PC 1SPE3 S7 ZAOUI Chapitre16

Livre du professeur - PC 1re - Chapitre 16 : Ondes mécaniques
Chapitre 16 : Ondes mécaniques
Présentation
En seconde, un premier chapitre sur l’émission des ondes sonores a permis d’introduire
les notions concernant les ondes mécaniques. Ce chapitre approfondit les notions
abordées en traitant le cas des ondes mécaniques de manière général. Les notions de
retard et de célérité sont introduites et employées dans le cas de l’écholocation. La
double périodicité, temporelle et spatiale, caractéristique des ondes périodiques est
aussi traitée.
Place dans la progression

Dans la progression respectant l’ordre du Bulletin Officiel, à retrouver en compléments du
livre du professeur, ce chapitre est le premier de la partie « Ondes et signaux », dernière
partie du programme. Les prérequis pour la mise en œuvre de ce chapitre ne faisant pas
partie du programme de première, ce chapitre peut être abordé bien plus tôt dans
l’année.
Présentation 1
Place dans la progression 1
Activités 2
Activité d’exploration 1 : Des ondes bien différentes 2
Activité expérimentale 2 : Deux smartphones pour mesurer une célérité (numérique) 3
Activité expérimentale 3 : Modéliser une onde mécanique avec Python (numérique) 5
Cours 8
Exercices 8
QCM 8
Pour s’échauffer 9
Pour commencer 10
Différenciation 13
Pour s’entraîner 15
Pour aller plus loin 18
Problèmes à résoudre 23
Retour sur l’ouverture du chapitre (esprit scientifique) 25
Document sous licence libre Creative Commons
1
Activités
Les trois activités ont pour objectif d’appréhender la construction du modèle de l’onde
mécanique puis d’utiliser et de manipuler ce modèle.
Activité d’exploration 1 : Des ondes bien différentes
Présentation
Le but de cette activité est d’illustrer, par des exemples, quelques caractéristiques
observables des ondes (perturbation, déplacement de l’onde mais pas de la matière) afin
de faire émerger la notion d’onde mécanique.
Durée estimée
● 30 minutes.
Lien avec le programme

● Décrire, dans le cas d’une onde mécanique progressive, la propagation d'une
perturbation mécanique d'un milieu dans l'espace et au cours du temps : houle,
ondes sismiques, ondes sonores, etc.
Compétences
➔ APP : Extraire l’information utile
➔ RAI/ANA : Utiliser des documents pour répondre à une problématique
Réponse détaillée
1. Avant le contact avec le caillou, la surface de l’eau est plate et paisible. Le choc crée
une vague qui s’étend, contrastant avec le calme et l’homogénéité précédents. Cette
vague est la marque visible de la modification de l’état de la surface de l’eau, on l’appelle
perturbation.

2. La perturbation (qui est visible sous la forme de la vaguelette) s’éloigne
progressivement de l’endroit où elle a été créée (l’origine, c’est-à-dire l’endroit où le
caillou est entré en contact avec l’eau). On le voit à l’augmentation du diamètre du cercle
qui se forme. Cet éloignement par rapport à la source constitue la propagation.

3. Doc. 2 : la perturbation est la « bosse » imposée sur la corde.
Doc. 3 : la perturbation est l’ondulation (déformation) du sol, verticalement ou
horizontalement suivant le type de l’onde.

2
4. Lorsque la vague arrive, elle soulève verticalement le bouchon mais ne l’emporte pas
avec elle. Le bouchon suit la forme de la vague sans être emporté horizontalement par
elle.

5. Les ondes mécaniques ne peuvent exister que dans un milieu (eau, air, métal etc.)
tandis que les ondes électromagnétiques peuvent exister dans le vide.

Synthèse de l’activité
Une onde mécanique est une perturbation qui se déplace (on dit « qui se propage ») dans
un milieu matériel, mais qui n’emporte pas avec elle les objets qu’elle rencontre. Elle les
fait bouger localement mais ils reviennent à leur place initiale. La matière (donc le milieu)
est nécessaire pour que l’onde existe.

Activité expérimentale 2 : Deux smartphones pour mesurer

une célérité (numérique)
Présentation
L’activité permet de calculer une valeur expérimentale de la célérité du son, en utilisant
deux smartphones en chronomètres déclenchés par l’onde sonore.
Temps prévu
● 55 minutes environ : la réalisation pratique (les mesures) est assez courte mais la
compréhension du protocole est plus complexe.

● Déterminer, à l’aide d’un microcontrôleur ou d’un smartphone, une distance ou la
célérité d’une onde.
Compétences
➔ RÉA : Mettre en œuvre un protocole
➔ VAL : Analyser un résultat numérique
Résultat des expériences

On appelle la durée mesurée par le smartphone (le premier à se déclencher et le
dernier à s’arrêter) et celle mesurée par le smartphone .
La distance m. Certains smartphones sont moins réactifs que d’autres. Il est
intéressant de placer d’abord les deux appareils l’un à côté de l’autre et de vérifier si
deux bruits secs donnent les mêmes mesures d’intervalle de temps sur chacun d’eux.
La sensibilité est réglable sur l’application. Attention aux échos éventuels qui pourraient
arrêter un appareil avant le délai « normal ».
3
- c
Mesure 1 1,991 s 1,960 s 0,031 s 323 m·s-1
Mesure 2 2,843 s 2,813 s 0,030 s 333 m·s-1
Nouvelle vague de mesures avec .
- c
Mesure 1 0,853 s 0,822 s 0,031 s 333 m·s-1
Mesure 2 0,894 s 0,864 s 0,030 s 344 m·s-1
2. On appelle la durée mesurée par le smartphone (le premier à se déclencher et
le dernier à s’arrêter) et celle qui est mesurée par le smartphone .
En sachant que la durée mise pour parcourir , alors :
et .

3. .
La différence entre ces deux durées est donc la durée mise par le son pour parcourir deux
fois la distance d
entre les deux smartphones.

4. On en déduit que . Les résultats de deux mesures sont donnés

ci-dessus.

5. Suivant l’endroit où est créé le « clap », il peut y avoir une légère variation de distance
par rapport à la valeur mesurée. La position exacte du capteur du smartphone ou de la
tablette est difficile à repérer. Mais les différents tests et les mesures obtenues montrent
que l’influence de la position de la source du « clap » est négligeable. Dans les mêmes
conditions, les valeurs (ou plutôt l’écart entre les mesures par les appareils) ne sont pas
vraiment reproductibles. On en déduit que les imprécisions viennent essentiellement de
l’électronique et de la réactivité des téléphones, ou du moins de leurs applications.
Plusieurs mesures dans des conditions quasi-identiques peuvent donner des écarts de
quelques centisecondes, ce qui entraîne des écart importants après calcul.
Ici, c’est donc la précision et la sensibilité des appareils qui semblent être la limite de la
technique. La position de la source des « claps », un peu au-dessus de l’horizontale par
rapport aux smartphones n’a que très peu d’incidence.
4
On place deux smartphones ou tablettes à une distance connue et mesurée l’un(e) de
l’autre. Dans leur alignement, le premier expérimentateur fait un bruit fort et sec, qui va
déclencher les deux chronomètres l’un après l’autre.
Ensuite (à n’importe quel instant), l’autre expérimentateur situé derrière le deuxième
appareil fait de même un bruit fort et sec ; l’onde sonore générée doit arrêter les deux
chronomètres. La différence des deux mesures permet, par calcul, de déterminer la
célérité du son dans l’air.
Pour des mesures de qualité, il faut d’abord vérifier que les deux appareils donnent des
résultats cohérents lorsqu’ils mesurent une même durée, pour vérifier leur exactitude.
Il faut faire attention aux bruits extérieurs qui pourraient contrarier les résultats en
déclenchant les chronomètres à des instants inopportuns.
Pour éviter toute erreur expérimentale liée à la disposition des appareils, il faut bien
respecter l’alignement du doc. 2 de l’activité. La distance entre les deux smartphones doit
être effectivement parcourue par les deux ondes sonores avec passage par les capteurs
des appareils.

Activité expérimentale 3 : Modéliser une onde mécanique

avec Python (numérique)
Présentation
L’objectif est de comprendre l’influence des différents coefficients qui apparaissent dans
la modélisation mathématique d’une onde sinusoïdale, en observant leur effet sur une
représentation graphique de l’onde. Cette représentation graphique s’appuie sur un script
Python. Il n’est pas demandé à l’élève de concevoir le script, puisque celui-ci est donné. Il
s’agit de l’analyser et le modifier pour intervenir sur la représentation graphique de
l’onde modélisée. Iil s’agit davantage d’une modélisation que d’une simulation.
Durée estimée
● 45 minutes

● Capacités numériques : Représenter un signal périodique et illustrer l’inﬂuence de
ses caractéristiques (période, amplitude) sur sa représentation. Simuler à l’aide
d’un langage de programmation, la propagation d’une onde périodique.
● Capacité mathématique : Utiliser les représentations graphiques des fonctions
sinus et cosinus.
Compétence
➔ MATH : Utiliser un langage de programmation

5
1. Le code du programme :
import numpy as np
import matplotlib.pyplot as plt
from matplotlib.animation import FuncAnimation

fig,ax = plt.subplots(figsize=(10,5))
ax.set(xlim=(0,3), ylim=(-1,1))
plt.xlabel('X (cm)',fontsize=16)
plt.ylabel('Y',fontsize=16,rotation='horizontal')
x=np.linspace(0,3,300)
t=np.linspace(1,2,300)
X2,T2 = np.meshgrid(x,t)

#paramètres de l'onde
A = 0.9
v = 2
T = 0.25
k = 2*np.pi / (v*T) #vecteur d'onde
F = A*np.sin(2*np.pi/T*T2-k*X2) # F fonction de deux variables
line = ax.plot(x,F[0,:],color='r',lw=2)[0]

def animate(i):
line.set_ydata(F[i,:])
line.set_xdata(x)

anim = FuncAnimation(fig,animate,interval=50,frames=300)
plt.show()

2. Graphiquement, l’amplitude est de 0,9. La longueur d’onde, distance séparant deux
points de l’espace au même état vibratoire (deux maxima par exemple) est de 0,5 cm.

3. Les noms des variables sont assez explicites. L’amplitude est stockée dans la variable A.
Cette variable se retrouve devant le sinus dans l’expression de F.
La période temporelle T est stockée dans la variable T. On peut s’en assurer en observant
le calcul du coefficient k
, qui intervient dans l’argument du sinus : k = 2*np.pi/(v*T), soit
en notation mathématique : .

4. Changement de l’amplitude : comme on ne change pas l’échelle des ordonnées,
augmenter l’amplitude au delà de 1 fait « sortir » la courbe de la zone de dessin et les
extrema sont tronqués.
Changement de période : augmenter la période temporelle revient à augmenter la
période spatiale représentée sur la courbe, puisque les deux sont proportionnelles. Les
6
alternances sont plus « larges ». On remarque l’inverse si l’on diminue la période

temporelle.

5. Selon les paramètres de la courbe dans le script, T
= 0,25 et v = 2.
D’après le doc. 4, , soit . On retrouve la valeur mesurée,
mais les unités n’étant pas précisées, on ne peut pas connaître l’unité de .

6. La ligne de code correspondant au calcul des valeurs de la fonction d’onde est la ligne
commençant par F : F = A*np.sin(2*np.pi/T*T2-k*X2).

Les limites de la représentation numérique sont le nombre de valeurs forcément fini
d’une part mais aussi le fait que les valeurs ne peuvent évoluer continûment et sont
nécessairement quantifiées d’autre part. Il est également difficile de simuler de façon
simple la diminution de l’amplitude de l’onde au cours du temps.
Une onde mécanique réelle ne peut se propager avec une amplitude constante, car il y a
toujours une perte d’énergie au cours de cette propagation du fait des frottements ou de
l’interaction avec d’autres milieux, ce qui occasionne une diminution de l’amplitude.
Cours
Voir le bilan page 328 du manuel élève (LLS.fr/PC1P328).
7
Exercices
QCM

1. Une onde mécanique progressive
1. U ne onde mécanique progressive :
B. nécessite un milieu pour se propager.
2. La perturbation transporte avec elle :
A. uniquement de l’énergie.
3. L ’amplitude d’une onde est :
B. l’écart maximal des particules du milieu par rapport à leur position avant le
passage de l’onde.
4. Un signal sonore est une onde :
A. longitudinale.

2. Les grandeurs physiques associées à la propagation

1. L a célérité de l’onde est :
C. la vitesse de l’onde.
2. Le retard se mesure en :
C. seconde.
3. L a célérité dépend :
B. du milieu et du type d’onde.

3. Les ondes mécaniques périodiques

1. O n ne peut mesurer un période sur un graphique représentant une sinusoïde :
A. que si l’abscisse est le temps t .
2. Une onde sinusoïdale :
A. est forcément périodique.
3. P our une onde sinusoïdale :
B. = v · T.
4. La périodicité temporelle correspond à :
A. la période de l’onde.

4. Jeopardy Propositions de questions :

a. Q uelle est la condition nécessaire pour qu’une onde mécanique puisse se propager ?

b. C omment s’appelle la distance entre les deux points les plus proches du milieu de
propagation qui oscillent de la même façon lorsqu’une onde périodique se propage ?

8
Pour s’échauffer

5. Exemples d’ondes
◆ L’intruse est la lumière : en effet, c’est la seule qui ne représente pas une onde
mécanique. Elle est la seule à ne pas nécessiter de milieu de propagation.

6. Propagation d’une perturbation
◆ Lors d’une o la, une série de spectateurs se lève dans les tribunes et se rassoit ensuite
tandis que les voisins font de même avec un petit décalage temporel. La perturbation est
le lever des personnes. La propagation est matérialisée par les personnes qui se lèvent à
leur tour par le fait après que les précédentes se sont assises,. C’est « le fait de se lever »
qui se propage de proche en proche.
On notera que ce n’est pas une onde mécanique parce qu’il n’y a pas transport d’énergie.

7. Distance
◆ À partir de la formule de la célérité : alors avec

d = 34 min = 34 × 60 = 2 040 s, donc .

8. Retard
◆ Le retard est défini comme la durée mise par l’onde pour parcourir la distance
donnée. .
Attention à l’unité de la distance, qui doit être en m.

9. Période et fréquence
◆ La période .
◆ La fréquence .

10. Longueur d’onde
◆ La relation qui lie les trois grandeurs est .
9
Pour commencer

11. Onde et transport d’énergie
➔ APP : Maîtriser le vocabulaire du cours

◆ Exemples :
- onde sonore : soumise à des ondes sonores trop intenses, l’oreille peut se
dégrader ce qui peut causer des problèmes auditifs. Les constituants de l’oreille
reçoivent bien de l’énergie ;
- onde mécanique à la surface de l’eau : un bateau se soulève au passage de la
vague, et gagne donc de l’énergie potentielle de pesanteur. Cette énergie lui est
fournie par l’onde ;
- onde sismique : elle peut détruire des bâtiments, sectionner des routes ou de la
roche. Cela ne peut se faire sans énergie transférée de l’onde vers la matière.

12. Détecteurs d’ondes sonores

◆O n peut citer :
- le microphone : il convertit l’onde sonore en signal électrique exploitable ;
- le décibelmètre : il affiche le niveau d’intensité sonore de l’onde grâce à un
capteur sensible à celle-ci ;
- le transducteur ultrasonique (de la photo) : il permet de convertir l’onde sonore, si
elle est dans le domaine de fréquence adéquat, en signal électrique analysable
par un système électronique.

13. Isolation phonique

1. L ’énergie des ondes sonores est (en partie) absorbée par les bouchons. Ceux-ci, faits
d’un matériau souple, utilisent cette énergie pour modifier leur structure (en se
déformant microscopiquement), autant d’énergie sonore qui ne sera pas transmise à
l’intérieur de l’oreille.

2. Un brise-lame est une construction, sur le littoral, visant à protéger de l’érosion et de la
destruction ce qui se trouve derrière lui. À l’entrée d’un port, il permet d’absorber une
partie de l’énergie des vagues pour protéger les bateaux et les pontons.

10
14. Calcul de retard


1. L e retard correspond à la durée écoulée entre l’émission du son (à la gare, lorsque le
train démarre) et la réception de celui-ci par l’oreille située à d
= 6,5 km plus loin.

2. De la même façon,

Remarque : le son ne sera sans doute pas entendu dans l’air du fait de l’atténuation liée à
la dispersion de l’énergie.

15. Célérité de l’onde dans un câble
➔ VAL : Respecter les chiffres significatifs

1. E
n appuyant sur le câble, on écarte celui-ci de sa position d’équilibre (sa position
« standard ») en le déformant. On lui communique de l’énergie (potentielle élastique ici).
C’est cet écart qui se déplace ensuite de proche en proche.

2.

3.

16. Évacuation du littoral
➔ VAL : Respecter les chiffres significatifs

◆

17. Électrocardiogramme
➔ APP : Extraire l’information utile sur supports variés

1. C
es signaux sont associés aux battements du cœur.

2. Ce sont au départ des signaux électriques : des messages nerveux permettent la
contraction du muscle cardiaque.

11
3. On peut considérer qu’ils sont périodiques parce que la forme des signaux est
répétitive dans le temps (bien que l’on constate une légère différence : on devrait
d’ailleurs plutôt les qualifier de « pseudo-périodiques »).

4. On compte 14,5 carreaux pour 4 périodes ; on obtient donc :

5. À partir de la période T
, on déduit la fréquence tel que :

La fréquence étant le nombre de périodes par seconde, la valeur en bpm (battements par
minute) est obtenu en multipliant la fréquence par soixante : .

18. Le diapason

1. L a période se lit sur le graphique : .
Donc . D’après le tableau, cette note est un La3.

On pourra rappeler à cette occasion que l’analyse de la période et de la fréquence du son
permet ainsi d’accorder les instruments de musique.

2. La longueur d’onde est donnée par :
.

19. Ultrasons

1. L e signal est sinusoïdal (donc périodique).

2. Le temps étant en abscisse, la courbe observée sur le graphe représente la période
temporelle ou période.

3. O
n mesure la période : donc .
On calcule alors la fréquence :

4. L a longueur d’onde vaut :
12
Différenciation
Savoir-faire : Exploiter la relation entre durée de propagation, distance parcourue et
célérité
20. Le radar de recul


Objectif : manipuler la définition de la vitesse moyenne de l’onde dans le cas d’un écho.

1. Schéma de la situation :

2. La relation entre la distance à l’obstacle d, la célérité des ultrasons et la durée
entre l’émission et la réception : .

3. Calcul de ∆t pour d = dmin : .

On est bien, aux chiffre significatif près, à la valeur de .

4. En dessous de d min, la valeur de ∆t (durée pour l’aller-retour) sera inférieure à la durée
de la salve. C’est-à-dire que la salve sera encore en cours d’émission quand son début
sera déjà de retour. Comme l’émetteur ne peut être en même temps récepteur, le signal
ne sera alors pas exploité.

5. Il faudrait diminuer la durée des salves (les « raccourcir »).

21. Le sonar
➔ VAL : Chiffres significatifs

Objectif : manipuler la définition de la vitesse moyenne de l’onde dans le cas d’un écho,
mais en étant moins guidé.

1. Quand elle rencontre le fond, l’onde ultrasonore est réfléchie : elle revient vers
l’émetteur en faisant le parcours inverse.

13
2. Schéma du trajet de l’onde lorsque l’émetteur envoie des ultrasons vers le bas :

3. L’onde fait un aller-retour, soit 2 h
, durant ∆t.
d’où

22. Le détecteur d’obstacle

Objectif : Exploiter les données d’un oscillogramme après avoir compris l’intérêt qu’il
représente et son lien avec le problème posé.

◆S ur l’oscillogramme deux salves d’ultrasons sont visibles : en orange, la salve émise
(chronologiquement en premier), et en vert la salve reçue (plus longue en raison sans
doute d’échos successifs entre l’obstacle et le robot, entre lesquels l’onde ultrasonore
fait des allers-retours).
La durée écoulée entre l’émission et la réception est la durée mesurée entre le début de
la salve orange et le début de la salve verte, soit 2,0 divisions qui correspondent à
.
Cette valeur est la durée du trajet des ultrasons pour aller de l’émetteur au récepteur
après réflexion sur l’obstacle. La distance robot-obstacle D est donc parcourue deux fois.
La définition de la vitesse moyenne des ultrasons donne :
d’où .
14
Pour s’entraîner
23. Mise en application

➔ RAI/ANA : Utiliser des mesures pour répondre à une problématique

◆ On suppose, par la suite, et comme le suggère l’énoncé, que la fréquence f de l’onde
ne varie pas.
or donc
Ce qui donne d’où
D’où .
On calcule la nouvelle hauteur d’eau h

’ pour :
.
24. Une gouttière percée

➔ VAL : Chiffres significatifs

1. L’onde est mécanique progressive parce qu’il s’agit d’une perturbation qui se propage :
les cercles sont de plus en plus grands. Elle est également périodique puisqu’une
nouvelle onde est créée à chaque fois qu’une goutte tombe, c’est-à-dire à un intervalle de
temps régulier qui définit une période.

2. La fréquence correspond au nombre de phénomènes qui se produisent chaque
seconde. Ici 72 gouttes tombent par minute, donc 60 fois moins en une seconde.
Ainsi, .

3.

4. D’après l’énoncé la distance vaut d = 20 cm.
Cette distance est aussi la longueur d’onde .

5. Par définition il s’est écoulé une période T , soit 0,83 s.

6. La célérité vaut .

15
25. La corde de Melde


1. L a lame a la même période, donc la même fréquence, que l’électroaimant. Alors :
.
2.

3. L e système vibre à 100 Hz, une fréquence sonore audible. On entend un son car la lame
fait sans doute (ainsi que le reste du montage) office de caisse de résonance. Le son est
grave car 100 Hz correspond à une basse fréquence, c’est-à-dire une hauteur grave.

26. Un bain énergétique
➔ APP : Formuler le résultat attendu

1. L ’énergie potentielle d’un corps est modélisée par à une altitude z
par rapport à l’origine choisie. Ici z = h donc
.

2. L’origine de cette énergie est l’onde elle-même, qui la transporte.

3. N on, cette énergie ne la pas gagnée définitivement puisque Claudia revient finalement
à son altitude initiale après le passage de l’onde.

4. .

27. Ondes mécaniques en QCM

1. L a célérité d’une onde s’exprime en :
b. mètre par seconde.

2. La longueur d’onde d’une onde sinusoïdale :
a. est la distance parcourue pendant une période.

3. L ’onde sonore est une onde de pression. Cela signifie que :
b. la grandeur physique perturbée est la pression.

4. S i on absorbe l’énergie d’une onde :
c. elle disparaît.

16
5. L a double périodicité fait référence à :

a. une onde sinusoïdale.

6. L e retard :
c. augmente si on est plus éloigné de la source.

7. U
ne onde est mécanique :
b. p arce qu’elle nécessite un milieu pour se propager.

28. Comprendre les attendus La corde de guitare
1. A
pplication de la définition : .

2. On a alors
3. O n lit T = 3,0 ms sur le graphique. On en déduit

4. O n cherche à atteindre une fréquence plus basse, il faudra donc détendre la corde.

29. Télémètre à compteur d’impulsions

1. L a longueur d’onde des ultrasons produits par l’appareil vaut :

2. Pendant la durée d’une période, l’onde parcourt une longueur d’onde. Donc pendant la
durée de N p ériodes, l’onde aura parcouru N
longueurs d’onde soit la distance
.

3. .

4. C
ette distance représente, pour l’onde, un aller et un retour. La distance d
entre
l’appareil et le mur est donc deux fois plus petite : .
17

30. Copie d’élève à commenter

1. L ’erreur n’est ni dans la formule ni dans le calcul, mais dans l’unité et l’affichage des
résultats : v est en m·s-1. De plus, d et étant issus de mesures ayant deux chiffres
significatifs, le résultat du calcul doit en avoir deux lui aussi. Donc v = 4,6 m·s-1.

2. La période est une durée, elle s’exprime en secondes. Ici il s’agit de la période spatiale
ou longueur d’onde = 72 cm. La fréquence est définie par
.

3. U
ne onde est périodique si la perturbation en un point de l’espace se reproduit de
manière identique à intervalle de temps régulier. Il n’y a aucun lien avec un éventuel
retour de l’onde vers son point de départ.

4. Une o
nde périodique n’est pas forcément sinusoïdale : elle peut avoir une « forme »
quelconque ; la périodicité nécessite uniquement que cette forme soit composée de
« motifs » qui se répètent.

Pour aller plus loin
31. Modélisation d’une onde avec Python

➔ MATH : Utiliser un langage de programmation

1. L’onde a la même amplitude et la même fréquence, mais se déplace dans le sens
contraire.

2. À partir du code de la p. 324 :
- créer une deuxième fonction (notée F2 ici, F1 étant l’onde qui se propage dans le
sens des x positifs) avec le signe changé dans la parenthèse, tout le reste demeure
identique. Elle correspond à une onde avec les mêmes paramètres mais qui se
déplace dans le sens contraire ;
- créer une fonction F3 qui sera la somme de F1 et de F2, correspondant à la
superposition des deux ondes ;
- modifier la définition de line (en remplaçant F par F3) et faire de même dans la
fonction d
ef animate.

import numpy as np
import matplotlib.pyplot as plt
from matplotlib.animation import FuncAnimation

fig,ax = plt.subplots(figsize=(10,5))
18
ax.set(xlim=(0,3), ylim=(-1,1))
plt.xlabel('X (cm)',fontsize=16)
plt.ylabel('Y',fontsize=16,rotation='horizontal')
x=np.linspace(0,3,300)
t=np.linspace(1,2,300)
X2,T2 = np.meshgrid(x,t)

#paramètres de l'onde
A = 0.4
v = 2
T = 0.25
k = 2*np.pi / (v*T) #vecteur d'onde
F1 = A*np.sin(2*np.pi/T*T2-k*X2) # F1 fonction de deux variables
F2 = A*np.sin(2*np.pi/T*T2+k*X2) # F2 fonction de deux variables
F3 = F1 + F2 #F3 sera la somme des deux ondes
line = ax.plot(x,F3[0,:],color='r',lw=2)[0] #changer F en F3

def animate(i):
line.set_ydata(F3[i,:]) #changer F en F3
line.set_xdata(x)

anim = FuncAnimation(fig,animate,interval=50,frames=300)
plt.show()

L’onde obtenue est une onde stationnaire : on ne la voit plus se propager mais elle
« oscille » sur place. À certains instants, il n’y a plus du tout d’onde visible, les valeurs
sont à zéro.

32. Caractéristiques d’une sinusoïde
➔ MATH : Utiliser des outils mathématiques : fonction périodique

1. Après avoir tracé les fonctions dans la calculatrice, les courbes suivantes sont obtenues
avec : f en rouge, g en bleu et h en vert.
19
2. En s’appuyant sur la période lue graphiquement, donc la fréquence

.
La période de g est identique à celle de f donc , ainsi .
La période de h vaut donc . Sa période est deux fois
plus petite que les deux autres, sa fréquence est donc deux fois plus élevée.

3. Le coefficient qui est multiplié par 2π correspond à la fréquence de la fonction.

4. Le coefficient placé devant la fonction sinus influe sur l’amplitude de la fonction.

5. L’ajout d’un coefficient comme dans z(x) = sin((2π × 1000)x + 10) décale la courbe selon
l’axe des abscisses. Ce coefficient (appelé déphasage) correspond à un décalage dans le
temps des valeurs prises par la fonction : l’onde arrive plus tard ou plus tôt. Son unité
serait donc la seconde.

33. Helmholtz et l’influx nerveux
➔ RAI/ANA : Utiliser des documents pour répondre à une problématique

1. Helmholtz évoque l’excitation du nerf lorsqu’il parle d’irritation.

2. La perturbation qui se propage dans le cas de l’onde nerveuse est l’inversion de
polarité entre l’intérieur et la surface du nerf.

3. La célérité est donnée par .

4. L’entrée des ions sodium permet la propagation de proche en proche du phénomène ;
en l’absence de celle-ci, il n’y a plus d’onde (ou d’influx) nerveux le long de l’axone.

20
5. L’usage principal de ces substance en médecine est d’empêcher la transmission de
douleur ou de réflexes (endormir localement).

6. Dans le fil conducteur, ce sont des électrons libres qui se déplacent de proche en
proche partout et simultanément dans le conducteur. Dans le cas d’un influx nerveux, les
ions sont échangés localement entre l’intérieur et l’extérieur de l’axone : c’est l’échange
d’ions qui se propage, pas les ions.

34. Détermination de la vitesse du son
➔ APP : Formuler le résultat attendu

1. Les deux sons successifs sont ceux du même choc : l’un est lié à l’onde sonore dans l’air
et l’autre est lié à l’onde sonore dans le tube, ce qui explique qu’il perçoit deux sons.

2. On ne peut pas considérer que le décalage entre les deux sons soit le retard de l’onde
car le retard est le décalage temporel entre deux points sur le passage d’une onde unique
alors qu’ici on parle de deux ondes distinctes. Par contre, t (le décalage temporel entre
l’arrivée à l’oreille des deux ondes) est la différence des retards de chaque onde entre
leur émission et leur arrivée au bout du tube.
, avec le décalage temporel entre l’émission du son à

une extrémité du tube et sa réception à l’autre extrémité.

3. À partir de la relation précédente : d’où = =
.

35. De l’intérêt de la fonction sinusoïde
➔ MATH : Utiliser des outils mathématiques : fonction périodique
➔ VAL : Analyser son résultat numérique

1. Un exemple de courbe obtenue :
21
2. Les trois fonctions dont la somme donne la représentation graphique précédente sont :
●
●
●
Le résultat donne une fonction qui est périodique et non sinusoïdale.

3. On considère l’incertitude qui porte en effet sur le dernier
chiffre. Alors : .

4. La fréquence calculée est la fréquence , c’est-à-dire la fréquence de la première
fonction sinus choisie et dont toutes les autres fréquences sont des multiples.

5. Si le logiciel peut décomposer un signal de son périodique en ses diverses sinusoïdes,
ces dernières seront différentes suivant le son (même si leurs fréquences sont
identiques). Ce sont ces différences qui caractérisent le timbre de voix et qui permettra
alors de distinguer la voix de deux personnes.

36. Ondes sismiques
➔ RAI/ANA : Élaborer un protocole
➔ MATH : Effectuer un calcul littéral

1. La définition se calcule tel que .

22
2. La différence représente la différence entre la durée de trajet de chacune des

deux ondes, donc la durée écoulée entre le passage de la première onde (P) et le passage
de la deuxième onde (S).

3.
donc ,
alors .

4. Pour la station Iris : alors
.
Pour la station Detroit : alors
.

5. L’enregistrement par une station permet d’obtenir la distance de celle-ci par rapport à
l’épicentre. Ce dernier est donc situé sur un cercle d dont le centre est la position de la
station.
Comme il y a deux stations, l’épicentre se trouve à l’intersection des deux cercles obtenus
ce qui laisse deux points possibles, deux cercles concourants se coupant en deux points.
Pour les « départager » et localiser l’épicentre, il faudrait un troisième cercle, donc une
troisième station.
Problèmes à résoudre

37. Mesure de la célérité d’une onde sonore

1. La célérité du son dans l’huile (1 600 m·s-1) est plus élevée que la célérité du son dans
l’air (340 m·s-1). L’onde qui se propage dans le tube contenant l’huile arrivera donc la
première, le récepteur B recevra le premier un signal. Le temps entre la détection de ce
signal sur le récepteur B et la détection du signal sur le récepteur A correspond à l'écart
que l’on cherche à mesurer.

2. Courbe obtenue :
23
3. L a durée mise par l’onde pour aller de l’émetteur au point A, dans l’air, est : .
La durée pour aller de l’émetteur au point B, dans l’huile, se calcule tel que :
.
représente la durée écoulée entre les deux signaux, donc :

.

4. L a relation entre et L est une fonction linéaire dont le coefficient directeur est

À partir de la courbe tracée en 2 ., presque linéaire, on peut déterminer graphiquement le
coefficient directeur k correspondant aux valeurs expérimentales.
.
.
Cette célérité est inférieure à l’intervalle de données correspondant à une huile pure. On
peut donc affirmer qu’elle n’est pas pure mais diluée avec une autre huile.

24
38. Superposition d’ondes de surface


1. L es effets des vagues vont s’ajouter et les déformations vont s’additionner.

2. Les deux sources se situent aux deux extrémités et émettent des ondes (les vagues) de
façon synchronisée. Ainsi, le centre de la cuve recevra à chaque instant deux vagues
identiques : l’une venant de droite, l’autre venant de gauche.
La superposition de ces deux vagues, quel que soit l’instant, donnera un effet « double »
par rapport à l’effet d’une seule vague.
Pour qu’il n’y ait pas de vague en ce point, il faut qu’à chaque instant les effets des deux
vagues qui se rencontrent se compensent : lorsque celle de gauche est à son maximum,
celle de droite doit être à son minimum.
Le maximum et le minimum de la vague est séparé d’une distance d’une demi-longueur
d’onde, il faut donc décaler la source de droite (vibreur 2) de cette distance.
La longueur d’onde vaut : .

Il faut déplacer le vibreur 2 de vers la gauche.

Remarque : le point où il n’y aura pas de vague sera toujours le point central de la cuve,
mais ne sera plus à égale distance des deux vibreurs.

Retour sur l’ouverture du chapitre (esprit scientifique)

39. D es ondes mécaniques variées

1. Le point commun entre les vagues, les sons et les séismes est que ces trois
phénomènes sont des ondes mécaniques qui se propagent depuis leur source.

2. Plusieurs caractéristiques les distinguent : leur célérité peut être bien différente, tout
comme leur amplitude, mais surtout l’énergie qu’elles transportent est différente. Un
séisme - et l’onde sismique associée - transporte beaucoup plus d’énergie que les ondes
sonores des objets ou phénomènes les plus bruyants.
25

PC 1SPE3 S7 ZAOUI Chapitre16

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Livre du professeur - PC 1re - Chapitre 16 : Ondes mécaniques

Chapitre 16 : Ondes mécaniques

Place dans la progression

Place dans la progression 1

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Activité d’exploration 1 : Des ondes bien différentes

Lien avec le programme

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Activité expérimentale 2 : Deux smartphones pour mesurer

Lien avec le programme

Résultat des expériences

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Mesure 1 1,991 s 1,960 s 0,031 s 323 m·s​-1

Mesure 2 2,843 s 2,813 s 0,030 s 333 m·s​-1

Nouvelle vague de mesures avec .

Mesure 1 0,853 s 0,822 s 0,031 s 333 m·s​-1

Mesure 2 0,894 s 0,864 s 0,030 s 344 m·s​-1

En sachant que la durée mise pour parcourir , alors :

4.​ On en déduit que . Les résultats de deux mesures sont donnés

Activité expérimentale 3 : Modéliser une onde mécanique

Lien avec le programme

alternances sont plus « larges ». On remarque l’inverse si l’on diminue la période

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◆​ À partir de la formule de la célérité : alors avec

◆​ La relation qui lie les trois grandeurs est .

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14.​ Calcul de retard

2.​ De la même façon,

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Donc . D’après le tableau, cette note est un La​3​.

On calcule alors la fréquence :

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20. Le radar de recul

entre l’émission et la réception : .

3.​ Calcul de ∆​t​ pour ​d​ = ​d​min​ : .

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23.​ Mise en application

On calcule la nouvelle hauteur d’eau h

24.​ Une gouttière percée

6.​ La célérité vaut .

25.​ La corde de Melde

5.​ L​ a double périodicité fait référence à :

2.​ ​On a alors

3.​ O ​ n lit ​T​ = 3,0 ms sur le graphique. On en déduit

l’appareil et le mur est donc deux fois plus petite : .

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Pour aller plus loin

31.​ Modélisation d’une onde avec Python

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2.​ En s’appuyant sur la période lue graphiquement, donc la fréquence

3.​ La célérité est donnée par .

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, avec le décalage temporel entre l’émission du son à

3.​ À partir de la relation précédente : d’où = =

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chiffre. Alors : .

1.​ La définition se calcule tel que .

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2.​ La différence représente la différence entre la durée de trajet de chacune des

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Mesure 1 1,991 s 1,960 s 0,031 s 323 m·s-1

Mesure 2 2,843 s 2,813 s 0,030 s 333 m·s-1

Mesure 1 0,853 s 0,822 s 0,031 s 333 m·s-1

Mesure 2 0,894 s 0,864 s 0,030 s 344 m·s-1

4. On en déduit que . Les résultats de deux mesures sont donnés

◆ À partir de la formule de la célérité : alors avec

◆ La relation qui lie les trois grandeurs est .

14. Calcul de retard

2. De la même façon,

Donc . D’après le tableau, cette note est un La3.

3. Calcul de ∆t pour d = dmin : .

23. Mise en application

24. Une gouttière percée

6. La célérité vaut .

25. La corde de Melde

5. L a double périodicité fait référence à :

2. On a alors

3. O n lit T = 3,0 ms sur le graphique. On en déduit

31. Modélisation d’une onde avec Python

2. En s’appuyant sur la période lue graphiquement, donc la fréquence

3. La célérité est donnée par .

3. À partir de la relation précédente : d’où = =

1. La définition se calcule tel que .

2. La différence représente la différence entre la durée de trajet de chacune des

38. Superposition d’ondes de surface