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1) Prévenir son chef de service ou son délégué avant 10 heures du matin, de préférence par
téléphone, en lui précisant la durée présumée de l'incapacité.
2) Si la durée de l'absence dépasse un jour, consulter obligatoirement son médecin traitant et lui
demander de remplir le certificat SM1 composé de trois volets. **
Evitons les doublons : l’envoi par mail ne doit pas être complété d’un envoi « papier ».
3) En cas de prolongation de la durée initialement prévue, recommencer les formalités prévues aux
points 1 et 2.
4) Se tenir à la disposition du médecin-contrôleur. Si les sorties sont autorisées, être présent à son
domicile, sauf raisons médicales justifiées, durant les trois premiers jours de l'absence, à moins de
se présenter à ses frais et avant tout autre déplacement, au Service médical de Contrôle.
6) En cas de reprise du travail à mi-temps, faire remplir à nouveau un certificat SM1 par le médecin
traitant et envoyer les deux premiers volets au Service médical de Contrôle et le troisième volet à
l'ARH – Gestion médico-sociale.
Les agents qui n'auraient pas respecté les obligations énoncées aux points 1, 2 et 3 peuvent être privés
de rémunération, sans préjudice de l'application d'une éventuelle peine disciplinaire.
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Matière gérée par le Service des Affaires juridiques - Carine SPEETJENS : Carine.Speetjens@uliege.be 04/366.54.70
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Formulaire également téléchargeable sur le site Intranet de l'ARH : https://my.arh.uliege.be/formulaire/sm1
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Que doit faire le responsable hiérarchique?
1) S'il s'agit d'une absence d'un seul jour, avertir sans délai l'ARH – Gestion médico-sociale – de
l’absence de l’agent par mail à gms@uliege.be. Au-delà de 5 absences d'un jour sur l'année, un
certificat médical est requis.
2) [NOUVEAU] Valider la reprise de travail via Ulisweb (module « Requêtes). Cette formalité est
indispensable pour assurer la liquidation du traitement dû en temps opportun.
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Règlement applicable en cas de maladie
1. Champ d'application
Le règlement est applicable aux membres du personnel scientifique, temporaire ou définitif et aux membres
du personnel administratif, technique et ouvrier, statutaire ou contractuel.
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4. Contrôle médical
4.1. Sauf raisons médicales dûment justifiées (consultation chez le médecin, analyses, etc.), l'agent qui a
introduit comme justification de son absence un certificat médical précisant qu'il peut se déplacer,
doit être présent à son domicile ou à sa résidence les trois premiers jours de l'absence prévue. L'agent
qui se trouve hors de sa résidence habituelle est tenu de communiquer son adresse temporaire. Il est
toutefois dispensé de ce délai d'attente s'il se présente, à ses frais et préalablement à tout autre
déplacement, au Service médical de Contrôle. La même règle s'applique en cas de prolongation de
l'absence.
4.2. L'Administrateur ou son délégué, d'initiative ou à la demande du chef de service, communique au
Service médical de Contrôle les nom, prénom, adresse et n° médical des agents signalés absents pour
lesquels il estime qu'un contrôle doit être effectué, soit le premier jour d'absence, soit un des jours
qui suivent.
4.3. Les contrôles peuvent aussi être effectués à l'initiative du Service médical de Contrôle.
4.4. Le Service médical de Contrôle informe l'Administration des Ressources Humaines des absences qu'il
a constatées, justifiées ou non justifiées. Il lui communique également les noms des agents qui ont
négligé de se soumettre à l'obligation prévue au point 4.1 ci-dessus et n'ont donc pas subi de contrôle
médical.
4.5. Si le Service médical de Contrôle et le médecin traitant sont d'un avis divergent, et ne peuvent se
mettre d'accord après concertation, ils désignent de commun accord un médecin-arbitre, qui
tranchera souverainement.
Le travailleur soumis à la surveillance médicale périodique, qui a été absent pour raisons de santé plus de
quatre semaines, doit solliciter un rendez-vous auprès de COHEZIO pour se faire examiner le jour de la
reprise ou au plus tard dans la semaine qui suit.
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7. Prestations réduites pour raisons médicales (personnel PATO statutaire uniquement) 1
L’agent PATO statutaire peut demander à exercer sa fonction dans le cadre de prestations réduites pour
raisons médicales :
7.1. en vue de se réadapter au rythme de travail, après une absence ininterrompue pour maladie d'au
moins 30 jours ;
7.2. lorsque, suite à une inaptitude médicale de longue durée (maladie ininterrompue de 6 mois
minimum), il est empêché de travailler à temps plein.
L'appréciation de la situation médicale de l'agent et l'octroi de prestations réduites pour raisons médicales
sont assurés par un médecin désigné par le service de contrôle médical.
Dans le 1er cas (retour après une absence ininterrompue pour maladie d’au moins 30 jours), l’agent peut
reprendre ses fonctions à concurrence de 50%, 60% ou 80% de ses prestations normales pour une période
de maximum trois mois. Il bénéficie de son traitement complet pour les trois premiers mois des prestations
réduites pour raisons médicales.
Sur l’ensemble de la carrière, le congé est limité comme suit :
- Ancienneté de moins de 10 ans : 3 mois maximum ;
- Ancienneté de 10 à 20 ans : 6 mois maximum ;
- Ancienneté de plus de 20 ans : 9 mois maximum.
Dans le 2ème cas (retour suite à une maladie ininterrompue de 6 mois minimum), l’agent peut reprendre ses
fonctions à concurrence de 50 %, 60 % ou 80 % de ses prestations normales pour une période de maximum
douze mois, à moins que le médecin de l'administration de l'Expertise médicale estime que le nouvel examen
doit avoir lieu plus tôt. Des prolongations peuvent être accordées pour douze mois maximum, si le service
de contrôle médical estime lors d'un nouvel examen que l'état de santé de l'agent le justifie.
Il bénéficie de son traitement complet pour les trois premiers mois des prestations réduites pour raisons
médicales. A partir du quatrième mois, il bénéficie du traitement dû pour les prestations réduites, augmenté
de 60% du traitement qui aurait été dû pour les prestations non fournies.
8. Congé de maternité
Les congés de maternité donnent lieu à l'introduction d'un certificat médical précisant la date probable de
l'accouchement, et ce, au plus tard huit semaines avant celle-ci. En outre, la travailleuse enceinte, qui a
informé son employeur et sa mutuelle de son état de grossesse, a le droit de s'absenter du travail, avec
maintien de sa rémunération normale, le temps nécessaire pour se rendre aux examens médicaux prénataux
qui ne peuvent avoir lieu en dehors des heures de travail. Pour bénéficier de sa rémunération, l'agent doit
préalablement en avertir son employeur. Celui-ci pourra inviter l'agent à produire un certificat médical
justifiant son absence.
♦ Remarque : Il ne faut pas confondre le Service provincial de Contrôle médical et COHEZIO. (Service externe
de prévention et protection au travail). Ce dernier a une mission préventive visant à protéger la santé du
travailleur à son poste de travail. Il n'intervient pas dans le contrôle des absences pendant la maladie.
Toutefois le travailleur soumis à la surveillance médicale périodique, qui a été absent pour raisons de santé
plus de quatre semaines doit en outre se présenter chez COHEZIO pour se faire examiner le jour de la reprise
si possible et au plus tard dans la semaine qui suit.
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CA du 17/03/2021
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Adresses utiles
Centre-ville :
Quai Orban, 32-34
4020 Liège
04/344.62.62
04/344.62.63
Antenne du Sart-Tilman :
CHU (Bât. B35)
04/344 62 59 ou 62 83 ou 62 54
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