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Type perturbation
A) Altération des habitats
Ex : Madagascar : 747 espèces qui sont toutes endémiques, elles survivent dans petites taches
de forêt du pays
Etude 1 : Variable du patch explique 69 % variabilité et 75% est expliquer par les variable du
paysage donc pour conserver il faut plusieurs zone de forêt ayant une surface suffisante pour
avoir une zone cœur et une zone lisière
C) Espèce envahissante
- Chat sont devenue féral (redevenu sauvage) sur une île
- Plantes envahissante : ailante étude faune litière : plus on est proche des racines
d’ailante moins il y a de faune sauf pour les verres de terre à cause d’une acidification
de la litière
- Bourdon terrestre (natif d’Europe) : mais introduit partout car très bon pollinisation
buzz vibration (440 vibration par seconde La pur)
Introduit au Chili pour pollinisation avocat à passé Cordillère des Andes et en
Argentine mais il y a Bombus terrestris sauf que bourdon terrestre à parasite qui
impacte espèce endémique
- Fourmis de feu : détruit tous -90% fourmis
- Evaluation diversité criquet et sauterelle grâce à évaluation vibration étude fourmis
électrique (mange tous) donc y a rien
D) Changement climatique
Ex : île Kerguelen compétition entre mouche ailée et mouche aptère compétition pour
nourriture et site de ponte
Espèce à réussi à s’établir car il lui faut 611° jour nombre de degré > à 0° (en additionnant
degré positif et degré négatif)
Impacte changement climatique : si plantes éclot trop tôt ne trouve pas de pollinisateur ou
inverse pollinisateur éclot tôt et ne trouve pas fleur (temporal mismatch)
Insecte monte en altitude pour avoir température plus faible mais ne trouve pas de fleur car
l’espèce n’a pas eu e temps de migrer (space mismatch)
Impacte sur oiseau aussi moment où il fallait nourrir jeune, le nombre de chenille était
insuffisant donc à entrainer forte mortalité
Partie 2 :
A) Exigence taxonomique
Peut étudier car :
Espèce difficile à identifier
Abeille sans poil : car n’a plus besoin de récolter pollen
Mouche pas bourdon car 1 paire d’aile et gros yeux mimétisme en ressemblant à insecte
dangereux pour protection
Forme insecte tend vers pattern railler noir et jaune
Pour identifier espèces parfois nécessaire faire dissection faire sortir génitalia (organe
reproducteur mâle ou femelle) qui est la seule différence
Guide pour savoir qu’elle manipulation faire afin de distinguer espèce
Espèce migratrice
Difficile à capturer
- Filet, aspirateur à bouche, parapluie japonais, tente malaise (insecte attiré par e blanc
donc monte et en haut n’ont d’autre choix que d’aller dans tube d’alcool), piège
Barber (pour insecte rampant), piège à coupelle coloré (pour insecte volant) avec à
l’intérieur de l’eau et du liquide vaisselle (pour diminuer tension de surface et que
insecte se noie)
└> piège passif sans substance pour attirer insecte
Piège attractif : phéromone, odeur, lumière... utilisé plus souvent dans la cadre
perso et non scientifique
Lumière pour papillon de nuit surtout
Recherche sur des pièges actifs pour le frelon asiatique : piège sélectif (qui ne capture
que le frelon asiatique)
Piège attractif ou répulsif sur culture
- Approche acoustique : étude fréquence dans un écosystème
- Génétique : barcoding ou metabarcoding : récolter reste qui vont donner espèce
Comparaison entre technique taxonomique et génétique 95% similitude
Avec cette technique on pourrait savoir quel insecte ont visité une fleur ou prédaté
plante
Cette technique met en avant que certains individu sont très proche physiquement
mais différentes génétiquement et inversement certains sont différents mais ont même
génétique
Exemple :
Sphinctoropis corsicus : décrit 1 fois en 1902 puis aurait été aperçue en 1960 et redécouverte
en 2007
Bius thoracicus : 150 ans sans observation
Bilan :
Peu de taxonomiste, coût important, classification change tout le temps et est compliqué,
statut de l’espèce change description et suppression espèces
B) Exigence écologique
Beaucoup d’espèce sont très spécialisé
Ex pour papillon : il faut nectar + présence plante hôte pour accueillir chenille mais souvent
papillon pas difficile pour nourriture ensuite (spécialiste plante hôte)
Sauf : papillon de Darwin (Angraecum sesquipedale) papillon avec longue trompe qui
correspond à la taille de l’éperon d’une orchidée spécifique. Ce papillon est un spécialiste
plante nectarifère
Autre ex : Nomada spécialiste d’une espèce spécifique d’andrène si pas hôte pas de parasite
Espèce parasitoïde qui a tibia spéciaux pour maintenir chenille et capable percer bois avec
ovipositeur pour parasiter (en concentrant métaux dans ovipositeur)
Est-ce que qu’un parasitoïde spécialiste d’un hôte peut s’adapter au changement de son hôte
(changement de plante hôte)
C) Exigence temporelle
Espèce spécialisé à des habitats peu répandu : distribution très limitée et fragmentée
└> peut s’appliquer à un genre entier
Donc suivie pop très difficile chez insectes
Variations temporelles très importantes : très rare de retrouvé les mêmes espèces d’une
année à l’autre (suivie sur ans la plus part capturer qu’une année) et celle qu’on revoit
pollinise plantes différentes donc difficile de savoir où elles vont être
Aussi à cause des saisons
Autre article montre que les espèces sont très constantes dans un site et reste très différente
entre les sites
Conclusion 2ème partie:
- Petit effectif, fluctuation interannuelle importante (observation sur plusieurs années
nécessaire)
- Beaucoup d’espèce très spécialiste (exigence écologique)
- Distribution restreinte (exigence biogéographique)
- Cycle de vie complexe
- Echantillonnage ardue (exigence taxonomique)
- Structure, limite, taille pop, métapop
- Perception négative
Le papillon monarque
Migration du Mexique au Canada pour pondre au Mexique 5000 km par an
Création réserve biosphère intégrale en 2006/2008 au Mexique pour protégé monarque
Abeille domestique
Espèce la plus médiatisée aujourd’hui pour sa protection
Grâce à tous cela qu’il y a eu interdiction pesticide
Biblio : journal of insect conservation, insect conservation and diversity, journal of insect
science, annale de la société entomologique de France