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Mercredi, 09 février 2022

UE : DISPOSITIFS ELECTROTECHNIQUES

Chapitre I : ELEMENTS DE CALCULS DES DISPOSITIFS


D’ELECTROTECHNIQUES AVANCES
Plan du cours
I-1- introduction
I-2- rappel : équation de maxwell et différents modèles
I-3- application à quelques exemples
I-1- introduction
 Dans l’enseignement supérieur deux ou plusieurs méthodes d’enseignement sont
utilisées
 L’approche scientifique
 ACM (approche par compétence et par métier)

 Tous les dispositifs électrotechniques tels qu’ils soient passe par une phase de
conception et de production. De même ces dispositifs ont une connectivité électrique

Conception
Dispositifs
électrotechnique
s
Production

La conception est la partie essentielle de ce cours


I-2- rappel : équation de maxwell et différents modèles

James maxwell

André marie ampère Newton en mécanique

Spen-field découvre que (courant électrique a des effets mécanique) et rend célèbre André
marie ampère
o Les équations de maxwell
Elles sont au nombre de 4

1
 Equation de couplage électromagnétique
−∂ ⃗
B
rot ⃗
⃗ (E)= ; rot ⃗
⃗ (H)=⃗j
∂t
B : Induction magnétique
H : Excitation magnétique
J : Densité du courant
E : Champ électrique (v/m)
 Equation de conservation

¿⃗ ⃗
(B)=0 ; ¿⃗ ⃗
(B)= ρ; ⃗
D =ε ⃗
E
ε : Permittivité diélectrique (c/v/m)
ρ : Densité de charge (distribution) (c/m*m*m)
 Equation des propriétés des matériaux

B=μ ⃗
H +⃗
Br=μ( ⃗
H +⃗
M)
μ: Perméabilité magnétique

M ou G : aimantation
Br : Induction magnétique rémanente
 La loi d’ohm
⃗j =σ ⃗
E
σ : Conductivité
NB : div(B) = 0 implique tout simplement que le flux de B à travers toutes surfaces fermées
est nulle
I-3- les différents modèles
I-3-1- le modèle électrostatique
Ce modèle est employé dans tous les dispositifs dans lesquels le champ électrique est produit
par les charges dont la répartition des charges et la valeur ne varient pas en fonction du temps.
¿)

¿⃗ ⃗
( B)=0

¿⃗ ⃗
( B)=ρ

D=ε ⃗
E

¿⃗ ⃗ E =−⃗
(B)=0 Cela signifie qu’il existe un V (potentiel scalaire) tel que ⃗ grad (V ) implique
⃗D=−ε ⃗ grad (V )

2
D’où on a :

¿⃗ {−ε ⃗
grad ( V )−ρ=0
Qui est une équation à résoudre pour ce modèle avec V = inconnue
I-3-2- Le modèle magnétostatique scalaire
Ici on suppose que les courants électriques sont nuls dans les dispositifs étudiés et les champs
magnétiques ne dépendent pas du temps. Les sources sont des charges électromagnétiques.

rot ⃗
⃗ (H)=0

¿⃗ ⃗
( B)=0

B=μ ⃗
H +⃗
Br

rot ⃗
*⃗ (H)=0 H =−⃗
implique ⃗ grad ( ∅)

H =−⃗
Or V* = ∅ potentiel scalaire magnétique on a ⃗ grad ¿

¿⃗ ¿
I-3-3- Le modèle le modèle magnéto statistiques vectoriel
Dans ce modèle le champ magnétique est produit par les sources indépendamment du temps,
et les dispositifs parcouru les courant non nuls.

rot ⃗
⃗ ( H)=⃗j

¿⃗ ⃗
( B)=0

B=μ ⃗
H +⃗
Br

Si on a ¿⃗ ⃗
(B)=0 cela signifie qu’il existe un A (potentiel vecteur) tel que ⃗ rot ⃗
B= ⃗ (A )mais
A soit unique on pose ¿⃗ ⃗
n’est pas unique. Pour que ⃗ ( B)=0 (jauge de coulomb)

rot (A )=μ ⃗
*⃗ H+⃗
Br on tire H en remplaçant, on a le résultat suivant :


{
1
rot ⃗
μ
1
rot ( A ) + ⃗
μ }
Br − ⃗j=0

I-3-4- Le modèle électrocinétique


Ce modèle est utilisé lorsqu’on veut étudier la répartition du courant électrique dans les
conducteurs isolés soumis à des différentes de potentielle continue.

3
rot ⃗
⃗ (E)=0

¿⃗ (⃗
j)=0
⃗j =σ ⃗
E

rot ⃗
*⃗ (E)=0 E =−⃗
implique⃗ grad (V ) . E = −σ ⃗
⃗j =σ ⃗ grad (V )

¿⃗ {−σ ⃗
grad (V )}=0

NB : *Pour résoudre l’équation on utiliser les conditions de dirichlet et Neumann


*Dans le cadre d’un dispositif magnétostatique l’ensemble des courants sont nulles

Mercredi le 16 février 2022

Remarque
Conducteur
e

e : Epaisseur de peau
1
e=
√ πσμf
- Si f =¿0 alors on a fait à un courant continu
- Si f ≠ 0 existe alors on est dans un courant alternatif
Dans un conducteur la propagation du flux engendre une fréquence et si elle existe nous
sommes alors dans le cas alternatif
I-3-5- Modèle magnéto dynamique
Ce sont les modèles qui vont s’appliquer sur les dispositifs dont les sources dans le temps ne
sont plus nulles¿)
−∂ ⃗
B
rot ⃗
⃗ (E)=
∂t

¿⃗ ⃗
( B)=0

∂⃗
B ∂⃗
rot ( A) ∂⃗
A
rot ⃗
*⃗ (E)+ rot ⃗
=0 implique ⃗ (E)+ ot ⃗
=0 implique r⃗ (E)+ rot [ ]=0
∂t ∂t ∂t
4

D’où on a : +∂ ⃗
A
r⃗
ot [E ¿ ]=0 ¿
∂t
Ce qui implique qu’il existe un scalaire ∅ (potentiel scalaire) tel que :

⃗ ∂⃗
A
E+ =−⃗
grad ¿ )
∂t

+∂ ⃗
A
r⃗
ot [E ¿ ]=0 ¿
∂t
En combinant les équations de Maxwell on a

rot ⃗
⃗ ( H)=⃗j
⃗j =σ ⃗
E

B=μ ⃗
H +⃗
Br

*{ 1μ ⃗B − 1μ ⃗Br }=⃗H en remplaçant H on a ⃗rot ⃗ (H)=⃗j implique

rot { ⃗ Br }= ⃗j=σ ⃗ − grad ∅ ] en posant rot ( ⃗


μ )
1 1 −∂ ⃗A ⃗ 1
⃗ rot ( A )− ⃗ E =σ [ Br =⃗
Jex on obtient
μ μ ∂t

rot { ⃗ rot ( A ) }+ σ +σ grad ∅=rot ( ⃗


μ )
1 ∂⃗A ⃗ 1
⃗ Br =⃗Jex (1)
μ ∂t

Or on a ¿⃗ ⃗
(D)= ρ

D=ε ⃗
E
∂⃗
A
* ρ=⃗¿(ε ⃗
E) implique ρ=⃗¿ (−ε −ε ⃗
grad ∅) implique
∂t

(
ρ+ ¿⃗ ε
∂⃗
A ⃗
∂t
+ ε grad ∅ =0 ) (2)

D’où nous avons les deux équations suivantes :


{1
rot ⃗
μ
rot ( A ) + σ}∂⃗
A ⃗
∂t
1
+σ grad ∅=rot ⃗
μ
Br =⃗ ( )
Jex (1)

ρ+ ¿⃗ ε( ∂⃗
A ⃗
∂t
+ ε grad ∅ =0 ) (2)

La fixation de ¿⃗ ( ⃗
A ) conduit à plusieurs autres modèles

L’unicité de ⃗ ⃗ ⃗
A implique la fixation de ¿( A ) ce qui conduit aux différents modèle
magnétodynamiques :

5
 Modèle magnétodynamique quadrivecteur
 Modèle magnétodynamique non linéaire en termes de potentiel vecteur
 Modèle magnétodynamique linéaire exprimé en termes de potentiel vecteur
 Modèle magnétodynamique bidimensionnel exprimé en termes de potentiel vecteur
 Modèle magnétodynamique linéaire exprimé en termes de champ magnétique

a- Modèle magnétodynamique quadrivecteur


On peut avoir des cas complexes où la répartition des charges n’est pas nulle, on évalue la
fonction flux (∅ ) qui est un potentiel scalaire

On pose : ¿⃗ ( ⃗
A ) =σμ ∅
On a :


rot { 1
μ
⃗ }
rot ( A ) + σ
∂⃗
A ⃗ 1⃗ ⃗ ⃗
∂t
+ grad [ ¿ ( A ) ]= Jex
μ
∂∅ ⃗ ⃗ ⃗
εσμ + ¿ ( ε grad ∅ )=− ρ
∂t
Ces questions sont 4 inconnues Ax, Ay, Az, et ∅
On peut avoir des cas complexes si on a des champs magnétiques

* μ ( A )=fct ( ⃗
H )=fct ( ⃗
B )=fct ( ⃗
A) d’où

μ ( A )dépend de A
ε ¿ ) dépend de ∅

b- Modèle magnétodynamique non linéaire exprimé en termes de potentiel


vecteur
Quand les charges sont nulles on peut montrer que : tension de jauge peut suffir
¿⃗ ( A )=0 ; ⃗¿ ( ε ⃗
grad ∅ ) ; ∅=0

¿⃗ ( A )=0

⃗ 1
rot ⃗
μ {
rot ( A ) + σ}∂⃗
A ⃗
∂t
= Jex Courant d’excitation

Remarque on peut résoudre les équations en posant


* μ=cste μ ( B ) implique μ ( A )

De même B ( A ) implique μ ( B ) implique μ ( A )

c- Modèle magnétodynamique linéaire exprimé en termes de potentiel vecteur


Dans ce modèle μ=csteet on considère l’équation suivante :

6
1 ∂⃗
A ⃗
rot { ⃗
⃗ rot ( A ) } + σ = Jex
μ ∂t

d- Modèle magnétodynamique bidimensionnel exprimée en termes de


potentiel vecteur
Dans le cas des objets suffisamment lourd on passe au…


rot { 1
μ

}
rot ( Az ) + σ
∂⃗
A ⃗
∂t
= Jex

Ce modèle est particulièrement simple et efficace


e- Modèle magnétodynamique linéaire exprimé en termes de champ
magnétique
Ce modèle en limite l’étude à pièces conductrices plongées dans un champ magnétique qui
varie avec le temps et le modèle peut alors s’exprimer par l’équation
∂⃗
A
rot ( ⃗
⃗ H )+ σ =0
∂t
∂⃗
A ∂⃗
H
rot ( rot ⃗
*⃗ H ) + σrot =0 rot ( rot ⃗
d’où on a : ⃗ H ) + σμ =0
∂t ∂t

Remarque général sur les pièces en mouvement


Le déplacement d’une pièce et l’équipement peut pTapez une équation ici .rovoquer une
variation de champ magnétique dans l’équipement et donc ; naissance de courant induit que
l’on peut exprimer dans la relation de Laplace
⃗J =σ ⃗
V ∧⃗
B
V : vitesse du mouvement de l’équipement
On doit tenir compte de ces courants dans les modèles magnétodynamiques
∂⃗
A ∂⃗
A
σ =0 implique σ +σ ⃗
V ∧⃗
B
∂t ∂t

∂⃗
A
Qui peut s’exprimer par : σ +σ ⃗
V ∧⃗
rot ( A) on dit qu’on a fait un couplage
∂t
magnétomécanique
I-4- Rappels de quelques théorèmes importants
I-4-1- Théorème d’ampère
La circulation du champ magnétique le long d’un contour fermé et égal à la somme des
courants embrasés par ce contour

7
I1 I2
I3 In
I-4-2- Théorème de la divergence
Encore appelé théorème de boole. Si on fait le flux d’un vecteur sur un compte fermé est égal
à la divergence.

∮ ⃗A ⃗
ds=∫ ¿ ⃗
A . dV
σ

A : vecteur
Si on suppose ⃗
A=⃗
D

∅ σ =∫ ρ ⃗
dV  : ensemble des charges
σ

Samedi 19 février 2022


Quiz N° 1 :
1) Rappeler les équations du maxwell
2) Dites ce que vous pensez de ces différents modèles (question 1)
Rappels

Méthode de CLERE Méthode de PDCA


C : conscience P : plan prépare
L : liberté D : do (faire)
E : expressivité C : check (évaluation)
R : réciprocité A : ameliorate (améliore)
E : efficacité
8
Importance de la pause

t : (heure, mois, semaine)


Pause : (café, congés, vacances, sommeil)

Chapitre 2. PHENOMENE DE MAGNETISATION DANS LES MATERIAUX


MAGNETIQUES

Plan du cours
Introduction
II-1- Phénomène de magnétisation
II-2- Hystérésis des matériaux magnétiques
II-3- Aimants permanents
Introduction
Nous avons étudiés les convertisseurs électromagnétiques :

Convertisseur

Pe Pm
Pem

9
A la sortie nous avons des
A l’entrée nous avons propriétés de la mécanique du
les câbles conducteurs solide non déformable
Dans le dispositif nous avons
les matériaux magnétiques

Dans ces dispositifs, il existe des pertes électromagnétiques pour satisfaire le Pem
Le protocole de kyoto (japon 1997) dit que l’ensemble des pertes électromagnétiques des
dispositifs électrotechniques d’un pays équivaut à 2 centrales nucléaire
pays



Pem≡2 centrales nucléaires

En somme les pertes énergétiques d’un pays peuvent être équivalentes à 2 centrales nucléaires

Pays Pertes

Usa. 10 centrales nucléaires


Pour pallier à ses problèmes on a dû (les scientifiques) faire des recherches sur les
matériaux magnétiques nouveaux
Remarque
1) Partie fer = partie faite de matériaux ferromagnétique doux
2) Matériaux doux = Matériaux usinables machine outils (on le magnétisme facilement
dans les deux sens)
3) Matériaux durs = Matériaux non usinables (Aimant naturel, Aimant artificiel)

II-1- Magnétisation des matériaux magnétiques doux

TPE : C’est quoi la méthode de


- Preisach direct et inverse
- Jiles et Atherton
- berthoti
Vendredi, 5 mars 2022

10
Les intervenants :
- Louis Neels : prix nobel 1970
- Pierre Weiss : domaines magétiques de weiss
- Géogio Bthuti
- Jiles Atherton
- Preisach : (dérivé et inverse)
- Afxst Leblanc (LS : Loss surface)

Remarque

Microstructure Les propriétés


des matériaux

Théorie des nuages d’électrons conducteur


TPE : tout ce qu’on sait sur un super conducteur (r = 0)
Béton de contrainte (association du ciment et du fer encore appelé béton armé)
TPE : matériaux composites (aspect quantitatif et qualitatif)

Ces aspects seront abordés selon les angles


Dans l’aspect qualitatif on peut étudier ici deux angles :
- Mésoscopique (angles des domaines magnétiques Weiss)
- Microscopique (angle de la microstructure)
Vendredi, 11 mars 2022

II-1- Suite : Microstructure magnétisation des matériaux magnétiques


Nous pouvons faire cette étude sur trois angles
3 angles du regard :
Macroscopique
Mésoscopique
Macroscopique

 Angle microscopique
Dans cette parties nous avons plusieurs méthodes le plus connue est : Bilan énergétique ou le
bilan de puissance

11
Pour pouvoir rapprocher le rendement η
Psortie
η=
Pentrée

TPE : moteurs quantiques

Psortir Pentrée
D.E.A

* Pentrée=Psortie +∑ Pertes

*∑ Pertes=Pjoule+ Pméca+ Pfer+ Psécondaire

Ps Pentrée−∑ Pertes
η= =
Ps+ ∑ Pertes Pentrée

Dans l’angle macroscopique les pertes sont évaluées par l’étude de du rendement. En
quantifiant en gros le rendement on évalue les pertes

η=fct ( B , H , μ )=λ V 2

 Angle ou aspect mésoscopique (pierre weiss et marie curie)


Il s’articule dans :
- L’expérimentor-déductif
- Le méthode-mathématico-déductif
L’observateur est près du dispositif mais il n’est pas trop près. Il sera question d’évaluer la
méthode de marie curie et de pierre weiss
NB : Les matériaux sont les domaines d’après pierre Weiss
Domaine magnétique de Weiss, les matériaux sont divisés ou subdivisés en domaine un
domaine dos de postulats
Postulat 1 : Les propriétés magnétiques sont liées
Postulat 2 : Les courants électriques sont les charges qui se déplacent. Un atome peut être
considérer comme l’intersection avec un courant électrique
A observer :
- Le magnétisme selon marie curie et Paul
- La structure atomique de b
- C’est quoi le comportement ferromagnétique

12
- Energie de champ
- Modèle atomique
- Procédé d’énergie de champ dans les matériaux
- Direction cristalline d’aimantation facile
Les matériaux ferromagnétiques ont une énergie de champ positive
Paroi : Ligne entre deux domaines
Que se passe-t-il sur un matériau lorsqu’on lui applique un champ ?
Une évaluation des parois qui vont faire disparaître certains et faire apparaître d’autres

Samedi 12 mars 2022

- Force de Laplace
- Force de lorraine
- Magnétostriction
- Magnétothermic

II-2- Hystérésis et courant Foucault les matériaux magnétiques


On suppose qu’on a un tore magnétique


e=n
dt

On montre que v( t)=e et supposant que Rh=0 et v ( t )=E cos ωt



D’où v(t)=e → E cos ωt =n
dt

13
Ainsi ∅=E sin ωt=BS

= √
E E 2
B= sin ωt B=Bmax sin ωt avec Bmax= Eeff
n ωS n ωS n 2 πfS
Eeff =4,44. n . f . Bmax . S
On peut donc dire que Eeff =λ . f . Bmax
λ=4,44. n . S
En termes de courant au niveau du compte moyen on fait circuler le flux de Γ (gamma)
d’après le Théorème d’ampère
1 ⃗ ⃗ HL L
*∮ ⃗
H⃗dl=¿ , i=
n ∮ H dl=
n
=cste , i (t )=βH ( t ) , β=
n
1
La variation de i(t) c’est l’observation de H(t). H (t)= i(t )
β
L’observation de H(t) montre la progression de i(t)

En supposant que B est sinusoïdal on a :

14
B(t) : sinusoïdale
H(t) : n’est pas sinusoïdal

Lundi 14 mars 2022

Un champ magnétique H courant électrique i(t) dans son espace défini

i 0(t)=αImax

15
is(t)=βImax
Un décomposant i(t) :
i (t )=i 0 ( t ) +i 3 ( t ) +i5 ( t ) …
i3 (t)=I 0 max cos( ωt+ γ )
γ : Angle d’avance hystérétique
Un injecteur un courant dans un dispositif on verra ce dispositif fourni une puissance
d’origine électrique (active et réactive)

On peut donc écrire des puissances :


π
P=EI 0 cos( −γ )
2
π
Q=EI 0 sin( −γ )
2
I0 : courant magnétique
Le fait que γ ≠0 signifie qu’il existe un angle non nul entre I0 et E implique l’existence de P
et Q. La puissance réactive consommée par le tore et appelée perte par hystérésis (PH) d’où
2
E E
RT = =
PH I 0 cos(Ψ )
E
WT =
I 0 sin(Ψ )
π
Avec Ψ = −γ
2
On néglige la résistance du fil de la bobine autour du tore, flux d’induction de fuite
négligeable
I-2-2- Formule empirique des pertes fers

16
Les pertes par hystérésis et pas courant Foucault constituent les phénomènes nuisibles à
réduire dans ses dispositifs

En injectant un courant de Foucault on obtient

Ainsi nous obtenons des courants de Foucault en surface génère une tension aux bornes du
tore
∂ ρSF
eaa ' =
∂x

Montrer que les pertes qui sont libres au courant de Foucault nous donne :

PF=ηE . f 2 .V . e 2 . Bmax
PF : Pertes par courant de Foucault
e : Epaisseur de la tôle
V : Volume du tore
f : Fréquence

17
Bmax : Induction maximale
On constitue un élément du volume du tore dτ

Et montre que d( )=H dB



* = ∫ H dB=σ ≡ surface du cycle d ' hystérésis
dτ 1 pérode

w=σV σ =¿ ηH . Bmax
2
PH =fσV

PH =ηH . f . V . Bmax 2
Perte par hystérésis (PH)
σ
ηH = 2
=fct ( cycle d ' hystérésis)
Bmax
Pour une même valeur de Bmax les pertes par courant de Foucault vont varier avec le carré
de la fréquence.
o Fabrication du champ magnétique requiert :
- Les Bobines (obtention des inductions)
- Les aimants microsystèmes
I-3- Matériaux magnétique dans les terres rares
TPE :
- Microsystèmes
- MSAP (machine à aimants permanents)

Deux types d’aimants :


Aimant à fer de cheval (1)
Aimants à pièces polaires (2)

18
Entrefer : Be, He, l, s, Vo
Aimant : B, H, L, S, V
Expression de B = fct (H)
 Supposons que ∅=cste implique s=S
* BS=Be . s=μo . He. S implique B=μo . He

 Supposons ∮⃗
H⃗dl=∑ ¿=0

−H
* HL+ He . l=0 implique He= L
l
−L
B=μo . He=μo .( )H
l
Qui est la droite des aimantations
Comment déterminer la valeur du volume V pour un volume Vo donnée
B=μo . He
−l
H= He
L

−l 2 −lS 2 −Vo 2
B.H= . μo . He = . μo . He = . μo . He
L LS V

Vo 2
∥ BH ∥= . μo . He
V
Vo 2
V= . μo . He
∥ BH ∥
Vo 2
Vmin= . μo . He
∥ BH ∥ max

19
Chapitre 3 : ELEMENTS DE CALCULS DE LIGNE DES MACHINES
ELECTROTECHNIQUES SPECIALES

Plan du cours
III-1- Introduction
III-2- Elément sur les lignes électriques
III-3- Machine électrotechnique spéciale

III-1- Introduction et conditions de la théorie des quadripôles


Théorème 1 : consistera de montrer que Bn1 = Bn2 dû à une surface μ 1 à μ 2 et montrer

champs magnétique à deux composantes ⃗



B Bt

Bn {
Bt : composant de tangentielle
Bn : composante normal
Théorème 2 : consistera à montrer que si on a une surface tangentielle

On a : Ht 2−Ht 1= j d’où {



H Ht


Hn

20
Rappels
(1)⃗
B= ⃗
rot (A )

B t= (⃗
rot A ) t ⃗
B n=( ⃗
rot A ) n

H =−⃗
(2)⃗ grad ¿

21

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