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Plan du travail
Introduction
Présentation du service
Présentation du service :
Les activités du service
Conclusion

Bibliographie

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Introduction
La santé publique peut être définie de diverses manières. On peut
en effet la présenter comme « l'étude, d'une part, des déterminants
physiques, psycho-sociaux et socioculturels de la santé de la
population et d'autre part des actions en vue d'améliorer la santé de la
population »1. Ou encore, comme « une activité organisée de la
société visant à promouvoir, à protéger, à améliorer et, le cas échéant,
à rétablir la santé de personnes, de groupes ou de la population
entière.

On peut aussi rappeler une ancienne définition de Charles-Edward


Winslow , publiée dans la revue Science en 1920 : « La santé
publique est la science et l’art de prévenir les maladies, de prolonger
la vie et de promouvoir la santé et l’efficacité physiques, à travers les
efforts coordonnés de la communauté pour l’assainissement de
l’environnement. Le contrôle des infections dans la population,
l’éducation de l’individu aux principes de l’hygiène personnelle,
l’organisation des services médicaux et infirmiers pour le diagnostic
précoce et le traitement préventif des pathologies, le développement
des dispositifs sociaux qui assureront à chacun un niveau de vie
adéquat pour le maintien de la santé, l’objet final étant de permettre
à chaque individu de jouir de son droit inné à la santé et à la
longévité »1.

1
Dominique Lecourt (dir.), 2004 : Dictionnaire de la pensée médicale, Paris, réed. PUF/Quadrige, 2004

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Partant de cette dernière définition, un comité de l’OMS a
souligné en 1952 l'importance qu'il convenait d'attacher à l'éducation
sanitaire individuelle et collective, mais il a surtout été frappé par
l'élargissement des conceptions se rapportant à l'administration de la
santé publique, cette évolution nécessitant l'intégration en un système
unique de toutes les branches de l'action sanitaire  :  prophylaxie  ou
prévention, soins aux malades et réadaptation des convalescents.
Depuis lors il est généralement admis que l'organisation des soins
curatifs appartient également aux fonctions essentielles de la santé
publique. La santé publique se démarque de la médecine 
essentiellement sur deux plans :
1-Elle met davantage l'accent sur la prévention que sur les
traitements curatifs ;
2-Elle développe une approche de population, plutôt que de
s'intéresser individuellement aux problèmes de santé des personnes,
ce qui se traduit notamment par l'adjonction de compétences qui
relèvent des sciences humaines et sociales et notamment de la
sociologie, du droit et de l'économie. Cette approche populationnelle
peut par ailleurs s'exprimer, selon les pays, par l'expression d'une
politique publique spécifique : la politique de santé publique.

4
CHAPITRE I

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Présentation
Situation géographique : implanté à proximité de la direction générale de la
protection civile , l'hôpital domine la partie sud de la ville de Ain Témouchent
et l'on peut apperçevoir de très loin sa stature massive composée de 3 blocs
soudés, un batiment administratif et des dependances avec une salle de
conférences.

Depuis son ouverture, l'hôpital Dr Benzerdjeb de la wilaya d'Aïn Témouchent,


un centre médical qui rend d'énormes services à la population de la wilaya
d'Aïn Témouchent ainsi qu'aux malades en provenance des wilayas du pays, a
fait un très grand pas dans la médecine grâce à des conférences nationales et
internationales et des stages organisés à l'intention du corps médical, toutes
spécialités confondues, lui permettant d'acquérir des expériences notables
Présentation du service radiologie (Personnel+matériel)
La radiographie (I) – 
Histoire de la découverte des rayons X et de leur application en médecine. En
1895, le physicien allemand Wilhelm Röntgen alors âgé de 50 ans étudie le
rayonnement cathodique avec des tubes de Crookes. Il s'intéresse plus
précisément à la pénétration des rayons dans le verre.1 oct. 2007
En novembre 1895, à Würzburg (Allemagne), Wilhelm Conrad Röntgen,
ingénieur allemand, commence une série d'expériences qui ont pour but d'étudier
la pénétration des rayons cathodiques* dans le verre. Afin de ne pas être dérangé
par la lumière émise par le tube cathodique*, il l’entoure de carton noir,
dans une chambre noire. Le soir du 8 novembre 1895, Röntgen observe qu’un
écran en carton recouvert de platinocyanure de baryum, situé en face du tube,
devient fluorescent ;  et en déduit que le verre du tube émet un rayonnement
invisible capable d’impressionner une plaque photographique et ce jusqu’à une
distance de deux mètres. Il montre aussi que ces rayons invisibles et pénétrants,
qu'il nomme X, du nom de l'inconnu algébrique habituel, x (car W. C.

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Röntgen ignorait alors de quoi il s’agissait), causent la fluorescence de divers
matériaux et qu'ils sont d'autant plus absorbés que les éléments ont un numéro
atomique élevé. Le phénomène de fluorescence arrête dès que le courant est
coupé.     Il poursuit son expérience en interposant divers objets entre le tube
cathodique et l'écran fluorescent : une feuille de papier, de carton, d'aluminium,
du bois, du verre... Il constate que la fluorescence persiste mais une mince
feuille de plomb ou de platine fait disparaître complètement cette fluorescence :
les divers objets ont donc une transparence variable. De plus, les plaques
photographiques sont impressionnées lorsqu’il les place sur le chemin des
rayons X.

    Le physicien continue ses recherches en vue de découvrir les propriétés et la


nature de ces rayons.Il en tire quatre conclusions :
"- Les rayons X sont absorbés par la matière ; leur absorption est en fonction de
la masse atomique des atomes absorbants.
- Les rayons X sont diffusés par le rayonnement de fluorescence.
- Les rayons X impressionnent la plaque photographique.
- Les rayons X déchargent les corps chargés électriquement."
    Ces rayons sont en réalité similaires aux rayons gamma*. La principale
différence avec ceux-ci est que les rayons X proviennent non pas du noyau mais
de la couche électronique d'un atome.

 La découverte de Röntgen donna naissance à la radiologie. Il effectua alors la


première radiographie d'un être vivant : celle de la main de son épouse placée
sur le parcours des rayons, munie de son alliance, le 22 décembre 1895. Ce
cliché nécessita un temps d’exposition de 20 minutes. Au développement, il
s'aperçoit que l'image est l'ombre des os de la main de Mme Röntgen, son
alliance y étant visible. Les os sont entourés d’une pénombre qui représente la
chair de la main, celle-ci est donc plus perméable aux rayons. C'est le premier
« Röntgenogram ».

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    À la suite d'autres expériences, Röntgen constate que ces nouveaux
rayons  sont produits par l'impact des rayons cathodiques sur un objet matériel.
Plus tard, Max Von Laue et ses étudiants démontreront qu'ils sont de
nature électromagnétique, tout comme la lumière, et diffèrent seulement par une
plus haute fréquence.

     Le 28 décembre 1895, Röntgen publie une communication provisoire


intitulée "À propos d'une nouvelle sorte de rayons" dans le bulletin de la Société
physico-chimique de Würzburg.

    Sa découverte changea le monde de la science et ouvrit la voie à l’étude de la


radioactivité. Ce travail lui valut le premier prix Nobel de physique en
1901.    La radiologie sera enseignée dans la plupart des facultés de médecine
européennes à partir de 1897. Il laissa même son nom à l'unité de mesure utilisée
en radiologie pour évaluer une exposition aux rayonnements. Le symbole des
Röntgen est R.  

   Désormais célèbre grâce à une découverte qui ne cessa jamais d'évoluer,


Wilhelm Conrad Röntgen meurt le 10 février 1923. Il était alors presque
aveugle ; mais a été un des premiers à utiliser systématiquement des boucliers en
plomb afin de se protéger de ces rayons. En effet, à l'époque, les radiologues ne
connaissaient pas les risques de la radiodermite* et ne se protégeaient pas contre
les rayons.

À travers les années, on a découvert les avantages et les inconvénients de ces


rayons. On a aussi appris à les doser, de sorte qu'aujourd'hui, ils sont beaucoup
moins nocifs pour notre santé, car pendant longtemps, les doses étaient trop
fortes. Avec les années, on diminuera également la durée des examens.  

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 Enfin, cette découverte majeure a entraîné la construction d’infrastructures dans
ce domaine ; puisque les premiers services d'imagerie médicale ouvrirent au
début de l'année 1896.De plus en 1897, Antoine Béclère, pédiatre et clinicien
réputé, créa, à ses frais, le premier Laboratoire Hospitalier de Radiologie. Tout
le monde voulait faire photographier son squelette.

-présentation du service :
*l’établissement hospitalière Dr BENZERDJEB est une grand structure de
quatre étages situe en face de la direction de sante et de population.au niveau
de 1ere étage en trouve service de traumatologie, et le service de radiologie
Just à côté de la salle (bloc opératoire de CCV).

*le service de radiologie de l’établissement BENZERDJEB est situe dans le


1ere étage du bâtiment de l’établissement, un service polyvalent prennent en
charge toutes les catégories des patients (externes, hospitalises,….) il réalise
des différentes techniques d’imagerie médical telle que la radiologie standard,
le scanner et l’échographie .ce service occupe une surfasse immense que se
devise en plusieurs locaux :

-Trois postes de radiographie standard, qui ont un accès commine vert une salle
de développement et de la reprographie numérique. Un poste de scanner et une
salle d’interprétation et deux postes pour les examens échographique. Il existe
aussi une petite sale de soin généralement pour le cathétérisme.-une
pharmacie.-bureau de médecin, de chef service et de la secrétaire.-une chambre
de garde.-pour l’accueil des patients il existe un bureau de réception afin de
vérifier les prescriptions et donner les rendez-vous.-le service est équipé par
des moyens et des endroits de confort tel que les sanitaires, les laves mains
avec l’eau courante, climatisation et des moyens d’hygiènes disponibles.

9
Chapitre II

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Appareillage d’un service radiologique :
1-Les principaux statifs :
A- Le statif vertical : c’est un portique fixé sur un pied ou au mur et sert
d’appui au patient pour les examens pratiques de bout ou assise en
maintenant la cassette et la grille a une hauteur et comporte des bras port
tampon.
B -Le statif horizontal : c’est une table simple sur la quelle le patient est
étendu, pour les examens couché et dont le panneau et en matière transparent
rayon X. Sous le panneau est disposé la grille avec un tiroir pour les cassettes
et auto centreur les K7de tout format se placent automatiquement au centre
du tiroir. Il existe également des tiroirs s’électeurs ou diviseurs qui comporte
cache plombe ; grille avec le tiroir coulissent longitudinalement dans des
rails fixés sous les bords de la table les mouvements du tiroir et de la colonne
port-tube peuvent être jumelles.
2-Le matériel radiographique :
A-La cassette (le détecteur a lecture) : on plaque au phosphore photo
stimulables sont aujourd’hui très largement utilisé dans le domaine de la
radiologie (radiographie numérique).
B -la machine a ‘développé :(la reprographie argentique ; pour obtenir les
différent niveaux de densité optique, la développeuse qui utilise dans EH
c’est la thermo reprographie direct ; limage est imprimée et révélée par une
élévation de la température au niveau du pixel.

C -Le générateur de rayon X : Utilisés pour l’émission du rayon x. Ce


générateur comprend a haute et la basse tension qui aliment le tube pour
fonctionner et doit être alimenter par deux circuit ; circuit a basse tension et
circuit a haute tension.

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Chapitre III

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Les activités du service radiologie :
*les activités du service radiologie de l’hôpital hospitalier Dr BENZERDJEB
d’Ain Témouchent est réalisé par les manipulateurs .au niveau de radio.
A- les examens radiologiques osseux.
L’appareil locomoteur et les articulations.
*les membres supérieures (la main, poignet, avant bras, le coude, le bras, et
épaule) de face et profil.
*la colonne vertébral : rachis (cervical, dorsal, lombaire, lombo-sacré) f+p
B -les examens standards. Télé thorax (f+p), grill costal, ASP.
C -les incidences de crane : crane (f+p), NMP, NFP, os propre de nez,
maxillaire défilé.
*-au niveau du scanner.
-scanner abdomino-pelvienne.
-scanner cérébral.
-scanner des sinus.
-scanner lombaire.
-scanner ORL.
-scanner thoracique.
Au niveau de salle de scanner la TDM comme les autres examens
radiologique repose sur l’atténuation d’un faisceau de RX traversent des
différent tissu de Corp. humaine, une certain fraction de RX est absorbé par
la patient. L’appareil comporte un aimant de grande puissance (tunnel
d’examen).

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Conclusion

En généralement je vous que le service radiologie de l’hôpital hospitalière Dr


BENZERDJEB d’Ain t’émouchent est meilleure service car il se contient les
appareils moderne (numériques).Or l'histoire de la santé publique plonge ses
racines dans la plus haute antiquité, car de tout temps l'homme a tenté de se
prémunir collectivement contre les maladies et le décès prématuré, et ceci,
notamment en luttant contre les diverses épidémies et les agressions de
l'environnement.

L'approvisionnement en eau potable et l'évacuation des déchets appartiennent à


cet ancien passé où histoire de la santé publique,  histoire de la
médecine et histoire de l'hygiène se confondent. En Europe, la santé publique
relève d'abord des œuvres charitables d'individus ou établissements et
congrégations religieuses.

Au cours du XIVe siècle, pendant les grandes épidémies comme celle de la peste


noire en Europe, les médecins pensent que la suppression des cadavres peut
empêcher la propagation des miasmes (théorie des miasmes). De même, le
développement de la quarantaine à l'époque médiévale – et plus particulièrement
à partir de 1377 à Raguse – permet d'atténuer les effets d'autres maladies
infectieuses.En 1485, la République de Venise établit une Cour permanente
de superviseurs de la santé , dédiée particulièrement à la prévention d'épidémies
en provenance de l'étranger. Initialement les trois surveillants sont nommés par
le Sénat vénitien. En 1537, il est assumé par le Grand Conseil ; en 1556, il
compte deux magistrats de plus, consacrés au contrôle, au nom de la
République, des efforts déployés par les superviseurs8.

Au XVIIe siècle, les États commencent à encadrer l'hygiène et, à la suite de


l’épidémie de choléra qui a touché Londres en 1848, le Royaume-Uni crée le
premier Ministère de la santé publique.

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Quelques décennies plus tard, à la suite de la pandémie de grippe
espagnole de 1918, la Société des Nations décide de créer en 1922 son Comité
d'hygiène, ancêtre de l'OMS9.Au cours du XXe siècle, l'environnement prend une
importance croissante, qui se traduit par le développement de l'écotoxicologue et
de l'éco épidémiologie.

Bibliographie

 Dominique Lecourt (dir.), 2004 : Dictionnaire de la pensée médicale, Paris, réed.


PUF/Quadrige, 2004
 Santé : pour une politique de prévention durable [archive], rapport annuel IGAS,
2003
 Comment rendre la santé publique ?, revue  Cosmopolitiques , no  14, mars 2007 
 Alexandre Klein, 2017, "La fin de la biopolitique? Les transformations
contemporaines de la santé publique", Histoire engagée, 

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