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ENDOCRINOLOGIE
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THEORIE / CLINIQUE / ANAPATH : 2014 - 2019
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− Michael Aguilar
MERAKI MED – ENDOCRINOLOGIE – QCM et CAS CLINIQUES 2014 - 2019
SOMMAIRE
1. ANAPATH … 2
2. DIABETOLOGIE : … 12
› QCM THEORIQUES … 13
› CAS CLINIQUES …
3. LA GLANDE THYROIDIENNE : … 42
› QCM THEORIQUES :
− HYPOTHROIDIE … 43
− HYPERTYROIDIE … 48
− NODULES THYROIDIENS … 52
› CAS CLINIQUES …54
4. LES GLANDES PARATHYROIDIENNES … 69
› QCM THEORIQUES … 70
› CAS CLINIQUE … 73
5. LA GLANDE SURRENALIENNE : … 75
› QCM THEORIQUE … 76
› CAS CLINIQUE … 85
6. LA GLANDE HYPOPHYSAIRE : … 98
› QCM THEORIQUE … 99
› CAS CLINIQUE … 114
7. HYPERLIPEDEMIE … 119
- Walt Disney
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1. ANAPATH
− Winston Churchill
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1. Le neuroblastome :
A. Est un néoplasme blastémateux embryonnaire
B. Atteignant la couche corticale de la surrénale
C. Fréquent chez l'adolescent et l'adulte
D. Les cellules sont monomorphes
E. Les cellules se disposent en rosettes à centre clair fibrillaire
F. Est un néoplasme bénin
G. Est synonyme de sympathome embryonnaire
H. Atteignant la couche médullaire de la surrénale
I. Les cellules sont polymorphes
ADEGH
5. Le craniopharyngiome papillaire :
A. Appelé aussi l'adamantinome hypophysaire
B. Est une tumeur maligne
C. Développée à partir de vestiges de la poche de Rathke
D. Se voit chez l'adulte
E. Comporte histologiquement un épithélium squameux avec des papilles atrophiques
CD
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7. Le craniopharyngiome :
8. La maladie de Basedow
A. Présente une architecture lobulée.
B. Les vésicules thyroïdiennes sont de grande taille.
C. L'épithélium thyroïdien présente des vacuoles de résorption.
D. La consistance varie selon le caractère colloïdal ou parenchymateux.
E. L'épithélium émet des papilles ou franges intra-luminales
CE/ACE
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ADF
11. Le corticosurrénalome malin
A. Est souvent unilatéral
B. L'immunomarquage à la Synaptophysine est souvent positif
C. Les critères de malignité sont définis par le score de PASS
D. L'envahissement capsulaire et vasculaire confirme la malignité.
E. Mitoses atypiques, les foyers de nécrose et de calcification confirment la malignité.
F. Est souvent bilatéral
G. Les critères de malignité sont définis par le score de WEISS
H. L'envahissement capsulaire et vasculaire suggère la malignité.
I. L'immunomarquage à la Synaptophysine est souvent négatif
J. L'immunomarquage à la Chromogranine A est positif
K. Est une tumeur peu fréquente.
L. Ne présente jamais des métastases au moment du diagnostic.
M. Est marqué par un polymorphisme cellulaire.
N. Présente de nombreuses mitoses atypiques.
O. Présente un aspect palissadique des noyaux
P. Est une tumeur très fréquente
Q. Présente souvent des métastases au moment du diagnostic
R. Présente des pseudos inclusions intra cytoplasmiques
ABGIKMNQ
12. Le myélolipome :
A. Est une tumeur corticosurrenalienne bénigne
B. Apparat comme un nodule mal limité
C. A tranche de section jaunâtre ou rougeâtre
D. C'est un mélange, de tissu adipeux et de tissu hématopoïétique
E. C'est un mélange, de tissu adipeux et de tissu musculaire.
F. Hautement maligne.
G. Qui présente d'importants remaniements nécrotiques
H. Qui se présente comme un nodule bien imité.
I. De couleur jaune ou rouge.
J. Faite d'un mélange de tissu adipeux et hématopoïétique.
ACDHIJ
13. L'adénome thyroïdien de type trabéculaire :
a. Comporte des cellules principales, régulières de petite taille
b. Comporte un stroma adipeux qui est nettement réduit
c. Comporte des cellules qui se rangent en travées irrégulières
d. Présente une coloration beige ou rouge-brun
e. Il est bien encapsulé
E
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ACD
27. Parmi ces propositions concernant la glande hypophysaire toutes sont exactes sauf une :
A. L'antéhypophyse est formée de 3 types de cellules : basophiles, acidophiles et cellules
chromophobes
B. Elle se subdivise en antéhypophyse et en posthypophyse et elle est liée à l'hypothalamus par
l'infundibulum
C. L'imagerie de référence est l'IRM hypophysaire
D. Les adénomes hypophysaires sont rares chez l'enfant
E. L'adénome à prolactine est exceptionnel.
AE
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28. Parmi les propositions suivantes concernant l'adénome surrénalien laquelle (les quelles)
est (sont) exacte(s) :
A. L'adénome surrénalien est habituellement multiple, bilatéral et toujours mal limité
B. L'anisocytose, l'anisocaryose et les atypies cellulaires sont rares.
C. Sa taille et son poids sont très variables, allant de 5 10 g jusqu'à 400g et plus
D. Les adénomes sont constitués de cellules tumorales qui ressemblent histologiquement aux cellules
normales
E. Les adénomes secrétant se révèlent des syndromes endocriniens (Cushing, Conn et le sd
adrénogénital)
CDE
29. Parmi les propositions suivantes concernant la surrénale laquelle (les quelles) est (sont)
exacte(s) :
A. Les métastases sont plus fréquentes que les tumeurs primitives
B. A la coupe, les surrénales sont constituées de deux zones différentes la corticosurrénale et la
médullosurrénale
C. L'agénésie des glandes surrénales est fréquente,
D. La surrénale ectopique et le nodule cortical ectopique sont fréquents, notamment à proximité des
gonades
E. L'hypoplasie du cortex fœtal est fréquente à l'origine de la maladie d'Addison néonatale
ABDE
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ABCDE
36. La cytoponction des nodules thyroïdiens est la méthode diagnostique la plus sensible
actuellement pour réaliser une sélection des patients à opérer. Les lames d'étalement
sont colorées au :
A. Hemalun éosine
B. Réticuline
C. Trichrome
D. Rouge Congo
E. MGG
E
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2. LE DIABETE
− Proverbe
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1. Un patient a une glycémie à jeun 1.19g/l et 02 heures après HGPO-1,90g/l (la ou les) :
A. L'obésité androïde
B. Les facteurs viraux
C. La présence d'antigènes DR3 et DR4
D. La coexistence de maladies auto-immunes
E. La sédentarité
Rep : BCD
3. Quel est le facteur étiopathogéniques incriminé dans le DT1 ?
A. L'obésité androïde
B. L’obésité ganoïde
C. La sédentarité
D. L’âge supérieur à S0 ans
E. La présence d'antigènes DR3 et DR4
Rep : E
4. Le diabète type 01 est caractérisé par (la ou les) :
A. Une destruction réversible des cellules béta par des phénomènes auto-immuns
B. Une insulinocarence relative
C. La présence de marqueurs d'auto-immunité (exp : les AC anti GAD)
D. Peut s'associer à d'autres maladies auto-immunes
E. Est découvert habituellement par cétose d'allure spontanée
Rep : CDE
5. Le Diabète LADA (Latent Auto-immune Diabètes of Adults) est caractérisé par : (La ou
les)
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A. Hbalc<7%
B. Hbalc<8%
C. Hbalc < 6,5 %
D. Glycémie postprandiale <1,8 g/l
E. Glycémie postprandiale <1,4 g/l
Rep : CE
8. Le diabète de type 02 est caractérisé par (la ou les)
A. D'installation brutale
B. La réversibilité rapide après sevrage confirme le diagnostic
C. Existe une irritation pyramidale
D. Il existe des signes de localisation
E. Il existe un signe de Babinski uni ou bilatéral
Rep : BC
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13. Un ou (plusieurs) signes cliniques parmi les propositions suivantes peut ou (pouvez)
s’observer lors d'une hypoglycémie
A. Sueurs
B. Fringales
C. Confusion Mentale
D. Epistaxis
E. Coma
Rep : ABCE
14. Parmi ces manifestations cliniques ; une hypoglycémie est évoquée devant :
A. Pâleur
B. Convulsions
C. Sueurs
D. Soif
E. Diplopie
Rep : ABCDE
15. La triade de Whipple comprend les signes suivants :
A. La cétoacidose diabétique est secondaire à une carence Insulinique et à une augmentation des
hormones de la contre régulation
B. La diminution de la néoglucogenèse et de la glycogénolyse est secondaire à l'insulinopénie
C. Les hormones de la contrerégulation entrainent l'activation de la lipase, enzyme responsable de la
transformation des triglycérides en acides gras
D. Les corps cétoniques résultent de la transformation hépatique des triglycérides
E. La cétogenèse est responsable de la production de 25 % d'acide Acétoacétique et de 75 % d'acide B-
Hydroxybutyrate
Rep : ACE
17. Lors d'une cétoacidose diabétique, il existe :
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Rep : A
19. Dans la cétoacidose diabétique :
A. Trou anionique
B. Réserves alcalines
C. Ionogramme sanguin
D. Osmolarité urinaire
E. PH sanguin
Rep : ABE
22. Le(s) critère(s) diagnostic(s) biologique(s) de la cétoacidose diabétique est (sont) :
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25. Quel est le meilleur traitement d'une cétose diabétique sans déshydratation (cochez la
ou les réponses justes) :
A. Acido-cétosique
B. Nécessite une insulinothérapie intensive
C. Survient chez un patient en hyperglycémie
D. Peut survenir chez un patient en normo glycémie
E. Est l'apanage du diabétique insulino-traité
Rep : ACD
30. Le coma hyperosmolaire :
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A. Est défini par une Hyper osmolarité et une hyperglycémie majeure et des troubles de la conscience
B. On retrouve une insulinopénie absolue avec une déshydratation majeure
C. Le tableau clanique s'installe progressivement sur plusieurs jours
D. L'insulinothérapie est systématique pour baisser rapidement l’hyperglycémie Majeur
E. La mortalité est élevée du fait des complications iatrogènes et le terrain sous-jacent
Rep : ACE
32. Le coma hyperosmolaire chez le diabétique :
A. L'hyper osmolarité
B. L'insulinopénie profonde
C. L'insulinopénie relative
D. La déshydratation
E. L'hypertriglycéridémie
Rep : D
35. Quels sont les signes qui font Partie du tableau Clinique Classique du coma
hyperosmolaire ?
A. Polyurie
B. Dyspnée de Kussmaul
C. Douleurs abdominales
D. Sécheresse cutanéomuqueuse
E. Confusion
36. Le traitement du coma hyperosmolaire chez le diabétique nécessite :
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Complications chroniques du DS
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C. Un examen ophtalmologique annuel est obligatoire pour son dépistage son traitement consiste à la
photocoagulation au laser dès la rétinopathie minime
D. C'est une complication microangiopathie
Rep : BCE
44. Les troubles de l'acuité visuelle durant une rétinopathie diabétique (RD)
A. Exophtalmie bilatérale.
B. Hémorragie intra vitréenne.
C. Hémianopsie bitemporale.
D. Décollement rétinien.
E. Glaucome néovasculaire.
Rep : BDE
47. Les Complications de la RD sont :
A. Myopie
B. Hémorragie Intra vitréenne.
C. Hémianopsie bitemporale
D. Décollement rétinien.
E. Glaucome néo vasculaire.
Rep : BDE
48. La neuropathie diabétique est caractérisée par :
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Rep : ADE
50. Dans la neuropathie diabétique :
A. La gastroparésie entraîne une évacuation accélérée des aliments d'où hypoglycémie
B. La dysfonction érectile est généralement multi factorielle
C. La recherche d'hypotension orthostatique est systématique
D. Une tachycardie permanente fait partie de la neuropathie autonome
E. Traitement de la gastroparésie par des accélérateurs de la vidange gastrique
Rep : BCDE
51. La neuropathie diabétique :
A. Est peut-être la complication la plus précoce
B. S'exprime cliniquement le plus fréquemment dans sa forme focale
C. Est la cause la plus fréquente des neuropathies
D. Se dépiste par un examen des pieds et un EMG annuellement
E. Est aggravée par l'existence d'une HTA ou d'une malnutrition
Rep : ACE/ AE
52. La neuropathie diabétique (la ou les RJ) :
A. Est un diagnostic d'élimination
B. Son dépistage consiste à faire un examen des pieds et un EMG annuellement
C. Elle touche uniquement les membres inferieurs (pied diabétique)
D. Elle peut être à l'origine d'hypotensions orthostatiques
E. Son traitement consiste surtout à équilibrer le diabète
Rep : ADE
53. Les facteurs favorisants de la neuropathie diabétique sont (la ou les RJ) :
A. Un diabète ancien
B. Une normalisation rapide des glycémies lors d'un déséquilibre diabétique
C. La présence d'une macro angiopathie sous-jacente
D. Un sujet de sexe masculin, longiligne
E. Une malnutrition
Rep : ABCDE
54. Les facteurs favorisants de la neuropathie diabétique sont :
A. un diabète récent
B. Une normalisation rapide des glycémies lors d'un déséquilibre diabétique
C. La présence d'une hypotension
D. Le sexe féminin
E. Une malnutrition
Rep : BCE
55. La mononévrite diabétique est : (cochez la réponse juste)
A. Est la forme la moins fréquente de la neuropathie diabétique
B. Est l'atteinte la plus fréquente de la neuropathie diabétique
C. Est l'atteinte la plus fréquente de la neuropathie diabétique chez le sujet jeune
D. VD Est l'atteinte la plus fréquente de la neuropathie diabétique chez le sujet ägé
E. Impose l'exploration par un électromyogramme
Rep : D
56. La polynévrite diabétique est :
A. Est la forme la moins fréquente de la neuropathie diabétique
B. Est atteinte la plus fréquenta de la neuropathie diabétique
C. Est une atteinte bilatérale et symétrique des membres inférieurs
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Insulinothérapie
74. Quelle(s) insuline(s) peut (ou peuvent) être utilisée(s) par voie intraveineuse dans le
cadre de l'urgence ?
A. Insuline intermédiaire bi phasique
B. Insuline ordinaire à action rapide
C. Insuline intermédiaire monophasique
D. Insuline ultrarapide de type glulisine (APIDRA)
E. Insuline ultra-lente
Rep : BD
75. Quel est le meilleur site d'injection d'une insuline lente ?
A. Abdomen
B. Bras
C. Face interne de la cuisse
D. Face antérieure de la cuisse
E. Face antéro-externe de la cuisse
Rep : E
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quelques notions de base vis-à-vis du diabète et de son traitement. En fin de consultation vous
lui prescrivez une insulinothérapie laquelle qui vous parait la plus appropriée vu son état :
A. Une injection d'ana logue lent de l'insuline le soir+3 injections d'analogue rapide avant chaque repas
B. Injections d'analogue lent de l'insuline le Soir+ 3 injections d'analogue rapide avant chaque repas
C. Injections d'analogue rapide avant chaque repas
D. 2 injections de Prémix avant le petit déjeuner et le diner
E. 2 injections d'analogue lent de l'insuline avant le petit déjeuner et le diner
Rep : D
TRAITEMENT ORAL
83. Une hypoglycémie peut être provoquée par la prise de :
A. Antidépresseurs sérotoninergiques
B. Les corticoïdes.
C. Quinines.
D. L'insuline
E. Aspirine à forte dose.
Rep : ACDE
84. Chez un Dt2 de découvert récente avec un IMI 29 K/m, la logique thérapeutique en
première intention fait appel :
A. Un régime hypocalorique
B. Un régime pauvre en glucides
C. Une prescription d'un sulfamide hypoglycémiant
D. Une prescription d'une insulinothérapie
E. Une prescription d'un sulfamide hyperglycémiant associé à un régime hypocalorique
Rep : AB
85. Quels médicaments sont capables d'induire une hypoglycémie chez le sujet diabétique :
A. Les glinides
B. Les biguanides Insuline
C. Les sulfamides
D. Pacarbose
Rep : ACD
86. Les médicaments suivant peuvent entrainer une hypoglycémie
A. Les sulfamides.
B. Bactrim.
C. Les corticoïdes
D. Les anti-arythmiques à forte dose
E. L'insuline.
REP : ABDE
87. Les hypoglycémies dues à la prise d'anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) :
A. Apparaissent chez les diabétiques sous sulfamides
B. Apparaissent chez le diabétique sous biguanides
C. Les AINS induisent des insuffisances rénales aigues fonctionnelles
D. Les AINS induisent des insuffisances hépatiques
E. Les AINS stimulent la sécrétion d'insuline
Rep : AC
88. Une (plusieurs) pathologie (s) suivante (s) peut (peuvent) causer une hypoglycémie
la(les) quelles ?
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A. Syndrome de cushing.
B. Dénutrition
C. Insuffisance rénale avancée.
D. Acromégalie
E. Une Insuffisance surrénale.
Rep : BCE
89. Cochez les propositions correspondant aux familles des sécrétagogues de l'insuline :
A. Les glinides
B. Les biguanides
C. Les gliptines
D. Les sulfamides hypoglycémiants
E. Les inhibiteurs des alphas glucosidases
Rep : AD
90. Sont des apparentés aux sulfamides antibiotiques
A. Agissent principalement sur la sensibilité périphérique à l'insuline
B. On peut associer 02 sulfamides pour augmenter l'efficacité du traitement
C. Sont contre indiqués en cas de cétose diabétique
D. Ont une forte liaison aux protéines plasmatiques
Rep : ADE
91. La prise subreptice de sulfamides Hypoglycémiant :
A. l'insulinémie est élevée.
B. Le peptide est bas
C. La glycémie est élevée.
D. L'insulinémie est basse.
E. Le peptide C est élevé
Rep : AE
92. Le risque hypoglycémique des sulfamides est majoré par :
A. l'association avec des anti-inflammatoires non stéroïdiens
B. la prise concomitante d'oestroprogestatifs
C. la prise de diurétiques thiazidiques
D. la prise de corticoïdes ingestion importante d'alcool
Rep : AE
93. Le risque hypoglycémique des sulfamides est majoré par :
A. l'insuffisance rénale
B. l'association avec des anti-inflammatoires non stéroïdiens
C. la prise concomitante de contraception à base de progestatifs
D. la prise de diurétiques thiazidiques
E. l'ingestion importante d'alcool
Rep : ABE
94. L'hypoglycémie chez le diabétique sous sulfamides hypoglycémiants :
A. Peut se manifester par des signes neuroglucopéniques type tremblements des extrémités et palpitations
B. Est souvent due à une erreur thérapeutique diététique ou surdosage médicamenteux
C. Est plus grave et laisse plus de séquelles cérébrales
D. Est traitée par une injection de glucagon en intramusculaire ou en sous cutanée
E. Nécessite une surveillance prolongée parfois même l'hospitalisation
Rep : BCE
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129.Les mesures suivantes sont préconisées en cas de lésion du pied diabétique sauf (cochez
les réponses fausses) :
130. Devant une plaie diabétique qui ne cicatrise pas on doit rechercher surtout
CAS CLINIQUES
131. Une femme âgée de 37 ans, mère de 4 enfants dont 2 nés macrosomes, hypertendue
sous traitement, asthmatique obèse, aux antécédents familiaux de diabète sucré et de
dyslipidémie, consulte suite à un bilan de santé de routine qui retrouve une Glycémie à jeun à
1,19 g/, l'épreuve d'Hyperglycémie provoquée par voie orale (HPGO) retrouve une Glycémie
à 1,8 g/ à la 2 heure :
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B. Un pré diabète
C. Un bilan normal
D. Une hyperglycémie modérée à jeun
E. Une intolérance au glucose
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132. Un patient âgé de 56 ans, chauffeur de taxi de profession, marié et père de 4 enfants,
vient consulter pour une asthénie et une polyurie apparues il y a quelques jours. Dans ses
ATCD personnels on note une (HTA) grade 1 diagnostiquée il ya 3 ans sous traitement, et
dans les antécédents familiaux on note un diabète sucré chez le père, deux de ses sœurs et
une tante maternelle. Il fume le tabac à raison de 20 paquets année.
L'examen clinique retrouve un état général conservé, bonne orientation temporo-spatiale,
bonne coloration cutanéomuqueuse, pas de morphotype particulier.
Poids 100 Kg, Taille 1,76m, Tour de taille 104cm, BMI 32,36 Kg/m, sans notion
d'amaigrissement, TA 130/70 mmhg en position débout et couché, FC : 80 bpm, Fréquence
respiratoire : 18 cycles/min.
Le reste de l'examen clinique est sans particularité en dehors de brulures mictionnelles
apparues il ya quelques jours.
1- Quels sont les facteurs de risque cardiovasculaires déjà présents chez ce patient ?
A. Les antécédents familiaux de diabète
B. Le tabac
C. L'HTA
D. L'âge
E. L'obésité
2- Quels sont les examens à demander en 1 intention ?
A. Une glycémie à jeun
B. Un bilan lipidique
C. Une épreuve d'effort
D. Echo-doppler des membres inférieurs
E. ECBU (étude cytobactériologique des urines)
3- Un bilan glycémique a été demandé chez le patient, objectivant 2 glycémies veineuses à jeun à
1,56 g/l et 1,70 g/, la glycémie capillaire faite au cabinet est à 2,60 g/l, la chimie des urines a révélé
une glycosurie sans corps cétoniques. S'agit-il de (une seule réponse juste)
A. Un diabète sucré de type 2
B. Une hyperglycémie modérée à jeun
C. Un pré diabète
D. Un diabète sucré de type1
E. Un diabète rénal
4- Quelles est le traitement de 1 intention chez ce patient ?
A. Analogues de Glucagon Like Peptide-11 (GLP-1)
B. Mesures hygiéno-diététiques
C. Metformine
D. Analogues du glucagon
E. Arrêt du tabac
1 2 3 4
BCDE AB A BCE
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133. Monsieur B.M âgé de 56 ans, maçon de profession, diabétique type 2 depuis 6 ans,
consulte pour une plaie infectée au niveau de la face plantaire du gros orteil gauche suite à un
traumatisme non ressent
A l'interrogatoire on retrouve un patient tabagique actif, hypertendu ans sous amlodipine en
association avec metformine et Gilmépiride. Il est déséquilibré, non observant et se suit de
façon irrégulière.
L'examen clinique retrouve un patient en bon état général, fébrile à 39, la plaie est une
ulcération arrondie, indolore avec des bords nets, rougeur et chaleur en regard de la plaie
avec écoulement purulent
Le pied controlatéral est froid, plaie dépilé, sec avec hyperkératose, pouls tibial postérieur et
pédieux non perçus et orteils en griffe.
A. Le test au monofilament 10 g
B. Le test au monofilament 5 g
C. L'examen au diapason
D. La mesure de l'index de pression systolique bras-cheville
E. L'écho doppler des membres inférieurs
3- Parmi les signes cliniques que présente ce patient, lesquelles orientent vers l'origine neuropathique
de cette plaie ?
A. NFS, CRP
B. Artériographie du membre atteint
C. Echo doppler vasculaire des membres inférieurs
D. Angioscanner des membres inférieurs
E. Hémocultures
1 2 3 4
CE ACD BCE ACE
134. Votre voisine de 58 ans est diabétique de type 2 sous traitement oral et vient d'être
mise à l'insuline, elle vous pose un certain nombre de questions :
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E. Une Actrapid
2- Quel est le meilleur site d'injection d'une Insuline rapide meilleure diffusion ?
A. Abdomen
B. Bras
C. Face Interne de la cuisse
D. Face antérieur de la cuisse
E. Face antéro interne de la cuisse
3- On m'a prescrit un analogue lent type glargine Lantus, à quel heure Je dois l'injecter ?
4- Mon insuline Lantus, dois-je la mélanger plusieurs fois avant mon injection ou pas ?
1 2 3 4
ABD A BE C
135. Un diabétique de type 2 obèse sous metformine, consulte en diabétologie. Il est âgé de
45 ans, en chômage et ne possède pas une couverture sanitaire (pas d'assurance). Les
explorations paracliniques ne retrouvent pas de complications dégénératives du diabète et
l’hba1c est revenue 7.8 %.
1- Que proposez-vous ?
A. Ne pas faire de modifications thérapeutiques, car l'hba1c répond aux objectifs
B. Adjoindre une insuline basale le soir pour voir une meilleure efficacité thérapeutique
C. Adjoindre un inhibiteur de la OPP4
D. Adjoindre un analogue du GLP1
E. Adjoindre un sulfonylurés
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1 2 3 4
E BC C BC
136. Monsieur X, âgé de 35 ans aux antécédents familiaux de diabète sucré type 2 est
adressé aux urgences médicales, avec le bilan suivant : Glycémie hba1c à 8.9%, Glycosurie,
Acétonurie, Natrémie 142 meq/l, Kaliémie 3,9 Meq/l, Cholestérol 2,3 g/l, Triglycérides 4,2 g/l,
Créatinine 8mg. L'examen clinique note un état général conservé, des douleurs a
abdominales et des brulures mictionnelles ; le poids est de 90 kg pour une taille de 186 cm, ll
tension artérielle est de 110/60 mmHg. Le reste du bilan biologique est sans anomalies hormis
un taux de Gamma-Glotamyl Transférase (GGT) 2 fois la normale et une leucocyturie et
hématurie à la chimie des urines.
4- Le patient garde des constantes hémodynamiques correctes malgré la cétose diabétique,quels sont
les moyens physiologiques mis en oeuvre ?
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8- Le patient est mis sortant après correction de la cétose diabétique et de sa cause. Quels sont les
objectifs métaboliques fixés pour ce patient pour le long terme ?
9- Quels sont les moyens thérapeutiques à prescrire afin d'atteindre ces objectifs ?
10- Après 12 mois de suivi, l'hémoglobine glyquée est toujours à 8% et les taux de triglycérides est de
2 g/l, quel sera votre conduite thérapeutique en 2ème intention ?
A. Insulinothérapie basale-bolus
B. Sulfamide hypoglycémiant
C. Insulinathérapie à 2 Injections
D. Statine
E. Insuline à la pousse seringue électrique
1 2 3 4 5
BD AD BD ACD A/D
6 7 8 9 10
AE BCE BC BCE B
137. Un patient âgé de 17 ans, diabétique de type 1 découvert à l'âge de 14 ans consulte en
Diabétologie pour déséquilibre de son diabète. Il est sous 2 injections d'Insuline semi lente par
Jour. Il décrit un mode de vie très actif de type estudiantin. Il aime souvent faire du sport et
jouer au football. Il se plaint depuis 2 années de malaises fréquents en particulier après son
activité sportive, à type de palpitations, tremblements, étourdissements, flou visuel, diplopie
et fatigue, qu'il met sur le compte de sa préparation à l'examen du baccalauréat. Il vous décrit
aussi une prise de poids de 4 kg en une année.
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E. Hyperthyroïdie
3- Le médecin consulté décide de modifier le schéma thérapeutique de ce patient et ce, pour éviter la
survenue ou à défaut retarder l'apparition des complications dégénératives du diabète. Lequel des
schémas suivants est le plus approprié en sachant que ce médecn a prévu de renforcer l'éducation
thérapeutique et que le patient accepte et adhère à ces modifications ?
A. Arrêter l'insulinothérapie et la remplacer par de la Metformine
B. Arrêter l'insulinothérapie et la remplacer par du Glibenclamide
C. Adjoindre la Metformine au schéma déja instauré
D. Instaurer un schéma basal-bolus
E. Remplacer le schéma 2 injections d’insuline semi lente par un autre de 2 injections d'insuline rapide
par jour
1 2 3
C CD D
138. Un jeune diabétique de type 1 âgé de 18 ans, bien motivé et sans complications
dégénératives du diabète, sous schéma d’insulinothérapie basal bolus (Humalog avant choque
repas et une Lantus au coucher) arrive à la consultation de diabétologie avec les mesures
glycémiques suivantes : glycémie à jeun : 1 g/l, glycémie 2h après le petit déjeuner : 1.40 g/l,
glycémie 2h après le déjeuner : 1.22 g/l, glycémie à 19h juste avant le dîner : 0.95 g/l, glycémie
2h après le dîner : 1.74 g/l.
1- Qu’est-ce que vous proposez comme modification thérapeutique pour ce jeune patient ?
A. Augmenter la dose de Lantus du soir
B. Augmenter la dose de l’Humalog injectée au petit déjeuner
C. Arrêter l’Humalog du déjeuner et la remplacer par une prémix
D. Arrêter l’Humalog du déjeuner et la remplacer par Levemir
2- Ce même jeune diabétique revient quelques semaines plus tard avec le profile glycémique suivant
: glycémie à jeun : 0.6 g/l, glycémie 2h après le petit déjeuner : 1,29 g/l. Glycémie 2 h après la déjeuner
1.34 g/l, glycémie à 19h juste avant le dîner : 1.1 g/l, glycémie 2h après le dîner : 1.30 g/l. Qu'est-ce que
vous proposez cette fois comme modification thérapeutique pour ce patient ?
A. Diminuer la dose de Lanus du soir
B. Arrêter la Lantus et la remplacer par un prémix
C. Passer à 2 injections de Lantus par jours
D. Diminuer la dose de l’Humalog injectée au dîner
E. Diminuer la dose de l’Humalog injectée au déjeuner
1 2
D A
139. Un patient âgé de 17 ans, avec diabète de type 1 déséquilibré, depuis 3 ans, présente
suite à l'apparition d'une angine rouge avec fièvre à 39° C, une déshydratation globale. Le
bilan biologique est le suivant : glycémie 3.25 g/l, glycosurie : +++, cétonurie : ++, réserve
alcaline : 18,2 mEq/l, protéinurie : +++
1- Il s'agit :
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4- La microalbuminurie :
5- Ultérieurement (après avoir traité l'infection) le suivi paraclinique portera sur (cochez la réponse
fausse) :
A. Le fond d'œil
B. Le bilan rénal
C. Le bilan lipidique
D. L'urographie intraveineuse
E. L'hémoglobine évaluée
1 2 3 4 5
E ADE DE BD D
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3.LA THYROIDE
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A- HYPOTHYROÏDIE
1. Quelles sont les situations fréquentes devant faire rechercher une hypothyroïdie ?
A. Constipation chronique
B. Hyperleucocytose
C. Hyponatrémie à secteur extra cellulaire normal
D. Dyslipidémie
E. Enzymes musculaires diminuées
ACD
2. Quelles sont les situations devant faire rechercher une hypothyroïdie ?
A. Diarrhée chronique
B. Anémie arégénérative non microcytaire
C. Hyponatrémie à secteur extra cellulaire normal
D. Dyslipidémie
E. Une diminution des enzymes musculaires
BCD
3. Quels sont les signes cliniques, parmi les suivants, pouvant exister en cas d'hypothyroïdie
?
A. Assourdissement des bruits cardiaques
B. Hirsutisme
C. Sueurs profuses
D. Aménorrhée
E. Syndrome du canal carpien
ADE
4. Cochez les propositions justes parmi les suivantes concernant l’hypothyroïdie congénitale
A. Les troubles de l'hormonogenèse constituent la principale étiologie
B. Les Troubles de la morphogenèse constituent la principale étiologie
C. Le pronostic intellectuel peut être amélioré par un dépistage systématique durant les premiers
jours de la vie :
D. L'hypothyroïdie congénitale peut être d'origine maternelle (intoxication maternelle iodée)
E. Elle nécessite un traitement hormonal à vie en milieu hospitalier
BCD
5. Quel est le risque principal d'une hypothyroïdie congénitale non dépistée et non traitée à
temps ?
A. Développement d'une hypothyroïdie à l'âge adulte
B. Développement d'un retard mental et de crétinisme
C. Développement d'une grande taille voire un gigantisme
D. Développement d'un diabète sucré à l'âge adulte
E. Développement d'un goitre volumineux
B
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A. Donner la vitamine D uniquement sous sa forme native, ce qui est largement suffisant pour assurer
les besoins journaliers
B. Donner les sels de calcium à raison de 1-2 g de calcium élément par jour en moyenne
C. Associer les diurétiques de l'anse qui vont augmenter la réabsorption rénale de calcium
D. Encourager les mesures diététiques pour réduire le risque de formation de lithiases rénales
E. Proscrire les sels de Magnésium qui risquent de majorer l'hypcalcémie
BD
22. L'hypothyroïdie peut se manifester cliniquement par :
A. Cholécystographie
B. Prise de Sélénium
C. Radiothérapie cervicale
D. Adénome hypophysaire invasif
E. Irathérapie
ACE
24. L'hypothyroidie peut se manifester cliniquement par :
A. Bradycardie
B. Macrogiossie
C. Diarrhées
D. Troubles de la mémoire
E. Thermophobie
ABD
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A. Hypothermie
B. Hernie ombilcale
C. Diarrhées fréquentes
D. Croissance accélérée
E. Ictère néonatol prolongé
ABE
26. Quels sont les signes dvoquant une hypoparathyroldie
A. Laryngospasme
B. Diminution de l'espace QT à l'ecg
C. Alteration de rémail dentaire
D. Crises de tétanie
E. Calculs rénaux
ACDE
27. Le billan blologique d'une hypothyroidie périphériques peut montrer les résultats
suivants:
A. Hyponstremie de dilution
B. Hypercholestérolémie
C. LDH diminué
D. CPK diminué
E. TSH élevée
ABE
28. Cochez la ou les réponses justes à propos de la maladie BASEDOW
A. Stroma ovarii.
B. Radiothérapie cervicale
C. Prise d'iode et de produits lodés
D. Adénome thyréotrope
E. Prise de Carbimazole
BCE
29. Le traitement d'une hypothyroïdie par thyroidite d'Hashimoto chez un sujet jeune sans
antéeedents particuliers nécessite : *
A. Une hospitalisation
B. Debuter un traitement par du levothyrox à faible dose avec auntation progressive par palier de 12,5
microi chaque 15 jours
C. Debuter un traitement par du Lévothyrox 25 ou 50 g/l puis aentation en quelques jours jusqua une
dose de 75 ou 100 u/l
D. Débuter le traltement en ambulatoire
E. Faire une NFS avant chaque augmentation des doses de Lévot
CD
30. Quelles sont les Situations frécuentes devant faire rechercher une bypothyroidie?
A. Diarrhée chronique
B. Anémie arégénérative non microcytaire
C. Hypanatremie à secteur extra cellulaire normal
D. Hypocholestrélomie
E. Une diminution des entymes musculaires
BC
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HYPERTHYROÏDIE
32. On doit rechercher une hyperthyroïdie devant :
A. Troubles de rythme
B. Hypertension artérielle systolique
C. Eréthisme cardiovasculaire
D. Insuffisance cardiaque
E. Tachycardie
AD
35. Quels sont les éléments paracliniques en faveur du diagnostic d'hyperthyroïdie sur goitre
multinodulaire toxique :
A. Anorexie
B. Prurit
C. Constipation
D. Gynécomastie
E. Polyphagie
BDE
37. La cardiothyréose est définit par une thyrotoxicose associét à une (un) :
A. Souffle cardiovasculaire
B. Hypertension artérielle systolique
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A. Insuffisance coronaire
B. Hypertension artérielle
C. Hypotension artérielle
D. Troubles du rythme
E. Insuffisance cardiaque
ADE
39. La tachycardie peut manquer dans certaines situations d'hyperthyroidie, lesquelles?
2019/2020 49
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44. Quelles sont les manifestations biologiques non spécifiques pouvant être observées au
cours des hyperthyroïdies ?
A. Hypercalcémie
B. Intolérance au glucose
C. Diminution des phosphatases alcalines
D. Augmentation du taux de l'albumine
E. Hypercholestérolémie
AB
45. Dans quels types de hyperthyroïdies une absence complète de Fixation isotopique est
observée à la scintigraphie ?
A. Maladie de Basedow
B. Adénome toxique.
C. Thyrotoxicose factice
D. Goitre multinodulaire toxique
E. Surcharge lodóe
CE
46. Quelle est l'indication du dosage de la thyroglobuline:
A. Dépistage des carcinomes médullaires de la thyroïde
B. Dépistage des carcinomes folliculaires de la thyroïde
C. Dépistage des carcinomes anaplasiques de la thyroïde
D. Diagnostic des hyperthyroidies factices
E. Diagnostic positif des hyperthyroïdies
D
47. La maladie de Basedow est caractérisé par: (cochez les propositions justes)
A. La thyroide peut ne pas être palpable
B. Le goitre peut être diffus et vasculaire
C. La FT4 et la TSH sont souvent très élevées
D. Les complications cardiaques sont toujours présentes
E. Le traitement par les antithyroidiens de synthèse est la seule option thérapeutique
AB
48. Précisez les réponses justes parmi les propositions suivantes concernant la maladie de
Basedow:
A. La première description de cette maladie a été faite par Avicenne en l’an 1000
B. Elle est caractérisée par des taux très élevés d'antcorps anti TPO
C. L'hyperthyroidie résulte de la stimulation des cellules thyroidiennes par les TS
D. Elle représente la cause la plus fréquente des hyperthyroidies chez le sujet agé
E. Le goitre y est inhomogène et multinodulaire
AC
49. Quelles sont les caractéristiques de l'ophtalmopathie Basedowienne (OB)?
A. Son évolution est parallèle à celle de la thyretoxicose puisqu'elle régresse dès l’obtention de
l'euthyroidie
B. Elle est due à une hypertrophie des globes oculaires
C. L'exophtalmie est généralement bilatérale et symétrique
D. La thyroidectomie totale représente la seule possibilité thérapeutique
E. L'irathérapie peut constituer un facteur d'aggravation de l'ob
CE
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50. Quelles sont les possibiliteés thérapeutiques chez une femme de 26 ans célibataire
présentant une maladie de Basedow avec un goitre grade 2 et une exophtalmie active et
sévère ?
A. Thyroidectomie totale avec substitution hormonale après récupération des résultats anapath soit un
mois après
B. Thyroidectomie totale avec substitution hormonale immédiate afin d'éviter l’aggravation de l’ob
C. Une irathérapie après préparation médicale par les antithyroldlens de synthèse
D. Un traitement médical à base d'antithyroldiens de synthèse pendant 12 à 18 mois
E. Un traitement médical à base d'antithyroidiens de synthèse pendant 18 b 24 mois
BD
51. Quel est le schéma thérapeutique le plus approprié pour le traitement d'un patient de 34
ans, présentant une maladie de Basedow avec ophtalmopathie sévère, goitre volumineux et
des taux très élevés d'Ac anti récepteurs de la TSH
A. Irathérapie
B. Cobaltothérapie
C. Thyrodectomie
D. Artithyroidiens de synthèse seuls
E. Antithyroidiens de synthèse associés au Levothyrox
C
52. Le traitement de la maladie de Basedow chez la femme enceinte fait appel à:
A. L’association Béta bloquants + lugol
B. 45mg/jour voir 60mg/jour de carbimazole
C. Chirurgie au 1er trimestre
D. Antithyroidiens de synthèses type PTU: propylthiouracile à doses modérées
E. Irathérapie suivie d'antithyroidiens de synthèse
D
53. L'arret definitit de la prise de tout antithyroidien de synthèse lors du traitement d'une
hyperthyroidie s'impose lorsque le nombre de polymucléaires neutrophiles est inferieur à:
A. 2000 éléments/mm3
B. 1500 éléments/mm3
C. 1200 éléments/mm3
D. 500 éléments/mm3
E. 200 éléments/mm3
D
54. Lors d'un traitement médical de la maladie de Basedow de type « block and replace », le
rythme de surveillance de la TSH se fait chaque:
A. 15 jours
B. 3 semaines
C. 2 mois
D. 4 mois
E. 6 mois
D
55. Quel est le traitement que vous allez proposer chez un patient agé de 34 ans chez qui
vous venez de poser le diagnostic de thyrotoxicose par thyroidite de De Quervain ?
A. Thyroidectomie totale
B. Irathérapie à failble doses
C. Iratherapie à fortes doses
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1- Il s'agit de :
A. Un goitre multi-nodulaire toxique
B. Un goitre plongeant
C. Un goitre multi-nodulaire stade 1b de l'oms
D. Un goitre multi-nodulaire stade 1a de l'oms
E. Un goitre multi-nodulaire stade 2 de l'oms
A. N1 : Eu-TIRADS 5, N2 : Eu-TIRADS 3
B. N1 : Bethesda 4, N2 : Bethesda 2
C. N1 : Eu-TIRADS 4, N2 : Eu-TIRADS 2
D. N1 : Eu-TIRADS 3, N2 : Eu-TIRADS 2
E. N1 : stade 0 de l'oms, N2 : stade 1 de l'oms
A. Thermophobie
B. Frilosité
C. Dysphonie
D. Myxœdème cutanéomuqueux
E. Adénopathies cervicales
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A. Thyroglobuline
B. Scintigraphie thyroïdienne
C. Cytoponction de N2
D. Pet-Scan
E. Cytoponction de N1
1 2 3 4 5
ANNULEE C ACE BE BD
2. Une femme âgée de 45 ans, originaire de Jijel, célibataire, consulte en médecine générale
devant l'apparition depuis un mois d'une tuméfaction basi-cervicale.
A l'examen clinique vous retrouvez une patiente très anxieuse, son regard est tragique. Elle a
les mains moites et une tachycardie à 110 battements réguliers/mn ; son IMC est à 18 kg/m2,
et a perdu 10 kg en un mois. La tuméfaction basi-cervicale est visible à distance et palpable,
mobile avec les mouvements de déglutition, homogène, frémissante à la palpation, sans
adénopathies cervicales et sans dysphonie, dysphagie ni dyspnée.
A. Simple
B. Stade 1 selon la classification simplifiée de l'oms
C. Vasculaire
D. Compressif
E. Nodulaire
A. La carence iodée
B. La carence en sélénium
C. La carence en œstrogènes
D. La consommation de certains aliments contenant les thiocyanates
E. La consommation de sel iodé
A. Adénome thyréotrope
B. Hyperemesis gravidarum
C. Thyroïdite de De Quervain
D. Maladie de Graves
E. Nodule toxique
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4- Précisez les propositions justes parmi les suivantes concernant cette thyropathie que vous avez
suspecté :
5- Vous avez confirmé cette pathologie par les explorations nécessaires. Le bilan de retentissement
est revenu sans anomalies. Le choix thérapeutique de la patiente s'est porté sur les antithyroïdiens
de synthèse. Précisez les propositions justes concernant ce choix :
1 2 3 4 5
C ABD D BE BD
A. Intoxication iodée
B. Thyroïdite d'Hashimoto
C. Maladie de Basedow
D. Hyperthyroïdie factice
E. Thyroïdite de De Quervain
2- Donnez les caractéristiques cliniques pathognomoniques qui vous ont orienté vers ce diagnostic :
A. Amaigrissement spontané
B. Accélération du transit
C. Mains trempées de sueurs
D. Exophtalmie acquise
E. Goitre homogène vasculaire
A. TSH
B. Iodurie
C. Thyroglobuline
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D. Ac antiTPO
E. Ac anti récepteurs TSH
4- En réalisant ces bilans, vous avez confirmé le diagnostic suspecté. Cependant, un collègue à
vous, vous propose de réaliser une scintigraphie thyroïdienne. Que pensez-vous de cette indication
?
5- A la fin de votre consultation, vous délivrez une ordonnance à Melle AS qui refuse tout autre
moyen thérapeutique que la prescription médicale. Précisez les réponses justes parmi les
propositions suivantes concernant votre prescription :
A. Le traitement médical repose sur du Carbimazole à faible dose, prescrit pendant 2 mois
B. On prescrit du Levothyrox 100 µg/J, durée totale du traitement 18-24 mois
C. On prescrit Carbimazole (45 mg/j), pendant 1-2 mois puis on diminue progressivement pour couvrir
18 mois
D. Le traitement est à base d'Aspirine 3g/j ou un autre anti-inflammatoire pendant 2-3 semaines
E. La surveillance du traitement repose sur les dosages biologiques TSH +/- FT4 et la NFS
1 2 3 4 5
C DE AE AD CE
A. Maladie de Basedow
B. Thyroïdite du post partum
C. Hyperemesis gravidarum
D. Hypersensibilité à l’hcg des récepteurs de la TSH
E. Thyroïdite de De Quervain
2- Préciser les bilans biologiques vous permettant de confirmer votre suspicion clinique :
A. VS
B. B HCG
C. TSH
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D. Ac antiTPO
E. Ac anti récepteurs TSH
3- Vous délivrez votre ordonnance à la patiente et vous lui donnez un rdv dans quelques jours afin
de compléter votre prise en charge. Elle revient alors accompagnée de sa sœur de 20 ans qui
présente des signes cliniques ressemblant aux mêmes signes qu'elle fait : amaigrissement de 6 kg
en 3 mois, tachycardie, diarrhées avec asthénie intense, sans exophtalmie ni goitre. Ce tableau
clinique n'a pas été précédé par des prodromes particuliers.
Elle vous précise, par ailleurs, que cette sœur avait un BMI à 20 kg/m2 avant apparition de ces
signes, et pourtant elle était très inquiète par rapport à sa silhouette qu'elle qualifiait de "ronde".
Vous demandez un bilan biologique de première intention qui revient comme suit : Glycémie à jeun =
1,16 g/l (valeurs normales : 0,7-1 gr /L), FT4 = 25,5 pmol/L (VN = 9-19 pmol/), TSH = 0,16 µUI/ml (VN =
0,35-4.94 µUI/ml) cortisolémie à 185 ng/ml (VN = 50-130).
Interprétez le bilan biologique que vous avez entre les mains :
4- Vous suspectez tout particulièrement un diagnostic, mais devant la non disponibilité du dosage
biologique le econtirmont, Vous décidez de réaliser une scintigraphie thyroïdienne dont voici les
résultats. Donnez l'interprétation de cette scintigraphie : ***
A. Fixation hétérogène
B. Nodule chaud
C. Nodule froid
D. Scintigraphie blanche
E. Hyperfixation diffuse
A. Intoxication iodée
B. Nodule toxique
C. Maladie de Basedow
D. Hyperthyroïdie factice
E. Thyroïdite de De Quervain
6- Devant ce tableau clinique, biologique et scintigraphique, vous suspectez une étiologie bien
précise. Quels sont les bilans biologiques que vous allez demander pour confirmer ce diagnostic ?
A. Thyrocalcitonine
B. Thyroglobuline
C. Iodurie
D. Ac anti récepteurs de la TSH
E. Ac anti Thyroglobuline
7- Ces dosages biologiques sont aussi indiqués dans une autre pathologie, laquelle ?
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A. Maladies inflammatoires
B. Maladies auto-immunes
C. Hypothyroïdie congénitale
D. Carcinome médullaire de la thyroïde
E. Carence iodée
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B CD BC D ADE BE C
5. Mme DZ, âgée de 43 ans, consulte pour une prise récente de 4 Kg de poids, sans
modifications de ses habitudes alimentaires, et pour une asthénie. Elle pèse 69 Kg pour 1,60
m. Ses antécédents personnels sont limitée à un vitiligo. Elle ne prend aucun traitement ;
1- A l'examen clinique, quel sont les signes qui orienteront le diagnostic d'hypothyroïdie ?
A. Une tachycardie
B. Une érythrose faciale
C. Un hirsutisme
D. Un oedème palpébral
E. Des cheveux fins et secs
2- Les données suscitées vous permettent d'évoquer une étiologie avant tout, laquelle ?
3- Dans cette hypothèse (la réponse choisie à la question 02), la thyroïde est habituellement :
A. Normale
B. Ferme et hétérogène
C. Très volumineuse
D. Vasculaire
E. Souvent blanche en scintigraphie
5- Chez cette patiente sans antécédent médical, la suspicion clinique d'hypothyroïdie nécessite en
première intention :
A. Le dosage de la tshus
B. Un dosage de l'iodurie des 24 heures
C. Une échographie thyroïdienne
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DE C B B A
6. MK âgée de 26 ans, sans antécédents particuliers vient consulter pour perte de poids. Elle
est devenue constamment anxieuse et rapporte la notion de mains moites et de sueurs au
repos depuis quelques semaines. Son médecin constate qu'elle a perdu 8 kg spontanément.
À l'auscultation, sa FC est de 120 hpm, rythme cardiaque régulier, une TA à 12/08, des
réflexes ostéotendineux vifs, et un goitre palpable et visible homogène associé à une légère
exophtalmie.
A. Anémie
B. Hyperthyroïdie
C. Septicémie
D. Insuffisance mitrale
E. Maladie coeliaque
A. Maladie de basedow
B. Thyroïdite d'Hashimoto
C. Thyroïdite subaigüe de De Quervain
D. Nodule toxique
E. Un goitre multi nodulaire toxique
A. Goitre
B. Thyrotoxicose
C. Exophtalmie
D. Amaigrissement
E. Tachycardie
A. Anxiolytique
B. Beta Bloquant
C. Un diurétique de l'anse
D. Une antibiothérapie
E. Un anticoagulant
5- Le traitement à visée étiologique chez la patiente comporte plusieurs options thérapeutiques, les
quels ?
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B A ABC AB AC
7. Madame D, âgée de 43 ans, consulte pour une prise de poids récente de 4 kg sans
modification de ses habitudes alimentaires, et pour une asthénie. Elle pèse 65 kg pour 1,60m.
Ses antécédents sont limités à un vertige. Elle ne prend aucun traitement.
1- A l'examen clinique, quels sont les signes qui vous orientent vers le diagnostic d'hypothyroïdie ?
A. Une tachycardie
B. Une érythrose faciale
C. Un hirsutisme
D. Un œdème palpébral !
E. Des cheveux fins et secs
2- Les données citées ci-dessus permettent d'évoquer une étiologie avant tout, laquelle ?
A. Un cancer thyroïdien
B. Une thyroïdite du post partum
C. Une thyroïdite de Hashimoto
D. Une agénésie thyroïdienne
E. Une thyroïdite subaiguë de De Quervain
3- Dans cette hypothèse (évoquée dans la question 02, la thyroïde est habituellement :
A. Normale
B. Ferme et hétérogène
C. Très volumineuse
D. Vasculaire
E. Blanche en scintigraphie
A. Le dosage de la thyrocalcitonine
B. Le dosage des anticorps antithyroïdiens
C. Le dosage de la thyroglobuline
D. L'échographie
E. La scintigraphie
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DE C B B B
1- Quels sont les diagnostics les plus fréquents à évoquer en premier lieu ?
2- Quels sont les bilans de première intention à demander afin d'orienter le diagnostic?
3- Devant les simples éléments cliniques dont vous disposez, quel serait selon vous le diagnostic le
plus probable à évoquer en premier lieu?
4- Si on retenait le diagnostic d'un diabète de type 1, quelle serait le bilan à demander pour sa
confirmation ?
A. Hba1c
B. 2ème Glycémies à jeun
C. 2ème glycémies à jeun + hba1c
D. Glycémie à jeun + hba1c + anticorps anti GAD
E. 2ème glycémie à jeun + hba1c + anticorps anti îlots de Langerhans
5- Quel serait selon vous l'étiologie la plus probable responsable de ce tableau clinique et qui serait
à évoquer en premier lieu ?
A. Un diabète de type 1
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CD BC C B B
9. MK âgée de 26 ans, sans antécédents particuliers vient consulter pour perte de poids. Elle
est devenue constamment anxieuse et rapporte la notion de mains moites et de sueurs au
repos depuis quelques semaines. Son médecin constate qu'elle a perdu 8 kg spontanément.
À l'auscultation, sa FC est de 120 bpm, rythme cardiaque régulier, une TA à 12/08, des
réflexes ostéotendineux vifs, et un goitre palpable et visible homogène associé à une légère
exophtalmie.
A. Anémie
B. Hyperthyroïdie
C. Septicémie
D. Insuffisance mitrale
E. Maladie cœliaque
A. Maladie de basedow
B. Thyroïdite d'Hashimoto
C. Thyroïdite subaigüe de De Quervain
D. Nodule toxique
E. Un goitre multi nodulaire toxique
A. Goitre
B. Thyrotoxicose
C. Exophtalmie
D. Amaigrissement
E. Tachycardie
A. Anxiolytique
B. Beta Bloquant
C. Un diurétique de l'anse
D. Une antibiothérapie
E. Un anticoagulant
5- Le traitement à visée étiologique chez la patiente comporte plusieurs options thérapeutiques, les
quels ?
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B A ABC AB AC
10. Melle A.S. âgée de 25 ans, sans antécédents particuliers, se présente en consultation de
médecine générale pour amaigrissement spontané de 10 Kg en 4 mois avec une accélération
du transit à raison de 4 selles/jours. La patiente était anxieuse, tachycarde, les mains
trompées de sueurs. Elle présentait aussi une exophtalmie acquise bilatérale avec un goitre
homogène grade 1 vasculaire.
A. Intoxication iodée
B. Thyroïdite d'Hashimoto
C. Maladie de Basedow
D. Hyperthyroïdie factice
E. Thyroïdite de De Quervain
2- Donnez les caractéristiques cliniques pathognomoniques qui vous ont orienté vers ce diagnostic:
A. Amaigrissement spontané
B. Accélération du transit
C. Mains trempées de sueurs
D. Exophtalmie acquise
E. Goitre homogène vasculaire
A. TSH
B. Iodurie
C. Thyroglobuline
D. Ac antitpo
E. Ac anti récepteurs TSH
4- En réalisant ces bilans, vous avez confirmé le diagnostic suspecté. Cependant, un collègue à vous,
vous propose de réaliser une scintigraphie thyroïdienne. Que pensez-vous de cette indication?
5- A la fin de votre consultation, vous délivrez une ordonnance à Melle AS qui refuse tout autre moyen
thérapeutique que la prescription médicale. Précisez les réponses justes parmi les propositions
suivantes concernant votre prescription:
A. Le traitement médical repose sur du Carbimazole à faible dose, prescrit pendant 2 mois
B. On prescrit du Levothyrox 100 µg/J, durée totale du traitement 18-24 mois
C. On prescrit Carbimazole (45 mg/j), pendant 1-2 mois puis on diminue progressivement pour
couvrir 18 mois
D. Le traitement est à base d'Aspirine 3g/j ou un autre anti-inflammatoire pendant 2-3 semaines
E. La surveillance du traitement repose sur les dosages biologiques TSH +/- FT4 et la NFS
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C DE AE AD CE
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11. Mme BA âgée de 35 ans, sans antécédents particuliers, vient d'accoucher il ya 5 mois, et
se présente en consultation de médecine générale pour amaigrissement spontané de 5 kg
depuis son accouchement en vous précisant qu'elle n'a allaité son bébé que pendant 15 jours.
Elle se plaint aussi de palpitations et une accélération du transit à raison de 2 selles
liquidiennes/jours.
A l'examen clinique, vous retrouvez un goitre homogène grade 1 isolé sans autres signes
cliniques, et en poussant l'interrogatoire, elle vous rapporte la notion de même épisode après
les 2 accouchements précédents disparaissent spontanément après plusieurs mois.
A. Maladie de Basedow
B. Thyroïdite du post partum
C. Hyperemesis gravidarum
D. Hypersensibilité à l’hcg des récepteurs de la TSH
E. Thyroïdite de De Quervain
2- Préciser les bilans biologiques vous permettant de confirmer votre suspicion clinique :
A. VS
B. B HCG
C. TSH
D. Ac antitpo
E. Ac anti récepteurs TSH
3- Vous délivrez votre ordonnance à la patiente et vous lui donnez un rdv dans quelques jours afin de
compléter votre prise en charge. Elle revient alors accompagnée de sa seur de 20 ans qui présente
des signes cliniques ressemblant aux mêmes signes qu'elle fait : amaigrissement de 6 kg en 3 mois,
tachycardie, diarrhées avec asthénie intense, sans exophtalmie ni goitre. Ce tableau clinique n'a pas
été précédé par des prodromes particuliers. Elle vous précise, par ailleurs, que cette seur avait un BMI
à 20 kg/m2 avant apparition de ces signes, et pourtant elle était très inquiète par rapport à sa silhouette
qu'elle qualifiait de "ronde".
Vous demandez un bilan biologique de première intention qui revient comme suit : Glycémie à jeun =
1,16 g/l (valeurs normales : 0,7-1 gr /L), FT4 = 25,5 pmol/L (VN = 9-19 pmol/), TSH = 0,16 µui/ml (VN =
0,35-4.94 µui/ml) cortisolémie à 185 ng/ml (VN = 50-130). Interprétez le bilan biologique que vous avez
entre les mains :
4- Vous suspectez tout particulièrement un diagnostic, mais devant la non disponibilité du dosage
biologique le econtirmont, Vous décidez de réaliser une scintigraphie thyroïdienne dont voici les
résultats. Donnez l'interprétation de cette scintigraphie :
A. Fixation hétérogène
B. Nodule chaud
C. Nodule froid
D. Scintigraphie blanche
E. Hyperfixation diffuse
A. Intoxication iodée
B. Nodule toxique
C. Maladie de Basedow
D. Hyperthyroïdie factice
E. Thyroïdite de De Quervain
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6- Devant ce tableau clinique, biologique et scintigraphique, vous suspectez une étiologie bien précise.
Quels sont les bilans biologiques que vous allez demander pour confirmer ce diagnostic ?
A. Thyrocalcitonine
B. Thyroglobuline
C. Iodurie
D. Ac anti récepteurs de la TSH
E. Ac anti Thyroglobuline
7- Ces dosages biologiques sont aussi indiqués dans une autre pathologie, laquelle?
A. Maladies inflammatoires
B. Maladies auto-immunes
C. Hypothyroïdie congénitale
D. Carcinome médullaire de la thyroïde
E. Carence iodée
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B CD BC D ADE BE C
12. Mme DZ, âgée de 43 ans, consulte pour une prise récente de 4 Kg de poids, sans
modifications de ses habitudes alimentaires, et pour une asthénie. Elle pèse 69 Kg pour 1,60
m. Ses antécédents personnels sont limitée à un vitiligo. Elle ne prend aucun traitement ;
1- A l'examen clinique, quel sont les signes qui orienteront le diagnostic d'hypothyroïdie?
A. Une tachycardie
B. Une érythrose faciale
C. Un hirsutisme
D. Un oedème palpébral
E. Des cheveux fins et secs
2- Les données sus citées vous permettent d'évoquer une étiologie avant tout, laquelle?
3- Dans cette hypothèse (la réponse choisie à la question 02), la thyroïde est habituellement
A. Normale
B. Ferme et hétérogène
C. Très volumineuse
D. Vasculaire
E. Souvent blanche en scintigraphie
5- Chez cette patiente sans antécédent médical, la suspicion clinique d'hypothyroïdie nécessite en
première intention :
A. Le dosage de la tshus
B. Un dosage de l'iodurie des 24 heures
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DE C B B A
13. Madame D, âgée de 43 ans, consulte pour une prise de poids récente de 4 kg sans
modification de ses habitudes alimentaires, et pour une asthénie. Elle pèse 65 kg pour 1,60m.
Ses antécédents sont limités à un vertige. Elle ne prend aucun traitement.
1- A l'examen clinique, quels sont les signes qui vous orientent vers le diagnostic d'hypothyroïdie ?
A. Une tachycardie
B. Une érythrose faciale
C. Un hirsutisme
D. Un oedème palpébral
E. Des cheveux fins et secs
2- Les données citées ci-dessus permettent d'évoquer une étiologie avant tout, laquelle ?
A. Un cancer thyroïdien
B. Une thyroïdite du post partum
C. Une thyroïdite de Hashimoto
D. Une agénésie thyroïdienne
E. Une thyroïdite subaiguë de De Quervain
3- Dans cette hypothèse (evoquée dans la questlon 02, la thyroïde est habituellement :
A. Normale
B. Ferme et hétérogène
C. Très volumineuse
D. Vasculaire
E. Blanche en scintigraphie
A. Le dosage de la thyrocalcitonine
B. Le dosage des anticorps antithyroïdiens
C. Le dosage de la thyroglobuline
D. L'échographie
E. La scintigraphie
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DE C B B B
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1- Quels sont les diagnostics les plus fréquents à évoquer en premier lieu ?
2- Quels sont les bilans de première intention à demander afin d'orienter le diagnostic ?
3- Devant les simples éléments cliniques dont vous disposez, quel serait selon vous le diagnostic le
plus probable à évoquer en premier lieu ?
4- Si on retenait le diagnostic d'un diabète de type 1, quelle serait le bilan à demander pour sa
confirmation ?
A. Hba1c
B. 2ème Glycémies à jeun
C. 2ème glycémies à jeun + hba1c
D. Glycémie à jeun + hba1c + anticorps anti GAD
E. 2ème glycémie à jeun + hba1c + anticorps anti îlots de Langerhans
5- Quel serait selon vous l'étiologie la plus probable responsable de ce tableau clinique et qui serait à
évoquer en premier lieu ?
A. Un diabète de type 1
B. Une maladie de Basedow
C. Une dépression nerveuse
D. Une potomanie
E. Un diabète insipide
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CD BC C B B
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4. LES PARATHYROIDES
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HYPOPARATHYROÏDIE
1. Parmi les situations cliniques suivantes cochez celles qui s'accompagnent d'une hypocalcémie :
A. L'hypoparathyroïdie
B. L'hyperparathyroïdie
C. L'hypovitaminose D
D. La pancréatite aigue
E. L'insuffisance rénale chronique
ACDE
HYPERPARATHYROÏDIE
3. Tous ces signes peuvent être observés au cours de l'hyperparathyroïdie primaire sauf une laquelle ?
A. Néphrocalcinose
B. Lithiase rénale
C. Fractures
D. Dents de mauvaise qualité
E. Asthénie
D
4. Tous ces éléments sont en faveur d'une hyperparathyroïdie primaire sauf un : lequel ?
A. Epigastralgies et constipation
B. Douleurs osseuses et fractures pathologiques.
C. Aspect radiologique en poivre et sel de la voute crânienne.
D. Une PTH (parathormone) élevée avec une phosphorémie basse.
E. Une calcémie élevée avec une calciurie basse.
E
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A. Les données de l'examen clinique sont importantes et suffisantes pour confirmer le diagnostic
B. Le bilan phosphocalcique vient compléter les résultats des examens radiologiques
C. Les indications thérapeutiques dépendent des résultats de l'exploration morphologique (écho et scinti a
la MIBI)
D. La chirurgie et le suivi ne sont pas toujours systématiques
E. L'adénome parathyroïdien unique est la cause la plus fréquente
E
6. Dans l'hyperparathyroïdie primaire avec une fonction rénale normale, le profil biologique typique
associe les éléments suivants) :
A. La phosphorémie est abaissée.
B. Calciurie est augmentée.
C. Les phosphatases alcalines sanguines sont abaissées.
D. Clairance du phosphore est élevée.
E. PTH est élevée.
ABDE
7. En plus de l'hydratation avec du sérum sale physiologique quels sont les autres moyens qui peuvent
être utilisé pour faire baisser la calcémie au cours de l'hyperparathyroïdie primaire ?
A. Furosémide
B. Hydrochlorothiazide
C. Acide Zoledronic (biphosphonate)
D. Hémodialyse
E. Vitamine D active
ACD
8. Vous découvrez chez un patient porteur d'une lithiase rénale récidivante depuis 03 ans, une
calcémie 2,85 mmol/l. Quel doit être votre première hypothèse diagnostique ?
A. Myélome.
B. Cancer secondaire des os.
C. Hyperparathyroïdie primaire.
D. Sarcoidose.
E. Immobilisation prolongée.
C
9. Une dame âgée de 60 ans aux antécédents de micro lithiases rénales bilatérales récidivantes
consulte pour asthénie, douleurs et fatigues musculaires. Le bilan biologique retrouve : créatinine
10mg/1inormes : 6-12), albumine 32 g/l (normes : 35-50), calcémie 104 mg/I (normes : 85-106),
phosphorémie - 23 mg/ (normes : 25-45), PTH 188 pg/ml (normes 15-65), 25 hydroxyvitamine D3 40
ng/ml (normes : 30-80). Selon ces résultats quel est le diagnostic que vous évoquez ?
A. Hyperparathyroïdie primaire
B. Hyperparathyroïdie secondaire
C. Intoxication en vitD
D. Hyperparathyroïdie tertiaire
E. Bilan phosphocalcique correct
A
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14. Parmi les médicaments suivants, quels sont ceux pouvant être à l'origine d'une hypercalcémie ?
A. Un alpha hydroxy-vitamine D
B. Vitamine A
C. Metoclopramide
D. Lithlum
E. clomipramine
ABD
ACDE
16. Le tableau biologique d'une calcémie élevée avec PTH élevée peut se voir en cas :
A. D'hyperparathyroïdie primaire
B. De traitement par sels de lithium chez un patient avec trouble bipolaire
C. L'hypercalcémie familiale bénigne ou syndrome de Marx et Aurbach
D. De carence sévère en vitamine D
E. De syndrome de malabsorption secondaire à une maladie cœliaque.
ABC
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19. Cochez les propositions justes parmi les suivantes concernant l'hyperparathyroïdie :
A. L'HPT est réactionnelle à l'hypocalcémie, en cas de carence en vit D
B. Les tumeurs ostéolytiques sont responsables d'une hyper calcémie chronique
C. Dans l'hypercalcémie modérée, la substitution ostrogénique chez toute femme ménopausée est
obligatoire
D. Un régime désodé est indiqué dans le traitement des hypercalcémies modérées
E. L'insuffisance rénale chronique non substituée peut engendrer une HTP tertiaire
AE
20. Le calcium lié à l'albumine plasmatique représente par rapport au calcium plasmatique le
pourcentage suivant
A. 10%.
B. 40%.
C. 20%.
D. 80%.
E. 100%.
B
21. Toutes ces affections peuvent s'accompagner d'une hypercalcémie sauf une, laquelle ?
A. Hyperparathyroïdie
B. Maladie de Paget
C. Sarcoïdose
D. Hémopathie maligne
E. Hémochromatose
E
CAS CLINIQUE
2- Devant cette PTH élevée, quelle est l’état suivant pour l'exploration du cas de Khadidja (une seule
réponse juste) ?
A. Orienter la patiente pour une exploration chirurgicale
B. Demander une échographie et une scintigraphie à la MIB
C. Confirmer le diagnostic par un bilan phosphocalcique complet après un régime calibré en calcium
D. Rassurer la patient qu'une PTH élevée est fréquemment rencontrée chez les sujets âgés et demander
un contrôle après 1 an
E. Demander une DMO pour évaluer le retentissement osseux de cette hyperparathyroïdie
3- Un deuxième bilan demandé est revenu après quelques jours en faveur de : Calcémie 118 mg/l (84-
102), phosphorémie 35 mg/l (25-45), albuminémie 35 mg/l, PTH 115 ng/l (10-65), Calciurie 500 mg/24h
(normale < 250 ng/24h), phosphaturie normale à 15 mmol/24h (10-20), créatininémie des 24h normale
900 mg/24h et un volume urinaire à 2500. La calcémie corrigée en mg/l chez cette patiente est de
(une seule réponse est juste) :
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MERAKI MED – ENDOCRINOLOGIE – QCM et CAS CLINIQUES 2014 - 2019
A. 82
B. 88
C. 90
D. 98
E. 123
5- Le diagnostic positif d'une hyperparathyroïdie primaire est confirmé chez Khadidja et son médecin
décide de l'adresser pour exploration morphologique (échographie et scintigraphie) qui est revenu
négative. Devant le résultat de l'imagerie (une ou plusieurs réponses sont justes) :
A. Le diagnostic de l'hyperparathyroïdie est éliminé
B. Le diagnostic de l'hyperparathyroïdie primaire reste établie cependant il faudra juste faire une
surveillance du bilan phosphore sans donner aucun traitement
C. L'imagerie négative peut se voir en cas d'hyperparathyroïdie primaire
D. Une exploration chirurgicale à la fois exploratrice et curatrice peut être indiquée chez la patiente
E. Aucune réponse n'est juste
6- La patiente présente une polyurie chiffré à 3.5 l/24h après une collecte des urines et une osmolarité
cadée et retenu 200mosmelhg250), dans ce tableau (une seule réponse est juste) :
A. Il s'agit d'une polyurie osmotique
B. Il s’agit fort probablement d'un syndrome polyuro-polydipsique en rapport avec un déficit de sécrétion
de l'ADH
C. Il s'agit fort probablement d'un syndrome polyuro-polydipsique en rapport avec une insensibilité rénale
à l'ADH
D. Il s'agit fort probablement d'un syndrome polyuro-polydipsique lié un diabète insipide central
E. Une imagerie de la région hypothalamohypophsaire est un indiquée pour confirmer le diagnostic
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MERAKI MED – ENDOCRINOLOGIE – QCM et CAS CLINIQUES 2014 - 2019
5- LA GLANDE SURRENALE
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MERAKI MED – ENDOCRINOLOGIE – QCM et CAS CLINIQUES 2014 - 2019
1. Parmi les arguments suivants, quels sont ceux qui orientent vers une étiologie auto-
Immune de la maladie d'Addison :
A. Sexe féminin
B. Primo infection tuberculeuse.
C. Calcification des surrénales
D. Associallon à une thyroïdite d'hashimoto.
E. Présence des anticorps anti surrénaliens circulant
REP : ADE
A. Acidose métabolique
B. Acidose respiratoire
C. Hyperaldostéronisme secondaire
D. Fistules digestives
E. Insuffisance rénale aigue
REP : ACD
A. Acidose métabolique
B. Acidose respiratoire
C. Hyperaldostéronisme secondaire
D. Alcalose métabolique
E. Insuffisance rénale aigue
REP : AC
A. Hyperglycémie
B. Hyperkaliémie
C. Hyponatrémie
D. Hypercalcémie
E. Hypokaliémie
REP : BCD
A. Hyperkalièmie.
B. Hypoglycémie.
C. Hypernatrémie
D. Hypercalcémie.
E. Hypokaliemie.
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MERAKI MED – ENDOCRINOLOGIE – QCM et CAS CLINIQUES 2014 - 2019
REP : ABD
A. Identité du malade.
B. La maladie.
C. Le traitement qu'il reçoit.
D. Les médicaments proscrits
E. Les situations d'adaptation du traitement.
REP : ABCDE
8. Parmi les paramètres biochimiques suivant, quels sont ceux en faveur du diagnostic
d'insuffisance surrénale aigu ?
10. Dans l'insuffisance surrénale secondaire à une rétraction corticale, l'atteinte touche :
A. La corticosurrénale et la médullosurrénale
B. La couche réticulée
C. La médullosurrénale
D. La couche glomérule
E. La couche fasciculée
REP : BDE
A. Un syndrome de Waterhouse-Fredericksen.
B. Un arrêt brutal d'une corticothérapie de longue durée.
C. La prise d'anticoagulants.
D. Une artériographie rénale
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MERAKI MED – ENDOCRINOLOGIE – QCM et CAS CLINIQUES 2014 - 2019
A. Une hypernatrémie
B. Une hyperkaliémie
C. Une déshydratation intracellulaire
D. Une hyperhydratation intracellulaire
E. Une augmentation de la rénine
REP : BDE
16. Tous ces arguments sont en faveur d'une insuffsance surrénale d’origine haute (insuffisance
corticotrope) sauf :
17. Quels sont les arguments en faveur d'une insuffisance corticotrope (insuffisance surrénale
d'origine haute)?
18. Parmi les signes cliniques et biologiques suivants, lesquels sont en faveur d'un déficit
corticotrope?
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MERAKI MED – ENDOCRINOLOGIE – QCM et CAS CLINIQUES 2014 - 2019
B. D'une mélanodermie
C. Hyponatrémie sans hyperkaliémie
D. Hyperglycémle surtout en cas d'association avec un déficit somatotrope
E. Hypersudation
REP : AC
21. Dans le bloc enzymatique en 21 OH surrénalien par mutation du gène CYP21 chez un
nourrisson 46 XY, on trouve:
A. Une clitoromégale
B. Des testicules infantiles
C. Des testicules augmentés de volume
D. Les deux parents porteurs de la mutation
E. Seul Le père est porteur de la mutation
REP : BD
A. Un hyperaldostéronisme.
B. Un déficit en androgènes
C. Un déficit en cortisol.
D. Un pseudo hermaphrodisme masculin.
E. Un déficit en Aldostérone.
REP : CDE
24. Le bloc enzymatique en 1 1béta hydroxylase peut s'exprimer chez l'adolescente par :
2019/2020 79
MERAKI MED – ENDOCRINOLOGIE – QCM et CAS CLINIQUES 2014 - 2019
A. Un hirsutisme
B. Une hypertrichose
C. Une hypertension artérielle
D. Une hypocalcémie
E. Une hypokaliémie
REP : ACE
26. Le traitement de l’isa associe les propositions suivantes sauf une, Laquelle?
27. Parmi les pathologies suivantes, les quelles comportent une hyperplasie bilatérales des
surrénales ?
2019/2020 80
MERAKI MED – ENDOCRINOLOGIE – QCM et CAS CLINIQUES 2014 - 2019
30. Les examens suivants sont nécessaires pour confirmer le diagnostic positif du syndrome de
Cushing:
34. Le syndrome de résistance aux glucocorticoldes est suspecté devant un hirsutisme associé
à certains signes cliniques et biologiques, lesquels?
35. Précisez parmi les explorations suivantes celles vous permettant la distinction entre une
sécrétion hypophysaire et pareanéoplasique de l’acth :
2019/2020 81
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A. 1mg de Cortancyl
B. 1mg de Solupred
C. 1cp de Déxamethasone
D. 2 mg de Déxamethasone
E. 2 cp de Déxamethasone
REP : E
2019/2020 82
MERAKI MED – ENDOCRINOLOGIE – QCM et CAS CLINIQUES 2014 - 2019
41. Ces signes biologiques non spécifiques peuvent être présents au cours d'un
hypercorticisme sauf un, lequel ?
A. Neutropénie
B. Hypakaléimie
C. Hyperglycémie
D. Hypertriglycéridémie
E. Acidose métabolique
REP : E
44. Précisez le taux du cortisal plasmatique, parmettant d'assoir le diagnostique de sécrétion hypophysaire
d’acth et ce après le test que vous venez de réaliser à la question 3 :
2019/2020 83
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REP : BCE
47. Précisez les propositions justes parmi les suivantes concernant les signes cliniques
orientant vers l'étiologie du syndrome de cushing :
A. La présence d'un syndrome tumoral intracranien oriente vers un micro adénome corticotrope
B. La présence d'une mélanodermie évoque une forte sécretion de l’acth
C. La présence d'une mélanodermie oriente vers l'origine ACTH indépendante d'un syndrome de
Cushing
D. La présence d'une dépigmentation oriente vers l'origine ACTH dépendante d'un syndrome de Cushing
E. Un hirsutisme discret peut être rencontré dans toutes les étiologies du syndrome de Cushing
REP : BE
48. Précisez les traitements médicamenteux pouvant inhiber la sécrétion de l’acth et donc
prescrits dans certains cas de maladie de cushing :
A. OP’DDD
B. Spironolactone
C. Pasiréotide
D. Cabergoline
E. Flutamide
REP : CD
49. Précisez le premier diagnostic auquel vous étes urienté chez un patient en bon état
généraleprésentant une obésité facio-tronculaire avec amyotrophie des membres inférieurs et
dont le profil biologique est le suivant: ACTH à 25 pg/ml (Valeur normale: 10-60), cortisolémie
à 250 ng/ml (VN: 60-200):
50. Une fermme de 40 ans présente une masse surrénalienne gauche de 2 cm seeritant le
cortisol :
51. Mr. B.M. 8gé de 48ans se présente en consultation pour obésité. Vous étes frappé par son
morphotype cushingoide et vous voulez assoir votre diagnostic (en consultation externe) , que
faites-vous ?
A. Un cycle de cortisol
B. Un cortisol salivaire
C. Un test de freinage minute
D. Un test de freinage faible
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MERAKI MED – ENDOCRINOLOGIE – QCM et CAS CLINIQUES 2014 - 2019
52. L'examen réalisé à Mr. B. M, n'a pas été contributif , vous décidez de l’hospitaliser. Quel
est l'examen à demander pour confirmer ou infirmer votre hypothèse?
A. Un cycle de cortisol
B. Un cortisol salivaire
C. Un test de freinage minute
D. Un test de freinage faible
E. Un test de freinage fort
REP : D
53. Apres discussion avec les membres de sa famille, il s'avère que Mr. B. M. Est alcoolique
chronique depuis plus de 20 ans. Quelle serait alors votre hypothèse diagnostic?
A. Maladie de Cushing
B. Syndrome de Cushing par adénome surrénalien
C. Secrétion paranéoplasique de cortisol
D. Sécrétion paranéoplasique de CRH
E. Pseudo syndrome de cushing
REP : E
CAS CLINIQUES
2- Quels sont les signes qui vous ont conduit à poser ce diagnostic ?
A. Pâleur cutanéo-muqueuse
B. Hypotension artérielle
C. Douleurs abdominales
D. TSH à 0,42 uu/ml
E. Kaliémie à 5,3 meq/l
2019/2020 85
MERAKI MED – ENDOCRINOLOGIE – QCM et CAS CLINIQUES 2014 - 2019
A. Test au synacthène
B. Cortisol plasmatique
C. ACTH plasmatique
D. IDR à la tuberculine
E. FT4 plasmatique
5- Parmi les diagnostics étiologiques suivants, le quel est le plus probable chez notre patiente ?
A. Maladie de Basedow
B. Tuberculose surrenale
C. Adénocarcinome intestinale occlusif
D. Rétraction corticale
E. Prise de corticoïdes au long cours
A. Hyperpigmentation cutanéo-muqueuse
B. IDR à la tuberculine positive
C. ACTH plasmatique bas
D. Anticorps anti-récepteurs de la TSH positif
E. Calcifications sus rénales
1 2 3 4 5 6
A BCE B AC B ABE
2. Ahlem, âgée de 10 ans, issue d'un mariage consanguin, admise aux urgences
pédiatriques pour vomissements, diarrhées et douleurs abdominales d'aggravation
progressive. L'abdomen est souple, la Fc de 80/05 mmHg, Rythme cardiaque est
régulier à 100 bat/mn, et la diurèse est conservée. L'enfant est consciente, eupnéique,
se plaint d’alacrymie et de dysphagie depuis la naissance, on note des signes de début
pubertaire. Il y a quelques jours l'enfant a installé une crise convulsive au cours de la
séance de sport à l'école corrigée par la perfusion de sérum Glucosé. Le bilan d'urgence
retrouve une natrémie à 130 mEq/l (135-145 meq/l), Kaliémie à 4 meq/l (3.5-5.5),
Glycémie à 0.40 g/l (0.7-1g/l), urée à 0.50 g/l, et une créatinine sanguine à 18 mg/l (0.5-
12mg/l), Une insuffisance surrénalienne aigue est suspectée.
A. Insuffisance cardiaque
B. Gastro-entérite
C. Etat de mal épileptique
D. Puberté précoce
E. Hérnie hiatale para oesophagienne
2019/2020 86
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A. Cortisol plasmatique à 8H
B. ACTH plasmatique
C. FSH, LH plasmatiques
D. Echographie Cardiaque
E. TDM abdominale
A. Syndrome d’Allgrove
B. Hyperplasie congénitale des surrénales par bloc en 21 hydroxylase
C. Adrenoleucodystrophie liée à l’x
D. Hypoplasie congénitale des surrénales par mutation DAX1
E. Hyperplasie congénitale des surrénales par bloc en 20-22 Desmolase
4- Quelles sont les anomalies présentées par la patiente qu'ont conduit à poser ce diagnostic
étiologique ?
A. Convulsion
B. Alacrymie
C. Puberté précoce
D. Insuffisance rénale
E. Dysphagie
1 2 3 4
BE ABE A BE
3. Un patient est reçu aux urgences médicales, il est agité présentant des diarrhées,
vomissements et douleurs abdominales. L'examen retrouve une tension artérielle à
80/40 mmHg et des signes de déshydratation extracellulaire. Une insuffisance
surrénalienne aiguë (ISA) est suspectée.
2019/2020 87
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5- d'après vous, comment pourrions-nous pu faire pour éviter cette situation à l'avenir ?
1 2 3 4 5
C B BC BD E
A. Maladie de Cushing
B. Syndrome de Cushing
C. Sécrétion paranéoplasique de cortisol
D. Sécrétion paranéoplasique de CRH
E. Pseudo cushing
A. Un cycle de cortisol
B. Un cortisol salivaire
C. Un test de freinage minute
D. Un test de freinage faible
E. Un test de freinage fort
3- l'examen demandé n'a pas été contribué, vous décidez d'hospitaliser votre patiente, que demandez-
vous ?
A. Un cycle de cortisol
B. Un cortisol salivaire
C. Un test de freinage minute
D. Un test de freinage faible
E. Un test de freinage fort
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4- Vous avez demandé un taux d'acth qui est revenu élevé >80 pg/ml et au vu des résultats des
examens déjà faits, que proposez-vous à cette patiente ?
A. Un cycle de cortisol
B. Un cortisol salivaire
C. Un test de freinage minute
D. Un test de freinage faible
E. Un test de freinage fort
5- Dans le cas de notre patiente, quels seraient selon vous l'association des tests diagnostiques qui
confirment à coup sur le diagnostic posé de la maladie ?
A. Un cycle de cortisol
B. Un cortisol libre urinaire élevé
C. Un cortisol salivaire élevé
D. Un test de freinage minute négatif
E. Un test de freinage faible négatif
1 2 3 4 5
B C D E BCE
5. Madame H. 29 ans consulte pour une prise de poids de 12 kilos depuis son
accouchement 2-ans auparavant, associé à une asthénie importante. Depuis 6 mois elle
prend un traitement pour une acné kystique et elle a noté une augmentation de la
pilosité du visage, du ventre et du dos, la moustache et le menton nécessitent
maintenant 2 épilations par mois et est actuellement elle présente une aménorrhée
secondaire depuis plus de 8 mois. La pression artérielle est à 170/100 mm He, FC à
80/min, poids à 67,6 kg, taille 150 cm, la surcharge pondérale est tronculaire, le visage
est lunaire, érythrosique, Il existe un comblement des creux sus claviculaires bilatéral
contrastant avec une amyotrophie sévère des membres supérieurs et inférieurs. Il n'est
pas noté de mélanodermie. Le reste de l'examen clinique est normal. Le bilan montre
: glycémie à Jeun : 1,23 g/l, natrémie : 144 meq/l, kaliémie : 3 meg/l créatininémie : 8,4
mg/l, cholestérol total : 33 g/l, triglycérides : 1,4 g/l
A. IGF-1
B. Cortisol de base à 08h00
C. ACTH de base 08h00
D. Test de freinage minute à la déxamethasone
E. Test de freinage faible (standard ou Liddle) à la déxamethasone
3- Quelles sont les deux étiologies les plus probables chez cette patiente?
2019/2020 89
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B. Adénome de Conn
C. Adénome surrénalien
D. Sd de Cushing
E. Matadie de cushing
5- Les tests biologiques sont en faveur d'une origine hypophysaire. L'IRM hypophysaire est normale,
le scanner Surrénalien ne retrouve pas de Sd de masse surrénalien. Quel complément d’exploration
proposez-vous ?
1 2 3 4 5
D E CE BD D
1- Quelle est la fonction des corticoïdes pris au long court sur les fonctions hypothalamo-
hypophysaires ?
A. Au risque de rebond de la PR
B. Au syndrome de sevrage en corticoïdes
C. Insuffisance surrénalienne périphérique
D. Au déficit corticotrope
E. Au développement d'un diabète sucré
3- La patiente, encore sous Cortancyl, vous montre un bilan hormonal demandé il y a quelques jours
par son médecin traitant. La cortisolémie de base à 8h était à 20 ng/ml (valeurs normales: 60-180 ng/l).
Quelle est votre conduite à tenir en vue de l'arrêt de son traitement ?
2019/2020 90
MERAKI MED – ENDOCRINOLOGIE – QCM et CAS CLINIQUES 2014 - 2019
4- Vous avez assuré la conduite appropriée. La cortisolémie après 1 mois revient à 70 ng/ml. Quelle
est alors votre conduite ?
5- Quelle est la valeur de la cortisolémie après le test de stimulation demandé, pour laquelle vous allez
conclure une fonction corticotrope normale, autorisant ainsi l’arret des corticoïdes au long court ?
A. >30 ng/ml
B. <30 ng/ml
C. >100 ng/ml
D. >150 ng/ml
E. >180 ng/ml
1 2 3 4 5
ABD ABD DE A E
7. Une patiente, aux antécédents personnels de maladie de Basedow, est mise sous
60 mg/J de prédnisolone pour une poussée de lupus érythémateux disséminé (LED). Un
mois après le traitement, elle présente un syndrome polyuro-polydipsique, une
hypertension artérielle, une prise de poids avec vergetures pourpres au niveau de
l'abdomen. Le bilan biologique a révélé une kaliémie à 3.2 mmol/L (normes : 3,5-5), une
glycémie à jeun à 3g/l et une anémie normochrome normocytaire.
A. Syndrome polyuro-polydipsique
B. Hyperthyroïdie
C. Hypokalémie
D. Vergetures pourpres
E. Anémie
3- Quels sont les mécanismes par lesquels une corticotnerapie peut entrainer un diabète sucré ?
2019/2020 91
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1 2 3 4
ABD ACD ACE BE
1- Précisez la ou les réponses justes parmi les propositions suivantes concernant le score de Ferriman
et Gallway :
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A. Hirsutisme idiopathique
B. Syndrome des ovaires micro-polykystiques
C. Une hyperplasie congénitale des surrénales
D. Une origine surrénalienne
E. Une origine tumorale
3- Les explorations biologiques faites retrouvent : Testostéronémie à 5 ng/ml (Valeur Normale: 0,1-0,7
ng/ml). D4androsténédione à 5 ng/ml (VN: 0,8-3,0 ng/ml). SDEHA: 1010 ng/ml (VN : 100-330 ng/ml). A
quel diagnostic pensez-vous maintenant ?
A. Echographie ovarienne
B. Scanner ovarien
C. Dosage du 17 hydroxyprogesterone
D. Dosage du 11 désoxycorticostérone (DOC)
E. Scanner surrénalien
5- Quels sont parmi les molécules suivantes, celles qui ont un pouvoir anti androgénique et proposées
dans le traitement de l’hirsutisme :
A. Spironolactone
B. Acétate de Cyprotérone (Androcur)
C. Pegvisomant
D. Somatuline
E. Ketokonazole
1 2 3 4 5
E E C E AB
10. Une athlète Algérienne de haut niveau, âgée de 20 ans, grande de taille, de BMI
normal, consulte en endocrinologie pour aménorrhée primo-secondaire et un
hirsutisme modéré d'installation progressive depuis la puberté.
1- Selon ces données, quelles sont les causes les plus probables de ces anomalies ?
A. Hirsutisme idiopathique
B. Syndrome de Cushing
C. Syndrome des ovaires micro polykystique
D. Bloc en 21 hydroxylase
E. Prise médicamenteuse
1
CE
2019/2020 93
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11. Le bilan biologique réalisé chez une patiente âgée de 35 ans, consultant pour un
hirsutisme important d’installation rapide en quelques mois, revient comme suit :
testostérone 3.7ng/ml (valeur normale 0,4-0,8 ng/ml, SDHEA 156 ng/ml (VN: 100-300
ng/ml), D4 androsténédione à 8 ng/ml (VN: 0,8- 3 ng/ml).
2- Précisez parmi les explorations suivantes celles vous permettant à distinguer entre une sécrétion
hypophysaire et paranéoplasique de l'acth:
1 2 3
A BC A
12. Mme A.B âgée de 25 ans, est orientée par un dermatologue pour suspicion d'une
origine endocrinienne à son alopécie installée depuis quelques mois et d'aggravation
progressive.
2- Quels sont les signes cliniques d'hyperandrogénie à rechercher chez cette dame ?
A. Séborrhées
B. Atrophie du clitoris
C. Raucité de la voix
2019/2020 94
MERAKI MED – ENDOCRINOLOGIE – QCM et CAS CLINIQUES 2014 - 2019
3- Mme A.B a ramené avec elle le bilan biologique suivant : testostérone 4,5 ng/ml (valeur normale 0,4
- 0,8 ng/ml), D4 androstènedione à 8 ng/ml (VN : 0,8 - 3 ng/ml). Précisez les diagnostics possibles
auxquels vous pensez devant ce tableau biologique ?
A. Tumeur virilisante de l'ovaire
B. Tumeur virilisante surrénalienne
C. Syndrome des ovaires micropolykystiques
D. Syndrome de résistance aux glucocorticoïdes
E. Bloc enzymatique en 21 hydroxylase
1 2 3 4
BCE AC AB CE
13. Melle B.A. célibataire ágée de 22 ans, originaire et demeurant à Constantine et sans
antécédents particuliers. Elle consulte en endocrinologie pour un hirsutisme modéré à
sévère apparu après la puberté, d'aggravation rapide score à 26 (selon le score de
Ferriman et Gallway) associé à des troubles du cycle puis aménorrhée depuis 8 mois.
A l'examen clinique, on retrouve une patiente de 1,70 m de taille, BMI normal sans
morphotype particulier, avec une pression artérielle de 11/07 cmhg, une voix rauque,
une alopécie androgénique et sans ambiguïté des organes génitaux externes.
1- Précisez les réponses justes parmi les propositions suivantes concernant le score de Ferriman et
Gallway:
2- Quelles sont parmi les étiologies suivantes. Celles qui peuvent entraîner un hirsutisme?
3-: Selon l'énoncé, quelles sont les étiologies possibles pour expliquer cet hirsutisme chez Mlle B.A.
?
A. Un adénome surrénalien
B. Une tumeur virilisante de l'ovaire
C. Une tumeur virilisante de la surrénale
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D. Un hirsutisme idiopathique
E. Un déficit en 11 Béta hydroxylase
4- Des bilans biologiques de première intention ont été demandés et revenus comme suit :
Testostérone à 3.2 ng/ml (VN de 0,4-0,8), SDHEA 3 110 ng/ml (VN: 100-300 ng/ml); Delta 4
androsténédione à 6.2 ng/ml (VN : 0,8-3 ng/ml).précisez les 2 diagnostics auxquels vous pensez ?
5- Quelle est exploration qui vous permet en général de faire le diagnostic topographique et surtout
différentiel entre les 2 étiologies auxquelles vous penser ?
1 2 3 4 5
AB ABC BC AE ??
14. Melle AA. Est âgée de 32 ans. Elle est originaire et demeurante à Constantine et
présente des antécédents familiaux de décès d'un frère en période néonatale de cause
imprécisée. Elle consulte en endocrinologie pour un hirsutisme modéré apparu en péri-
pubertaire, stable et score à 18 (selon le score de Ferriman et Gallway). A l'examen
clinique, on retrouve une patiente de 1,40m de taille et 45 kg de poids, avec une
pression artérielle de 11/07 Cm Hg, une voix rauque, un développement des masses
musculaires et une ambiguïté des organes génitaux externes.
1- Préciser la ou les réponses justes parmi les propositions suivantes concernant le score de Ferriman
et Gallway :
2- Quelles sont parmi les étiologies suivantes, celles qui peuvent entraîner un hirsutisme ?
3- Selon l'interrogatoire et le tableau clinique de la patiente A.A. une étiologie bien précise de son
hirsutisme est suspectée, laquelle :
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A. Un syndrome de Cushing
B. Une tumeur virilisante de l'ovaire
C. Une tumeur virilisante de la surrénale
D. Un déficit en 21 hydroxylase
E. Un déficit en 11 B hydroxylase
4- Quel est le paramètre biologique vous permettant de confirmer votre présomption clinique ?
5- Quels sont parmi les molécules suivantes, celles qui ont un pouvoir anti androgénique et proposées
dans le traitement de l'hirsutisme :
A. Spironolactone
B. Acétate de Cyprotérone (Androcur)
C. Ketoconarole
D. Analógues de la somatostatine
E. OPDOD
1 2 3 4 5
BCD ACD D B AB
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6- LA GLANDE HYPOPHYSAIRE
2019/2020 98
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1. Toutes ces hormones sont secrétées au niveau de l'antéhypophyse sauf une laquelle :
A. GH
В. АСТН
C. TSH
D. ADH
E. PRL
Rep : D
6. Parmi les propositions suivantes, lesquelles sont en faveur d'un syndrome de Sheehan chez
une femme en post-partum :
A. Céphalées intenses avec troubles visuels
B. Notion d'accouchement hémorragique avec transfusion sanguine
C. Insuffisance antéhypophysaire avec hyperprolactinémie
D. Absence de montée laiteuse
E. Absence de retour de couches
REP : BDE
2019/2020 99
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9. Les quelles des situations suivantes sont responsables d’une baisse du taux plasmatique
d'IGF1 ?
A. Déficit en GH (Hormone de croissance)
B. Grossesse
C. Malnutrition
D. Insuffisance hépatique
E. Période pubertaire
REP : ACD
13. Parmi les éléments suivants, lesquels plaident en faveur d'une insuffisance corticotrope ?
A. La présence d'une mélanodermie
B. La présence d'autres déficits hypophysaires
C. Une symptomatologie plus marquée
D. Une hyponatrémie avec kaliémie normale
E. Un taux de cortisol plasmatique 2 fois le taux de base anras test à l'hypoglycémie insulinique
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REP : BD
14. Toutes ces pathologies peuvent entrainer un Hypopituitarisme antérieur global sauf :
A. Le syndrome de Sheehan
B. La chirurgie des adénomes hypophysaire
C. La corticothérapie au long cours
D. L’apoplexie hypophysaire
E. Les craniopharyngiomes
REP : C
16. Parmi les tumeurs non adénomateuse suivantes, quelle est la plus fréquente chez l’enfant ?
А. l’hamartome
B. Le craniopharyngiome
C. Le kyste arachnoïdien
D. Le gliome
E. Le méningiome
REP : B
17. Cochez la ou les propositions justes parmi les suivantes concernant les étiologies de L’IAH :
A. Le craniopharyngiome est une tumeur bénigne survenant principalement chez les adultes.
B. Le syndrome de sheehan se caractérise par un accouchement hémorragique, l'absence de retour des
couches et l'absence de montée laiteuse.
C. Le syndrome de sheehan se caractérise par un accouchement hémorragique, l'absence de retour des
couches associé une galactorrhée.
D. L'hypophysite auto-immune est suspectée devant le contexte d'accouchement hémorragique
E. L'IAH peut s'installer 20 ans après une radiothérapie de la région hypothalamo-hypophysaire
REP : BE
18. Quels sont les examens complémentaires à réaliser en cas d'adénome somatotrope ?
A. Echocardiographie
B. Coloscopie
C.TDM thoracique
D. Dosage du Cortisol et ACTH à 8h du matin
E. Polysomnographie.
REP : ABDE
19. Quelles sont les anomalies biologiques qu'on peut retrouver en cas d'adénome hypophysaire
purement somatotrope :
A. Taux d’GF1 élevé
B.GH non freinable au cours d'une HGPO
C. Hypoglycémie
D. hypocholestérolémie
E. Taux d’ACTH élevé
REP : AB
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22. Quels sont les signes biologiques non spécifiques orientant vers un déficit corticotrope ?
A. Hypoglycémie
B. Anémie
C. hyperkaliémie
D. Hypokaliémie
E. hyponatrémie
REP : AE
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E. Déficit lactotrope
REP : D
27. La surveillance biologique du traitement d'un pan hypopituitarisme se fait par les dosages de :
A. FSH
B. ACTH à 8h
C. Cortisolémie 4 heures après la prise d'hydrocortisone
D. FT4
E. Glycémie
REP : DE
28. La surveillance biologique du traitement lors d'un pan hypopituitarisme se fait par :
A. Le dosage du cortisol sanguin
B. Le dosage du cortisol salivaire
C. Le dosage de l'ACTH
D. Le dosage de la FT4
E. Le dosage de la TSH
REP : D
30. Parmi les affections suivantes, quelles sent celles pouvant être responsables d’un syndrome
polyuro-polydipsique :
A. Hyperthyroïdie
B. Hypocalcémie
C. Déficit en vasopressine
D. Hyperkaliémie
E. Syndrome de Cushing
REP : ACE
32. Le syndrome polyurie Polydypsique peut être retrouvé dans les pathologies suivantes :
A. Syndrome de Sheehan
B. Insuffisance antéhypophysaire
C. Hypercorticisme exogène
D. Potomanie
E. Hypocalcémie
REP : ACD
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33. Quelles sont les étiologies à évoquer devant un syndrome polyurie polydipsique :
A. Le diabète sucré
B. Le diabète insipide
C. L’insuffisance antéhypophysaire
D. La polydipsie primaire
E. L’hypocalcémie
REP : ABD
34. Quels changements se produiront dans votre organisme si vous passez 24h sans boire ?
A. Rétention d'eau pour minimiser L’augmentation de l’osmolarité
B. Inhibition des Osmorécepteurs hypothalamiques qui vont stimuler la sécrétion d'ADH
C. Stimulation des Osmorécepteurs hypothalamiques qui vont stimuler la sécrétion d'ADH
D. Diminution du débit urinaire par inhibition du récepteur V2
E. Aucun changement
REP : AC
35. Parmi les causes suivantes, les quelles sont communes entre insuffisance antéhypophysaire et
diabète insipide ?
A. Section de la tige pituitaire
B. Syndrome de Prader Willi
C. Syndrome de Sheehan
D. Syndrome de Kallmann
E. Craniopharyngiome
REP : ACE
37. Indiquez les propositions exactes parmi les suivantes concernant le diabète insipide :
A. Le diabète Insipide neurogène est secondaire à une mutation du gène de l’aquaporine 2
B. le diabète insipide néphrogénique est secondaire à une mutation du gène de l'aquaporine 2
C. L’hypokaliémie augmente la sensibilité à l’ADH
D. L’alcool inhibe la sécrétion de l’ADH
E. Le diabète insipide n'est jamais associé au diabète sucré
REP : BD
38. L’association d'un syndrome polyuro-polydipsique progressif chiffré à 8 litres/jour, sans signes
de déshydratation, avec une densité urinaire à 1000 évoque quel diagnostic ?
A. Diabète sucré
B. Insuffisance rénale
C. potomanie
D .Hypercalcémie
E .Tous ces diagnostics sont justes
REP : C
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41. Dans le cadre de l’exploration du diabète insipide ; en cas de présence d'une lésion tumorale
hypothalamique à l’IRM hypothalamo-hypophysaire associde à une insuffisance
antéhypophysaire, cochez la ou les réponses justes :
A. Le syndrome polyuro-polydipsique disparait la nuit sans traitement
B. Le test de restriction hydrique est inutile, car Il s'agit bien, généralement d'un diebète insipide central
C. Le test de restriction hydrique s'indique pour trancher entre un diabète Insipide central et une potomanie
D. Le Minirin même à doses faibles, entraine une Intoxication à l’eau
E. Le traitement de choix est une association d'hydrochlorothlazide (1 à 2 mg/) et indométecine (1,5-3mg/)
REP : B
45. Quelles sont, parmi ces affections, celles responsable d’un diabète insipide ?
A. Hyperkaliémie
B. Hypokaliémie
C. Sécrétion inapproprié d'ADH
D. Hyperthyroïdie
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E. Sarcoïdose
REP : BDE
49. Indiquer, parmi ces propositions, les éléments en faveur d'un diabète insipide neurogène
décompensé :
A. Soif intense
B. Dégoût pour l'eau
C. Natrémie à 132 mEa/L
D. Natrémie à 155 mEg/L
E. Osmolarité plasmatique de 290 mosm/l
REP : AD
50. Toutes ces étiologies peuvent entrainer un diabète insipide central sauf une :
A .Traumatisme crânien
B. Craniopharyngiome
C. Cause auto-immune
D. Toxique (lithium)
E. Sarcoïdose
REP : D
51. Au cours du traitement d'un Diabaté Insipide central par déficit en ADH, quels sont les signes
cliniques et/ou biologiques qui sont en faveur d'un surdosage en Desmopressine (Minirin) :
A. Persistance de la polyurie
B. Céphalées
C .Hyperkaliémie
D. Hyponatrémie
E. Nausées
REP : BDE
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52. Quels sont les éléments biologiques que partage le diabète insipide central avec le diabete
insipide néphrogénique ?
A. Hypokaliémie
B. Densité urinaire< 1005
C. Clairance de l'eau libre positive
D. Perte de l’hyper signal de l’hypophyse postérieure à l'IRM
E. Absence de réponse au traitement par LVP
REP : BC
53. Parmi les médicaments suIvants, quels sont ceux qul peuvent étre à L’origine d'un diabète
insipide néphrogénique :
A. Diurétique de l'anse
B. Lithium
C. Ofoxacine
D. Mannitol
E. Cisplatine
REP : BCE
54. Quels sont les mécanismes possibles d'une galactorrhée chez un acromégale ?
A. Action lactotrope de la GH
B. Une déconnection hypothalamo-hypophysaire
C. idiopathique
D. Psychique
E. Adénome hypophysaire mixte secrétant GH et la prolactine
Rep : ABE
55. Le taux de réabsarption du phosphore (TRP) était indiqué afin d'apprécier l'evolutivité :
A. D'une néphropathie diabétique
B. D'une cétose hyperchlormique
C. D'une acromégalie
D. D'une neuropathie diabétique
E. D'une hyperosmolarité debutante chez un diabétique de type 2 agée
Rep : C
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C. érythrose du visage
D. épaississement des mains et des pieds
E. bombement du front et saillie des arcades sourcilières
REP : ADE
60. Quels sont les mécanismes possibles d’une hyperprolactinémie chez un acromégale :
A. Compression de la tige pituitaire
B. Prise d’agonistes dopaminergiques
C. Adénome mixte sécrétant prolactine et GH
D. Adénome mixte sécrétant ACTH et GH
E. Déficit gonadotrope
REP : AC
61. Quel est l’examen demander chez un ptient qui presente un sydrome d’apnée du sommeil,
diabète sucré type 2, syndrome du canal carpien, hta, hyperhidrose :
A. Cycle de GH dans un laboratoire fiable
B. hypoglycémie insulinique
C. HGPO sur GH
D. IGF1 de base
E. IRM hypophysaire.
REP : D
63. devant une IGF1 élevée dans un contexte clinique franc d'acromégalie que doit-on faire?
A. le dosage de la GH
B.La pratique d'un cycle de GH
C. Un 2eme dosage del’ IGF1
D.Le test de freinage HGPO/GH
E. Le dosage de la GH urinaire
REP : D
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66. En dehors de l'HTA, quelles autres complications peuvent présenter une acromégalie ?
A. diabète sucré
B. rhumatisme
C. cécité par atrophie optique
D. pancréatite aigue
E. cardiomyopathie
REP : ABCE
67. Toutes cas complications peuvent etre observées chez l’acromégale sauf une, laquelle ?
A. L'apnée du sommeil
B. l'intolérance au glucose
C. La dépression
D. Vergetures pourpre
E. HTA
REP : D
68. Toutes ces complications peuvent etre observées chez l’acromégale sauf une, laquelle ?
A. L'apnée du sommeil
B. L’intolérance au glucose
C. La dépression
D. l’HTA
E. L’hypocalcémie
REP : E
70. Quelles sont les modalités thérapeutiques possibles en cas d'acromégalie par adénome
somatotrope :
A. Analogues de la somatostatine
B. Kétoconazole
C. Chirurgie transphénoïdale
D. Radiothérapie
E. Pegvisomant
REP : ACDE
71. Dans quelles situations le traitement médical peut être indiqué en première intention devant
une acromégalie par adéname somatotrope ?
A. Désir du médecin
B. Le risque d'induire un déficit en GH
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72. Dans quelles situations le traitement médical peut être indiqué en première intention devant
une acromégalie par adénome somatotrope ?
A. Désir du patient
B. Chirurgie contre-Indiquée ou inaccessible.
C. Comorbidités sévères (SAS, cardiomyopathie..) avec risque anesthésique très elevé
D. Le risque d’induire un déficit en GH
E. Le risque de déficit gonadotrope
REP : ABC
73. Dans le traitement médical de l'acromégalie, l’intérêt des analogues de la somatostatine est
limité par :
A. Le risque de Lithiases biliaire
B. Leur cout élevé
C. Le risque d'induire une hypothyroïdie
D. L'impuissance qu'ils entrainent
E. Le risque d'induire une hyperthyroïdie.
REP : AB
75. L'IGF1 est L’unique moyen de surveillance et d'adaptation de quel type de traitement dans
l'acromégalie ?
A. Le somavert
B. Le pasiréotide
C. L'octréotide
D. Le lanréotide
E. Le dostinex
REP : A
76. Quel est le traitement de 1ére intention préconisé chez un patient acromégale avec troubles
visuels ?
A. Radiothérapie hypothalamo-hypophysaire
B. Implant de corps radioactifs au niveau de l’hypophyse
C. Traitement médical par bromocriptine
D. Chirurgicale par voie transphénoïdale
E. Chirurgie par voie frontale
REP : D
77. Quel est le traitement essentiel, le plus habituel, de première Intention d’une acromégalie
due à un adénome hypophysaire de 11 mm ?
A. La radiothérapie externe
B. L'adénomectomie par voie sous-frontale
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C. La bromocriptine
D. Les analogues de la somatostatine
E. L'adénomectomie par voie transphénoïdale
Rep : E
79. Quand la courbe de croissance pondérale est supérieure à celle de la croissance staturale ; quels
sont les diagnostics possibles ?
A. Retard simple de croissance et de la puberté
B. Retard statural psychosocial.
C. hypercorticisme.
D. hypothyroïdie
E. Prader- Willi
REP : CDE
80. Une cassure de la courbe de croissance staturo-pondérale doit faire évoquer quel(s)
diagnostic(s)
A. Maladie osseuse constitutionnelle.
B. craniopharyngiome.
C .Retard de croissance intra utérine sans rattrapage
D. petite taille idiopathique
E. syndrome de Turner
REP : B
82. En période néonatale, le déficit congénital en GH combiné aux autres déficits hypophysaires
se traduit cliniquement par ?
A. Poids et taille inférieurs à 2 DS
B. Micropénis
C. Hypertélorisme
D. palais ogival
E. Absence des points d'ossifications habituels
REP : B
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D. Micropénis
E. Absence des points d'ossifications habituels
REP : CD/BCD
84. Devant un retard de croissance statural et pubertaire sans orientation étiologique chez la fille
quel est le diagnostic que vous devez évoquer en premier :
A. Retard de croissance constitutionnel car c'est la cause la plus fréquente (70% des cas)
B. Déficit isolé en GH
C. Malade cœliaque
D. Syndrome de Turner
E. Craniopharyngiome
REP : D
86. Devant un retard de croissance staturo-pondérale chez une fillette sans orientation clinique
particulère, chez qui le bilan biologique standard est revenu normal ; quel serait le prochain
bilan que vous allez demander ?
A. TSH, FT4
B. IGF1
C. Biopsie jéjunale
D. Caryotype
E. Test d'hypoglycémie insulinique
REP : D
87. Quelles sont les situations responsables d'une baisse du taux d'IGF1 ?
A. Période pubertaire
B. Grossesse
C. Malnutrition
D. Insuffisance hépatique
E. Syndrome de résistance à la GH
REP : CDE
88. Parmi les indications suivantes du traitement par hormone de croissance : quelles sont celles
qui ont reçu l’AMM (autorisation de mise sur le marché) et le remboursement en Algérie
A. Le déficit en GH chez l'adulte
B. L'insuffisance rénale chronique de l’enfant
C. Le retard de croissance Intra-utérin
D. Le syndrome de Prader-Willi
E. La petite taille idiopathique
REP : AB
89. Parmi les propositions suivantes concernant le traitement par hormone de croissance cochez
celles qui ont l’AMM (autorisation sur le marché) e le remboursement en Algérie :
A. insuffisance rénale
B. Petite taille idiopathique
C. Syndrome de Turner
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D. Insuffisance hépatique
E. Retard de croissance idiopathique
REP : АC
91. Puberté
Le pic pubertaire de croissance
A. Est plus précoce chez la fille
B. Débute à mi- puberté chez les garçons
C. Est dû aux androgènes surrénaliens
D. Est dû à l'action couplée de GH et des stéroïdes sexuels
E. Est favorisé par les corticoïdes
REP : ABD
94. Quels sont les éléments en faveur d'un retard pubertaire simple ?
A. L'existence de cas similaires dans la famille
B. est plus fréquent chez les filles que chez les garçons
C. L'existence de retard de la maturation osseuse
D. L'absence d’anomalies à l'IRM hypophysaire
E. La présence de syndrome tumoral intracrânien
REP : ACD
95. Dans le retard de croissance avec puberté différée (retardée) du garçon, une ou plusieurs
propositions sont exactes :
A. Il existe des antécédents familiaux fréquents
B. Un ralentissement de la vitesse de croissance dès la première année de vie.
C. Un retard important de la maturation osseuse
D. Le déficit en GH est organique
E. Le déficit en GH est fonctionnel
Rep : AE
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CAS CLINIQUES
96. Madame ML 45 ans, consulte pour aménorrhée secondaire installée il y a 4 mois. L'examen
clinique retrouve une notion de céphalées récurrentes, parfois rebelles aux antalgiques
habituels, un visage chevalin avec prognathisme ainsi qu'une notion d'augmentation de
pointure. Une HTA systolo-diastolique, diabète sucré, les deux non contrôlés sous leurs
traitements respectifs actuels, une galactorrhée provoquée bilatérale avec hyperprolactinémie
biologique, une amputation du champ visuel externe des deux côtés.
La patiente présente par ailleurs un goitre homogène avec exophtalmie ainsi qu'un syndrome
d'apnée du sommeil. Une IRM hypophysaire réalisée retrouve un macroadénome hypophysaire
comprimant le chiasma optique avec extension aux sinus caverneux.
Question 01 : Quels sont les éléments cliniques qui ont fait suspecter la présence d'un adénome
hypophysaire ?
A. Les céphalées
B. L'hémianoptie
C. L'HTA
D. Le goitre
E. Le syndrome d'apnée du sommeil
Question 02 : Devant ce tableau clinique, vous suspecter une endocrinopathie particulière, quelle est la
première étape du diagnostic biologique de cette pathologie ?
A. IGF-1
B. Test d'hypoglycémie insulinque sur GH
C. Une hyperglycémie provoquée par voie orale sur GH
D. GH de base IGF-1
E. GH de base FSH
Question 05 : Devant ce tableau clinique, quel sera le moyen thérapeutique à utiliser en première intention
?
A. L'exérèse chirurgicale par voie trans-sphénoïdale
B. Pegvisomant
C. Somatuline Autogel
D. Radiochirurgie (gamma-knife)
E. Radiothérapie conventionnelle
97. Yanis, âgé de 6 ans et 5 mois, est vu en consultation, accompagné de ses parents, pour un retard
statural. Il est né à 37 semaines d'aménorrhées avec un poids et taille normaux, cependant Il a
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Question 01 : Quels sont les facteurs qui influencent la croissance staturale des enfants ayant le même âge
que Yanis ?
A. La testostérone
B. L'axe GH/IGF-1
C. La génétique
D. Les hormones thyroïdiennes
E. Les antécédents personnels de souffrance foetale
Question 02 : Quel est le premier examen paraclinique à demander pour avoir une idée sur le pronostic
statural ?
A. IGF-1
B. Tests dynamiques de GH
C. Calcul de la taille cible corrigée
D. IRM hypophysaire
E. Radiographie du poignet gauche
Question 03 : Votre examen clinique vous fait suspecter un déficit en GH congénitale, Quels sont les signes
cliniques en faveur de ce diagnostic ?
A. Adiposité abdominale
B. Ensellure nasale,
C. Verge <2 cm
D. Hypoglycémie en bas âge
E. Taille à -3 DS
QST1 QST2 QST3
BCD E CD
98. Mohamed Yanis, âgé de 6 ans et 4 mois, issu d'un mariage consanguin est vu en consultation
pour retard statural. Taille : 101 cm (-3DS), poids 16 kg (-2DS), présente des bosses frontales,
une ensellure nasale marquée, un bec de lièvre. L'examen montre une adiposité abdominale,
un micro pénis avec testicules en place. Développement psychomoteur normal. Age osseux :
3.5 ans. Père : 1,80 m, mère : 1,66 m, un frère de 10 ans de taille normale
Question 02 : Quels sont les arguments qui vous orientent a priori vers un déficit en GH ?
A. Taille à -3 DS
B. Notion de mariage consanguin chez les parents
C. L'âge osseux inférieur à l'âge civil
D. Adiposité abdominale
E. Sexe masculin
Question 03 : Quels sont les arguments que vous orientent cliniquement vers un déficit en
GH congénital ?
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A. Hypoglycémie
B. Micropénis
C. Anomalies de la ligne médiane
D. La taille cible parentale
E. L'âge osseux
Question 05 : le traitement de GH :
A. Se fait en injection intramusculaire
B. Se fait en injection sous cutanée
C. Se fait en Injection intraveineuse
D. Se fait exclusivement en milieu hospitalier
E. N'a aucun effet secondaire
99. Un enfant âgé de 7 ans, est vu en consultation, accompagné de ses parents, pour un retard
statural. Il est né à 37 semaines d'aménorrhée avec un poids et taille normaux, cependant il a
été hospitalisé à la naissance pour hypoglycémie. Le développement psychomoteur était
normal. A l'examen clinique : Taille : 109 cm (-3DS), poids : 23 kg (-2DS), présence de bosses
frontales, ensellure nasale marquée, adiposité abdominale, verge < 2 cm sans autre anomalies.
Taille du père : 1.80 m, taille de la mère : 1.50 m
A. 173 cm
B. 159.5 cm
C. 180 cm
D. 174.5 cm
E. Non calculée car ininterprétable
Question 02 : Quel est le premier examen paraclinique à demander pour avoir une idée sur
son pronostic statural ?
Question 03 : En dehors du déficit en GH, quelles sont les autres situations qui peuvent
entraîner une baisse du taux d'IGF-1 ?
A. Période pubertaire
B. Grossesse
C. Malnutrition
D. Insuffisance hépatique
E. Adénome gonadotrope
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Question 04 ; Parmi les tests dynamiques d'exploration de l'axe somatotrope lors des retards
de croissance, l'hypoglycémie insulinique en représente le gold standard. Quelles sont ses
contre-indications ?
A. Epilepsie
B. Diabète sucré
C. Obésité
D. Retard de croissance sévère
E. Antécédents neurologiques
100. Une fille âgée de 3 ans, sans antécédents particuliers, est ramenée par sa mère qui constate
l’apparition d'un bourgeonnement mammaire. A l'examen clinique, vous retrouver un
TANNER A1P1S2, sans avance staturale et un âge osseux normal par rapport à son âge civil.
Son utérus a un aspect prépubère à l'échographie pelvienne.
101. Question 01 : Quelles sont les situations responsables d'une baisse du taux d'IGF 1 ?
A. Période pubertaire
B. Grossesse
C. Malnutrition
D. Insuffisance hépatique
E. Syndrome de résistance à la GH
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Question 05 : Quels sont les éléments en faveur d'un retard pubertaire simple ?
A. L'existence de cas similaires dans la famille
B. Il est plus fréquent chez les filles que chez les garçons
C. L'existence de retard de la maturation osseuse
D. L'absence d'anomalies à l'IRM hypophysaire
E. La présence de syndrome tumoral intracrânien
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7- HYPERLIPEDEMIE
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4. La lipoprotéine a :
A. Est un marqueur indépendant du risque cardiovasculaire
B. Est un marqueur indépendant du risque de pancréatite
C. Se traduit sur le plan électro protéique par une bande de pré bêta lente, encore appelée sinking
préBéta
D. Correspond le plus souvent a une hypertrigycéridémie
E. Correspond le plus souvent à une hyperlipidémie mixte
AC
5. Cochez les propositions justes parmi les suivantes concernant l'hypertriglycéridémie chez un patient
diabétique :
A. L'aspect du sérum est souvent clair
B. L'équilibre glycémique peut contrôler le taux des triglycérides
C. L'hypertriglycéridémie peut se voir au cours d'une hyperthyroidie
D. L'hypertriglycéridémie peut se voir au cours d'une insuffisance rénale
E. Peut être traitée par des fibrates
BE
6. Une hypertriglycéridémie peut être observée dans toutes ces affections sauf une laquelle ?
A- Acromégalie
B- Hypothyroïdie primaire
C- Hyperlipidémie type Il b
D- Hyperthyroïdie
E- Diabète sucré
D
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