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1-a-Le texte est extrait du roman autobiographique « 

La Boite à Merveilles » écrit en 1952 et publié en 1954, de


l’auteur marocain Ahmed Sefrioui(1915-2004).
b- Après le départ du père, Lalla Zoubida qui voulait rendre visite à son amie, recommanda à son fils d’être bien sage
pendant son absence, ce dernier restait tout seul à attendre le retour de sa mère.
2-Le mouvement d’écriture auquel appartient l’œuvre dont on a extrait ce texte est La littérature maghrébine
d’expression française.
Les indices : les termes appartenant à l’arabe dialectal…Doum
Les termes appartenant à la culture marocaine, voire musulmane : la sourate de l’Unité.
3-Ce texte est narratif à dominante descriptive (alternance entre narration et description) :
La description :

 verbes conjugués à l’imparfait à valeur descriptive.(riait, avais, gisaient…).


 La fréquence des adjectifs qualificatifs (affreuse, pitoyables, atroce…)
La narration :

 Verbes conjugués au passé simple, le temps privilégié de la narration (je jetai, prépara, se coucha…)
 La succession des actions.(le narrateur rapporte des événements).
4- Le narrateur s’exprime dans le ton lyrique.
Justification : l’enfant de 6ans éprouve des sentiments variés qu’il décrit avec amertume. (Peur, tristesse, angoisse…).
5-a- non, le narrateur ne garde pas la passion de tous les jours.
Justification : sans oser me mettre…réprimandant l’envie que j’avais de courir dans l’escalier, de sauter au soleil sur la
terrasse…).
b-Non, la boite n’était pas un espace d’émerveillement comme d’habitude.
Justification : …dans ma boite, ce n’était plus une boîte à merveilles mais un cercueil où gisaient les pitoyables
cadavres de mes rêves.
6-les solutions sont : 1- réciter trois fois la sourate de l’Unité.
2-s’enfouir le visage dans un coussin.
7-a- Deux indices de la vie double que subissait le narrateur :

 Ma vie s’écoulait dans deux mondes opposés. Le jour je subissais toutes sortes…la nuit me servait d’appât à
ses monstres.
 Vie double…
b- la figure de style : l’antithèse.
8-Non le narrateur n’avait pas le choix.
« je n’agissais pas, je subissais ».
9-a- le champ lexical du fantastique : deux mondes opposés, vie double, monstres, abîmes, mystère, la fantaisie,
sombres, …
Le champ lexical du temps : jour, nuit, instants, éternité, éphémère, fragment du devenir…
b- hyperbole et métaphore (1ère phrase)
Avec son poids (métaphore) qui imprimait dans ma chair sa… (Allégorie).

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