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Quand on arrange cette équation pour être sur une différentielle d’ordre 2, nous avons :
∆� + ∆ + �é ∆� =
� �
Nous avons à faire à un oscillateur harmonique amorti avec un coefficient d’amortissement :
�=
� �
Je rappelle que � � est le rayon atomique moyen mais c’est aussi le rayon de la sphère d’expansion
de la masse qui se transforme en et est la vitesse d’attraction (vitesse radiale), mais c’est
aussi la vitesse d’expansion de la sphère de la masse qui se transforme en . Et
�
=√
�
� �
Nous sommes sur l’atome de cuivre, donc les 4 couches quantiques seront 1s, 2s2p, 3s3p, 3d et 4s.
Toutes les couches sont saturées en électrons liés sauf la couche 4s où il n’y a qu’un seul électron
libre. Je ne détaille pas les calculs, ils le sont dans le mémorandum.
Calcul des rayons atomiques de chaque couche
= , . −
� = , . −
� = , . −
= , . −
= , . −
Nous pouvons calculer les différents � de chaque couche :
Pour = = , . − −
−
� = , , �
= �
= , . − −
−
� �= , , �
= �
= , . − −
−
� �= , , �
= �
= , . − −
−
� = , , �
= = , . − −
−
� = , , �
Et une pulsation propre :
� = �é = � é
é est défini au dessus.
Pour = é = , �
−
�é = , Attention � > �é donc régime apériodique
= é � = , �
−
�é � = , � � < �é � donc régime pseudopériodique
= é � = , �
−
�é � = , � � < �é � donc régime pseudopériodique
= é � = , �
−
�é = , � < �é donc régime pseudopériodique
= é = , �
−
�é = , � < �é donc régime pseudopériodique
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Je rappelle, et c’est là où j’insiste, cette équation différentielle commande tous les électrons !
La solution générale que nous avons retenue pour les couches en régime pseudopériodique est
Δ� = Δ� −� �
J’ai pris une solution en cosinus, car je suppose que l’électron vient de l’extérieur pour rentrer dans
sa phase oscillatoire. Donc au temps 0, l’amplitude du signal doit être maximum.
Je rappelle ; pour que le régime soit pseudopériodique, il faut � < �é.
Dans cette équation (encadrée rouge) il faut déterminer � = √�é − � pour chaque couche
Pour =
−
� = é é � Attention : la solution est en régime apériodique !
=
−
� � = , � � < �é � donc régime pseudopériodique
=
−
� � = , � � < �é � donc régime pseudopériodique
= é �
= , �
−
� = , � < �é donc régime pseudopériodique
=
−
� = , � < �é donc régime pseudopériodique
Pour le calcul du Δ� � , voir la page 165.
Le calcul n’est pas difficile, mais il est très long. Nous retiendrons le graphique de la page 167 qui
montre que l’amplitude de l’électron diminue en fonction du rayon atomique moyen.
Plus l’électron est proche du noyau, plus l’amplitude est grande mais il y a un fort amortissement
(donc peu d’oscillations). Par contre plus on s’éloigne du noyau et plus les amplitudes sont faibles
mais plus l’oscillation dure longtemps.
Nous avons calculé toutes les valeurs afin d’établir des courbes théoriques de trajectoire des
électrons. Donc nous devrions observer ce type de courbe
En fonction de la couche quantique captée, on aura soit la courbe mauve, ou verte, ou rouge, …
Mais nous pouvons avoir aussi une addition des signaux :
Considérons la couche 4 hors course puisque nous avons un seul électron libre, la somme donnera :
Si à cette courbe, on enlève la couche 1, parce qu’elle n’est pas en exponentielle amortie, cela ne
change rien.
Il faut tout de même interpréter que nous n’avons représenté des courbes que pour un seul électron
en fonction de la couche quantique qu’il occupe.
Si nous appliquons la règle de Slater pour représenter l’atome de cuivre complet, nous devons
multiplier par le nombre d’électrons par couche. Ceci donnera ce type de graphe :
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Je ne tiens plus compte de la couche quantique 1 qui est apériodique, et qui ne modifie en rien le
signal.
Vous remarquerez l’écriture de l’équation et l’échelle du graphe.
Entre parenthèse le nombre d’électrons par couche quantique :
On ne compte pas la couche 1s à (2) électrons car il n’y a pas d’oscillations sur cette couche, mais
sur la couche 2s2p il y a (8) électrons, la couche 3s3p il y a (8) électrons, la couche 3d il y a (10)
électrons et la couche 4s il y a (1) électron.
Le nombre d’électrons rentre dans l’équation d’oscillation amortie pour n fois le ∆� et n fois la
pulsation � pour chaque couche quantique. Il ne rentre pas dans le coefficient d’amortissement λ
qui donne l’enveloppe de la courbe.
Nous remarquons bien la forme d’exponentielle amortie, mais faisons un grossissement sur la loupe
bleutée :
Nous avions déduit (en page 171) que l’entretien de l’exponentielle amortie ne peut être donné que
par un signal carré. Et ce signal carré ne peut provenir que d’une série de Fourier.
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A partir de ce moment, nous devons considérer la bulle d’expansion d’un électron car cette bulle est
une fonction sinus :
Univers 2 Univers 1
0
Tc
8��
=− � =� = � =�
��
=− � =
Pour qu’il y ait une prise en compte de la bulle d’un électron à la surface de la terre, il faut transposer
la bulle de l’électron vers la bulle du système solaire (tout ceci est expliqué à partir de la page 172).
En faisant cette transposition, on obtient un signal carré pratiquement parfait. Une chose qui n’a pas
été exploitée dans la théorie est le phénomène de Gibbs. Mais à partir de ce signal carré, nous
pouvons déterminer une impulsion qui relancera l’exponentielle amortie.
Donc un signal qui pourra être observé est celui-ci :
Vous trouverez l’explication qui amène à ce signal dans la théorie à partir de la page 176
Cependant attention, ce signal est représenté pour une récurrence de n = 99. Il est évident que pour la
transposition de l’électron au système solaire, cette récurrence est extrêmement grande. Donc les 2
pics de changement d’univers, seront bien plus rapprochés.
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La répétition du signal est calculé pour un seul et même univers = 44,9 KHz
Donc une fréquence possible peut être détectée est le double (pour les 2 univers) = 89,8 KHz.
Il est à remarquer que cette fréquence de répétition n’est pas fonction de la place de l’électron. Elle
est donc universelle pour tous les électrons de tous les atomes … du système solaire.
Oscillo
Barreau de cuivre
Il est évident que ce montage est soumis à toutes les perturbations environnantes !
La question qui doit se poser : est-ce perturbateur pour la mesure ?
Si nous utilisons un câble blindé, il est évident que nous rajouterions une capacité entre l’âme et le
blindage du câble. Ici, nous séparons bien les câbles pour éviter cet effet capacitif.
Le circuit équivalent d’une ligne quadripolaire est , mais comme nous supprimons
l’effet capacitif (câble simple), alors le circuit équivalent est circuit RL
Maintenant, il reste le barreau de cuivre. C’est lui qui va servir de générateur. Mais avant de
déterminer le schéma équivalent du générateur, il faut donner une explication sur la qualité de la
mesure recherchée.
Nous essayons de mesurer un signal qui est provoqué par la « danse » des électrons. Nous avons
théorisé la bande de fréquence que nous recherchons, mais nous n’avons pas de données sur
l’amplitude du signal, qui doit être extrêmement faible.
Donc pour pouvoir mesurer, il faut limiter tout circuit électronique qui va écraser le signal tout en
essayant de se prémunir des perturbations extérieures. Pour cela il faut essayer d’amplifier le signal
sur les fréquences théoriques et voir si nous obtenons quelque chose au scope.
Puisque nous ne voulons pas utiliser d’amplificateur pour ne pas écraser le signal, l’amplification
recherchée sera de faire résonner le circuit. Pour rentrer en résonance, il faudra adapter les
impédances de façon à avoir �� = .
http://www.maxicours.com/soutien-scolaire/electricite/bep-metiers-de-l-electronique/188524.html
Nous avons déjà déterminé (sans quantifier) les impédances du circuit, il reste celle du
« générateur ».
Il y a des notes scannées de Richard Vialle
http://www.magnetosynergie.com/Archives/DocumentsForum/EffetVialle/CalculsTheoriquesDuBarr
eauDeCuivre.pdf
Je vais essayer de décortiquer pour les moins scientifiques (comme moi).
Nous savons que l’atome de cuivre est formé de 3 couches
quantiques avec 28 électrons liés et 1 couche avec 1 électron libre.
L’électron libre est le transporteur de charge. C’est à dire que c’est
lui qui transporte la charge électrique.
Nous supposons le barreau de cuivre comme générateur à cause de
la vibration des électrons.
On peut donc dessiner la branche 1 grâce à tous les électrons liés
qui provoque un courant � (générateur de Norton parfait).
Mais tout courant généré, créée une tension. Nous avons donc un
générateur de Thévenin (branche 2). Mais le sens de la tension suit le sens du courant. Ces deux
branches sont créées par les électrons liés. Le comportement de la branche 2 se fait comme un fil
parfait (sans résistance), nous avons donc une self de fuite . Mais comme il n’y a pas d’effet Joule
(les électrons sont liés), alors la résistance est nulle.
Ensuite, reste la branche 3 qui est le transport d’une charge par les électrons libres. Même s’il n’y a
pas d’alimentation ce circuit est existant, et il est constitué comme un « conducteur » avec une
résistance qui correspond à la résistance du barreau (dans sa longueur) et une self de fuite .
Nous pouvons considérer que « nombre d’électrons par m3 * 28 * charge électrique * section du
barreau » est une constante (A)
−� −�
L’équation devient � = −�[� � +� � ], mais nous pouvons encore
factoriser
−� [
� = −� � � +� � ]
Nous pourrions développer un peu plus, (sous la forme acos � + � ), mais nous voyons déjà
le signe ⊝ par rapport au générateur de Thévenin qui confirme le sens des flèches.
Travaillons sur un seul type de générateur, pour cela nous faisons la transformée du générateur de
Thévenin en générateur de Norton, car nous devons travailler en courant.
Je rappelle que l’équation exponentielle amortie est mise en place avec un raisonnement sur les
forces et quand on regarde le tableau page 143, l’analogie des forces (avec l’unité MS) est l’intensité.
(Pour retrouver les mêmes signes que Richard Vialle, j’ai inversé les signes de I et de V)
Nous retrouvons :
Branche 1 ; le courant � des électrons liés
Branche 2 et 3 ; transformée de Thévenin en Norton avec le
−
courant = (Rappel = ⟹ = )
� �
Branche 4 ; transport de la charge électrique par l’électron
libre
Il est intéressant de noter que le barreau se comporte comme
un transfo avec un primaire parfait (pas de résistance) et
un secondaire standard avec sa self et résistance �
(Branche 3 et 4 ou électrons liés vs électron libre).
Ensuite dans les notes de Richard, il a développé la fréquence double qui est avant tout une
observation du générateur en U et qui peut être calculé. Seulement, les calculs sont complexes et
nous cherchons l’adaptation d’impédance pour faire un circuit résonnant. Nous pouvons, donc, nous
en passer.
Il faut bien comprendre le schéma, et garder toujours en mémoire qu’il s’agit d’un seul et même
barreau de cuivre, et que nous résonnons sur l’atome de cuivre avec des couches à électrons liées et
une couche à électrons libres
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Pour les couches concernant les électrons liés, nous avons la branche 2 mais la branche 3 compte
aussi et avec le schéma équivalent en T (voir le site coef de couplage),
� � � � +�
on peut écrire que = � +� � − � +� ��
� � � �
Mais comme = = , on simplifie et
−�
=
� + �
Enfin, pour visualiser l’exponentielle amortie, il faut considérer le schéma de branchement suivant