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REPUBLIQUE DU CAMEROUN
Peace – Work – Fatherland
Paix – Travail – Patrie
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MINISTRY OF FORESTRY AND WILDLIFE
MINISTERE DES FORETS ET DE LA FAUNE
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SECRETARIAT GENERAL
SECRETARIAT GENERAL
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NATIONAL FORESTRY SCHOOL
ECOLE NATIONALE DES EAUX ET FORETS
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SERVICE OF STUDIES AND INTERNSHIP
SERVICE DES ETUDES ET DES STAGES
COURS
INVENTAIRE D’EXPLOITATION
FORMATEUR : HAGBE Joseph Armand, Ingénieur des Eaux Forêts et Chasses, Auditeur de
certification forestière (FSC et OLB)
CONTACT : Email : josephar2008@gmail.com Tel : 677968316 / 690115197
NOMBRE DE CREDIT : 2
VOLUME HORAIRE : 30H : 20 TH et TD, 10 TP
Chapitre I : Données introductives
Permet d’identifier et de délimiter sur le terrain des zones particulières bénéficiant d’un
mode de gestion spécial selon le plan d’aménagement : zones importantes pour les
populations locales, zones importantes pour la grande faune, zones sensibles
écologiquement. Ces zones, une fois bien identifiées, pourront faire effectivement l’objet
d’un traitement spécifique en exploitation.
Identifie les arbres à exploiter et donc marque le début de la traçabilité des produits,
mais surtout permet un suivi efficace de l’exploitation par le chef de chantier.
Quantifie précisément la ressource exploitable et permet de prévoir la quantité et la
qualité des productions au moins avec une année de visibilité.
Cartographie la ressource et les contraintes d’exploitation et permet de planifier
l’exploitation et de l’optimiser. En particulier, des gains importants sont possibles grâce à
la réduction des longueurs de routes ou de pistes ouvertes. Ils peuvent à eux seuls dans
certains cas justifier et « payer » la réalisation de l’inventaire d’exploitation.
Permet le recensement et le positionnement d’arbres à protéger, par exemple arbres
d’espèces sensibles (espèces protégées), arbres d’avenir ou semenciers, qui bénéficieront
de mesures de protection particulières lors de l’exploitation forestière.
Si les bases méthodologiques de l’inventaire d’exploitation existent depuis longtemps, les outils
modernes (GPS, SIG) en facilitent grandement la réalisation et en améliorent la qualité.
La place de l’inventaire d’exploitation dans la gestion forestière est illustrée dans la figure ci-
dessous.
Inventaire d’aménagement
Inventaire d’exploitation
Blocs Parcelles
Cameroun
5 000 5 000 2 500 1 000 250 25
(normes ONADEF)
La matérialisation de la parcelle selon les normes en vigueur obéis aux étapes suivantes :
• Localiser précisément grâce à un SIG, un point de départ dans la zone à exploiter qui peut
être lié à un point de rattachement (intersection de route ou confluence de deux cours
d’eau) dont les coordonnées obtenues grâce au SIG seront réajustées sur le terrain avec
un GPS (cf. figure ci-après) ;
• Matérialiser une voie d’accès liant le point de rattachement au point de départ d’un des
layons d’inventaire ;
• Relever les coordonnées GPS du point de départ de ce layon ;
• Matérialiser les limites de la zone à exploiter conformément à la réglementation en
vigueur et faire un levé au GPS en faisant le traking. La distance entre deux points
consécutifs du levé ne saurait excéder 50 m ;
Remarque : un rapport de matérialisation des limites à transmettre à l’administration en charge
Forets des limites est élaboré, associé au Shape file des limites en vue de l’obtention de
l’attestation de matérialisation des limites.
Layons Largeur
Limites de la zone à exploiter 1.5 à 2 mètres
Layons nord- sud (layons principaux) 1.5 à 2 mètres
Layons ouest-est (layons secondaires) 1 à 1.5 mètre
Layons de comptage ( layons de viré) Environ 1 mètre
La largeur requise pour le layon limite est de 2 mètres. L’inscription des distances sur les jalons se
fait à l’intervalle de 50 mètres, il s’agit des distances cumulées à partir du premier jalon marquant
3.1. Personnel
3.1.1 Protocole technique de travail
Les protocoles techniques de travail de chaque poste doivent être consignés dans un document et
remis aux employés concernés. Ils doivent être validés par la Direction de l’entreprise.
Il est préférable de disposer des équipes distinctes pour les 3 opérations (layonnage-comptage –
pistage), afin d’employer au mieux les compétences du personnel. Toutefois, sur de petits chantiers,
deux ou trois opérations peuvent être confiées à la même équipe.
Il est nécessaire de disposer d’une réserve de main d’œuvre qualifiée et de favoriser la polyvalence,
afin de pouvoir pallier les absences. Ainsi, le chaîneur et le boussolier doivent pouvoir
mutuellement se remplacer ou être remplacés par l’aide-chaîneur.
Des primes de qualité et de rendement permettent de motiver le personnel. Les primes de qualité
peuvent se baser :
Pour l’équipe de layonnage, sur les relevés faits au GPS et les observations faites sur les
layons lors des opérations de comptage ou de leur contrôle ;
Pour l’équipe de comptage, sur les opérations de contrôle spécifiques ;
Pour l’opérateur de saisie, sur les contrôles de saisie, sur le bon classement des documents
et sur la qualité des cartes produites ;
Pour l’équipe de pistage, sur les observations faites lors de l’exploitation et sur les
diagnostics post-exploitation
3.1.2 Composition-type des équipes d’inventaire d’exploitation
3.1.2.1 Équipe de layonnage
Une équipe de layonnage peut être composée de 8 à 12 personnes, suivant le rendement attendu.
1. Pour l’ouverture des layons principaux et limites :
La composition type d’une l’équipe de layonnage se présente comme suit :
Les rendements attendus pour une équipe de layonnage sont de 2 000 à 3 000 mètres au minimum
par jour effectif de travail en forêt dense à sous- bois clair. En forêt claire à sous-bois de
Marantacées et Zingibéracées, les rendements sont nettement plus faibles, de 1 000 à 1 500 mètres
par jour effectif de travail.
3.1.2.2 Équipe de comptage
Pour le dénombrement par virée de 125 mètres
1 pointeur - chef d’équipe ;
6 compteurs
Pour le dénombrement par virée de 250 mètres :
1 chef d’équipe : contrôle la progression des compteurs et effectue des
vérifications
2 pointeurs : charger de réaliser les croquis et renseigner les fiches de comptage
10 compteurs : charger du dénombrement, du marquage des tiges et de relever
les coordonnées géographiques des tiges, si possible
Comme déjà indiqué, il faut prévoir un compteur par bande de comptage de 20 ou 25 mètres. Il est
primordial de disposer de compteurs en « réserve » pour pallier les absences, car un travail fait en
sous-effectif risque d’être sensiblement de moins bonne qualité (oublis d’arbre, mauvais
positionnement).
Les rendements peuvent être variables en fonction de la densité du sous-bois et de la densité
d’arbres à compter, et donc de la liste d’essences à inventorier, des diamètres minimums de
comptage.
Les rendements obtenus sont de 50 hectares par équipe et par jour effectif de travail.
Sur les chantiers disposant d’au moins 3 équipes distinctes (layonnage, comptage et pistage), les
travaux de terrain et de saisie doivent être supervisés par un responsable des travaux d’inventaire
d’exploitation.
Il est tout particulièrement responsable des opérations de contrôle, auxquelles il doit assister aussi
souvent que possible.
Une petite équipe doit être affectée aux travaux de contrôle. Elle peut être constituée d’un chef
d’équipe, de deux compteurs et d’un aide.
L’avancement du chantier d’inventaire d’exploitation doit être planifié sur la carte du dispositif
d’inventaire, avec les exigences suivantes :
a) Achever le comptage sur toute l’assiette annuelle de coupe suffisamment tôt pour la
préparation du Plan Annuel d’Opérations (ou Plan Annuel d’Exploitation) ;
b) Réduire les pertes de temps liées aux accès.
Les durées des campagnes sont variables en fonction du temps d’accès à la zone à inventorier, et
peuvent aller jusqu’à un mois.
Les layons principaux quadrillent les blocs. Ils doivent faire l’objet d’une correction de pente et
d’une prise de données très complète. Ces layons doivent permettre un calage correct des layons
intermédiaires : ils doivent donc être ouverts en premier, avec une grande minutie et leur position
doit être contrôlée par GPS régulièrement. Par exemple, un point GPS est pris tous les 2 kilomètres,
et en cas de décalage supérieur à 50 mètres entre la position réelle et la position théorique, le
boussolier se recale à l’aide du GPS.
Des layons intermédiaires ou secondaires seront ouverts pour délimiter les parcelles. Ils sont recalés
à chaque intersection avec un layon principal (cf. schéma de la Figure ci-dessous). Les corrections
de pente et relevés détaillés sont facultatifs.
Pour l’ouverture de l’ensemble des layons, il est capital de prendre en compte la déclinaison
magnétique dans le calcul de l’azimut à suivre et d’étalonner les boussoles.
Photo : un boussolier
Un complément des piquets et jalons placés sur les layons, portant la référence de l’unité de
comptage seront placées aux quatre coins de celle-ci, à l’intérieur de l’UC et orientées vers
l’extérieur.
La délimitation doit être la plus précise possible. En effet, cette précision est fondamentale pour le
positionnement des arbres sur les parcelles.
Des obstacles peuvent se présenter durant l’ouverture des layons. Ils doivent être contournés. Le
contournement d'un obstacle débute par une perpendiculaire au layon jusqu'à ce que le terrain
redevienne praticable. Ensuite, on suit de nouveau une direction parallèle à celle du layon, dans le
sens de la marche jusqu'à ce que l'obstacle soit dépassé. On retourne alors dans l'alignement du
layon par une autre perpendiculaire. Les perpendiculaires sont déterminées à la boussole.
Les deux distances latérales qui permettent, l'une de s'éloigner du layon et l'autre d'y revenir ont
la même longueur horizontale. Si nécessaire, les corrections de pente doivent donc être prises.
Déviation
Obstacle à contourner
Les relevés doivent porter au minimum sur les pentes, la longueur réelle des layons (y compris pour
les layons secondaires), les éventuelles déviations effectuées et des coordonnées relevées au GPS
sur le layon. Ils peuvent intégrer en plus des informations sur l’occupation du sol, la topographie,
les routes, pistes, anciens layons, traces d'exploitation.
Le Chef d'équipe pointeur est chargé de repérer de façon aussi détaillée que possible la traversée
des cours d'eau, les têtes de rivières, les baïs et de les reporter sur les fiches. Un exemple de
codification à adopter sur les fiches est donné par la Figure ci-dessous.
La pente
> faible pente (inférieure à 10%)
>> pente moyenne (de 10 à 20%)
>>> forte pente (supérieure à 20%)
Le sens de la pente sera indiqué par chaque compteur par le sens des flèches.
Cours d'eau (la flèche indique la direction du cours d'eau)
Petit cours d'eau (moins de 1 m de large)
cours d'eau moyen (inférieur à 5 m)
cours d'eau important ( plus de 5 m)
Talweg
Route
Piste de débardage
Figure : Conventions possibles pour les relevés concernant la topographie et le milieu
Au début de la virée de 125m, les 6 prospecteurs sont répartis tous les 21 m sur le layon de
début de parcelle et le pointeur reste sur le layon latéral. Chaque prospecteur sera responsable du
comptage sur une bande d'environ 21 m de large.
Les 6 compteurs se répartissent sur la virée, de façon à couvrir chacun leur bande de comptage,
par exemple, dans le cas de bandes de 21 m de large :
i. Compteur 1 : bande entre 0 m et 21 m par rapport au layon de comptage ;
ii. Compteur 2 : bande entre 21 m et 42 m par rapport au layon de comptage ;
iii. Compteur 3 : bande entre 42 m et 63 m par rapport au layon de comptage ;
Et ainsi de suite
Régulièrement, le chef d’équipe s’assure du bon alignement des compteurs en les appelant un
par un. Cet alignement est capital pour une bonne précision cartographique des relevés. Le
COURS D’INVENTAIRE D’EXPLOITATION FORESTIERE – ENEF MBALMAYO 23
pointeur peut s’aider d’une boussole pour le contrôler. Les compteurs doivent constamment
s’appeler pour contrôler leur bon positionnement relatif. L’usage d’un sifflet peut également
faciliter le repérage entre membres de l’équipe, par exemple, le pointeur situé sur le layon
siffle tous les 50 m en arrivant à un piquet.
Lorsqu’un arbre est à compter, l’ensemble de la virée s’arrête. Le pointeur vérifie qu’il est
bien aligné avec le compteur qui l’appelle. Le compteur annonce les caractéristiques de l’arbre à
pointer et son numéro de compteur. Les compteurs éventuellement situés entre lui et le chef
d’équipe répercutent cet appel. Le pointeur répète l’appel et le compteur valide cette répétition.
Le pointeur note alors l’arbre sur sa fiche. Le chef d’équipe peut, dans certains cas, se
déplacer pour valider l’estimation de la qualité de l’arbre inventorié.
5.2.2 Diamètres
Au minimum, toutes les tiges de DHP (Diamètre à Hauteur de Poitrine) qui se mesure à 1.30
mètre du sol ou immédiatement au-dessus des contreforts, supérieur au Diamètre Minimum
d’Exploitation (DME r ègle me nt a ir e , puis Diamètre Minimum fixé par le plan d’aménagement)
seront inventoriées.
Des arbres semenciers dont le DHP est inférieur au diamètre de comptage pourront également
être relevés, ainsi que certains arbres à protéger (arbres d’avenir ou essences à protéger). Il est
toutefois préférable d’effectuer un marquage de ces arbres lors du tracé des pistes de débardage.
Une autre option parfois choisie est de compter toutes les essences inventoriées à partir d’un
diamètre minimum unique, par exemple 50 ou 70 cm.
Toutes les classe de diamètre sont d’amplitude 10 cm, elles sont définies de la façon suivante (cf.
tableau ci-dessous) :
Classe Intervalle de DHP correspondant
50 50 à 59,9 cm
60 60 à 69,9 cm
70 70 à 79,9 cm
80 80 à 89,9 cm
90 90 à 99,9 cm
100 100 à 109,9 cm
- -
- -
190 190 cm et plus
Photo 3 : Entailles à la machette indiquant la qualité relevée pour la tige (ici, qualité 1 matérialisée par 3 entailles)
Tous les arbres inventoriés se verront attribuer une note de qualité, selon un barème de la grille de
de cotation.
La localisation des tiges peut également s’effectuer à l’aide du GPS. Cette méthode consiste à
relever à l’aide du GPS, la position des tiges dans l’UC et à ’inscrire sur la fiche de comptage, les
informations relatives à chaque tige identifiée notamment, le numéro d’ordre, les numéros des
waypoints, l’identifiant unique, le nom de l’essence, la classe de diamètre, la qualité de la tige et
code du prospecteur ayant identifié l’arbre. Le croquis de l’UC n’est utilisé dans ce cas que pour
relever les caractéristiques biophysiques de la forêt.
2. La qualité du comptage :
i. Identification des essences ;
ii. Cotation en qualité ;
iii. Mesure des diamètres ;
iv. Numérotation des arbres comptés (absence de doublons et d’oublis de numéros) ;
v. Marquage des pieds (lisibilité des numéros, emplacement des numéros sur le fût) ;
vi. Signalisation des pieds à abattre (encoches, pistes…) ;
vii. Pointage (renseignement complet de la fiche, précision du positionnement des pieds et des
caractéristiques du milieu).
I I (
l 1 \l
DME(cm) Nombre
total de Densité
Essences tiges (tiges/ha)
inventoriées
Grand total
D’autres tableaux détailleront les résultats obtenus par parcelle et les résultats par classes de
diamètre.
6.1.3 Réalisation de la carte de prospection finale
Au terme de la phase de comptage doivent être produits :
Une Carte d’inventaire d’exploitation à une échelle comprise entre le 1 :2 000ème et le 1
:10 000 ème ;
Une carte du parcellaire d’exploitation ;
Des états de synthèse de la ressource disponible.
La carte d’inventaire d’exploitation doit représenter les informations suivantes (voir exemple de
carte) :
- Tiges inventoriées ;
- Tiges présumées exploitables (éventuellement numérotées) ;
- Classes de pente et zones à forte pente ; Limite des parcelles d’exploitation ;
- Cours d’eau, classés par ordre d’importance ;
- Sources ;
- Coordonnées géographiques ;
- Infrastructures existantes (routes primaires, secondaires, ponts et passages busés) ;
- Les pistes de débardages existantes ;
- Limite des zones hors exploitation ou nécessitant des mesures
particulières d’exploitation ;
- Limites des aires protégées, des Assiettes de Coupe.
Les états de synthèse de la ressource disponible donneront les indications suivantes :
• Volumes et nombres de tiges à exploiter par essences sur l’ensemble de l’AAC ;
• Volumes et nombres de tiges à exploiter par essences par parcelle ;
• Volumes et nombres de tiges à exploiter par essences et par classes de diamètre sur
l’ensemble de l’AAC
1. Références de l’AAC
- Situation administrative et géographique de l’UFA
- Localisation de l’AAC
- Description de l’AAC (limites et particularité ; exploitation passée …)
2. Déroulement des travaux
- Méthodologie : cartographie, layonnage, comptage, traitement des données
- Composition des équipes
- Matériels utilisés
- Travaux de layonnage
- Travaux de comptage
- Traitement des données
3. Résultats
- Distribution des tiges exploitables par classe de diamètre (table de peuplement)
- Distribution des tiges exploitables par classe de diamètre (table de stock)
Conclusion
Les annexes
Les documents ci-après sont insérés comme les annexes du rapport :
- Fiches de comptage ;
- Support numérique des données collectées sur le terrain et présentées conformément au
format fourni par l’administration (données sur les unités de comptage et les tiges logées
dans ces unités de comptage) ;
- Croquis d’unités de comptage avec les coordonnées des sommets et les fiches de de
comptage ;
- Fiches de description des layons.
- Carte d’exploitation à l’échelle de 1/5000e présentant les mentions suivantes :
i. Nom de la société d’exploitation, le numéro du titre, le numéro de l’assiette de coupe ou
de la zone à exploiter ;
ii. Identification du feuillet (1/200 000) ;
iii. Une légende donnant la définition des symboles utilisés pour la cartographie (routes,
sentiers, rivières, pentes, etc.) ;
iv. Contours de l’assiette de coupe ou de la zone à exploiter ;
v. Corrections apportées (s’il y a lieu) sur le plan des détails topographiques,
hydrographiques et autres ;
vi. Inscription, à l’intérieur de chaque unité de comptage, des principales essences
inventoriées, positionnées telles qu’on les retrouve sur le terrain.
- Projet de carte du réseau routier.
Photo : Marquage du numéro d’un arbre exploitable Photo : Marquage d’un arbre refusé en raison de sa mauvaise qualité
Ces documents seront mis à disposition du responsable de l’exploitation sur l’Assiette Annuelle
de Coupe.
Délimitation de l’AAC
Prévisions Pistage
Traçabilité (Tableaux, cartes)
Efficacité
Saisie des données de
pistage (route…)