Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
Partie 1 _________________________________________________________________________ 6
I. Présentation de SOTEMAG ___________________________________________________________ 7
1. Présentation général ________________________________________________________________________ 7
2. Fiche Technique de la société : ________________________________________________________________ 8
3. Organigramme de la société : _________________________________________________________________ 9
4. Présentation de l’usine de SOTEMAG : _________________________________________________________ 10
partie 4 : Etude et conception des plaques modèle et des noyaux de une turbine de la pompe __ 49
IV. Généralités : ____________________________________________________________________ 49
Dessin définition : ___________________________________________________________________________ 49
Caractéristique des matériaux utilisés de la pièce étudiée : __________________________________________ 51
1. Positionnement de la pièce dans le moule : ___________________________________________________ 51
2. Détermination du plan de joint : _____________________________________________________________ 51
3. les règles du tracé : ________________________________________________________________________ 52
Annexes ________________________________________________________________________ 70
Pour la même occasion, nous tenons à remercier vivement Mr KARIMI le directeur des
ressources humain, Mr BIZOULA HASSAN, responsable de la maintenance pour ses encouragements,
ses coopérations et ses précieux conseils qu’ils nous ont portés tout au long de stage. Ainsi que tous
les techniciens du service maintenance, les tourneurs, les soudeurs de l’unité d’usinage, et les
électriciens.
Enfin, Nous remercions également tous les personnels qui, d’une façon ou de d’une autre a
contribué à la réussite de ce stage.
Nos Chers parents, pour leurs affections, leurs patiences et leurs prières, Nos frères et sœurs
pour leurs amours.
A tous les enseignants, de l’Ecole Normale Supérieur de l’Enseignement Technique de Rabat,
à tous les personnels de la Société SOTEMAG, ainsi A tous Ceux qui nous ont aidés
de leurs temps et leurs Connaissances pour satisfaire nos interrogations.
en fin a tous mes amis (e) en témoignage de notre sincère amitié.
De nos jours l’utilisation des pompes dans la vie industrielle et agricole s’avère une nécessite
de premier ordre. Ces appareils interviennent de manière plus en plus concrète dans divers domaines,
exemple : les barrages, les avions, les stations de pompages, les stations d’essence, les voitures, les
stations de pompage…etc. par suite, chaque ingénieur devra maitriser son mode de fonctionnement car
il en sera confronté dans le monde du travail qu’est-ce qu’une pompe? Comment fonctionne cet
appareil ? Qu’elles sont ses principaux composants ? Et comment se déroulent les étapes de sa
fabrication ? Ces questions-là seront ainsi traites dans ce rapport de stage,
Le stage que j’ai pu effectuer au sein de la société SOTEMAG spécialisée dans la vente et la
fabrication des pompes à axe vertical, maintenant la société fabrique aussi des pompes centrifuges. Ce
stage M’permet de choisir et de traité deux sujets différents le premier servent à dimensionner une
pompe pour une station de pompage, et le deuxième se déroule sur ce qui concerne la méthode de
moulage en sable de la roue de pompe centrifuge.
1. PRESENTATION GENERAL
Cette usine est équipée d’un matériel solide adaptable, qui peut satisfaire toute
demande des marchés marocains.
d’Aït Melloul
Télex : 852614
CNSS : 1.474.767
TVA : 254473
Usine SOTEMAG
Unité
Tube
Unité
Fonderie
Unité
Usinage
Unité
Montage
Unité
Elément
A. LA TETE :
La tête de pompe est très robuste, elle est conçu de manière à supporter le poids de la pompe entière
par l’intermédiaire de la colonne montante qui lui est serrée à la partie inférieure dite manchette. Elle
B. LA COLONNE MONTANTE :
Elle comprend la colonne en (E 24) ou en Galvanisé, les arbres sont en acier inoxydable, et des
stabilisateurs en fonte grise, usinés avec des tolérances fermes et munis de paliers en caoutchouc.
Lubrifiée à l’eau, la colonne assure la conduite des eaux montantes poussées par les turbines.
C. LE CORPS :
Il est du type multi-diffuseurs en fonte grise (Ft 25) à grains serrés, usiné avec des tolérances fermes
et placés avec des coussinets en caoutchouc. L’arbre de corps est en acier inoxydable poli, dont la
longueur dépend du nombre des diffuseurs. Les impulseurs sont en fonte grise (Ft 25), Ils sont usinés
avec précision et soumis à un équilibrage dynamique avant d’être fixés à l’axe du diffuseur par
manchon conique avec écrou.
Le corps de la pompe est la partie qui renferme la transformation de l’énergie mécanique de rotation
(fourni par le système d’entraînement), en une énergie de pression qui se traduit dans le diffuseur en
une énergie hydraulique de hauteur gagnée par le fluide pompé.
La pompe Alexy est de type centrifuge dont l’écoulement du fluide est dû aux forces centrifuges
qui lui sont appliquées par la turbine.
Tête :
1. Arbre de tête
2. Poulie
3. Boîte à roulements
4. Roulement axial
5. Presse étoupe
6. Ecrou de réglage
7. Ecrou de serrage
8. Cache à roulements
10. Moyeu
Colonne :
Corps :
26. Turbine
Au cours de mon stage à l’unité de maintenance et montage j’ai constaté quelque problèmes sur les
pompes soit des problème de l’usure de corps de la turbine ou bien de turbines, et la plus par de
temps le bobinage de moteur torturé ou bien grillé,
L’usure est vient soit par oxydation, par effet de cavitation ou bien par des petits grains de sable (les
puits de Chtoka ait Baha contient de sable)
2. EFFET DE CAVITATION
La cavitation est la vaporisation d’un fluide soumis à une pression inférieure à sa pression de vapeur.
Ce phénomène se manifeste par la formation, au sein de l’écoulement, de bulles, poches, tourbillons
ou torches de vapeur. Dans les pompes, ces structures de vapeur apparaissent dans les zones de faible
pression à l’entrée des aubes de roue et sont transportées dans les zones à plus haute pression. Sous
l’action du gradient de pression, elles implosent dès que la pression locale dans l’écoulement redevient
supérieure à la pression de vapeur. Ces implosions produisent des micros jets et des surpressions (onde
de choc) qui peuvent atteindre plusieurs centaines, voire milliers de bar.
3. CONSEQUENCES DE LA CAVITATION
A) ÉROSION DE CAVITATION
Lorsque certaines conditions de fonctionnement de la pompe sont réunies, comme, par exemple :
B) BRUIT DE CAVITATION
La première manifestation d’une pompe qui cavite est le bruit, qui révèle la présence de microbulles
dans l’écoulement. Ce bruit hydraulique généré par la cavitation excite ensuite les parois de la pompe
et des tuyauteries proches de celle-ci. Les tuyauteries, à leur tour, rayonnent ce bruit dans le milieu
aérien ambiant. De cette façon, lorsqu’une pompe cavite de manière importante, on enregistre un bruit
caractéristique de crépitements et claquements quelquefois assimilé au bruit d’agrégats dans une
bétonnière ou de concasseur. Pour des machines de grande taille ou tournant très vite, le bruit aérien
généré par la cavitation peut être gênant pour l’utilisateur ou l’environnement. Cependant, la part du
bruit qui incombe directement à la cavitation ne représente qu’une faible partie du bruit rayonné par
les pompes.
C) PERTES DE PERFORMANCES
Pour des poches de vapeur encore plus développées, les pompes subissent des chutes de leurs
performances (hauteur totale d’élévation, rendement, puissance) qui les rendent inutilisables, ce
phénomène est souvent décrit comme la chute de caractéristiques
D) VIBRATIONS
Lorsque les poches de vapeur à l’entrée de la pompe atteignent une dimension importante vis-à-vis de
la taille de la pompe, du niveau de pression à l’entrée de la roue, une augmentation du niveau vibratoire
due à la cavitation peut se rencontrer.
Parfois, on peut également avoir des interactions entre la pompe en régime de cavitation et le circuit
sur laquelle elle débite.
Corrosion dans une canalisation due à la vitesse élevée du fluide par impact de particules solides sur
la turbine, sur le corps de la pompe, et sur la canalisation,
Dans quelques régions agricoles de Maroc l’eau contient des particules de sable fine et dur avec une
très grande vitesse de l’eau qui circule dans la canalisation et dans la pompe les particules pénètre les
matériaux petit à petit jusqu’à la détérioration des composants.
Ce type de moteur est dédier à être immergé dans l’eau donc il se refroidit par l’eau, s’il n y a pas de
matérielle de protection par exemple un capteur qui indique que le moteur est immergé, le moteur sera
endommagé,
C’est la raison pour laquelle on utilise des capteurs flotteurs pour la protection,
Si le moteur est surchargé soit par un blocage d’un élément de la pompe ou de moteur même, ou
bien il fonctionne dans un état anormal qu’est due à mauvaise dimensionnement de l’installation, ou
un sur pression qu’est due au bouchage d’une conduite.
I. CDC :
Soit à installer un circuit hydraulique de pompage d’eau depuis un puits de profondeur de 150 m vers
deux bassins d’eau le premier B1 se trouve à une hauteur de 3.5m, et le deuxième B2 à une hauteur de
10 m,
On désire :
À remplir les deux bassins dans une durée d’une heure (1h)
Si le niveau d’eau dans les bassins est inférieur à 1m la pompe alimente de nouveaux les bassins
Note : la problématique est étudiée de telle sorte que les vannes s’ouvrent d’une manière manuelle
par un opérateur,
Le choix du système de pompage doit être fait en tenant compte non seulement les contraintes
techniques (type de pompe, énergie, hauteur de refoulement, débit, régime d'écoulement), mais
aussi les contraintes liées au contexte socio-économique (système de pompage accepté,
disponibilité des pièces détachées, facilité de maintenance des pompes).
A. GENERALITES
La typologie des pompes les plus utilisées est donnée dans le tableau ci-dessous.
Typologie des pompes :
B. LA POMPE CENTRIFUGE
La pompe centrifuge transmet l’énergie cinétique du moteur au fluide par un mouvement de
rotation de roues à aubes ou d’ailettes. L’eau entre au centre de la pompe et est poussée vers l’extérieur
et vers le haut grâce à la force centrifuge des aubages. Afin d’augmenter la pression, donc la
hauteur de refoulement, plusieurs étages d’aubages peuvent être juxtaposés sur le même arbre de
transmission. Chaque étage fait passer l’eau à l’étage suivant en relevant la pression jusqu’à
l’étage final, délivrant un volume d’eau à pression élevée. Ces pompes incluent les pompes
submersibles avec moteur de surface ou submergé, les pompes flottantes et les pompes rotatives à
aspiration.
Quel que soit le type de pompe, celle-ci est constituée de 3 parties distinctes:
- la partie motrice qui fournit la puissance nécessaire au pompage,
- l'accouplement qui transmet cette puissance à la partie hydraulique,
- la partie hydraulique qui transmet cette puissance à l'eau pour la déplacer (l’aspirer et/ou la refouler).
2-Boite de jonction
4-Electrode de niveau
6-Coffret de protection et de
contrôle
7- Vanne
8- Réseau
VB V A
p B p A g ( Z B Z A ) p
2
Équation 1
Avec
p A : La pression dans le point A et p B la pression dans le point B
VB V A
p B p A g ( Z B Z A ) p p pomp
2
Équation 2
Équation 3
On terme hauteur,
pB p A p p pomp
Devisons l’équation par g : (Z B Z A )
g g g
Équation 4
Équation 5
Où est la masse volumique de l'eau (1 000 kg/m3 à 4 °C) et l'accélération de la pesanteur (9,81
m/s²).
Pression = HMT = Hr + Jr + p
Équation 6
Avec :
( p B p A ) g (Z B Z A ) p p pomp
Q : Le débit désiré,
Donc la puissance nécessaire à pomper l’eau est :
Ppomp p pomp Q ( p B p A ) Q g (Z B Z A ) Q p Q
Équation 7
Avec :
P : Le rendement hydromécanique de la pompe
M : Le rendement de moteur
Pep : La puissance à l’entrée de la pompe équivalant à la puissance de sortie de moteur PM
PE : permet le dimensionnement les appareille de moteur, les contacteurs, relais et les câbles
d’alimentation.
A. DEFINITION :
En mécanique des fluides, la perte de charge correspond à la dissipation, par frottements, de l’énergie
mécanique d’un fluide en mouvement sous forme de chaleur. On fait la distinction entre :
Cette énergie doit être compensée afin de permettre au liquide de se déplacer. On l'exprime
couramment sous la forme d'une pression (on l'appelle aussi p), bien qu'elle soit en fait
représentative d'une dissipation d'énergie et qu'elle apparaisse dans l'équation de Bernoulli comme
une hauteur de colonne de fluide.
La perte de charge d’un tronçon est la somme des pertes de charges linéaires dues aux longueurs
droites de tuyauteries et des pertes de charges singulières dues aux incidents de parcours rencontrés.
Équation 11
p L J
Équation 12
Les pertes de charge régulière sont le plus souvent calculées à partir de l'équation de Darcy-
Weisbach.
L V2
En terme pression : J
D 2
Équation 13
L V2
En terme hauteur : J
D 2g
Équation 14
Avec :
V D V D
Le nombre de Reynolds Re ou bien Re
v : vitesse d’écoulement
D: diamètre de la conduite
Q
Re 3537 10 2 Équation 15
D
Q : Débit en m3/h
D : diamètre en mm
De façon générale, le coefficient de frottement peut être déterminé à l'aide de la loi universelle de
Prandtl. Celle-ci se présente sous la forme d'une équation implicite et est valable pour un écoulement
turbulent dans un conduit lisse :
1
2 log(Re ) 0.8
Équation 16
Pour des nombre de Reynolds allant de 4 000 à 100 000 on peut utiliser:
0.3164 Re 0.25
Équation 17
: La rugosité de la conduite
D : Diamètre de la conduite
Démarche de calcule :
La perte de charge singulière Z d’un incident de parcours est fonction de l’incident lui-même (défini
par un coefficient ) et de la vitesse de circulation V au niveau de l’incident.
Équation 18
: sans dimension
V: m/s
g : m/s²
Pour déterminer le coefficient on utilise des abaques, qui dépendent de type de conduite, de la
forme et de sens d’écoulement.
Il y’a une autre méthode pour calculer les pertes de charges singulières Z , c’est de calculer la
langueur équivalent d’un coude au des vannes.
Les pertes de charges particulières occasionnées par des coudes ou des vannes peuvent être calculées
en les assimilant à des longueurs fictives de tuyauterie. Les abaques suivants permettent de
déterminer les longueurs droites fictives équivalentes de chacun de ces coudes, vannes ou robinets.
Dans ce cas, la perte de charge de la tuyauterie, des coudes et des vannes d’un tronçon sera :
Équation 19
Équation 20
Avec :
1 V2
L' ' : Longueur équivalente aux vannes Et J
D 2
Équation 21
2m
3m
3m 3m
3m 3m
On désire à remplir les deux bassins dans une durée de une heure
LT L1 L2 L3 L4 L5 L6 L7 L8
Avec :
LT 128.5m
V D Q
On a Re et V
D 2
Q
D
Donc, Re D 2
Q
D
Application numérique :
Alors Re 31267.178
0.3164 Re 0.25
0.02379
L V2 Q
On a J et V
D 2 D 2
L Q2
Donc, J
D 5 2 2
Application numérique,
128.5 (45 )2
J 002379 1000 3600
(1.002 10 3 ) 5 2 2
J 712.4857 Pa
On utilisant la méthode des longueurs équivalentes à partir des abaques, on calcul la longueur
équivalente de chaque éléments de la conduite ex ; coudes, coudes en T, vannes….
Notre circuit contient six coudes de =90°, de diamètre D= 127mm et de rayon R=200 mm,
Coudes en forme T,
La même chose dans l’abaque de figure 10 on trouve que la longueur équivalente d’une intersection
des trois tubes des diamètres égaux D=127mm est :
L' ' 4m
Les vannes à passage direct,
Dans l’installation il y a une seule vanne à passage direct de diamètre intérieure D=127mm,
L’abaque de la figure 9 donne une longueur équivalente L' ' ' 1.5m
Leq Q 2
On a, Z
D 5 2 2
Application numérique,
23.5 (45 )2
Z 0.02379 1000 3600
(127 10 3 ) 5 2 2
Z 133.947 Pa
p J Z
p 712.4857 133.947
Donc p 846.4327 Pa
Appliquons l’équation 3,
HTM p pomp p B p A g (Z B Z A ) p
Application numérique,
Ppomp
Donc la puissance de Moteur est : PM
pomp
15
Application numérique, PM
0.45
Alors le choix de moteur sera un moteur d’une puissance supérieur à 33.33 kW donc un moteur de
puissance PM 37kW ,
La pompe qui débite un Q 66m3 / h et dans une profondeur de H 110m c’est un pompe de
référence 8E-110/6H-650 ou bien 8E-110/6B-850, c’une pompe a 6 turbines.
SOTEMAG utilise dans ces pompes immergées des moteurs de marques Shakti Annexe N°VII
Le moteur choisi est un moteur asynchrone de type Shakti de puissance de 37 KW, avec
refroidissement forcé,
III. ELECTROTECHNIQUE
1. LA PUISSANCE ELECTRIQUE
PM
PE U I cos En kW
M
La puissance réelle: en KW; c'est la puissance qui sert au calcul de la consommation des moteurs.
Elle tient compte du facteur de puissance réactive cos , éga1 à 0.8
Sur les plaques signalétiques des moteurs, sont notées 2 termes d’intensités: intensité nominale In
c'est l'intensité en marche normale. Intensité de démarrage Id : c'est l'intensité absorbée lors du
démarrage du moteur, supérieure à In
PM
I
U 3 M cos
Application numérique :
37000
I
380 3 0.68 0.86
Donc, I 96.12 A
Lors du démarrage du moteur la puissance absorbée est très nettement supérieure à la puissance
nominale (couple de la pompe importante pour démarrer le moteur électrique et sa partie
hydraulique de 0 à 3000tr/mn). La tension étant fixe, c'est l'intensité qui s'accroît.
Id
Les constructeurs donnent généralement le rapport 4.4 qui permet de connaître l'intensité
I
absorbée lors du démarrage direct de la pompe, La valeur réelle (de l’ordre de 6) est notée sur
la plaque du moteur de la pompe.
Conclusion :
Les appareilles d’alimentation ou bien les pré-actionneurs doit supporter un courant qui égale au
courant de démarrage I d ,
Le schéma de puissance contient des fusibles qui servent à protégé le moteur et les câbles d’installation
électrique contre les hautes intensités de courant, un contacteur électrique qui permet la commande
de moteur d’après les signales qui arrive depuis l’automate programmable industriel, un condensateur
qui es pour but d’amélioré le facteur de puissance et le démarrage de moteur, un relais thermique qui
protège le moteur contre les surcharge, et un moteur asynchrone triphasé.
Ce type des capteurs est placé avec la pompe, il pour but de protégé la pompe et le moteur contre le
fonctionnement à vide, (éviter l’échauffement de moteur et l’usure des partie sensible de la pompe tel
que les paliers, les turbines…).
Un faible courant est envoyé dans une électrode dite de référence. Lorsque le liquide est en contact avec cette
électrode et une autre positionnée à un niveau désiré, le courant passe par le liquide conducteur. Ce court-
circuit est détecté par un relais résistif qui donne l’alarme.
Les électrodes EF 16 sont des électrodes mono-contact. L’électrode est une électrode bi-contact, car la jupe
sert ici de référence.
La loi d'Archimède dit que : Tout corps partiellement ou complètement plonge dans un liquide reçoit,
de la part de ce liquide, une poussée verticale, orientée de bas en haut et dont l'intensité est égale au
poids du liquide déplacé. Ce que l'on peut traduire par
Ou FAr est la force d'Archimède, est la masse volumique du liquide, g est l'accélération de la
pesanteur, soit 9.81 m/s et V le volume de la fraction du corps qui est immerge (ou le volume de liquide
déplacé).C'est ce phénomène que l'on exploite dans les flotteurs.
Dans les installations faites par la société SOTEMAG, ils utilisent une pompe à turbine de marque
(shakti), c’est une pompe à haute performance qui dur longtemps et de très faible cout de maintenance,
Ce sont des pompes monoblocs où l’entraînement est assuré par une turbine hydraulique alimentée en
eau propre par une pompe classique, haute pression, située en surface. Elles peuvent travailler à de
grandes profondeurs (500 m), avec des eaux chaudes et très salines.
Les moteurs immergés sont de type asynchrone à cage d'écureuil et remplis d'eau Le
remplissage avec le mélange eau glycolé assure lubrification des paliers et
refroidissement du moteur. L'emploi de glycol est sécurisant pour l'environnement. Cet
ajout réduit les risques de gel du liquide de remplissage moteur en diminuant la corrosion
interne.
Les moteurs sont rebobinables. L'alimentation électrique est assurée par une connexion
spécifique et une sortie de câble moteur immergeable. L'étanchéité de ce câble est
réalisée avec une pièce d'appui et de serrage particulière.
Refroidissement de moteur,
Le dispositif de refroidissement interne est constitué autour d'un impulseur à haut rendement. La
conception comprend un circuit de refroidissement efficace qui assure un coefficient de dispersion
thermique élevé avec de faibles pertes.
Le moteur ne supporte pas les eaux chaudes ou agressives sauf avec des constructions spéciales. Le
contrôle de l’échauffement du moteur est assuré par des sondes thermiques pour les moyennes et
grandes puissances. Le refroidissement du moteur est assuré par le passage de l’eau pompée autour
de la chemise extérieure, et une vitesse minimale est à respecter pour éviter l’échauffement.
La société SOTEMAG contient aussi une unité de fabrication des tubes de différents diamètres.
Cette unité a pour but la fabrication des tubes à partir des tôles du métal E24. Les tôles sont
commandées selon la largeur et l’épaisseur.
Elles arrivent sous forme de bobines. La première étape consiste à relier les bobines de métal E 24
pour assurer la continuité du travail et ne pas arrêter la machine à chaque fois que la bobine est
terminée. Ensuite la tôle est mise dans un enrouleur .on prend son extrémité, et on le met à l’entrée
de la machine. Ensuite la tôle passe par les opérations suivantes :
Figure 16
Soudage : c’est un soudage à arc électrique; la tôle enroulée d’une bobine à haute fréquence, un
courant induit dans la tôle ceci conduit à l’échauffement des lèvres de la tôle jusqu’à la fusion et
donc le soudage s’effectue.
Refroidissement
Découpage : l’utilisateur commande dans le pupitre de machine la longueur désirée pour le tube, des
capteurs dans la machine détectent celle-ci, et le découpage s’effectue.
Contrôle : si les tubes sont destinés pour la conduite du liquide, Une vérification est nécessaire. Les
tube sont immergés dans un Bain d’eau et on fait circule de la pression à l’intérieur. S’il y a des défauts
des boules vont apparaitre.
Stockage.
Finalement soudage des brides, après un usinage dans des tours conventionnelles afin de réaliser les
diamètres nécessaires et les évidements des joints,
IV. GENERALITES :
Il n'existe pas des règles mathématiques simples pour concevoir un moule sur le plan thermique,
mais, en respectant quelques principes élémentaires, on se rapproche sensiblement d'une étude de
moulage idéale et il suffit, en général, de faire quelques réglages au cours de la mise au point des
premières pièces pour arriver aux résultats attendus.
DESSIN DEFINITION :
Masse
Rm Dureté
Désignation volumique Propriétés Emplois
MPa HB
Kg /m3
- Pièces d’usure
La pièce est généralement placée verticalement dans le moule pour faciliter l’extraction
du modèle.
Il doit :
Avant de passer au moulage de la pièce demandé par le client, on doit appliquer certaines
modifications sur le dessin de définition tout en respectant les règles du tracé des pièces brutes.
Pour éliminer le problème des angles vifs intérieurs (les criques, les retassures…) et faciliter
le remplissage de l’empreinte de la pièce, ces angles doivent être arrondis et congés.
Les surépaisseurs d'usinage sont prévues pour supprimer l'effet du moulage sur les surfaces fonctionnelles
afin d'obtenir la précision dimensionnelle demandée.
Les résultats des surépaisseurs utilisées et les tolérances dimensionnelles des cotes:
Ø408 5.5 2
92 4 1
3.3 . DEPOUILLE :
Sachant que notre modèle est avec dépouille normale, et puisque la pièce est de petite taille,
la valeur de la dépouille sera de 2% correspondante à l’angle de 1°8’, et le dépouille de la portée
de noyau est 10% correspondante à l’angle de 5°42’ (voir annexe II: Tableau des valeurs de la
dépouille (référence : précis de fonderie page 61)).
3.4. RETRAIT :
Pour les retraits, ils sont composés de deux phénomènes de rétrécissements, l’un à l’état
liquide, c’est la contraction de solidification qui sera pour notre cas entre 7 à 10% on prend 8%
(acier moulées alliés), et l’autre à l’état solide de 2%, ce qui ramène la valeur du retrait à 10%
(voir annexe III : Tableau des retraits (référence : précis de fonderie page 4)).
On multiple les dimensions de la pièce moulé après on ajoute les surépaisseurs, les congés et
les dépouilles par le coefficient de retrait à l’état solide(1,02).
Et pour garantir une bonne alimentation de la pièce, on ferme l’alésage pour mettre la masselotte
à sa place.
On dessine les noyaux intérieurs et les portées des noyaux et on l’ajoute sur la pièce (Voir
dessin d’ensemble de modèle et des noyaux). A partir de ce dessin, on réalise les plaques
modèles (voir figure ci-dessous) et les boites à noyaux.
Etant impossible de réaliser les formes intérieures (les contre-dépouilles) à partir du modèle de
la pièce, on a recours au noyau du sable.
NOYAU N°1 :
Puisqu’on ne peut pas construire une boite à noyau complète vu le problème de contre
dépouille, il s’avère important de construire la boite en la devisant en deux parties.
Après cela on construit chaque partie individuellement et on les colle l’une avec l’autre pour
avoir le noyau complet.
Pour savoir le nombre des masselottes et leurs endroits, on utilise la méthode de module de
refroidissement.
Cette méthode est basée sur le calcul du temps de refroidissement de chaque élément de la
pièce étudiée pour savoir leurs ordres de refroidissement. Donc on doit calculer le temps de
solidification Ts de chaque élément.
On a : √Ts=K* M’
Et on a : M’=W*M.
(c∗∆θs+L)b
Et : K= 2 .
(θs−θ0)b
√π
Remarque : pour des éléments plans de pièce coulée avec un alliage donné à une surchauffe
donnée (200°C) et dans un même moule, on peut écrire :
K=constante.
** : voir l’annexe.
Conclusion :
D’après calcul, on constate que la partie qui refroidi la dernière est le tronc cône, donc on met la
masselotte à ce niveau, le cylindre inférieur refroidi avant les autres parties mais on ne peut pas
mettre une masselotte dans cette position, pour résoudre ce problème on utilise un refroidisseur
pour corriger l’ordre de refroidissement des éléments.
DIMENSIONS DE MASSELOTTE:
Pour qu’une masselotte joue son rôle complet, il faut que son temps de solidification soit
supérieur à celui de la partie de pièce à laquelle elle est destinée. Autrement dit :
TM > TP
MM=1.2 à 1.25 MP
On prend : MM=1.25 MP
Et MM=V/S.
V : volume de la masselotte.
Donc : V=π*R2*H
Et S= π*R2+2 π*R*H
Et on a : α=H/D’
Et On a : MM=V/S
=3/7*R
Donc : R=7/3*0.255
=0.59dm=59mm
La société utilise les manchons (masselottes exothermiques) qui ont pour but de garder la
température du métal du coulage jusqu'à l’achèvement de l’opération de remplissage.
Manchon
A partir du catalogue, on prend la valeur la plus proche (voir annexe II : catalogue des manchons
cylindrique). On a choisie d= 85 mm (diamètre intérieur de la masselotte exothermique) ce qui
nous permet de préciser les paramètres de la masselotte cité dans le tableau suivant :
VM≥s.R.VP
𝑉𝑀 ≥ s. R. 𝑉𝑃
R = 0,07(d’après l’annexe)
On a : VM= 0.85dm3
Le remplissage de l’empreinte est assuré par un système d’attaque. Il permet d’amener dans
l’empreinte la quantité d’alliage nécessaire à la venue totale de la pièce. Il doit avoir une descente
directe vers le creux de l’empreinte et avec un débit constant.
Il est composé de :
Descente de coulée : Conduite verticale dirigeant l’alliage vers les canaux, en général de section
circulaire.
Canaux : Conduites horizontaux (ou peu inclinées) dirigeant l’alliage vers les attaques.
Attaques : Conduites courtes, en général de section réduite et de forme plate reliant les canaux à
l’empreinte de la pièce. Leurs dispositions dépendent de la forme de la pièce, de l’emplacement
des masselottes et de la nature de l’alliage.
Pour obtenir une pièce compacte, il faut établir un remplissage en gardant la même pression et
température dans les attaques.
1. Volume à remplir :
V = 5.36+0.85
=6.21dm3
3. Hauteur métallostatique :
Coulée en chute- source (voir annexe II : p13)
Hi + √Hi ∗ Hf
𝐻=( )2
(1 + a)√Hi + (1 − a)√Hf
On a : a=1(coulée en source)
Hp : hauteur de la pièce.
Donc : a=0.74/1.60
=0.46
𝐻 = 2.16dm
4. Echelonnement :
B = 1.8
H =2.16 dm
V =6.21 𝑑𝑚3 𝑆𝑑 = 6cm² d = 28 mm et C =26 mm
Tr = 9 s
Alidade
2. canal :
3. attaque :
On a L = 4 h et 𝑠𝑎 = L.h
Donc : 𝑠𝑎 = 4.h²
h = 6.12mm et l = 24.5mm
LA GAMME DU MOULAGE :
En guise de conclusion, je pourrais avancer que mon stage d’initiation au sein de la société
SOTEAG été d’un intérêt remarquable en le sens qu’il m’a permis d’établir une sorte de mariage
entre théorie et pratique, la compréhension des relations de travail... Bref, la découverte du monde
de l’entreprise.
De ce fait, cette expérience professionnelle que j’ai vécue m’a poussé à adhérer aux valeurs de la
société et à développer certains traits de ma personnalité, du sens de l’organisation et de la
responsabilité à la rigueur et la ponctualité en passant par l’esprit d’équipe et la curiosité.
Enfin, j’annoncerais que mon intervention s’est effectuée dans de meilleures conditions et j’espère
que mon rapport en rapporte l’essentiel, respectant ainsi les règles fixées pour un pareil stage.
ELANECEMENT : α
Masselotte à talon 2
Manchon >=1
CYLINDRIQUES
Ø
30070 400/200 400 200 472 25120 11,08 100
CIL