Vous êtes sur la page 1sur 2

LE MERAVIGLIE d’Alice RORWACHER

Le Meraviglie ou les merveilles d’Alice RORWACHER est un film primé à Cannes par le prix
spécial du Jury en 2014. Il raconte l’histoire d’une jeune fille Gelsomina qui vie dans une famille
d’apiculteur de 4 filles. Ils sont 7 dans la maison : les 4 filles, la mère, coco et le père. Le père de
Gelsomina, entouré de femme,  rêve d’avoir un fils qu’il va trouver dans le jeune délinquant Martin
que la maison accueil pour trouver un peu d’argent. La maison doit remplacer son laboratoire et va
en dernier recoure participer a un jeu télévisée afin de payer ses dettes.

Ce film est un film qui rend perplexe. Il me laisse le sentiment de ne pas l’avoir compris. Ce
qui est probablement voulu par la réalisatrice. Car si on a du mal à comprendre, c’est que le film a
tendance à se cacher. Le spectateur est directement imprégné dans la vie des personnages qui ont à
plusieurs moments tendance à se cacher de ce spectateur lors de moment un peu plus intime ou
bien d’élément dont les personnages ont honte. Dès la première scène la sœur du personnage
principale est gênée par notre regard et celui de sa sœur pour faire ses besoins. Un peu plus tard
lorsque Gelsomina aura un œil au beurre noir elle va essayer de cacher son œil mais ses mains ne le
cachent pas des autres personnages mais, même si on le sait, elle nous le cache à nous spectateur.

En plus de cela s’ajoute la solitude des personnages, le père dors dehors seul au milieu de sa
cour. Lors de ce plan large on voit le recul qu’on les personnages par rapport au monde ils sont seul
dans un désert mais un désert qu’il garde car il essaye de faire fuir les chasseurs qui rompt la
tranquillité. Une variante de ces scènes revient lors de l’avant dernier plan du film où cette fois ci
toute la famille dors au milieu de la cour. Finalement Cette famille n’est pas seule vu qu’ils sont là
pour eux même face aux difficultés de la vie.

Malgré ce désert ils vont tentés de créer un lien avec la nouveauté afin de régler leur
problème et vont entrer dans le monde réel à travers le jeu télévisé qui les emmène sur une île a
bateau. Lors de cette scène on voit le reflet des bateaux dans l’eau. Les protagonistes entrent dans
un autre monde. Et cet autre monde va les déconcerter ils ne comprennent pas trop ce qui leur
arrive et malgré quelque mots qui retient l’attention les paroles incomplète du père « C’est la fin du
monde » nous montre que leur monde se détruit et le don de Gelsomina ne sera applaudi que par
certaine personne car trop différent du monde. Et finalement même les gagnant du jeu on gagner car
malgré leur marginalité il montre leur désir d’intégrer ce nouveau monde. La nouveauté oppresse
petit à petit la famille

L’oppression auxquels sont liés les personnages, cela est ressenti par les bruits lors de la
scène où sont présenté les modifications à faire dans le labo, les petites filles qui joue dehors et qui
tape sur le mur ce qui nous gêne tout autant que les protagonistes sont gênés par les travaux à faire
d’après la nouvelle loi. Cette thématique de l’extérieur qui les oppresse revient souvent telle que
l’arriver des pesticides qui tuent les abeilles ou bien les touristes qui viendraient envahir les lieux.
Finalement Le dernier plan plein d’intérêt montre les lieux délabrées ce qui laisse d’un coté penser
que la famille a perdu son combat pour garder la vie qu’elle a. Mais cela montre aussi que la maison
n’a pas été détruite et qu’elle possède probablement la capsule temporelle dont les personnages ont
parlé en toute fin. Et nous invite à trouver ce qui est derrière les carreaux, derrière ce qu’on voit,
derrière les décors touristique pour découvrir le vrai monde et donc derrière le film et derrière le feu
de la caverne.

La question centrale du film repose avant tout sur Martin, le jeune délinquant que la famille
accueille. Ce personnage ne parle pas, refuse qu’on le touche, et des fois siffle. Cela s’expliquerait par
le fait que Martin soit en fait le coté masculin de Gelsomina. Elle représentait dès le début le membre
le plus masculin du film. Mais avec sa volonté de voir des choses de nouvelle. Elle va devenir d’un
coté le fils que son père souhaite et en même temps devenir elle-même. Cela se voit notamment
avec le plan dans la caverne qui fait référence a celle de Platon. Les deux personnages sont enlacé
tout les deux face au feu. Et cela explique aussi qu’avec le retour à la maison Martin ai disparu et que
Gelsomina qui ne savait pas siffler se met à siffler. Ainsi Apres un voyage hors de la caverne dans
lequel les deux personnages se cachaient il se sont retrouvé dans la même personne qui est
Gelsomina

Finalement Le Meraviglie est un film que je vous invite à voir pour ses nombreuses
symbolique et pour son interprétation multiple. Il y a dans cette critique qu’une ébauche de se qui
peut se trouver, la discussion est loin d’être finis et je vous invite donc a chercher le motif dans ce
tapis immense qu’est Le Meraviglie. Je pourrais parler pendant des heures de se film qui a toucher
mon intention et qui me rend perplexe. J’ai encore oublié de nombreux point dont je vous invite à
chercher si vous ne l’avez pas vue ou bien a discuter car c’est peut être bien par la discussion sur son
sens que le film prend toute sa valeur.

Vous aimerez peut-être aussi