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1. ANDRIAMAMPIARINA Brillant
2. TOKINIAINA Manandraibe Lucien
3. RAHARISOANIAINA Martine
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Table des matières
Plan du devoir ...................................................................................................................3
PARTIE I : Introduction ..................................................................................................4
1-1) Généralités sur les diptères ...................................................................................4
1-1-1) Définitions ..................................................................................................................4
1-1-2) Description des caractéristiques morphologiques .....................................................4
1-1-3) Régimes alimentaires des diptères .............................................................................5
PARTIE II : Description des caractéristiques morphologiques mouches ......................6
2-1) Description des caractéristiques ............................................................................6
2-2) Types des mouches et Identification selon la forme physique et caractéristique 6
2-2-1) Mouches domestiques (Musca domestica) ................................................................6
2-2-2) La mouche du vinaigre (Drosophila mélanogaster) ..................................................7
2-2-3) La mouche bleue (Calliphora vomitaria) ..................................................................7
2-2-4) La mouche à fromage (Piophila casei) .......................................................................8
2-2-5) Mouche à merde : la scatophage du fumier (Scathophaga stercoraria) ...................8
2-2-6) La mouche charbonneuse/ Mouche piquante (Stomoxys calcitrans) ........................8
2-2-7) Mouche des fruits (Ceratitis capitata) .......................................................................9
2-3) Description de cycle de vie .....................................................................................9
2-3-1) Accouplement et Reproduction ................................................................................9
2-3-2) Cycle biologique et métamorphose de la mouche.................................................... 10
2-3-2-1) La ponte et l’éclosion des œufs ......................................................................... 10
2-3-2-2) Le développement larvaire/ Asticot ................................................................. 10
2-3-2-3) La pupe/ Nymphe ............................................................................................. 11
2-3-2-4) L’âge adulte ...................................................................................................... 11
2-4) Régime alimentaire ............................................................................................... 11
PARTIE III : Description des interactions ou relations des mouches avec les êtres
vivants.............................................................................................................................. 12
3-1) Description des relations avec les plantes ou autres insectes .............................. 12
3-2) Valeur écologique et environnementale (nécrophage, pollinisatrice) ................. 12
3-3) Interaction avec l’homme .................................................................................... 12
PARTIE IV : Conclusion et références bibliographiques ............................................ 14
4- Conclusion ............................................................................................................ 14
Références bibliographiques ........................................................................................... 15
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Plan du devoir
PARTIE I : Introduction
PARTIE III : Description des interactions des mouches avec les êtres vivants
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PARTIE I : Introduction
1-1) Généralités sur les diptères
1-1-1) Définitions
Etymologiquement, le mot « Diptère » vient du mot grec « di » qui veut dire deux, et
« ptéron » qui veau dire aile, le mot « diptère » signifie l’existence ou présence des deux
ailes.
En Entomologie, les diptères sont l’un parmi des ordres d’insectes les plus connus, les plus
importants et les plus diversifiés, à la fois en raison de leur morphologie, de leur écologie et de leur
importance en entomologie médicale et vétérinaire. Le nombre d’espèces décrites au niveau mondial
est de 160 000, ce qui représente environ 10 % de toutes les espèces animales connues. Les
spécialistes estiment qu’il doit exister entre 400 000 et 800 000 espèces de diptères. Les
entomologistes amateurs, en général, s’intéressent plus aux coléoptères, aux lépidoptères, aux
orthoptères ou aux odonates qu’aux diptères, souvent moins spectaculaires et dont l’étude est plus
difficile.
Les diptères sont un ordre d’insectes caractérisés par la présence de deux ailes
fonctionnelles, tandis que les ailes postérieurs ont évolué en structures réduites appelées
haltères. Ils ont des corps souvent allongés, des pièces buccales de type suceur-piqueur ou
lécheur et leur métamorphose est complète passant par les stades : Œuf, larve, pupe et adulte.
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1-1-3) Régimes alimentaires des diptères
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PARTIE II : Description des caractéristiques morphologiques mouches
Les mouches sont des insectes, d’ordre diptère, ayant deux ailes courtes. Le corps d’une
mouche se divise en trois parties : La tête, le thorax et l’abdomen. Il existe plus de 80 000
espèces de mouche dans le monde. Une mouche possède deux haltères (ou balanciers) portées
en arrière du thorax. Sa tête porte une tête qui a une grande liberté de mouvement et des
pièces buccale de type piqueur-lécheur. Elle possède également une trompe pour aspirer la
nourriture. L'asticot est la larve apode (sans pieds) de certaines mouches. La durée de vie
d'une mouche est très variable.
Parmi les mouches, la mouche domestique (Musca domestica) est la plus connue dans la vie
quotidienne. Il désigne d'une façon plus générique des animaux volants très divers. Parfois, on
attendu les termes de moucherons ou de mouchettes, ou mouchillons , désignent des espèces
de mouche de petite taille. L'asticot est la larve apode de certaines mouches qui font partie des
diptères. La durée de vie d'une mouche dépend des conditions de milieu.
En général, les mouches se trouvent souvent dans les divers endroits ayant d’odeur fade
comme les déchets, sur les ordures, aires du recyclage,… . La mouche s’établit à proximité
des sources de nourriture. Elle est attirée par la chaleur ainsi que par une diversité d’odeurs
plus ou moins fortes (parfum, sucre, excréments, matières organiques en décomposition,
transpiration…). Les mouches ont une grande capacité de détection des odeurs : il a été
prouvé qu’elles pouvaient le faire à plus de 6 km. Le traitement des odeurs est donc l’un des
premiers réflexes à adopter pour les tenir à distance.
A Madagascar, les 06 éspèces sont les plus connues sont les suivantes : La mouche
domestique (Musca domestica) , la mouche du vinaigre (Drosophila mélanogaster) , la
mouche bleue (Calliphora vomitaria), la mouche à fromage (Piophila casei), la mouche à
merde/ la scatophage du fumier (Scathophaga stercoraria) et la mouche charbonneuse /
mouche piquante(Stomoxys calcitrans), mouche des fruits (Ceratitis capitata).
La mouche domestique (Musca domestica) est la mouche la plus connue car c’est celle
qui est la plus présente dans nos foyers. Si elles sont attirées par tous types d'aliments, elles le
sont aussi par les déchets alimentaires et par les excréments. De ce point de vue, et même si
cela n’est pas suffisant, le respect de règles élémentaires d’hygiène contribue à les tenir
éloignées. Les mouches domestiques peuvent considérer comme vecteurs des maladies.
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Un adulte mesure entre 5 et 8 mm de longueur. Son thorax est globalement gris et son
abdomen jaune. Elle est couverte de petits poils qui sont aussi des organes du goût. Ses yeux
sont composés de facettes qui leur permettent d'avoir un large champ de vision. Elles pondent
des œufs par grappes de 120 à 150 qui éclosent en 8 à 72 heures. Leur durée de vie moyenne à
l’âge adulte est de 19 jours, 17 jours pour le mâle et 21 jours pour la femelle.
Cette mouche présente de quatre lignes noires longitudinales sur son dos, elle a des poils qui
servent d’organes du goût. Elle possède des yeux rouges ainsi qu’un thorax et une face
ventrale de couleur grise. Son abdomen est jaunâtre. Ses ailes sont légèrement pointues. La
femelle est généralement plus grosse que le mâle. La larve de la mouche domestique est
blanche, dépourvue de pattes et mesure environ 12 mm de longueur.
La mouche bleue (Calliphora vomitaria) se reconnaît assez vite car c’est une grosse
mouche de 1 à 1,4 cm de long dont l’abdomen est bleu clair métallisé. Elle possède également
des yeux rouges. Elle est surnommée “mouche à viande” car elle pond ses œufs sur le
poisson et la viande (quelle que soit la fraîcheur) et autres matières organiques en
décomposition, et représente pour ces raisons un fléau ardemment combattu par les bouchers
et dans les abattoirs. Par ailleurs, elle aime évoluer en groupe. Le but est de détecter de la
nourriture plus efficacement. Si l'une d’elles identifie une source, elle produit une phéromone
qui alerte les autres. On peut souvent la voir posée sur un mur, se chauffer au soleil. Une
espèce proche (Calliphora vicina) est aussi appelée mouche bleue. Ainsi, la mouche bleue
fait partie des insectes qui nettoient la nature en consommant les déchets des autres. Que ce
soit des déjections animales ou des charognes.
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2-2-4) La mouche à fromage (Piophila casei)
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2-2-7) Mouche des fruits (Ceratitis capitata)
Les mouches des fruits sont des mouches piqueuses, ravageurs. Elles se trouvent
souvent sur les fruits de la plantes. Ces mouches pondent près de la surface des fruits dont
l’état de fermentation est entamé. Les asticots se nourrissent de leur pulpe et causent un
pourrissement des fruits. Ces asticots sont blanc jaunâtre et longs de 7 à 8 millimètres. La
larve se développe ensuite dans le liquide produit par les fruits qui pourrissent mais cherche
ensuite une partie sèche pour muer. La pupe est de forme ovoïde, de couleur gris beige.
À peu près trente-six heures après son émergence de la pupe, la femelle est réceptive pour
l'accouplement. Les femelles et les mâles se reproduisent dans les matières en décomposition
comme les poubelles ou les
aliments, certaines mouches
s’accouplent survol ; c’est-à-dire,
les mâles et les femelles s’envolent
et s’accouplent en même temps.
Lors de l’accouplement, le
mâle va monter sur le dos de la
femelle et lui injecte du sperme.
Normalement la femelle ne s'accouple qu'une seule fois, car elle peut stocker le sperme et
pouvant l'utiliser lors de plusieurs pontes. Les mâles sont territoriaux : ils défendent un
territoire contre l'intrusion d'autres mâles et cherchent à s'accoupler avec toute femelle qui
pénètre sur ce territoire.
Chaque femelle peut pondre entre 500 à 1 000 œufs au cours de sa vie (par paquets de 75
à 150), généralement en 5 fois avec chaque fois une centaine d'œufs déposés. Le nombre
d’œufs pondus dépend de la taille de la mouche femelle. C’est à une température comprise
entre 25 et 30 °C, que la production d’œufs est la plus élevée, les œufs de la mouche ont
besoin de l’humidité pour faciliter l’éclosion. Les œufs sont blancs et mesurent environ 1,2
mm de longueur. Au bout d'une seule journée, les larves (asticots) en sortent. Elles vivent et
se nourrissent sur les matières organiques (généralement mortes et en voie de décomposition
avancée, telles qu'un cadavre, des détritus ou des excréments) sur lesquelles elles ont été
déposées. Les asticots sont blanc pâle ou blanchâtre, d'une longueur de 3 à 9 mm. Ils sont plus
fins dans la région buccale et n'ont pas de pattes. À la fin de leur troisième mue, les asticots
rampent vers un endroit frais et sec et se transforment en pupes, de couleur rougeâtre ou brune
et mesurant environ 8 mm de long. Les adultes vivent dans deux semaines à un mois dans la
nature ou plus longtemps dans les conditions plus confortables. Après avoir émergé de la
pupe, les mouches cessent de grandir. De petites mouches ne sont pas des mouches jeunes,
mais ce sont des mouches qui n'ont pas eu suffisamment de nourriture durant leur stade
larvaire.
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2-3-2) Cycle biologique et métamorphose de la mouche
Toutes les mouches vivent une métamorphose complète, passant ainsi par quatre stades de
développement. Leur durée varie selon l’espèce :
En moyenne, une femelle peut produire une grappe d’une centaine d’œufs par ponte,
qu’elle va déposer à proximité d’une source de nourriture, souvent sur de la matière organique
en décomposition (excréments, détritus, cadavres…). Les œufs sont blancs et mesurent
environ 1 mm de longueur. Leur éclosion est très rapide puisqu’elle se fait en une journée
seulement.
Au bout d’une journée, les œufs laissent place aux larves aussi connues sous le nom d’«
asticots ». Les larves ont de couleur blanchâtre, de forme cylindrique un peu plus effilée vers
la tête, mesurent entre 3 à 9 mm de long et sont dépourvues de pattes. Ayant des pièces
buccales très fines et elles vont se nourrir des matières organiques sur lesquelles les œufs
avaient été déposés par la femelle mère. C’est à la fin de leur troisième mue que les larves
vont chercher un endroit frais afin de se transformer en pupe.
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2-3-2-3) La pupe/ Nymphe
Les mouches sont attirées par tous les types d’aliments, elles peuvent également se nourrir
d’excréments ou de déchets alimentaires et les débris d’animaux et des débris des végétaux. Les
moches sont parmi des insectes nécrophages, hématophages, fongivores et coprophages.
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PARTIE III : Description des interactions ou relations des mouches avec les êtres
vivants
Les mouches sont des animaux souvent mal aimés par l'être humain car elles peuvent
apporter des souillures dans les habitations humaines (excréments sur les murs, bactéries
apportées sur les aliments…), elles sont une cause de dérangement ou sont encore associées à
l'idée de dégradation des cadavres et de mort.
Ce sont parfois des ravageurs des cultures et des potagers. Les mouches sont particulièrement
attirées par la saleté (ordures, excréments, urines, égouts, cadavres, sueur, bétail...) et la
nourriture qu'elles souillent donc par contact direct.
Dans la nature, et parfois dans les décharges, dans les égouts, les mouches participent
largement à l'élimination des déchets organiques produits et facilitation des décompositions
des matières organiques par les différents êtres vivants (Homme inclus). Des mouches
prédatrices sont utilisées dans le cadre de la lutte biologique, afin de combattre divers
animaux ravageurs (coléoptères, chenilles de certains papillons, pucerons, voire d'autres
mouches). La X60 est une mouche Muscidae dont les larves sont prédatrices des asticots
d'une grande diversité de Diptères communément désignés mouches et moucherons. Ces
insectes sont fortement nuisibles dans les élevages. (Robert Hooke, 1664)
D’un côté positif, l’homme peut utiliser des mouches pour mieux guérir une blessure
ou sur la plaie car certains asticots élevés en milieu stérilisé permettent une cicatrisation
rapide en mangeant les chairs mortes et le pus dans les cicatrices après une intervention
chirurgicale ou une blessure et en sécrétant une substance coagulante et antiseptique
(asticothérapie).
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mouches (avec d'autres insectes parasites) car elles permettent d’évaluer l'ancienneté d'un
décès et le type d’environnement dans lequel un corps a pu être entreposé.
D’autre coté, l’homme n’apprécie généralement pas la présence des mouches, car,
elles sont synonymes de dérangement, de souillures .Ainsi, les mouches ont une appétence
particulière pour la saleté, se retrouvant dans les ordures, les égouts, à proximité des bétails, et
pouvant ainsi contaminer la nourriture par contact direct.
D’ailleurs, elles représentent une menace pour la santé humaine car elles se posent dans
n’importe quel endroit (nourriture, matières en décomposition, déchets…). Elles peuvent
également déposer leurs excréments et leur salive sur la nourriture. Cela peut engendrer la
transmission d’une multitude de microbes, de bactéries et de virus dangereux pour l’Homme
peuvent être à l’origine d’intoxication alimentaire ou encore de maladies graves comme :
1. La typhoïde ;
2. L’hépatite ;
3. La salmonelle ;
4. La tuberculose ;
5. Le choléra ;
6. La poliomyélite ;
7. La dysenterie ;
8. La lèpre ;
9. L’anthrax ohptalmique ;
10. Vers parasites ;
11. Infections gastro-intestinales…
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PARTIE IV : Conclusion et références bibliographiques
4- Conclusion
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Références bibliographiques
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