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cours de topographie

LE NIVELLEMENT
I) DEFINITION
1) VOCABULAIRE
Correction : valeur algébrique à ajouter à une valeur observée ou calculée pour
éliminer les erreurs systématiques connues.
Croisée du réticule : croix dessinée sur le réticule représentant un point de l’axe
de visée.
Erreur de fermeture : écart entre la valeur d’une grandeur mesurée en
topométrie et la valeur fixée ou théorique.
Fils stadimetriques : lignes horizontales marquées symétriquement sur la
croisée du réticule.Ils sont utilisées pour déterminer les distances à partir d’une
échelle graduée placée sur la station.
Nivelle : tube en verre scellé, presque entièrement rempli d’un liquide (alcool)
dont la surface intérieure a une forme bombée obtenue par moulage, de sorte que
l’air enfermé forme une bulle qui prend différentes positions suivant
l’inclinaison du tube.
2) ALTIMETRIE
On appelle altimétrie la détermination de l'altitude d'un point ou de la différence
d'altitude entre deux points , en topométrie il existe le nivellement ordinaire, le
nivellement de précision et le nivellement de haute précision. Selon les
instruments utilisés on distingue le nivellement direct géométrique et le
nivellement indirect trigonométrique.

3) DENIVELLE ENTRE DEUX POINTS


C'est la différence d'altitude entre ces deux points. C'est donc une valeur
algébrique.

Si elle est positive cela signifie que du 1er au second point on monte.
Si elle est négative cela signifie que du 1er au second point on descend.
Si elle est nulle alors les deux points sont aux même plan horizontale.

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3) SURFACE DE NIVEAU
C'est une surface où tous les points on le même niveau. En topométrie, la surface
de niveau de référence des altitudes est le niveau moyen des mers supposé
prolonger sous les continents ( NMM): on l'appelle géoïde . C'est une surface
équipotentielle du champ de pesanteur où l'accélérateur (g) lui est normale en
tout point.

II ) LE NIVELLEMENT DIRECT GEOMETRIQUE


1) DEFINITION
Le nivellement est un procédé qui permet de déterminer la hauteur d'un point par
rapport à un niveau de référence. Elle se fait avec un appareil appelé niveau et
une règle gradué appelé mire. Il existe des niveaux ordinaires, des niveaux
numériques qui fonctionnent avec des mires code barre c'est à dire des mires
avec des barres codés.
1-1) Généralités

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S' ou m1 : Fil stadimetrique supérieur


S ou m2 : Fil stadimetrique inférieur
n ou m : Fil niveleur
La mire: est une échelle linéaire qui doit être tenue verticalement (elle comporte
une nivelle sphérique) sur le point intervenant dans la dénivelée à mesurer. La
précision de sa graduation et de son maintien en position verticale influent
fortement sur la précision de la dénivelée mesurée.
Lecture sur mire
La lecture sur chaque fil est estimée visuellement au millimètre près.
Les fils stadimetriques permettent d’obtenir une valeur approchée de la portée.
Pour chaque lecture, il est judicieux de lire les trois fils horizontaux de manière
à éviter les fautes de lecture.
on vérifie en effet, directement sur le terrain, que : . M=(m 1+ m 2)/2

F il sta d im é tr iq
F ils d u u e su p ér ie u r
ré ticu
le

1 .4

1 .3
M ire

F il sta d im é tr iq O cu la ir e
u e in fér ie u r

Par exemple
Sur la figure ci contre on lit : 6,64 dm = (5,69 + 7,60)/2.

Estimation de la portée par stadimétrie

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La portée, c’est-à-dire la distance horizontale entre le point de station et le point
visé, est utile dans les calculs de cheminement
Par exemple, si l’on reprend la figure ci dessus.
Dh = 100.(7,60 – 5,69) = 191dm donc : Dh = 19,1 m
Précision et tolérance des lectures
Fautes
On distingue les fautes de :
 calage : oubli de caler la bulle, compensateur bloqué ;
 lecture : confusion du trait niveleur avec un trait stadimetrique ;
confusion de graduation ou d’unité ;
 transcription sur carnet : mauvaise retranscription de la valeur
lue.
Erreurs systématiques
Les erreurs systématiques sont :
 l’erreur d’étalonnage de la mire ;
 le défaut de verticalité de la mire: bulle déréglée ;
 l’erreur d’inclinaison de l’axe optique: axe optique non
perpendiculaire à l’axe principal ;
 le défaut de fonctionnement du compensateur.
Erreurs accidentelles
Les erreurs accidentelles sont :
 l’erreur de parallaxe qui est une mauvaise mise au point de la lunette ;
 un mauvais calage de la bulle ;
 l’erreur de lecture sur la mire due à l’estimation du millimètre ;
 un mauvais choix d’un point intermédiaire : point non stable ;
le flamboiement de l’air : il faut éviter les visées en bas de mire près du sol
lorsqu’il fait chaud ;

1-2 ) PRINCIPE

D'après la figure Delta HAB + LAR (A) = LAV (B) donc


Delta HAB = LAV (B) - LAR (A)
Mais en topographie la dénivelle élémentaire entre deux points
Delta HAB = LAR (A) - LAV (B)
Si HB est connu alors HA = HB + Delta HAB
Pour déterminer la dénivelé entre deux points A et B qui ne sont pas trop distant
avec un niveau et un mire on procède comme suit:
o On met son niveau en station en un point S situé a égale distance des
points A et B.
o On place la mire verticalement en A puis on fait la visé arrière sur la mire
en A. Soit LAR (A) la lecture arrière en A.
On fait aussi la visé avant en B sur la mire déplacé en B. Soit LAV (B) la lecture
avant en B. Ainsi la dénivelé recherché entre les points A et B est donnée par
Delta HAB = LAR (A) - LAV (B)
1-3) NIVELLEMENT PAR RAYONNEMENT

La première mesure est effectuée sur un point d’altitude connue, de façon à


déterminer l’altitude du plan de visée.
A partir de là, toutes les altitudes sont déterminées par différence par rapport à
ce plan. Cette méthode permet de lever rapidement un semis de points
matérialisés.
Elle présente néanmoins l’inconvénient de n’offrir aucun contrôle sur les
déterminations : toute erreur de lecture est indétectable et fatale.
1-4) ) NIVELLEMENT D'ITINERAIRES
C’est la méthode la plus couramment employée pour déterminer les altitudes de
points matérialisés, non situés à une même distance d’une seule station
d’appareil. Elle a pour avantage d’être plus sûre, quant aux éventuelles erreurs
de lecture, et plus intéressante du point de vue de la précision des déterminations
des altitudes.
1-5) NIVELLEMENT DE FRANCHISSEMENT
Cette méthode est beaucoup plus difficile à mettre en œuvre et s’applique dans
le cas de franchissement des obstacles.
le principe des portées équidistantes est inapplicable.
On travaille dans ce cas simultanément avec deux appareils, de part et d’autre de
l’obstacle afin de minimiser les erreurs instrumentales et atmosphériques.
1-6) NIVELLEMENT D'AUSCULTATION
Cette méthode a pour objectif de déterminer la cote d’un repère et ses variations
dans le temps.

2) CHEMINEMENT ALTIMETRIQUE
a) PRINCIPE
Lorsque les points A et B sont situés de sorte qu’une seule station du niveau ne
suffit pas à déterminer leur dénivelée (éloignement, masque, dénivelée trop
importante, etc.), il faut décomposer la dénivelée totale en dénivelées
élémentaires à l’aide de points intermédiaires. L’ensemble de ces
décompositions est appelé: nivellement par cheminement.
Delta H AD = Delta HAB + Delta HBH + Delta HHD
Delta H AD= ∑ Delta Hi
b) Un cheminement encadré

Part d’un « point origine » connu en altitude, passe par un certain nombre de
points intermédiaires et se referme sur un « point extrémité » différent du point
d’origine et également connu en altitude.
Le cheminement de la figure ci dessus est encadré entre A et D

c) Cheminement fermé
Lorsqu’un cheminement constitue une boucle retournant à son point de départ
A, on l’appelle cheminement fermé. Il est très employé pour les raisons
suivantes :
 il permet la détermination des altitudes même quand on ne connaît
qu’un seul repère ;

 il est possible de calculer un tel cheminement en affectant une


altitude arbitraire à un

 point de départ fixe et durable ; une simple translation permettra de


passer des altitudes de ce système local aux altitudes vraies ;
 il permet un contrôle de fermeture qui est indépendant de la
précision de connaissance de l’altitude du point de référence.

d) DETERMINATION DES DENIVELES

DH 1 = m ar A – m av I1 = lecture arrière sur A – lecture avant sur I1.


L’opérateur doit lire les fils stadimetriques et vérifier que m = (m 1 + m 2 )/2 ;
la dénivelée de A vers B est : DH AB = m a – m b
la dénivelée de B vers A est : DH BA = m b – m a
L’altitude HA d’un point A est la distance comptée suivant la verticale qui le
sépare du géoïde (surface de niveau 0).
Si l’altitude du point A est connue, on peut en déduire celle du point B par :
H B = HA + DHAB
e) DETERMINATION DE DENIVELES POUR UN
CHEMINEMENT

3) FERMETURE ALTIMETRIQUE
∆H RN1 A(brute) = LAR (RN1) - LAV (A)
HA (brute) = HRN1 (don) + ∆H RN1 A(brute)
∆H AP1(brute) = LAR (A) - LAV (P1)
HP1 (brute) = HA (brute) + ∆H AP1(brute)

∆H P1P2(brute) = LAR (P1) - LAV (P2)


HP2 (brute) = HP1 (brute) + ∆H P1P2(brute)

∆H P2P3(brute) = LAR (P2) - LAV (P3)


HP3 (brute) = HP2 (brute) + ∆H P2P3(brute)

∆H P3RN2(brute) = LAR (P3) - LAV (RN2)


HRN2 (brute) = HP3 (brute) + ∆H P3RN2(brute)
Mais RN2 est connu en altimétrie donc

f H = HRN2 (observé) - HRN2 (donné) avec HRN2 (obs) = HRN2 (brute)

et f H fermeture altimétrique du cheminement


Connaissant l'altitude de RN1 on peut a nouveau calculer l'altitude RN2 a partir
des mesures de terrain. On appelle cette valeur de RN2 l'altitude observé de ce
point ; elle est noté HRN2 (observé). Elle est définie par :

HRN2 (observé) = HRN1(donné) + ∆H RN1 RN2(brute) avec

∆H RN1 RN2(brute) = ∑ ∆Hi


Si les mesures de terrain été dépourvue d'erreur on retrouverais exactement
l'altitude donné de RN2 à partir de la relation ci-dessus. Mais en réalité il existe
un écart entre deux valeurs appelé écart de fermeture altimétrique du
cheminement.
On a f H = HRN2 (observé) - HRN2 (donné)
f H doit être inferieur à la tolérance de fermeture TH
Si c'est n'est pas le cas il faudra reprendre les mesures.

16 veut dire 16 dénivelé/ km donc 1 km 16 dénivelées donc pour une


dénivelé L1 = 1000/16= 62.5 n = 16 mais n =N/L donc N/L = 16

Soit N=16L TH = 36 /16 = 36 16 16 /16

TH =4√36
4) COMPENSATION DU CHEMINEMENT
La compensation est l’opération qui consiste à répartir la fermeture sur toutes les
mesures.
La compensation, notée CH , est donc l’opposée de la fermeture, c’est-à-dire :
CH=–fH
On peut compenser :
proportionnellement au nombre N de dénivelées
proportionnellement à la portée
proportionnellement à la valeur absolue de la dénivelée

4-1) Proportionnellement au nombre N de dénivelées


On choisira ce type de compensation dans le cas où la fermeture est très faible
Donc la compensation sur chaque dénivelée est :

4-2) Proportionnellement à la portée


On considère que plus la portée est importante et plus la dénivelée peut être
entachée d’erreur. Ceci oblige à connaître un ordre de grandeur de la portée, qui
est obtenu par stadimétrie. La compensation sur chaque dénivelée est alors :

4-3) Proportionnellement à la valeur absolue de la dénivelée


La compensation à appliquer à chaque dénivelée partielle du cheminement vaut
donc :

∆Hi (corrigé) = ∆Hi( brute) + CHi


NB: Si la taille de l'erreur est relativement faible on fait une correction égale,
dans le cas contraire elle sera proportionnelle. Elle le sera par rapport au valeur
absolue des dénivelées si a chaque fois on fait une seul lecture.

5) Nivellement par rayonnement


VUE EN PLAN
VUE EN ELEVATION

HPV = HRN + LR( RN)


HPi = HPV - LV( Pi)
On peut avoir a nivelé à partir d'une station plusieurs points situés a peut prés à
la même distance par rapport a ce station, ceci est possible lorsque le sol est peut
accidenté et que les distances entre ces points et la station ne dépasse pas la
portée de niveau (environ 100m).on procède comme suit:
Mettre le niveau en station en un point S a peut prés à égale distance par
rapport a l'ensemble des points a rayonnés.
Visé la mire placé sur le point connu est noté la lecture arrière sur ce
repère de nivellement LR( RN)
Visé la mire placé successivement au point P1, P2, P3, P4, P5, P6 est noté
les lectures avant LV (P1), LV (P2), LV (P3), LV (P4), LV (P5), LV (P6).
Ainsi l'altitude du plan de visé appelé code bleu est donné par:

HPV = HRN + LR( RN)


Ainsi l'altitude de tous points rayonnés Hi est donné par :
HPi = HPV - LV( Pi)
6) Nivellement mixte composé

Les points RN1, P1, P2, P3, P4 et RN2 sont des sommets.

Les points RN1 et RN2 sont les sommets extrêmes. les P1, P2, P3, P4 sont des
sommets intermédiaires.

Les points D1, D2, D3, D4 sont des détails.

Les détails D1 et D2 sont rayonnés par la station S1, le détail D3 est rayonné par
la station S3 et en fin le détail D4 est rayonnés par la station S4.

Sur les détails aucune lecture arrière ne sera faite .

Le calcul des altitudes se fera en deux phases: Dans un premier temps on calcule
les altitudes des sommets jusqu'a l'obtention des altitudes corrigés de ces
derniers. Ensuite station par station on calcul les altitudes des détails.
7) Egalité des Portées

∆HAB = LR(A) - LV(B)

LR(brute) A = LR(A) + €

LV(brute) B = LV(A) + €'

Avec €= Dh sinθ et €' = Dh' sinθ Si Dh = Dh' alors € = €'


∆HAB = LR(brute) A - LV(brute) B
∆HAB = (LR(A) + €) - (LV(B) + €')
∆HAB = LR(A) - LV(B) +( € - €')
Ainsi a portées égales € = €' e∆t HAB ( brute) = ∆HAB (vrai)

III) NIVELLEMENT INDIRECT TRIGONOMETRIQUE


1) DEFINITION
Il consiste a déterminer la dénivelé ∆HAB entre deux points A et B par la
mesure de la distance horizontale AB et de l'angle d'inclinaison de la
ligne de visée.
Il est intéressant d'étudié en détail cette technique puisque c'est le moyen de
mesure utilisé par les stations totale. Il est donc appelé a se généralisé même s'il
reste moins précis sur les dénivelés que le nivellement direct.

On a Dh = Di sin V on a Cotan V = ∆H'/Dh donc ∆H' = Dh. Cotan V

∆H' = dénivelée instrumentale


D'après la figure on a:
∆HAB + HP = Hi + ∆H' donc ∆HAB = Hi - HP + ∆H'
mais ∆H' = Dh. Cotan V d'ou

∆HAB = Hi - HP + Dh. Cotan V


2)Remarque
Lorsque la portée dépasse 500 m , il faut tenir compte de deux erreur
systématique, l'influence ne peut plus être négligé :

Il s'agit de l'erreur du à la réfraction atmosphérique et celle du à la sphéricité de


la terre.
La réfraction atmosphérique incurve le trajet des rayons optiques vers le sol et
donc diminué les lectures. Quant a la courbure de la terre elle les augmentent.

La combinaison des deux (2) erreurs qui vont en sens inverse l'une de l'autre est
nommé erreur du niveau apparent. La correction du niveau apparent Cna
apporté est toujours positive.

Pour une portée P en Km , Cna est exprimé en m est vaut Cna = P2/15.2
L'ordre de grandeur de cette correction est de 0.1 à 35 mAinsi la denivelé
corrigé entre deux points A et B est:

∆HAB = Hi - HP + Dh. Cotan V + Cna


Avec Cna(m) = Dh 2/15.2 Dh en km
NB:
* à courte portée ( D < 500 m, formule ci-dessus ),
* à portée moyenne (500 m < D < 1500 m) : on tient compte de la
CORRECTION DE NIVEAU APPARENT "C.n.a" et on calcule la distance
réduite à l'horizon "Dh" correspondant à la cote d'altitude moyenne Zi entre A et
B:
* à longue portée (D > 1500 m) : On effectue des VISÉES RÉCIPROQUES DE
NIVELLEMENT par la mesure d'angles zénithaux ZA ,ZB :
D0 : distance réduite a l'ellipsoïde
Zi : Altitude moyenne entre A et B.
RN : rayon de courbure normale a l'ellipsoïde
3) CHEMINEMENT DE NIVELLEMENT TRIGONOMETRIQUE

∆HAP1(moy)= ∆HAP1 - ∆HP1A/ 2


Sur le terrain le nivellement indirect reste dans son principe générale identique
au nivellement direct. Les parcours sont des cheminements mixte encadré ou
fermé sur lesquels on calcul l'erreur de fermeture altimétrique f H dont sa
correction est ensuite repartie sur les dénivelés. Cette fermeture est soumise a la
dénivelée. on a TH = √∑ T∆H2i Avec T∆Hi(cm ) = 3.60+ Dhi (km)
1) CHEMINEMENT ALLER RETOUR OU DOUBLE STATION.
Il s’agit d’observer le cheminement dans les deux sens, sur crapauds, ou mieux,
sur piquets métalliques enfoncés à refus.
2) CHEMINEMENT ALLER RETOUR OU DOUBLE STATION.
Pour déterminer avec précision la dénivelée entre deux points A et B sans pour
autant faire un cheminement aller-retour, on emploie le cheminement double.
Cette méthode consiste à niveler simultanément deux cheminements
parallèles voisins mais indépendants .

V) COMPARAISON ENTRE NIVELLEMENT


GEOMETRIQUE ET NIVELLEMENT TRIGONOMETRIQUE
Les avantages du nivellement trigonométrique par rapport au nivellement
géométrique sont les suivantes.
 On peut faire du nivellement trigonométrique ou indirect en terrain en
forte ou bien dans le cas de longues distances avoir a multiplié le nombre
de station contrairement au nivellement géométrique.
 La mesure de la dénivelle est faite en stationnant sur le point connu ; ce
qui peut faire gagné du temps.
 Si on utilise un théodolite électronique on peut faire des visés longues de
plusieurs kilomètres ce qui n'est pas possible en nivellement géométrique,
où une lecture sur mire à 100m est déjà difficile.
Comme inconvénients on peut citer :

 Sur un chantier pour obtenir une simple dénivelé en vue d'une vérification
ou d'une implantation le niveau reste plus simple et plus rapide à mettre
en station et surtout plus facile a maitrisé pour des non spécialiste.
 Les longues portées oblige a prendre en compte les erreurs du niveau
apparent. Mais l'informatique remédié a cette inconvénient en fournissant
directement les données corrigés de ces erreurs.

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