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Psychiatrie

19 pages

[1] la prescription dune lithothérapie. :C


:B [13] Bien sur que non. Cf question [21].
C’est un des pôles cliniques des schizophrénies. :C [26]
[2] On demande le plus évocateur. :ABCE
:C A B et D - Sont bien sûr présents, mais C est A - Surtout pour les neuroleptiques
Idées délirantes de négation d’organes, spécifique de la schizophrénie. desinhibiteurs. Les syndromes extrapyramidaux
d’immortalité et d’incurabilité. (Q.C.M. difficile, [14] apparaissent à n’importe quel moment dans la
car peut se rencontrer plus rarement dans :D cure.
certaines schizophrénies). A - Mode d’entrée très rare. B - Rabbit syndrom.
[3] C - Le contraire: augmentation de l’activité et C - Par désinhibition hypotalamique.
:B contacts sociaux. D - Fréquente.
La conversion ne comporte pas de lésions [15] [27]
objectivables. :D :C
A - La conversion fait partie de la névrose Antagoniste spécifique, se fixe sur les 4 - Vrais, surtout chez l’enfant.
hystérique, ce qui est différent de la récepteurs centraux de la morphine. 3 - Pour les phobies limites, ce qui est un peu
personnalité. Son affinité étant plus grande, elle déloge la différent.
C - Par définition. morphine. [28]
D - Rare, mais vrai. Utilise dans les overdoses aux dérivés :B
E - Bien sûr, l’hypnose en est la preuve. morphiniques. C’est le signe...
[4] [16] [29]
:D :D :B
Q.C.M. difficile. Le délire passionnel est un délire paranoïaque, Un certificat médical de placement à 24 heures,
La phobie sociale est une phobie limite, donc donc, “en secteur ce qui s’oppose à A et C au de 15ème jour est nécessaire. Un arrêté
A - Est vrai. (forme clinique de schizophrénie), qui présente préfectoral permet la sortie sur demande
D - Est un signe de psychose. une organisation en Réseau’. médicale.
[5] [17] D - Concerne les placements volontaires
:AB :C [30]
E - C’est évidemment le contraire. Le théâtralisme fait partie des symptômes :B
A - Erotisation des rapports. hystériques. L’obsessionnel a au contraire une Est évidemment faux par définition. La
B - Immaturité affective. tendance à la timidité et rintroversion. dépendance physique entraîne un sevrage à
[6] [18] l’arrêt brutal de la drogue.
:DE :C
E - Sine qua non - C’est le dernier signe à En général, très précoce dans l’autisme, ce [31]
persister à la guérison. signe est le premier à apparaître. :C
[7] [19] C - Les deux personnes pouvant lever un
:BC :ABCDE Placement-Volontaire sont le demandeur et le
B - Est la définition. Le syndrome dépressif de l’enfant est médecin du service d’accueil.
C - Est vrai et souvent suivi de signes polymorphe. Il faut aussi savoir que (E) sera 1 - Concerne le placement libre
dépressifs. Mais il existe en même temps que le recherché. 3 - Concerne le placement d’office
geste, [20] [32]
une anxiolys.e :BDE :D
D - Est donc faux. B - ECG recherchant une cardiopathie sévère, 1 - Ne servirait strictement à rien
A - Est faux. troubles du rythme et de la conduction. 2 - Non, car le trouble du langage n’existe qu’à
E - Est faux bien sur. D - Recherche une insuffisance rénale. Le l’école
[8] lithium est élimine uniquement par cette voie. 3 - Pas à 4 ans
:AE E - La lithémie bloque la libération des [33]
A - Oui, à thème de merveilleux. hormones préformées. :B
D - Atteint le sujet âgé, mais différent de la A et C - Concernent la prescription de A - Est vrai. Par définition, le quotient intellectuel
démence sénile. tricycliques. est une notion statistique
E - Est extraordinairement vrai, il n’y a pas (Age mental! Age réel) x 100.
d’évolution déficitaire. [21] B - Est faux.
[9] :C D - Est critiquable - Q.CM. difficile.
:B L’origine est interne. [34]
2 - Antihistaminiques. Le reste des items ne sont que la décomposition :A
4 - benzodiazépines. de la définition. Sans commentaire.
Ne sont pas responsables de tels troubles. [22] [35]
:C :C
[10] Sans commentaire. Typiquement, érotisation des rapports avec le
:D [23] “culte” de la séduction, puis l’insatisfaction
Fait partie des troubles de la pensée. Pensée :C ‘cultivée” voire recherchée, de manière
froide, pseudologique. Taux toxique: 1,3 mMol/l d’où la stricte inconsciente.
[11] surveillance. [36]
:D [24] :D
Car trop élevée pour une S.E.P. :C Par définition de la névrose, elle est perçue
[12] A - La simulation est inconsciente. comme un phénomène morbide, ce qui est
:B B C - Par définition même. générateur d’angoisse.
Par inhibition de libération hormonale, d’oû D - Anxiété. [37]
rintérêt de vérifier la fonction thyroïdienne avant E - Il n’existe pas de lésions objectivables. :D
[25] A - Est parfaitement compatible..
1
B C - Une insuffisance mentale légère ne obsessions-impulsions. En fait, l’idée dopaminergique sur la prolactine.
préjuge en rien de son organicité.. d’impulsion les angoisse, donc ils ne passent E - En particulier le Largactil.
E - Ne veut rien dire. jamais à l’acte. [64]
[38] A - Evident: impulsions répondant à des ordres :CD
:AE délirants. Il faut le savoir: connaissance pure Q.C.M. très
A - Du “petit au grand”, du refus de la main C - Par intolérance à la frustration. ‘pointue’.
tendue, à l’opposition.. D - Lors des ivresses aiguês : toujours à [65]
D - Fait partie d’autres syndromes. craindre. :ACE
[39] E - Cf psychopathie par intolérance à la Par leur effet hallucinolytique.
:B frustration. [66]
Evident. [50] :C
[40] :B C - Par définition, c’est un besoin impérieux
:D Trait hystérique. d’accomplir un geste ou un acte à caractère
Bien évidemment, c’est une phobie de situation, [51] brutal, dangereux ou incongru et qui échappe au
donc, le fait d’entrer à l’école provoque :ACDE contrôle volontaire du sujet.
l’angoisse et entraîne des conduites La psychose paranoïaque représente un danger [67]
d’évitements et surtout de réassurances. pour les autres. :ADE
[52] B - Car on dit non traité.
[41] :BE C - Autre problème.
:BE Par définition A D E - Font partie du syndrome
A - Ne concerne que la tutelle. - le phénomène est vécu comme morbide, c’est schizophrénique.
B - Annulation ou récession en cas de lésions. la définition même de la névrose. [68]
C - Tutelle. - la résistance augmente l’angoisse. :BCD
D - Tutelle - ici déclenchée par une demande [53] Le début est rarement brutal, souvent insidieux,
jointe à un certificat médical. :C il peut être aigu (bouffée délirante polymorphe)
E - Renouvelable 6 mois. Les Neuroleptiques, bloquent les récepteurs à la mais pas toujours.
[42] L.DOPA; ce syndrome n’est pas sensible à cette E - Est totalement faux: la triade
:ACD molécule. schizophrénique étant: dissociation, autisme,
A - Sont un appoint médicamenteux [54] délire.
appréciable. :BDE [69]
C - Oui, cest une bonne médication. B - Par définition; pas de :ACE
D - Marche bien. névrose-obsessionnelle sans rituels. Le lithium est
Traite uniquement le symptôme ; cest une E - Les passages à l’acte sont rarissimes. - thyréotoxique
méthode de psychothérapie comportementale. [55] - néphrotoxique
[43] :BC - et cardiotoxique d’autre part, sa toxicité
:B Typique : les deux symptômes font partie de la augmente en cas d’insuffisance rénale, car il
Sans commentaire: c’est évident. syndromique obsessionnelle. n’est
[44] [56] plus éliminé.
:D :D
1- Concerne les paraphrénies en particulier. Sans commentaire. [70]
2 - N’est jamais présent dans le délire [57] :ACD
paranoïaque. :C A - Est évident.
3 - N’est pas un élément de délire. Le naloxone est un antagoniste compétitif des B - Fait partie de la psychose hallucinatoire
[45] morphiniques (au niveau central). chronique.
:B [58] D - C’est le danger de cette pathologie : geste,
Par définition: la conversion ne comporte pas :B hétéro puis auto agressif.
d’atteinte objectivable. 4000 décès par suicide, par an, en France. [71]
Il faut savoir: [59] :D
- qu’il n’y a pas de respect “anatomique” et :D Evident: caractère familial de la P.M.D qu’elle
physiologique Sans commentaire. soit uni ou bipolaire (surtout bipolaire).
- qu’il n’y a pas de sémiologie associée [72]
- que l’association à d’autres troubles ne veut [60] :B
rien dire. :BE Structure oblige “Il n’y a pas d’hystérie sans
[46] Les benzodiazépines sont: anxiolytiques, trouble de la sexualité’.
:B hypnotiques, myorelaxantes, amnésiantes et On retrouve souvent:
Il est rare que “l’obsessionnel passe à l’acte”. confusiogènes, antiépileptiques - une dyspareunie
Par définition, on retrouve une intellectualisation (anticonvulsivantes) et tout cela à des degrés - une frigidité.
des rapports. variables. Moins souvent une Anaphrodisie.
[47] [61] [73]
:B :ABD :D
L’obsession est une irruption dans la pensée B D - Font partie intégrante de la A - Amnésie de fixation, idem pour (C) (E).
dune idée qui émane de sa propre activité névrose-obsessionnelle. B - Amnésie lacunaire.
psychique. A - Peut en faire partie. [74]
A - Sont souvent décrits comme tels. C - Fait partie de la Névrose phobique. :B
C - Caractères morbides donc (D). E - Fait partie de la Névrose hystérique. La manie (A) est éliminée sur l’asyntonie
E - Ce qui entraîne l’anxiété et les rituels. [62] (maniaque = hypersyntone).
[48] :AD C - Ne peut pas être retenue, puisqu’il n’existe
:D Bien sur, (E) est possible mais non classique! aucune notion de durée des symptômes.
Sans commentaire. [63] B - Est satisfaisant.
:D Q.C.M. difficile.
[49] A - Classique. [75]
:B B - Par effet parasympathicolytique :C
Les névroses obsessionnelles présentent des (atropinique). Qui fait partie du registre obsessionnel. Les
C - Par suppression de rinhibition autres sont évidemment inhérent à l’hystérie.
2
[76] 4 - Pour compenser l’amnésie de fixation. 24 heures.
:ACD [87] Il est à noter qu’il peut aussi être demandé par
E - Fait partie de la lignée paranoïaque. :D le commissaire de police.
C D - Font partie de la dissociation. C’est un des troubles thymiques concernant C - Placement volontaire.
A - Est un des pôles de la schizophrénie. entre autres la manie. A - Placement libre.
[77] A B C E. - Sont des signes de dissociation. [100]
:ACDE [88] :C
Il manque les hallucinations zoopsiques: :C La perte d’élan vital (A) ne fait pas partie de la
Dysarthrie, sueurs, agitation, troubles de Le maniérisme et les rires immotivés font partie souffrance morale mais elle rentraîne.
l’équilibre. B - Non, jamais. de la bizarrerie. [101]
[78] La névrose obsessionnelle peut quelquefois :BD
:ABC donner le change pour le maniérisme Dans les P.M.D. c’est admis depuis longtemps,
On peut y ajouter la catatonie pour les scrupulosité, méticulosité mais jamais de rires on ne connait pas le mode de transmission.
étiologies. immotivés. Mais récurrence de 20% dans la forme bipolaire
D - Une activité motivée et conservée. en cas dun antécédent familial.
E - Idem pour (E). [89] Ce taux est plus faible dans la forme unipolaire.
[79] :BCDE D - Il faut tout de même l’admettre.
:ABC Par effet. Savoir que rarrêt brutal des IMAO peut [102]
Par définition, elle est automatique, incoercible, s’accompagner d’hypertension artérielle :ABC
d’origine interne, précédée d’une lutte anxieuse paroxystique. B C - Sont évidents.
soulageant celle-ci, sans objet précis et vécue E - Donne des hypotensions artérielles A - Tentative de suicide impulsive ou, sur ordre
comme morbide. orthostatiques plus fréquemment que D (cf délirant ou devant rintensité de l’angoisse
Droleptan®). psychotique.
[80] [90] E - Pas au début mais au cours de la
:C :AB décompensation.
La lithothérapie réclame un régime normosalé. Sans commentaire. D - Touche le sujet plus âgé.
Le lithium étant un ‘analogue structurar, il prend [91] [103]
la place du sodium dans les canaux au niveau :C :C
tubulaire; aussi, rhyponatrémie entraîne une Cela va des dystonies aiguês à court terme aux Q.C.M. difficile.
augmentation de la réabsorption de lithium et dyskinésies tardives à long terme. Les 2 et 4 - Ne font pas de doute mais c’est le
donc des syndromes hyperlithémiques. explications neurologiques sont actuellement “spécifique” qui est gênant.
[81] floues en ce qui concerne les dyskinésies [104]
:C tardives. Retenir qu’il provoque un déficit relatif :B
L’antécédent familial de P.M.D. (accès en Dopa. Suspension involontaire de toute activité motrice
maniaque) est le seul argument ici pour [92] et psychique.
rendogénicité. :D [105]
[82] Evident. :ABCDE
:B Aucune hésitation n’est possible ‘par A - Bien sûr, tout docteur en médecine
A - Personnalité schizophrénique. surestimation du Moi. - non parent jusqu’au second degré avec le
C D E - Sont des melting pots des pathologies [93] demandeur, ni avec le Directeur de l’hopital
paranoïaques et schizophréniques. :C d’accueil.
[83] A - Manie. - ne travaillant pas dans le service d’accueil.
:DE D - Palilalie. B - Sur un papier libre aussi ave : Nom, prénom,
A - Pas dans ce type d’anorexie. E - Débilité. adresse du médecin rédacteur.
B - Fait partie du tableau psychotique entre C - Définit le barrage. C - Bien sûr, et sans mots “techniques”.
autres, dans l’anorexie essentielle, il y a au [94] D - Non. Cf A.
contraire une extraversion. :A E - Oui, c’est la loi.
C - Non. Sans commentaire. [106]
D - Fait partie du tableau (dernier signe à [95] :B
persister). :C A - Jamais décrit.
E - Bien sûr!! C’est la définition. B - Oui, les dyskinésies tardives.
[84] [96] C - Non.
:A :C D - Non, ils sont hypotenseurs par effet 5.
A - Penche vers la P.M.D. Elle est souvent liée à la tachypsychie et fait E - Non, pas toujours, entre autre jamais de
B - Oui pour quelques-uns: mais non classique. partie de l’exaltation de l’humeur. première intention.
C - Non, car la toxicité augmente avec l’âge. [97]
E - L’observance et le régime doivent être :E [107]
stricts. L’absence régulière de prise invalide la C’est une phobie limite. :CE
prophylaxie. Conviction et peur d’être laid ou dysmorphique A - Est vrai dans toute dépression sévère.
D - La lithothérapie est d’autant plus efficace (asymétrique...). B - Sans objet.
que la P.M.D est bipolaire. A B - Sont caractéristiques de la névrose D - Est souvent vrai. Fait souvent partie des
[85] phobique. syndromes anxieux.
:BCD C D Sont des obsessions phobiques volontiers C E - Sont des éléments de la lignée
A - Sont spécifiques de la névrose phobique. rencontrées dans la névrose obsessionnelle. schizophrénique.
C - Est une phobie limite appartenant en fait au [98] [108]
registre obsessionnel. :D :A
D B - Voir définition. L’association est possible avec B mais ici il 1 - Par l’intensité de la perplexité anxieuse.
[86] existe ‘une angoisse massive” qui n’est pas 2 - Bien sûr, idem pour 3.
:D émoussée par les benzodiazépines. 4 - Est un ‘détournement de langage’.
Seul 2 pose problème mais l’apraxie ne fait pas [109]
partie du syndrome de Korsakoif. Retenir: [99] :B
- apraxie constructrice: lobe pariétal :BD Par définition.
- apraxie idéatoire: pariétal majeur. Mais D implique un arrêté préfectoral dans les [110]
3 - L’amnésie est de fixation ici. :B
3
Les deux seuls possibles étaient B et C, mais E - Personnalité schizoïde ou obsessionnelle. :C
l’Haldol est, ici, le seul hallucinolytique. [124] A - Peut faire partie d’autres syndromes.
[111] :BC B - Catatonie.
:D B - L’elimination est uniquement rénale, d’où C - Bien sûr.
C’est classique, décrit dans tous les ouvrages l’accumulation en cas d’insuffisance rénale (N.B: D - Difficile car n’est pas spécifique.
mais c’est rare. le lithium est néphrotoxique). E - Idem que A.
C’est une conversion possible. C - D’où la prescription d’un oestroprogestatif [139]
[112] systématiquement avec une lithothérapie. :C
:ABE D - Non, hypotyroïdie. 1.3 - Impulsions souvent clastiques mais
A E.- De manière compensatoire. [125] quelquefois suicidaires.
B - Oui, un ‘oubli à mesure’. :C 2 - Non, pas de passage à l’acte.
[113] Mais A est ambigù. [140]
:D [126] :E
C - Le contraire. :B Tout est vrai, tout est possible. Il suffit d’un peu
A - Non. Il y est particulièrement fréquent dans la forme de bon sens.
E - Bien sûr que non. paranoïde. On peut le retrouver dans d’autres [141]
[114] psychoses hallucinatoires. :E
:ABC Tout est possible.
Souvent passage à l’acte classique, quelquefois [127] [142]
suicidaire. :A :C
D - Rarement, très rarement, de passage à Connaissance. Evident par effet anticholinergique (atropinique).
l’acte. A savoir que le taux toxique est> 1,3 meq/litre, Idem pour les adénomes de la prostate.
[115] donc très proche. [143]
:CD [128] :D
C - Répond mal aux antidépresseurs. :D Par définition, nous rappellerons qu’à 18 ans, le
E - Non, c’est la catatonie qui en est l’indication. C’est l’obsession par définition. Le reste est QI est une notion statistique. 95 % de la
Il faut savoir qu’il y a d’autres indications sans objet bien évidemment. population possède un QI entre 95 et 105.
- dépressions graves multirésistantes [129] Les autres items ne sont pas incompatibles.
- certaines bouffées délirantes :D [144]
- psychoses de la puerpéralité. Faux, est restrictif. :D
[116] C - Est bien entendu vrai. Hétéro agressivité Pour les mêmes raisons.
:B tournée contre soi. QI = 65. Ne correspond pas à l’insuffisance
2 - Non. [130] mentale profonde.
4 - Non, pas à dose usuelle mais toxique. :ABCDE [145]
A B - Sont classiques. :B
[117] C - Au sevrage. Syndrome découvert à propos de trouble de la
:B D - Plus classiquement au syndrome scolarité.
C’est évident. L’amnésie sélective se retrouve d’excitation mais la dépression est possible E - N’est pas compatible.
dans certaines névroses hystériques. (idem pour [146]
[118] E). :BD
:DE [131] Bien sûr indépendante des circonstances
A - Non, c’est le cas des neuroleptiques. :BE extérieures.
B - Non, ils demandent alors une certaine B - C’est la définition. Son caractère est perçu comme morbide par le
surveillance. C - Non, c’est normal. sujet.
C - Non, c’est le lithium. E - Oui, vrai aussi dans le Parkinson.
D E - Effet anticholinergique. [132] [147]
[119] :ABCDE :D
:BDE Cf: effets indésirables des neuroleptiques. Evident.
A - Concerne les antidépresseurs tricycliques. [133] [148]
C - Rien à voir. :BCD :C
[120] B - Par définition. Par définition (après 4 ans).
:BCD C - Certaines “phobies-limites”. [149]
A - ‘Constamment” est faux. D - En particulier: les phobies de l’enfant. :A
B - Oui, bien sûr. [134] Mais cest un test abandonné car non spécifique.
C - Est vrai d’où rintérêt d’examiner ces :E [150]
malades. 3 - Souvent à minima: tremblement. :D
D - Est vrai. [135] Cf règle de prescription.
[121] :D Savoir quen cas de déplétion sodée, on a une
:ACDE Fait partie des troubles de la pensée du augmentation de la lithémie
Réviser les étiologies des syndromes syndrome dissociatif de la schizophrénie. [151]
confusionnels. [136] :AE
B - Non, ne donne pas d’élément délirant, mais :D Q.C.M. difficile : c’est une pathologie rare. Il faut
des syndromes confusionnels, oui. C’est évident. le savoir.
[122] A - Est souvent une conséquence de D. [152]
:D C - Aussi. :CD
B - Non, on observe un onirisme ce qui est Q.C.M. difficile (pour B).
différent. [137] B - Surtout Haldol ou Tercian, mais on peut s’en
D - Bien sûr, dans le délire paranoïde :BDE passer.
E - Non. E - Est discutable car les thèmes professionnels C - En particulier, Equanil.
[123] existent dans dautres onirismes mais plus D -15 jours plus tard en général.
:AB fréquemment dans le delirium tremens. [153]
C - Personnalité obsessionnelle, personnalité B D - Sont souvent associés à des sueurs. :ABCDE
paranoïaque. [138] A - Oui, manies ou mélancolies délirantes.
D - Obsessionnelle. B - Oui, le D.T.
4
D - Oui, les psychopharmacodoses. ayant une action suffisamment rapide. Au contraire, charge affective extrêmement
[154] [167] lourde.
:ABCDE Le reste est évidemment exact.
Sans commentaire. QUESTION ANNULEE. [178]
[155]
:AD [168] QUESTION ANNULEE
Sans commentaire. :C [179]
[156] QCM très difficile. :ABC
:A A. Non, la théorie freudienne se voulait D. Cf: névrose hystérique ou autre.
C’est le danger de la prescription au long cours universelle. E. Cf: psychopathie.
des B.Z.D. B. Non, ce conflit n’a jamais expliqué la C. De façon très classique.
[157] problématique de la Névrose obsessionnelle. [180]
:C C. Bien sûr. :ABCDE
Les autres indications communément admises D. Idiot. La conversion peut s’exprimer de toutes les
sont: E. Non : à l’âge mûr, c’est le démon de midi façons. A noter qu’elle atteind souvent des
- la catatonie [169] fonctions de communication et qu’elle est
- les dépressions résistantes :ADE théâtrale
- les bouffées délirantes chez la femme enceinte B. Non le traitement en est les antidépresseurs. [181]
le reste étant un problème d’école. c. Non préférentiel. :AB
D. Admis par tous. A. Est discutable maintenant, mais reste
[158] A. Idem. classique à l’internat.
:E E. Idem si résistants au traitement B. Par définition.
Par définition on oppose neuroleptique. C et D. Concernent la paranoïa.
- délire en réseau [170] E. Concerne plutôt la paraphrénie mais reste
- délire en secteur suivant qu’il envahit ou non :D discutable.
tous les champs de la personnalité. A. Non, pas d’hallucinations. [182]
[159] B. Idem. :C
:A C. Non, le délire est très paranoïde. Par définition : atteinte fonctionnelle sans
B. Appartient à la personnalité hystérique. D. C’est le tableau classique. aucune correspondance anatomique.
C. AZ la personnalité de type psychopathique. E . Rien à voir. [183]
D. Rien à voir. [171]
E. Se retrouve dans la personnalité schizoïde. :D QUESTION ANNULEE
(A ne pas confondre avec le doute On oppose délire en réseau et délire en secteur, [184]
obsessionnel). suivant qu’il envahit ou non les différents :CD
[160] champs de la personnalité. Sans commentaire.
:B [172] [185]
Bien sûr c’est la définition même de l’obsession. :ABCD :AE
[161] B et D. Etant des effets secondaires il est à noter Sans commentaire.
:D que leur première définition était B.
Sans hésitation possible, on peut aussi la E. Non, c’est une action sous corticale [186]
rencontrer dans certains formes de mélancolie. dominante (nigro striatale). :ACD
[162] [173] Q CM difficile et discutable.
:BC :CDE A. Est vrai sans aucun doute.
Par définition. A. Est sans objet ici. B. Est discutable.
Ce n’est pas une idée délirante puisqu’elle est B. Non, aprosexie comporte une diminution de C. Est vrai mais récemment prouvé.
reconnue comme absurde. la mémoire de fixation (qui n’existe jamais dans D. Bien sûr.
[163] la mélancolie). E. En aucun cas, ‘en règle’.
:ABD C. Bien sûr et en particulier dans la mélancolie [187]
A. Est évident. stuporeuse. :BCDE
B. Hautement tératogène. D et E. Font partie du syndrome physique de la A. Jamais dans l’attaque de panique.
C. Non, surveillance entre autres de la fonction mélancolie. E. En règle non mais peut se voir. Dans
rénale. [174] certaines formes clinique (confuso-oniriques).
D. Reconnue par tous. :CD [188]
E. Non, le lithium peut bien entendu être associé A. Non, le délire paranoïaque est d’apparition :ABCD
aux IMAO. plus tardive ce qui le différencie du délire A. Bien sûr.
[164] schizophrénique. B. Non plutôt des conduites boulimiques.
:A B. Non, les éléments thymiques existent dans la C. Bien sûr.
A. Amnésie antérograde + conservation des faits paranoïa sensitive. D. Manque de mot.
anciens. C. Par définition ; délire systématisé. E. Non délire persécutif en général mais très
B. Non, tout au plus, une fabulation D. Oui, cf: cours. pauvre.
compensatrice. E. Non ; très mauvaise réponse et c’est un des [189]
C. Non, mais un syndrome confusionnel qui est grands problèmes thérapeutiques. :BDE
un trouble de la vigilance. [175] A. Non, l’anxiété, quand elle est présente
D. Non, signe différentiel avec le D.T. :D apparaît par bouffées.
E. Oui, fabulations compensatrices et L’agoraphobie fait partie des névroses B. Entre autres oui.
paramnésies. phobiques ou de certains syndromes anxieux. C. Non.
[165] D. Bien sûr, tachypsychie.
:C [176] E. Oui et en particulier par “recherche frénétique
C’est le seul qui n’ait pas d’effet :E du plaisir”. Penser à la sauvegarde de justice.
anticholinergique dans la liste proposée. Bien sûr: “monde imaginaire plus réel que le [190]
[166] réel”. :A
:E [177] Elle est quasi caractéristique de la schizophrénie
Bien entendu. :D dans toutes ses formes cliniques.
Seul correcteur du trouble extrapyramidal aigué [191]
5
:ABCE les effets secondaires sont surtout endocriniens. [218]
Seule la paraphrénie, d’apparition beaucoup [206] :BDE
plus tardive et rare, est exclue des modalités :C E - L’alcoolisme chronique joue également un
évolutives. Dans raccès maniaque, le risque de dépenses rôle dans la jalousie pathologique non délirante,
[192] inconsidérées est fréquent. de loin la plus fréquente. li s’accompagne dans
:ABC [207] la moitié ou les deux tiers des cas de
Pas de commentaire; c’est une question de :ABD manifestations de jalousie qui s’expriment par
sémiologie pure. C - Discutable car les plaintes somatiques des scènes bruyantes et souvent violentes.
[193] fréquentes n’ont pas toujours une tonalité [219]
:ABCDE hypocondriaque. :D
A. Délire systématisé. [208] Evident.
B. Non quasiment jamais. :B [220]
C. par définition. B - Mauvaise formulation. :BCD
D. Non, contrairement à l’évolution déficitaire D - Laccès mélancolique classique ne comporte Les phénomènes de conversion hystérique
des schizophrénies. pas de stupeur, mais la mélancolie touchant préférentiellement les fonctions
E. Bien sûr; c’est le problème médico-légal. Le stuporeuse est une forme clinique possible. corporelles concernées par la vie de relation. Il
plus grave en psychiatrie. [209] s’agit de symptômes réversible, fonctionnels
:AC pouvant cependant induire des séquelles
[194] B - Intérêt à titre préventif dans la PMD ou physiques.
:D curatif dans l’accès maniaque. [221]
A. Non c’est le contraire. D - Piège car intérêt d’un NLP sédatif. :CD
B. Rrien à voir. E - Indiquée isolément ou, le plus souvent, en Connaissances.
C. Bien sûr que non, c’est le cas du délire association avec une thérapeutique [222]
paranoïaque. antidépressive dans les dépressions non :AB
D. Par définition. mélancoliques. A - En particulier la clomipamire (Aafranil®) à
E. Non prédominant, il peut être hallucinatoire [210] des doses souvent supérieures à celles
par exemple.... :ABCD utilisées dans les dépressions, soit 150 à 225
[195] E - Ou obsessions impulsives sont retrouvées mglj.
:D dans les névroses obsessionnelles et E - Au contraire, les antidépresseurs tricycliques
Mais QCM très discutable car (B) est vraie aussi consistant en la crainte obsédante de céder à sont susceptibles d’en donner.
mais moins fréquent. une impulsion. [223]
[196] [211] :ACE
:ABCDE :ACD La tendance actuelle est de rattacher la plupart
Sans commentaire. Sans commentaire. des cas de schizophrénies dysthymiques à des
[197] [212] formes délirantes périodiques de la psychose
:ABC :C maniaco-dépressive.
D. Non, bouffées dangoisse paroxystiques. Hallucination : perception sans objet.
E. Non, pas dans sa forme typique. Illusion : perception déformée d’un objet réel. [224]
[198] [213] :BCD
:E :C B - Discutable car cest une mauvaise
Par définition, sans commentaire. Syndrome de Cotard : thèmes de négation formulation. La phobie a une valeur défensive
[199] d’organes avec parfois des idées de damnation contre rangoisse dont elle permet le
:D et d’immortalité. déplacement et la condensation sur des objets
C’est le seul indice de dangerosité très probable symboliques (voir séméiologie psychiatrique de
qui justifie le placement. E. Est discutable. [214] Th. Lemperière, Masson).
[200] :D [225]
:ACDE Avant d’affirmer la nature fonctionnelle d’une :D
Cf. Cours de psychiatrie. B.D.A., il importe d’avoir éliminer une origine Sans commentaire.
B. Est évidemment faux. organique, en particulier infectieuse ou [226]
[201] traumatique, une origine épileptique, puerpérale :C
:ADE ou toxique (en particulier amphétamines, LSD). C - Il existe une recrudescence vespérale de la
QCM très très discutable, il devrait être annulé. [215] symptomatologie et en particulier de
[202] :C rassirisme.
:BC L’attaque de panique qui correspond à une crise [227]
Erotomanie chez la femme. d’angoisse aiguê nécessite un traitement :AC
Jalousie chez homme. anxiolytique énergétique. B, E - Retrouvés dans la personnalité
D et E. Sont des délires de revendications. [216] obsessionnelle.
[203] :C D - Retrouvés dans la personnalité
:AC A - Peur de sortir dans les lieux publics comme psychasthénique.
A. Est très fréquent. les rues, magasins et moyens de transport. [228]
B et D. Concernent la schizophrénie. B - Inquiétudes, d’allure obsessionnelles, :AB
E. Concerne la mélancolie. concernant l’ensemble ou une partie du corps. Les neuroleptiques sédatifs de type
D - Crainte obsédante de céder à une impulsion. phénothiazine, tels que le LARGACTIL®
[204] E - Phobie des endroits clos. entraînent plus souvent des hypotensions
:ACE [217] octhostatiques et moins fréquemment des
A. Très fréquent. :AC syndromes extra- pyramidaux que les
C. Evident. Le délire onirique ou onirisme comporte surtout neuroleptiques désinhibiteurs.
E. Est ce qui fait la gravité du pronostic de cette des hallucinations visuelles dont les contenus [229]
maladie. sont le plus souvent désagréable voire :D
[205] monstrueux. Les visions de scènes sont souvent E - Il sagit d’un délire paranoïaque ,systématisé
:C de nature zoopsique. Les illusions sont ‘en réseau’.
E. Non, ces phénomènes peuvent exister mais fréquentes. Adhésion absolue du sujet, D - Délire paranoïaque passionnel systématisé
ils ne sont pas fréquents avec le Sulpiride dont perception déformée de l’environnement, en secteur.
exacerbation par l’obscurité et le bruit. C - Délire paranoïde son systématisé, flou,
6
rencontré chez le schizophrène. absurde, provocateur ou criminel. fonctionnel et non lésionnel, en général
A - Délire chronique systématisé à forme [239] réversible et dont les séquelles physiques sont
imaginative ou fantastique, où les mécanismes :B possibles.
utilisés sont essentiellement imaginatifs et/ou La mortalité par suicide représente 1,6 % des [249]
hallucinatoires. décès. Elle intéresse régulièrement deux :BD
[230] hommes pour une femme quels que soient B - Hallucinations s’imposant de façon
:D l’âge, le milieu socioculturel et les impérieuse. Risque hétéro et auto-agressif (par
E - Fréquent du fait de l’intensité des réactions caractéristiques individuelles : 2 pics de exemple, hallucination auditive commandant au
affectives. fréquence : adolescence et sujets âgés. sujet de se suicider).
E - Les thèmes les plus fréquents concernent la [240] D - Risque de passage à l’acte hétéro-agressif.
naissance récente d’enfant qui peut être niée :D [250]
ou vécue sur un mode persécutoire. A - Amnésie antérograde avec anosognosie et :BCD
[231] tendance aux fabulations compensatoires. A - Début le plus souvent après 40 ans.
:C B - Amnésie électives lacunaires E - Efficacité partielle des neuroleptiques.
C - Donnée classique. caractéristiques. Permettent une mise à distance.
[232] C - Amnésie mixte.
:ABCDE D - Amnésie antérograde et rétrograde, [251]
A - En cas d’insuffisance entre hypophysaire, fluctuante. :AC
l’asthénie est un élément majeur du diagnostic [241] Discordance = syndrome dissociatif. ‘Désordre
avec apathie psychique, ralentissement net des :ABC des phénomènes psychiques qui ont perdu leur
idées et indifférence à l’égard de l’entourage. La La personnalité paranoïaque est constituée de cohésion interne.
peau est froide, sèche et pâle au niveau des quatre traits fondamentaux: l’hypertrophie du [252]
paumes et les doigts sont boudinés (insuffisance moi, entraînant entre autre psychorigidité et :B
thyréotrope). Dans l’anorexie mentale, il existe obstination (A, C) ; la méfiance ; la fausseté du Lamnésie lacunaire recouvre une période où les
une acrocyanose et parfois des oedèmes de jugement (B) et l’inadaptation sociale C et E se souvenirs nont pas été fixés (par exemple,
carence. retrouvent dans la personnalité obsessionnelle. traumatisme crânien, épisode confusionnel,
séance délectrochoc).
[233] [242] [253]
:D :CD :ABCD
Lastasie-abasie est la difficulté à la station Ils s’installent le plus souvent de façon Sans commentaire.
debout et à la marche. On la rencontre dans insidieuse et progressive chez des sujets d’âge [254]
rhystérie fréquemment comme manifestation moyen (35 à 45 ans). Survenant sur des :BC
conversive. Elle peut se retrouver dans les personnalités très diverses, pathologiques ou B C - Drogues psychédéliques
syndromes parkinsoniens. non. (psychodysleptiques ou psychomimétiques)
[234] [243] comme
:ABDE :E mescaline, psylocybine.
C - Retrouvée sous la personnalité paranoïaque, Le placement d’office permet, à la différence du D - Stupéfiant.
et constituant avec rhypertrophie du moi et la placement volontaire, de ne pas E - Groupe des stimulants.
méfiance, le trépied symptomatique. compromettre un membre de la famille. [255]
[235] [244] :B
:ABE :E Oubli d’une expérience douteuse ou pénible,
Tous les neuroleptiques, quelle que soit la dose Les autres contre-indications absolues sont : oubli dune tranche de vie, méconnaissance
administrée, peuvent entraîner des dyskinésies adénome postatique, troubles de la conduction systématique d’un évènement douloureux.
aiguès ou tardives. ou du rythme cardiaque graves, infarctus du [256]
C, D - Les benzodiazépines et antidépresseurs myocarde récent, association à un IMAC. :AD
tricycliques ne donnent pas ce type d’effets [245] B - Fréquentes entre 2 et 5 ans.
secondaires. :E E - L’amnésie est totale.
[236] Activité psychique qui consiste à fixer son [257]
:A attention et à exercer ses raisonnements sur des :AE
B - Etat associant des symptômes thymiques, contenus exclusivement abstraits, illogiques, ou D - On ne peut parler d’énurésie que chez un
associatifs et délirants, évoluants par poussées autistiques sans référence à des situations enfant ayant un âge mental supérieur à 4 ans, un
aiguês, récurrentes, sans déficit marqué dans concrètes (‘dépense à vide). Réf. : J.D GUELFI âge chronologique supérieur à 5 ans.
l’intervalle des épisodes. Psychiatrie de rAdulte, Ellipses. [258]
C - Forme la plus fréquente et la plus [246] :A
productive. :ACD A - Hallucinations: perception sans objet.
D - Forme dominée par la dissociation, la C D - Sont des conduites d’évitement qui, avec Caractérisées par leur sensorialité, leur
discordance, l’indifférence et rapragmatisme, les conduites de réassurance, constituent les spécialité.
1/5 stratagèmes utilisés pour surmonter rangoisse D - Se voient dans les bouffées délirantes
des schizophrénies. phobique. aigues, la schizophrénie ponchoïde, les états
[237] B - Dans les névroses obsessionnelles. confuso-oniriques et la psychose hallucinatoire
:D E - Dans les phobies sociales. chronique.
La dissociation psychique est considérée [247] E - Peuvent faire partie dun état
comme le trouble fondamental. Elle désigne la :ACE confuso-onirique.
perte d’unité de la personnalité de sujet et se C E - Classique. [259]
traduit dans la pensée, l’affectivité et le A - Les délires paranoïaques de revendication :D
comportement. peuvent être centrés sur des préoccupations Sans commentaire.
[238] hypochondriaques délirantes. Il s’agit d’un délire [260]
:E passionnel et non-interprétatif (B). :D
Les phobies d’impulsion ou obsessions [248] Maintenant, hospitalisation à la demande d’un
impulsives se rencontrent dans la névrose :ACDE tiers. Doit comporter deux certificats médicaux.
obsessionnelle. Elles sont à différencier des La conversion intéresse les fonctions corporelles B-15 jours.
obsessions phobiques. Une phobie d’impulsion concernées par la vie de relation, en règle C - Au contraire.
est la crainte obsédante de céder à une générale. Il n’existe aucune atteinte organique E - Peut être rédigé par tout médecin thésé.
impulsion, d’être contraint de commettre un acte sous-jacente et le symptôme conversif est
7
[261] [273] [283]
:B :D :BCD
Dans 75% des cas, se révèle entre 15 et 35 ans. Spécifique de la schizophrénie, désigne la A - L’anorexie masculine représente un cas sur
[262] discordance dans le domaine de l’affectivité: dix d’anorexie.
:ABDE émoussement de l’affectivité et perte de l’élan B - 5 à 10 % des décès selon les études.
A - Les plus fréquents (tics paupières, tics vital. c - L’aménorrhée peut être primaire ou
buccofaciaux). [274] secondaire.
D - S’ils sont fréquents et gênants. :BE E - Au contraire, hyperinvestissement scolaire.
E - Hyperémotivité, instabilité psychomotrice, L’indication majeure de la sismothérapie est la [284]
traits obsessionnels. dépression mélancolique; parfois les manies et :BcD
[263] les délires aigus, uniquement en cas d’échec du A - Ne fait pas partie du syndrome confusionnel
:ABC traitement chimiothérapeutique. mais des étiologies du syndrome
L’action des neuroleptiques [275] confusion nel.
- création d’un état d’indifférence psychomotrice :BC [285]
- baisse d’agitation et d’agressivité Les autres caractéristiques de la personnalité :BCD
- action médiatrice sur les psychoses hystérique - Autres contre-indications: maladie de
- production d’effets secondaires neurologiques - comportement séducteur inadapté Basedow, insuffisance cardiaque et 1DM récent,
et neurovégétatifs - labilité émotionnelle association IMAO.
- action sous-corticale dominante. - égocentrisme avec intolérance à la frustration - L’épilepsie est une contre-indication relative.
[264] - recherche d’approbations ou d’éloges. [286]
:CE D E - Traits de personnalité obsessionnelle. :BD
A - L’automatisme mental (hallucinations [276] A - Schizophrénie.
psychiques) fait partie du syndrome délirant. :D D - Insomnie : constante.
C - Tachypsychie. Sans commentaire. [287]
D - L’insomnie est constante. [277] :ABD
E - Le sujet se met à l’unisson de l’entourage. :ABD A - Anxiolytique type carbamates.
[265] C - Signe clinique de l’état maniaque. D - Comme la plupart des état
:ADE E - Dans l’état dépressif, il peut exister un confuso-oniriques.
Sans commentaire. ralentissement psychomoteur avec diminution E - Hallucinations visuelles terrifiantes.
[266] des
:AD capacités intellectuelles. Notion de reversibilité. [288]
Sans commentaire. [278] :ABC
[267] :E D - Evolution spontanée vers la guérison en 5-6
:CE B - L’arithmomanie (obsession du calcul) : le mois en moyenne.
C E - Caractéristiques de la schizophrénie. sujet ne peut s’empêcher de compter, de E - L’indication majeure est la mélancolie.
B D - L’humeur maniaque est changeante. vérifier. E - Histrionisme ou chéatralisme. Trait Indication si résistance au traitement
Impatient, survolté, le maniaque s’irrite à la de personnalité hystérique. neuroleptique
moindre ou/et lithium.
contrariété. [279] [289]
[268] :E :ABCE
:DE A - Déséquilibre psychique = psychopathie. - Surviennent en 6-12 heures : douleurs
- Dysmorphophobie: idée prévalente avec E - Stupeur = état de suspension de toute abdominales, nausées, tremblements, parfois
certitude inébranlable (pas une véritable phobie). activité motrice. Se voit lors d’un état de stress diarrhées.
Crainte obsédante d’être laid, d’avoir le corps ou émotionnel, la mélancolie, la confusion mentale, - Maximum en 2-3 jours!
un organe disgracieux, voire rebutant. la catatonie. - Est traité par Nalaxone (Norcan®).
- Chez l’adolescent (souvent avec structure [280] [290]
obsessionnelle) et chez le schizophrène (certains :ABDE :E
auteurs réservent le terme à la schizophrénie). Le trouble autistique comprend A - Diffluence = mode de pensée qui se
[269] - altération qualitative des interactions sociales développe dans plusieurs directions.
:ABDE - altération qualitative de la communication B - Incohérence = manque de logique.
C - L’alcoolisme est une complication fréquente verbale et non verbale C - Absence = suspension brutale et passagère
dans les troubles phobiques. - restriction du champ des activités et des de la conscience.
intérêts : stéréotypies. D - Discordance = caractérise l’ensemble du
[270] [281] syndrome schizophrénique.
:ACD :A [291]
A - Type chlorpromazine (Lorgactil). A - Les obsessions idéatives sont des idées que :AB
C - Type halopéridol (Holdol). le patient juge morbides, et qui persistent L’anorexie mentale comprend aussi
D - Type sulpiride (Dogmotil®). malgré ses efforts pour s’en débarrasser. - perturbation de l’estime du poids corporel, de
B E - Sont des tranquillisants. B - Le patient ne peut accepter ses idées la taille ou des formes
[271] comme siennes. - aménorrhée d’au moins trois cycles menstruels
:A c - Souffrance du patient vis-à-vis de ses attendus.
Forme marquée par rabsence de délire, obsessions. [292]
l’importance des symptômes déficitaires. D - Dates imposées : délire avec syndrome :BDE
Traitement: d’influence. Les troubles du langage chez l’Alzheimer:
neuroleptiques incisifs (efficacité limitée). E - Absence d’idées délirantes. manque du mot, puis logorrhée, jorgonaphasie,
[272] [282] paraphasie, écholalie, jalilalie, logodonie.
:E :ADE A E - Créations linguistiques du schizophrène.
B - Peur des endroits découverts et des lieux A - En France, la première cause de confusion [293]
publics. mentale est l’alcoolisme (intoxication aigue, :AB
D - Peur des maladies. delirium tremens, encéphalite cirrholique). Le thème du délire est l’histoire centrale autour
E - La peur de rougir (ou enentophobie) et la Penser aussi aux intoxications de laquelle il s’organise.
peur d’être observé en public sont des signes médicamenteuses. D - Les paramnésies : altération du souvenir
de D - AEG, tachycardie, déshydratation et avec interaction du passé et du présent, du réel
phobie sociale. hyperthermie. et de l’imaginaire.
8
E - Hallucinose : perception sans objet d’ordre BCD - Eléments possibles. :BD
neurologique. [8] Mais (B) n’est qu’un traitement d’appoint qui
[294] :C permet de soulager l’angoisse de manière
:ABCD Ne se discute pas. Il faut: ponctuelle.
La discordance appartient à la schizophrénie. - instaurer un traitement D - Ont fait preuve d’efficacité car le syndrome
[295] - calmer l’angoisse dépressif est souvent contemporain et la
:BCD - surveiller la grossesse. symptomatologie névrotique.
A - Signe de confusion mentale. [21]
E - Rituels de vérifications dans l’obsession (= [9] :ABCD
compulsion). :C A - Fait partie du syndrome dissociatif.
[296] On emploiera de préférence le Largactil®. La B - Evident.
:BCE grossesse est supérieure à 3 mois donc n’est C - Une voix répète sa lecture’.
Les délires paranoïaques chroniques sont le plus plus une contre-indication. D - Idem que (C).
souvent basés sur des interprétations. [10] E - Non, il y a ici des impulsions clastiques.
A - Correspond à la PHC (psychose :ACDE [22]
hallucinatoire chronique). Sans commentaire. :D
D - Ou paraphrénie. [11] C’est la définition. On retrouve associé le
:C commentaire de la pensée et des actes.
[1] On retrouve [23]
:BC - les rituels :C
B - Est évident dans la 2ème partie de l’énoncé. - les obsersions Devant le tableau décrit et la persistance de
- thème de ruine - le sentiment de morbidité. celui-ci à 8 mois.
- fin du monde A - Eliminer par absence d’objet phobogène et [24]
- antécédent de syndrome dépressif sévère. conduite contraphobique. :BC
Peuvent évoquer une mélancolie. B - Aucun élément délirant. L’association d’un neuroleptique sédatif et d’un
C - Dans la 1ère partie de l’énoncé. DE - Rien à voir. anti-délirant à dose majeure, le plus souvent en
A savoir que chez les personnes âgées, les [12] parentéral (intramusculaire) est ici d’une bonne
syndromes dépressifs masquent souvent un :E indication.
processus démentiel débutant et comporte Q.C.M. difficile. Le syndrome dépressif décrit dans rénoncé
quelquefois une désorientation CD - Sont vrais mais le symptôme diminuera avec les symptômes délirants et n’est
temporo-spatiale. caractéristique en est le rituel. pas l’indication d’antidépresseurs qui risquent
[2] [13] au départ de réactiver le délire.
:B :CE [25]
Est ici l’examen qui a le moins d’intérêt mais (C) C - Décrit dans la névrose obsessionnelle :BCDE
ne se fait pas sans signes neurologiques. soulagée par le rituel. B - Les plages de rémission seront de plus en
Q.C.M. difficile. E - Dans toute névrose. plus courtes.
[3] [14] C - Bien sûr, puisque c’est une maladie
:CE :B chronique évoluant par phase donc, (E).
A - N’a pas d’intérêt et d’autant que les ‘Initialement” permet de cocher cet item. D - Très fréquente chez les schizophrènes, lors
benzodiazépines sont confusogènes ACD - Seront possibles ensuite, dans un second d’épisode délirant ou d’angoisse psychotique
B - Est avantageusement remplacé par (E) chez temps. intense.
les sujets âgés. B - Permet la mise en place d’un traitement. [26]
L’autre problème des benzodiazépines chez les [15] :D
gens âgés en est leur propriété myorel exante :C Cela ne préjuge en rien de la structure
myorelaxante qui les gène beaucoup. Seul traitement ayant fait preuve d’une efficacité sous-jacente.
C - Permet de lever la composante dépressive immédiate. [27]
et améliore le tableau de toute façon. Car un syndrome dépressif est souvent :C
E - Permet de diminuer les troubles du contemporain, majorant les syndromes Comme toutes les benzodiazépines avec risque
comportement. névrotiques. de sevrage à l’arrêt.
[4] [16]
:AD :A [28]
A - Effet mydriatique parasympathyquolylique Névrose devant anxiété et l’irritation :D
des anti-dépresseurs tricycliques. obsessionnelle Ne veut rien dire. La prescription d’un
D - Par toxicité : prudence, prudence... - rituels anxiolytique n’oriente aucun diagnostic.
[5] - doute permanent. C - Fait partie du processus dépressif.
:A B - Pas d’objet phobogène. B - Elément réactionnel.
Q.C.M. difficile. C - Pas de trouble du contact ni de délire même E - Syndrome dépressif.
A - Est évident et intéressant d’autant plus si on à minima. [29]
possède un test antérieur, Il faut refaire le test DE - Sans objet. :D
pour suivre l’évolution de la détérioration. [17] Question de bon sens.
C - Particulièrement énigmatique. :C A - Ne veut rien dire.
E - Ne veut rien dire. Mais l’évolution est très différente et à l’âge du [30]
[6] patient -44 ans- il n’existe aucun signe de la :D
:D lignée schizophrénique. Mais il faut toujours y A - Peut être envisagé après (D) en fonction du
Q.C.M. vicieux. penser chez le sujet jeune. risque.
A - Ne veut rien dire ici. B - On ne connait pas les doses prescrites.
B - Bien sûr, mais soyons plus précis. [18] C - Pourrait être coché mais un soutien
C - Jeu de mots : mental et non psychologique. :CD psychiatrique est nécessaire vu le geste.
E - Complètement à côté. II faut le savoir! E - Semble exagéré. A peser en fonction du
[7] [19] risque et de la patiente.
:A :E [31]
N’est affirmé que sur l’évolution du syndrome, Il faut également le savoir! :DE
de l’âge, sans la notion de troubles sur plusieurs [20] Ces deux syndromes sont souvent liés l’un à
années. l’autre. Ici, on retrouve
9
- écho de la pensée A - On retrouve l’exaltation de l’humeur avec [54]
- commentaires idéiques excitation. :AC
- pensées et actes imposes. Le délire, syndrome d’influence-transformation A - Objectivera la détérioration.
B - Non, car l’onirisme -dans un autre contexte- corporelle, peut s’intégrer à une manie C - Montre une atrophie corticale pariéto
est constitué d’hallucinations sensorielles délirante. temporale avec dilatation ventriculaire.
souvent visuelles. C - Bien évidemment, c’est ici le diagnostic. D - N’est intéressant qu’avec des arguments
[32] E - Certaines toxiques, hallucinogènes en cliniques en faveur d’une hypertension
:E particulier, peuvent donner ce tableau. intracrânienne à pression normale.
Le tableau est typique: B - Ne sera pas discuté dans l’immédiat mais E - Idem pour la démence arthériopathique (pas
- Terrain : femme de 45 ans, récemment suivant l’évolution. d’argument clinique).
emménagée [42] [55]
- Hallucinations auditives :A :D
- Syndrome d’influence et automatisme mental. E - Bien sûr on peut avoir: Q.C.M. difficile.
Seul (A) peut être discuté mais le tableau - une bouffée délirante polymorphe ex abrupto Il faut hospitaliser cette patiente en milieu
hallucinatoire l’élimine. - une évolution schyzophrénique médico psychiatrique donc (A) est faux.
[33] - une évolution dysthynique. E - Sera mis en place, mais uniquement en
:CD [43] attendant le jugement de tutelle.
A - Concerne le placement d’office ainsi que (E). :AB [56]
B - Tout docteur ou médecin peut le rédiger s’il Evident. :E
est extérieur à l’hôpital de placement, .et non Aucun médicament n’est efficace.
parent jusqu’au 2ème degré avec le demandeur [44] E - Permet une légère résocialisation.
et le directeur de l’établissement. :AD [57]
[34] On ne retrouve pas d’automatisme mental ici :AD
:B mais, un syndrome d’influence. Les propos A - Evident, c’est un des caractères du délire
E - Est le seul discutable car il existe toujours désordonnés, incohérents signent les troubles paranoïaque.
une tonalité dépressive mais “doses réduites” du cours de la pensée. BC - Faux.
l’élimine. [45] D - Evident, interprétation délirante.
D - Pas dans l’immédiat. :B E - Non, c’est ici un délire d’interprétation.
[35] Neuroleptiques sédatifs. [58]
:B [46] :CDE
Neuroleptique retard incisif avec peu d’effet :ABD A - Le propre de la schizophrénie.
sédlatif. E - Non, car ce ne sont pas des thèmes de B - Est possible, mais ce n’est pas un risque
A - Sans objet. persécutions, ‘ils mont condamné” est une important (en fréquence), plutôt (C) (acte hétéro-
DE - Uniquement si persiste une tonalité culpabilité délirante. agressif).
dépressive. [47] D - On a, en général, une certaine cicatrisation
:BCDE du délire.
[36] B - En fait classiquement partie. [59]
:B E - ‘Asthénie vitale’. :CDE
C’est la classique astasie-abasie, on retrouve [48] Personnalité paranoïaque, on y ajoute la rigidité
- une personnalité hystérique :C et la fausseté du jugement.
- aucune atteinte lésionnelle objectivable La sévérité du tableau dépressif avec la note [60]
(définition de la conversion) délirante et les antécédents permettent le :B
- le facteur déclenchant. diagnostic de mélancolie. E - Il faut le savoir.
E - Non, car il y a ici des troubles, ce qui n’existe [49] [61]
pas dans l’hypocondrie. :BC :BCD
[37] Si (B) n’est pas souhaité par le patient, il faut A - Est faux, les neuroleptiques atteignent
:CD recourir à (C) vu le risque suicidaire majeur. difficilement ce type de délire.
C - Fait partie de la personnalité hystérique. [50] B.C. - Sont vrais.
D - Sont des troubles des caractères crise de :B [62]
nerf’ retrouvée souvent chez les hystériques. Les antidépresseurs tricycliques sont :C
[38] évidemment indispensables ici. Les Sans commentaire.
:AE neuroleptiques sédatifs permettront de calmer
Troubles fréquents dans cette pathologie. l’angoisse et de diminuer le risque de levée [63]
B - Concerne surtout les obsessionnels d’inbibition anxieuse. :BE
(compulsion). [51] A - II manque agitation et sueur.
C - Non. :BDE B - Le tableau l’évoque: douleurs musculaires,
D - C’est un autre problème. (C est discutable). crampes, diarrhée.
[39] B - Pendant 6 à 12 mois en diminuant les dose D - Non, car somnolence, donc...
:AB après 6 mois de traitement. E - Bien sûr, d’autant plus qu’existe un souffle
A - Bien sûr. DE - Sont évidents. systolique et un foie augmente de volume.
B - Le déplacement sur le corps du conflit [52] [64]
inconscient. :AC :DE
E - Concerne les personnes non névrosées. A - Troubles de la mémoire rencontrés ici - ABC - La dépendance est psychique.
[40] Agnosie. DE - Donnent un syndrome de sevrage à l’arrêt
:CD C - Apraxie - incontinence. brutal.
B - Est de peu d’intérêt ici. [53] [65]
D - Entretien d’inspiration analytique, voire :C :BCDE
psychanalyse. A - Ne peut être évoqué à l’énoncé et (B) non BC - Permettent d’obtenir une bonne sédation
C - Permet de diminuer les tensions si elles plus. et de diminuer les symptômes du manque.
existent, il ne faut pas oublier “la belle D - On ne retrouve pas ici de syndrome D - Dans le sevrage, en dehors de l’urgence.
indifférence”. dépressif quoiqu’il soit surement présent. E - Diminue les crampes du sevrage.
[41] E - L’âge de la patiente l’élimine. [66]
:ACE ici on retrouve la célèbre apraxo-agnosie de (C), :A
Peuvent être discuté. l’âge est un argument supplémentaire. Evident.
10
[67] :AD D - Pas de signe dépressif.
:AC D - Est faux. On prescrira soit une réintroduction [90]
C’est la loi. des barbituriques puis un sevrage très :A
[68] progressif, soit des neuroleptiques, voire de Seuls médicaments (antidépresseur tricyclique)
:D lEquanil®, en cas de suspicion de délirium ayant fait preuve d’efficacité dans cette
[69] tremens. pathologie
:C [81] B - Les anxiolytiques sont décevants.
On retrouve ici :D
- exaltation de l’humeur Ainsi qu’une augmentation des gamma GT et [91]
- excitation psychomotrice des perturbations des paramètres hépatiques. :CD
- sentiment de toute puissance [82] C - L’amélioration est quelquefois possible, avec
- logorrhée - coq à l’âne. :C les thérapeutiques
Les antécédents de syndromes dépressifs On retrouve en effet: D - Bien sûr, mais n’est-elle pas déjà structurée?
graves font évoquer une maladie - tristesse apparente, insomnie Q.C.M. difficile car (A) est toujours possible.
maniacodépressive bipolaire. - inhibition psychomotrice [92]
[70] - thème d’incurabilité, de culpabilité délirante :C
:BD chez une femme de 52 ans. On peut hésiter avec (D) mais ici, il y a
Le plus souvent en association (Haldol®, Le tableau est typique. prévalence des troubles thymiques et la
Nozinan®) à forte dose et en parentéral (faute de symptomatologie est celle dun accès maniaque
mieux). [83] vus également les antécédents.
[71] :D [93]
:C Bien sûr, c’est une urgence psychiatrique qui :D
C’est une faute de ne pas le faire. La impose l’hospitalisation. Vus les antécédents familiaux, vu raccès
sauvegarde prend acte immédiatement et [84] maniaque inaugural.
permet de préserver les biens du patient. :AC [94]
Valable 2 mois, renouvelable 6 mois. Antidépresseur tricyclique à doses majeures en :D
[72] dehors des contre-indication par voie Neuroleptiques sédatifsn, soit en monothérapie,
:AD parentérale. soit en bithérapie, si il existe une
A - “Tout est foutu”; les idées de mort font partie E - Est un piège : neuroleptique sédatif. symptomatologie délirante associée.
de la plupart des états dépressifs. D - Ne suffit pas devant un tel tableau. Le traitement à forte dose au départ sera
B - Existe souvent: insomnie matinale mais n’est [85] administré suivant la clinique pendant 3 mois.
pas décrite dans l’énoncé. :ABCE [95]
C - Ne fait pas partie intégrante du syndrome A - Toujours possible dans cette pathologie. Il :BE
dépressif. faut de plus savoir que les anti-dépresseurs B - Est demandée par le médecin.
D - Bien sûr : un des points cardinaux du tricycliques (surtout les désinhibiteurs) peuvent C - Procédure longue pour les maladies au long
syndrome. provoquer des activations délirantes. cours (démence).
B - Les antidépresseurs tricycliques sont D-
[73] confusogènes. E - Un peu de bon sens!
:ABC C - Par le syndrome d’inversion de l’humeur (à [96]
A - Evident “l’importance’. surveiller). :B
B - Est un des éléments de la mélancolie. D - Non. Deux accès maniaques en 2 ans: indication de
C - Surtout délirante. E - Par levée de l’inhibition anxieuse, ce qui litothérapie.
D - Existe dans toute dépression. oblige à la prescription de neuroleptiques sédatif C - C’est une contre-indication.
[74] en association avec les antidépresseurs E - Ne veut rien dire.
:D tricycliques. [97]
Evident, vu le grand risque suicidaire. [86] :AD
[75] :BC D - Est évident puisqu’il existe un délire, une
:AD A - Les IMAC ne peuvent pas être associés à un désorientation temporo-spatiale.
Q.C.M. difficile car rénoncé ne permet aucune antidépresseur tricycliques (cf: règle de A - Car on retrouve des thèmes mélancoliques
conclusion. prescription). délirants - pertes d’objets....
[76] C - De plus en plus envisagé même en B - Aucun élément ne peut permettre ce
:BE association avec les anti-dépresseurs diagnostic.
Le lithium n’est pas curatif de la mélancolie. Les tricycliques. C - Il nexiste pas d’exhaltation de l’humeur.
sismothérapies agissent plus vite que les C - méthode à l’avantage de la rapidité E - Rien à voir: dépression réactionnelle du
antidépresseurs tricycliques et peuvent être d’efficacité. 5ème jour du post-partum sans mesure ici.
employés en association. [87] [98]
Les antidépresseurs tricycliques en perfusion :BE :CD
sont employés à dose progressive sur 34 jours A - Il n’y en a pas ici. Il faut un transfert en milieu spécialisé si la
en tenant compte des contre-indications. B - C’est une contrainte intellectuelle : pensée malade est d’accord, (D) est possible. P.S. -
[77] magique qui soulage l’angoisse. Attention au risque de suicide et d’infanticide.
:CE C - Non décrit dans l’observation. [99]
Evident. D - Dans ces antécédents mais pas :CD
[78] actuellement. A - Hors de question : risque d’infanticide.
:A E - Acte qui soulage une contrainte intérieure B - Il faut éviter de rompre les relations
Le syndrome confusionnel ne fait pas parité de “besoin de remonter voir si la porte est fermée”. mère-enfant.
raccès maniaque. [88] C - Bonne solution (cf: unité conjointe
E - Etait possible, mais il existe une perplexité. :C d’hospitalisation mère-enfant).
[79] Q.C.M. difficile dans le sens où la personnalité D - Pourquoi pas, si l’état de l’enfant ne justifie
:A peut être dissociée de la névrose. pas son hospitalisation.
A - En particulier le sevrage des barbituriques. [89] E - Hors de question
B - Eliminer sur la durée : 36 heures. :A
D.E. - Donnent des signes neurologiques Rituels affirmant le diagnostic. [100]
absents ici. B - Non liées aux rituels. :Ac
[80] C - Pas d’objet phobogène.
11
A - La sismothérapie, avec en général un B - Pas d’objet phobogène. D - Ont montre leur efficacité dans ces
support chimiothérapique permet une résolution C - Evolution non déficitaire, pas d’élément pathologies en particulier en diminuant la
rapide des symptômes. schyzophrénique. tonalité
A retenir que les sismothérapies sont à D - Pas de symptômes dépressifs. dépressive souvent associée ou sous-jacente.
nouveaux reconsidérées à raison. E - Idiot! [121]
B - Non. [109] :AC
c - Bien sûr, évident devant un tel tableau. :C A - Est d’inspiration comportementaliste et
D - Pas seules. Le diagnostic différentiel à évoquer à 18 ans n’agit que sur le symptôme et non sur la
E - Pas assez précis, uniquement associé au mais ici structure.
neuroleptique. - pas de symptômes de la lignée C - Efficace mais long et doit émaner d’une
[101] schyzophrénique demande du patient.
:ABcDE - l’évolution va à l’encontre. B - Dans l’hystérie.
A - Le plus souvent: 78 % des cas, mais tout est [110] DE - Concerne les psychoses le plus souvent.
possible. :CD [122]
[102] Pas de commentaire - réviser les éléments :B
:A psychologiques des névroses. C’est typique
seul A est vrai dans la liste proposée ; dautres [111] - antécédents
facteurs tels que antécédents psychiatriques :E - symptomatologie.
familiaux ou personnels se dégagent de Par définition (à retenir). Il s’intègre certainement dans une psychose
certaines études. [112] maniaco dépressive. La réponse (C) ne peut être
Q.c.M. difficile. :D retenue, il n’y a aucun symptôme de cette
[103] Seuls psychotropes ayant fait preuve de leur lignée.
:E efficacité dans ce type de pathologie. Les bêta-
On retrouve en effet: sont employés dans les fonds anxieux. [123]
- râge de début des troubles (environ 35 ans) [113] :AC
(48-15) :D C’est la loi du 30juin 1838
- femme célibataire intellectuelle Evident. Il faut:
- syndrome d’influence Situation phobogène : - une demande écrite par l’entourage
- hallucination visuelle et olfactive agoraphobie/claustrophobie. - un certificat médical de placement demande
- thème persécutif. Objet contraphobique : le mari. par un docteur en médecine extérieur famille
Pour les autres propositions, on notera certes Absence d’autre trouble. (jusqu’au 2ème degré) Cl à l’hôpital de
l’aggravation des symptômes après le deuil, [114] placement.
mais leur début est très antérieur. :ABDE - une pièce d’identité du patient.
[104] Q.C.M. difficile. [124]
:BDE En fait B.D. font le diagnostic. :E
B - Syndrome d’influence. A - Est important à éliminer et explorer. Utilisé per os si possible, en général, on a
D - Evidente. E - Elimine le syndrome dépressif. recours à la voie intramusculaire.
E - Evidente. Neuroleptique sédatifs, majeur (Nozinan® ou
AC - Sans objet. [115] Tercian®) à forte dose, souvent associé.
[105] :CDE Ne pas oublier:
:C D - Thérapie de déconditionnement - les correcteurs (ponalide intramusculaire)
En effet, le délire n’est pas interprétatif donc (D) (désensibilisation). - la surveillance médicale.
éliminé. c - Efficace dans les névroses phobiques mais [125]
AE - S’élimine évidemment. plus long. :BCE
B - Il ny a pas de syndrome dépressif intense. E- Démontrée. Il faut avoir l’arrière-pensée de la litothérapie
[106] [116] donc
:C :AE - examen clinique complet
A défaut d’autre réponse possible (Q.C.M. B - Est bien sûr faux : 2-3 séances par semaine - ionogramme (Na+IK+) glycémie, réaction
simple). de manière régulière. immunologique de grossesse
En fait, l’idéal était l’association d’un C - Le transfert est analysé par principe. - NFS, créatinine
antidépresseur tricyclique et d’un neuroleptique D - Non, efficacité sur la structure. - T3 T4 TSH - ECG - EEG.
hallucinolytique (type Haldol®). [117] [126]
Le (B) est peu efficace (jamais seul). :C :CDE
E - N’a aucun intérêt ici. C’est le type même du rituel compulsif qui C - C’est le cas sans doute ici.
permet, par définition, de soulager une tension D - Syndrome d’inversion de l’humeur.
[107] intérieure. E - Par inversion mélancolique.
:BCD [118] Il faut admettre que tout accès maniaque
B.C. - Car se sont des neuroleptiques retards :D s’intègre dans une psychose maniaco
qui permettent: B - Fait partie du délire paranoïaque sans objet dépressive ou
- de diminuer les doses cumulées ici. bipolaire.
- une vie plus facile C - sans objet. [127]
- meilleure observance du traitement [119] :DE
- facilitation de la surveillance. :D Ce sont les deux thymorégulateurs qui font
E - Agit surtout sur l’anxiété donc peu d’intérêt Evident d’après la clinique, seule (B) peut se preuve d’efficacité, chacun dans des indications
ici. discuter mais: précises.
A - N’est pas un neuroleptique mais un 1 - Rare ABC - Ne sont en aucun cas prophylactiques.
antidépresseur tricyclique. 2 - Age supérieur à 35 ans [128]
[108] 3 - Aucun élément de la lignée schyzophrénique. :B
:A [120] On demande une mesure de protection donc
On retrouve une symptomatologie :CD cela élimine (A) et (E).
obsessionnelle C - Permet de diminuer les phénomènes CD - Découlent d’un jugement et ne sont pas
- doute permanent d’anxiété donc enraye les processus immédiat. Donc
- compulsions d’aggravation B - Est valable 2 mois, renouvelable 6 mois.
- rituels. des rituels. Demandée en urgence, elle prend acte
12
immédiatement. D - En dehors des contre-indications, doit être fourchette prophylactique.
[129] associé à C. [149]
:E :C
On retrouve [139] La lithothérapie est contre-indiquée dans la
- situation Phobogène (agoraphobie, :C grossesse, surtout dans les 3 premiers mois
claustrophobie) C’est typique, on retrouve donc il faut interrompre le lithium avec une
- objet contraphobique: mari - agitation, exaltation thymique couverture contraceptive de 3 mois, s’il existe
- personnalité névrotique. - demi des troubles un désir de grossesse.
Les autres propositions sont sans objet. - logorrhée, tachypsuchie [150]
[130] - jeux de mots, jovialité, familiarité :D
:BD - dépenses d’argent, accès de toute puissance La sémiologie nous donne (A) ou (D), le reste est
Font partie des conduites contraphobiques et - augmentation de la libido. une notion de durée.
sont donc spécifiques. [140] Il existe un fléchissement scolaire depuis 1 an et
Le reste, A.C.E., n’a rien de spécifique. :AE demi, donc c’est au delà de la bouffée délirante
Cf: réponse antérieure. polymorphe.
[131] [141] [151]
:BCDE :A :AB
B - Utilisé par certains avec des résultats plus Q.C.M. difficile car en fait: A - Est évident, délire paranoïde, mécanisme et
ou moins bons. A - Présente une moria (niaiserie avec apathie). thème multiples.
C - Bien sûr. Il n’y a pas de syntonie et il existe un syndrome B - Baisse du rendement scolaire, repli sur soi
DE - Font partie des thérapies déficitaire et neurologique associé. (autisme), refus d’activité.
comportementales. Il faut savoir que la thérapie C - Ne donne pas de tableau maniaque mais D - Non, car on ne note ni exaltation, ni
non chimique plutôt dépressif. dépression vraies.
la plus efficace est (E). BD - Donnent des agitations mais avec des [152]
[132] signes démentiels. :C
:AD C’est donc par élimination qu’il faut procéder ici. Association anti-délirants et sédatifs (car
A - Ont prouvé leur efficacité au long cours [142] anxiolytiques).
d’autant que toute tonalité dépressive aggrave :DE [153]
les En association possible, c’est surtout (E) qui est :B
névroses phobiques. efficace. Pour mettre en place le traitement.
D - Bien sûr, permettant de diminuer les [143] [154]
phénomènes anxieux. :ABE :B
[133] C - Pas de diagnostic. En effet, sont décrits:
:ABC D - Pas pour le placement volontaire mais pour - des conduites compulsives
Par définition et principe. le placement d’office. - des rituels
D - Non, elle vise à être un traitement A - Le médecin ne doit pas être apparenté - une personnalité obsessionnelle.
étiologique. (jusqu’au 2ème degré) au demandeur du Qui associent
E - Bien sûr que non placement - sérieux
[134] volontaire et au directeur de l’hôpital. - scrupulosité
:E Un certificat peut être fait par tout docteur en - économie (avarice)
C’est évident. médecine, donc (B). - doute permanent.
Syndrome dépressif majeur avec idée E - Par définition. [155]
d’incurabilité survenant chez une personnalité [144] :B
obsessionnelle. :C Stade dit ‘sadique anal”.
A - Pas d’objet (à noter que es B.D.P. chez les L’épisode actuel est un accès maniaque
gens âgés existent mais sont rares). typique. [156]
C - Non, syndrome dépressif ici intense et avec D’autre part, il existe :AC
idées délirantes. - des antécédents personnels d’accès maniaque B - Personnalité paranoïaque.
D - Sans objet: pas de syndrome confusionnel. - des antécédents familiaux de syndromes D - Personnalité hystérique.
[135] dépressifs graves E - Personnalité psychopathique.
:A On peut donc affirmer la P.M.D. [157]
C’est la peur des maladies que l’on rencontre [145] :C
surtout dans les névroses phobiques ou :BE Les rituels sont des mécanismes de défense du
obsessionnelle. B - Traitement de l’accès à doses majeures, Moi qui permettent de diminuer la tension
[136] souvent deux neuroleptiques associés. anxieuse.
:C E - C’est un traitement curatif et prophylactique La décompensation -en général dépression-
A.B. - Non, car ici il y a acte. de l’accès maniaque. survient quand les rituels deviennent inopérant.
D - Est certainement à l’origine de (C). [146] [158]
[137] :CD :D
:C A - Est discutable, il est souvent pratiqué mais il Nous rappellerons que la névrose
Par les rites de lavage, souci de propreté n’est pas exigé chez les gens jeunes, donc... obsessionnelle est la névrose qui a le plus
(ménage). CD - Bien sûr. mauvais
D - Est éliminé par la présence de rituels et Manquent les pronostic.
l’absence de comportement contraphobique. - la réaction immunologique de grossesse Les symptômes deviennent permanents et les
A noter la fréquence des décompensations - le bilan cardiaque rituels de plus en plus complexes et inopérants.
mélancoliques chez les obsessionnels. - NFS - ionogramme sanguin. Il est à noter une forme torpide chez le sujet
[138] jeune, qui est une forme maligne.
:CD [147] [159]
A - N’est pas curateur des mélancolies. :C :AC
BE - Sans objet. En fait, 0,6 à 1 mEg/I. A - Déclaration ‘qu’il est venu...’.
C - C’est ci une indication [148] C - Bizarrerie.
- forme majeure, anxieuse :D E - On ne peut pas affirmer l’hallucination ici.
- chez une personne âgée. La dose toxique est donc très proche de la [160]
Elle permet l’amélioration rapide. :C
13
En fait, on peut hésiter avec (B), mais ici, c’est le faut une hospitalisation. micro-embolies multiples et répétées.
délire qui prévaut et non pas les autres pôles. A [173] D - Oui, (cf: cours).
- Est éliminé sur la durée (8 mois). :C E - Non, toujours penser aux “démences
[161] C’est évident. curables”
:BCD - hypertension à pression normale
A - Ne peut pas être coché. L’évolution [174] - hématomes sous duraux...
déficitaire est constante (C). :ADE L’étiologie vasculaire est évoquée en dernier.
B - Est possible en particulier dans certaines A - Bien sûr, il existe ici une D.T.S. avec [183]
formes dysthymiques de bon pronostic. obnubilation, un syndrome hallucinatoire qui fait :ABD
D - C’est, hélas ! le cas le plus fréquent. souvent partie du syndrome confuso onirique, A - Est vrai, hypothèse expérimentale.
[162] donc (D). B - Est vrai, 8,8% selon certaines séries.
:CD E - La psychose hallucinatoire ne peut pas être C - Ce n’est pas une spongiose, on retrouve
C - Permet de suivre l’évolution de la éliminée. - dégénérescence neuro-fibrillaire
détérioration. Une psychopharmacose ou une ivresse aiguê - plaques séniles
D - Est intéressant sur un plan diagnostic. pouvant donner de tels tableaux de manière - dégénérescence granulo-vacuolaire.
[163] aiguê. D - Oui.
:BCE [175] E - Est faux.
B - C’est la base du traitement. :ACD [184]
C - Surtout des entretiens. B.E. - Concerne le placement d’office. :ACDE
E - C’est utile au malade et à sa famille. [176] A - Oui, l’apraxie ferait partie de ce syndrome
[164] :B démentiel.
:B Devant le terrain: forrain vivant avec des poêles. B - Bien sûr que non.
C’est une description classique Le tableau : syndrome confuso-onirique avec C - Oui, syndrome aphasique.
- protraction de la langue hallucinations et céphalées. E - Oui, c’est un gros problème.
- plafonnement du regard Le chien : mort (le CO est plus lourd que l’air) ; [185]
- contracture et rotation du cou chez une mort dans ses vomissements (le C.O. est :ABC
personne sous neuroleptiques (Haldol®) à faible émétisant). A - Evident : il faut lire le texte.
dose. [177] B - Evident : imposition d’acte.
:CE D - 7??.
[165] L’alcoolémie élevée ne montre qu’une prise E - Non.
:D récente d’alcool donc, en aucun cas, un [186]
Bien sûr. alcoolisme chronique. :D
Effet secondaire extrapyramidal de I’HaldoI® Seule la concordante augmentation des Il est difficile de répondre sans l’âge de la
(neuroleptiques incisifs). C’est très fréquent. gammaGT et du VGM permettra une forte patiente, vu que les seuls éléments sont
[166] suspicion d’alcoolisme. regroupés dans le délire.
:C [178] B.E. - Non, il n’existe pas d’éléments
L’effet est quasi immédiat. Le Ponalide® pourra :B dysthymiques.
se prescrire ici per os, voire en intraveineuse. Tout le problème est là, il faut savoir que de [187]
[167] toute façon, tout processus démentiel au début :D
:E est amélioré par les antidépresseurs car Il ne faut le savoir.
La réassurance diminue l’angoisse qui majore comportent souvent des éléments dépressifs. Ce n’est pas toujours le cas, mais souvent.
les symptômes, mais elle est moins efficace que [179] [188]
le Ponalide®. :BCE :C
[168] A - Bien sûr que non : par définition, la C’est évident.
:BE confusion est un phénomène aigu. En général, neuroleptique d’action prolongée
C - Est discutable, fréquent mais non classique. B - Bien sûr. par la suite.
Rappelons que les benzodiazépines sont C - Bien sûr. [189]
- anxiolytiques E - Oui, fréquemment associé : syndrome :BCD
- hypnotiques confuso-onirique. Sont tous les trois possibles.
- anticonvulsivantes [180] Piportil® et Haldol®, en forme retard ont
- amnésiantes :DE souvent la préférence.
- myorelaxantes. A - Existe dans le syndrome de Korsakoif et
[169] dans la démence. [190]
:BDE B - Ni dans l’une, ni dans l’autre. :C
A - Non, aménorrhée secondaire. C - Non, ni dans l’une, ni dans l’autre. Description typique
B - Bien sûr: anorexie mentale ici. D - Dans un cas de démence, se souvenir du - délire paranoïaque, mécanisme : interprétatif,
C - Non, le corps est perçu comme maigre, syndrome aphaso-apraxo, agnosique. thème : jalousie.
l’image n’est pas perturbée, c’est la conscience E - Bien sûr, dans la démence C’est un délire passionnel en secteur.
de [181] - personnalité paranoïaque rigide, autoritaire....
la morbidité qui est perturbée. :BCDE [191]
D - Elle existe dans les anorexies mentales. A - Non, il n’existe pas d’image au scanner. :ABCD
E - Toujours présente, avant l’anorexie et B - Dilatation ventriculaire avec atrophie Cf: Q.CM. précédent.
persistante après. pariéto-temporale. B - Est discutable, il ne caractérise pas le
[170] C - Bien sûr. diagnostic mais en fait souvent partie.
:D D - Bien sûr. [192]
Evident. E - Images lacunaires multiples. :DE
[171] Avec la rigidité, la fausseté du jugement, sont les
:D [182] traits de la personnalité paranoïaque.
C’est évident. :ACD [193]
[172] A - Est vrai. (à rechercher: le 33 de la rue :B
:E Ledru-Rolin). Evident, peu efficace.
C’est actuellement le seul moyen thérapeutique B - Non, l’étiologie en est connue (origine virale). [194]
qui fait preuve de résultat. C - Oui, origine cardiaque gauche: :CDE
De toute façon, devant la gravité du tableau ici, il E - Est évident.
14
CD - Sont des critères de dangerosité [209] employé. Il est pourtant utile.
classiques. :A [224]
[195] Evident, on demande dans les 48 premières :D
:CE heures. Souvent, chez les alcooliques, on retrouve un
B - Ce n’est pas à proprement dire un délire de [210] délire passionnel (paranoïaque) : de jalousie ou
persécution mais bien plutôt une auto :A de persécution.
accusation délirante” donc (C). QCM difficile car A.B.E. sont utiles. [225]
D - Bien sûr que non, c’est une anorexie.. Mais, on recherche toujours, guidé par la :ABCD
E - Oui, état stuporeux. clinique, un processus tumoral. En général (A).
[196] BC - Sont prévenus par la vitamine Bi.
:E [211] D - N’est pas rare.
Typique et classique. :C [226]
[197] A.B.D - Ne servent à rien dans rimmédiat. II faut :D
:A hospitaliser ( donc C, si refus) et demander une Q.C.M. difficile car (C) est toujours possible.
Il faut évoquer donc une P.M.D. et rechercher sauvegarde de justice. L’apparition de perplexité anxieuse, de
des accès maniaques. E - Sans objet. syndrome dinfluence/automatisme mental,
[198] [212] d’hallucinations, de délire de persécution après
:C :B la prise de LSD signent le diagnostic.
L’alternative était antidépresseur en perfusion C’est évident [227]
mais cela n’est pas propose ici. [213] :ABD
[199] :C Evident, tout est dans le texte.
:D Sans commentaire. [228]
En effet: [214] :ACDE
A.E. - Sont évidemment éliminés. :AB Il faut le savoir. L’éther donne des états
B - Est éliminé devant la bizarrerie qui existe D - Sera peut-être à envisager par la suite. comateux.
entre les “crises. A - Peut de nouveau être envisagé de première [229]
C - Est éliminé sur la durée : 3 rechutes en 3 intention. :AD
ans. Bizarrerie et désinvestissement (retrait). [215] C - Sert pour les sevrages aux opiacés
:D E - Sert pour les overdoses aux opiacés.
[200] Devant:
:ABD - un syndrome mélancolique [230]
Q.C.M. difficile. - des antécédents de mélancolie. :AC
B.D. - Ne posent pas de problème. [216] Q.C.M. difficile car (B) à déjà été décrit.
C - Est vrai : anxiété psychotique. :AC [231]
E - Est souvent présent. En effet, chez cette patiente (A) est évident. :AC
Mais (C) et (E) ne sont pas les plus Mais, la personnalité sous-jacente de type Au long cours.
caractéristiques. hystérique doit faire évoquer (C). A - Evident.
[201] [217] C - Evident.
:D :ABD B - N’est pas au long cours.
C’est le seul item satisfaisant. A - C’est quelquefois le cas sur de telles E - Non, à court terme : uniquement pour les
Récurrence familiale de certaines formes de structures de personnalité. opiacés.
schizophrénie. [218] [232]
[202] :C :C
:D Evident: Tableau typique mais il n’existe pas de
C’est un test de personnalité dit, test projectif: - spasmophilie sthénicité. Ce qui est souvent le cas.
utile au diagnostic. - douleurs pelviennes sans origine organique On
B - Est utile lors d’un premier accès pour le - intolérance à la frustration 1 - Délire systématise
diagnostic différentiel avec les - personnalité immature. 2 - Mécanisme interprétatif
psychopharmacoses. [219] 3 - Thème persécutif
[203] :ACE Préjudice.
:C C’est évident: [233]
C’est hélas le cas le plus fréquent. - le syndrome dépressif existe donc (C) et(E). :D
[204] A - Est utile chez de telles personnes. Bien sûr. Cf: question précédente
:C [234]
Nosophobie typique ici : de plus en plus [220] :C
fréquente de nos jours. :D En effet, on retrouve quelquefois des thèmes qui
B - Non, car il ne dit pas j’ai le SIDA...’. On retrouve peuvent donner le change avec “des
[205] - une D.T.S. persécutions dans les mélancolies.
:D - un onirisme à thème professionnel. D’autre part, ici, le patient est “anxieux et
C’est très à la mode. Avec le faciès érytrosique. abattu”, ce qui est rare dans les personnalités
La description est typique ici. Après une opération chirurgicale (donc un paranaïaques.
[206] sevrage) et des signes cliniques (température, [235]
:A tremblements) donc, sûrement : délirium :A
C’est la moins mauvaise des solutions trémens. C’est évident. Ils sont en général peu efficaces.
proposées, mais ce n’est pas la meilleure [221] [236]
actuellement. :BCDE :C
[207] Evident. On peut hésiter avec (E) mais, dans la paranoïa,
:A [222] il convient d’être prudent... risque de
C - Non, 16 ans : trop jeune pour une :D persécution....
structuration névrotique: c’est la période de (Cf: question [220]). [237]
latence. [223] :BC
[208] :BDE Le tableau est celui d’attaque de panique (crise
:D A noter que réquanil est de moins en moins d’angoisse aigué), agoraphobie.
Devant le tableau et lâge. ADE- Sans objet.
15
[238] :D D. Rien à voir.
:DE Schizophrénie paranoïde: E. Fait partie des nosophobies.
A - Non, ce sont ici des phobies typiques, sans - terrain âge et évolution sur 4 ans C. Conviction délirante d’être atteint d’une
notion d’aucun trait obsessionnel. - automatisme mental/syndrome dinfluence maladie.
B.C. - Sans objet. - transformation corporelle [266]
D - Evident : névrose non structurée. - etrangeté - troubles du comportement :BC
E - Sur l’agoraphobie etla phobie de la foule, les - barrage. QCM difficile.
conduites d’évitement, les objets [253] Quelle est la différence entre A et B? Elle n’est
contraphobiques (accompagnant), l’anxiété :BD pas catégorielle en tout cas.
anticipatoire. Souvent en association. [267]
A - Pas en première intention. :ACD
[239] [254] QCM difficile.
:B :ABCE A et C sont classiques dans la mélancolie.
Sans commentaire. A - Risque d’hypotension orthostatique. D est fréquent dans les syndromes dépressifs
[240] B - Trouble de la vigilance. Syndrome non mélancolique.
:C confusionnel. B est extrêmement rare et se voit souvent dans
Sans hésitation. C - Dystonie aiguê. les syndromes maniaques.
Les B.Z.D. sont peu efficaces seuls. E - Photosensibilisation, allergie (en particulier,
L’analyse donne ici peu de résultats. pour le Largactyl®). [268]
[241] [255] :AC
:C :C C. Devant la gravité du tableau
Tableau typique. Le fait qu’elle ne voit plus ses Evident. - idées délirantes
camarades n’est pas un signe de retrait Installation brutale. - anorexie importante
autistique. Dautre part, ses résultats scolaires Logorrhée. - troubles du sommeil importants.
restent excellents, ce qui élimine (B). Tachypsychie - ‘coq à l’âne’. [269]
[242] Idées de grandeur, de richesse. :ACD
:C Familiarité. QCMdifficile.
Symptôme qui s’installe rapidement et qui Anosognosie. A est indiqué si il existe une tonalité ancienne au
disparaît en dernier. Hypersexualité. syndrome dépressif, ou en association avec des
[243] [256] antidépresseurs
:ABC :C B. Non car il nexiste pas d’éléments
Q.C.M. difficile. Sans commentaire. hallucinatoires, et les butyrophénones sont
A - Est vrai. [257] dépressogènes donc à éviter ici.
B - Par peut de l’empoisonnement. :A D. Les phénotiazines sont utiles ici par leurs
C - L’anorexie avec perte de rappétit fait partie Mais en fait le tableau est différent et il existe propriétés sédatives, antidélirantes,
des dépressions. une niaiserie. anxiolytiques. E. Le tableau nest pas une
[244] [258] indication classique des ECT, mais cette
:ABCD :D réponse est très discutable.
Les diurétiques sont peu employés, mais les En fait, un neuroleptique. C’est d’ailleurs C. Bien évidemment, c’est une indication
laxatifs fréquemment. rarement une butyrophénone et souvent une majeure.
[245] phénotiazine sédative. [270]
:AC :C
A - Est souvent très profitable avec mise en [259] Tableau classique avec:
place d’un contrat.... :ABE - délire hallucinatoire auditif, olfactil de
[246] Simple! relire la question. persécution
:AE [260] - automatisme mental
A - Oui, car il peut mettre en jeu le pronostic :B - chez une personne de 40- 50 ans.
vital. Insomnie. A. Non : pas de dissociation, trop âgé.
B - Non, plutôt début tardif. Logorrhée, excitation psychomotrice. B. Non : pas de tonalité thymique, trop âgé
C - Ce n’est pas le cas ici. Tachypsychie. D. Non : dans le tableau décrit, on note une
E - Bien évidemment. Idées de grandeur. grande participation hallucinatoire.
[247] Familiarité. E. Non, bien sûr, il existe ici des éléments
:E Antécédents personnels et familiaux. délirants.
Sans commentaire. [261] [271]
[248] :C :AD
:CDE Evident. En général, en association avec une A. C’est le mécanisme psychodynamique à
Sans commentaire. phénotiazine sédative. proprement parler de la P.H.C.
[249] [262] D. C’est évident.
:AC :B C. Non.
Le diagnostic est (C) très probablement. Mais, C’est un devoir de le faire. Elle prend effet [272]
vu l’âge, il faut discuter (A). immédiatement. :B
[263] C’est le neuroleptique qui a le plus d’activité
[250] :C hallucinolytique.
:BDE Suivant les antécédents. [273]
Q.C.M. difficile. [264] :ABCE
Par ordre de probabilité :ABC A. Souvent par angoisse ou pour fuir le ou les
D - Risque de tout syndrome mélancolique. Sans commentaire. persécuteurs.
E - Par inversion de humeur. [265] B. Classique, c’est la réaction la plus courante.
B - Vu âge. :C C. Toujours à craindre dans les moments de
[251] A. Non, le trouble psychosomatique est le dépression.
:D résultat somatique d’un problème psychique. D. Non habituel
Sans commentaire. B. Non, c’est la traduction fonctionnelle dun E. Possible.
[252] conflit infra psychique, se voit dans la névrose [274]
hystérique. :AE
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A. Est évident - 2 syndromes dépressifs (graves?) syndromes dépressifs.
E. Déduit des attitudes d’écoute. - 1 accès maniaque [297]
[275] donc PMD bipolaire. :BDE
:C [287] Evident, question de bon sens.
A. Ne comporte pas d’hallucinations auditives. :AB [298]
B. Rien ne permet de l’affirmer d’autant qu’il est A. Il refuse des soins nécessaires et sa femme :ABDE
précisé l’absence d’antécédent. comprend la nécessité d’hospitalisation. Seule A est discutable mais dans ce tableau à
D. Rien à voir (jeu de mot: paraphrénie - B. Bien sûr, toujours y penser dans ce cas. anxiété massive, on a souvent recours aux
schizophrénie). Mesure de protection, simple, valable 2 mois neuroleptiques donc A est vrai.
E. Rien à voir. renouvelable pour 6 mois. [299]
C. Non cf. A. :C
[276] D. Non car le trouble maniaque n’est pas un Evident. Accessoirement B, cf. question
:BD trouble chronique. précédente.
A. N’a pas ou peu d’activité sur l’angoisse E. Sans objet. [300]
psychotique. [288] :C
B. D. De préférence monothérapie mais :AE A. Non la conversion est un autre symptôme, il
l’association est fréquente. Pour les autres propositions, les posologies sont s’agit d’un dysfonctionnement sans
[277] incorrectes. substratum anatomique.
:ABCD [289] B. Non rien à voir.
En fait tout est possible. :AD C. Oui, c’est un syndrome dépressif atypique
E. Est hors de propos. Mais ici, c’est l’indication typique de A. avec préoccupations hypochondriaques.
[278] B. Pas au long cours. D. Non car il manque les attaques de panique
:C C. Aucun intérêt mais c’est le diagnostic différentiel ici
QCM très vicieux. E. L’homéopathie n’est pas au programme !!! E. Pas de délire.
A. Non : c’est possible mais aucun élément ne [290] [301]
permet de le soupçonner ici. Le fait quil ait :ABCDE :DE
peur de ne pas pouvoir rentrer chez lui “ne Réponses évidentes. QCM impensable ! devait être éliminé si D est
témoigne pas d’une désorientation. E est discutable, on s’attend à en retrouver mais évident pour mettre le traitement en route.
C. Il est dit “sentiment ‘ et non “idée délirante”. elle n’est pas décrite dans l’énoncé, elle est A. Non aucun intérêt sauf si signes de
[279] suggérée dans le syndrome décrit. localisation neurologique.
:A [291] B. Aucun intérêt ici.
Bien sûr : typiquement une attaque de panique. :D C. Idem.
[280] A. Ce n’est pas le tableau. E. A la limite, systématique dans tout bilan
:C B. Non, les troubles de l’humeur (mixtes d’entrée.
Bien sûr, le reste est sans objet. d’ailleurs) sont au second plan.
Attaque de panique, construction phobique C. Non, on ne peut pas l’affirmer car entre les [302]
secondaire/évitement. deux accès, le fonctionnement était normal. :DE
[281] D. Deuxième épisode. A. Non, possibilité à ne jamais négliger.
:D E. Non, le tableau est différent. B. Ne veut rien dire.
Cf. QCM précédente et la construction (Une mélancolie est toujours psychotique, il faut C. Réponse de ‘comptoir”.
phobique secondaire. dire délirante ici). D. Prouvé épidémiologiquement.
[282] [292] E. Bien sûr, même attitude devant tout
:D :D syndrome dépressif avéré.
C. Non car les crises d’angoisse existent avant A. Non, ici le délire est paranoïde. [303]
les phobies qui ne sont que secondaires. B. Non, ils sont au second plan. :AE
[283] C. Difficile de répondre. La comorbidité familiale A. E. Evidents d’autant qu’il existe une grande
:ACDE PMD-schizophrénie étant démontrée mais cela tonalité anxieuse.
Aucun résultat des psychothérapies analytiques me semble un peu pointu pour le concours de B. Ne suffit pas, le tableau est grave.
dans cette indication. l’internat, donc non. c. Sans objet.
[284] D. Oui. D. Ce n’est pas l’indication type.
:ABDE E. Non, un antécédent de BDP n’oriente en rien [304]
A. Evidemment, exaltation de l’humeur. Nous le diagnostic d’un épisode suivant. Puisque l’on :ADE
sommes, ici, devant un accès maniaque démontre aussi une augmentation de la B. Non car on retrouve un élément déclenchant
typique. fréquence des antécédents de BDP dans les et cette évolution est rare.
B. Bien sûr: il marche toute la journée, ne tient PMD. C.Sans objet
pas en place... E.Toujours une possibilité qu’un syndrome
E. Bien entendu. Autrement dit, sa pensée va [293] dépressif soit une voie d’entrée dans la maladie
dans tous les sens (différent de la discordance). :BE bipôlaire.
[285] A. Noter qu’on peut se contenter de B qui rompt [305]
:A la chaîne délire / anxiété I agitation. :BD
C’est évident. [294] B. Est évident.
D. Oui, ce sont des idées délirantes congruentes :ABCD D. En effet la phobie du métro peut-être
à l’humeur. E. Est trop rare pour en tenir compte. considérée comme une agoraphobie.
[295] Ici, on nous présente une construction phobique
[286] :E secondaire.
:CE Classique. A et D sont là pour faire douter le [306]
A. Non, le délire n’est pas paranoïde, l’âge est candidat. :C
trop grand et les antécédents orientent ailleurs. Lauto-accusation décrite fait partie d’un QCM difficile.
B. Sans objet. syndrome de culpabilité délirante très fréquent Nous pensons qu’il faut éliminer E car la
C. Oui, mais le terme délirant peut quelque fois dans la mélancolie. personnalité décrite n’est pas de type phobique
être gênant. [296] et parce que le noyau de la pathologie est
D. Non :AD l’anxiété diffuse, flottante, appelée anxiété
E. Pathologies de fond ici Sémiologie dure. généralisée.
D. Est retrouvée dans quasiment tous les [307]
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:BCDE B. Ne sont pas efficaces dans les psychoses :C
QCM difficile. dissociatives et le terme est très imprécis. A. B. Sans objet.
On nous dit : “peuvent être prescrit”. C. E. Aucun intérêt. E. D. Le tableau est différent.
A. Non, ce n’est pas une indication. D. Ont fait preuve d’efficacité. [332]
B. D. E. Sont classiques quoique E est discuté. :D
C. Est d’une très bonne efficacité ici quoique [319] Première étiologie devant une confusion chez un
peu prescrit en France. :ABC homme de 45 ans revenant d’un pays dendémie
[308] Mais de toute façon l’hospitalisation s’impose: palustre.
:ACD - pour faire le bilan clinique [333]
A. Est évident. - pour mettre le traitement en place. :BDE
C. Oui puisqu’il n’est pas précisé le type de [320] A. Sans objet.
psychothérapie. :D B. Utile mais surveillance stricte de la vigilance,
D. Oui, au moins pour se débarrasser des Délire paranoïaque passionnel. Thème : jalousie. permet de diminuer l’agitation anxieuse.
phobies parasitantes. Tableau typique. D. Bien sûr.
B. E. Sans objet ici. [321] E. Toujours adjoindre vit Bi B6 souvent car
[309] :ACE rétiologie alcoolique doit être suspectée.
:D Evident. [334]
QCM particulièrement insensé. B. Personnalité obsessionnelle. :B
A. Ne soyons pas sadique D. Personnalité phobique. C’est tout de même l’évolution la plus fréquente.
B. Non, car on l’enferme alors dans sa [322] [335]
pathologie. :AD :D
E. Sans objet. Mais c’est surtout D qui est “le’ critère de Tableau de prédélirium tremens avec troubles
dangerosité. physiques (sueurs, tremblements) et
[310] [323] psychiatriques (troubles de la vigilance,
:B :B angoisse).
QCM évident. Mais ils sont peu efficaces ici. [336]
[311] A. Sûrement pas, il faut souvent avoir recours au :ACDE
:C P0. A - Compte-tenu de son antécédent récent de
Tableau typique: [324] tentative de suicide.
femme jeu ne :E C - Evident.
echecs sentimentaux fréquents avec C. Non car on risque d’induire un autre délire D - Souvent associé à un coma hyperthermique.
dramatisation de l’existence centré sur le signataire du PV E - Chez l’éthylique chronique dénutri, sujet à
suggestionabilité. [325] des troubles digestifs.
[312] :AB
:BC A. Bien sûr mais à long terme. [337]
Tout en sachant que B peut suffire car le B. Seule possibilité dobservance du traitement :BDE
Laroxyl® est un antidépresseur sédatif.qui nest dans cette pathologie. C - Signe de schizophrénie.
pas [326] E - Délire paranoïaque passionnel systématisé
anxiogène. :BDE en secteur.
B. Malgré tout, car elle présente une grande A. Non. [338]
composante anxieuse. B. Evident. :ABD
A. D. E. Sont sans objet ici. C. Non, il n’est pas décrit ici. A - Carbamates ou benzodiazépines ou
[313] D. Bien sûr: les lavages... neuroleptiques.
:ABE E. Oui, voire monotone, baisse de l’émotion B - Afin de prévenir syndrome de Korsakoif et
A. C’est le problème : évolution vers une exprimée. encéphalopathie de Gayet-Werwicke.
dépréssion chronique résistante. Auto-accusation : ‘je n’aime pas ma fille”. D - Elément majeur du traitement.
B. E. vEidents. [327] C - Peut avoir un intérêt, associé à des
C. D. A. Priori pas plus de risque que la :E techniques comportementales, dans le maintien
population générale. Question piège car A et B sont vraies mais le de
[314] noyau pathologique est E. rabstinence.
:B C. Non, car ici il existe des obsessions, des E - IMAO, contre-indiqué.
QCM difficile. compulsions et des rituels, et pas uniquement [339]
A. Sans objet. des phobies. :ABCD
C. Peu d’efficacité ici. A - Mr B. a rimpression d’être commandé par
E. Est toujours possible mais ce n’est pas son [328] une force extérieure : ‘les gens en le regardant
indication. :ACDE arrêtent le cours de sa pensée’.
B. A quelque efficacité devant ce tableau... QCM mal posé. B - Interruptions inexpliquées et allusions sans
[315] A. C. Evidents. rapport dans son discours.
:C D. A une certaine efficacité. C - On note de nombreuses idées délirantes non
Tableau classique (cf question sur la B. Rien à voir. systématisées.
schizophrénie) E. Bien sûr mais de quel type? D - Expression des émotions et mimiques
[316] [329] inadaptées.
:BCDE :ABCDE [340]
Evident. Seul E me semble difficile à admettre vu l’âge de :B
A. Evoque toute pathologie, et n’est donc pas la patiente. Mais cette évolution est très A - Début plus tardif entre 30 et 50 ans, plus
plus évocateur de la schizophrénie que d’autres fréquente dans les NO. plus jeune. Donc oui. souvent chez la femme.
diagnostics. [330] C - Dans ce cas, le délire est systématisé et à
[317] :ABE une cohérence interne.
:B Question de sémiologie. D - Seul diagnostic avec lequel on peut hésiter
Evident, de préférence en monothérapie. A. B. Evidents. mais l’anamnèse ne va pas dans ce sens.
[318] D. Non : ce sont des oublis à mesure. [341]
:AD E. Errements ou fugue ? réponse difficile. :AD
QCM difficile au niveau de l’internat. [331] Les neuroleptiques ne sont pas des
A. Sont très efficaces (cf thérapies systémiques). médicaments anodins ; ils nécessitent de
18
réaliser un examen neurologique préalable et un [354] [367]
ECG (tropisme cardiaque). La surveillance doit :B :ACD
être rigoureuse. A - Est un test d’efficience intellectuelle qui n’a Ces symptômes sintègrent dans raccélération
[342] pas un intérêt diagnostique mais qui peut considérable des processus intellectuels. B et E
:D permettre d’apprécier l’éventuelle “détérioration - Sont des syndromes de schizophrénie.
D - Classe de neuroleptique dont fait partie intellectuelle”. Celle-ci est probablement en [368]
lHaldol®. rapport avec un déficit fonctionnel témoignant :B
[343] d’un défaut d’attention et d’un manque de Tableau ne posant pas de problème de réponse.
:ACE motivation. [369]
A - Piportil® L4, 25-1 00 mg/4 semaines en 1M. [355] :B
C - Moditen® Retard ou Modecate® 1M 25-1 Les troubles psychiques sont particulièrement
00 mg/3 semaines. Sans commentaire. fréquents au cours des tumeurs frontales,
E - Haldol® Decanoas 1M. souvent au premier plan surtout lorsque la
[344] [356] localisation tumorale est antérieure, Ils peuvent
:BC :AB réaliser un tableau dallure maniaque comme la
Ruiné et sans ressource, les réponses B et C A - Pour son effet désinhibiteur (ou moria.
semblent indispensables. antidéficitaire). [370]
[345] B - Pour lutter contre rangoisse psychotique qui :BC
:AD risque d’être réactivé par A. Sans commentaire.
A, D - Evident. [357] [371]
B - On appelle confabulation des faux-souvenirs :C :E
venant combler par suppléance une période C - Est primordiale dans le devenir évolutif des Le patient présente une agitation nécessitant
de lacune mnésique. schizophrénies. une hospitalisation immédiate à laquelle adhère
C - Faux, car il n’existe pas d’hallucinations [358] son épouse. La solution du placement volontaire
visuelles. :C reste la plus logique.
Crise dagitation excito-motrice associée à un [372]
[346] état confusionnel hallucinatoire et délirant, se :C
:C terminant par un sommeil comateux avec Présentation du sujet, désorientation
Comprend plusieurs variétés d’hallucinations amnésie. temporo-spatiale, délire onirique avec
psychiques diversement associées. Le sujet [359] hallucinations visuelles de nature zoopsique et
peut éprouver le sentiment qu’il a perdu son :ACE adhésion du sujet, existence de symptômes
autonomie de penser. Il a des pensées qui lui Voir question précédente. neurovégétatifs sont en faveur du diagnostic.
sont étrangères, qui peuvent l’influencer et le [360] [373]
déposséder de sa propre volonté (syndrome :BDE :ACD
d’influence). Il peut y avoir commentaire des B - Toujours y penser devant des troubles du A - ‘Depuis quelques jours, il se trompe de trajet
actes, écho de la pensée. comportement chez un alcoolique chronique en allant à son magasin”.
[347] (hématome sous-durai). De même, évoquer C - “... chasser les loups qui rôdent dans le
:CE l’hypoglycémie fréquente chez l’alcoolique jardin.
A - Sans aucun rapport. dénutri. D - Evident.
C - Thème délirant au premier plan. [361] [374]
E - ‘Affirme avoir senti des mains.., qui lui :AD :C
imposaient des mouvements”. Le risque de coma existe et nécessite alors une Tableau de délirium tremens. Urgence médicale.
[348] réanimation appropriée d’où A et D. [375]
:BCD [362] :BCE
C - Pour certains (auteurs anglo-saxons en :ABDE A - Nécessité d’une hospitalisation immédiate.
particulier), la P.H.C. n’est qu’une forme de C - Se voit dans les accès maniaques. B, C - Soit un neuroleptique plutôt sédatif, soit
schizophrémie tardive. Or la dissocation est un [363] une benzodiazépine, soit un carbamate.
signe majeur de la schizophrénie. :D E - Réhydratation par voie buccale (4-6 litres/24
E - La P.H.C. est, au contraire, plus fréquente C - Trouble existant chez la patiente depuis une heures) ou intra-veineuse. Elément majeur du
chez la femme. dizaine d’années. Bien lire l’énoncé de la traitement.
[349] question. [376]
:C [364]
Tableau clinique typique de P.H.C. :ACD QUESTION SUPPRIMEE
[350] A - Evid ente.
:BC C - “Sentiment d’oppression, sujette aux [377]
Sous traitement, on obtient généralement une sueurs”. :ACE
extinction assez complète des phénomènes D - ‘Impression étrange, peur de perdre la tête et A - “Donnez-moi une pilule pour rejoindre mon
hallucinatoires avecs mise à distance, de ne plus être elle-même”. mari et mon fils...”
“enkystement” voire parfois disparition du délire. [365] C - “Je suis une bouche inutile pour la société”.
[351] :E D- Chez cette patiente, il s’agit de plaintes
:B E - Peur de sortir dans les lieux publics, comme somatiques ayant une équivalence dépressive et
Le traitement adapté est bien sûr un traitement les rues, magasins et moyens de transport. On non des plaintes hypocondriaques.
neuroleptique, tel le Piportil. note des idées de catastrophes, des conduites E - Est synonyme d’ennui de vivre.
[352] d’évitement et la présence d’objet ou de [378]
:ABC personne ayant un rôle contra-phobique. :AD
A - ‘Il ne leur parle pratiquement plus”. [366] A - Est l’aboutissement de l’altération de l’état
B - Crise de fou rire sans motif apparent. :BD général et d’une propension au laisser-aller
C - Allure renfermée habituelle et isolement. C - Les antidépresseurs, indiqués dans (équivalent suicidaire).
[353] lagraphobie avec attaque de panique, sont les [379]
:B dérivés imipraminiques (antidépresseurs :C
Apparition précoce entre 15 et 20 ans de façon “stimulants”). A E - Antidépresseurs tricycliques
insidieuse avec une symptômatologie dominée contre-indiqués en raison de l’existence d’un
par la dissociation psychique, l’autisme et la glaucome et
pauvreté des manifestations délirantes. de l’arythmie.
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B D - Neuroleptiques sans intérêt dans complète des phénomènes hallucinatoires et signe de réticence. Il ne s’agit pas de mutisme
l’observation. une mise à distance du délire sans véritable car le sujet explique que tout le monde connaît
C - Antidépresseur non tricyclique, plutôt de disparition. son histoire et que “ses parents doivent être
type stimulant, dénué de cardrotoxicité et [391] traités”.
pouvant :ABC [402]
être prescrit en cas de glaucome. Effets Le traitement approprié correspond au :C
secondaires digestifs. traitement neuroleptique dont les effets A - Se voit dans la paraphrénie.
[380] secondaires sont d’ordre neuroleptique [403]
:C (dyskinésies aiguès ou tardives, syndrome :C
Connaissance. extra-pyramidal), neurovégétatif Sans commentaire.
[381] (cardio-vasculaire, régulation thermique), [404]
:BCD allergiques et toxiques, digestifs, métaboliques :AD
B - “Il ne se sent plus lui-même : on lui a changé et endocriniens et de nature psychique. Il s’agit des deux documents nécessaires au
sa personnalité”. [392] placement volontaire.
C - Le patient vient de réaliser une T.S. et dit :BD
bien se porter... A - Pensée soumise au raisonnement qui se [405]
D - Ondes qui influencent son cerveau. déroule sans objet, indépendant et indifférent à :ABE
[382] la On peut discuter d’utiliser le Droleptan® dont
:D réalité, et au concret. Caractérise la pensée de l’usage est réservé aux états d’agitation aigus et
A - Mécanisme prépondérant dans la nombreuses schizophrènes. les effets secondaires intenses.
paraphrénie. C - Rencontrée dans les états maniaques. [406]
B - Mécanisme fréquemment rencontré dans les D - Chez les personnalités hystériques, les :CDE
schizophrénies, qui n’apparaît pas dans déséquilibrés ou les pervers. Un neuroleptique retard associé à un soutien
l’observation. [393] psychologique du patient et de la famille dans le
C - Plutôt retrouvé dans les délires chroniques :AC cardre d’une consultation sectorisée semble être
systématissés parnoïaques. A, C - Dautant que la survenue dun état la meilleure solution.
[383] dépressif au cours dune maladie de Parkinson [407]
:B n’est pas rare et qu’une aggravation de la :AB
Sans commentaire. symptomatologie neurologique par des A - Le délire possède une logique et cohérence
[384] évènements de vie stressants est possible. interne.
:CDE [394] B - ‘Il comprend et soudainement...’
C - Epreuve psychométrique testant efficience :E [408]
intellectuelle, intéressant sur un angle qualitatif. La confusion mentale est plus fréquente chez :D
D - Test projectif des taches d’encre, dont les personnes agées et est directement reliée à Tableau classique.
certains signes sont considérés comme laction anticholinergique des tricycliques. [409]
pathognomoniques. :ACE
E - Epreuve perceptivo-motice à analyser sur un [395] La participation thymique au délire est souvent
plan qualitatif. On peut retrouver rationalisme :A constatée dans les psychoses hallucinatoires
et géométrisme morbide et un temps A - Le syndrome confusionnel apparaît chroniques.
d’exécution anormalement élévé. consécutif à l’introduction 3 jours plus tôt du [410]
[385] Tofranil®. :A
:C Il est donc nécessaire de l’interrompre. Ne pas On peut envisager d’associer au neuroleptique,
Du fait des nombreuses fugues et de son refus arrêter brutalement le Rohypnol® ni le un antidépresseur compte tenu de la note
d’hospitalisation, un transfert dans un service de Simenet®. thymique.
psychiatrie en P.V. s’avère souhaitable. E - L’artane® aggraverait la symptomatologie [411]
confusionnelle. :E
[386] [396] Sans commentaire.
:BC :CD [412]
La mise en route d’un traitement neuroleptique A,B - sont retrouvés dans les schizophrénies. :ABDE
apparaît indispensable afin d’agir sur rexcitation E - Thèmes d’indignité, incurabilité, damnation, Peut-on envisager une psychose?
psycho-motrice et ractivité délirante. Par ruine..., non retrouvés ici. [413]
exemple, prescription dune association [397] :ABC
dHaldol® et de Nozinan®. :AC A B C - Diagnostic positif de dépression.
[387] Voir question suivante. E - Signe contre le diagnostic de psychose.
:D [398] [414]
Tableau classique : âge de début, sexe féminin, :B :BC
automatisme mental, hallucinations auditives Il s’agit d’un délire paranoïaque passionel de Sans commentaire.
acoustico-verbales, olfactives, coenesthésiques, jalousie. li est typiquement en secteur et peut [415]
délire de type persécutif vague, élaboration aboutir à des actes médico-légaux. Outre :E
délirante pauvre sur un mode dépressif. l’interprétation et l’intuition, on peut retrouver Basée sur la relation mère-enfant.
[388] des illusions.
:ACE [399] [416]
A - Les hallucinations visuelles, olfactives et :C :AE
gustatives sont plus rares que les hallucinations Du fait de la dangerosité des paranoïaques et du Agoraphobie : peur d’être seule, d’être dans un
psychiques, auditives et coenesthésiques. risque de passage à l’acte agressif envers sa endroit où le sujet ne pourrait s’échapper sans
C - Existe déjà dans l’observation. femme. difficulté ou être secouru.
[389] [400] [417]
:C :BC :B
Réponse logique, en première intention Association d’un neuroleptique sédatif à un Ou conduite de réassurance.
compte-tenu de la symptomatologie et de la neuroleptique incisif, sans oublier l’importance [418]
bonne réponse thérapeutique habituelle. de la relation psychothérapique. :C
[390] [401] A - Absence de symptomatologie
:C :C obsessionnelle (crainte en dehors de l’objet).
On observe souvent une extinction assez Dans le contexte décrit, le refus de parler est un
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E - Angoisse flottante avec fixation transitoire. maigrir ou obéit à des règles diététiques A - Après 48 heures de traitement.
[419] personnelles. Le refus alimentaire a des C E - Effets indésirables plus tardifs.
:CD motivations pathologiques et souvent délirantes. [443]
Désensibilisation et immersion. [432] :BC
[420] :ABCD - Etat de dangerosité pour elle-même ou pour
:D - La carence d’apports isolée donne autrui. On décide une hospitalisation à la
Hallucinations (fausses perceptions) exceptionnellement une hypokaliémie. demande d’un tiers (anciennement placement à
psychosensorielles intéressant la sensibilité - La prise de laxatifs et de diurétiques est à la demande d’un tiers). La famille est présente.
interne. Pseudohallucinations : représentations rechercher. - La curatelle (conseil et contrôle de
vives, spontanées, se rapprochant des [433] l’administration des biens) ne peut concerner
hallucinations sans créer comme elles :ACD qu’une
l’apparence d’une réalité extérieure. L’hospitalisation avec isolement du milieu pathologie chronique.
[421] familial est considérée par la plupart des auteurs C - Si le placement volontaire ne peut être
:B comme une mesure indispensable. réalisé. Menace pour l’ordre public.
- Délire de persécution flou, mécanisme [434] [444]
hallucinatoire. Illogisme. :ADE :D
- En faveur de la schizophrénie : la notion d’une - Le début précoce des troubles est considéré Idée délirante de culpabilité, portant sur une
certaine chronicité des troubles (“longue comme un facteur de bon pronostic (sauf en faute vénielle aux conséquences grossies
date”), les bizarreries du comportement (gestes cas d’anorexie pré-pubère). jusqu’à l’absurde.
stéréotypés), propos diffluents (“guérir et - Est aussi considéré comme de mauvais
tuer’). pronostic l’existence d’épisodes de boulimie. [445]
[422] (mauvais?) :CE
:D [435] C - Troubles digestifs: anorexie, constipation.
Sans commentaire. :D E - Surtout terminale, le sujet se réveillant au
[423] Obsession : idée s’imposant à la patiente et petit matin avec l’angoisse de la journée à vivre.
:A dont elle reconnait le caractère morbide. [446]
Les dyskinésies aigues apparaissent Les obsessions idéatives sont des obsessions :D
habituellement dans les premières 24 heures. de caractère interrogatif et ruminatif. Episode dépressif: tristesse de l’humeur, douleur
Les autres signes (B C D) sont d’apparition plus morale, idées de mort, idées suicidaires, repli
tardive. [436] sur soi, idées de culpabilité et d’indignité.
L’halopéridol® donne peu d’hypotension :D De type mélancolique : perte d’intérêt massive,
orthostatique. - Efficacité de la domipromine (Anafronil) à fortes pas de réactivité, dépression plus marquée le
[424] doses jusqu’à 300 mg/jour. matin, anorexie, idées délirantes de culpabilité.
:C - Efficacité d’autres antidépresseur type [447]
- Reproduction du temps de sommeil. sérotoninergique (exemple : fluoxétine Prozac). :B
- Plus grande communcabilité. [437] B - Depuis juillet 1990 : hospitalisation à la
- Fuite des idées. :E demande d’un tiers (pas d’office car pas de
- Hyperactivité, projets grandioses. Peur d’être seule, d’être dans un endroit d’où la menace pour l’ordre public).
- Exaltation euphorique de l’humeur. personne ne pourrait s’échapper sans difficulté [448]
- Probable virage de l’humeur. si elle venait à ressentir une incapacité. :D
[425] Comportement d’évitement et besoin d’être Délire : de type interprétatif, thème persécutif,
:AE accompagnée. bien construit.
Signes de schizophrénie. [438] [449]
:ABD :CD
[426] Les antidépresseurs diminuent la B - Conviction délirante d’être trompé.
:A symptomatologie anxieuse (traitement à long C - Tristesse de l’humeur, souffrance morale.
Sans commentaire. terme). E - Le mécanisme dans l’observation est
[427] Thérapie comportementale : désensibilisation interprétatif.
:B systématique et immersion. [450]
Mesure simple, souple et rapidement comprise. Les psychothérapies verbales peuvent être :BCD
Valable pendant deux mois à partir de la date envisagées, souvent dans un second temps. B - Pas de mise à distance du délire.
dinscription sur le registre du Parquet, [439] [451]
renouvelable. :AC
Mesure transitoire, d’urgence, protectrice et - Troubles anxieux: pas de risque évolutif vers Sans commentaire.
conservatrice. une psychose. [452]
[428] - Les autres complications sont abus d’alcool :D
:DE et/ou de tranquillisants, perte majeure A - Non, car évolution supérieure à 6 mois.
Sédation de l’accès méningé. d’autonomie. D - Age du patient, délire paranoïaque,
[429] [440] fléchissement des activités, bizarreries.
:C :B [453]
Diagnostic d’anorexie mentale On pourrait évoquer une manie atypique mais :AB
- refus de maintenir un poids corporel au dessus absence de syndrome d’influence dans la B - Activité inadaptée et inefficace, avec perte
dun poids minimum normal pour l’âge manie. Il faut six mois d’évolution des troubles d’intérêt.
- peur de prendre du poids pour pouvoir évoquer l’entrée dans la [454]
- perturbation de l’estimation de son propre schizophrénie. :C
poids [441] C - Traitement antipsychotique.
- aménorrhée supérieure à trois cycles. :AD [455]
[430] But : diminution de l’agitation psychomotrice et :B
:C du délire, donc utilisation de neuroleptiques. D - Sans commentaire.
Sans commentaire. Type Haldol, Largactil. Cependant, beaucoup
[431] d’auteurs recommandent maintenant une [456]
:ACDE monothérapie. :C
La restriction alimentaire est rapportée à une [442] Quatrième accès maniaque. Absence
diminution ou une perte d’appétit, à un désir de :BD
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dantécédent d’épisode dépressif. [472]
[457] :AD
:AD - Traitement antidépresseur majeur
A - Ou maintenant hospitalisation par demande - Si résistance au traitement: sismothérapie.
d’un tiers. [473]
D - Décision temporaire (durée de deux mois). :D
Protection contre tout côté susceptible de lui Désorientation temporo-spatiale, perplexité.
nuire (conserve droits civils). [474]
[458] :A
:E Potentialisation des effets anticholinergiques par
Le traitement au long cours est basé sur les les phénothiazines et les tricycliques.
thymorégulateurs. [475]
[459] :ACE
:BD A - Attitude d’écoute.
Contre-indications absolues C - Délire non systématisé, pensées imposées
- insuffisance rénale et hépatique (hallucinations psychiques).
- hyponatrémie E - Sourires, pleurs immotivés.
- grossesse [476]
- pathologie thyroïdienne :E
- cardiopathie sévère (troubles du rythme). - Evolution depuis plus de six mois.
[460] - Syndrome dissociatif.
:C - Syndrome délirant paranoïde.
Action thératogène du lithium au premier
trimestre de grossesse. [477]
[461] :E
:ABCD Hallucinations impérieuses.
A - Rires imotivés. [478]
B - Perte de contact avec la réalité (gens perçus :D
comme bizarres). C - Pas de dangerosité pour l’ordre public.
C - Pensées imposées par l’extérieur. D - Hospitalisation à la demande d’un tiers,
D - Voix intérieure. nécessité de deux certificats médicaux.
[462] [479]
:D :BDE
Automatisme mental : dédoublement de la Traitement par neuroleptiques (action
pensée (écho de la lecture). recherchée sur les psychoses dagitation).
[463] [480]
:C :E
- Début des troubles supérieur à 8 mois. - Neuroleptiques-Retard : 1 injection toutes les
- Syndrome dissociatif. deux à quatre semaines.
- Syndrome délirant. - Autres neuroleptiques retard : Haldol®
[464] Decinoas, Fluanxol retard®, Piportil®, Moditen
:BC Retard®.
Neuroleptiques sédatifs en monothérapie ou en
association.
[465]
:BCDE
E - Rarement évolution discontinue, surtout
depuis lutilisation des neuroleptiques.

[466]
:ACDE
A - Perplexité, impression de rêve.
C - Perte de rintégrité corporelle.
[467]
:D
Ou bouffée délirante aigué.
[468]
:D
Epilepsie temporale : allure paroxystique, courte
durée, répétition stéréotypée, contenu
amnésique.
[469]
:C
Sans commentaire.
[470]
:ABCD
C - Surtout dans le cadre d’une psychose
maniaco-dépressive.
[471]
:A
Episode dépressif type mélancolique (tristesse
de humeur, anorexie, insomnie, désintérêt, repli
sur soi), autodévalorisation, idées de mort avec
culpabilité délirante (punition).
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