B. La glande est hypotrophique, de couleur pale
C. Elle est de consistance ferme voir rénitente
D. Elle adhère aux tissus voisins.
E. Elle est de consistance indurée là où la réaction fibro-inflammatoire dépasse sa capsule.
ABE

22. L'aspect microscopique de la thyroïdite granulomateuse se caractérise par :


A. La présence d'éléments cellulaires ronds ou ovalaires de petite taille.

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B. Présente des follicules lymphoïdes munis de centres clairs


C. La présence de granulomes tuberculoïdes
D. La présence d'un stroma fibreux plus ou moins abondant
E. Peut dégénérer en lymphome
CD

23. Le carcinome parathyroïdien est exceptionnel


A. Il est constitué de cellules principales, claires, et ou de cellules oxyphiles.
B. Les cellules sont de taille diverses, sont ronds ou allongés, avec des noyaux souvent volumineux et
mitotiques.
C. Le critère absolu de malignité est la présence de métastases.
D. Présente des remaniements à type de nécrose et hémorragie
E. Présente un immunomarquage positif à la P63.
ABC

24. L'hyperplasie de l'hypophyse est le plus souvent réactionnelle, dans le syndrome de


Cushing elle se caractérise par :
A. Une métamorphose des cellules basophiles en cellules de Crookes,
B. Une dégranulation du cytoplasme des cellules qui devient homogène qui subit une transformation
hyaline.
C. Une fibrose diffuse disséquant le parenchyme.
D. Peut-être secondaire à un syndrome d'hyperthyroïdie.
E. Les noyaux deviennent vésiculeux ou bourgeonnant dotés de gros nucléoles.
ABE

25. L'adénome thyroïdien présente un aspect macroscopique :


A. D'une tumeur bien encapsulée (capsule fine bien visible).
B. D'une tumeur habituellement unique qui peut occuper n'importe quel point de la glande.
C. Des cellules géantes avec des calcifications.
D. Avec envahissement du parenchyme thyroïdien.
E. Riche en cellules étoilées.
AB

26. L'adénome thyroïdien présente un aspect microscopique :


A. La tumeur possède un mode architectural de type endocrinien.
B. La tumeur possède une abondante trame réticulinique.
C. La tumeur possède des vaisseaux intimement entrelacés aux structures épithéliales.
D. La tumeur possède une architecture faite de vésicules de taille égale.
E. Certaines cellules possèdent un noyau encoché de type papillaire.

ACD

27. Parmi ces propositions concernant la glande hypophysaire toutes sont exactes sauf une :
A. L'antéhypophyse est formée de 3 types de cellules : basophiles, acidophiles et cellules
chromophobes
B. Elle se subdivise en antéhypophyse et en posthypophyse et elle est liée à l'hypothalamus par
l'infundibulum
C. L'imagerie de référence est l'IRM hypophysaire
D. Les adénomes hypophysaires sont rares chez l'enfant
E. L'adénome à prolactine est exceptionnel.
AE

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28. Parmi les propositions suivantes concernant l'adénome surrénalien laquelle (les quelles)
est (sont) exacte(s) :
A. L'adénome surrénalien est habituellement multiple, bilatéral et toujours mal limité
B. L'anisocytose, l'anisocaryose et les atypies cellulaires sont rares.
C. Sa taille et son poids sont très variables, allant de 5 10 g jusqu'à 400g et plus
D. Les adénomes sont constitués de cellules tumorales qui ressemblent histologiquement aux cellules
normales
E. Les adénomes secrétant se révèlent des syndromes endocriniens (Cushing, Conn et le sd
adrénogénital)

CDE

29. Parmi les propositions suivantes concernant la surrénale laquelle (les quelles) est (sont)
exacte(s) :
A. Les métastases sont plus fréquentes que les tumeurs primitives
B. A la coupe, les surrénales sont constituées de deux zones différentes la corticosurrénale et la
médullosurrénale
C. L'agénésie des glandes surrénales est fréquente,
D. La surrénale ectopique et le nodule cortical ectopique sont fréquents, notamment à proximité des
gonades
E. L'hypoplasie du cortex fœtal est fréquente à l'origine de la maladie d'Addison néonatale
ABDE

30. Le critère absolu de malignité du carcinome de la parathyroïde repose sur :


A. La présence de métastases à distance
B. Foyers de calcifications.
C. Présence de foyers de nécrose.
D. L'invasion capsulaire.
E. La présence d'importants remaniements hémorragiques.
A

31. La thyroïdite de de Quervain est une :


A. Inflammation thyroïdienne aigue
B. Elle adhère aux tissus voisins
C. Présente un œdème intra lobulaire
D. Présente un infiltrat polynucléaire diffus
E. Présente des granulomes tuberculoïdes
DE

32. La thyroïdite de De Quervain se caractérise macroscopiquement par :


A. Une légère hypertrophie de la glande.
B. Une asymétrie.
C. Une consistance ferme voir rénitente
D. Une adhérence aux tissus voisins.
E. Une consistance indurée là où la réaction fibro inflammatoire dépasse sa capsule.
ABDE

33. Le carcinome parathyroïdien :


A. A présente une tranche de section brune, beige ou grisâtre
B. Peut se présenter comme un nodule bien limité
C. Les cellules se disposent en amas entourés de grossières coulées fibreuses
D. Est constitué de cellules principales
E. Comporte parfois des cellules oxyphiles.

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ABCDE

34. L'adénome parathyroïdien :


A. A comporte des cellules principales, régulières de petite taille.
B. Comporte un stroma adipeux qui est nettement réduit.
C. Est rond ou ovalaire.
D. Est non encapsulé.
E. Présente une coloration beige ou rouge-brun.
ACE

35. La variante folliculaire encapsulée du cancer papillaire de la thyroïde (NIFTP)


A. est une tumeur encapsulée
B. Présente une architecture folliculaire
C. possède les caractéristiques nucléaires d'un carcinome papillaire classique
D. Possède des noyaux avec un aspect en verre dépoli très caractéristique
E. Possède des noyaux avec incisure ou encoché an demi-lune
ABC

36. La cytoponction des nodules thyroïdiens est la méthode diagnostique la plus sensible
actuellement pour réaliser une sélection des patients à opérer. Les lames d'étalement
sont colorées au :
A. Hemalun éosine
B. Réticuline
C. Trichrome
D. Rouge Congo
E. MGG
E

37. La conduite à tenir d'un nodule thyroïdien classé : Néoplasme ou tumeur


vésiculaire/oncocytaires selon le Système Bethesda/NCI 2010 est ;
A. Un suivi clinique et échographique
B. Une lobectomie
C. Une thyroïdectomie
D. Une thyroïdectomie avec curage
E. Une thyroïdectomie ou lobectomie
B

38. Un nodule thyroïdien classé 4B selon le « SCORE TI-RADS » présente :


A. Un risque de malignité de 69 % -
B. Un risque de malignité de 09 %
C. Un risque de malignité de 100 %
D. Un risque de malignité de 96 %
E. Un risque de malignité de 0,25 %
A

39. Le carcinome vésiculaire invasif présent :


A. Une architecture essentiellement micro-vésiculaire
B. Une architecture lobulée du corps thyroïde
C. Des noyaux modérément augmentés de taille et nucléolés
D. Une rupture capsulaire
E. Des emboles vasculaires
ACDE

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40. L'hypophyse peut être essentiellement le siège :


A. Des Inflammations virales
B. Des zones de nécrose inflammatoire
C. Des foyers d'infarctus.
D. Un pléomorphisme nucléaire
E. Une invasion capsulaire.
C

41. L'adénome hypophysaire :


A. Bien limitée mais Jamais encapsulée.
B. Habituellement bien encapsulée.
C. Mésenchymateuse bien différenciée.
D. Qui apparait blanc grisâtre ou rosé à la coupe.
E. De consistance malle et friable.
F. De croissance rapide
G. Habituellement bien encapsulée
H. Qui présente des formes histologiques variables
I. Qui se développe à partir des cellules post hypophysaires
J. Faite de cellules épithéliales différenciées
K. De croissance habituellement lente.
L. Mal limitée.
M. Qui se développe à partir des cellules antéhypophysaire.
N. Faite de cellules mésenchymateuses différenciées.
O. Une taille qui varie de quelques millimètres à plusieurs centimètres
P. Des limites nettes et une capsule plus ou moins complète
Q. A la coupe, la tranche de section apparaît rouge marbrée
R. Se présente sous forme variable : sinusoïdale, en mode endocrinien parfois sous une forme
papillaire.
S. Avec des foyers d'infarctus intriqués à de vastes zones de sclérose.
BDEGHJKMOPR

42. L'hypophyse peut être le siège de troubles circulatoires caractérisés par :


A. Des zones de nécrose de coagulation
B. Les zones de nécrose peuvent être uniques ou multiples,
C. Des zones de nécrose localisées ou étendues, respectant une mince couche de cellules au contact
de la capsule.
D. Un pléomorphisme nucléaire
E. Une invasion capsulaire
ABC

43. Les adénomes hypophysaires :


A. Sont très fréquents chez l'enfant.
B. L'adénome à prolactine reste le plus fréquent.
C. L'Imagerie de référence est l'IRM cérébrale.
D. L'imagerie de référence est la TDM cérébrale
E. Toujours associés à un syndrome endocrinien.
BC

44. Les adénomes hypophysaires peuvent être de type :


A. Adénome somatotrope.
B. Adénome hyper secrétant.
C. Adénome corticotrope.
D. Adénome gonadotrope.

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E. Adénome hypo secrétant.


ACD

45. Le myéloblastome est une tumeur :


A. hautement maligne.
B. qui présente d'importants remaniements nécrotiques.
C. Qui se présente comme un nodule bien limité.
D. de couleur jaune ou rouge.
E. faite d'un mélange de tissu adipeux et hématopoïétique.
CDE

46. L'adénome surrénalien est une tumeur :


A. Est habituellement bilatéral
B. Est d'architecture typiquement endocrinienne avec des travées pleines, Intriquées à un réseau de
capillaires sanguins.
C. Ne présente jamais d'atypies cytonucléaires
D. Est de taille très variable.
E. Est une tumeur bien encapsulée.
F. Est habituellement unique, unilatéral et toujours encapsulé.
G. Ses cellules sont claires ou spongiocytaires ou comparables, parfois, à celles de la glomérulée.
H. De l'anisocytose, l'anisocaryose, les atypies cellulaires sont rares.
I. Est une tumeur maligne en partie nécrosée.
J. Mal limitée
K. Qui présente souvent des atypies cytonucléaires.
L. Faite de cellules claires ou spongiocytaires.
M. Présente des formes histologiques var ables.
N. Peut-être le siège d'atypies cellulaires
O. Est une tumeur infiltrante
BDEFGKLN

47. Le phéochromocytome est une tumeur :


A. qui touche aussi bien la médullaire que la corticale.
B. Faite de petites cellules monomorphes basophiles.
C. Qui peut présenter des remaniernents nécrotiques et hémorragiques.
D. Faite de grandes cellules polygonales
E. Bilatérale dans environ 10% des cas.
F. Est une tumeur de la corticosurrénale
G. Est fait de cellules à cytoplasme abondant et granuleux
H. présente des pseudos inclusions intra cytoplasmiques
I. Se présente sous la forme d'un nodule à contours nets
J. Est une tumeur de couleur brune ou grisâtre ci de consistance ferme
K. Est une tumeur de taille variable
L. Présente histologiquement des atypies cytonucléaires
M. Est fait de petites cellules régulières
N. Se présente sous la forme d'un nodule à contours flous
O. Est une tumeur de grande taille parsemée de foyers nécrotiques ou hémorragiques
CDEGIJKLO

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2. LE DIABETE

Tourne-toi vers le soleil, et l’ombre sera


derrière toi !

− Proverbe

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1. Un patient a une glycémie à jeun 1.19g/l et 02 heures après HGPO-1,90g/l (la ou les) :

A. Ce patient est diabétique


B. Il a une intolérance aux hydrates de carbones
C. Ces chiffres sont normaux
D. Il a une hyperglycémie modérée a jeun
E. Il est à risque de devenir diabétique
Rep : BDE
2. Quels sont les facteurs étiopathogéniques incriminés dans le DT1 ?

A. L'obésité androïde
B. Les facteurs viraux
C. La présence d'antigènes DR3 et DR4
D. La coexistence de maladies auto-immunes
E. La sédentarité
Rep : BCD
3. Quel est le facteur étiopathogéniques incriminé dans le DT1 ?

A. L'obésité androïde
B. L’obésité ganoïde
C. La sédentarité
D. L’âge supérieur à S0 ans
E. La présence d'antigènes DR3 et DR4
Rep : E
4. Le diabète type 01 est caractérisé par (la ou les) :

A. Une destruction réversible des cellules béta par des phénomènes auto-immuns
B. Une insulinocarence relative
C. La présence de marqueurs d'auto-immunité (exp : les AC anti GAD)
D. Peut s'associer à d'autres maladies auto-immunes
E. Est découvert habituellement par cétose d'allure spontanée
Rep : CDE
5. Le Diabète LADA (Latent Auto-immune Diabètes of Adults) est caractérisé par : (La ou
les)

A. Une acidocétose spontanée au moment du diagnostic


B. La présence de marqueurs d'auto-immunité (AC anti GAD)
C. Une réponse aux antidiabétiques oraux dans un premier temps
D. Est un sous type du diabète type 02
E. Age de survenu habituellement après 30 ans
Rep : BCE
6. Quand faut-il penser au diabète de type (LADA) ?

A. Présence de marqueurs immunogénétiques spécifiques du diabète de type 1


B. Patient âgé de plus de 50 ans et obèse
C. Patient âgé de plus de 60 ans et obèse
D. Révélation brutale du diabète
E. E Le taux des anticorps anti GAD est élevé
Rep : AE

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7. Quel Objectif glycémique fixeriez-vous à un patient âgé de 40 ans, diabétique type 2


connus depuis 3 ans, sans complications dégénératives ?

A. Hbalc<7%
B. Hbalc<8%
C. Hbalc < 6,5 %
D. Glycémie postprandiale <1,8 g/l
E. Glycémie postprandiale <1,4 g/l
Rep : CE
8. Le diabète de type 02 est caractérisé par (la ou les)

A. Une grande latence clinique


B. Peut-être révélé par une complication dégénérative
C. Associe une insulinocarence absolue et une insulinoresistance croissante
D. Souvent associé à d'autres facteurs de risques cardiovasculaires
E. Représente 05-10 % de l'ensemble des diabètes
Rep : ABD
9. Dans le diabète sucré type 2

A. La polyurie est primaire


B. La polydipsie est primaire
C. Le rapport glucagon/insuline est élevé
D. Le rapport insuline/glucagon est élevé
E. Les cellules béta de Langerhans sont histologiquement altérées
Rep : AC
10. Le diabète sucré de type 2 doit être rechercher chez tout :

A. Patient ayant des antécédents familiaux de diabète T2


B. Tout patient ayant une obésité surtout de type androïde
C. Tout patient ayant des infections a répétions
D. Chez toute patiente ayant eu des enfants de gros poids de naissance
E. Chez tous les adultes sans exception
Rep : ABCD
11. Les Diabète MODY (la ou les R)

A. Diabète héréditaires transmission autosomique dominante.


B. Présence de la maladie sur plusieurs générations la cétose
C. Spontanée les 02 sous types les plus fréquents
D. Sont le MODY 2 et MODY 3
E. Age de survenue est tardif, on général après 40 ans
Rep : ABD
12. Le coma hypoglycémique est un coma

A. D'installation brutale
B. La réversibilité rapide après sevrage confirme le diagnostic
C. Existe une irritation pyramidale
D. Il existe des signes de localisation
E. Il existe un signe de Babinski uni ou bilatéral
Rep : BC

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13. Un ou (plusieurs) signes cliniques parmi les propositions suivantes peut ou (pouvez)
s’observer lors d'une hypoglycémie

A. Sueurs
B. Fringales
C. Confusion Mentale
D. Epistaxis
E. Coma
Rep : ABCE
14. Parmi ces manifestations cliniques ; une hypoglycémie est évoquée devant :

A. Pâleur
B. Convulsions
C. Sueurs
D. Soif
E. Diplopie
Rep : ABCDE
15. La triade de Whipple comprend les signes suivants :

A. Glycémie > 2,5 mmol/l


B. Glycémie, 5 g/l
C. Signes de neuroglucopénie
D. Peptide C élevé
E. Disparition des signes neuroglucopéniques après prise de sucre
Rep : BCE
16. Quelles propositions sont correctes d'un point de vue physiopathologique ?

A. La cétoacidose diabétique est secondaire à une carence Insulinique et à une augmentation des
hormones de la contre régulation
B. La diminution de la néoglucogenèse et de la glycogénolyse est secondaire à l'insulinopénie
C. Les hormones de la contrerégulation entrainent l'activation de la lipase, enzyme responsable de la
transformation des triglycérides en acides gras
D. Les corps cétoniques résultent de la transformation hépatique des triglycérides
E. La cétogenèse est responsable de la production de 25 % d'acide Acétoacétique et de 75 % d'acide B-
Hydroxybutyrate
Rep : ACE
17. Lors d'une cétoacidose diabétique, il existe :

A. Toujours un déficit en sodium


B. Une hyperkaliémie constante
C. Les ions potassiques sont évacués dans les urines du fait de la diurèse osmotique
D. On retrouve parfois une hypokalicytie (déficit intra cellulaire en potassium)
E. Une hypokaliémie sévère peut apparaitre lors de la correction des troubles
Rep : ACE
18. Dans la cétoacidose diabétique :

A. Le Tableau clinique peut simuler un tableau chirurgical


B. Il ya souvent une hypokaliémie avec Hypokalicémie
C. L'apport de bicarbonates est systématique pour lutter contre l'acidose
D. L’insulinothérapie est vitale en sous cutanée
E. L’insulinothérapie est arrêtée des que la glycémie <1g (risque d'hypoglycémie)

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Rep : A
19. Dans la cétoacidose diabétique :

A. L'apport de bicarbonates est systématique pour lutter contre l'acidose


B. L'insulinothérapie est vitale en sous cutanée
C. L'insulinothérapie est arrêtée systématiquement dès que la glycémie <1g/l (risque d'hypoglycémie)
D. Il ya a une déshydratation d'abord intra cellulaire puis extra cellulaire
E. Il ya un excès de corps cétoniques qui proviennent de la néoglucogenèse
Rep : D
20. Dans l acidocétose diabétique :

A. L'hyperaldostéronisme est primaire


B. L'hyperaldosteronemie est secondaire
C. La présence de polypnée de Kussmaul est un signe de gravité
D. Une réserve alcaline < 20 mmol/l est un signe de gravité
E. Le taux de lactate est élevé
Rep : BE
21. Parmi les paramètres suivants. Quel Sont ceux qui interviennent de distinguer ie mme
adde shinl hyperosmolalre ? ***

A. Trou anionique
B. Réserves alcalines
C. Ionogramme sanguin
D. Osmolarité urinaire
E. PH sanguin
Rep : ABE
22. Le(s) critère(s) diagnostic(s) biologique(s) de la cétoacidose diabétique est (sont) :

A. Glycémie supérieure ou égale à 2.5 g/l


B. Cétonémie supérieure à 3 mmol/I
C. PH artériel supérieur à 7.30
D. Glycosurie et cétonurie positives
E. Bicarbonate supérieure à 50 mEq/ l
Rep : ABD
23. Le(s) critère(s) diagnostic(s) biologique(s) de la cétoacidose diabétique est (sont) :
A. Glycémie supérieure ou égale à 2.5 g/
B. Cétonémie inférieure à 1 mmol/l
C. PH artériel supérieur à 7.30
D. Glycosurie et cétonurie positives
E. Bicarbonate supérieure 50 mEq/l
Rep : AD
24. Quelle insuline utilisez-vous au cours de la réanimation d'une cétoacidose diabétique ?
A. Insuline intermédiaire bi phasique
B. Insuline à action rapide
C. Insuline intermédiaire monophasique
D. Insuline lente
E. Insuline ultra-lente
Rep : B

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25. Quel est le meilleur traitement d'une cétose diabétique sans déshydratation (cochez la
ou les réponses justes) :

A. Insuline rapide par vole V


B. Insuline d'action semi-lente par voie IV
C. Insuline d'action intermédiaire monophasique 2 fois par jours
D. Insuline d'action rapide par vole IM toutes les heures
E. Insulinothérapie optimalisée
Rep : AD
26. Dans le traitement de la céto acidose :

A. La supplémentation potassique est débutée quand il ya une hypokaliémie


B. La Supplémentation potassique est systématique
C. Pas de supplémentation potassique si anurie ou signes d'hypokaliémie à l'ecg
D. Le sérum glucosé n'a aucun intérêt dans la prise en charge thérapeutique
E. Une surveillance par un ionogramme sanguin toutes les 04 h suffit
Rep : BC
27. Quel est le traitement de la cétoacidose diabétique ?

A. Une réhydratation de 6 litres au cours des 3 premières heures est indispensable


B. L'insulinothérapie doit être débutée à la posologie de 0,1 Ul/kg/h
C. Le relais par injections sous-cut d'insuline peut être entrepris dès que la glycémie est inférieure à 1,5 g/l
D. L’Apport en potassium est à débuter lorsque la kaliémie est inférieure à 3,3 mmol/l
E. L’apport en bicarbonates à 14/1 000 peut être envisagé lorsque le ph est inférieur à 7
Rep : BE
28. Le coma hyper os molaire est :

A. Une complication du sujet âgé diabétique généralement sans insuline


B. associé à une cétose du fait de la diminution des acides gras libres
C. caractérisé par une hyper osmolarité et une hyperglycémie majeure sans cétose
D. caractérisé par un tableau clinique installé en quelques heures
E. Traité surtout par une insulinothérapie à forte dose afin de baisser rapidement la glycémie
Rep : AC
29. Le coma hyperosmolaire peut s'associer à un coma :

A. Acido-cétosique
B. Nécessite une insulinothérapie intensive
C. Survient chez un patient en hyperglycémie
D. Peut survenir chez un patient en normo glycémie
E. Est l'apanage du diabétique insulino-traité
Rep : ACD
30. Le coma hyperosmolaire :

A. Nécessite la mise en route d'une insulinothérapie intensive


B. Ne survient que chez le diabétique insulino-traité
C. Peut s'associer à un coma acido cétonique
D. Survient chez un patient en hyperglycémie
E. Peut survenir chez un patient en normo glycémie
Rep : CDE
31. Dans te coma Hyperosmolaire :

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A. Est défini par une Hyper osmolarité et une hyperglycémie majeure et des troubles de la conscience
B. On retrouve une insulinopénie absolue avec une déshydratation majeure
C. Le tableau clanique s'installe progressivement sur plusieurs jours
D. L'insulinothérapie est systématique pour baisser rapidement l’hyperglycémie Majeur
E. La mortalité est élevée du fait des complications iatrogènes et le terrain sous-jacent
Rep : ACE
32. Le coma hyperosmolaire chez le diabétique :

A. Est l'apanage du sujet jeune.


B. N'est jamais révélé par des convulsions.
C. Est favorisé par la prise de corticoïdes.
D. Comporte une déshydratation extracellulaire isolée.
E. Est plus fréquent chez le diabétique de type 1
Rep : C
33. Dans le coma hyperosmolaire du diabétique :

A. La natrémie est basse


B. Il existe une acidose métabolique décompensé
C. La déshydratation est globale
D. Il n'y a habituellement pas d cétose
E. La calcémie est élevée
Rep : CD
34. Quelle est l’anomalie responsable du coma hyperosmolaire

A. L'hyper osmolarité
B. L'insulinopénie profonde
C. L'insulinopénie relative
D. La déshydratation
E. L'hypertriglycéridémie
Rep : D
35. Quels sont les signes qui font Partie du tableau Clinique Classique du coma
hyperosmolaire ?

A. Polyurie
B. Dyspnée de Kussmaul
C. Douleurs abdominales
D. Sécheresse cutanéomuqueuse
E. Confusion
36. Le traitement du coma hyperosmolaire chez le diabétique nécessite :

A. La correction progressive de la déshydratation.


B. L'administration systématique de potassium.
C. La perfusion de solutés hypotoniques
D. L'administration continue de l'insuline à la seringue électrique.
E. Le traitement systématique du facteur déclenchant.
Rep : ADE
37. Le traitement du coma hyperosmolaire chez le diabétique nécessite :

A. La correction rapide de la déshydratation


B. L'administration systématique de potassium
C. La perfusion de solutés hypotoniques

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D. L'administration continue de l'insuline à la seringue électrique


E. Le traitement systématique du facteur déclenchant
Rep : DE
38. L'acidose lactique au cours de l'insuffisance rénale est due à :

A. Une diminution du métabolisme des lactates en présence de biguanides


B. Une augmentation du catabolisme des lactates en présence de biguanides
C. Un défaut d'élimination des Lactate + Hyperproduction de lactates en présence de biguanides
D. Un défaut d'élimination des lactates+ hyperproduction de lactates même en l'absence de biguanides
E. Aucune réponse n'est juste
Rep : C

Complications chroniques du DS

39. La micro angiopathie (la ou les) :

A. Touche la circulation terminale


B. Est spécifique du diabète
C. Elle associe la rétinopathie, néphropathie et l’artériopathie
D. Elle est corrélée inversement à la durée du diabète et le degré de déséquilibre glycémique
E. Sa physiopathologie fait intervenir plusieurs hypothèses
Rep : ABE
40. La micro angiopathie diabétique :

A. Est liée presque exclusivement à l'hyperglycémie chronique


B. Touche les organes qui ont une vascularisation terminale
C. Fait intervenir des facteurs génétiques
D. Peut se voir en cas d'intolérance glucosée
E. Elle est à l'origine de la majorité des décès des diabétiques
Rep : ABC
41. Dans la rétinopathie diabétique :

A. Une rétinopathie hypertensive associée est possible


B. La survenue d'une rétinopathie diabétique proliférante n'est pas corrélée à un risque visuel
C. Le retour à rééquilibre glycémique est primordial et doit être Rapide surtout si rétinopathie proliférante
D. Elle est une conséquence de l’Hyperglycémie chronique
E. Puberté et grossesse la stabilisent
Rep : AD
42. La rétinopathie diabétique :

A. Est une complication spécifique à l'hyperglycémie


B. Fait intervenir des facteurs génétiques
C. Son dépistage consiste à faire un examen ophtalmologique trimestriel
D. Est aggravée par les hypoglycémies
E. Nécessite des séances de laser à des stades précoces de rétinopathie sont nécessaires
Rep : AD
43. La rétinopathie diabétique (la ou les R) :

A. Constitue un mode de découverte du diabète type 01


B. Peut-être aggravée par la grossesse ou la puberté

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C. Un examen ophtalmologique annuel est obligatoire pour son dépistage son traitement consiste à la
photocoagulation au laser dès la rétinopathie minime
D. C'est une complication microangiopathie
Rep : BCE
44. Les troubles de l'acuité visuelle durant une rétinopathie diabétique (RD)

A. Sont en rapport avec l'atteinte oculomotrice unilatérale


B. Sont en rapport avec l'atteinte oculomotrice bilatérale
C. Sont en rapport avec l’atteinte de la vision des couleurs
D. Sont en rapport avec l'atteinte de la vision monochrome
E. Sont en rapport avec l'atteinte de la macula (maculapathie diabétique)
Rep : E
45. Les premiers troubles visuels durant une rétinopathie diabétique :

A. Sont représenté par l'atteinte oculomotrice unilatérale


B. Sont représenté par l'atteinte oculomotrice bilatérale
C. Sont représenté par l'atteinte de la vision des couleurs
D. Sont représenté par l’atteinte de la vision monochrome
E. Sont représenté par une maculapathie diabétique
Rep : C
46. Les Complications redoutables de la rétinopathie diabétique sont : ***

A. Exophtalmie bilatérale.
B. Hémorragie intra vitréenne.
C. Hémianopsie bitemporale.
D. Décollement rétinien.
E. Glaucome néovasculaire.
Rep : BDE
47. Les Complications de la RD sont :

A. Myopie
B. Hémorragie Intra vitréenne.
C. Hémianopsie bitemporale
D. Décollement rétinien.
E. Glaucome néo vasculaire.
Rep : BDE
48. La neuropathie diabétique est caractérisée par :

A. Une atteinte thermo-algique surtout l'atteinte motrice


B. est aussi fréquente
C. Des plaies douloureuses
D. les plaies sont surtout localisées à la face dorsale du pied
E. la lésion typique est le mal perforant plantaire
Rep : AE
49. La neuropathie diabétique

A. Est un diagnostic d'élimination


B. Son dépistage consiste à faire examen des pieds et un EMG annuellement
C. Elle touche uniquement les membres Inferieur (pied diabétique)
D. Elle peut être à l'origine d'hypotension orthostatique
E. Son traitement consiste surtout à équilibrer le diabète

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Rep : ADE
50. Dans la neuropathie diabétique :
A. La gastroparésie entraîne une évacuation accélérée des aliments d'où hypoglycémie
B. La dysfonction érectile est généralement multi factorielle
C. La recherche d'hypotension orthostatique est systématique
D. Une tachycardie permanente fait partie de la neuropathie autonome
E. Traitement de la gastroparésie par des accélérateurs de la vidange gastrique
Rep : BCDE
51. La neuropathie diabétique :
A. Est peut-être la complication la plus précoce
B. S'exprime cliniquement le plus fréquemment dans sa forme focale
C. Est la cause la plus fréquente des neuropathies
D. Se dépiste par un examen des pieds et un EMG annuellement
E. Est aggravée par l'existence d'une HTA ou d'une malnutrition
Rep : ACE/ AE
52. La neuropathie diabétique (la ou les RJ) :
A. Est un diagnostic d'élimination
B. Son dépistage consiste à faire un examen des pieds et un EMG annuellement
C. Elle touche uniquement les membres inferieurs (pied diabétique)
D. Elle peut être à l'origine d'hypotensions orthostatiques
E. Son traitement consiste surtout à équilibrer le diabète
Rep : ADE
53. Les facteurs favorisants de la neuropathie diabétique sont (la ou les RJ) :
A. Un diabète ancien
B. Une normalisation rapide des glycémies lors d'un déséquilibre diabétique
C. La présence d'une macro angiopathie sous-jacente
D. Un sujet de sexe masculin, longiligne
E. Une malnutrition
Rep : ABCDE
54. Les facteurs favorisants de la neuropathie diabétique sont :
A. un diabète récent
B. Une normalisation rapide des glycémies lors d'un déséquilibre diabétique
C. La présence d'une hypotension
D. Le sexe féminin
E. Une malnutrition
Rep : BCE
55. La mononévrite diabétique est : (cochez la réponse juste)
A. Est la forme la moins fréquente de la neuropathie diabétique
B. Est l'atteinte la plus fréquente de la neuropathie diabétique
C. Est l'atteinte la plus fréquente de la neuropathie diabétique chez le sujet jeune
D. VD Est l'atteinte la plus fréquente de la neuropathie diabétique chez le sujet ägé
E. Impose l'exploration par un électromyogramme
Rep : D
56. La polynévrite diabétique est :
A. Est la forme la moins fréquente de la neuropathie diabétique
B. Est atteinte la plus fréquenta de la neuropathie diabétique
C. Est une atteinte bilatérale et symétrique des membres inférieurs

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D. Est une atteinte unilatérale des membres inférieurs


E. Ne touche jamais les membres supérieurs
Rep : BC
57. Quels sont les éléments qui caractéristique la polyneuropathie périphérique ?
A. Atteinte du nerf vague
B. Aréflexie achilléenne
C. Amyotrophie bilatérale du quadriceps
D. Topographie distale
E. Atteinte de la sensibilité proprioceptive
Rep : BDE
58. Parmi ces facteurs quels Sont ceux qui concourent à l'apparition d'une gangrène
diabétique
A. Neuropathie périphérique
B. Neuropathie autonome
C. Infection
D. Atteinte vasculaire des membres inferieurs
E. Toutes ces propositions sont justes
Rep : E
59. Toutes ces complications font partie de la neuropathie diabétique sauf une
A. Polynévrite
B. Gastroparésie
C. Paralysie oculomotrice
D. Artérite des membres inférieurs
E. Troubles vasomoteurs
Rep : D
60. Quelles sont les Propositions justes parmi les suivantes concernant la néphropathie
diabétique ?
A. C’est une néphropathie glomérulaire
B. La susceptibilité génétique, l'équilibre glycémique et tensionnel sont ses principaux déterminants
C. La micro albuminurie caractérise la néphropathie diabétique ancienne
D. L'HTA est quasi constante dès le stade 3
E. L'augmentation de la taille des Reins est irréversible quel que soit le stade
Rep : ABC
61. La néphropathie diabétique (la ou les RJ) :
A. Est une complication spécifique du diabète
B. Touche tous les diabétiques à un stade avancé de la maladie
C. La micro albuminurie représente le stade il de Mögensen
D. Les stades i et l sont réversibles
E. Son dépistage repose sur le dosage de la micro albuminurie des 24h une fois/an
Rep : ADE
62. Dans la néphropathie diabétique :
A. Le stade 3 correspond à la présence d'une macro albuminurie
B. Une HTA peut être présente des le stade 3
C. Les lésions histologiques au stade 2 sont asymptomatiques et réversibles
D. Dans le cas du DS type 1, la micro albuminurie est un marqueur de risque cardio vasculaire
E. La taille des reins augmentée au stade 1 est irréversible
Rep : BC

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63. La néphropathie diabétique (la ou les RI) :


A. Est une complication spécifique du diabète
B. Touche uniquement 30-40 % des diabétiques
C. La Microalbuninurie représente le stade IV de Mögensen
D. Le stade Il est caractérisé par une diminution de la filtration glomérulaire
E. Son dépistage repose sur le dosage de la Microalbuninurie des 24H une fois/an
Rep : ABE
64. La Microalbuninurie des 24 h (la ou les RJ) :
A. est la recherche d'albumine dans les urines de 24h
B. Elle est positive si elle est> 300mg/24h
C. elle signifie un stade Il de Mögensen si elle est positive
D. doit être recherchée en dehors d'un déséquilibre glycémique ou infection urinaire
E. est un examen clé pour le dépistage de la néphropathie diabétique
Rep : ADE
65. La PBR est indiquée en cas de néphropathie diabétique :
A. ND apparait dans les 2 années post découverte du diabète
B. ND n'apparait pas dans les 2 années post découverte du diabète
C. ND apparait en même temps qu'une maculapathie
D. ND apparait avec aggravation rapide en présence d'autres stigmates ce macro angiopathie
E. ND apparait avec aggravation rapide en présence d'autres stigmates d'infections urinaires à Répétition
Rep : A
66. Dans la macro angiopathie diabétique :
A. La majorité des diabétiques décèdent d'une complication cardio vasculaire
B. L'athérosclérose est la première cause de décès chez le diabétique
C. L'ECG de repos annuel est systématique
D. La présence d'une plaque d'athérome est spécifique au diabète
E. Une scintigraphie myocardique est à effectuer une fois par an chez tous les diabétiques
Rep : ABC
67. L'athérosclérose du diabétique (la ou les RJ) :
A. touche à la fois les grosses et les petites artères
B. les lésions sont souvent multiples et distales
C. elle est appelée également artériosclérose
D. se manifeste habituellement par une claudication intermittente
E. elle majore le risque d'ulcération des pieds et d'amputation
Rep : BE
68. L'artériopathie oblitérante des membres inférieurs (AOMI) chez le diabétique :
A. Associe une athérosclérose et une athérosclérose
B. La présence de médiacalcose rend les artères incompressibles
C. Se manifeste souvent par une abolition des pouls et des douleurs à la marche
D. Son dépistage consiste à faire un examen des pieds chaque 3 ans
E. Elle est souvent accessible à la revascularisation
Rep : AB
69. L'artériopathie oblitérante des membres inférieurs (AOMI) chez le diabétique :
A. La présence de mediacalcose rend tes artères Incompressibles
B. Associe une athérosclérose et une artériosclérose
C. Se manifeste souvent par une abolition des pouls et des douleurs à la marche
D. Son dépistage consiste à faire un examen des pieds et un écho-doppler annuellement

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E. Elle est volontiers multiple, distale et accessible souvent à la revascularisation


Rep : AB
70. L'ischémie myocardique chez le diabétique (la ou les RJ) :
A. Elle est plus fréquente et plus grave
B. Peut se manifester par des troubles digestifs ou douleurs épigastriques
C. Elle est asymptomatique dans un tiers des cas
D. Un ECG normal suffit pour éliminer le diagnostic
E. Sa prise en charge impose une prise en charge globale des facteurs de risque
Rep : ABCDE
71. La coronaropathie chez le diabétique :
A. Est asymptomatique dans un tiers des cas
B. Peut se manifester par des épigastralgies
C. Peut-être aggravée par une neuropathie végétative sous-jacente
D. Son dépistage consiste à faire un ECG seulement en cas de signes d'appels
E. Son traitement consiste à traiter seulement l'hyperglycémie
Rep : ABC
72. La coronaropathie chez le dia bétique (la ou les Ri):
A. Est asymptomatique dans un tiers des cas
B. Peut se manifester par des épigastralgies
C. Peut-être aggravée par une neuropathie végétative sous-jacente
D. Son dépistage consiste à faire un ECG si signes d'appels
E. Son traitement consiste à traiter surtout l'hyperglycémie
Rep : ABC
73. L'HTA permanente du sujet diabétique peut être secondaire à:
A. Une athérosclérose
B. Une néphropathie diabétique
C. Un Dysfonctionnement neurovégétatif
D. Une neuropathie autonome cardiaque
E. Une prise médicamenteuse
Rep : AB

Insulinothérapie
74. Quelle(s) insuline(s) peut (ou peuvent) être utilisée(s) par voie intraveineuse dans le
cadre de l'urgence ?
A. Insuline intermédiaire bi phasique
B. Insuline ordinaire à action rapide
C. Insuline intermédiaire monophasique
D. Insuline ultrarapide de type glulisine (APIDRA)
E. Insuline ultra-lente
Rep : BD
75. Quel est le meilleur site d'injection d'une insuline lente ?
A. Abdomen
B. Bras
C. Face interne de la cuisse
D. Face antérieure de la cuisse
E. Face antéro-externe de la cuisse
Rep : E

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76. Les analogues à insuline d'action longue (retard) sont :


A. Destinés à prendre en charge les glycémies prandiales
B. Supérieur du point de vue de l'effet hypoglycémiant aux analogues rapides
C. Contre indiqués en cas de grossesse
D. Indiqués en cas de grossesse
E. La NPH, la monozinc et l'ultratard
Rep : D
77. Les analogues à insuline d'action longue (retard) sont :
A. AUREUV
B. Protamine
C. Glargine
D. Somatuline
E. Levernir
F. Degludec
Rep : BDE
78. La Glargine est un :
A. Analogue du GLP1
B. Inhibiteur de la DPP4
C. Analogue lent de l'insuline
D. Analogue rapide de l'insuline
E. Mélange fixe d'analogue rapide d'insuline et d'une insuline intermédiair
Rep : C
79. Detemir est un :
A. Analogue du GLP1
B. Inhibiteur de la DPP4
C. Analogue rapide de l'insuline
D. Analogue lent de l'insuline
E. Mélange fixe d'analogue rapide d'insuline et d'une insuline intermédiaire
Rep : D
80. AFREZZA
A. Est la première insuline inhalée à avoir été mise sur le marché mondial
B. Est indiquée en remplacement de l'insuline rapide
C. Est indiquée en complément d'Insuline rapide
D. Est contre indiquée en cas de pathologies hépatiques associées
E. Son utilisation présente un risque de cancer du poumon
Rep : CE
81. AFREZZA
A. Est la deuxième insuline inhalée à avoir été mise sur le marché mondial
B. Est indiquée en remplacement de l'insuline rapide
C. Est indiquée en complément de l'insuline rapide
D. Est contre indiquée en cas de pathologies hépatiques associées
E. Son utilisation présente un risque de cancer du larynx
Rep : AC
82. Un jeune diabétique de type 1 ; Agé de 17 ans, en dénie total et avéré de sa maladie, qui
vient tout juste d’être découverte fortuitement par le médecin scolaire, est ramené par ses
parents contre son grés en consultation de diabétologie. Vous essayez de lui apprendre

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quelques notions de base vis-à-vis du diabète et de son traitement. En fin de consultation vous
lui prescrivez une insulinothérapie laquelle qui vous parait la plus appropriée vu son état :
A. Une injection d'ana logue lent de l'insuline le soir+3 injections d'analogue rapide avant chaque repas
B. Injections d'analogue lent de l'insuline le Soir+ 3 injections d'analogue rapide avant chaque repas
C. Injections d'analogue rapide avant chaque repas
D. 2 injections de Prémix avant le petit déjeuner et le diner
E. 2 injections d'analogue lent de l'insuline avant le petit déjeuner et le diner
Rep : D

TRAITEMENT ORAL
83. Une hypoglycémie peut être provoquée par la prise de :
A. Antidépresseurs sérotoninergiques
B. Les corticoïdes.
C. Quinines.
D. L'insuline
E. Aspirine à forte dose.
Rep : ACDE
84. Chez un Dt2 de découvert récente avec un IMI 29 K/m, la logique thérapeutique en
première intention fait appel :
A. Un régime hypocalorique
B. Un régime pauvre en glucides
C. Une prescription d'un sulfamide hypoglycémiant
D. Une prescription d'une insulinothérapie
E. Une prescription d'un sulfamide hyperglycémiant associé à un régime hypocalorique
Rep : AB
85. Quels médicaments sont capables d'induire une hypoglycémie chez le sujet diabétique :
A. Les glinides
B. Les biguanides Insuline
C. Les sulfamides
D. Pacarbose
Rep : ACD
86. Les médicaments suivant peuvent entrainer une hypoglycémie
A. Les sulfamides.
B. Bactrim.
C. Les corticoïdes
D. Les anti-arythmiques à forte dose
E. L'insuline.
REP : ABDE
87. Les hypoglycémies dues à la prise d'anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) :
A. Apparaissent chez les diabétiques sous sulfamides
B. Apparaissent chez le diabétique sous biguanides
C. Les AINS induisent des insuffisances rénales aigues fonctionnelles
D. Les AINS induisent des insuffisances hépatiques
E. Les AINS stimulent la sécrétion d'insuline
Rep : AC
88. Une (plusieurs) pathologie (s) suivante (s) peut (peuvent) causer une hypoglycémie
la(les) quelles ?

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A. Syndrome de cushing.
B. Dénutrition
C. Insuffisance rénale avancée.
D. Acromégalie
E. Une Insuffisance surrénale.
Rep : BCE
89. Cochez les propositions correspondant aux familles des sécrétagogues de l'insuline :
A. Les glinides
B. Les biguanides
C. Les gliptines
D. Les sulfamides hypoglycémiants
E. Les inhibiteurs des alphas glucosidases
Rep : AD
90. Sont des apparentés aux sulfamides antibiotiques
A. Agissent principalement sur la sensibilité périphérique à l'insuline
B. On peut associer 02 sulfamides pour augmenter l'efficacité du traitement
C. Sont contre indiqués en cas de cétose diabétique
D. Ont une forte liaison aux protéines plasmatiques
Rep : ADE
91. La prise subreptice de sulfamides Hypoglycémiant :
A. l'insulinémie est élevée.
B. Le peptide est bas
C. La glycémie est élevée.
D. L'insulinémie est basse.
E. Le peptide C est élevé
Rep : AE
92. Le risque hypoglycémique des sulfamides est majoré par :
A. l'association avec des anti-inflammatoires non stéroïdiens
B. la prise concomitante d'oestroprogestatifs
C. la prise de diurétiques thiazidiques
D. la prise de corticoïdes ingestion importante d'alcool
Rep : AE
93. Le risque hypoglycémique des sulfamides est majoré par :
A. l'insuffisance rénale
B. l'association avec des anti-inflammatoires non stéroïdiens
C. la prise concomitante de contraception à base de progestatifs
D. la prise de diurétiques thiazidiques
E. l'ingestion importante d'alcool
Rep : ABE
94. L'hypoglycémie chez le diabétique sous sulfamides hypoglycémiants :
A. Peut se manifester par des signes neuroglucopéniques type tremblements des extrémités et palpitations
B. Est souvent due à une erreur thérapeutique diététique ou surdosage médicamenteux
C. Est plus grave et laisse plus de séquelles cérébrales
D. Est traitée par une injection de glucagon en intramusculaire ou en sous cutanée
E. Nécessite une surveillance prolongée parfois même l'hospitalisation
Rep : BCE

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95. Précisez les règles de prescription des sulfamides hypoglycémiants :


A. On doit pratiquer régulièrement une NFS en particulier au début du traitement
B. On doit pratiquer régulièrement le dosage des transaminases
C. On peut associer deux sulfamides hypoglycémiants pour une meilleure efficacité thérapeutique
D. On peut associer les sulfamides hypoglycémiants chez un patient diabétique de type 2 sous
insulinothérapie basal- bolus
E. On commence le traitement par de faibles doses de Sulfamide et on augmente la posologie
progressivement par paliers d'une à deux semaines.
Rep : ABE
96. Un diabétique de type 2 obèse sous metformine, consulte en diabétologie. Il est âgé de 45
ans, en chômage et ne possède pas une couverture sanitaire (pas d'assurance). Les
explorations paracliniques ne retrouvent pas de complications dégénératives du diabète et
l'hba1c est revenue à 7,8 %. Que proposez-vous ?
A. Ne pas faire de modifications thérapeutiques, car l'hbac répond aux objectifs
B. Adjoindre une insuline basale le Soir pour avoir une Meilleure efficacité thérapeutique
C. Adjoindre un inhibiteur de la DPP4
D. Adjoindre un analogue du GLP
E. Adjoindre un Sulfamide
Rep : E
97. Les biguanides sont absolument :
A. Contre indiqués pour une clearance de la créatinine inférieur à 70 mi/mn
B. Contre Indiqués pour une clearance de la créatinine inférieur à 65 ml/mn
C. Contre indiqués pour une clearance de la créatinine inférieur à 50 ml/mn
D. Contre indiqués pour une clearance de la créatinine inférieur à 40 ml/mn
E. Contre indiqués pour une clearance de la créatinine inférieur à 30 ml/mn
Re : E
98. Un patient présentant un diabète sucré type 2 sous Metformine et Acarbose consulte
pour hypoglycémie à 0,48 g. Parmi ces propositions lesquelles pourraient expliquer cette
hypoglycémie ?
A. Surdosage aux antidiabétiques oraux
B. Insuffisance hépatique
C. Effort physique inhabituel
D. Ethylisme chronique
E. Cancer du pancréas
Rep : BD
99. La Metformine risque d'entrainer une acidose lactique car :
A. Elle entraine une Insuffisance rénale
B. Elle diminue l'absorption de la vitamine B12
C. Elle favorise l'hypoxie tissulaire
D. Elle diminue la néoglucogenèse hépatique
E. Elle augmente la capacité des transporteurs intracellulaires du glucose
Rep : D
100.Quelles sont les propositions Justes parmi les suivantes concernant la metformine
A. Elle représente la molécule de choix pour le traitement d'un diabète de type 2 de découverte récente
B. C'est un insulinosensibilisateur agissant essentiellement au niveau du pancréas
C. L’acidose lactique est une complication grave mais rare liée principalement au non-respect de ses contre-
indications
D. Elle augmente le Risque d'hypoglycémie et de prise de poids

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E. Elle est prise de préférence au milieu ou en fin de repas


Rep : ACE
101. La metformine est contre indiquée en cas de débit de filtration glomérulaire (DFG)
inferieur à :
A. 30 mi/min
B. 40 ml/min
C. 50 ml/min
D. 55 mt/min
E. 60 mal/min
Rep : D
102. Selon les nouvelles recommandations de prise en charge thérapeutique du diabète type
2, quelles sont les classes thérapeutiques pouvant être associées à la metformine en cas
d'échec de celle-ci à :
A. Inhibiteurs des agonistes des récepteurs du GLP1
B. Agonistes dopaminergiques
C. Agonistes lents de insuline
D. Agonistes synthétiques de l.
Rep : ABD
103. Le glucagon like peptide 1 (GLP1) :
A. Est une hormone incrétine sécrétée par l'intestin
B. A une demi-vie courte de 02 minutes seulement
C. Stimule la sécrétion d'insuline d'une manière gluco-indépendante
D. Ne provoque pas d'hypoglycémies car il stimule aussi la sécrétion du glucagon
E. Favorise la perte pondérale via une action centrale (favorise la satiété)
Rep : ABE
104. Le GLP-1 :
A. Diminue la sécrétion de DPP-4
B. Stimule la sécrétion de l'insuline
C. Stimule la sécrétion du glucagon
D. Est sécrété par le duodénum
E. Augmente la sensibilité hépatique à l'insuline
Rep : BE
105. L'utilisation d'un analogue du GLP-1 peut entrainer :
A. Une diminution de la sécrétion du glucagon
B. Une augmentation du DPP-IV
C. Il est prescrit sous forme de comprimés
D. Il est prescrit sous forme d'injections sous cutanées
E. Il stimule la sécrétion de l'insuline à Jeun
Rep : BD
106. Précisez les contre-indications des analogues du GLP1 :
A. Insuffisance hépatique
B. Insuffisance rénale sévère
C. Grossesse
D. Age plus de 75 ans
E. Antécédents de carcinome vésiculaire de la thyroïde
Rep : BC

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107. L'effet incrétine est :


A. Une augmentation de l'insulinémie en réaction à une charge intraveineuse de glucose
B. La différence entre l'insulinosécrétion observée dans une charge orale versus charge intraveineuse de
glucose
C. La différence entre l'insulinosécrétion observée dans une charge intraveineuse versus charge parentérale
de glucose
D. majoré par les analogues du GLP-1 inhibé par les DPP-IV
Rep : BD
108. L'effet incrétine chez le diabétique de type 2 est :
A. Due à l'action de la metformine
B. Due à l'action du GLP1 natif
C. Diminué élevé à jeun
D. Elevé la nuit
Rep : BC
109. Quels sont les facteurs de risque d'hypoglycémie cher un diabétique sous Gliméplride ?
A. Diarrhées motrices
B. Prise de Propranolel
C. Diminution de la ration protidique
D. Prise de corticoïdes
E. Gastroparésie
Rep : ABE
110. Un diabétique type 2 est sous Metformine et Répalignide bien conduits, il fait depuis
quelques jours des hypoglycémies à n'importe quel moment de la journée. Quels sont les
facteurs favorisant la survenue d'hypoglycémie ?
A. Prise de diurétiques thiazidiques
B. Insuffisance rénale
C. Pancréatite chronique
D. Hypo albuminémie
E. Insuffisance surrénale
Rep : BDE
111. Parmi ces ordonnances médical les, les quelles vous pouvez délivrer à un patient
diabétique ågée de 45 ans présentant une clairance à la créatinine de l'ordre de 40 ml/min ?
A. Répaginide+ Acarbose+ Glimépiride
B. Répaginide + Acarbose+ Lantus
C. Glimépiride Metformine+ Lantus
D. Metformine Répaglidine+ Acarbose
E. Insuline en 2 iniections/hour
Rep : BE
112. Quels sont les médicaments qui diminuent la néoglucogenèse hépatique ?
A. Acarbose
B. Metformine
C. Glitazones
D. Gliflozines
E. Inhibiteurs de la DPP-4
Rep : BCE /BE
113. Une Gliflozine :
A. Est un stimulateur du transporteur sodium/glucose de type 2

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B. Est un inhibiteur du transporteur sodium/glucose de type 2


C. Diminue la néoglucogenèse hépatique
D. Entraine une glycosurie
E. Diminue la réabsorption du glucose
Rep : BDE
114. Les hypoglycémies dues à la prise d'anti-inflammatoires non stéroïdiens :
A. Apparaissent chez les diabétiques sous sulfamides
B. Apparaissent chez le diabétique sous biguanides
C. Les AINS Induisent des insuffisances rénales aigues fonctionnelles
D. Les AINS induisent des Insuffisances hépatiques
E. Les AINS entrainent une déification protélque
Rep : ACE

Exploration d'un diabète sucré et pied diabétique


115. Quel est le profil lipidique plasmatique le plus retrouvé chez le diabétique de type 2 ?
A. Hba1c diminué et Triglycérides élevés
B. LDLC élevé de façon isolée
C. LDLC élevé et hba1c diminué
D. LDLC élevés et triglycéride élevés
E. LDLC élevés, HDLC éliminé et triglycérides augmentés
Rep : A
116. Quel est le profil lipidique plasmatique le plus retrouvé chez le diabétique de type 2?
A. LOLC élevé de façon isolée
B. HDLC élevé et hba1c élevé
C. LOLC élevés et triglycérides élevés
D. HDLC diminué et triglycérides élevés
E. LDLC diminué, HDLC diminué
Rep : D
117. Précisez les situations ou le dosage de l'hba1c n'est plus informatif dans la surveillance
de l'équilibre glycémique chez un diabétique :
A. En cas de diabétique présentant une hémoglobinopathie
B. En cas d'hypo albuminémie associée
C. Durant l'adolescence
D. Chez les enfants
E. Chez la femme enceinte
Rep : AE
118. Dans le pied diabétique :
A. L'hyperkératose signe l'atteinte neuropathique
B. L'hyperkératose signe l'atteinte artérielle
C. Les veines sont saillantes en cas de pied artériel
D. Pied chaud, hyperpulsatile en cas de pied neuropathique
E. Les 04 stades classiques de l'aomi sont parfois masqués par la neuropathie
Rep : AD
119. Dans le pied diabétique :
L’hyperkératose signe l'atteinte neuropathique
L'hyperkératose signe l'atteinte artérielle
Les veines sont saillantes en cas de pied artériel

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Pied froid en cas de pied neuropathique


Les 04 stades classiques de l'aomi sont parfois masqués par la neuropathie
Rep : A
120. Le pied neuropathique est :
A. Chaud, hyper pulsatile avec veines saillantes et sécheresse cutanée
B. Chaud, pouls absents avec réflexes diminués voire abolis
C. Comporte une peau fine et pale avec dépilation te mal perforant plantaire
D. Est une Plaie neurologiques pure
E. L'hyperkératose et les fissures ne font pas partie de la composante neuropathique
Rep : AD
121. Le pied diabétique à composante neuropathique :
A. Il est chaud avec réflexes diminués voire abolis
B. L'absence d'hyperkératose le caractérise
C. Les pouls sont présents voire même bondissants
D. Pied froid avec présence d'un halo inflammatoire
E. L'absence de douleur le caractérise
Rep : ACE
122. Le pied diabétique à composante neuropathique :
A. Est chaud avec réflexes vifs
B. L'absence d'hyperkératose le caractérise
C. Les pouls sont présents voire même bondissants
D. Pied froid avec présence d'un halo inflammatoire
E. L'absence de douleur le caractérise
Rep : CE
123. Cochez la proposition fausse parmi les suivantes concernant une plaie ischémique chez
un diabétique :
A. Elle siège habituellement au niveau du dos du pied
B. Elle est associée à une artériopathie des membres inferieurs
C. Elle est généralement indolore
D. Elle se complique souvent de gangrène
E. Elle est toujours associée à une hyperkératose périphérique
Rep : CE
124. Cochez les propositions justes parmi les suivantes concernant le pied Ischémique :
A. Pied froid dépilé
B. On note la présence d'hyperkératose
C. La sensibilité est conservée
D. Les pouls sont présents
E. Présence d'une douleur spontanée
Rep : ACE
125. Le pied diabétique à composante artérielle :
A. Pied froid, dépilé
B. L'hyperkératose le caractérise
C. Les pouls sont présents de façon bilatérale
D. Un geste de revascularisation peut être envisagé
E. Le doppler artériel des membres inférieurs est très utile
Rep : ADE

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126. Le pied diabétique à composante artérielle :


A. Pied froid, dépilé avec réflexes diminués
B. Un halo inflammatoire le caractérise
C. Les pouls sont présents voir même bondissants
D. Un geste de revascularisation peut être envisagé
E. Le doppler artériel des membres inférieurs est très utile
Rep : BDE
127. Le pied diabétique à composante artérielle :

A. Il est froid, dépilé, avec réflexe achilléen diminué


B. Un halo inflammatoire et hyperkératose le caractérisent
C. Les pouls sont présents voire même bondissants
D. Une gangrène gazeuse n'est confirmée que par le doppler artériel
E. Un geste de revascularisation peut être envisagé
Rep : E

128.On conseille à un diabétique qui a des pieds à risque (R)

A. D'inspecter ses pieds quotidiennement


B. D'utiliser des produits colorés et du henné pour assécher certaines plaies d'utiliser une crème hydratante
en cas de pied neuropathique
C. De porter des chaussettes en coton et de les changer quotidiennement
D. De porter des chaussures adaptées achetées de préférence la matinée
Rep : ACD

129.Les mesures suivantes sont préconisées en cas de lésion du pied diabétique sauf (cochez
les réponses fausses) :

A. Mise en décharge de la plaie


B. Obtenir un équilibre glycémique optimal
C. Antibiothérapie systématique par voie générale
D. Vérification du statut vaccinal
E. Nettoyer la plaie par sérum salé puis l'assécher par éosine aqueuse
Rep : CE

130. Devant une plaie diabétique qui ne cicatrise pas on doit rechercher surtout

A. Une absence de mise en décharge de la plaie


B. Une neuropathie non traitée
C. Une ischémie non traitée
D. La non utilisation systématique d'antibiotiques et de facteurs de croissance
E. Une ostéite mal traitée ou passée inaperçue
Rep : ACE

CAS CLINIQUES
131. Une femme âgée de 37 ans, mère de 4 enfants dont 2 nés macrosomes, hypertendue
sous traitement, asthmatique obèse, aux antécédents familiaux de diabète sucré et de
dyslipidémie, consulte suite à un bilan de santé de routine qui retrouve une Glycémie à jeun à
1,19 g/, l'épreuve d'Hyperglycémie provoquée par voie orale (HPGO) retrouve une Glycémie
à 1,8 g/ à la 2 heure :

1- Interprétez ce bilan glycémique :


A. Un diabète sucré

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B. Un pré diabète
C. Un bilan normal
D. Une hyperglycémie modérée à jeun
E. Une intolérance au glucose

2- Quels sont les facteurs de risque de diabète sucre


A. ATCDS de macrosomie
B. Asthme
C. Obésité
D. ATCDS familiaux de dyslipidémie
E. НTА
3- Un an plus tard la patiente consulte pour une asthénie, sd polyuro-polydipsique avec une
glycémie à jeun de 2 g. Comment typez-vous ce diabète ?
A. Diabète type 1
B. Diabète gestationnel
C. Diabète type 2
D. Diabète type LADA
E. Diabète type MODY
4- Quels sont les examens clinico-biologiques à compléter chez cette patiente dès la 1 consultation ?
A. Bilan lipidique complet
B. Epreuve d'effort
C. Hémoglobine glyquée (hba1c)
D. Epreuve fonctionnelle respiratoire (EFR)
E. Bilan rénal
5- Concernant le dosage plasmatique de l'hba1c :
A. Renseigne sur l'équilibre glycémique sur les 2 à 3 mois précédant son dosage
B. L'équilibre glycémique est jugé parfait si son taux est < 8 %
C. L'équilibre glycémique est jugé parfait si son taux est < 7,5 %
D. Il est difficile à Interpréter en présence d'une hémoglobinopathie
E. Il reste valable en présence d'une anémie sévère
6- Sous Metformine et Gliclazide, la patiente fait des hypoglycémies profondes survenant à n'importe quel
moment de la journée. Quelles sont, parmi les propositions suivantes, les anomalies pouvant explique
une hypoglycémie ?
A. Surdosage en Diurétiques thiazidiques
B. Surdosage en Gliclazide
C. Surdosage en Metformine
D. Hypoalbuminémie
E. Pancréatite chronique
7- La metformine présente un risque majeur de
A. Cétoacidose lactique
B. Acidocétose lactique métabolique
C. Acidose lactique métabolique
D. Acidose lactique respiratoire
E. Acidocétose lactique respiratoire
8- Dans le traiternent du diabète sucré type 2 on ne peut pas associer :
A. Metformine + Glimépiride
B. Gilmépiride + Gliclazide
C. Insuline + Metformine
D. Analogue de GLP-1+ Insuline
9- Quels sont les éléments qu'il faudra contrôler à chaque consultation ?
A. Acuité visuelle
B. ЕCG
C. Poids
D. Examen neurologique

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E. Examen des pieds


10- Quels sont les facteurs de risque cardiovasculaires de la patiente ?
A. ATCD familiaux de diabètes sucré
B. ATCD familiaux de dyslipidémie
C. ATCD de Macrosomie
D. Hypertension artérielle
E. Age de 37 ans
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
BE ACE C ACE AD BD C B CE D

132. Un patient âgé de 56 ans, chauffeur de taxi de profession, marié et père de 4 enfants,
vient consulter pour une asthénie et une polyurie apparues il y a quelques jours. Dans ses
ATCD personnels on note une (HTA) grade 1 diagnostiquée il ya 3 ans sous traitement, et
dans les antécédents familiaux on note un diabète sucré chez le père, deux de ses sœurs et
une tante maternelle. Il fume le tabac à raison de 20 paquets année.
L'examen clinique retrouve un état général conservé, bonne orientation temporo-spatiale,
bonne coloration cutanéomuqueuse, pas de morphotype particulier.
Poids 100 Kg, Taille 1,76m, Tour de taille 104cm, BMI 32,36 Kg/m, sans notion
d'amaigrissement, TA 130/70 mmhg en position débout et couché, FC : 80 bpm, Fréquence
respiratoire : 18 cycles/min.
Le reste de l'examen clinique est sans particularité en dehors de brulures mictionnelles
apparues il ya quelques jours.

1- Quels sont les facteurs de risque cardiovasculaires déjà présents chez ce patient ?
A. Les antécédents familiaux de diabète
B. Le tabac
C. L'HTA
D. L'âge
E. L'obésité
2- Quels sont les examens à demander en 1 intention ?
A. Une glycémie à jeun
B. Un bilan lipidique
C. Une épreuve d'effort
D. Echo-doppler des membres inférieurs
E. ECBU (étude cytobactériologique des urines)
3- Un bilan glycémique a été demandé chez le patient, objectivant 2 glycémies veineuses à jeun à
1,56 g/l et 1,70 g/, la glycémie capillaire faite au cabinet est à 2,60 g/l, la chimie des urines a révélé
une glycosurie sans corps cétoniques. S'agit-il de (une seule réponse juste)
A. Un diabète sucré de type 2
B. Une hyperglycémie modérée à jeun
C. Un pré diabète
D. Un diabète sucré de type1
E. Un diabète rénal
4- Quelles est le traitement de 1 intention chez ce patient ?
A. Analogues de Glucagon Like Peptide-11 (GLP-1)
B. Mesures hygiéno-diététiques
C. Metformine
D. Analogues du glucagon
E. Arrêt du tabac
1 2 3 4
BCDE AB A BCE

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133. Monsieur B.M âgé de 56 ans, maçon de profession, diabétique type 2 depuis 6 ans,
consulte pour une plaie infectée au niveau de la face plantaire du gros orteil gauche suite à un
traumatisme non ressent
A l'interrogatoire on retrouve un patient tabagique actif, hypertendu ans sous amlodipine en
association avec metformine et Gilmépiride. Il est déséquilibré, non observant et se suit de
façon irrégulière.
L'examen clinique retrouve un patient en bon état général, fébrile à 39, la plaie est une
ulcération arrondie, indolore avec des bords nets, rougeur et chaleur en regard de la plaie
avec écoulement purulent
Le pied controlatéral est froid, plaie dépilé, sec avec hyperkératose, pouls tibial postérieur et
pédieux non perçus et orteils en griffe.

1- Quel est le type de cette plaie ?

A. Plaie neuropathique pure type mal perforant plantaire


B. Plaie ischémique pure type ulcère artériel
C. Plaie mate neuropathique et ischémique
D. Pied de Charcot aigu
E. Plaie infectée

2- Quels sont les éléments qui manquent à l'examen clinique ?

A. Le test au monofilament 10 g
B. Le test au monofilament 5 g
C. L'examen au diapason
D. La mesure de l'index de pression systolique bras-cheville
E. L'écho doppler des membres inférieurs

3- Parmi les signes cliniques que présente ce patient, lesquelles orientent vers l'origine neuropathique
de cette plaie ?

A. Un pied froid et pâle


B. La déformation en griffe des orteils
C. L'hypoesthésie
D. La dépilation des jambes
E. L'hyperkératose

4- Quels sont les examens paracliniques à demander chez tient en 1 intention ?

A. NFS, CRP
B. Artériographie du membre atteint
C. Echo doppler vasculaire des membres inférieurs
D. Angioscanner des membres inférieurs
E. Hémocultures

1 2 3 4
CE ACD BCE ACE

134. Votre voisine de 58 ans est diabétique de type 2 sous traitement oral et vient d'être
mise à l'insuline, elle vous pose un certain nombre de questions :

1- Qu'est-ce que c'est qu'une insuline basale ?

A. Une Insuline semi lente


B. Une insuline lente
C. Un prémix
D. Un analogue lent

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E. Une Actrapid

2- Quel est le meilleur site d'injection d'une Insuline rapide meilleure diffusion ?

A. Abdomen
B. Bras
C. Face Interne de la cuisse
D. Face antérieur de la cuisse
E. Face antéro interne de la cuisse

3- On m'a prescrit un analogue lent type glargine Lantus, à quel heure Je dois l'injecter ?

A. Importe quelle heure


B. Importe quelle heure prouve qu'on garde le même horaire tout le temps
C. Exclusivement le matin à 08h00
D. Exclusivement le matin à 12h00
E. De préférence le soir vers 22h00

4- Mon insuline Lantus, dois-je la mélanger plusieurs fois avant mon injection ou pas ?

A. Oui c'est impératif


B. Oui de préférence
C. Non elle n'est pas protamine
D. Non elle ne contient pas de Zinc
E. Oui ou non, à vous de voir

1 2 3 4
ABD A BE C

135. Un diabétique de type 2 obèse sous metformine, consulte en diabétologie. Il est âgé de
45 ans, en chômage et ne possède pas une couverture sanitaire (pas d'assurance). Les
explorations paracliniques ne retrouvent pas de complications dégénératives du diabète et
l’hba1c est revenue 7.8 %.

1- Que proposez-vous ?
A. Ne pas faire de modifications thérapeutiques, car l'hba1c répond aux objectifs
B. Adjoindre une insuline basale le soir pour voir une meilleure efficacité thérapeutique
C. Adjoindre un inhibiteur de la OPP4
D. Adjoindre un analogue du GLP1
E. Adjoindre un sulfonylurés

2- Précisez les contre-indications des analogues du CLP1 :


A. Insuffisance hépatique
B. Insuffisance rénale sévère
C. Grossesse
D. Age plus de 75 ans
E. Antécédents de carcinome vésiculaire de la thyroïde

3- Les premiers troubles visuels durant une rétinopathie diabétique (RD) :


A. Sont représenté par l'atteinte oculomotrice unilatérale
B. Sont présenté par l’atteinte oculomotrice bilatérale
C. Sont représentés par l'atteinte de la vision des couleurs
D. Sont représenté par l’atteinte de la vision monochrome
E. Sont représentés par une maculopathie diabétique

4- La polynévrite diabétique est :


A. Est la forme la moins fréquente de la neuropathie diabétique
B. Est l’atteinte la plus fréquente de la neuropathie diabétique

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C. Est une atteinte bilatérale et symétrique des membres inférieurs


D. Est une atteinte unilatérale des membres inférieurs

1 2 3 4
E BC C BC

136. Monsieur X, âgé de 35 ans aux antécédents familiaux de diabète sucré type 2 est
adressé aux urgences médicales, avec le bilan suivant : Glycémie hba1c à 8.9%, Glycosurie,
Acétonurie, Natrémie 142 meq/l, Kaliémie 3,9 Meq/l, Cholestérol 2,3 g/l, Triglycérides 4,2 g/l,
Créatinine 8mg. L'examen clinique note un état général conservé, des douleurs a
abdominales et des brulures mictionnelles ; le poids est de 90 kg pour une taille de 186 cm, ll
tension artérielle est de 110/60 mmHg. Le reste du bilan biologique est sans anomalies hormis
un taux de Gamma-Glotamyl Transférase (GGT) 2 fois la normale et une leucocyturie et
hématurie à la chimie des urines.

1- Quels diagnostics portez-vous en 1er lieu ?

A. Diabète sucré type 1


B. Diabète sucré type 2
C. Diebète sucré secondaire à une pancréatite chronique
D. La cétose est secondaire à une infection urinaire
E. La cétose est secondaire à l'insulinarésistance

2- Quelles interprétations donneriez-vous aux anomalies métaboliques présentées par le patient ?

A. L'augmentation des GGT est secondaire à l’hypertriglyceridémie


B. L'hypertriglycéridémie est secondaire à l’insuffisance rénale
C. L'augmentation des GGT est secondaire à un alcoolisme non avoué
D. L'hypertriglyceridémie est secondaire à l’hyperglycémie
E. Aucune

3- Une échographie abdominale est demandée, Il y a de fortes chances de retrouver ?

A. Des calcifications au niveau du pancréas


B. Une stéatose hépatique
C. Un mégacôlon
D. Une cystite
E. Aucune anomalie

4- Le patient garde des constantes hémodynamiques correctes malgré la cétose diabétique,quels sont
les moyens physiologiques mis en oeuvre ?

A. Augmentation de l'osmolarité urinaire


B. Diminution de l'osmolarité urinaire
C. Soif
D. Augmentation de la pression artérielle
E. Aucun

5- Quel est le meilleur traitement d'une cétose sans déshydratation ?

A. Insuline d'action rapide par voie IV


B. Insuline d'action rapide par voie sous cutanée toutes les 4 heures
C. Insuline d'action Intermédiaire monophasique 2 fois par jour
D. Insuline d'action rapide par voie IM toutes les heures
E. Insulinothérapie optimalisée

6- Ces moyens physiologiques mis en œuvre reflètent :

2019/2020 38
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A. Une stimulation des osmorécepteurs


B. Une inhibition des barorécepteurs
C. Une stimulation des volorécepteurs
D. Une inhibition des noyaux paraventriculaires hypothalamiques
E. Aucune signification

7- L'ADH (Vasopressine) agit en :

A. Diminuant la perméabillté de l'épithélium du tubule collatéral du rein


B. Augmentant la perméabilité de l’épithélium du tubule collatéral du rein
C. Stimulant la protéine kinase A
D. Inhibant la protéine kinase A
E. Mobilisant I aquaporine 2

8- Le patient est mis sortant après correction de la cétose diabétique et de sa cause. Quels sont les
objectifs métaboliques fixés pour ce patient pour le long terme ?

A. Hémoglobine glyquée <7%


B. Hémoglobine glyquée <6%
C. Glycémie à jeun < 1g/l
D. Glycémie à jeun <1,4 g/l
E. Hémoglobine glyquée <8%

9- Quels sont les moyens thérapeutiques à prescrire afin d'atteindre ces objectifs ?

A. Alimentation normocalorique avec activité physique


B. Alimentation hypocalorique avec activité physique
C. Hypolipémiant
D. Metformine
E. Eviter l'alcool

10- Après 12 mois de suivi, l'hémoglobine glyquée est toujours à 8% et les taux de triglycérides est de
2 g/l, quel sera votre conduite thérapeutique en 2ème intention ?

A. Insulinothérapie basale-bolus
B. Sulfamide hypoglycémiant
C. Insulinathérapie à 2 Injections
D. Statine
E. Insuline à la pousse seringue électrique

1 2 3 4 5
BD AD BD ACD A/D
6 7 8 9 10
AE BCE BC BCE B

137. Un patient âgé de 17 ans, diabétique de type 1 découvert à l'âge de 14 ans consulte en
Diabétologie pour déséquilibre de son diabète. Il est sous 2 injections d'Insuline semi lente par
Jour. Il décrit un mode de vie très actif de type estudiantin. Il aime souvent faire du sport et
jouer au football. Il se plaint depuis 2 années de malaises fréquents en particulier après son
activité sportive, à type de palpitations, tremblements, étourdissements, flou visuel, diplopie
et fatigue, qu'il met sur le compte de sa préparation à l'examen du baccalauréat. Il vous décrit
aussi une prise de poids de 4 kg en une année.

1- A Quel diagnostic doit-on penser en premier lieu ?


A. Surmenage
B. Cétose diabétique
C. Hypoglycémie
D. Hypothyroïdie

2019/2020 39
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E. Hyperthyroïdie

2- Quels en sont les facteurs étiologiques éventuels ?


A. Le terrain auto-immun
B. Le sexe du patient
C. La présence d'éventuelles lipodystrophies
D. Une mauvaise adaptation thérapeutique lors de la pratique de l'activité sportive
E. Le stress en rapport avec l'examen du Baccalauréat à passer

3- Le médecin consulté décide de modifier le schéma thérapeutique de ce patient et ce, pour éviter la
survenue ou à défaut retarder l'apparition des complications dégénératives du diabète. Lequel des
schémas suivants est le plus approprié en sachant que ce médecn a prévu de renforcer l'éducation
thérapeutique et que le patient accepte et adhère à ces modifications ?
A. Arrêter l'insulinothérapie et la remplacer par de la Metformine
B. Arrêter l'insulinothérapie et la remplacer par du Glibenclamide
C. Adjoindre la Metformine au schéma déja instauré
D. Instaurer un schéma basal-bolus
E. Remplacer le schéma 2 injections d’insuline semi lente par un autre de 2 injections d'insuline rapide
par jour

1 2 3
C CD D

138. Un jeune diabétique de type 1 âgé de 18 ans, bien motivé et sans complications
dégénératives du diabète, sous schéma d’insulinothérapie basal bolus (Humalog avant choque
repas et une Lantus au coucher) arrive à la consultation de diabétologie avec les mesures
glycémiques suivantes : glycémie à jeun : 1 g/l, glycémie 2h après le petit déjeuner : 1.40 g/l,
glycémie 2h après le déjeuner : 1.22 g/l, glycémie à 19h juste avant le dîner : 0.95 g/l, glycémie
2h après le dîner : 1.74 g/l.

1- Qu’est-ce que vous proposez comme modification thérapeutique pour ce jeune patient ?
A. Augmenter la dose de Lantus du soir
B. Augmenter la dose de l’Humalog injectée au petit déjeuner
C. Arrêter l’Humalog du déjeuner et la remplacer par une prémix
D. Arrêter l’Humalog du déjeuner et la remplacer par Levemir
2- Ce même jeune diabétique revient quelques semaines plus tard avec le profile glycémique suivant
: glycémie à jeun : 0.6 g/l, glycémie 2h après le petit déjeuner : 1,29 g/l. Glycémie 2 h après la déjeuner
1.34 g/l, glycémie à 19h juste avant le dîner : 1.1 g/l, glycémie 2h après le dîner : 1.30 g/l. Qu'est-ce que
vous proposez cette fois comme modification thérapeutique pour ce patient ?
A. Diminuer la dose de Lanus du soir
B. Arrêter la Lantus et la remplacer par un prémix
C. Passer à 2 injections de Lantus par jours
D. Diminuer la dose de l’Humalog injectée au dîner
E. Diminuer la dose de l’Humalog injectée au déjeuner
1 2
D A

139. Un patient âgé de 17 ans, avec diabète de type 1 déséquilibré, depuis 3 ans, présente
suite à l'apparition d'une angine rouge avec fièvre à 39° C, une déshydratation globale. Le
bilan biologique est le suivant : glycémie 3.25 g/l, glycosurie : +++, cétonurie : ++, réserve
alcaline : 18,2 mEq/l, protéinurie : +++

1- Il s'agit :

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A. D'un déséquilibre glycémique aigu


B. D'une cétose diabétique
C. D'un coma hyperosmolaire
D. D'une acidocétose sévère
E. D'une acidocétose

2- Le traitement de ce patient va nécessiter :

A. Insuline rapide par voie intraveineuse


B. Insuline rapide par voie intramusculaire
C. L'utilisation de sérum bicarbonaté obligatoirement
D. La réhydratation par du sérum salé isotonique
E. Une antibiothérapie systématique

3- En général une néphropathie diabétique stade IV se caractérise par :

A. La présence d'une microalbuminurie permanente


B. Une élévation permanente de la pression artérielle
C. Un effondrement de la fonction rénale
D. La présence d'une protéinurie permanente
E. La conservation ou altération modérée de la fonction rénale

4- La microalbuminurie :

A. Peut-être dépistée grâce aux bandelettes réactives


B. Est un marqueur de surmortalité cardiovasculaire dans le diabète de type 2
C. Est spécifique du diabète sucré
D. Est une manifestation prévisible chez notre patient
E. Est le témoin d'un déséquilibre glycémique majeur

5- Ultérieurement (après avoir traité l'infection) le suivi paraclinique portera sur (cochez la réponse
fausse) :

A. Le fond d'œil
B. Le bilan rénal
C. Le bilan lipidique
D. L'urographie intraveineuse
E. L'hémoglobine évaluée

1 2 3 4 5
E ADE DE BD D

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3.LA THYROIDE

"“Il y a plus de courage que de talent


dans la plupart des réussites.”

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A- HYPOTHYROÏDIE
1. Quelles sont les situations fréquentes devant faire rechercher une hypothyroïdie ?
A. Constipation chronique
B. Hyperleucocytose
C. Hyponatrémie à secteur extra cellulaire normal
D. Dyslipidémie
E. Enzymes musculaires diminuées
ACD
2. Quelles sont les situations devant faire rechercher une hypothyroïdie ?
A. Diarrhée chronique
B. Anémie arégénérative non microcytaire
C. Hyponatrémie à secteur extra cellulaire normal
D. Dyslipidémie
E. Une diminution des enzymes musculaires
BCD
3. Quels sont les signes cliniques, parmi les suivants, pouvant exister en cas d'hypothyroïdie
?
A. Assourdissement des bruits cardiaques
B. Hirsutisme
C. Sueurs profuses
D. Aménorrhée
E. Syndrome du canal carpien
ADE
4. Cochez les propositions justes parmi les suivantes concernant l’hypothyroïdie congénitale
A. Les troubles de l'hormonogenèse constituent la principale étiologie
B. Les Troubles de la morphogenèse constituent la principale étiologie
C. Le pronostic intellectuel peut être amélioré par un dépistage systématique durant les premiers
jours de la vie :
D. L'hypothyroïdie congénitale peut être d'origine maternelle (intoxication maternelle iodée)
E. Elle nécessite un traitement hormonal à vie en milieu hospitalier
BCD

5. Quel est le risque principal d'une hypothyroïdie congénitale non dépistée et non traitée à
temps ?
A. Développement d'une hypothyroïdie à l'âge adulte
B. Développement d'un retard mental et de crétinisme
C. Développement d'une grande taille voire un gigantisme
D. Développement d'un diabète sucré à l'âge adulte
E. Développement d'un goitre volumineux
B

6. Dans l'hypothyroïdie centrale :

A. La présence d'un goitre est un argument en faveur du diagnostic


B. Biologiquement, on retrouve une anémie, dyslipidémie, hyponatrémie, élévation des CPK
C. Absence de myxœdème témoigne de l'origine hypophysaire
D. Les précautions concernant le risque cardiovasculaire sont prises lors de l’instauration du
traitement
E. La surveillance sous traitement se fera par le dosage de la TSH
BCD

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7. Dans l’hypothyroïdie centrale :


A. La TSH est élevée avec des hormones thyroïdiennes basses
B. La TSH est basse avec des hormones thyroïdiennes élevées
C. La surveillance sous traitement ne doit pas comporter le dosage de la TSH
D. Le traitement sera arrêté dès normalisation du bilan thyroïdien
E. La présence d’un goitre est quasi constante
C
8. Lequel de tous ces signes cliniques n'est pas retrouvé dans l'hypothyroïdie primaire
profonde chez un sujet adulte de sexe masculin :
A. Myxœdème prétibial.
B. Galactorrhée.
C. Ralentissement idéomoteur.
D. Apathie, frilosité, gain pondéral.
E. Dépression
A
9. Quelles sont les causes possibles d'une hypothyroïdie périphérique
A. Thyroïdite de Riedel
B. Prise d'amiodarone
C. Tumeur trophoblastique
D. Stroma ovarii
E. Radiothérapie cérébrale
AB
10. Le bilan biologique, lors d'une hypothyroïdie périphérique peut montrer les anomalies
suivantes
A. Une hypocholestérolémie
B. Une hyperglycémie
C. Une hyperprolactinémie
D. Une anémie
E. Une hyperleucocytose
CD
11. Toutes ces causes peuvent être responsables d'une hypothyroïdie primaire sauf une,
laquelle ?
A. Les Troubles de la morphogenèse thyroïdienne
B. Les Troubles de l'hormonogenèse thyroïdienne
C. La Thyroïdite chronique auto immune
D. La prise de Cordarone
E. Le macroadénome hypophysaire thyréotrope
E
12. Parmi ces étiologies des hypothyroïdies de l’adulte, quelles sont celles qui sont
habituellement d'évolution définitive :
A. Lobo isthmectomie chirurgical
B. Intoxication iodée par la bétadine
C. Thyroïdite de De Quervain
D. Après traitement par iode radioactif
E. Thyroïdite de Hashimoto
DE

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13. L'étiologie la plus fréquente des hypothyroïdies congénitales est :


A. Athyréose
B. Thyroïdite de Hashimoto
C. Le syndrome de Pendred
D. Ectopie thyroïdienne
E. L'irradiation cervicale
D
14. Le dépistage néonatal de l'hypothyroïdie congénitale fait appel à :
A. Au dosage de la T3 et la FT3 au 5ème jour de la rie
B. Au dosage de la T4 et de la T3 au 2eme jour de la vie
C. Au dosage de la FT4 et de la TSH au 2éme jour de la vie
D. Au dosage de la FT4 et surtout de la TSH au 5éme jour de la vie
E. Toutes les propositions sont justes
D
15. Le dépistage néonatale de l'hypothyroïdie fait appel à:
A. Au dosage de la FT3 au 5éme jour de la vie.
B. Au dosage de la T4 et de la FT3 au 2éme jour de la vie.
C. Au dosage de la FT4 et de la TSH au 2éme jour de la vie.
D. N'est pas nécessaire en absence de signes cliniques évocateurs
E. Au dosage de la TSH au 5éme jour de la vie.
E
16. Quelles sont les Indications du dosage de la thyroglobuline (Tg) ?
A. Suspicion de la prise occulte d'hormones thyroïdiennes
B. Diagnostic des cancers médullaires de la thyroïde
C. Diagnostic des cancers différenciés de la thyroïde
D. Diagnostic des hypothyroïdies par thyroïdite d'Hashimoto
E. Evaluation des hypothyroïdies congénitales où un taux indétectable de la Tg est en faveur de
l'athyréose
AE
17. Quelle est la définition de l'nhypothyroïdie infraclinique ?
A. TSH 4 m UI/L avec des valeurs normales de la T4L
B. TSH élevée avec une T4L < 10 pmol/
C. TSH basse avec ces valeurs normales de la T4L
D. TSH basse avec une T4L basse
E. TSH <0,1m UI/L
A
18. Quel est le risque potentiel d'une hypothyroïdie infraclinique non traitée chez une femme
enceinte ?
A. Risque de bradycardie chez le fœtus
B. Insuffisance cardiaque chez le nouveau-né
C. Augmentation du risque de fausses couches
D. Risque accru d'acouchement dystocique
E. Dépassement de terme
C

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19. Le traitement hormonal substitutif par de la Lévothyroxine, en cas d'hypothyroïdie


fruste, est indiqué dans des situations particulières, précisez-les
A. TSH 5 m/ml
B. TSH 5mul/ml
C. Ac anti récepteurs de la TSH positifs
D. Ac anti thyroperoxydase positifs
E. Infertilité
DE
20. Le traitement substitutif d'une hypothyroïdie, basé sur la lévothyroxine, répond à
certaines règles de prescription. Lesquelles ?
A. L'adaptation des doses de lévothyroxine repose sur le dosage de b TSH quel que soit l’étiologie de
l'hypothyroïdie
B. En cas de grossesse, on doit majorer les doses de Lévothyroxine de 25 à 50% au 1er trimestre
C. La surveillance du traitement substitutif repose sur la réalisation d'un : NFS régulièrement
D. La Lévothyroxine est prescrite à raison de 2,5 µg/k8/J chez le sujet adulte
E. La prescription doit être prudente chez le sujet coronarien en débutent par une faible dose de
Lévothyroxine
BE
21. Quelles sont les mesures thérapeutiques à envisager dans la prise en charge d'une
hypoparathyroïdie ? ***

A. Donner la vitamine D uniquement sous sa forme native, ce qui est largement suffisant pour assurer
les besoins journaliers
B. Donner les sels de calcium à raison de 1-2 g de calcium élément par jour en moyenne
C. Associer les diurétiques de l'anse qui vont augmenter la réabsorption rénale de calcium
D. Encourager les mesures diététiques pour réduire le risque de formation de lithiases rénales
E. Proscrire les sels de Magnésium qui risquent de majorer l'hypcalcémie
BD
22. L'hypothyroïdie peut se manifester cliniquement par :

A. Moiteur des mains


B. Frilosité
C. Sueurs froides
D. Asthénie sexuelle
E. Hypoacousie
BDE
23. Parmi les propositions suivantes, les quellles sont responsables d'hypothyroidie primaire ?

A. Cholécystographie
B. Prise de Sélénium
C. Radiothérapie cervicale
D. Adénome hypophysaire invasif
E. Irathérapie
ACE
24. L'hypothyroidie peut se manifester cliniquement par :

A. Bradycardie
B. Macrogiossie
C. Diarrhées
D. Troubles de la mémoire
E. Thermophobie
ABD

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25. L'hypothyraidie chez le nouveau-né est suspectés devant:

A. Hypothermie
B. Hernie ombilcale
C. Diarrhées fréquentes
D. Croissance accélérée
E. Ictère néonatol prolongé
ABE
26. Quels sont les signes dvoquant une hypoparathyroldie

A. Laryngospasme
B. Diminution de l'espace QT à l'ecg
C. Alteration de rémail dentaire
D. Crises de tétanie
E. Calculs rénaux
ACDE
27. Le billan blologique d'une hypothyroidie périphériques peut montrer les résultats
suivants:

A. Hyponstremie de dilution
B. Hypercholestérolémie
C. LDH diminué
D. CPK diminué
E. TSH élevée
ABE
28. Cochez la ou les réponses justes à propos de la maladie BASEDOW

A. Stroma ovarii.
B. Radiothérapie cervicale
C. Prise d'iode et de produits lodés
D. Adénome thyréotrope
E. Prise de Carbimazole
BCE
29. Le traitement d'une hypothyroïdie par thyroidite d'Hashimoto chez un sujet jeune sans
antéeedents particuliers nécessite : *

A. Une hospitalisation
B. Debuter un traitement par du levothyrox à faible dose avec auntation progressive par palier de 12,5
microi chaque 15 jours
C. Debuter un traitement par du Lévothyrox 25 ou 50 g/l puis aentation en quelques jours jusqua une
dose de 75 ou 100 u/l
D. Débuter le traltement en ambulatoire
E. Faire une NFS avant chaque augmentation des doses de Lévot
CD
30. Quelles sont les Situations frécuentes devant faire rechercher une bypothyroidie?

A. Diarrhée chronique
B. Anémie arégénérative non microcytaire
C. Hypanatremie à secteur extra cellulaire normal
D. Hypocholestrélomie
E. Une diminution des entymes musculaires
BC

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31. A propos de l'hypothyroidie centrale : *

A. TSH nocmale aves hormones thyroidiennes basses


B. TSH basse avec hormone thyroidiennes bases
C. La surveillance sous traitement se fait par le dosage de la TSH
D. Le traitement sera arrété dés que le bilan thyroidien se normalise
E. Il s'agit d'une hypothyroidie secondaire
ABE

HYPERTHYROÏDIE
32. On doit rechercher une hyperthyroïdie devant :

A. Une Diarrhée chronique


B. Une Obesité
C. Des Fractures pathologiques
D. Une Infertilité
E. Une Frilosité
ACD
33. A propos de la mailedie de BASEDOW, quallefs) est (sont) la (les) réponse(s) juste?

A. Le Dosage des TRAK est systématique


B. Le goitre est constant
C. L'hyper vascularisation au doppier est un critère diagnostique et pron.cstique
D. L'orbitopathie est pathognomonique
E. La presence de nodule élimine le diagnostique
C
34. La cardiothyréose est d4finit par vne thyrotoncese asseecertalnes manifestations
cardiaques, lesquelles ?

A. Troubles de rythme
B. Hypertension artérielle systolique
C. Eréthisme cardiovasculaire
D. Insuffisance cardiaque
E. Tachycardie
AD
35. Quels sont les éléments paracliniques en faveur du diagnostic d'hyperthyroïdie sur goitre
multinodulaire toxique :

A. Un taux de TSH effondré et FT4 élevé


B. Un taux de Thyroglobuline bas
C. TRAK et Anticorps anti-TPO négatifs
D. Anticorps anti-TPO et les anticorps anti TG positifs
E. Aspect scintigraphique hétérogène avec alternance hyper et pofixation
ACE
36. Précisez les signes cliniques habituels évoquant une thyrotoxicose :

A. Anorexie
B. Prurit
C. Constipation
D. Gynécomastie
E. Polyphagie
BDE
37. La cardiothyréose est définit par une thyrotoxicose associét à une (un) :

A. Souffle cardiovasculaire
B. Hypertension artérielle systolique

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C. Arythmie complète par fibrillation auriculaire


D. Tachycardie sinusale
E. Insuffisance cardiaque
CE
38. La cardiothyriose est définie par une thyrotoxicose associée à des manifestations
cardiaques, lesquelles ?

A. Insuffisance coronaire
B. Hypertension artérielle
C. Hypotension artérielle
D. Troubles du rythme
E. Insuffisance cardiaque
ADE
39. La tachycardie peut manquer dans certaines situations d'hyperthyroidie, lesquelles?

A. Anémie sssociée à Phyperthyroidie


B. Formes débutantes d'hyperthyroidie
C. Coexistence de bloc auriculo-ventriculaire (BAV) complet
D. Sujet au rythme physiologique lent
E. En cas d'épisodes fébriles
BCD

40. La thyrocalcitonine est une hormone :


A. Hypocalcémiante hypophosphorémiante
B. Hypocalcémiante hypophosphorémiante
C. Hypercalcémiante hypophosphorémiante
D. Hypercalcémiante hyperphosphorémie
E. Aucune des réponses n'est juste
B
41. Précisez les signes cliniques possibles d'une thyrotoxicose:
A. Bradycardie
B. Amaigrissement
C. Diarrhées
D. Frilosité
E. Lenteur d'idéation
BC
42. Au cours de la thyrotoxicose, on observe classiquement
A. Une agitation psychomotrice
B. Une tachycardie survenant par paroxysmes
C. Une prise de poids
D. Anhidrose du tronc
E. Une faiblesse musculaire
AE
43. Quels sont parmi les éléments suivants, ceux incriminés dans la goitrigénèse ?
A. La carence en vitamine A
B. La surcharge en sélénium
C. Diminution de la TSH
D. La diminution de l'igf
E. La consommation d'aliments riches en goitrine tel que le chou
AE

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44. Quelles sont les manifestations biologiques non spécifiques pouvant être observées au
cours des hyperthyroïdies ?
A. Hypercalcémie
B. Intolérance au glucose
C. Diminution des phosphatases alcalines
D. Augmentation du taux de l'albumine
E. Hypercholestérolémie
AB
45. Dans quels types de hyperthyroïdies une absence complète de Fixation isotopique est
observée à la scintigraphie ?
A. Maladie de Basedow
B. Adénome toxique.
C. Thyrotoxicose factice
D. Goitre multinodulaire toxique
E. Surcharge lodóe
CE
46. Quelle est l'indication du dosage de la thyroglobuline:
A. Dépistage des carcinomes médullaires de la thyroïde
B. Dépistage des carcinomes folliculaires de la thyroïde
C. Dépistage des carcinomes anaplasiques de la thyroïde
D. Diagnostic des hyperthyroidies factices
E. Diagnostic positif des hyperthyroïdies
D
47. La maladie de Basedow est caractérisé par: (cochez les propositions justes)
A. La thyroide peut ne pas être palpable
B. Le goitre peut être diffus et vasculaire
C. La FT4 et la TSH sont souvent très élevées
D. Les complications cardiaques sont toujours présentes
E. Le traitement par les antithyroidiens de synthèse est la seule option thérapeutique
AB
48. Précisez les réponses justes parmi les propositions suivantes concernant la maladie de
Basedow:
A. La première description de cette maladie a été faite par Avicenne en l’an 1000
B. Elle est caractérisée par des taux très élevés d'antcorps anti TPO
C. L'hyperthyroidie résulte de la stimulation des cellules thyroidiennes par les TS
D. Elle représente la cause la plus fréquente des hyperthyroidies chez le sujet agé
E. Le goitre y est inhomogène et multinodulaire
AC
49. Quelles sont les caractéristiques de l'ophtalmopathie Basedowienne (OB)?
A. Son évolution est parallèle à celle de la thyretoxicose puisqu'elle régresse dès l’obtention de
l'euthyroidie
B. Elle est due à une hypertrophie des globes oculaires
C. L'exophtalmie est généralement bilatérale et symétrique
D. La thyroidectomie totale représente la seule possibilité thérapeutique
E. L'irathérapie peut constituer un facteur d'aggravation de l'ob
CE

2019/2020 50
MERAKI MED – ENDOCRINOLOGIE – QCM et CAS CLINIQUES 2014 - 2019

50. Quelles sont les possibiliteés thérapeutiques chez une femme de 26 ans célibataire
présentant une maladie de Basedow avec un goitre grade 2 et une exophtalmie active et
sévère ?
A. Thyroidectomie totale avec substitution hormonale après récupération des résultats anapath soit un
mois après
B. Thyroidectomie totale avec substitution hormonale immédiate afin d'éviter l’aggravation de l’ob
C. Une irathérapie après préparation médicale par les antithyroldlens de synthèse
D. Un traitement médical à base d'antithyroldiens de synthèse pendant 12 à 18 mois
E. Un traitement médical à base d'antithyroidiens de synthèse pendant 18 b 24 mois
BD
51. Quel est le schéma thérapeutique le plus approprié pour le traitement d'un patient de 34
ans, présentant une maladie de Basedow avec ophtalmopathie sévère, goitre volumineux et
des taux très élevés d'Ac anti récepteurs de la TSH
A. Irathérapie
B. Cobaltothérapie
C. Thyrodectomie
D. Artithyroidiens de synthèse seuls
E. Antithyroidiens de synthèse associés au Levothyrox
C
52. Le traitement de la maladie de Basedow chez la femme enceinte fait appel à:
A. L’association Béta bloquants + lugol
B. 45mg/jour voir 60mg/jour de carbimazole
C. Chirurgie au 1er trimestre
D. Antithyroidiens de synthèses type PTU: propylthiouracile à doses modérées
E. Irathérapie suivie d'antithyroidiens de synthèse
D
53. L'arret definitit de la prise de tout antithyroidien de synthèse lors du traitement d'une
hyperthyroidie s'impose lorsque le nombre de polymucléaires neutrophiles est inferieur à:
A. 2000 éléments/mm3
B. 1500 éléments/mm3
C. 1200 éléments/mm3
D. 500 éléments/mm3
E. 200 éléments/mm3
D
54. Lors d'un traitement médical de la maladie de Basedow de type « block and replace », le
rythme de surveillance de la TSH se fait chaque:
A. 15 jours
B. 3 semaines
C. 2 mois
D. 4 mois
E. 6 mois
D
55. Quel est le traitement que vous allez proposer chez un patient agé de 34 ans chez qui
vous venez de poser le diagnostic de thyrotoxicose par thyroidite de De Quervain ?
A. Thyroidectomie totale
B. Irathérapie à failble doses
C. Iratherapie à fortes doses

2019/2020 51
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D. Carbimazole pendant 18 à 24 mois


E. Aspirine 3g/j pendant 2-3 semaines
E

CAT DEVANT UN NODULE THYROÏDIEN


56. Les facteurs favorisant le développement des nodules (nodulo genèse) sont :
A. TSHus
B. Carence iodée
C. Thiocyanates
D. Grossesse
E. Choux
ABCDE
57. donnez la ou les examens à réaliser en première intention lors de la découverte d'un
nodule thyroïdien à la palpation :
A. Le dosage des auto-anticorps anti TP
B. Le dosage de la TSHus
C. Scintigraphie thyroïdienne
D. Echographie thyroïdienne
E. Cytoponction thyroïdienne
BD
58. A quel diagnostic vous pensez devant l'apparition brutale d'un nodule douloureux isolé,
sans fièvre, ni dysthyroïdie ou adénopathies ?
A. Thyroïdite subaiguë
B. Cancer de la thyroïde
C. Nodule toxique
D. Hématocèle
E. Thyroïdite lymphocytaire
D
59. Le cancer thyroïdien est suspecté devant :
A. La présence de nodule ancien de consistance molle
B. La présence de micro calcifications
C. Absence de diarrhées motrices
D. Les antécédents personnels d'irradiation cervicale
E. La présence d'hyper vascularisation intra nodulaire
BDE
60. Les arguments échographiques de malignité d'un nodule thyroïdien :
A. Caractère kystique
B. Présence de micro calcifications isolés
C. L'aspect hyperéchogène du nodule
D. L'aspect hypoéchogène du nodule
E. L'absence d'halo périphérique complet hypoéchogène
DE
61. Quels sont les arguments échographiques faisant suspecter un cancer thyroïdien ?
A. Nodule solide hypoéchogène
B. Contours réguliers et rets
C. Macro calcifications

2019/2020 52
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D. Hyper vascularisation intra nodulaire


E. Coexistence d'adénopathies
ADE
62. Les critères échographiques prédictifs de malignité d'un nodule thyroïdien sont :
A. Nodule Hypoéchogène
B. Présence de micro calcifications centrales
C. Limites festonnées du nodule
D. Vascularisation intra nodulaire (centrale)
E. Caractère liquide du nodule
ABCD
63. Les critères échographiques prédictifs de malignité d'un nodule thyroïdien sont :
A. Nodule Hyperéchogène
B. Présence de Micro calcifications centrales
C. Limites festonnées du nodule
D. Vascularisation intra nodulaire (centrale)
E. Caractère liquide du nodule
BCD
64. Quel est le diagnostic le plus probable à évoquer devant cet aspect scintigraphie ?
A. Un adénome toxique
B. Un nodule chaud
C. Un nodule froid
D. Un nodule tiède
E. Un nodule froid toxique
C
65. Une scintigraphie thyroïdienne au technétium effectuée chez une patiente ayant un
goitre nodulaire (plusieurs nodules à l'échographie) révèle des zones hyperfixantes
correspondante aux nodules décrits et le reste de la glande thyroïde présente une fixation
faible, le bilan thyroïdien est normal. A quel diagnostic pensez-vous ?
A. Adénomes toxiques
B. Goitre multinodulaire toxique
C. Goitre multinodulaire pré toxique
D. Goitre multihétéronodulaire pré toxique
E. Goitre basedowien
C
66. La scintigraphie thyroïdienne d'un nodule thyroïdien lobaire supérieur droit de 3cm,
retrouve une zone d'hyperfixation droite se projetant sur la zone du nodule palpé, le reste de
la glande fixe peu le traceur. Quel est votre diagnostic scintigraphie ?
A. Nodule chaud extinctif
B. Nodule froid
C. Nodule pré-toxique
D. Nodule toxique
E. Scintigraphie blanche
A
67. Dans quelles situations on doit opérer un nodule thyroïdien ?
A. S’il est malin ou suspect à la cytoponction
B. S’il est plongeant

2019/2020 53
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C. S'il y a une géne esthétique


D. S'il est liquide et Hyperéchogène à l'échographie
E. S'il augmente rapidement de volume
ABCE
68. Quelle est votre conduite à tenir chez un patient de 25 ans, sans antécédents particuliers,
en euthyroidie clinique et biologique qui présente un nodule thyroïdien de 8 cm de nature
kystique en totalité, bien limité, avasculaire, sans calcifications et ce, salon les derniers
recommandations de L’Americain Thyroid Association (ATA) de 2016 ?
A. Réaliser une cytoponction évacuatrice du nodule thyroïdien
B. La ponction n'est sas indiquée dans ce cas
C. Réaliser une scintigraphie thyroïdienne
D. Compléter par le dosage du marqueur tumoral : la thyroglobuline(Tg)
E. Compléter par le dosage des Anticorps anti Tg
B
CLINIQUE

1. Monsieur Kamel âgé de 67 ans, sans antécédents pathologiques particuliers, consulte


pour une masse basi-cervicale à prédominance droite visible à l'extension du cou évoluant
depuis des années. Le bilan hormonal retrouve une TSH à 0.1 µu/ml (normes 0.2- 4), une F-
T4 à 14.5 pmol/l (normes 9-19). L'échographie retrouve une thyroïde de 32 ml de volume,
hétérogène par la présence de 2 nodules : N1 médio-lobaire droit de 1.6x1.4x1.2 cm,
homogène, faiblement hypoéchogène, à contours réguliers, bien limité, N2 basi-lobaire droit
de 2.3x2.1x2.2 cm d'aspect spongiforme. La radiographie du thorax retrouve une légère
déviation à gauche de la trachée.

1- Il s'agit de :
A. Un goitre multi-nodulaire toxique
B. Un goitre plongeant
C. Un goitre multi-nodulaire stade 1b de l'oms
D. Un goitre multi-nodulaire stade 1a de l'oms
E. Un goitre multi-nodulaire stade 2 de l'oms

2- Les nodules sont classés :

A. N1 : Eu-TIRADS 5, N2 : Eu-TIRADS 3
B. N1 : Bethesda 4, N2 : Bethesda 2
C. N1 : Eu-TIRADS 4, N2 : Eu-TIRADS 2
D. N1 : Eu-TIRADS 3, N2 : Eu-TIRADS 2
E. N1 : stade 0 de l'oms, N2 : stade 1 de l'oms

3- Quels autres signes cherchez-vous devant ce tableau ?

A. Thermophobie
B. Frilosité
C. Dysphonie
D. Myxœdème cutanéomuqueux
E. Adénopathies cervicales

4- Quelles explorations complémentaires demandez-vous ?

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A. Thyroglobuline
B. Scintigraphie thyroïdienne
C. Cytoponction de N2
D. Pet-Scan
E. Cytoponction de N1

5- Le nodule thyroïdien est fortement suspect de malignité devant :

A. Une cytologie classée Bethesda IV


B. Une augmentation de son volume, durant son suivi de plus de 20%
C. Un adulte jeune de sexe féminin
D. Une mutation du gène RET
E. La présence d'une hyperthyroïdie

1 2 3 4 5
ANNULEE C ACE BE BD

2. Une femme âgée de 45 ans, originaire de Jijel, célibataire, consulte en médecine générale
devant l'apparition depuis un mois d'une tuméfaction basi-cervicale.
A l'examen clinique vous retrouvez une patiente très anxieuse, son regard est tragique. Elle a
les mains moites et une tachycardie à 110 battements réguliers/mn ; son IMC est à 18 kg/m2,
et a perdu 10 kg en un mois. La tuméfaction basi-cervicale est visible à distance et palpable,
mobile avec les mouvements de déglutition, homogène, frémissante à la palpation, sans
adénopathies cervicales et sans dysphonie, dysphagie ni dyspnée.

1- Cette tuméfaction basi-cervicale est bien un goitre :

A. Simple
B. Stade 1 selon la classification simplifiée de l'oms
C. Vasculaire
D. Compressif
E. Nodulaire

2- Quels sont les facteurs environnementaux incriminés dans la goitrigénèse ?

A. La carence iodée
B. La carence en sélénium
C. La carence en œstrogènes
D. La consommation de certains aliments contenant les thiocyanates
E. La consommation de sel iodé

3- Selon l'énoncé, vous suspectez quelle thyropathie chez cette patiente ?

A. Adénome thyréotrope
B. Hyperemesis gravidarum
C. Thyroïdite de De Quervain
D. Maladie de Graves
E. Nodule toxique

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4- Précisez les propositions justes parmi les suivantes concernant cette thyropathie que vous avez
suspecté :

A. Le dosage des Ac antiTPO est indispensable pour confirmer ce diagnostic


B. Le dosage des Ac anti récepteurs de la TSH permet le suivi et aide au choix thérapeutique
C. Une scintigraphie thyroïdienne est indispensable pour la confirmation diagnostique
D. La cytoponction est nécessaire dans le cas de cette patiente
E. L'hypertrophie des muscles rétro-orbitaires peut être visualisée à la TDM en cas d'exophtalmie

5- Vous avez confirmé cette pathologie par les explorations nécessaires. Le bilan de retentissement
est revenu sans anomalies. Le choix thérapeutique de la patiente s'est porté sur les antithyroïdiens
de synthèse. Précisez les propositions justes concernant ce choix :

A. Le schéma "Block and Replace" est meilleur, encouragé et privilégié


B. Le schéma "block and Replace" présente plus d'effets secondaires que le schéma de titration
C. La durée totale du traitement est de 18 à 24 mois
D. La TSH de contrôle est demandée chaque 2 mois si le schéma de titration est adopté, et chaque 4
mois si schéma "Block and Replace"
E. Un nombre de polynucléaires neutrophiles 1200 éléments/mm3 impose l'arrêt définitif de la prise de
tout antithyroïdien de synthèse

1 2 3 4 5
C ABD D BE BD

3. Melle A.S. âgée de 25 ans, sans antécédents particuliers, se présente en consultation de


médecine générale pour amaigrissement spontané de 10 Kg en 4 mois avec une accélération
du transit à raison de 4 selles/jours. La patiente était anxieuse, tachycarde, les mains
trompées de sueurs. Elle présentait aussi une exophtalmie acquise bilatérale avec un goitre
homogène grade 1 vasculaire.

1- Ce tableau clinique vous oriente vers quel diagnostic ?

A. Intoxication iodée
B. Thyroïdite d'Hashimoto
C. Maladie de Basedow
D. Hyperthyroïdie factice
E. Thyroïdite de De Quervain

2- Donnez les caractéristiques cliniques pathognomoniques qui vous ont orienté vers ce diagnostic :

A. Amaigrissement spontané
B. Accélération du transit
C. Mains trempées de sueurs
D. Exophtalmie acquise
E. Goitre homogène vasculaire

3- Précisez 02 bilans biologiques vous permettant de confirmer votre suspicion clinique :

A. TSH
B. Iodurie
C. Thyroglobuline

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D. Ac antiTPO
E. Ac anti récepteurs TSH

4- En réalisant ces bilans, vous avez confirmé le diagnostic suspecté. Cependant, un collègue à
vous, vous propose de réaliser une scintigraphie thyroïdienne. Que pensez-vous de cette indication
?

A. La scintigraphie thyroïdienne n'est pas justifiée dans le cas de cette patiente


B. L'indication de la scintigraphie thyroïdienne est justifiée devant tout goitre multinodulaire
C. La scintigraphie est contre Indiquée chez Melle A.S. car clle est en âge de procréer
D. La scintigraphie est Indiquée en cas de TSH basse et présence de nodule thyroïdien
E. La scintigraphie est indiquée principalement en cas de TSH basse et présence de nodule thyroïdien
F. La scintigraphie est indiquée principalement en cas de suspicion d'hyperthyroïdie

5- A la fin de votre consultation, vous délivrez une ordonnance à Melle AS qui refuse tout autre
moyen thérapeutique que la prescription médicale. Précisez les réponses justes parmi les
propositions suivantes concernant votre prescription :

A. Le traitement médical repose sur du Carbimazole à faible dose, prescrit pendant 2 mois
B. On prescrit du Levothyrox 100 µg/J, durée totale du traitement 18-24 mois
C. On prescrit Carbimazole (45 mg/j), pendant 1-2 mois puis on diminue progressivement pour couvrir
18 mois
D. Le traitement est à base d'Aspirine 3g/j ou un autre anti-inflammatoire pendant 2-3 semaines
E. La surveillance du traitement repose sur les dosages biologiques TSH +/- FT4 et la NFS

1 2 3 4 5
C DE AE AD CE

4. Mme BA âgée de 35 ans, sans antécédents particuliers, vient d'accoucher il ya 5 mois, et se


présente en consultation de médecine générale pour amaigrissement spontané de 5 kg depuis
son accouchement en vous précisant qu'elle n'a allaité son bébé que pendant 15 jours. Elle se
plaint aussi de palpitations et une accélération du transit à raison de 2 selles
liquidiennes/jours. A l'examen clinique, vous retrouvez un goitre homogène grade 1 isolé sans
autres signes cliniques, et en poussant l'interrogatoire, elle vous rapporte la notion de même
épisode après les 2 accouchements précédents disparaissent spontanément après plusieurs
mois.

1- Ce tableau clinique vous oriente en particuliers vers quel diagnostic ?

A. Maladie de Basedow
B. Thyroïdite du post partum
C. Hyperemesis gravidarum
D. Hypersensibilité à l’hcg des récepteurs de la TSH
E. Thyroïdite de De Quervain

2- Préciser les bilans biologiques vous permettant de confirmer votre suspicion clinique :

A. VS
B. B HCG
C. TSH

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D. Ac antiTPO
E. Ac anti récepteurs TSH

3- Vous délivrez votre ordonnance à la patiente et vous lui donnez un rdv dans quelques jours afin
de compléter votre prise en charge. Elle revient alors accompagnée de sa sœur de 20 ans qui
présente des signes cliniques ressemblant aux mêmes signes qu'elle fait : amaigrissement de 6 kg
en 3 mois, tachycardie, diarrhées avec asthénie intense, sans exophtalmie ni goitre. Ce tableau
clinique n'a pas été précédé par des prodromes particuliers.
Elle vous précise, par ailleurs, que cette sœur avait un BMI à 20 kg/m2 avant apparition de ces
signes, et pourtant elle était très inquiète par rapport à sa silhouette qu'elle qualifiait de "ronde".
Vous demandez un bilan biologique de première intention qui revient comme suit : Glycémie à jeun =
1,16 g/l (valeurs normales : 0,7-1 gr /L), FT4 = 25,5 pmol/L (VN = 9-19 pmol/), TSH = 0,16 µUI/ml (VN =
0,35-4.94 µUI/ml) cortisolémie à 185 ng/ml (VN = 50-130).
Interprétez le bilan biologique que vous avez entre les mains :

A. Elle présente un diabète sucré


B. Elle présente une anomalie de la tolérance glucosée
C. Elle a une hyperthyroïdie
D. Elle a une hypothyroïdie
E. Elle a un hypercorticisme

4- Vous suspectez tout particulièrement un diagnostic, mais devant la non disponibilité du dosage
biologique le econtirmont, Vous décidez de réaliser une scintigraphie thyroïdienne dont voici les
résultats. Donnez l'interprétation de cette scintigraphie : ***

A. Fixation hétérogène
B. Nodule chaud
C. Nodule froid
D. Scintigraphie blanche
E. Hyperfixation diffuse

5- Précisez les étiologies pouvant être à l'origine de cet aspect scintigraphique:

A. Intoxication iodée
B. Nodule toxique
C. Maladie de Basedow
D. Hyperthyroïdie factice
E. Thyroïdite de De Quervain

6- Devant ce tableau clinique, biologique et scintigraphique, vous suspectez une étiologie bien
précise. Quels sont les bilans biologiques que vous allez demander pour confirmer ce diagnostic ?

A. Thyrocalcitonine
B. Thyroglobuline
C. Iodurie
D. Ac anti récepteurs de la TSH
E. Ac anti Thyroglobuline

7- Ces dosages biologiques sont aussi indiqués dans une autre pathologie, laquelle ?

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A. Maladies inflammatoires
B. Maladies auto-immunes
C. Hypothyroïdie congénitale
D. Carcinome médullaire de la thyroïde
E. Carence iodée

1 2 3 4 5 6 7
B CD BC D ADE BE C
5. Mme DZ, âgée de 43 ans, consulte pour une prise récente de 4 Kg de poids, sans
modifications de ses habitudes alimentaires, et pour une asthénie. Elle pèse 69 Kg pour 1,60
m. Ses antécédents personnels sont limitée à un vitiligo. Elle ne prend aucun traitement ;

1- A l'examen clinique, quel sont les signes qui orienteront le diagnostic d'hypothyroïdie ?

A. Une tachycardie
B. Une érythrose faciale
C. Un hirsutisme
D. Un oedème palpébral
E. Des cheveux fins et secs

2- Les données suscitées vous permettent d'évoquer une étiologie avant tout, laquelle ?

A. Une surcharge iodée


B. Une thyroïdite du post partum
C. Une thyroïdite de Hashimoto
D. Une Athyréose
E. Une thyroïdite subaigüe de De Quervain

3- Dans cette hypothèse (la réponse choisie à la question 02), la thyroïde est habituellement :

A. Normale
B. Ferme et hétérogène
C. Très volumineuse
D. Vasculaire
E. Souvent blanche en scintigraphie

4- l'examen vous permettant d'affirmer cette étiologie est :

A. Le dosage de l'iodurie des 24 heures


B. Le dosage des anticorps antithyroïdiens
C. Le dosage de la thyroglobuline
D. L'échographie
E. Le dosage des anticorps anti-T3

5- Chez cette patiente sans antécédent médical, la suspicion clinique d'hypothyroïdie nécessite en
première intention :

A. Le dosage de la tshus
B. Un dosage de l'iodurie des 24 heures
C. Une échographie thyroïdienne

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D. Une scintigraphie thyroïdienne


E. Un dosage des anticorps antithyroïdiens

1 2 3 4 5
DE C B B A

6. MK âgée de 26 ans, sans antécédents particuliers vient consulter pour perte de poids. Elle
est devenue constamment anxieuse et rapporte la notion de mains moites et de sueurs au
repos depuis quelques semaines. Son médecin constate qu'elle a perdu 8 kg spontanément.
À l'auscultation, sa FC est de 120 hpm, rythme cardiaque régulier, une TA à 12/08, des
réflexes ostéotendineux vifs, et un goitre palpable et visible homogène associé à une légère
exophtalmie.

1- Quel diagnostic suspectez-vous et qui est probablement responsable de la symptomatologie de la


patiente ?

A. Anémie
B. Hyperthyroïdie
C. Septicémie
D. Insuffisance mitrale
E. Maladie coeliaque

2- Quel est le diagnostic étiologique le plus probable chez la patiente ?

A. Maladie de basedow
B. Thyroïdite d'Hashimoto
C. Thyroïdite subaigüe de De Quervain
D. Nodule toxique
E. Un goitre multi nodulaire toxique

3- La triade clinique caractéristique de la maladie de basedow comporte :

A. Goitre
B. Thyrotoxicose
C. Exophtalmie
D. Amaigrissement
E. Tachycardie

4- Le traitement symptomatique de la patiente peut comporter :

A. Anxiolytique
B. Beta Bloquant
C. Un diurétique de l'anse
D. Une antibiothérapie
E. Un anticoagulant

5- Le traitement à visée étiologique chez la patiente comporte plusieurs options thérapeutiques, les
quels ?

A. Un traitement par anti thyroïdien de 12 à 18 mois

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B. Une hémi thyroïdectomie


C. Une lrathérapie
D. Une radiothérapie
E. Traitement par lugol (iode)

1 2 3 4 5
B A ABC AB AC

7. Madame D, âgée de 43 ans, consulte pour une prise de poids récente de 4 kg sans
modification de ses habitudes alimentaires, et pour une asthénie. Elle pèse 65 kg pour 1,60m.
Ses antécédents sont limités à un vertige. Elle ne prend aucun traitement.

1- A l'examen clinique, quels sont les signes qui vous orientent vers le diagnostic d'hypothyroïdie ?

A. Une tachycardie
B. Une érythrose faciale
C. Un hirsutisme
D. Un œdème palpébral !
E. Des cheveux fins et secs

2- Les données citées ci-dessus permettent d'évoquer une étiologie avant tout, laquelle ?

A. Un cancer thyroïdien
B. Une thyroïdite du post partum
C. Une thyroïdite de Hashimoto
D. Une agénésie thyroïdienne
E. Une thyroïdite subaiguë de De Quervain

3- Dans cette hypothèse (évoquée dans la question 02, la thyroïde est habituellement :

A. Normale
B. Ferme et hétérogène
C. Très volumineuse
D. Vasculaire
E. Blanche en scintigraphie

4- l'examen vous permettant d'affirmer cette étiologie est :

A. Le dosage de la thyrocalcitonine
B. Le dosage des anticorps antithyroïdiens
C. Le dosage de la thyroglobuline
D. L'échographie
E. La scintigraphie

5- Les modalités de traitement de cette pathologie sont :

A. L-Thyroxine sous forme de gouttes en milieu hospitalier


B. Thyroxine en comprimés à augmenter progressivement
C. Carbimazole
D. La chirurgie
E. L'iode 131: Irathérapie

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1 2 3 4 5
DE C B B B

8. Mademoiselle D. Agée de 23 ans est amenée à contrecœur en consultation


d'endocrinologie par sa mère qui est suivie dans la même consultation pour une thyroïdite de
Hashimoto. Vous serrez la main de la jeune fille et vous trouvez qu'elle est chaude et moite.
Mademoiselle D. A commencé voilà trois mois un régime, mais sa mère trouve qu'il n'est pas
normal qu'elle ait perdu 12 kg si rapidement et qu'elle consomme beaucoup d'eau. De plus,
toujours d'après la maman, la patiente serait insomniaque, nerveuse, irritable et son regard
est inquiétant (impression que ses yeux sortent) et malgré cela, elle continue à assurer
convenablement son activité professionnelle (technicienne en informatique nouvellement
diplômée).

1- Quels sont les diagnostics les plus fréquents à évoquer en premier lieu ?

A. Une anorexie mentale


B. Un état d'agitation
C. Une hyperthyroïdie
D. Un diabète sucré de type 1
E. Un diabète insipide

2- Quels sont les bilans de première intention à demander afin d'orienter le diagnostic?

A. FT3, FT4 et TSH


B. TSH
C. Glycémie veineuse
D. Glycémie capillaire
E. Une densité urinaire

3- Devant les simples éléments cliniques dont vous disposez, quel serait selon vous le diagnostic le
plus probable à évoquer en premier lieu?

A. Une anorexie mentale


B. Un état d'agitation
C. Une hyperthyroïdie
D. Un diabète sucré de type 1
E. Un diabète insipide

4- Si on retenait le diagnostic d'un diabète de type 1, quelle serait le bilan à demander pour sa
confirmation ?

A. Hba1c
B. 2ème Glycémies à jeun
C. 2ème glycémies à jeun + hba1c
D. Glycémie à jeun + hba1c + anticorps anti GAD
E. 2ème glycémie à jeun + hba1c + anticorps anti îlots de Langerhans

5- Quel serait selon vous l'étiologie la plus probable responsable de ce tableau clinique et qui serait
à évoquer en premier lieu ?

A. Un diabète de type 1

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B. Une maladie de Basedow


C. Une dépression nerveuse
D. Une potomanie
E. Un diabète insipide

1 2 3 4 5
CD BC C B B

9. MK âgée de 26 ans, sans antécédents particuliers vient consulter pour perte de poids. Elle
est devenue constamment anxieuse et rapporte la notion de mains moites et de sueurs au
repos depuis quelques semaines. Son médecin constate qu'elle a perdu 8 kg spontanément.
À l'auscultation, sa FC est de 120 bpm, rythme cardiaque régulier, une TA à 12/08, des
réflexes ostéotendineux vifs, et un goitre palpable et visible homogène associé à une légère
exophtalmie.

1- Quel diagnostic suspectez-vous et qui est probablement responsable de la symptomatologie de la


patiente ?

A. Anémie
B. Hyperthyroïdie
C. Septicémie
D. Insuffisance mitrale
E. Maladie cœliaque

2- Quel est le diagnostic étiologique le plus probable chez la patiente ?

A. Maladie de basedow
B. Thyroïdite d'Hashimoto
C. Thyroïdite subaigüe de De Quervain
D. Nodule toxique
E. Un goitre multi nodulaire toxique

3- La triade clinique caractéristique de la maladie de basedow comporte :

A. Goitre
B. Thyrotoxicose
C. Exophtalmie
D. Amaigrissement
E. Tachycardie

4- Le traitement symptomatique de la patiente peut comporter :

A. Anxiolytique
B. Beta Bloquant
C. Un diurétique de l'anse
D. Une antibiothérapie
E. Un anticoagulant

5- Le traitement à visée étiologique chez la patiente comporte plusieurs options thérapeutiques, les
quels ?

A. Un traitement par anti thyroïdien de 12 à 18 mois


B. Une hémi thyroïdectomie
C. Une lrathérapie
D. Une radiothérapie
E. Traitement par lugol (iode)

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B A ABC AB AC

10. Melle A.S. âgée de 25 ans, sans antécédents particuliers, se présente en consultation de
médecine générale pour amaigrissement spontané de 10 Kg en 4 mois avec une accélération
du transit à raison de 4 selles/jours. La patiente était anxieuse, tachycarde, les mains
trompées de sueurs. Elle présentait aussi une exophtalmie acquise bilatérale avec un goitre
homogène grade 1 vasculaire.

1- Ce tableau clinique vous oriente vers quel diagnostic ?

A. Intoxication iodée
B. Thyroïdite d'Hashimoto
C. Maladie de Basedow
D. Hyperthyroïdie factice
E. Thyroïdite de De Quervain

2- Donnez les caractéristiques cliniques pathognomoniques qui vous ont orienté vers ce diagnostic:

A. Amaigrissement spontané
B. Accélération du transit
C. Mains trempées de sueurs
D. Exophtalmie acquise
E. Goitre homogène vasculaire

3- Précisez 02 bilans biologiques vous permettant de confirmer votre suspicion clinique:

A. TSH
B. Iodurie
C. Thyroglobuline
D. Ac antitpo
E. Ac anti récepteurs TSH

4- En réalisant ces bilans, vous avez confirmé le diagnostic suspecté. Cependant, un collègue à vous,
vous propose de réaliser une scintigraphie thyroïdienne. Que pensez-vous de cette indication?

A. La scintigraphie thyroïdienne n'est pas justifiée dans le cas de cette patiente


B. L'indication de la scintigraphie thyroïdienne est justifiée devant tout goitre multinodulaire
C. La scintigraphie est contre Indiquée chez Melle A.S. car clle est en âge de procréer
D. La scintigraphie est Indiquée en cas de TSH basse et présence de nodule thyroïdien
E. La scintigraphie est indiquée principalement en cas de TSH basse et présence de nodule
thyroïdien
F. La scintigraphie est indiquée principalement en cas de suspicion d'hyperthyroïdie

5- A la fin de votre consultation, vous délivrez une ordonnance à Melle AS qui refuse tout autre moyen
thérapeutique que la prescription médicale. Précisez les réponses justes parmi les propositions
suivantes concernant votre prescription:

A. Le traitement médical repose sur du Carbimazole à faible dose, prescrit pendant 2 mois
B. On prescrit du Levothyrox 100 µg/J, durée totale du traitement 18-24 mois
C. On prescrit Carbimazole (45 mg/j), pendant 1-2 mois puis on diminue progressivement pour
couvrir 18 mois
D. Le traitement est à base d'Aspirine 3g/j ou un autre anti-inflammatoire pendant 2-3 semaines
E. La surveillance du traitement repose sur les dosages biologiques TSH +/- FT4 et la NFS

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C DE AE AD CE

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11. Mme BA âgée de 35 ans, sans antécédents particuliers, vient d'accoucher il ya 5 mois, et
se présente en consultation de médecine générale pour amaigrissement spontané de 5 kg
depuis son accouchement en vous précisant qu'elle n'a allaité son bébé que pendant 15 jours.
Elle se plaint aussi de palpitations et une accélération du transit à raison de 2 selles
liquidiennes/jours.
A l'examen clinique, vous retrouvez un goitre homogène grade 1 isolé sans autres signes
cliniques, et en poussant l'interrogatoire, elle vous rapporte la notion de même épisode après
les 2 accouchements précédents disparaissent spontanément après plusieurs mois.

1- Ce tableau clinique vous oriente en particuliers vers quel diagnostic ?

A. Maladie de Basedow
B. Thyroïdite du post partum
C. Hyperemesis gravidarum
D. Hypersensibilité à l’hcg des récepteurs de la TSH
E. Thyroïdite de De Quervain

2- Préciser les bilans biologiques vous permettant de confirmer votre suspicion clinique :

A. VS
B. B HCG
C. TSH
D. Ac antitpo
E. Ac anti récepteurs TSH

3- Vous délivrez votre ordonnance à la patiente et vous lui donnez un rdv dans quelques jours afin de
compléter votre prise en charge. Elle revient alors accompagnée de sa seur de 20 ans qui présente
des signes cliniques ressemblant aux mêmes signes qu'elle fait : amaigrissement de 6 kg en 3 mois,
tachycardie, diarrhées avec asthénie intense, sans exophtalmie ni goitre. Ce tableau clinique n'a pas
été précédé par des prodromes particuliers. Elle vous précise, par ailleurs, que cette seur avait un BMI
à 20 kg/m2 avant apparition de ces signes, et pourtant elle était très inquiète par rapport à sa silhouette
qu'elle qualifiait de "ronde".
Vous demandez un bilan biologique de première intention qui revient comme suit : Glycémie à jeun =
1,16 g/l (valeurs normales : 0,7-1 gr /L), FT4 = 25,5 pmol/L (VN = 9-19 pmol/), TSH = 0,16 µui/ml (VN =
0,35-4.94 µui/ml) cortisolémie à 185 ng/ml (VN = 50-130). Interprétez le bilan biologique que vous avez
entre les mains :

A. Elle présente un diabète sucré


B. Elle présente une anomalie de la tolérance glucosée
C. Elle a une hyperthyroidie
D. Elle a une hypothyroïdie
E. Elle a un hypercorticisme

4- Vous suspectez tout particulièrement un diagnostic, mais devant la non disponibilité du dosage
biologique le econtirmont, Vous décidez de réaliser une scintigraphie thyroïdienne dont voici les
résultats. Donnez l'interprétation de cette scintigraphie :

A. Fixation hétérogène
B. Nodule chaud
C. Nodule froid
D. Scintigraphie blanche
E. Hyperfixation diffuse

5- Précisez les étiologies pouvant être à l'origine de cet aspect scintigraphique:

A. Intoxication iodée
B. Nodule toxique
C. Maladie de Basedow
D. Hyperthyroïdie factice
E. Thyroïdite de De Quervain

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6- Devant ce tableau clinique, biologique et scintigraphique, vous suspectez une étiologie bien précise.
Quels sont les bilans biologiques que vous allez demander pour confirmer ce diagnostic ?

A. Thyrocalcitonine
B. Thyroglobuline
C. Iodurie
D. Ac anti récepteurs de la TSH
E. Ac anti Thyroglobuline

7- Ces dosages biologiques sont aussi indiqués dans une autre pathologie, laquelle?

A. Maladies inflammatoires
B. Maladies auto-immunes
C. Hypothyroïdie congénitale
D. Carcinome médullaire de la thyroïde
E. Carence iodée

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B CD BC D ADE BE C
12. Mme DZ, âgée de 43 ans, consulte pour une prise récente de 4 Kg de poids, sans
modifications de ses habitudes alimentaires, et pour une asthénie. Elle pèse 69 Kg pour 1,60
m. Ses antécédents personnels sont limitée à un vitiligo. Elle ne prend aucun traitement ;

1- A l'examen clinique, quel sont les signes qui orienteront le diagnostic d'hypothyroïdie?

A. Une tachycardie
B. Une érythrose faciale
C. Un hirsutisme
D. Un oedème palpébral
E. Des cheveux fins et secs

2- Les données sus citées vous permettent d'évoquer une étiologie avant tout, laquelle?

A. Une surcharge iodée


B. Une thyroïdite du post partum
C. Une thyroïdite de Hashimoto
D. Une Athyréose
E. Une thyroïdite subaigüe de De Quervain

3- Dans cette hypothèse (la réponse choisie à la question 02), la thyroïde est habituellement

A. Normale
B. Ferme et hétérogène
C. Très volumineuse
D. Vasculaire
E. Souvent blanche en scintigraphie

4- l'examen vous permettant d'affirmer cette étiologie est :

A. Le dosage de l'iodurie des 24 heures


B. Le dosage des anticorps antithyroïdiens
C. Le dosage de la thyroglobuline
D. L'échographie
E. Le dosage des anticorps anti-T3

5- Chez cette patiente sans antécédent médical, la suspicion clinique d'hypothyroïdie nécessite en
première intention :

A. Le dosage de la tshus
B. Un dosage de l'iodurie des 24 heures

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C. Une échographie thyroïdienne


D. Une scintigraphie thyroïdienne
E. Un dosage des anticorps antithyroïdiens

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DE C B B A
13. Madame D, âgée de 43 ans, consulte pour une prise de poids récente de 4 kg sans
modification de ses habitudes alimentaires, et pour une asthénie. Elle pèse 65 kg pour 1,60m.
Ses antécédents sont limités à un vertige. Elle ne prend aucun traitement.

1- A l'examen clinique, quels sont les signes qui vous orientent vers le diagnostic d'hypothyroïdie ?

A. Une tachycardie
B. Une érythrose faciale
C. Un hirsutisme
D. Un oedème palpébral
E. Des cheveux fins et secs

2- Les données citées ci-dessus permettent d'évoquer une étiologie avant tout, laquelle ?

A. Un cancer thyroïdien
B. Une thyroïdite du post partum
C. Une thyroïdite de Hashimoto
D. Une agénésie thyroïdienne
E. Une thyroïdite subaiguë de De Quervain

3- Dans cette hypothèse (evoquée dans la questlon 02, la thyroïde est habituellement :

A. Normale
B. Ferme et hétérogène
C. Très volumineuse
D. Vasculaire
E. Blanche en scintigraphie

4- l'examen vous permettant d'affirmer cette étiologie est :

A. Le dosage de la thyrocalcitonine
B. Le dosage des anticorps antithyroïdiens
C. Le dosage de la thyroglobuline
D. L'échographie
E. La scintigraphie

5- Les modalités de traitement de cette pathologie sont :

A. L-Thyroxine sous forme de gouttes en milieu hospitalier


B. Thyroxine en comprimés à augmenter progressivement
C. Carbimazole
D. La chirurgie
E. L'iode 131 : iratherapie

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DE C B B B

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14. Mademoiselle D. Agée de 23 ans est amenée à contrecœur en consultation


d'endocrinologie par sa mère qui est suivie dans la même consultation pour une thyroïdite de
Hashimoto. Vous serrez la main de la jeune fille et vous trouvez qu'elle est chaude et moite.
Mademoiselle D. A commencé voilà trois mois un régime, mais sa mère trouve qu'il n'est pas
normal qu'elle ait perdu 12 kg si rapidement et qu'elle consomme beaucoup d'eau. De plus,
toujours d'après la maman, la patiente serait insomniaque, nerveuse, irritable et son regard
est inquiétant (impression que ses yeux sortent) et malgré cela, elle continue à assurer
convenablement son activité professionnelle (technicienne en informatique nouvellement
diplômée).

1- Quels sont les diagnostics les plus fréquents à évoquer en premier lieu ?

A. Une anorexie mentale


B. Un état d'agitation
C. Une hyperthyroïdie
D. Un diabète sucré de type 1
E. Un diabète insipide

2- Quels sont les bilans de première intention à demander afin d'orienter le diagnostic ?

A. FT3, FT4 et TSH


B. TSH
C. Glycémie veineuse
D. Glycémie capillaire
E. Une densité urinaire

3- Devant les simples éléments cliniques dont vous disposez, quel serait selon vous le diagnostic le
plus probable à évoquer en premier lieu ?

A. Une anorexie mentale


B. Un état d'agitation
C. Une hyperthyroïdie
D. Un diabète sucré de type 1
E. Un diabète insipide

4- Si on retenait le diagnostic d'un diabète de type 1, quelle serait le bilan à demander pour sa
confirmation ?

A. Hba1c
B. 2ème Glycémies à jeun
C. 2ème glycémies à jeun + hba1c
D. Glycémie à jeun + hba1c + anticorps anti GAD
E. 2ème glycémie à jeun + hba1c + anticorps anti îlots de Langerhans

5- Quel serait selon vous l'étiologie la plus probable responsable de ce tableau clinique et qui serait à
évoquer en premier lieu ?

A. Un diabète de type 1
B. Une maladie de Basedow
C. Une dépression nerveuse
D. Une potomanie
E. Un diabète insipide

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CD BC C B B

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4. LES PARATHYROIDES

"Le moment présent a un avantage sur


tous les autres : il nous appartient.
~Charles Caleb Colton

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HYPOPARATHYROÏDIE

1. L'hypocalcémie peut se manifester par les signes suivants :


A. Des ongles striés et cassants, peau sèche, cheveux fins et secs.
B. Une cataracte sous-capsulaire antérieure ou postérieure, épargnant le noyau central du cristallin.
C. Raccourcissement de l'espace QT
D. Hypoplasie et altération de l'émail dentaire qui est dépoli et strie.
E. Hyperexcitabilité neuromusculaire.
ABDE

1. Parmi les situations cliniques suivantes cochez celles qui s'accompagnent d'une hypocalcémie :
A. L'hypoparathyroïdie
B. L'hyperparathyroïdie
C. L'hypovitaminose D
D. La pancréatite aigue
E. L'insuffisance rénale chronique
ACDE

2. Les principales étiologies des hypocalcémies :


A. Syndrome de malabsorption intestinale des lipides.
B. Intoxication à la vitamine D.
C. Hyperparathyroïdie secondaire.
D. Rachitisme vitamino-dépendant de type Il.
E. Traitement prolongé par les inducteurs enzymatiques.
ADE

3. Les principales étiologies des hypocalcémies :


A. Hypoparathyroïdie primaire.
B. Intoxication à la vitamine D.
C. Défaut d'hydroxylation rénale en 1,25 vitD.
D. Rachitisme vitaminodépendant de type II.
E. Insuffisance hépatique.
ACDE

2. le traitement de l'hypocalcémie peut faire appel à :


A. Vitamine D.
B. Anti convulsivants,
C. Gluconate de calcium.
D. Transfusion en sang contenant des citrates
E. Parathyroidectornie.
AC

HYPERPARATHYROÏDIE
3. Tous ces signes peuvent être observés au cours de l'hyperparathyroïdie primaire sauf une laquelle ?
A. Néphrocalcinose
B. Lithiase rénale
C. Fractures
D. Dents de mauvaise qualité
E. Asthénie
D

4. Tous ces éléments sont en faveur d'une hyperparathyroïdie primaire sauf un : lequel ?
A. Epigastralgies et constipation
B. Douleurs osseuses et fractures pathologiques.
C. Aspect radiologique en poivre et sel de la voute crânienne.
D. Une PTH (parathormone) élevée avec une phosphorémie basse.
E. Une calcémie élevée avec une calciurie basse.
E

5. Concernant hyperparathyroïdie primaire ?

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A. Les données de l'examen clinique sont importantes et suffisantes pour confirmer le diagnostic
B. Le bilan phosphocalcique vient compléter les résultats des examens radiologiques
C. Les indications thérapeutiques dépendent des résultats de l'exploration morphologique (écho et scinti a
la MIBI)
D. La chirurgie et le suivi ne sont pas toujours systématiques
E. L'adénome parathyroïdien unique est la cause la plus fréquente
E

4. L'hyperparathyroïdie primaire s'intégrant dans les NEM (neuro endocrinopathies multiples) :


A. Peut être due à des adénomes parathyroidiens multiples.
B. Est toujours due à une hyperplasie des glandes parathyroïdes.
C. Peut s'associer à un prolactinome.
D. Nécessite une enquête familiale.
E. Doit faire rechercher un phéochromocytome.
ACDE

5. Les anomalies biologiques lors de l hyperparathyroidie primaire sont:


A. Une hypercalcémie et hyperphosphatémie.
B. Une hyper calciurie et hyper phosphaturie.
C. Une hypercalcémie et une hypophosphatémie.
D. Une PTH 1-84 élevée ou normale.
E. L'AMPE basse.
BCD

6. Dans l'hyperparathyroïdie primaire avec une fonction rénale normale, le profil biologique typique
associe les éléments suivants) :
A. La phosphorémie est abaissée.
B. Calciurie est augmentée.
C. Les phosphatases alcalines sanguines sont abaissées.
D. Clairance du phosphore est élevée.
E. PTH est élevée.
ABDE

7. En plus de l'hydratation avec du sérum sale physiologique quels sont les autres moyens qui peuvent
être utilisé pour faire baisser la calcémie au cours de l'hyperparathyroïdie primaire ?
A. Furosémide
B. Hydrochlorothiazide
C. Acide Zoledronic (biphosphonate)
D. Hémodialyse
E. Vitamine D active
ACD

8. Vous découvrez chez un patient porteur d'une lithiase rénale récidivante depuis 03 ans, une
calcémie 2,85 mmol/l. Quel doit être votre première hypothèse diagnostique ?
A. Myélome.
B. Cancer secondaire des os.
C. Hyperparathyroïdie primaire.
D. Sarcoidose.
E. Immobilisation prolongée.
C

9. Une dame âgée de 60 ans aux antécédents de micro lithiases rénales bilatérales récidivantes
consulte pour asthénie, douleurs et fatigues musculaires. Le bilan biologique retrouve : créatinine
10mg/1inormes : 6-12), albumine 32 g/l (normes : 35-50), calcémie 104 mg/I (normes : 85-106),
phosphorémie - 23 mg/ (normes : 25-45), PTH 188 pg/ml (normes 15-65), 25 hydroxyvitamine D3 40
ng/ml (normes : 30-80). Selon ces résultats quel est le diagnostic que vous évoquez ?
A. Hyperparathyroïdie primaire
B. Hyperparathyroïdie secondaire
C. Intoxication en vitD
D. Hyperparathyroïdie tertiaire
E. Bilan phosphocalcique correct
A

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10. Concernant La calcémie ionisée :


A. Elle correspond à la fraction de la calcémie liée aux protéines.
B. C'est la fraction biologiquement active.
C. Sa concentration ne dépend pas du pH sanguin.
D. Sa diminution stimule la sécrétion de la PTH.
E. Elle peut être mesurée dans un laboratoire sophistiquée.
BDE

11. Une hypercalcémie peut être secondaire à :


A. Un syndrome néphrotique.
B. Une hyperparathyroïdie.
C. Une immobilisation prolongée.
D. Une intoxication à la vitamine D.
E. Un traitement par la calcitonine.
BCD

12. Parmi les propositions suivantes, le(s) cause(s) possible(s) d'hypercalcémie :


A. Sarcoidose.
B. Hyperparathyroïdie secondaire.
C. Myélome.
D. Cancer secondaire des os.
E. Ostéomalacie.
ACD

13. L'hyper calcémie est provoquée par :


A. La diminution de l'absorption calcique sous l'influence de la vitamine D produite en excès.
B. Une augmentation de l'absorption calcique digestive, une résorption osseuse accrue et une
diminution de l'excrétion rénale du calcium par excès de sécrétion de la PTH.
C. Une augmentation de l'excrétion rénale de calcium, liée à une déshydratation.
D. L'augmentation de l'activité ostéoblastique dans les métastases ostéoblastiques.
E. Une augmentation de la sécrétion de la calcitonine.
B

14. Parmi les médicaments suivants, quels sont ceux pouvant être à l'origine d'une hypercalcémie ?
A. Un alpha hydroxy-vitamine D
B. Vitamine A
C. Metoclopramide
D. Lithlum
E. clomipramine
ABD

15. Le traitement de l'hypercalcémie maligne comporte :


A. Une hyperhydratation.
B. Une augmentation de l'excrétion urinaire du calcium par les diurétiques thiazidiques.
C. Une augmentation de l'excrétion urinaire du calcium par les diurétiques de l'anse.
D. Une corticothérapie.
E. Leş inhibiteurs de la résorption osseuse.

ACDE
16. Le tableau biologique d'une calcémie élevée avec PTH élevée peut se voir en cas :
A. D'hyperparathyroïdie primaire
B. De traitement par sels de lithium chez un patient avec trouble bipolaire
C. L'hypercalcémie familiale bénigne ou syndrome de Marx et Aurbach
D. De carence sévère en vitamine D
E. De syndrome de malabsorption secondaire à une maladie cœliaque.
ABC

17. Quelle est l'étiologie la plus fréquente de l'hyperparathyroidie secondaire ?


A. La maladie cœliaque.
B. L'insuffisance rénale chronique.
C. La maladie de Paget.

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D. Le déficit en vitamine B12.


E. La dysplasie fibreuse.
B

18. L'hyperparathyroïdie peut être due a


A. Un adénome parathyroïdien.
B. Une carence en vitamine D.
C. Une hyperplasie des glandes parathyroïdes.
D. Une insuffisance rénale terminale
E. Une hypoplasie congénitale des glandes parathyroïdes.
AC

19. Cochez les propositions justes parmi les suivantes concernant l'hyperparathyroïdie :
A. L'HPT est réactionnelle à l'hypocalcémie, en cas de carence en vit D
B. Les tumeurs ostéolytiques sont responsables d'une hyper calcémie chronique
C. Dans l'hypercalcémie modérée, la substitution ostrogénique chez toute femme ménopausée est
obligatoire
D. Un régime désodé est indiqué dans le traitement des hypercalcémies modérées
E. L'insuffisance rénale chronique non substituée peut engendrer une HTP tertiaire
AE

20. Le calcium lié à l'albumine plasmatique représente par rapport au calcium plasmatique le
pourcentage suivant
A. 10%.
B. 40%.
C. 20%.
D. 80%.
E. 100%.
B

21. Toutes ces affections peuvent s'accompagner d'une hypercalcémie sauf une, laquelle ?
A. Hyperparathyroïdie
B. Maladie de Paget
C. Sarcoïdose
D. Hémopathie maligne
E. Hémochromatose
E

CAS CLINIQUE

La patiente Khadidja âgée de 45 ans, enseignante de profession sans antécédents personnels


particuliers, aux antécédents familiaux de lithiases urinaires. Récemment, elle s'est sentie
asthénique de plus en plus fatiguée durant les derniers 3 mois. Elle décide meme de prendre un
congé de 06 semaines. Sans amélioration, elle se sentait déshydratée et très fatiguée + polyurie.
Un bilan sanguin demandé par son médecin a montré une calcémie 99 mg/l (84-102) et une
PTH élevée à 101 ng/l (10-65), la glycémie été normale à 0.95 g/l.

2- Devant cette PTH élevée, quelle est l’état suivant pour l'exploration du cas de Khadidja (une seule
réponse juste) ?
A. Orienter la patiente pour une exploration chirurgicale
B. Demander une échographie et une scintigraphie à la MIB
C. Confirmer le diagnostic par un bilan phosphocalcique complet après un régime calibré en calcium
D. Rassurer la patient qu'une PTH élevée est fréquemment rencontrée chez les sujets âgés et demander
un contrôle après 1 an
E. Demander une DMO pour évaluer le retentissement osseux de cette hyperparathyroïdie

3- Un deuxième bilan demandé est revenu après quelques jours en faveur de : Calcémie 118 mg/l (84-
102), phosphorémie 35 mg/l (25-45), albuminémie 35 mg/l, PTH 115 ng/l (10-65), Calciurie 500 mg/24h
(normale < 250 ng/24h), phosphaturie normale à 15 mmol/24h (10-20), créatininémie des 24h normale
900 mg/24h et un volume urinaire à 2500. La calcémie corrigée en mg/l chez cette patiente est de
(une seule réponse est juste) :

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A. 82
B. 88
C. 90
D. 98
E. 123

4- Devant ce tableau biologique, le diagnostic de l'hyperparathyroïdie primaire peut être confirmé


après élimination des diagnostics différentiels, lesquels ?
A. Prise de sels de lithium
B. Carence en vitamine D
C. Hypercalcémie hypocalciurique familiale bénigne ou syndrome de MARX et AURBACH
D. Un syndrome de malabsorption digestive
E. Prise des corticoïdes

5- Le diagnostic positif d'une hyperparathyroïdie primaire est confirmé chez Khadidja et son médecin
décide de l'adresser pour exploration morphologique (échographie et scintigraphie) qui est revenu
négative. Devant le résultat de l'imagerie (une ou plusieurs réponses sont justes) :
A. Le diagnostic de l'hyperparathyroïdie est éliminé
B. Le diagnostic de l'hyperparathyroïdie primaire reste établie cependant il faudra juste faire une
surveillance du bilan phosphore sans donner aucun traitement
C. L'imagerie négative peut se voir en cas d'hyperparathyroïdie primaire
D. Une exploration chirurgicale à la fois exploratrice et curatrice peut être indiquée chez la patiente
E. Aucune réponse n'est juste

6- La patiente présente une polyurie chiffré à 3.5 l/24h après une collecte des urines et une osmolarité
cadée et retenu 200mosmelhg250), dans ce tableau (une seule réponse est juste) :
A. Il s'agit d'une polyurie osmotique
B. Il s’agit fort probablement d'un syndrome polyuro-polydipsique en rapport avec un déficit de sécrétion
de l'ADH
C. Il s'agit fort probablement d'un syndrome polyuro-polydipsique en rapport avec une insensibilité rénale
à l'ADH
D. Il s'agit fort probablement d'un syndrome polyuro-polydipsique lié un diabète insipide central
E. Une imagerie de la région hypothalamohypophsaire est un indiquée pour confirmer le diagnostic

QST1 QST2 QST3 QST4 QST5


C E AC CD C

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MERAKI MED – ENDOCRINOLOGIE – QCM et CAS CLINIQUES 2014 - 2019

5- LA GLANDE SURRENALE

"The harder you work for something, the


greater you'll feel when you achieve it"

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MERAKI MED – ENDOCRINOLOGIE – QCM et CAS CLINIQUES 2014 - 2019

1. Parmi les arguments suivants, quels sont ceux qui orientent vers une étiologie auto-
Immune de la maladie d'Addison :

A. Sexe féminin
B. Primo infection tuberculeuse.
C. Calcification des surrénales
D. Associallon à une thyroïdite d'hashimoto.
E. Présence des anticorps anti surrénaliens circulant
REP : ADE

2. Quelles sont les causes de l'hypokaliémie ?

A. Acidose métabolique
B. Acidose respiratoire
C. Hyperaldostéronisme secondaire
D. Fistules digestives
E. Insuffisance rénale aigue
REP : ACD

3. Quelles sont les causes de l'hypokaliémie

A. Acidose métabolique
B. Acidose respiratoire
C. Hyperaldostéronisme secondaire
D. Alcalose métabolique
E. Insuffisance rénale aigue
REP : AC

4. En cas de suspicion clinique d'une insuffisance surrénalienne chronique ou lente (ISL),


Lesquelles de ces affirmations sont vraies ?

A. La cortisolémie à 8 heures peut suffire au diagnostic positif


B. Le recours aux tests dynamiques est systématique
C. Le test au SYNACTHENE peut être positif en cas d'insuffisance corticotrope
D. Le dosage de l'Aldostéronémie permet de différencier entre déficit corticotrope et ISL
E. L'hypoglycémie insulinique est utilisée dans le diagnostic positif de l'insuffisance corticotrope
REP : ACE

5. Au cours de l’isa chez un addisonnien; les anomalies biologiques sont:

A. Hyperglycémie
B. Hyperkaliémie
C. Hyponatrémie
D. Hypercalcémie
E. Hypokaliémie
REP : BCD

6. Au cours de l’isa chez un addisonnien, les anomalies biologiques sont:

A. Hyperkalièmie.
B. Hypoglycémie.
C. Hypernatrémie
D. Hypercalcémie.
E. Hypokaliemie.

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MERAKI MED – ENDOCRINOLOGIE – QCM et CAS CLINIQUES 2014 - 2019

REP : ABD

7. La carte de l'addisonien comporte :

A. Identité du malade.
B. La maladie.
C. Le traitement qu'il reçoit.
D. Les médicaments proscrits
E. Les situations d'adaptation du traitement.
REP : ABCDE

8. Parmi les paramètres biochimiques suivant, quels sont ceux en faveur du diagnostic
d'insuffisance surrénale aigu ?

A. Kaliémie à 3,1 meg/l


B. Kaliémie à 5,5 meg/
C. Natrémie à 145 meg/l
D. Réserves alcaline (HCO3) élevée
REP : BD

9. Le traitement d'entretien de l'insuffisance surrénalienne par déficit en 21 hydroxylase


consiste à :

A. De l'hémisuccinate d'hydrocortisone par voie orale


B. De l'Hydrocortisone par voie orale
C. Du Fludrocortisone par voie orale
D. Un Régime alimentaire riche en potassium
E. Un Régime alimentaire pauvre en sodium
REP : BC

10. Dans l'insuffisance surrénale secondaire à une rétraction corticale, l'atteinte touche :

A. La corticosurrénale et la médullosurrénale
B. La couche réticulée
C. La médullosurrénale
D. La couche glomérule
E. La couche fasciculée
REP : BDE

11. Quel est le profil clinico-biologique d'une corticothérapie a forte doses ?

A. Une prise de poids


B. Un taux de cortisol plasmatique élevé
C. Ulcères cutanés
D. Un taux d'acth élevée
E. Un taux de cortisol plasmatique bas
REP : ACE

12. L'ISA d'origine hémorragique peut être est secondaire à:

A. Un syndrome de Waterhouse-Fredericksen.
B. Un arrêt brutal d'une corticothérapie de longue durée.
C. La prise d'anticoagulants.
D. Une artériographie rénale

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E. Toute les propositions sont vraies.


REP : ACD

13. Dans l’insuffisance rénale l’asthénie est :

A. Triple : physique, psychique et sexuelle


B. Matinale et s'aggrave au cours de la journée
C. Lie a l’suffisance aux androgènes
D. Matinale et disparait à l’effort
E. Liee a insuffisance en cortisol
REP : ABE

14. Le syndrome de perte de sels d'origine surrénalienne donne :

A. Une hypokaliémie+ Une hyperkaliurèse


B. Une hyponatrémie+ Une hypernatriurèse
C. Une insuffisance rénale
D. Une hyperosmolarité plasmatique
E. Une augmentation du volume extracellulaire
REP : BC

15. Le déficit en aldostérone entraine :

A. Une hypernatrémie
B. Une hyperkaliémie
C. Une déshydratation intracellulaire
D. Une hyperhydratation intracellulaire
E. Une augmentation de la rénine
REP : BDE

16. Tous ces arguments sont en faveur d'une insuffsance surrénale d’origine haute (insuffisance
corticotrope) sauf :

A. Une ACTH basse


B. Grande tolérance des symptome
C. Souvent assocée s un tableau de panhypopituitarisme
D. Asthenie, amaigrissement, hypotension et mélanodermie
E. Une hyponatrémie de dilution par sécrétion inappropite d’ ADH( hormone antidiurétique)
REP : D

17. Quels sont les arguments en faveur d'une insuffisance corticotrope (insuffisance surrénale
d'origine haute)?

A. Une ACTH basse


B. Une grande tolérance des symptómes
C. L'intégration souvent dans un tableau de pan hypopituitarisme
D. L'association d'asthénie, amaigrissement, hypotension et mélanodermie
E. La présence d'une hypernatrémie par sécrétion inappropriée d'hormone antidiurétique
REP : АВС

18. Parmi les signes cliniques et biologiques suivants, lesquels sont en faveur d'un déficit
corticotrope?

A. Asthénie évolutive au cours de la journée

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B. D'une mélanodermie
C. Hyponatrémie sans hyperkaliémie
D. Hyperglycémle surtout en cas d'association avec un déficit somatotrope
E. Hypersudation
REP : AC

19. Dans le sida, l’Insuffisance surrénale:

A. Peut etre d'origine infectieuse


B. Peut étre d'origine iatrogène.
C. Secondaire à une hémorragie bilatérale des surrénales.
D. On peut retrouver des calcifications en rapport avec une mycose
E. Aucune proposition.
REP : ABD

20. Dans l'insuffisance surrènale lente:

A. La mélanodermie est due au déficit corticotrope.


B. L'insuffisance en aldostérone entraine une perte sodée urinaire.
C. L'asthénie est matinale et s'améliore au cour de la journée.
D. L'asthénie est due à l’insuffisance en cortisol.
E. L'origine tuberculeuse est la plus fréquente dans les pays en voie de développerment
REP : BDE

21. Dans le bloc enzymatique en 21 OH surrénalien par mutation du gène CYP21 chez un
nourrisson 46 XY, on trouve:

A. Une clitoromégale
B. Des testicules infantiles
C. Des testicules augmentés de volume
D. Les deux parents porteurs de la mutation
E. Seul Le père est porteur de la mutation
REP : BD

22. Dans le bloc enzymatique complet en 21 hydroxylase surrénalien :

A. Le cortisol peut être normal


B. On trouve une hypertension artérielle
C. L'ACTH est élevée.
D. La 17 OH-progestérone est basses
E. La 17 OH-progestérone est élevée
REP : CE

23. Le déficit en 21 hydroxylase est responsable de:

A. Un hyperaldostéronisme.
B. Un déficit en androgènes
C. Un déficit en cortisol.
D. Un pseudo hermaphrodisme masculin.
E. Un déficit en Aldostérone.
REP : CDE

24. Le bloc enzymatique en 1 1béta hydroxylase peut s'exprimer chez l'adolescente par :

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A. Un hirsutisme
B. Une hypertrichose
C. Une hypertension artérielle
D. Une hypocalcémie
E. Une hypokaliémie
REP : ACE

25. Le traitement de l'isa associe :

A. Apport de sérum glucosé isotonique additionné de Na Cl.


B. Adjonction du kcl
C. Attendre les résultats biologiques pour débuter le traitement
D. Hydrocortisone par voie parent2rale.
E. Syncortyl en intra veineux toute les 12H
REP : AD

26. Le traitement de l’isa associe les propositions suivantes sauf une, Laquelle?

A. Apport de sérum glucosé.


B. Apport de Na Cl.
C. Adjonction du kcl.
D. Hydrocortisone par voie parentérale
E. Traitement du facteur déclenchant.
REP : C

27. Parmi les pathologies suivantes, les quelles comportent une hyperplasie bilatérales des
surrénales ?

A. Les cancers surrénaliens (corticosurrenalome)


B. Les adénomes corticotropes
C. Les syndromes de Cushing paranéoplasiques
D. Les adénomes cortico-surrénaliens
E. Bloc enzymatique surrénalien en 11 beta-hydroxylase
REP : BCE

28. La maladie de Cushing

A. Est la cause la plus fréquente du syndrome de Cushing


B. Elle est due habituellement a un adénome surrénalien
C. Caractérisée par un freinage fort et un test au CRH souvent négatifs
D. Prédomine chez l'homme avec des signes cataboliques francs et rapidement évolutifs
E. L'imagerie hypophysaire (IRM) est parfois négative
REP : AE

29. Dans la maladie de Cushing

A. Caractérisée par un freinage fort à la dexaméthasone négatif


B. Causée par un microadénome hypophysaire
C. L’hyperaldostéronisme est fréquent
D. Causée par un macroadénome hypophysaire
E. L'imagerie hypophysaire est parfois sans anomalies
REP : BDE

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30. Les examens suivants sont nécessaires pour confirmer le diagnostic positif du syndrome de
Cushing:

A. Le dosage du cortisol après test au Synacthéne


B. Le dosage du cortisol salivaire et le cortisol libre urinaire des 24 heures
C. Le cathétérisme des sinus pétreux inferieurs
D. Le dosage de l'acth
E. Le test de freinage faible
REP : BE

31. Dans le syndrome de Cushing le cathétérisme des sinus pétreux

A. Est indiqué dans le syndrome de Cushing ACTH-indépendant


B. Permet de différencier une sécrétion eutopique d'une sécrétion ectopique d'acth
C. Est indiqué dans la maladie de Cushing si IRM hypophysaire négative
D. Est un examen clé pour poser le diagnostic du syndrome de Cushing
E. Est un geste de routine facile à réaliser
REP : BC

32. Dans le syndrome de Cushing on peut observer les anomalies suivantes

A. Une atrophie musculaire à prédominance rhizomelique


B. Une obésité facio tronculaire avec une peau épaisse
C. Une perte pondérale dans certaines situations
D. Une immunodépression
E. Un ralentissement staturo-pondéral chez l’enfant
Rep : ACD

33. Dans la maladie de Cushing

A. Le diagnostic et évoqué généralement chez une femme


B. Ie diagnostic est pose devant un cortisol libre urinaire et un freinage faible positif
C. L’hypercortisolisme est acth-indépendant
D. Le freinage fort est souvent positif avec catheterisme des sinus petraux sans gradient centro-
perichérioue
E. Le traitement passe avant tout par une chirurgie hypophysaire
REP : AE

34. Le syndrome de résistance aux glucocorticoldes est suspecté devant un hirsutisme associé
à certains signes cliniques et biologiques, lesquels?

A. Morphotype cushingoide associé à un bilan biologique en faveur d'un déficit corticotrope


B. Morphotype cushingoide associé à un hypercorticisme biologique freinable
C. Cortisol libre urinaire augmenté mais sans morphotype cushingoide
D. Hypercorticisme biologique non freinable associé à un syndrome de cushing clinique
E. Une hypertension artérielle avec une hypokaliémie peuvent être rencontrée
REP : CE

35. Précisez parmi les explorations suivantes celles vous permettant la distinction entre une
sécrétion hypophysaire et pareanéoplasique de l’acth :

A. Ingestion de 0,5 mg de Dexaméthasone chaque 6 h pendant 48h, suivie de la mesure de la cortisolimie


6h aprés dernière prise de Dexaméthasone

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B. Ingnstion de 8 mg/j de Dexaméthasone pentant 2j suivie de la mesure de la cortislémie 6h aprés la


dernière prise de Dexaméthasone
C. Ingestion de 3mg de Dexaméthasone à minuit puis le dosage du cortisol plasmatique le lendemain à
8h
D. Ingestion de 2 comprimés de 0,5 mg de Dexaméthasone vers 23h, puis le dosage du cortisol
plasmatique le lendemain à 8h
E. Ingestion de 1 mg da Dexaméthasone chaque 6 h pendant 48h suivie de mesure de la cortisolemie
6h après la dernière prise de dexaméthasone
REP : BC

36. Le cortisol salvaire:

A. Est le reflet de la frection libre du cortisol


B. Est liée à la CBG (cortisol binding globulin)
C. Doit étre > à 20 ug/l à minuit pour poser le diagnostic d'un syndrome de cushing
D. Doit étre dosé immédiatement après prélèvement
E. Son dosage ne doit pas être différé au lendemain
REP : A

37. Le test à la métopirone:

A. Explore les blocs enzymatiques en 11 beta hydroxylase


B. Explore les blocs enzymatiques en 21 OH progesterone
C. Explore l'axe corticototrope
D. Explore l'axe thyreotrope
E. Explore l’axe gonadotrope
REP : AC

38. Le test de freinage minute:

A. Consiste à administrer 1 mg de Déxamethasone par voie orale


B. Consiste à administrer 2 mg de Déxamethasane par voie orale
C. Se fait exclusivement en millieu hospitalier
D. Consiste à administrer 1 mg de Déxamethasone par voie IV
E. Consiste à administrer 2 cp de Déxamethasone par vole IV
REP : A

39. Le test de freinage minute :

A. Sert au dgc positif de l'hypercorticisme


B. Sert au dgc étiologique de l'hypercorticisme
C. Se fait exclusivement en milieu hospitalier
D. Consiste à administrer 2 mg de Dexamethasone
E. Consiste à administrer 2 cp de Déxamethasone
REP : AE

40. Le test de freinage minute consiste en l'administration de :

A. 1mg de Cortancyl
B. 1mg de Solupred
C. 1cp de Déxamethasone
D. 2 mg de Déxamethasone
E. 2 cp de Déxamethasone
REP : E

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41. Ces signes biologiques non spécifiques peuvent être présents au cours d'un
hypercorticisme sauf un, lequel ?

A. Neutropénie
B. Hypakaléimie
C. Hyperglycémie
D. Hypertriglycéridémie
E. Acidose métabolique
REP : E

42. Quelles sont les contre-indications du test à l’hypoglycémie Insulinique ?

A. Retard de croissance sévère


B. Un taux de base effondré du cartisol plasmatique
C. Antécédents neurologiques
D. Diabéte sucré insulinotraité
E. Hypothyoidie bien cantrolée sous Levothyrox
REP : ВС

43. Quelles sont les contre-indication du test à l’hypoglycémie insulinique ?

A. Retard de coissance sèvère


B. Crises de comitialités
C. Antécédents nourologiques
D. Diabète sucré
E. Obésité
REP : BC

44. Précisez le taux du cortisal plasmatique, parmettant d'assoir le diagnostique de sécrétion hypophysaire
d’acth et ce après le test que vous venez de réaliser à la question 3 :

A. le cortisol doit chuter de plus de 50% de sa valeur initiale


B. le cortisl doit augmenter de plus de 50% de sa valeur initiale
C. le cortisol doit etre inferieur à50 ng/ml
D. Le cortisol doit rester supérieur à 1,8 ug/dl
E. E.le cortisol doit etre inferieur à 1,8 ug/d
REP : A

45. Dans le syndrome de Cushing par adénome surrénalien on observe:

A. Des taux d'acth élevés


B. Des taux d'acth bas
C. Un freinage fort a la dexaméthazone négatif
D. Une fixation unilatérale de la surrénale tumorale a la scintigraphle
E. Une foxation bilatérale et asymétrique des 2 surrénales a la scintigraphie
REP : BD

46. Dans la maladie de cushing :

A. L’hypercortisicisme est ACTH dependant par secretion ectopique d’acth


B. La cortisolémie après freinage faible est sup à 1.8microg/dl
C. La cortisolémie diminue de plus de 50 pourcent au test de freinage fort
D. L’absence de mélanodermie élimine complètement le diagnostic
E. Le traitement de première intention est chirurgical

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REP : BCE

47. Précisez les propositions justes parmi les suivantes concernant les signes cliniques
orientant vers l'étiologie du syndrome de cushing :

A. La présence d'un syndrome tumoral intracranien oriente vers un micro adénome corticotrope
B. La présence d'une mélanodermie évoque une forte sécretion de l’acth
C. La présence d'une mélanodermie oriente vers l'origine ACTH indépendante d'un syndrome de
Cushing
D. La présence d'une dépigmentation oriente vers l'origine ACTH dépendante d'un syndrome de Cushing
E. Un hirsutisme discret peut être rencontré dans toutes les étiologies du syndrome de Cushing
REP : BE

48. Précisez les traitements médicamenteux pouvant inhiber la sécrétion de l’acth et donc
prescrits dans certains cas de maladie de cushing :

A. OP’DDD
B. Spironolactone
C. Pasiréotide
D. Cabergoline
E. Flutamide
REP : CD

49. Précisez le premier diagnostic auquel vous étes urienté chez un patient en bon état
généraleprésentant une obésité facio-tronculaire avec amyotrophie des membres inférieurs et
dont le profil biologique est le suivant: ACTH à 25 pg/ml (Valeur normale: 10-60), cortisolémie
à 250 ng/ml (VN: 60-200):

A. Un syndrome de Cushing endogène


B. Un syndrome de Cushing exogène
C. Un syndrome de Cushing paranéoplasique
D. Une maladie de Cushing
E. Un corticosurrénalome
REP : D

50. Une fermme de 40 ans présente une masse surrénalienne gauche de 2 cm seeritant le
cortisol :

A. Surrénale Controlatérale est typiquement hyprplasique


B. Les cellules cortirotropes hypophysaires sont hyperplasiques
C. Il n'y a pas de freinage de la séction du cortisol an test de freinage faile par ta Dexaméthasone
D. Les taux plasmatinues d'acth sont nettement augmentés
E. La patiente est susceptible d'avoir une hyperpigmetation génétralisée
REP : C

51. Mr. B.M. 8gé de 48ans se présente en consultation pour obésité. Vous étes frappé par son
morphotype cushingoide et vous voulez assoir votre diagnostic (en consultation externe) , que
faites-vous ?

A. Un cycle de cortisol
B. Un cortisol salivaire
C. Un test de freinage minute
D. Un test de freinage faible

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E. Un test de freinage fort


REP : C

52. L'examen réalisé à Mr. B. M, n'a pas été contributif , vous décidez de l’hospitaliser. Quel
est l'examen à demander pour confirmer ou infirmer votre hypothèse?

A. Un cycle de cortisol
B. Un cortisol salivaire
C. Un test de freinage minute
D. Un test de freinage faible
E. Un test de freinage fort
REP : D

53. Apres discussion avec les membres de sa famille, il s'avère que Mr. B. M. Est alcoolique
chronique depuis plus de 20 ans. Quelle serait alors votre hypothèse diagnostic?

A. Maladie de Cushing
B. Syndrome de Cushing par adénome surrénalien
C. Secrétion paranéoplasique de cortisol
D. Sécrétion paranéoplasique de CRH
E. Pseudo syndrome de cushing
REP : E

CAS CLINIQUES

1. Meriem, âgée de 28 ans, infermière au service de pneumo-phtisiologie, célibataire,


admise au service de maladies infectieuses pour un tableau de toxi-infection
alimentaire évoluant depuis 15 jours et ne répondant pas au traitement antibiotique.
A sa réception chez nous, la patiente est asthénique avec une pâleur
cutanéomuqueuse, un pli cutané de déshydratation et des douleurs abdominales. La
TA est de 80/50 mmHg, la FC à 90 bpm, Un Abdomen sans préparation montre des
calcifications sur l’aire au-dessus des 2 reins, par ailleurs sans anomalies, de même que
l'échographie abdominale. Le bilan biologique retrouve une TSH à 0,42 U (Normes :
0.4-4 UI/l), une kaliémie à 5,3 mEq/L, une natrémie à 132 mEq/l et une glycémie à 0,65
g/l.

1- Quel est le diagnostic à évoquer en premier lieu ?

A. Insuffisance surrénale aiguë


B. Occlusion intestinale
C. Thyrotoxicose aiguë
D. Amibiase intestinale
E. Ulcère gastrique

2- Quels sont les signes qui vous ont conduit à poser ce diagnostic ?

A. Pâleur cutanéo-muqueuse
B. Hypotension artérielle
C. Douleurs abdominales
D. TSH à 0,42 uu/ml
E. Kaliémie à 5,3 meq/l

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3- Quel bilan demandez-vous en urgence pour confirmer votre diagnostic ?

A. Test au synacthène
B. Cortisol plasmatique
C. ACTH plasmatique
D. IDR à la tuberculine
E. FT4 plasmatique

4- Quelle est votre conduite therapeutique immédiate ?

A. Réhydratation avec Sérum Salé isotonique et sérum Glucosé isotonique en alternance


B. Charge potassique
C. Hydrocortisone par voie parentérale
D. Antithyroïdiens de synthèse
E. Attendre les résultats du bilan biologique pour commencer le traitement

5- Parmi les diagnostics étiologiques suivants, le quel est le plus probable chez notre patiente ?

A. Maladie de Basedow
B. Tuberculose surrenale
C. Adénocarcinome intestinale occlusif
D. Rétraction corticale
E. Prise de corticoïdes au long cours

6- Quels sont les signes qui permettent d'évoquer ce diagnostic étiologique ?

A. Hyperpigmentation cutanéo-muqueuse
B. IDR à la tuberculine positive
C. ACTH plasmatique bas
D. Anticorps anti-récepteurs de la TSH positif
E. Calcifications sus rénales

1 2 3 4 5 6
A BCE B AC B ABE

2. Ahlem, âgée de 10 ans, issue d'un mariage consanguin, admise aux urgences
pédiatriques pour vomissements, diarrhées et douleurs abdominales d'aggravation
progressive. L'abdomen est souple, la Fc de 80/05 mmHg, Rythme cardiaque est
régulier à 100 bat/mn, et la diurèse est conservée. L'enfant est consciente, eupnéique,
se plaint d’alacrymie et de dysphagie depuis la naissance, on note des signes de début
pubertaire. Il y a quelques jours l'enfant a installé une crise convulsive au cours de la
séance de sport à l'école corrigée par la perfusion de sérum Glucosé. Le bilan d'urgence
retrouve une natrémie à 130 mEq/l (135-145 meq/l), Kaliémie à 4 meq/l (3.5-5.5),
Glycémie à 0.40 g/l (0.7-1g/l), urée à 0.50 g/l, et une créatinine sanguine à 18 mg/l (0.5-
12mg/l), Une insuffisance surrénalienne aigue est suspectée.

1- Quel est ou quels sont les autres diagnostics ?

A. Insuffisance cardiaque
B. Gastro-entérite
C. Etat de mal épileptique
D. Puberté précoce
E. Hérnie hiatale para oesophagienne

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2- Quels autres axamens demandez-vous pour votre exploration étiologique ?

A. Cortisol plasmatique à 8H
B. ACTH plasmatique
C. FSH, LH plasmatiques
D. Echographie Cardiaque
E. TDM abdominale

3- Quel est le diagnostic étiologique le plus probable de cette Insuffisance surrénalienne ?

A. Syndrome d’Allgrove
B. Hyperplasie congénitale des surrénales par bloc en 21 hydroxylase
C. Adrenoleucodystrophie liée à l’x
D. Hypoplasie congénitale des surrénales par mutation DAX1
E. Hyperplasie congénitale des surrénales par bloc en 20-22 Desmolase

4- Quelles sont les anomalies présentées par la patiente qu'ont conduit à poser ce diagnostic
étiologique ?

A. Convulsion
B. Alacrymie
C. Puberté précoce
D. Insuffisance rénale
E. Dysphagie
1 2 3 4
BE ABE A BE

3. Un patient est reçu aux urgences médicales, il est agité présentant des diarrhées,
vomissements et douleurs abdominales. L'examen retrouve une tension artérielle à
80/40 mmHg et des signes de déshydratation extracellulaire. Une insuffisance
surrénalienne aiguë (ISA) est suspectée.

1- Quel est le 1er geste à faire ?

A. Dosage de cortisolémie en urgence


B. Un ionogramme sanguin en urgence
C. Une injection intraveineuse d'hydrocortisone
D. Une perfusion continue d'Acétate de désoxycorticostérone (Syncortil)
E. Une Injection intramusculaire d'hydrocortisone

2- Une ISA est responsable de :

A. Acidose métabolique hyperchlorémique


B. Acidose métabolique hypochlorémique
C. Acidose respiratoire hyperkaliémique
D. Acidose respiratoire hypokaliémique
E. Acidose respiratoire hypernatrémique

3- l'interrogatoire a révélé un traitement par prednisone à la dose de 40 mg pour une rectocolite


hémorragique arrêté il y a plus d'une semaine avec dégression progressive de la dose. Comment
expliquer cette ISA?

A. Avoir diminué progressivement la dose de prednisone


B. La dose de prednisone était forte

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C. Ne pas avoir substitué le patient par l'hydrocortisone


D. Ne pas avoir prescrit un régime sans sel strict
E. Ne pas avoir bien contrôlé sa maladie

4- Le patient a bien répondu au traitement de l'isa, I sortira avec :

A. 40 mg de prednisone par voie orale


B. Régime sans sels strict
C. Régime normosodé
D. 30 mg d'Hydrocortisone par voie orale
E. Sans traitement

5- d'après vous, comment pourrions-nous pu faire pour éviter cette situation à l'avenir ?

A. Ne plus utiliser de prednisone


B. Régime sans sels strict
C. Régime normosodé
D. Arrêter tout traitement
E. Assurer une éducation du patient avec port de carte d'is

1 2 3 4 5
C B BC BD E

4. La jeune A âgée de 26 ans consulte en endocrinologie pour spanioménorrhées. Elle


présente une érythrose de la face avec obésité facio-tronculaire, HTA de grade 1,
hirsutisme sur le visage, les aréoles mamelonnaire et la ligne blanche : elle présente
des vergetures pourpres au niveau de la ceinture pelvienne avec parfois des troubles
du comportement rapportés par son entourage.

1- A quel diagnostic pensez-vous ?

A. Maladie de Cushing
B. Syndrome de Cushing
C. Sécrétion paranéoplasique de cortisol
D. Sécrétion paranéoplasique de CRH
E. Pseudo cushing

2- Vous voulez assoir votre diagnostic en consultation externe, que faites-vous ?

A. Un cycle de cortisol
B. Un cortisol salivaire
C. Un test de freinage minute
D. Un test de freinage faible
E. Un test de freinage fort

3- l'examen demandé n'a pas été contribué, vous décidez d'hospitaliser votre patiente, que demandez-
vous ?

A. Un cycle de cortisol
B. Un cortisol salivaire
C. Un test de freinage minute
D. Un test de freinage faible
E. Un test de freinage fort

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4- Vous avez demandé un taux d'acth qui est revenu élevé >80 pg/ml et au vu des résultats des
examens déjà faits, que proposez-vous à cette patiente ?

A. Un cycle de cortisol
B. Un cortisol salivaire
C. Un test de freinage minute
D. Un test de freinage faible
E. Un test de freinage fort

5- Dans le cas de notre patiente, quels seraient selon vous l'association des tests diagnostiques qui
confirment à coup sur le diagnostic posé de la maladie ?

A. Un cycle de cortisol
B. Un cortisol libre urinaire élevé
C. Un cortisol salivaire élevé
D. Un test de freinage minute négatif
E. Un test de freinage faible négatif

1 2 3 4 5
B C D E BCE

5. Madame H. 29 ans consulte pour une prise de poids de 12 kilos depuis son
accouchement 2-ans auparavant, associé à une asthénie importante. Depuis 6 mois elle
prend un traitement pour une acné kystique et elle a noté une augmentation de la
pilosité du visage, du ventre et du dos, la moustache et le menton nécessitent
maintenant 2 épilations par mois et est actuellement elle présente une aménorrhée
secondaire depuis plus de 8 mois. La pression artérielle est à 170/100 mm He, FC à
80/min, poids à 67,6 kg, taille 150 cm, la surcharge pondérale est tronculaire, le visage
est lunaire, érythrosique, Il existe un comblement des creux sus claviculaires bilatéral
contrastant avec une amyotrophie sévère des membres supérieurs et inférieurs. Il n'est
pas noté de mélanodermie. Le reste de l'examen clinique est normal. Le bilan montre
: glycémie à Jeun : 1,23 g/l, natrémie : 144 meq/l, kaliémie : 3 meg/l créatininémie : 8,4
mg/l, cholestérol total : 33 g/l, triglycérides : 1,4 g/l

1- Quel est votre diagnostic ?

A. Sd des ovaires polykystique


B. Sd de résistance aux hormones hypophysaires
C. Sd métabolique
D. Sd de Cushing
E. Sd des blocs enzymatiques en 21 OH

2- Quel (s) examen (s) réalisez-vous à visée diagnostique positif ?

A. IGF-1
B. Cortisol de base à 08h00
C. ACTH de base 08h00
D. Test de freinage minute à la déxamethasone
E. Test de freinage faible (standard ou Liddle) à la déxamethasone

3- Quelles sont les deux étiologies les plus probables chez cette patiente?

A. Hyperplasie congénitale des surrénales

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B. Adénome de Conn
C. Adénome surrénalien
D. Sd de Cushing
E. Matadie de cushing

4- Quel (s) examen(s) réallsez-vous à visée étiologique ?

A. Test de freinage faible


B. Test de freinage fort
C. Test de freinage minute
D. ACTH
E. LH-RH

5- Les tests biologiques sont en faveur d'une origine hypophysaire. L'IRM hypophysaire est normale,
le scanner Surrénalien ne retrouve pas de Sd de masse surrénalien. Quel complément d’exploration
proposez-vous ?

A. Test LH-RH sur ACTH


B. Test au TRH sur ACTH
C. Cathétérime des sinus caverneux
D. Catheteriome des sinus pétreux
E. Cathiterisme des sinus sphénoidaux

1 2 3 4 5
D E CE BD D

6. Une patiente âgée de 40 ans, aux antécédents de polyarthrite rhumatoïde (PA)


sous corticoïdes, (40 mg de prednisone (Cortancyl) depuis 2 ans est orientée par son
rhumatologue pour évaluation de la fonction corticotrope, Elle est en rémission de sa
maladie, et il désire d’arreter la corticothérapie. En consultation, vous constater
d’emblée le morphotype cushingoide.

1- Quelle est la fonction des corticoïdes pris au long court sur les fonctions hypothalamo-
hypophysaires ?

A. Inhibition de la sécrétion du CRH


B. Inhibition de la sécrétion de l’avp
C. Stimulation de la sécrétion du cortisol surrénalien
D. Inhibition de la sécrétion de l'acth
E. Stimulation de la sécrétion de la GH

2- L'arrêt brutal d'une telle corticothérapie expose la patiente:

A. Au risque de rebond de la PR
B. Au syndrome de sevrage en corticoïdes
C. Insuffisance surrénalienne périphérique
D. Au déficit corticotrope
E. Au développement d'un diabète sucré

3- La patiente, encore sous Cortancyl, vous montre un bilan hormonal demandé il y a quelques jours
par son médecin traitant. La cortisolémie de base à 8h était à 20 ng/ml (valeurs normales: 60-180 ng/l).
Quelle est votre conduite à tenir en vue de l'arrêt de son traitement ?

A. Réaliser en premier lieu un test au Synacthène


B. Maintenir la même dose de Cortancyl et ne pas autoriser son arrêt

2019/2020 90
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C. Autoriser l'arrêt du jour au lendemain du Cortancyl


D. Commencer la dégression du Cortancyl à raison de 5 mg par semaine
E. Lors de la dégression du Cortancyl et des rarrivée à la dose de 5 mg, le traitement est substitué en
20 mg d'hydrocortisone

4- Vous avez assuré la conduite appropriée. La cortisolémie après 1 mois revient à 70 ng/ml. Quelle
est alors votre conduite ?

A. Faire un test au Synacthène


B. Réaliser un test à l'hypoglycémie insulinique
C. Faire un test à la dexaméthasone
D. Autoriser l’arret du jour au lendemain du Cortancyl
E. Réintroduire le Cortancyl

5- Quelle est la valeur de la cortisolémie après le test de stimulation demandé, pour laquelle vous allez
conclure une fonction corticotrope normale, autorisant ainsi l’arret des corticoïdes au long court ?

A. >30 ng/ml
B. <30 ng/ml
C. >100 ng/ml
D. >150 ng/ml
E. >180 ng/ml
1 2 3 4 5
ABD ABD DE A E

7. Une patiente, aux antécédents personnels de maladie de Basedow, est mise sous
60 mg/J de prédnisolone pour une poussée de lupus érythémateux disséminé (LED). Un
mois après le traitement, elle présente un syndrome polyuro-polydipsique, une
hypertension artérielle, une prise de poids avec vergetures pourpres au niveau de
l'abdomen. Le bilan biologique a révélé une kaliémie à 3.2 mmol/L (normes : 3,5-5), une
glycémie à jeun à 3g/l et une anémie normochrome normocytaire.

1- Quelles sont les hypothèses diagnostiques ?

A. Un diabète sucré secondaire à la corticothérapie


B. Un syndrome de Cushing
C. Une aggravation de son LED malgré la corticothérapie
D. Un diabète sucré démasqué par la corticothérapie
E. Une rechute de sa maladie de Basedow sous l'effet des corticoïdes
2- Quels sont les éléments en faveur d'un surdosage en corticoides ?

A. Syndrome polyuro-polydipsique
B. Hyperthyroïdie
C. Hypokalémie
D. Vergetures pourpres
E. Anémie

3- Quels sont les mécanismes par lesquels une corticotnerapie peut entrainer un diabète sucré ?

A. Une sensibilité à l'insuline diminuée


B. Une néoglucogenèse diminuée
C. Une captation périphérique du glucose diminuée
D. Une captation périphérique du glucose élevée
E. Une production hépatique du glucose élevée

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4- Le sevrage de la corticothérapie consiste à:

A. Diminuer la dose de prédnisolone par palier de 5 mg tous les 03 jours


B. Diminuer la dose de prédnisolone par palier de 5 mg/semaine
C. Garder une dose de 20 mg de prédnisolone jusqu'à normalisation de la cortisolémie
D. Associer des injections intramusculaires de Synacthène pendant la phase de dégression de la
pédnisolone
E. Remplacer par l'hydrocartisone per os à la dernière phase de dégression de la prédnisolone

1 2 3 4
ABD ACD ACE BE

8. Une jeune fille de 22 ans arrive en consultation de médecine générale se plaignant


d'une asthénie importante la confinant au lit. Vous êtes frappée, dès qu'elle franchit la
porte de consultation, par son morphotype particulier : Visage lunaire, bouffi avec
érythrose des pommettes et un Buffalo neck. Vous insistez à l'interrogatoire, et la
patiente Vous certifie qu'elle ne prend aucun médicament. Le dosage du cortisol
plasmatique que vous réalisez revient à 30 ng/ml (VN : 40-200), et l'acth à 12 pg/ml
(VN: 1060).

1- A quel diagnostic pensez-vous ?


A. Syndrome de cushing par sécrétion paranéoplasique de l'acth
B. Syndrome de cushing dû à un cancer surrénalien
C. Insuffisance surrénalienne d'origine périphérique
D. Déficit corticotrope par prise inavouée ou occulte de glucocorticoïdes
E. Pseudo Syndrome de cushing

2- Précisez les règles de prescription des sulfamides hypoglycémiants :


A. On doit pratiquer régulièrement une NFS en particulier au début du traitement
B. On doit pratiquer régulièrement le dosage des transaminases
C. On peut associer deux sulfamides hypoglycémiants pour une meilleure efficacité thérapeutique
D. On peut associer les sulfamides hypoglycémiants chez un patient diabétique de type 2 sous
Insulinothérapie basal bolus
E. On commence le traitement par de faibles doses de sulfonylurés et on augmente la posologie
progressivement par paliers d'une à deux semaines
1 2
D ABE

9. Mlle BA, célibataire, âgée de 37 ans, originaire et demeurant à Jijel. Consulte en


endocrinologie pour un hirsutisme sévère, d'installation rapide six mois auparavant,
associé à des spanioménorrhées. A l'examen clinique, on retrouve une patiente en
état général +/- conservé ayant un BMI à 17 kg/m2 avec un amaigrissement de 15 kg
en six mois, une pression artérielle de 11/07 mmHg, une voix rauque, un
développement des masses musculaires, une hypertrophie du clitoris et un hirsutisme
score à 28 (selon le score de Ferriman et Gallway).

1- Précisez la ou les réponses justes parmi les propositions suivantes concernant le score de Ferriman
et Gallway :

A. On parle d'un hirsutisme à partir d'un score de 8


B. Ce score présente un problème de reproductibilité lié à la subjectivité de l'évaluation

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C. Il tend à être supplanté par les photographies numériques


D. Il garde son intérêt dans les études cliniques
E. Toutes les propositions précédentes sont Justes

2- A quel diagnostic pensez-vous en premier lieu ?

A. Hirsutisme idiopathique
B. Syndrome des ovaires micro-polykystiques
C. Une hyperplasie congénitale des surrénales
D. Une origine surrénalienne
E. Une origine tumorale

3- Les explorations biologiques faites retrouvent : Testostéronémie à 5 ng/ml (Valeur Normale: 0,1-0,7
ng/ml). D4androsténédione à 5 ng/ml (VN: 0,8-3,0 ng/ml). SDEHA: 1010 ng/ml (VN : 100-330 ng/ml). A
quel diagnostic pensez-vous maintenant ?

A. Syndrome des ovaires micro-polykystiques


B. Une tumeur virilisante de l'ovaire
C. Une tumeur virilisante de la surrénale
D. Un déficit en 21 hydroxylase
E. Un déficit en 11 hydroxylase

4- Précisez la ou les explorations à compléter pour étayer votre suspicion diagnostiques ?

A. Echographie ovarienne
B. Scanner ovarien
C. Dosage du 17 hydroxyprogesterone
D. Dosage du 11 désoxycorticostérone (DOC)
E. Scanner surrénalien

5- Quels sont parmi les molécules suivantes, celles qui ont un pouvoir anti androgénique et proposées
dans le traitement de l’hirsutisme :

A. Spironolactone
B. Acétate de Cyprotérone (Androcur)
C. Pegvisomant
D. Somatuline
E. Ketokonazole
1 2 3 4 5
E E C E AB

10. Une athlète Algérienne de haut niveau, âgée de 20 ans, grande de taille, de BMI
normal, consulte en endocrinologie pour aménorrhée primo-secondaire et un
hirsutisme modéré d'installation progressive depuis la puberté.

1- Selon ces données, quelles sont les causes les plus probables de ces anomalies ?

A. Hirsutisme idiopathique
B. Syndrome de Cushing
C. Syndrome des ovaires micro polykystique
D. Bloc en 21 hydroxylase
E. Prise médicamenteuse
1
CE

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11. Le bilan biologique réalisé chez une patiente âgée de 35 ans, consultant pour un
hirsutisme important d’installation rapide en quelques mois, revient comme suit :
testostérone 3.7ng/ml (valeur normale 0,4-0,8 ng/ml, SDHEA 156 ng/ml (VN: 100-300
ng/ml), D4 androsténédione à 8 ng/ml (VN: 0,8- 3 ng/ml).

1- Précisez le diagnostic auquel vous pensez :

A. Tumeur virilisante de l'ovaire


B. Tumeur virilisante surrénalienne
C. Syndrome de résistance aux glucocorticoïdes
D. Bloc enzymatique en 11 hydroxylase
E. Hirsutisme idiopathique

2- Précisez parmi les explorations suivantes celles vous permettant à distinguer entre une sécrétion
hypophysaire et paranéoplasique de l'acth:

A. Ingestion de 2,5 mg de Dexaméthasone chaque 5h pendant 48h, suivie de la mesure de la


cortisolémie 6h après la dernière prise de Dexaméthasone
B. Ingestion de 8 mg/j de Dexaméthasone pendant 2j suivie de la mesure de la cortisolémie 6h après la
dernière prise de Dexaméthasone
C. Ingestion de 3 mg de Dexaméthasone à minuit puis le dosage du cortisol plasmatique le lendemain à
8h
D. Ingestion de 2 comprimés de 0,5 mg de Dexaméthasone vers 23h puis le dosage du cortisol
plasmatique le lendemain à 8h
E. Ingestion de 1 mg de Dexaméthasone chaque 6h pendant 15h suivie de la mesure de la cortisolémie
6h après la dernière prise de Dexaméthasone

3- Précisez le taux du cortisol plasmatique, permettant d'avoir le diagnostic de sécrétion hypophysaire


d'acth et ce après le test que vous venez de réaliser à la question 2 :

A. Le cortisol doit augmenter de plus de 50% de sa valeur initiale


B. Le cortisol doit être inférieur à 50 ng/ml
C. Le cortisol doit rester supérieur à 1.8 µg/dl
D. Le cortisol doit être inférieur à 1.8 µg/dl

1 2 3
A BC A

12. Mme A.B âgée de 25 ans, est orientée par un dermatologue pour suspicion d'une
origine endocrinienne à son alopécie installée depuis quelques mois et d'aggravation
progressive.

1- Précisez les étiologies possibles de l’alopécie en dehors de l'hyperandrogénie :


A. Hyperaldostéronisme primaire
B. Hypothyroïdie
C. Phéochromocytome
D. Anémie par carence martiale
E. Anorexie mentale

2- Quels sont les signes cliniques d'hyperandrogénie à rechercher chez cette dame ?
A. Séborrhées
B. Atrophie du clitoris
C. Raucité de la voix

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MERAKI MED – ENDOCRINOLOGIE – QCM et CAS CLINIQUES 2014 - 2019

D. Amyotrophie des muscles proximaux


E. Acanthosis nigricans

3- Mme A.B a ramené avec elle le bilan biologique suivant : testostérone 4,5 ng/ml (valeur normale 0,4
- 0,8 ng/ml), D4 androstènedione à 8 ng/ml (VN : 0,8 - 3 ng/ml). Précisez les diagnostics possibles
auxquels vous pensez devant ce tableau biologique ?
A. Tumeur virilisante de l'ovaire
B. Tumeur virilisante surrénalienne
C. Syndrome des ovaires micropolykystiques
D. Syndrome de résistance aux glucocorticoïdes
E. Bloc enzymatique en 21 hydroxylase

4- Le syndrome de résistance aux glucocorticoïdes est suspecté devant un hirsutisme associé à


certains signes cliniques et biologiques, lesquels ?
A. Morphotype cushingoïde associé à un bilan biologique en faveur d'un déficit corticotrope
B. Morphotype cushingoïde associé à un hypercorticisme biologique freinable
C. Cortisol libre urinaire augmenté mais sans morphotype cushingoïde
D. Hypercorticisme biologique non freinable associé à un syndrome de cushing clinique
E. Une hypertension artérielle avec une hypokaliémie peuvent être rencontrée

1 2 3 4
BCE AC AB CE

13. Melle B.A. célibataire ágée de 22 ans, originaire et demeurant à Constantine et sans
antécédents particuliers. Elle consulte en endocrinologie pour un hirsutisme modéré à
sévère apparu après la puberté, d'aggravation rapide score à 26 (selon le score de
Ferriman et Gallway) associé à des troubles du cycle puis aménorrhée depuis 8 mois.
A l'examen clinique, on retrouve une patiente de 1,70 m de taille, BMI normal sans
morphotype particulier, avec une pression artérielle de 11/07 cmhg, une voix rauque,
une alopécie androgénique et sans ambiguïté des organes génitaux externes.

1- Précisez les réponses justes parmi les propositions suivantes concernant le score de Ferriman et
Gallway:

A. Il tend à être supplanté par les photographies numériques


B. Il garde son intérêt dans les études cliniques et thérapeutiques
C. Parmi les territoires pris en considération dans ce score, on retrouve « les favoris
D. Parmi les territoires pris en considération dans ce score, on retrouve a les fesses »
E. On parle d'un hirsutisme à partir d'un score de 12

2- Quelles sont parmi les étiologies suivantes. Celles qui peuvent entraîner un hirsutisme?

A. Une hyperprolactinémie Une hyperthécose ovarienne


B. Un syndrome de Cushing
C. Un diabète sucré
D. Un diabète insipide

3-: Selon l'énoncé, quelles sont les étiologies possibles pour expliquer cet hirsutisme chez Mlle B.A.
?

A. Un adénome surrénalien
B. Une tumeur virilisante de l'ovaire
C. Une tumeur virilisante de la surrénale

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D. Un hirsutisme idiopathique
E. Un déficit en 11 Béta hydroxylase

4- Des bilans biologiques de première intention ont été demandés et revenus comme suit :
Testostérone à 3.2 ng/ml (VN de 0,4-0,8), SDHEA 3 110 ng/ml (VN: 100-300 ng/ml); Delta 4
androsténédione à 6.2 ng/ml (VN : 0,8-3 ng/ml).précisez les 2 diagnostics auxquels vous pensez ?

A. Une tumeur virilisante de l'ovaire


B. Une tumeur virilisante surrénalienne
C. Corticosurrénalome
D. Phéochromocytome
E. Une hyperthécose ovarienne

5- Quelle est exploration qui vous permet en général de faire le diagnostic topographique et surtout
différentiel entre les 2 étiologies auxquelles vous penser ?

A. TDM surrénalienne ***


B. TDM ovarienne
C. IRM abdomino pelvienne
D. Cathétérisme des veines surrénaliennes
E. Cathétérisme des veines ovarienne

1 2 3 4 5
AB ABC BC AE ??

14. Melle AA. Est âgée de 32 ans. Elle est originaire et demeurante à Constantine et
présente des antécédents familiaux de décès d'un frère en période néonatale de cause
imprécisée. Elle consulte en endocrinologie pour un hirsutisme modéré apparu en péri-
pubertaire, stable et score à 18 (selon le score de Ferriman et Gallway). A l'examen
clinique, on retrouve une patiente de 1,40m de taille et 45 kg de poids, avec une
pression artérielle de 11/07 Cm Hg, une voix rauque, un développement des masses
musculaires et une ambiguïté des organes génitaux externes.

1- Préciser la ou les réponses justes parmi les propositions suivantes concernant le score de Ferriman
et Gallway :

A. On parle d'un hirsutisme à partir d'un score de 10


B. Ce score présente un problème de reproductibilité lié à la subjectivité de l'évaluation
C. II tend à être supplanté par les photographies numériques
D. Garde son intérêt dans les études cliniques et thérapeutiques
E. Toutes les propositions précédentes sont fausses

2- Quelles sont parmi les étiologies suivantes, celles qui peuvent entraîner un hirsutisme ?

A. Syndrome de résistance aux corticostéroïdes


B. Hyperthyroïdie
C. La prise de Dépakine (Acide valproique)
D. Une hyperplasie congénitale des surrénales
E. Un diabète sucré

3- Selon l'interrogatoire et le tableau clinique de la patiente A.A. une étiologie bien précise de son
hirsutisme est suspectée, laquelle :

2019/2020 96
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A. Un syndrome de Cushing
B. Une tumeur virilisante de l'ovaire
C. Une tumeur virilisante de la surrénale
D. Un déficit en 21 hydroxylase
E. Un déficit en 11 B hydroxylase

4- Quel est le paramètre biologique vous permettant de confirmer votre présomption clinique ?

A. Cortisolémie après freinage minute


B. 17 hydroxyprogesterone
C. 11 désoxycorticostérone (DOC)
D. Delta 4 Androstenedione
E. SDHEA

5- Quels sont parmi les molécules suivantes, celles qui ont un pouvoir anti androgénique et proposées
dans le traitement de l'hirsutisme :

A. Spironolactone
B. Acétate de Cyprotérone (Androcur)
C. Ketoconarole
D. Analógues de la somatostatine
E. OPDOD
1 2 3 4 5
BCD ACD D B AB

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6- LA GLANDE HYPOPHYSAIRE

" Push yourself, because no one else is


going to do it for you !

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1. Toutes ces hormones sont secrétées au niveau de l'antéhypophyse sauf une laquelle :
A. GH
В. АСТН
C. TSH
D. ADH
E. PRL
Rep : D

2. L'insuffisance antéhypophysaire (IAH) se manifeste sur le plan clinique par :


A. Un faciès pale, avec une peau froide et sèche
B. Un faciès bouffi avec des sueurs profuses
C. Une mélanodermie
D. Une dépigmentation des organes génitaux externes
E. Un hirsutisme
REP : AD

3. L'insuffisance antéhypophysaire AHI se manifeste sur le plan clinique par :


A. Une dépilation au niveau des aisselles et du pubis très évocatrice chez les patients de plus de 60 ans
B. Une dépilation au niveau des aisselles et du pubis due à l’absence d'androgènes surrénaliens et
gonadiques
C. Une mélanodermie
D. Une dépigmentation des organes génitaux externes
E. une dépigmentation des aréoles mammaires
REP : BDE

4. L’insuffisance antéhypophysaire (AH) peut se manifester sur le plan biologique par :


A. Une hyperkaliémie
B. Une hypokaliémie
C. Une hyponatrémie
D. Une hypocalcémie
E. Une hypoglycémie
REP : CE

5. L'insuffisance antéhypophysaire (IAH) peut se manifester sar le plan biologique par :


A .Une hyperkaliémie
B. Une hypokaliémie
C. Une hypocalcémie
D. Une hypercalcémie
E. Une hypoglycémie
REP : E

6. Parmi les propositions suivantes, lesquelles sont en faveur d'un syndrome de Sheehan chez
une femme en post-partum :
A. Céphalées intenses avec troubles visuels
B. Notion d'accouchement hémorragique avec transfusion sanguine
C. Insuffisance antéhypophysaire avec hyperprolactinémie
D. Absence de montée laiteuse
E. Absence de retour de couches
REP : BDE

7. L'hypophysite auto immune est :


A. Une nécrose hypophysaire du post partum.
B. Une infiltration lymphoplasmocytaire de l'hypophyse.

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C. Caractérisée par la triade : un accouchement hémorragique, absence de monte laiteuse et absence de


retour de couches.
D. Un diagnostic différentiel du syndrome de Sheehan.
E. Vue dans le post partum
REP : BDE

8. Quels sont les éléments en faveur d'un surdosage en Desmopressine ?


A. Soif intense
B. Dégoût pour l'eau
C. Natrémie à 155 meg/l
D. Natrémie à 128 mEq/l
E. Osmolarité plasmatique de 320 mosm/l
REP : BD

9. Les quelles des situations suivantes sont responsables d’une baisse du taux plasmatique
d'IGF1 ?
A. Déficit en GH (Hormone de croissance)
B. Grossesse
C. Malnutrition
D. Insuffisance hépatique
E. Période pubertaire
REP : ACD

10. L'hypoglycémie stimule la sécrétion de GH (hormone de croissance) par le biais de


A. Des récepteurs a2 adrénergiques
B. Des récepteurs B2 adrénergiques
C. Des récepteurs al adrénergiques
D. Des récepteurs B1 adrénergiques
E. Des récepteurs dopaminergiques
REP : A

11. Une insuffisance antéhypophysaire peut se manifester par


A. Une insuffisance rénale
B. Une hypoglycémie
C. Une anémie
D. Un syndrome polyuro-polydipsique
E. Un retard pubertaire
REP : BCE

12. Un adénome thyréotrope est évoqué devant un taux de


A. F-T4 élevé
B. FT4 bas
C. TSH normal
D. TSH élevé
E. TSH bas
REP : ACD

13. Parmi les éléments suivants, lesquels plaident en faveur d'une insuffisance corticotrope ?
A. La présence d'une mélanodermie
B. La présence d'autres déficits hypophysaires
C. Une symptomatologie plus marquée
D. Une hyponatrémie avec kaliémie normale
E. Un taux de cortisol plasmatique 2 fois le taux de base anras test à l'hypoglycémie insulinique

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REP : BD

14. Toutes ces pathologies peuvent entrainer un Hypopituitarisme antérieur global sauf :
A. Le syndrome de Sheehan
B. La chirurgie des adénomes hypophysaire
C. La corticothérapie au long cours
D. L’apoplexie hypophysaire
E. Les craniopharyngiomes
REP : C

15. Les causes hypothalamiques de l'insuffisance antéhypophysaire sont :


A. le craniopharyngiome
B. les macro- adénomes hypophysaires
C. les granulomatoses (sarcoïdose)
D. l'abcès hypophysaire
E. La nécrose ischémique du post-partum (syndrome Sheehan)
REP : AC

16. Parmi les tumeurs non adénomateuse suivantes, quelle est la plus fréquente chez l’enfant ?
А. l’hamartome
B. Le craniopharyngiome
C. Le kyste arachnoïdien
D. Le gliome
E. Le méningiome
REP : B

17. Cochez la ou les propositions justes parmi les suivantes concernant les étiologies de L’IAH :
A. Le craniopharyngiome est une tumeur bénigne survenant principalement chez les adultes.
B. Le syndrome de sheehan se caractérise par un accouchement hémorragique, l'absence de retour des
couches et l'absence de montée laiteuse.
C. Le syndrome de sheehan se caractérise par un accouchement hémorragique, l'absence de retour des
couches associé une galactorrhée.
D. L'hypophysite auto-immune est suspectée devant le contexte d'accouchement hémorragique
E. L'IAH peut s'installer 20 ans après une radiothérapie de la région hypothalamo-hypophysaire
REP : BE

18. Quels sont les examens complémentaires à réaliser en cas d'adénome somatotrope ?
A. Echocardiographie
B. Coloscopie
C.TDM thoracique
D. Dosage du Cortisol et ACTH à 8h du matin
E. Polysomnographie.
REP : ABDE

19. Quelles sont les anomalies biologiques qu'on peut retrouver en cas d'adénome hypophysaire
purement somatotrope :
A. Taux d’GF1 élevé
B.GH non freinable au cours d'une HGPO
C. Hypoglycémie
D. hypocholestérolémie
E. Taux d’ACTH élevé
REP : AB

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20. LE déficit gonadotrope peut se manifester sur le plan clinique par :


A. une baisse de la libido cher homme
B. des troubles du cycle avec des bouffées de chaleur chez la femme
C. une dépigmentation des organes génitaux externes
D. une raréfaction de la pilosité du visage chez l'homme
E. une dyspareunie chez la femme
REP : ADE

21. Le déficit gonadotrope peut se manifester sur le plan clinique par :


A. Une dysfonction érectile chez homme
B. Une dépigmentation des organes génitaux externes
C. Des spanioménorrhées avec bouffées de chaleur chez la femme
D. Des spanioménorrhées sans bouffées de chaleur chez la femme
E. Une aménorrhée froide
REP : ADE

22. Quels sont les signes biologiques non spécifiques orientant vers un déficit corticotrope ?
A. Hypoglycémie
B. Anémie
C. hyperkaliémie
D. Hypokaliémie
E. hyponatrémie
REP : AE

23. L'insuffisance corticotrope peut se voir dans :


A. L'hypophysite auto-immune.
B. Le syndrome de Waterhouse Friedrichsen
C. La corticothérapie au long cours
D. La Maladie De Cushing.
E. Les adénomes hypophysaires
REP : ACE

24. Les anomalies biologiques non spécifiques de l'insuffisance antéhypophysaire :


A. l’anémie témoigne du déficit thyréotrope
B. L’hypoglycémie témoigne du déficit somatotrope et thyréotrope (surtout si associés)
C. La dyslipidémie témoigne du déficit thyréotrope
D. Une hyponatrémie témoigne du déficit corticotrope et thyréotrope (surtout si associés)
E. Elévation des CPK témoigne de l’insuffisance thyréotrope
REP : ACDE

25. L'hypoglycémie dans l’IAH est secondaire au :


A. Déficit somato corticotrope
B. Déficit somato thyréotrope
C. Déficit somato gonadotrope
D. Déficit en prolactine
E. Déficit en ADH
REP : A

26. Dans L’insuffisance antéhypophysaire, L’hypoglycémie est la conséquence d'un :


A. Déficit gonadotrope et thyréotrope
B. Déficit corticotrope et gonadotrope
C. Déficit somatotrope et thyréotrope
D. Déficit corticotrope et somatotrope

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E. Déficit lactotrope
REP : D

27. La surveillance biologique du traitement d'un pan hypopituitarisme se fait par les dosages de :
A. FSH
B. ACTH à 8h
C. Cortisolémie 4 heures après la prise d'hydrocortisone
D. FT4
E. Glycémie
REP : DE

28. La surveillance biologique du traitement lors d'un pan hypopituitarisme se fait par :
A. Le dosage du cortisol sanguin
B. Le dosage du cortisol salivaire
C. Le dosage de l'ACTH
D. Le dosage de la FT4
E. Le dosage de la TSH
REP : D

29. Dans l’insuffisance antéhypophysaire :


A. Le traitement substitutif est à vie pour les axes somato- corticotrope
B. La substitution gonadotrope est vitale et repose sur les gonadotrophines
C. La substitution somatotrope est indiquée chez l’enfant
D. La substitution en stéroïdes est dangereuse en cas d'adénome hypophysaire.
E. Le port de la carte addisonienne est obligatoire.
REP : CDE

30. Parmi les affections suivantes, quelles sent celles pouvant être responsables d’un syndrome
polyuro-polydipsique :
A. Hyperthyroïdie
B. Hypocalcémie
C. Déficit en vasopressine
D. Hyperkaliémie
E. Syndrome de Cushing
REP : ACE

31. Quelles sont les étiologies à évoquer devant un syndrome polyuro-polydipsique :


A. Insuffisance antéhypophysaire
B. insuffisance surrénalienne
C .Diabète insipide
D. Hypocalcémie
E. Hyperthyroïdie
REP : CE

32. Le syndrome polyurie Polydypsique peut être retrouvé dans les pathologies suivantes :
A. Syndrome de Sheehan
B. Insuffisance antéhypophysaire
C. Hypercorticisme exogène
D. Potomanie
E. Hypocalcémie
REP : ACD

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33. Quelles sont les étiologies à évoquer devant un syndrome polyurie polydipsique :
A. Le diabète sucré
B. Le diabète insipide
C. L’insuffisance antéhypophysaire
D. La polydipsie primaire
E. L’hypocalcémie
REP : ABD

34. Quels changements se produiront dans votre organisme si vous passez 24h sans boire ?
A. Rétention d'eau pour minimiser L’augmentation de l’osmolarité
B. Inhibition des Osmorécepteurs hypothalamiques qui vont stimuler la sécrétion d'ADH
C. Stimulation des Osmorécepteurs hypothalamiques qui vont stimuler la sécrétion d'ADH
D. Diminution du débit urinaire par inhibition du récepteur V2
E. Aucun changement
REP : AC

35. Parmi les causes suivantes, les quelles sont communes entre insuffisance antéhypophysaire et
diabète insipide ?
A. Section de la tige pituitaire
B. Syndrome de Prader Willi
C. Syndrome de Sheehan
D. Syndrome de Kallmann
E. Craniopharyngiome
REP : ACE

36. L'ADH (hormone antidiurétique)


A. Est libérée en réponse à l'hyper osmolarité urinaire
B. Est libérée en réponse à l’hyper osmolarité plasmatique /
C. Est libérée en réponse à l’hyper volémie
D. Agit par le biais de son récepteur V2 des cellules du tube collecteur rénal
E. Est libérée en réponse à l'hyponatrémie
REP : BD

37. Indiquez les propositions exactes parmi les suivantes concernant le diabète insipide :
A. Le diabète Insipide neurogène est secondaire à une mutation du gène de l’aquaporine 2
B. le diabète insipide néphrogénique est secondaire à une mutation du gène de l'aquaporine 2
C. L’hypokaliémie augmente la sensibilité à l’ADH
D. L’alcool inhibe la sécrétion de l’ADH
E. Le diabète insipide n'est jamais associé au diabète sucré
REP : BD

38. L’association d'un syndrome polyuro-polydipsique progressif chiffré à 8 litres/jour, sans signes
de déshydratation, avec une densité urinaire à 1000 évoque quel diagnostic ?
A. Diabète sucré
B. Insuffisance rénale
C. potomanie
D .Hypercalcémie
E .Tous ces diagnostics sont justes
REP : C

39. Quelle épreuve dynamique vous permettra de confirmer votre diagnostic ?


A .Epreuve de restriction hydrique
B. Epreuve de restriction hydrique administration d'arginine Vasopressine en fin d'épreuve (AVP)

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C. Test au sérum salé


D. Test à la nicotine
E. Test à L’insuline
REP : B

40. Les causes de diabète insipide vrai sont :


A. Méningiome
B. mydlome
C. Amylose
D. Sarcoidose
E. Tuberculose
A(C,D,E) B(A,B) C(A,D,E) D(E) E(A,B,C,D,E)
REP : C

41. Dans le cadre de l’exploration du diabète insipide ; en cas de présence d'une lésion tumorale
hypothalamique à l’IRM hypothalamo-hypophysaire associde à une insuffisance
antéhypophysaire, cochez la ou les réponses justes :
A. Le syndrome polyuro-polydipsique disparait la nuit sans traitement
B. Le test de restriction hydrique est inutile, car Il s'agit bien, généralement d'un diebète insipide central
C. Le test de restriction hydrique s'indique pour trancher entre un diabète Insipide central et une potomanie
D. Le Minirin même à doses faibles, entraine une Intoxication à l’eau
E. Le traitement de choix est une association d'hydrochlorothlazide (1 à 2 mg/) et indométecine (1,5-3mg/)
REP : B

42. L'hormone anti diurétique (ADH) :


A. Elle négative la clairance de l’eau libre car elle rend les urines hypertoniques
B. En l'absence d'ADH, le rein concentre moins bien les urines
C. L'hypoosmolarité plasmatique augmente l'ADH
D. L'hypovolémie et l'hypotension aigue augmentent L'ADH
E. L'hyper signal spontané de la post hypophyse est un bon reflet de l'absence d'ADH
REP : ABD

43. Le diabète insipide par carence en ADH se caractérise par une :


A. absence de concentration des urines au test de restriction hydrique
B. réponse positive à l'AVP
C. élévation de la densité urinaire après test de restriction hydrique
D. hyponatrémie en cas décompensation
E. Hyperosmolarité plasmatique en cas de restriction des boissons
REP : ABE

44. Le diabète insipide par déficit en ADH est caractérisé par


A. Une glucoserie
B. Une augmentation de l'osmolarité urinaire après injection de la Desmopressine
C.IRM hypophysaire retrouve un Hyper signal spontané en T1
D. Une étiologie tumorale peut être à son origine
E. Un syndrome polyuro-polydipsique chiffré à 2L
REP : BD

45. Quelles sont, parmi ces affections, celles responsable d’un diabète insipide ?
A. Hyperkaliémie
B. Hypokaliémie
C. Sécrétion inapproprié d'ADH
D. Hyperthyroïdie

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E. Sarcoïdose
REP : BDE

46. Le diabète insipide centrale peut être du :


A. Au syndrome de woifram
B. A la maladie de scheehan
C. A la prise du lithium
D. A la mutation du gène de l'aquaporine 2
E. A la schizophrénie
REP : AB

47. Le diabète insipide neurogène se caractérise par :


A. Absence de concentration des urines au test de restriction hydrique
B. Une réponse positive à l'hormone antidiurétique
C. Une élevation de la densité urinaire après restriction hydrique
D. Une hyponatrémie en cas de décompensation
E. Une hyperosmolarité plasmatique en cas de Jeune prolongé
REP : ABE

48. Au cours du diabète insipide central :


A. Le syndrome polyuropolydypsique persiste la nuit (bon signe d'organicité)
B. La polydipsie est sélective à l'eau avec une soif intense
C. La clairance à l'eau libre est négative
D. La densité urinaire est inférieure à 1005
E. La polyurie est une polyurie osmotique
REP : AD

49. Indiquer, parmi ces propositions, les éléments en faveur d'un diabète insipide neurogène
décompensé :
A. Soif intense
B. Dégoût pour l'eau
C. Natrémie à 132 mEa/L
D. Natrémie à 155 mEg/L
E. Osmolarité plasmatique de 290 mosm/l
REP : AD

50. Toutes ces étiologies peuvent entrainer un diabète insipide central sauf une :
A .Traumatisme crânien
B. Craniopharyngiome
C. Cause auto-immune
D. Toxique (lithium)
E. Sarcoïdose
REP : D

51. Au cours du traitement d'un Diabaté Insipide central par déficit en ADH, quels sont les signes
cliniques et/ou biologiques qui sont en faveur d'un surdosage en Desmopressine (Minirin) :
A. Persistance de la polyurie
B. Céphalées
C .Hyperkaliémie
D. Hyponatrémie
E. Nausées
REP : BDE

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52. Quels sont les éléments biologiques que partage le diabète insipide central avec le diabete
insipide néphrogénique ?
A. Hypokaliémie
B. Densité urinaire< 1005
C. Clairance de l'eau libre positive
D. Perte de l’hyper signal de l’hypophyse postérieure à l'IRM
E. Absence de réponse au traitement par LVP
REP : BC

53. Parmi les médicaments suIvants, quels sont ceux qul peuvent étre à L’origine d'un diabète
insipide néphrogénique :
A. Diurétique de l'anse
B. Lithium
C. Ofoxacine
D. Mannitol
E. Cisplatine
REP : BCE

54. Quels sont les mécanismes possibles d'une galactorrhée chez un acromégale ?
A. Action lactotrope de la GH
B. Une déconnection hypothalamo-hypophysaire
C. idiopathique
D. Psychique
E. Adénome hypophysaire mixte secrétant GH et la prolactine
Rep : ABE

55. Le taux de réabsarption du phosphore (TRP) était indiqué afin d'apprécier l'evolutivité :
A. D'une néphropathie diabétique
B. D'une cétose hyperchlormique
C. D'une acromégalie
D. D'une neuropathie diabétique
E. D'une hyperosmolarité debutante chez un diabétique de type 2 agée
Rep : C

56. Quels sont les effets secondaires possibles du Pegvint?


A. Augmentation du volume tumoral
B. Lithiase vésiculaire
C. Lipodystrophies
D. Hépatite médicamenteuse
E. Diabète insipide
Rep : ACD

57. Le syndrome dysmorphique acromégaloïde peut se manifester par


A. des vergetures pourpres
B. une macroglossie,
C. une bosse de bison
D. Un épaississement des mains et des pieds
E. Un aplatissement du front
REP : BD

58. On retrouve dans le syndrome dysmorphique acromégaloïde les signes suivants :


A .macroglossie
B. micrognathisme

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C. érythrose du visage
D. épaississement des mains et des pieds
E. bombement du front et saillie des arcades sourcilières
REP : ADE

59. Acromégalie peut être due à :


A. Un adénome somatotrope
B. Une tumeur hypothalamique
C. Une tumeur carcinoïde
D. Un cancer hypophysaire
E. Un craniopharyngiome
REP : ABCD

60. Quels sont les mécanismes possibles d’une hyperprolactinémie chez un acromégale :
A. Compression de la tige pituitaire
B. Prise d’agonistes dopaminergiques
C. Adénome mixte sécrétant prolactine et GH
D. Adénome mixte sécrétant ACTH et GH
E. Déficit gonadotrope
REP : AC

61. Quel est l’examen demander chez un ptient qui presente un sydrome d’apnée du sommeil,
diabète sucré type 2, syndrome du canal carpien, hta, hyperhidrose :
A. Cycle de GH dans un laboratoire fiable
B. hypoglycémie insulinique
C. HGPO sur GH
D. IGF1 de base
E. IRM hypophysaire.
REP : D

62. La première étape du diagnostic biologique d'une acromégalie repose sur :


A. Le dosage de la GH
B. La pratique d'un cycle de GH
C. Le dosage de I'IGF1
D. Le test de freinage HGPO/GH
E. le dosage de la GH urinaire
REP : C

63. devant une IGF1 élevée dans un contexte clinique franc d'acromégalie que doit-on faire?
A. le dosage de la GH
B.La pratique d'un cycle de GH
C. Un 2eme dosage del’ IGF1
D.Le test de freinage HGPO/GH
E. Le dosage de la GH urinaire
REP : D

64. Le test da freinage HGPO/GH est indiqué :


A. En cas d’IGF1 basse selon les normes selon le sexe et l'âge du patient
B. en cas d’IGF1 dans les normes selon le sexe et l'âge du patient
C. en cas d’IGF1 élevée selon le sexe et l'âge du patient
D. En cas de forte suspicion clinique d’acromégalie
E. En cas de forte suspicion biologique d'acromégalie
REP : C

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65. Quel est l'élément biologique permettant de confirmer le diagnostic d'acromégalie ?


A. La GH de base < 0,4ug/l
B. La GH de base < 1ug
C. Le nadir de GH au cours de l'HGPO > 1ug/l
D. Le pic de GH au cours de l'hypeglycémie Insulinique > 1 ug
E. Un cycle de la GH rompu
REP : C

66. En dehors de l'HTA, quelles autres complications peuvent présenter une acromégalie ?
A. diabète sucré
B. rhumatisme
C. cécité par atrophie optique
D. pancréatite aigue
E. cardiomyopathie
REP : ABCE

67. Toutes cas complications peuvent etre observées chez l’acromégale sauf une, laquelle ?
A. L'apnée du sommeil
B. l'intolérance au glucose
C. La dépression
D. Vergetures pourpre
E. HTA
REP : D

68. Toutes ces complications peuvent etre observées chez l’acromégale sauf une, laquelle ?
A. L'apnée du sommeil
B. L’intolérance au glucose
C. La dépression
D. l’HTA
E. L’hypocalcémie
REP : E

69. Les complications cardiovasculaires dans l'acromégalie se caractérisent par ?


A. Une prévalence accrue des valvulopathie réversibles après le traitement de l'acromégalie
B. Une HTA du exclusivement à un dysfonctionnement endothélial
C. Une cardiomyopathie spécifique à type Hypermétropie concentrique au début de la maladie
D. Ce type de complication conditionne le pronostic vital
E. les troubles du rythme se voient exclusivement à un stade tardif de la maladie
REP : CD

70. Quelles sont les modalités thérapeutiques possibles en cas d'acromégalie par adénome
somatotrope :
A. Analogues de la somatostatine
B. Kétoconazole
C. Chirurgie transphénoïdale
D. Radiothérapie
E. Pegvisomant
REP : ACDE

71. Dans quelles situations le traitement médical peut être indiqué en première intention devant
une acromégalie par adéname somatotrope ?
A. Désir du médecin
B. Le risque d'induire un déficit en GH

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C. Chirurgie contre-indiquée ou inaccessible.


D. Le risque de déficit gonadotrope
E. Risque anesthésique très élevé
REP : CE

72. Dans quelles situations le traitement médical peut être indiqué en première intention devant
une acromégalie par adénome somatotrope ?
A. Désir du patient
B. Chirurgie contre-Indiquée ou inaccessible.
C. Comorbidités sévères (SAS, cardiomyopathie..) avec risque anesthésique très elevé
D. Le risque d’induire un déficit en GH
E. Le risque de déficit gonadotrope
REP : ABC

73. Dans le traitement médical de l'acromégalie, l’intérêt des analogues de la somatostatine est
limité par :
A. Le risque de Lithiases biliaire
B. Leur cout élevé
C. Le risque d'induire une hypothyroïdie
D. L'impuissance qu'ils entrainent
E. Le risque d'induire une hyperthyroïdie.
REP : AB

74. L’intéret des analogues de la somatostatine est limité par :


A. le prix des médicaments
B. le risque de lithiases biliaires
C. La présence d'une HTA chez le patient
D. Le risque d'induire une hyperthyroidie
E. Le risque de deficit gonadotrope
REP : АВ

75. L'IGF1 est L’unique moyen de surveillance et d'adaptation de quel type de traitement dans
l'acromégalie ?
A. Le somavert
B. Le pasiréotide
C. L'octréotide
D. Le lanréotide
E. Le dostinex
REP : A

76. Quel est le traitement de 1ére intention préconisé chez un patient acromégale avec troubles
visuels ?
A. Radiothérapie hypothalamo-hypophysaire
B. Implant de corps radioactifs au niveau de l’hypophyse
C. Traitement médical par bromocriptine
D. Chirurgicale par voie transphénoïdale
E. Chirurgie par voie frontale
REP : D

77. Quel est le traitement essentiel, le plus habituel, de première Intention d’une acromégalie
due à un adénome hypophysaire de 11 mm ?
A. La radiothérapie externe
B. L'adénomectomie par voie sous-frontale

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C. La bromocriptine
D. Les analogues de la somatostatine
E. L'adénomectomie par voie transphénoïdale
Rep : E

78. Les résultats de la chirurgie des adénomes à GH dépendent de :


A. Les taux de GH préopératoires
B. De la taille de la tumeur hypophysaire
C. De l’expérience du chirurgien
D. De la durée de la dysmorphie
E. Des secrétions hypophysaires mixte de prolactine
REP : АВС

79. Quand la courbe de croissance pondérale est supérieure à celle de la croissance staturale ; quels
sont les diagnostics possibles ?
A. Retard simple de croissance et de la puberté
B. Retard statural psychosocial.
C. hypercorticisme.
D. hypothyroïdie
E. Prader- Willi
REP : CDE

80. Une cassure de la courbe de croissance staturo-pondérale doit faire évoquer quel(s)
diagnostic(s)
A. Maladie osseuse constitutionnelle.
B. craniopharyngiome.
C .Retard de croissance intra utérine sans rattrapage
D. petite taille idiopathique
E. syndrome de Turner
REP : B

81. Le déficit en GH, en période néonatale, peut se manifester par :


A. Hyperglycémie.
B. Hypoglycémie.
C. Convulsion
D. Petite taille dès la naissance.
E. Malformations de la ligne médiane
Rep : BCE

82. En période néonatale, le déficit congénital en GH combiné aux autres déficits hypophysaires
se traduit cliniquement par ?
A. Poids et taille inférieurs à 2 DS
B. Micropénis
C. Hypertélorisme
D. palais ogival
E. Absence des points d'ossifications habituels
REP : B

83. Le déficit congénital en GH combiné aux autres déficits hypophysaires, se traduit


cliniquement en période néonatale par ?
A. Poids et taille inférieurs à 2 DS
B. Epilepsie
C. Colobome irien

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D. Micropénis
E. Absence des points d'ossifications habituels
REP : CD/BCD

84. Devant un retard de croissance statural et pubertaire sans orientation étiologique chez la fille
quel est le diagnostic que vous devez évoquer en premier :
A. Retard de croissance constitutionnel car c'est la cause la plus fréquente (70% des cas)
B. Déficit isolé en GH
C. Malade cœliaque
D. Syndrome de Turner
E. Craniopharyngiome
REP : D

85. Quel est le bilan nécessaire pour le diagnostic du Syndrome de Turner ?


A. Un bilan gonadotrope
B. échographie pelvienne
C. la radio du poignet droit
D. le caryotype
E. dosage de l’IGF1
REP : D

86. Devant un retard de croissance staturo-pondérale chez une fillette sans orientation clinique
particulère, chez qui le bilan biologique standard est revenu normal ; quel serait le prochain
bilan que vous allez demander ?
A. TSH, FT4
B. IGF1
C. Biopsie jéjunale
D. Caryotype
E. Test d'hypoglycémie insulinique
REP : D

87. Quelles sont les situations responsables d'une baisse du taux d'IGF1 ?
A. Période pubertaire
B. Grossesse
C. Malnutrition
D. Insuffisance hépatique
E. Syndrome de résistance à la GH
REP : CDE

88. Parmi les indications suivantes du traitement par hormone de croissance : quelles sont celles
qui ont reçu l’AMM (autorisation de mise sur le marché) et le remboursement en Algérie
A. Le déficit en GH chez l'adulte
B. L'insuffisance rénale chronique de l’enfant
C. Le retard de croissance Intra-utérin
D. Le syndrome de Prader-Willi
E. La petite taille idiopathique
REP : AB

89. Parmi les propositions suivantes concernant le traitement par hormone de croissance cochez
celles qui ont l’AMM (autorisation sur le marché) e le remboursement en Algérie :
A. insuffisance rénale
B. Petite taille idiopathique
C. Syndrome de Turner

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D. Insuffisance hépatique
E. Retard de croissance idiopathique
REP : АC

90. Le traitement par GH recombinante :


A. se fait en injection intramusculaire
B. est Indiqué dans tous les cas de déficit en GH quel que soit I 'étiologie
C. Peut entrainer des hypoglycémies
D.se fait en injection sous cutanée
E.se fait en injection quotidienne 7jours/7
REP : DE

91. Puberté
Le pic pubertaire de croissance
A. Est plus précoce chez la fille
B. Débute à mi- puberté chez les garçons
C. Est dû aux androgènes surrénaliens
D. Est dû à l'action couplée de GH et des stéroïdes sexuels
E. Est favorisé par les corticoïdes
REP : ABD

92. Une puberté précoce se manifeste par :


A. un retard de l'âge osseux
B. un retard de croissance staturopondéral.
C. une accélération de la vitesse de croissance
D. un développement des organes génitaux externes à partir de l'age de 12 ans
E. une apparition prématurée des caractères sexuels secondaires
REP : CE

93. Une puberté précoce peut se manifester par :


A. Un retard de l'âge osseux
B. Une avance de l'âge osseux
C. Une accélération de la vitesse de croissance
D. Un développement des organes génitaux externes vers l'âge de 11ans chez les filles et 13 ans chez les
garçons
E. une apparition prématurée des caractères sexuels secondaires
REP : ВСЕ

94. Quels sont les éléments en faveur d'un retard pubertaire simple ?
A. L'existence de cas similaires dans la famille
B. est plus fréquent chez les filles que chez les garçons
C. L'existence de retard de la maturation osseuse
D. L'absence d’anomalies à l'IRM hypophysaire
E. La présence de syndrome tumoral intracrânien
REP : ACD

95. Dans le retard de croissance avec puberté différée (retardée) du garçon, une ou plusieurs
propositions sont exactes :
A. Il existe des antécédents familiaux fréquents
B. Un ralentissement de la vitesse de croissance dès la première année de vie.
C. Un retard important de la maturation osseuse
D. Le déficit en GH est organique
E. Le déficit en GH est fonctionnel
Rep : AE

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CAS CLINIQUES

96. Madame ML 45 ans, consulte pour aménorrhée secondaire installée il y a 4 mois. L'examen
clinique retrouve une notion de céphalées récurrentes, parfois rebelles aux antalgiques
habituels, un visage chevalin avec prognathisme ainsi qu'une notion d'augmentation de
pointure. Une HTA systolo-diastolique, diabète sucré, les deux non contrôlés sous leurs
traitements respectifs actuels, une galactorrhée provoquée bilatérale avec hyperprolactinémie
biologique, une amputation du champ visuel externe des deux côtés.
La patiente présente par ailleurs un goitre homogène avec exophtalmie ainsi qu'un syndrome
d'apnée du sommeil. Une IRM hypophysaire réalisée retrouve un macroadénome hypophysaire
comprimant le chiasma optique avec extension aux sinus caverneux.

Question 01 : Quels sont les éléments cliniques qui ont fait suspecter la présence d'un adénome
hypophysaire ?
A. Les céphalées
B. L'hémianoptie
C. L'HTA
D. Le goitre
E. Le syndrome d'apnée du sommeil

Question 02 : Devant ce tableau clinique, vous suspecter une endocrinopathie particulière, quelle est la
première étape du diagnostic biologique de cette pathologie ?
A. IGF-1
B. Test d'hypoglycémie insulinque sur GH
C. Une hyperglycémie provoquée par voie orale sur GH
D. GH de base IGF-1
E. GH de base FSH

Question 03 : Comment expliquez-vous l'hyperprolactinémie dans ce cas ?


A. Action lactotrope de la GH
B. Idiopathique
C. Déconnexion hypothalamo-hypophysaire
D. Adénome hypophysaire mixte secrétant la GH et la prolactine
E. Goitre

Question 04 : L'aménorrhée primaire peut être en rapport avec :


A. Un déficit gonadotrope fonctionnel
B. Une atteinte ovarienne secondaire à l'hyperprolactinémie
C. Un déficit gonadotrope organique par destruction des cellules gonadotropes par la tumeur
D. Un déficit gonadotrope définitif par compression de la tige pituitaire
E. Un déficit gonadotrope organique lié au déséquilibre métabolique

Question 05 : Devant ce tableau clinique, quel sera le moyen thérapeutique à utiliser en première intention
?
A. L'exérèse chirurgicale par voie trans-sphénoïdale
B. Pegvisomant
C. Somatuline Autogel
D. Radiochirurgie (gamma-knife)
E. Radiothérapie conventionnelle

QST1 QST2 QST3 QST4 QST5


AB D ACD ACD C

97. Yanis, âgé de 6 ans et 5 mois, est vu en consultation, accompagné de ses parents, pour un retard
statural. Il est né à 37 semaines d'aménorrhées avec un poids et taille normaux, cependant Il a

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été hospitalisé à la naissance pour hypoglycémies. Le développement psychomoteur était


normal. Yanis semble très éveillé mais un peu timide car c'est le plus petit de sa classe.
L'examen montre une taille à 101 cm (-3DS), un poids à 16 kg (-2DS). Il présente des bosses
frontales, une ensellure nasale marquée, une adiposité abdominale et une verge <2 cm. Le reste
de l'examen est sans particularité.
Taille du père : 1.80 m. taille de la mèra 1.52 m. A noter que son frère ainé agé de 13 ans est
de taille normale.

Question 01 : Quels sont les facteurs qui influencent la croissance staturale des enfants ayant le même âge
que Yanis ?
A. La testostérone
B. L'axe GH/IGF-1
C. La génétique
D. Les hormones thyroïdiennes
E. Les antécédents personnels de souffrance foetale

Question 02 : Quel est le premier examen paraclinique à demander pour avoir une idée sur le pronostic
statural ?
A. IGF-1
B. Tests dynamiques de GH
C. Calcul de la taille cible corrigée
D. IRM hypophysaire
E. Radiographie du poignet gauche

Question 03 : Votre examen clinique vous fait suspecter un déficit en GH congénitale, Quels sont les signes
cliniques en faveur de ce diagnostic ?
A. Adiposité abdominale
B. Ensellure nasale,
C. Verge <2 cm
D. Hypoglycémie en bas âge
E. Taille à -3 DS
QST1 QST2 QST3
BCD E CD

98. Mohamed Yanis, âgé de 6 ans et 4 mois, issu d'un mariage consanguin est vu en consultation
pour retard statural. Taille : 101 cm (-3DS), poids 16 kg (-2DS), présente des bosses frontales,
une ensellure nasale marquée, un bec de lièvre. L'examen montre une adiposité abdominale,
un micro pénis avec testicules en place. Développement psychomoteur normal. Age osseux :
3.5 ans. Père : 1,80 m, mère : 1,66 m, un frère de 10 ans de taille normale

Question 01 : Quelle est la taille cible du petit Mohamed Yanis ?


A. 1,20 m
B. 1,90 m
C. 1,79 m
D. 2,00 m
E. 1,60 m

Question 02 : Quels sont les arguments qui vous orientent a priori vers un déficit en GH ?
A. Taille à -3 DS
B. Notion de mariage consanguin chez les parents
C. L'âge osseux inférieur à l'âge civil
D. Adiposité abdominale
E. Sexe masculin

Question 03 : Quels sont les arguments que vous orientent cliniquement vers un déficit en
GH congénital ?

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MERAKI MED – ENDOCRINOLOGIE – QCM et CAS CLINIQUES 2014 - 2019

A. Hypoglycémie
B. Micropénis
C. Anomalies de la ligne médiane
D. La taille cible parentale
E. L'âge osseux

Question 04 : Devant une petite taille, l'étude de la sécrétion de GH :


A. Est nécessaire à -1,5 DS avec une vitesse de croissance normale
B. Est nécessaire à -2 DS
C. Inutile avant l'âge de 8 ans
D. Est nécessaires les parents sont de petite taille
E. Est nécessaire en présence d'une cassure de la vitesse de croissance

Question 05 : le traitement de GH :
A. Se fait en injection intramusculaire
B. Se fait en injection sous cutanée
C. Se fait en Injection intraveineuse
D. Se fait exclusivement en milieu hospitalier
E. N'a aucun effet secondaire

QST1 QST2 QST3 QST4 QST5


C ACD ABC BE B

99. Un enfant âgé de 7 ans, est vu en consultation, accompagné de ses parents, pour un retard
statural. Il est né à 37 semaines d'aménorrhée avec un poids et taille normaux, cependant il a
été hospitalisé à la naissance pour hypoglycémie. Le développement psychomoteur était
normal. A l'examen clinique : Taille : 109 cm (-3DS), poids : 23 kg (-2DS), présence de bosses
frontales, ensellure nasale marquée, adiposité abdominale, verge < 2 cm sans autre anomalies.
Taille du père : 1.80 m, taille de la mère : 1.50 m

Question 01 : Quelle est la taille cible de cet enfant ?

A. 173 cm
B. 159.5 cm
C. 180 cm
D. 174.5 cm
E. Non calculée car ininterprétable

Question 02 : Quel est le premier examen paraclinique à demander pour avoir une idée sur
son pronostic statural ?

A. Radiographie du poignet gauche


B. IGF-1
C. Tests dynamiques de GH
D. Calcul de la taille cible corrigée
E. IRM Hypophysaire

Question 03 : En dehors du déficit en GH, quelles sont les autres situations qui peuvent
entraîner une baisse du taux d'IGF-1 ?

A. Période pubertaire
B. Grossesse
C. Malnutrition
D. Insuffisance hépatique
E. Adénome gonadotrope

2019/2020 116
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Question 04 ; Parmi les tests dynamiques d'exploration de l'axe somatotrope lors des retards
de croissance, l'hypoglycémie insulinique en représente le gold standard. Quelles sont ses
contre-indications ?

A. Epilepsie
B. Diabète sucré
C. Obésité
D. Retard de croissance sévère
E. Antécédents neurologiques

Question 05 : Au cours du suivi de ce jeune garçon, un test d'exploration dynamique de GH


(avlocardyl - glucagon/GH) est d'abord réalisé. Le pic de GH est à 5 ng/ml, quelle sera votre
démarche diagnostique ultérieure ?

A. Compléter par une IRM hypophysaire


B. Traiter par l'hormone de croissance
C. Réaliser un deuxième test dynamique a type d'hypoglycémie insulinique
D. Traiter par stéroïdes sexuels
E. S'abstenir de toute thérapeutique et assurer une surveillance de la courbe de croissance
QST1 QST2 QST3 QST4 QST5
E A BC AE C

100. Une fille âgée de 3 ans, sans antécédents particuliers, est ramenée par sa mère qui constate
l’apparition d'un bourgeonnement mammaire. A l'examen clinique, vous retrouver un
TANNER A1P1S2, sans avance staturale et un âge osseux normal par rapport à son âge civil.
Son utérus a un aspect prépubère à l'échographie pelvienne.

Question 01 : Le diagnostic le plus probable est donc :

A. Une prémature thélarche isolée


B. Une puberté précoce centrale
C. Une pseudo puberté précoce
D. Un stade pubertaire normal
E. Un retard pubertaire fonctionnel probable

Question 02 : La puberté précoce, et en dehors de sa cause, expose à deux complications principales.


Lesquelles ?

A. Petite taille définitive


B. Retentissement psychologique important
C. Infertilité à l'âge adulte
D. Le risque néoplasique
E. Le retard mental
QST1 QST2
A AB

101. Question 01 : Quelles sont les situations responsables d'une baisse du taux d'IGF 1 ?
A. Période pubertaire
B. Grossesse
C. Malnutrition
D. Insuffisance hépatique
E. Syndrome de résistance à la GH

Question 02 : Le traitement par GH recombinante :


A. Se fait en injection intramusculaire
B. Est indiqué dans tous les cas de déficit en GH quel que soit l'étiologie

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C. Peut entraîner des hypoglycémies


D. Se fait en injection sous cutanée
E. Se fait en injection quotidienne 7jours/7

Question 03 : Quelles sont les contre-indications du test à l'hypoglycémie insulinique ?


A. Retard de croissance sévère
B. Un taux de base effondré du cortisol plasmatique
C. Antécédents neurologiques
D. Diabète sucré insulino traité
E. Hypothyroïdie bien contrôlée sous Levothyrox

Question 04 : Une puberté précoce peut se manifester par :


A. Un retard de l'âge osseux
B. Une avance de l'âge osseux
C. Une accélération de la vitesse de croissance
D. Un développement des organes génitaux externes vers l'âge de 11 ans chez les filles et 13 ans chez les garçons
E. Une apparition prématurée des caractères sexuels secondaires

Question 05 : Quels sont les éléments en faveur d'un retard pubertaire simple ?
A. L'existence de cas similaires dans la famille
B. Il est plus fréquent chez les filles que chez les garçons
C. L'existence de retard de la maturation osseuse
D. L'absence d'anomalies à l'IRM hypophysaire
E. La présence de syndrome tumoral intracrânien

QST1 QST2 QST3 QST4 QST5


CDE DE BC BCE ACD

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7- HYPERLIPEDEMIE

"C’est votre attitude, bien plus que votre


aptitude, qui détermine votre altitude. ~Zig
Ziglar

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MERAKI MED – ENDOCRINOLOGIE – QCM et CAS CLINIQUES 2014 - 2019

1. Le mode de transmission des hyperlipidémies de type Il a et de type IIl est :


A. Autosomique récessif
B. Autosomique dominant
C. Polygénique
D. Lié à l'X
E. Lié à l'Y
B

2. Le déficit en lipoprotéine lipase est responsable surtout d'une :


A. Hyperchylomicronémie
B. Hypochylomicronémie
C. Augmentation des VLVL
D. Augmentation des LDL
E. Augmentation des HDL
A

3. Parmi les hyperlipoprotéinémies, laquelle n'est pas athérogène ?


A. Les hypercholestérolémies
B. Les hyperlipidémies mixtes
C. Les hyperchylomicronémies
D. Les hyperlipidémies raveses Tiypa 2.
E. Les hypertriglycéridémies
C

4. La lipoprotéine a :
A. Est un marqueur indépendant du risque cardiovasculaire
B. Est un marqueur indépendant du risque de pancréatite
C. Se traduit sur le plan électro protéique par une bande de pré bêta lente, encore appelée sinking
préBéta
D. Correspond le plus souvent a une hypertrigycéridémie
E. Correspond le plus souvent à une hyperlipidémie mixte
AC

5. Cochez les propositions justes parmi les suivantes concernant l'hypertriglycéridémie chez un patient
diabétique :
A. L'aspect du sérum est souvent clair
B. L'équilibre glycémique peut contrôler le taux des triglycérides
C. L'hypertriglycéridémie peut se voir au cours d'une hyperthyroidie
D. L'hypertriglycéridémie peut se voir au cours d'une insuffisance rénale
E. Peut être traitée par des fibrates
BE

6. Une hypertriglycéridémie peut être observée dans toutes ces affections sauf une laquelle ?
A- Acromégalie
B- Hypothyroïdie primaire
C- Hyperlipidémie type Il b
D- Hyperthyroïdie
E- Diabète sucré
D

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