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MINISTERE DE L‟ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA
RECHERCHE SCIENTIFIQUE (MESRS)
*********
UNIVERSITE D‟ABOMEY-CALAVI (UAC)
*********
ECOLE POLYTECHNIQUE D‟ABOMEY-CALAVI (EPAC)
********* DEPARTEMENT DE GENIE
CIVIL (D/GC)
********* OPTION :
Génie civil (GC)
*********
RAPPORT DE STAGE DE FIN DE FORMATION
POUR L‟OBTENTION DU
Sous la supervision de :
Tuteur de stage Superviseur :
ANDRIATSARAFARA Rolland Dr HOUANOU Kocouvi Agapi
Ingénieur des Travaux Public Maître-Assistant au CAMES
REPUBLIQUE DU BENIN
*********
CIVIL (D/GC)
*********
DIRECTEUR
CHEF DE DEPARTEMENT
DEDICACE
À
Mes très chers parents qui m‟ont guidé durant les moments les plus pénibles de ce
long chemin, ma mère qui a été à mes côtés et m‟a soutenu durant toute ma vie, et
mon père qui a sacrifié toute sa vie afin de me voir devenir ce que je suis.
Mes frères, mes sœurs, mes cousins et cousines en particulier, Lucrette, Nélie, Imelda,
Florinda, Déo-Gracias, Brice, Calvados, Kévin.
Ma grande famille, spécialement mon oncle Elarion HOUNNOU.
Mes amis : Précieuse, Laurynda, Christelle, Reine, Alexandrine, Samuel, Dubonh,
José.
Tous mes camarades de classe et les promotions qui nous ont précédées.
Tous ce qui m‟aime et que j‟aime.
REMERCIEMENT
J‟aimerais remercier en premier lieu Dieu qui m‟a donné la puissance pour achever ce
modeste travail.
Un grand remerciement à mes encadreurs, Rolland ANDRIATSARAFARA, Chef Mission
de Contrôle et surveillance „‟GROUPEMENT TRE - Le Héros GC - Assurance BTP‟‟ et
Martin LOKOSSOU, Chef Laboratoire de l‟entreprise SOGEA SATOM pour leur soutien,
leur aide, leur disponibilité, leur grand intérêt qu‟ils m‟ont toujours manifesté, durant ma
formation et la préparation de ce mémoire. Ce travail n‟aurait jamais pu aboutir sans eux, qui
ont toujours su me consacrer un peu de leur temps à mes calculs. Qu‟ils trouvent ici
l‟expression de mes sincères gratitudes.
Mes plus vifs remerciements s‟adressent à Monsieur Augustin MAHINOU, le Chef
Laboratoire du „‟GROUPEMENT TRE - Le Héros GC - Assurance BTP‟‟ qui m‟a aidé à
trouver ce stage.
Que le Docteur Kocouvi Agapi HOUANOU, reçoive l'expression de ma profonde
reconnaissance d‟avoir accepté être examinateur de ce travail.
J‟adresse également ma profonde gratitude à tous les professeurs de l‟Ecole Polytechnique
d‟Abomey-Calavi en particulier, ceux du département de GENIE CIVIL.
Mes remerciements s‟attarderont aussi à mes amis de plus longue date, à la promotion 2020-
2021. Les nommer serait inutile, ils se reconnaîtront. Qu‟ils sachent que leur amitié m‟est
précieuse.
HOMMAGES
C'était un professeur qui était toujours souriant, gentil malgré nos retards et nos bavardages il
était toujours gentil il n'aimait pas nous crier dessus en dehors de son mot magique “yèyinon”.
Il était bourré de connaissances dommage qu‟il soit parti avec. Sa mort nous a vraiment
touchés et vivement nous croyons que là où il est, il sera en paix et fier de nous.
Au Président du jury,
Pour l‟honneur que vous nous faites en acceptant de présider le jury de notre soutenance.
Permettez-nous de vous exprimer nos respectueux hommages.
Hommages respectueux
Que messieurs les membres du jury trouvent ici l‟expression de notre reconnaissance pour
avoir accepté d‟évaluer notre travail.
C Exploitation, partie : Coefficient prenant en compte les surcoûts d‟exploitation liés aux travaux ;
PL : Poids Lourds ;
i : Taux d‟inflation.
RESUME
Le réseau routier conçu et encadré par le sous-secteur des travaux publics constitue un facteur
clé à la croissance d‟un pays ; sa réalisation nécessite des méthodes et des techniques biens
définis par des normes en vigueur qui doivent être planifié, régulier, contrôlé et bien géré pour
être efficace. Le gel est le premier ennemi de la route et le surcharge le deuxième ennemi. Un
mauvais drainage de l'eau peut provoquer une perte de la capacité portante de la support
provoquant ainsi l'ouverture de fissures ou des phénomènes d'arrachement de la couche de
roulement pouvant conduire à la dégradation des voies. Le présent rapport est le résultat de
trois (03) mois de stage académique pour l'obtention de la licence professionnelle au sein du
groupement TR-ENGINEERING/LE HEROS GC/ASSURANCE-BTP qui est chargé du
contrôle et de la surveillance des travaux exécutés par l'entreprise SOGEA-SATOM sur le
projet : « TRAVAUX DE CONSTRUCTION D‟UN SECOND OUVRAGE DE
FRANCHISSEMENT DU BAS-FOND DE WOMEY DANS LA COMMUNE
D‟ABOMEY-CALAVI ». Il s‟agit d‟un ouvrage qui va interconnecter le quartier de Womey
et le quartier Cocotomey, via le carrefour AGLOUZA et celui des FRUITS situé en face du
grillage IITA. Long de 350m avec des rampes d‟accès de 400m (235m au Sud et 165m au
Nord du projet), c‟est un VIADUC mixte constitué de 02 culées et de 17 pieux métalliques
importés depuis la France. Nous avions exécuté généralement des travaux topographiques, des
essais géotechniques sur le béton, des travaux d‟enfichage des pieux et la préfabrication de
certains éléments du VIADUC. Ce fut une expérience fructueuse et grâce à la laquelle nous
savons désormais quelle stratégie mettre en place pour l‟entretien des ouvrages d‟art de notre
patrimoine.
ABSTRACT
The road network designed and supervised by the public works sub-sector is a key factor in a
country's growth; its realization requires methods and techniques well defined by current
standards that must be planned, regular, controlled and well managed to be effective. Frost is
the first enemy of the road and overloads the second enemy. Poor drainage of water can cause
a loss of the bearing capacity of the support thus causing the opening of cracks or tearing
phenomena of the bearing layer that can lead to the degradation of the tracks. This report is
the result of three (03) months of academic internship to obtain the professional license within
the TR-ENGINEERING/LE HEROS GC/ASSURANCE-BTP group which is responsible for
the control and supervision of the work carried out by the company SOGEA-SATOM on the
project: "CONSTRUCTION WORK OF A SECOND CROSSING STRUCTURE OF THE
WOMEY SHALLOWS IN THE COMMUNE OF ABOMEY-CALAVI". It is a structure that
will interconnect the Womey district and the Cocotomey district, via the AGLOUZA and
FRUITS crossroads located in front of the IITA fence. 350m long with access ramps of 400m
(235m to the south and 165m to the north of the project), it is a mixed VIADUCT consisting
of 02 abutments and 17 metal piles imported from France. We had generally carried out
topographic work, geotechnical tests on concrete, pile plugging work and the prefabrication of
certain elements of the VIADUCT. It was a fruitful experience and thanks to which we now
know what strategy to put in place for the maintenance of the works of art of our heritage.
France. We had generally carried out topographic work, geotechnical tests on concrete, pile
plugging work and the prefabrication of certain elements of the VIADUCT. It was a fruitful
experience and thanks to which we now know what strategy to put in place for the
maintenance of the works of art of our heritage.
SOMMAIRE
DEDICACE................................................................................................................................ v
REMERCIEMENT ................................................................................................................... vi
HOMMAGES........................................................................................................................... vii
LISTES DES ABREVIATIONS ET DES SIGLES ................................................................
viii LISTE DES TABLEAUX
.......................................................................................................... x LISTES DES
FIGURES............................................................................................................. x LISTE DES
PHOTOS ................................................................................................................ x
RESUME................................................................................................................................. xiii
ABSTRACT ............................................................................................................................
xiv SOMMAIRE
............................................................................................................................ xv
INTRODUCTION.................................................................................................................... xv
CHAPITRE I : PRESENTATION DU CADRE DE STAGE.................................................... 2
1.1. CADRE INSTITUTIONNEL .......................................................................................... 2
1.2. CADRE DE STAGE ....................................................................................................... 3
CHAPITRE II : DEROULEMENT DU STAGE ....................................................................... 6
2.1. OBJECTIFS DU STAGE ................................................................................................ 6
2.2. TRAVAUX EFFECTUES............................................................................................... 6
2.3. CHOIX DU SUJET ....................................................................................................... 38
CHAPITRE III : STRATEGIE D‟ENTRETIEN ..................................................................... 39
3.1. CONTEXTE GENERAL .............................................................................................. 39
3.2. ANALYSE DU CAS ..................................................................................................... 43
3.3. CONTRIBUTION A LA RESOLUTION DU CAS ..................................................... 46
3.4. PERSPECTIVES ........................................................................................................... 56
CONCLUSION ........................................................................................................................ 58
DIFFICULTES RENCONTREES ET SUGGESTIONS ......................................................... 59
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES ................................................................................. 60
TABLE DES MATIERES ....................................................................................................... 61
ANNEXES .............................................................................................................................. xvi
INTRODUCTION
“La route du développement passe par le développement de la route” dit-on. La gestion du
patrimoine est un enjeu majeur pour des maîtres d'ouvrage confrontés à des patrimoines
vieillissants et à des trafics routiers de plus en plus agressifs. Elle demeure la mission
essentielle du maître d'ouvrage qui doit garantir un bon niveau de service pour les usagers,
dans des conditions de sécurité satisfaisantes, et tout en maîtrisant ses dépenses. Dans cette
optique, depuis quelques années, le Bénin connait des avancées dans le domaine des
infrastructures routières. Plusieurs routes et ouvrages de franchissement sont en cours
d‟exécution : c‟est le cas du pont II de Womey dans la commune d‟Abomey-Calavi. Certes,
les gestionnaires sont confrontés en permanence à des choix complexes, qui intègrent les
exigences de sécurité, les conditions d'exploitation, la gravité des désordres et l'urgence des
réparations. Quelques questions essentielles méritent d'être posées. Affecte-t-on les moyens
financiers sur les travaux les plus utiles pour la conservation du patrimoine ? Réalise-t-on la
meilleure répartition des financements entre les actions préventives et les actions curatives ?
Quels travaux permettent à minima de conserver l'état moyen de son patrimoine ? Ces
questions prennent une importance accrue au moment où les moyens financiers sont
contraints alors que le patrimoine vieillit.
Ici au Bénin, les méthodes de gestion actuelles permettent principalement de hiérarchiser les
ouvrages en fonction de leur état apparent. Les pathologies les plus évidentes sont mises à
jour et le gestionnaire peut ainsi intervenir pour assurer la pérennité de l'ouvrage et la sécurité
du public. Cette méthode demande évidemment une bonne formation et une bonne expérience
des gestionnaires afin qu'ils détectent à temps les pathologies, mais elle ne permet pas
d‟anticiper pour une maintenance préventive bien choisie.
Pour l'obtention de la licence professionnelle, un rapport de fin de formation est exigé après
un stage académique de trois (03) mois en entreprise afin de confronter les connaissances
théoriques à la pratique ; ceci a donc été fait au sein du Bureau de contrôle TR-
ENGENEERING/Le HEROS-GC/ASSURANCE-BTP sur le projet de CONSTRUCTION
D‟UN SECOND OUVRAGE DE FRANCHISSEMENT DU BAS-FOND DE WOMEY
DANS LA COMMUNE D‟ABOMEY-CALAVI exécuté par l'entreprise SOGEA-SATOM.
Le présent rapport restitue au mieux l‟essentiel des différents travaux suivis et contrôlés au
cours de la période de stage et s‟articule autour des rubriques suivantes :
CHAPITRE 1 : Présentation du cadre de stage
CHAPITRE 2 : Déroulement du stage
CHAPITRE 3 : Analyse de thème
Le HEROS GC est un Bureau d‟études béninois spécialisé dans les domaines suivants :
Bâtiments et Travaux Publics, Planification, gestion de projet de développement,
Assainissement, Aménagement et environnement. Avec une dizaine de cadres Ingénieurs et
Techniciens supérieurs, LE HEROS-GC SARL assure des missions depuis la faisabilité en
passant par les études des Projets, la réalisation et la maintenance des équipements et
infrastructures. Il en est quasiment de même pour l‟entreprise Assurance BTP.
Maî tr e d’Ouvr ag e :
Gouvernement de la
République du Bénin Bailleur de Fonds : SOCIETE
représenté par le Ministre GENERALE au BENIN
des Infrastructure et des
Transports.
EXÉCUTION
DATE DE
DÉMARRAGE DES 07/12/2020
TRAVAUX
DURÉE
20 mois
D‟EXÉCUTION
- Pieux battus
- Pieux excavés
- Pieux forés
- Pieux vibrés
- Pieux vissés
- Pieux hydrauliquement.
Dans notre cas, nous avons des pieux battus. Ces types de pieux sont utilisés à cause des
contraintes rencontrées lors des essais géotechniques (Résistance à la pénétration au carottier,
Résistance à la pénétration statique, Résistance à la pénétration au pressiomètre, essais
d‟identification et cisaillements, essai de consolidation à l‟œdomètre) réalisés avant la
réalisation du pont.
La pose de ces dalles sur la charpente se fait de manière suivante : Deux premières dalles de
types3 ensuite une dalle de type2 et enfin deux dalles de type1.
Nous avons préalablement des moules métalliques préfabriqués avec des gougeons qui
doivent être huilé avant toute activité.
Le ferraillage des dalles se fait avec des armatures en forme de poutre disposée sur la largeur
du moule. Ces armatures sont de différentes formes : des U, des filants et des bèches. Les
types d‟armatures utilisées sont des HA12 et HA16. Dans une dalle nous avons 31 barres de
HA12 et 111 barres de HA16.
Le coffrage se fait avec de petites planches taillées à la hauteur du ferraillage. Les trous sont
bouchés avec des papiers ciment mouillés pour éviter le débordement de la laitance du béton.
Une fois le coffrage terminé, on fixe les 04 antres de levage de 7.5kg chacun et on les
renforce avec des HA16. Le béton est ensuite envoyé depuis la centrale à béton et déjà
prélevé pour l‟essai afin de vérifier sa résistance. Le ciment utilisé a pour résistance 42.5
MPa.
Appareils utilisés :
Une travée standard est composée de 8 dalles dont 03 de type T1, 03 de types T3 et 02 de
types T2 placées dans cet ordre : T1-T1-T2-T3-T3-T3-T2-T1. La matérialisation de la place
des connecteurs présents sur les PRS (Poutres échelles) de façon physique dans le moule (ici
tubes soudés) à la préfabrication est indispensable pour garantir la bonne disposition des
dalles.
Dimensions pour les dalles d‟about : 11m de longueur et 4,45m de largeur. Ce largueur est
subdivisé en deux (2,75m pesant 25t et 1,7m pesant 13t) pour permettre à la grue de les
soulever.
Les deux étant rapprochée, on met des filants (HA10) pour les soudées.
Coulage
Le béton coulé dans cette zone est dosé à 400kg mais préparé à l‟aide d‟un ciment fort de
résistance 52.5 MPA. La zone est renforcée parce que c‟est un lieu de jonction. Avant le
coulage, on arrose la zone avec un mélange constitué d‟eau et du Sikalatex qui a pour rôle de
rendre étanche et durale le joint.
Méthodologie
Ci-dessous la chronologie des travaux pour un cycle courant depuis la plate-forme de battage :
Chaque cycle dure 01 semaine (06 jours) et comprend le phasage suivant :
Phase1: Pose des captures et câblage de connexion-réception de l‟instrumentation.
Implantation topographique.
Avant la mise en place du tube dans cage à pieu, la planimétrie de la cage doit être réglée par
des tiges de bridage situées sur la cage. Les guides roues sont réglés à l‟aide d‟un prisme et
le niveau des tubes est donné par le topographe. Une fois le tube mis dans la cage il est mis
d‟aplomb à l‟aide de la grue et d‟un niveau aimanté.
Phase2 : Soulèvement de virole instrumenté et entouré sous la flèche de la grue de 300T pour
remettre dans la case de battage, puis vibro-fonçage des pieux jusqu‟à une certaine hauteur
d‟enfichage.
Phase 3 : Battage des pieux sous le marteau de 17,3 t, taper coup par coup jusqu‟au refus.
Les pieux sont vibrofoncés jusqu‟au refus-vibro puis battus jusqu‟à l‟obtention de la
portance souhaité. Le vibrofonceur et la grue sont tenus à l‟aide de la grue. L‟opération
prend en moyenne une journée de travail.
Phase4 : Point d‟arrêt de réception avec la mission de contrôle pour arrêt de battage et on
procède au recepage des pieux suivant le niveau altimétrique requis pour recevoir le chevêtre.
Après obtention de la portance souhaitée, le niveau est donné par le topographe et le tube est
recépé à l‟aide d‟un chalumeau et de cernes tout en tenant compte de la cote projet de
l‟ouvrage.
Après recepage, les têtes de pieux sont vidangées sur les 3 premiers mètres et on procède à la
mise en place de tubes bouchonnés par des tôles de 4 mm constituant un coffrage perdu pour
éviter un écoulement du béton.
Phase6 : Ouverture des cages à pieux et grutage de la coque, puis calage des avants trous du
chevêtre à ajuster à la position ultime des pieux en amont ou en aval.
Photo II. 20: Prise des cotes d‟alignement planimétrique et altimétrique de l‟axe de l‟ouvrage
Source : Antoine DEGBOE, 2021
Phase8 : Pose de ferraillage et bétonnage du chevêtre, point d‟arrêt de verinage des poutres
échelles.
Phase9 : Pose des bipoutres PRS métallique, point d‟arrêt de serrages et travelages.
Caractéristiques des échelles
Une échelle est constituée de 04 poutres, 03 entretoises et de 02 cornières.
- Poids : 4.5t par poutre
- Longueur : 20m (à raison de 10m chacun)
- Longueur entretoise : 5360mm
- Ecartement entre poutres : 5200mm
- Cornière diagonale : 8455mm
Avant de poser les bipoutres métalliques, des néoprènes sont d‟abord posés. Ce sont des
caoutchoucs synthétiques épais mais légers, rigides mais aussi élastiques, résistant et surtout
thermorégulateur, de masse volumique 1.23 g/cm^3 à 25°C. Ils servent à isoler le plongeur du
froid, tout en lui permettant de garder une grande souplesse et de rester léger.
Interprétation
Dans chaque couche de 25 cm nous avons les paramètres qui suivent : la hauteur, les
frottements et la cohésion. La portance étant connue, l‟appareil nous donne les frottements
qu‟il faudra soustraire de la portance pour obtenir la pointe.
Appareils utilisés
Avant toute chose les topographes doivent faire l‟implantation. Ensuite est réalisée une fouille
à l'aide de la pelle mécanique.
Un mur de soutènement doit évidemment être porté par des fondations robustes et
suffisamment profondes pour rester à l‟abri du gel. Cette profondeur varie en fonction des
régions et du climat. Pour la résistance, il faut prêter une attention toute particulière au
drainage. L‟eau doit passer à travers le mur afin d‟éviter de le pousser, de créer des fissures et
de le briser.
C‟est pour cela qu‟un système de rabat nappe a été installé comme le montre la photo ci-
après :
a- : Coffrage du BP b- : Coulage du BP
Les bêches ont pour rôle d‟éviter l‟érosion. Elles peuvent être situées à l‟arrière de la semelle
du mur ou sous la fondation du mur. Ici, nous sommes dans le premier cas.
Nous en avons de 03 types : T1, T2 et T3 qui diffèrent au niveau des dimensions. En béton
armé dosé à 400kg, elles ont 50cm d‟épaisseur, une hauteur d‟01m et une longueur de 5m.
Un remblai hydraulique de 90cm avec du sable marin est fait après la pose des bêches.
L‟opération se fait en trois parties : à chaque 30cm, le sable est arrosé à l‟aide de l‟eau
recueillie et à l‟aide du rabat nappe ou du camion-citerne.
Après le remblai, une hauteur de 10cm est réservée pour réaliser le béton de propreté du
radier.
Après le coffrage, les topographes vérifient à nouveau les coordonnées avant le coulage du
béton.
Le camion toupie envoie le béton de la centrale qui est servi dans une benne à béton et
soulevé par une grue pour le coulage. A l‟aide d‟une règle, le béton est lissé.
Machines utilisées
Pour vérification, découper 1 m pris au hasard par diamètre et par barre 6 fois dans le lot
d‟arrivage (Longueur des barres : 12m) ;
L‟écart admissible par rapport à la longueur nominale est compris entre 0 et + 100 mm
(Pas de rue en plaque ni pailles, criques, fissures longitudinales).
Coffrage
Après coffrage, vérifier :
Pas de débris végétaux ( brindilles, racines algues et… ) de charbon ou de résidus divers et de
matières organiques en son sein.
Pas de débris végétaux ( brindilles, racines algues etc.… ) de charbon ou de résidus divers et
de matières organiques , ni de poussières, de pellicules d‟argile, d‟éléments altérés ou fissurés
Les ciments doivent être conformes aux prescriptions des normes nationales ou aux
règlements en vigueur ( P.n.n.r.v. ) sur le lieu d‟utilisation du béton.
Hors Norme : Pas de sacs déchirés, Voir la date de fabrication si c‟est du ciment importé,
Vérifier le poids du paquet.
L „eau de gâchage doit répondre aux exigences des normes nationales ou aux règlements en
vigueur sur les lieux d‟utilisation du béton. L‟eau ne doit pas contenir d‟éléments résiduels
en quantité tels qu‟ils pourraient porter préjudice à la prise, au durcissement et à la durabilité
du béton, ou provoquer une corrosion des armatures.
Ils doivent répondre aux exigences des normes nationales ou aux règlements en vigueur sur le
lieu d‟utilisation. Ils ne doivent pas contenir d‟éléments nuisibles en quantité tels que cela
affecterait ou provoquerait une corrosion des armatures. Consulter les fiches techniques pour
plus de détails.
Battage
S‟assurer du nombre de coups ;
S‟assurer que les résultats obtenus lors de l‟étude sont conforme à ceux trouvé lors du
battage.
Topométrie
Après toutes activités, vérifier l‟horizontalité de la voie à l‟aide du niveau. Les tolérances sont
de 2 cm environ pour la planimétrie et de 1cm pour l‟altimétrie.
Nous devons alors établir des stratégies pour leur entretien. C‟est dans cette optique que nous
voulons mettre en place une stratégie de maintenance des ouvrages d‟art de notre pays
spécialement celle du pont II de Womey. Cette stratégie constituera à placer en tête de liste les
ouvrages qu'il est rentable de traiter pour le maître d'ouvrage. Les ouvrages en proie à la ruine
ou présentant des défauts mettant en cause la sécurité des usagers sont à gérer, en urgence,
mais ne relèvent pas de la méthode à exposer. Pour ce faire, nous aurons besoin de nos
connaissances acquises durant les cours de Routes, Entretien Routier et des recherches sur le
web.
But : permet d'évaluer rapidement les coûts de remise à niveau total ou partiel de son
patrimoine, de calculer la rentabilité des investissements, de hiérarchiser les priorités en
travaux préventifs ou curatifs, et de cibler les parties d‟ouvrage les plus détériorées.
3.1.3. La constitution d’un pont
Un pont se compose de quatre parties: les fondations, les appuis, le tablier et les
superstructures.
3.1.3.3. Le Tablier
Le tablier est la partie de l'ouvrage supportant la chaussée (ou la voie ferrée) au-dessus de la
brèche à franchir. Une dalle, des entretoises et parfois des longerons sont associés aux poutres
pour former le tablier.
Dalle : La dalle ou hourdis sert d'élément de couverture; c'est elle qui reçoit la couche de
roulement de la chaussée et les surcharges des véhicules. Outre celui de couverture, le rôle de
la dalle est de reporter les charges permanentes et les surcharges sur les poutres, les longerons
et les entretoises.
Entretoises : Les entretoises sont perpendiculaires aux poutres qu'elles relient entre elles
(sauf dans les ponts biais où elles sont parallèles aux appuis).
Elles ont un double rôle: celui de contreventement transversal s'opposant au déversement des
poutres et celui de solidarisation, en répartissant les surcharges et le poids propre sur les
poutres.
Longerons : Les longerons, essentiellement utilisés dans les ponts métalliques, sont disposés
parallèlement à l'axe longitudinal de l'ouvrage et relient entre elles les différentes entretoises.
Poutres principales : Les efforts dus au poids propre (de la dalle, des longerons et des
entretoises) et aux surcharges sont transmis aux poutres qui les reportent sur les appuis.
On distingue les poutres latérales ou poutre de rive ou, encore, poutres principales et les
poutres sous chaussée, poutres sensiblement identiques, réparties de façon uniforme sous le
tablier.
Contreventement : Le contreventement est constitué par une poutraison croisée horizontale
entre poutres latérales, le tout destiné à assurer la stabilité du tablier sous les efforts du vent.
3.1.3.4. La superstructure
Ils sont constitués par tous les éléments du tablier qui n'interviennent pas dans la résistance
mécanique de l'ouvrage. C'est du poids mort qu'il faut supporter en permanence. Ce sont : la
chaussée, les gargouilles, les trottoirs, les dispositifs de sécurité (garde-corps, glissières et
barrières de sécurité), les corniches, les joints de chaussée, les lampadaires...
3.1.4. Les différents types d’entretien
o L'entretien préventif (courant) : C‟est l‟ensemble des tâches entreprises pour
prévenir les dégradations pouvant apparaître sur la route et ses dépendances. Se fait
tous les 03 ans.
Les objectifs poursuivis par l‟'entretien préventif se résument :
En ce qui concerne les ouvrages de soutènement, nous en avons un peu partout comme par
exemple les murs de soutènement situé devant le marché Ouando à Porto-Novo.
3.2.2. Présentation de quelques ponts défaillants : Causes et remèdes ou mesures
de prévention
3.2.2.1. Le pont de FIFADJI
μ partie
Les parties concernées sont les équipements (l‟étanchéité, les joints de chaussée, les
dispositifs de retenue, les corniches, les dispositifs d‟évacuation d‟eau, les trottoirs, les
gardes corps, les débordements, …), le tablier et les appuis (culée, piles, chevêtres,
vérins, plateforme, échelles, …).
Coefficient μ
Parties d’ouvrage
partie
courant
Equipements 0,10
Tablier 0,50
Appuis 0,40
Source : https://www.setra.developpement_durable.gouv.fr, Stratégie de maintenance des
ouvrages d‟art par valorisation d‟un patrimoine
Le coefficient C site tient compte des difficultés d'exécution des travaux liées à l'importance
(1)
de la brèche et à la sensibilité des zones franchies (exploitation de voies franchies, sécurité
de zones habitées, protection environnementale de milieux sensibles, etc.)
C démolitions = 1,1
En 2037, on a :
n
C reconstructions = Co reconstructions * (1+ i)
15
AN : C reconstructions = 19.974.700.597 * (1+0,027)
Par conséquent on a :
Pour les appareils d’appuis on retient la règle suivante pour un pont sensible à des
tassements d‟appuis :
β partieapp-appuis = 1 - 0,02 x nombre d‟années où les appareils d'appuis sont classés 3U
avec nombre d‟années où les appareils d'appuis sont classés 3U = 03
β partieapp-appuis = 1 – (0,02 * 03)
β partieapp-appuis = 0,94
Pour des appuis menacés par des affouillements, les valeurs du tablier et des
équipements sont affectées, quel que soit le type de structure.
appuis-affouill
β partie = 1 - 0,025 x nombre d‟années où les affouillements sont constatés
avec nombre d‟années où les affouillements sont constatés = 08
β partieappuis-affouill = 1 – (0,025 * 08)
β partieappuis-affouill = 0,8
AN : T= 15ans
T ref = 100 * ɣ robustesse
T ref = 100 * 0,9
T ref = 90ans
Etant donné qu‟il est difficile d'évaluer la durée de vie après une réparation et en l'absence
d'étude particulière, nous proposons d'augmenter Tref d'une durée de 30 ans.
Donc T ref = 120 ans
Alors : Vétusté = Max [(1- 0,5 (15/120)) ; 0,5]
Vétusté = Max [0,9375 ; 0,5]
Vétusté = 0,9375
Nous ne disposons pas d'informations sur les piles et culées (fragilité aux chocs de poids
lourds par exemple), il pourra dédoubler le coefficient de robustesse, en séparant celui
appliqué au tablier et celui appliqué aux appuis.
Le calcul de la valeur sociétale fait intervenir la robustesse de chacune des parties de
l'ouvrage. Dans l'état de nos connaissances, et compte tenu des données disponibles, il n'a pas
été possible de caractériser toutes les parties du pont.
Le coefficient de vétusté s'applique normalement par partie d'ouvrage.
Les équipements par exemple sont à distinguer de la structure, car ils n'ont pas la même durée
de vie et sont généralement remplaçables. Toutefois, là encore, la prise en compte d'une
vétusté par partie n'a pas été possible à ce stade, car elle suppose une gestion très fine des
ouvrages, en conservant l'historique de l'ensemble des interventions pratiquées sur ces
différentes parties. C'est pourquoi nous ne traiterons ici que le cas d'un coefficient de vétusté
global pour l'ensemble de l'ouvrage.
Tableau III. 3: Valeurs des coefficients de la valeur sociétale attribuée à chacune des parties
de l'ouvrage
Coefficients Equipements Tablier Appuis Commentaires
Tablier et appuis de classe 2 et
α Etat partie 0,50 0,95 0,95 E
équipements de classe 2
Pont mixte, sensible aux tassements
autre partie 0,94 0,9375 0,80 d‟appuis et menacés par des
β partie
affouillements
ɣ robustesse 0,90 0,90 0,90 Pont mixte bipoutres moderne
vétusté 0,9375 0,9375 0,9375 Tref augmenté de 30 ans
Tableau III. 4: Somme des valeurs sociétales attribuées à chacune des parties de l'ouvrage
robustesse
Parties parties parties
α Etat partie β partieautre partie ɣ vétusté C V
d‟ouvrage
Equipements 0,5 0,94 0,90 0,9375 2978769732,6 1181268372,1
Tablier 0,95 0,9375 0,90 0,9375 14893848663 11192203658
Appuis 0,95 0,8 0,90 0,9375 11915078930 7640544363,9
Total = 20014016394
3.3.3.2. Calcul du coefficient d'importance socio-économique de l'ouvrage CISE
On considère que l‟importance socio-économique de l‟ouvrage, son utilité sociale notamment,
conduit à lui conférer une valeur sociétale supérieure à son coût d‟achat. Pour tenir compte de
ce facteur, on pondère le coût d'achat d'un coefficient CISE dont la valeur est supérieure à 1.
CISE = √KISE
Avec :
KISE = αA + βB + ɣC + D
AN : ɣ = 0,15 ; β = 0,30 ; = 0,20 ; α = 0,35
Critère A : mesure de l'importance stratégique de l‟itinéraire porté par l‟ouvrage
La valeur de A dépend de 3 facteurs :
- l'importance de la voie ;
- les réseaux présents sur l‟ouvrage;
- la "charge limite" supportée par le pont.
L‟importance stratégique de l‟ouvrage, peut être augmentée pour tenir compte de
l‟environnement proche de l‟ouvrage, et des conséquences de sa ruine. Ici nous allons
augmenter de deux points A car il s‟agit d‟un ouvrage franchissant un obstacle naturel
majeur (rivière de plus de 100 mètres de large).
Critère B : mesure du trafic de la voie portée
Déterminons le TMJA2037
Nombre de PL = 150 PL/jour
Chaussée (02 * 02) voies donc dans un sens, on a :
Nombre de PL/sens =
D‟où : KISE = (0,35 * 03) + (0,30 * 01) + (0,15 * 04) + (0,20 * 04)
KISE = 2,75
Alors : CISE = √2,75
CISE = 1,66
Par conséquent : V sociétale = 20014016394 * 1,66
V sociétale = 33.223.267.214 FCFA
Il s‟agit d‟évaluer les surcoûts d‟exploitation liés aux travaux. Ils dépendent de
l‟importance des voies portées de l‟importance des voies franchies, de la présence ou non de
deux tabliers parallèles, de la taille du pont.
Avec :
Classe 1 : ouvrage en bon état apparent ;
Classe 2 : ouvrage ayant des défauts mineurs nécessitant un entretien sans caractère urgent ;
Classe 2E : ouvrage ayant des désordres pouvant se développer rapidement dans la structure
et nécessitant un entretien urgent ;
Classe 3 : structure altérée nécessitant des travaux de réparation sans caractère urgent ;
Ce critère devra être apprécié aussi pour l‟ensemble des tabliers, hors appuis et
superstructures.
3.3.5.2. Critère de bon entretien
On définit la valeur sociétale d‟un patrimoine parfaitement entretenu (Vsociétale OA entretenus)
comme la somme des valeurs sociétales de chaque ouvrage en considérant que chacune de ses
parties est en bon état (α Etat partie = 1).
Vétusté = 0,9375
ɣ robustesse = 0,90 car pont mixte bipoutres moderne
Par analogie, on a :
Σ V parties = 23097566679 FCFA
C ISE = 1,66
V sociétale = V sociétale OA entretenus = C ISE * Σ V parties
=
=1,46
=
=0,46
On doit s'assurer qu‟une reconstruction n‟est pas plus pertinente, ce qui est parfois le cas des
ouvrages classés 3U. Pour cela, il faut vérifier que :
R Reconstruction < R Travaux
R Reconstruction = 0,46 < R Travaux = 1,46 OK !
Cette étude de rentabilité permet d‟orienter a priori les études à lancer et les travaux à réaliser.
3.3.6.2. Hiérarchisation
On doit ensuite classé les interventions par rentabilité décroissante, en considérant qu'en règle
générale on recherche évidemment une rentabilité supérieure à 1, sauf enjeu de sécurité.
Le gestionnaire peut ainsi faire différentes séries de simulation permettant de déterminer :
- les meilleurs investissements par partie d‟ouvrage (remise à niveau de chaque partie
d‟ouvrage).
- les meilleurs investissements par ouvrage (remise à niveau de toutes les parties).
- les meilleurs investissements pour les ouvrages classés dans une catégorie d‟état (par
E
exemple pour IQOA : 2 , 3, 3U).
- une optimisation par itinéraire.
Pour finir, il doit programmer les travaux en se basant sur la hiérarchisation par rentabilité
décroissante. Le programme des travaux ainsi établi doit être complété par la réparation
prioritaire des ouvrages posant un problème de sécurité immédiate (système de sécurité hors
d‟usage, ouvrage menaçant ruine).
Cette méthode doit faire ressortir les attentes du gestionnaire puisqu‟elle prend en compte à la
fois le bénéfice des travaux curatifs améliorant sensiblement l'état de l'ouvrage, celui des
travaux préventifs permettant d'éviter sa dégradation, ainsi que l'importance stratégique de
l‟ouvrage.
3.4. PERSPECTIVES
Pendant la période de notre stage, les travaux ont été exécutés de l‟enfichage du P7 amont et
aval au C18 amont et aval en laissant les P10, P11, P12, P13, P14, P15 à cause de la panne de
la grue jusqu‟au début de la réalisation des murs de soutènement côté Sud. Pour la tenue de
l‟ouvrage en cours de réalisation, il s‟avère nécessaire de poursuivre les travaux de réalisation
des ouvrages d‟assainissement le long des murs de soutènement et de dégager les plantes
aquatique à l‟aide d‟un désherbeur pour faciliter l‟enfichage.
CONCLUSION
Somme toute, disposer de réseaux routiers bien entretenus assurant le niveau de service
attendu par les usagers est un facteur clé des stratégies de développement pour l‟Afrique. La
méthode exposée ci-dessus jette les bases d‟une analyse de la valeur appliquée à la gestion
d‟un patrimoine des ouvrages d‟art. Cependant, elle n„est pas sans limites. L‟Etat Béninois
se doit d‟appliquer cette méthode pour une bonne maintenance des ouvrages d‟art par
valorisation de son patrimoine. Au terme de nos trois (03) mois de stage académique au sein
du bureau de contrôle TR E - Le Héros GC - Assurance BTP, il est important de souligner
l‟aspect enrichissant des connaissances pratiques acquises pour compléter celles théoriques
enseignées dans le cadre de notre formation. Ce stage riche en enseignement pratique révèle
les étapes de la réalisation des ponts et la stratégie d‟entretien des ouvrages d‟art. Chaque
étape de réalisation nécessite un contrôle technique et géotechnique du respect des CCTP du
marché par le personnel de la mission de contrôle.
Suggestions
Au terme de notre stage académique riche en connaissances théoriques et pratiques ; et suite aux
difficultés que nous avons rencontrées, nous souhaiterions :
o À l‟endroit de l‟entreprise de:
Elaborer des plannings hebdomadaires qui seront multipliés et mis à la disposition du
personnel du chantier puis de la mission de contrôle avant le démarrage des travaux de la
semaine ;
Tenir compte des avis des ouvriers qualifiés afin de leur permettre de mener à bien
l‟exécution des différentes tâches ;
Avoir des experts en mécanique sur le chantier à tout moment et prévoir des engins de
remplacement pour prévenir les pannes ;
Respecter les consignes des membres de la mission de contrôle sous peine de voir leur
travail à l‟eau.
o A l‟endroit de la structure de formation de:
Etre présent lors des travaux pour suivre avec les ouvriers afin d‟éviter qu‟on reprenne ;
Eviter de fermer les yeux sur les erreurs ;
Mettre à notre disposition les informations dont nous avons besoin pour faire notre
rapport.
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
Ouvrages et notes de cours
Cahier des Clauses Technique et Particulière (CCTP) du projet ;
Dictionnaire Larousse ;
M. HODE Wilfrid _ Cours : Route, CAP/EPAC (2019-2020) ;
M. AGBELELE K. Judicaël _ Cours : Entretien Routier & Matériels de construction
CAP/EPAC (2019-2020 & 2020-2021)
Mémoires
Mahmond BOUAMAMA, Mohamed BENAISSA, “ETUDE D‟UN PONT MIXTE
ACIER-BETON A NEDROUMA”, Mémoire de projet de fin d‟étude en génie civil,
sous la direction de Mr CHERIF BENMOUSSA M Y, Mr HOUTI F., Mr BENAMAR
A., et al, Université Aboubekr Tlemcen, 2015-2016, 120p.
Florent S, AZIAN, „DIMENSIONNEMENT D‟UN PONT EN STRUCTURE
MIXTE : CAS DU NOUVEAU PONT SUR LE FLEUVE OPKARA A IGBODJA (
ROUTE KETOU-SAVE)‟, Mémoire de fin de formation pour l‟obtention du diplôme
d‟Ingénieur de conception grade Master, sous la direction du Prof Emmanuel
OLODO, Ecole Polytechnique d‟Abomey-Calavi, 2019-2020, 195p.
Références Webographiques
I. www.google.com , consulté tout au long du stage ;
II. www.4géniecivil.com , consulté tout au long du stage ;
III. https://lamaisonsaintgobain.fr , Construire un mur de soutènement : 06 règles d‟or
pour faire le poids, consulté le 11 janvier 2022 ;
IV. https://www.fntp.fr/sites/default/files/content/publication/953-international.pdf
, consulté le 07 Octobre 2021 ;
V. https://www.setra.developpement_durable.gouv.fr , Stratégie de maintenance des
ouvrages d‟art par valorisation d‟un patrimoine, consulté le 31 janvier 2022 ;
VI. https://www.europa.eu_ce_manuel_ecofin_fr_0.pdf , consulté le 31 janvier 2022 ;
VII. https://www.mairesdemeuse.com , Surveillance et entretien courant des ouvrages d‟art
er
routiers, consulté le 1 février 2022 ;
er
VIII. https://www.mtptc.gouv.ht , La stratégie nationale d‟entretien routier, consulté le 1
février 2022 ;
IX. https://www.dunod.com , Pratique de la Maintenance Préventive, consulté le
08 février 2022.
ANNEXES
Annexe I: Tableau des coefficients C site
Source : https://www.setra.developpement_durable.gouv.fr
Source : https://www.setra.developpement_durable.gouv.fr
Source : https://www.setra.developpement_durable.gouv.fr
Annexe IV: Tableau des coefficients de robustesse des différents types d’ouvrage
1,5 1 0,9 0,8 0,7 0,6 0,5
Portique Autre portique
PIPO
Cadre PICF Autre cadre
VIPP de 2ième VIPP de
génération, 1ère
(> 1967) génératio
n,
(<= 1967)
Pont en BP Pont en BP
Caisson caisson avant
moderne 1975
Caisson BA
PRAD PRAD
caisson caisson sur
ouvrage route
hydraulique
PRAD PRAD sur
ouvrage route
hydraulique
Pont à
béquille
Dalle
nervurée BP
Dalle élégie
Dalle BP
Dalle BA
Dalle
Nervurée BA
Dalle sur
palplanches
Pont à poutre Pont à poutre
BA après 1950 BA avant
1950
Pont à poutre
BP
Divers bois
Divers Béton
Divers BA
Divers BP
Divers mat.
divers
Divers MA
Divers ME
Divers MI
Dalot béton
Dalot pierre
Buse béton
Buse Buse
métallique métallique
après 1975 avant 1975
Annexe IV: Tableau des coefficients de robustesse des différents types d’ouvrage (suite 1)
Annexe IV: Tableau des coefficients de robustesse des différents types d’ouvrage (suite et
fin)
Source : https://www.setra.developpement_durable.gouv.fr
Source : https://www.setra.developpement_durable.gouv.fr
Source : https://www.setra.developpement_durable.gouv.fr
Source : https://www.setra.developpement_durable.gouv.fr