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Pour ça, le papier recyclé et la valorisation des déchets papier devenue une nécessité et
plus en plus important pour protéger notre environnement.
Chaque personne doit choisir un objet différent avec le papier pour créer cette
hybridation. Personnellement, j’ai choisie de travailler avec :
Dans un premier temps, on prend des vieux papiers, on les déchiquetés dans un pulpeur
avec de l’eau. On obtenu alors une pâte qui nous avons filtrée avec le tamis.
Un tamis est une grille de maillage plus ou moins fin, servant à trier les particules
solides, fixée sur un cadre.
On utilise ainsi le tamis pas seulement pour l’épuration de papier mais la pâte va
prendre la forme de tamis qui est le cercle.
Le cercle est le symbole le plus connue. il n’a ni commencement ni fin, ce qui fait un
symbole universel d’éternité, d’infini, de divinité…
Cette relation qui se définisse par la roue de vie et les cycles du monde naturel.
Le tamis sert à puiser la pâte dans une cuve. On peut transformer la feuille sur
une planche couverte par un tissu. Les feuilles peuvent être pressées afin de
retirer l’excédent d’eau avant un séchage définitif à l’air libre.
J’ai choisie de travailler aussi avec la couleur bleu donc j’ai eu comme référence
l’artiste Yves Klein.
Yves Klein, né à Nice le 28 avril 1928, mort à Paris le 6 juin 1962, est un
artiste français. En 1954, il se tourne définitivement vers l'art et entame son
« Aventure monochrome ».
Animé par l’idée consistant à « libérer la couleur de la prison de la ligne », Yves
Klein se tourne vers la monochromie car c’est pour lui la seule manière de
peindre permettant de « voir ce que l’absolu avait de visible ».
Privilégiant l’expression de la sensibilité plus que la figuration dans la forme,
Yves Klein va au-delà de toute représentation artistique et conçoit l'œuvre d'art
comme la trace de la communication de l'artiste avec le monde. C'est la réalité
invisible qui devient visible. Ses œuvres sont « les cendres de son art ».
L'œuvre d'Yves Klein révèle une conception nouvelle de la fonction de l'artiste.
Selon lui, la beauté existe déjà, à l'état invisible. Sa tâche consiste à la saisir
partout où elle est, dans l'air et dans la matière. Yves Klein a fait de sa vie tout
entière une œuvre d’art : "L’art est partout où l’artiste arrive."
Dans sa quête d’immatérialité et d’infini, Yves Klein adopte le bleu outremer
comme véhicule. De ce bleu plus que bleu, qu’il nommera « IKB » (International
Klein Blue), irradie une vibration colorée qui n’engage pas seulement le regard
du spectateur : c’est l’esprit qui voit avec les yeux.
De ses monochromes, au vide, à la "technique des pinceaux vivants" ou
"Anthropométrie", jusqu'à l'emploi des éléments de la nature afin de manifester
leur force créatrice ou de l’or qu’il utilise comme un passage vers l’absolu, il a
conçu une œuvre qui traverse les frontières de l'art conceptuel, corporel et du
happening.
Parmi les dernières démarches plastiques, l’habillage de branche d’arbre avec les
papiers recyclés pour la création de produit final.