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FORMULAIRE GENERALE DE MATHEMATIQUES

Valeur Absolue
Inégalité triangulaire
x+y ≤ x + y
IxI.IyI = Ix.yI
n
= x
n
x
I - xI = x
x − y ≤ x+y
1 1 x x
= =
x x y y
Voir aussi : racine, module
Egalité et inégalités des accroissements finis
Si f est dérivable sur [ a, b ] (a et b réels, a ≤ b) et si les constantes réelles m et M sont telles que, pour
tout x de [ a, b ], m ≤ f' (x) ≤ M, alors : m (b - a) ≤ f (b) - f (a) ≤ M (b - a).
Si f est continue dans [ a, b ] (où a ≠ b) et dérivable dans ] a, b [, alors il existe au moins un point c de ]
a, b [ tel que f (b) - f (a) = (b - a) f' (c).
Si f est dérivable sur [ a, b ] (a et b réels) et si la constante réelle k est telle que, pour tout x de [ a, b ], I
f' (x) I ≤ k, alors : If (b) - f (a)I ≤ k Ib - aI .
Formules trigonométriques d'addition
cos (a + b) = cos acos b - sin asin b cos (a - b) = cos acos b + sin asin b
sin (a + b) = sin acos b + cos asin b sin (a - b) = sin acos b - cos asin b
tan a + tanb tan a −tanb
tan(a +b )= tan(a −b )=
1− tan a.tanb 1+ tan a.tanb
ch (a + b) = ch a . ch b + sh a . sh b ch (a - b) = ch a . ch b - sh a . sh b
sh (a + b) = sh a . ch b + ch a . sh b sh (a - b) = sh a . ch b - ch a . sh b
Affixe
z +z =z
→ → → →
u v u+v
→ → →
Vz +z = Vz + V z
1 2 1 2

zM − zN = z →
NM
→ → →
OM = Vz où M est l'image ponctuelle de z et Vz l'image vectorielle de z

z = Vz
z = OM
Si le complexe z a pour image ponctuelle M, on a : z = OM. z
. .

Si les complexes z1 et z2 ont pour images ponctuelles respectives M1 et M2, on a :


z A − zB = AB
| z1 - z2 | = M1M2

 → →
arg (z )= i ,V z 
 
∧  z→  ∧
→ →  v  z −z  → →
 u , v  = arg z →  arg C A = AB, AC 
 
 u  z B −z A   
Aire
→ →
L'aire du triangle formé sur les vecteurs u et v a pour expression
1 → →
1
u∧v b c sin A∃
2 = 2

p = (a +b+c )
1
p (p − a )( p − b )( p − c ) , avec 2
Formule de Héron pour l'aire d'un triangle :
(demi-périmètre du triangle).
1 → →
AC ∧ BD
L'aire d'un quadrilatère convexe (ABCD) a pour expression 2 .
1 2
R α
Aire d'un secteur angulaire : 2 .
Alignement
→ →
Les points A, B et C sont alignés si et seulement si les vecteurs AB et AC sont colinéaires c'est à dire
→ →
ssi Det ( AB , AC )=0

→ →
 AB, AC =0[π ]
Les points A, B et C sont alignés si et seulement si   avec A ≠ B et A ≠ C.
Angles et arcs

β = α [ 2 π ] signifie qu'on a : β = α + 2kπ pour un entier k

Relation de Chasles sur les angles orientés :


∧ ∧ ∧ ∧ ∧
→ → → →  → →  → → → →
 u , v + v ,w = u ,w   v , u = −  u , v 
         

Relation de Chasles pour les angles géométriques :


∧ ∧ ∧
ASB = ASC + CSB , où les trois angles ont le même sommet S et où le côté [ S, C ] est contenu dans

l'angle ASB .
→ →
Quels que soient les vecteurs u et v non nuls :
∧ ∧ ∧ ∧ ∧ ∧
 → → → →  → → → → → → → →
 − u , v =π + u , v   − u ,− v = u , v   v , u = −  u , v 
           
∧ ∧
→ → → →
 CA,CB = DA,DB + kπ
Cocyclicité ou alignement :     , k entier.
∧ ∧
 → →  → →
→ → →  u , w = v , w 
Si u et v sont colinéaires, on aura donc aussi pour tout vecteur w :     modulo π.
Théorème angle au centre :
∧ ∧
→ → → →
 ΩA,ΩB =2 MA,MB 
si M, A et B sont des points d'un cercle de centre Ω, on a    .
∧ ∧ ∧
 → →  → →  → →
 u , v = v , w  →  u ,w 
Si l'on a :     modulo π, le vecteur v dirige une bissectrice de l'angle  .
voir aussi : affixe, relations métriques

Suite arithmétique
Une suite (xn) est arithmétique quand il existe une constante r telle que xn + 1 = xn + r pour tout indice
n. La constante r est la raison de la suite arithmétique.
On a : xn = x0 + n . r ou xn = x1 + (n - 1) . r pour tout indice n.
Plus généralement : xp = xq + (p - q) . r quels que soient les indices p et q.
 x +x 
x0 + x1 +Κ + x n =(n+1) 0 n 
 2 
 x p + xq 
x p + x p +1 +Κ + x q =(q − p +1)  (p et q indices tels que p ≤ q).
 2 
Argument d'un complexe

Le réel θ est un argument du complexe non nul z = x + i y (x et y réels) si et seulement si :


 Re( z )  x x y
 cosθ = z  cosθ = cos θ = sin θ =
 z x +y
2 2
x +y
2 2

 Im( z )  y
 sinθ =  sinθ =
 z  z
( )
arg e iα =α arg (z . z') = arg (z) + arg (z') modulo 2 π
z 1
arg =arg(z )−arg(z ′) modulo 2 π arg =arg(z )=− arg(z ) modulo 2 π
 z′  z
arg (zn) = n arg (z) modulo 2 π

voir aussi : affixe, exponentielle, forme trigonométrique

Arrangement sans répétition


n!
Anp=n(n−1)Κ (n− p+1) Anp= (n− p )!
Arrondi
x réel, n entier, n est un arrondi de x quand : et n - 0,5 ≤ x ≤ n + 0,5
voir aussi : valeur approchée

Asymptote
lim ( f (x )−(a.x+b ))=0
x →± ∞

f (x )
a = lim b= lim ( f (x )−a.x )
x→+∞ x x→±∞

f (x) = a . x + b + ε (x), avec lim ε (x )=0 ou lim ε (x )=0


x →+ ∞ x→−∞

lim
x→+∞
( f (x )− g (x ))=0 lim ( f (x )− g (x ))=0
x→−∞

Si lim f (x )=+ ∞ ou lim f (x )=− ∞ , alors la droite d'équation x = a est asymptote à Cf.
x→a x→a

Si lim f (x )= L ou lim f (x )= L , (où L est un réel) alors la droite d'équation y = L est asymptote à .
x→+∞ x → −∞

Barycentre
{ (A, a), (B, b), (C, c) }
→ → → →
a AG + b BG + c CG = 0
a+b+c≠0
→ → → →
Centre de gravité G du triangle (ABC) (c'est-à-dire l'isobarycentre de A, B et C) : GA + GB + GC = 0
→ 2 →
→ → → → AG = AA ′
AG + BG + CG = 0 3 où A' est le milieu de [ B, C ].
→ → → → → →
α GA + β GB = 0 α MA+ β MB = α + β MG ( )
→ → → → → → → →
α AM + β BM +γ CM =(α + β +γ )GM α MA+ β MB +γ MC =(α + β +γ )MG

Si G est le barycentre du système (A1, α1) (A2, α2), …, (An, αn), alors pour tout point M :
→ → → →
α 1 MA1 +α 2 MA2 +Κ +α n MAn =(α 1 +α 2 +Κ +α n )MG .
n → →
∑α GA i = 0 n →  n →
∑ i = ∑ α i  MG
i
i=1
α i MA  
i =1  i =1 
n

∑α k xA k
k =1
xG = n

∑α
{(Ai ,α i )}1≤i≤ n , alors G a pour coordonnées
k
Si G est le barycentre du système k =1 ,
n n

∑α k yA k
∑α k zA k
k =1 k =1
yG = n
zG = n

∑α k ∑α k
xA yA
k =1 et k =1 , où k et k sont les coordonnées du point Ak.

MA
=k
Cercles d'Apollonius : MB (pour k ≠ 1 et A ≠ B).
Passage de coordonnées barycentriques dans un repère (A, B, C) à des coordonnées dans un repère
 → →
cartésien  A, AB, AC  .
 
Le centre du cercle circonscrit à un triangle (ABC) est le barycentre du système :
 ∧  ∧  ∧ 
  A,acos A , B,bcos B , C ,ccosC   .
   
Bernouilli (polynômes et nombres de)

Bn (x + 1) - Bn (x) = n xn – 1 B0 = 1

Bn = n B n − 1
pour n naturel > 0 Erreur! Signet non défini. Erreur! Signet non défini. Erreur!
Signet non défini.
1
B4 = x − 2 x + x −
4 3 2

30 Erreur! Signet non défini.


Bn (x )dx=0 pour n naturel > 0
1
∫0
Bn (1) = Bn (0) pour n naturel > 1
Bn (1− x )=(− 1) Bn (x )
n
bn = Bn (0)
n−1

∑C
p
bp = 0
n
p=0
1 1 1 1 5
b2 = − b4 = − b6 = b8 = − b10 =
6 30 42 30 66
691 7 3 617 43 867 174 611
b12 = − b14 = b16 = − b18 = b 20 = −
2 730 6 510 798 330
Bijection
Si f est une bijection de E sur F, alors f(x) = y équivaut à f (-1) (y) = x, où x est dans E et y, dans F
f (-1) désigne la réciproque de f .
ϕ-1 (ϕ (x)) = x ϕ (ϕ-1 (y)) = y
−1 −1
f ο f = IdF f ο f = IdE
(ψ ϕ) -1 = ϕ -1 ψ -1
(gο f )−1 = f −1ο g −1
Binôme de Newton
(a + b)3 = a3 + 3 a2 b + 3 a b2 + b3 (a - b)3 = a3 - 3 a2 b + 3 a b2 - b3
(a − b) = a − 4 a b + 6 a b − 4 a b + b
4 4 3 2 2 3 4 4 4 3 2 2 3 4
(a + b) = a + 4 a b + 6 a b + 4 a b + b
(a+b )5 =a 5 +5a 4 b+10a 3b 2 +10a 2 b 3 +5ab 4 +b 5 (a−b )5 =a 5 −5a 4 b+10a 3 b 2 −10a 2 b 3 +5ab 4 −b 5
(a−b )7 =a 7 −7a 6 b+21a 5 b 2 −35a 4 b 3 +35a 3b 4 −21a 2 b 5 +7ab 6 −b 7
n
(a+b ) =∑ C n a k b n − k
n k

k =0

Triangle de Pascal
1
1 1
1 2 1
1 3 3 1
1 4 6 4 1
1 5 10 10 5 1
1 6 15 20 15 6 1
1 7 21 35 35 21 7 1
1 8 28 56 70 56 28 8 1
1 9 36 84 126 126 84 36 9 1
1 10 45 120 210 252 210 120 45 10 1
1 11 55 165 330 462 462 330 165 55 11 1
1 12 66 220 495 792 924 792 495 220 66 12 1
1 13 78 286 715 1287 1716 1716 1287 715 286 78 13 1
1 14 91 364 1001 2002 3003 3432 3003 2002 1001 364 91 14 1
1 15 105 455 1365 3003 5005 6435 6435 5005 3003 1365 455 105 15 1
voir aussi : identités remarquables
Cardinal
Card (E F) = Card (E) + Card (F) - Card (E F)
()
Card A =Card (E )−Card (A) , où A est une partie de E.
( )
Card F E =Card (F )
Card (E )

Cercle
x² + y² + a . x + b . y + c = 0
(x− xΩ )2 +(y − y Ω )2 = R 2
Représentation paramétrique pour un cercle de centre O (origine d'un repère orthonormé du plan) et de
rayon R : x = R cos θ et y = R sin θ.
a+b+c
p( p −a )( p −b )( p −c )
Rayon du cercle inscrit : r = , où p est le demi-périmètre : p = 2 .
p
voir aussi : homothétie
Combinaison
p n (n − 1) Κ (n − p + 1)
Cn = p!
p
C n!
n =
p!(n− p )!
n−p p
Cn = Cn
p +1 p +1 p p p p −1
Cn + 1 = Cn + Cn Cn = Cn − 1 + Cn − 1
p p −1
p C = n Cn − 1
n
n

∑ Cn = 2
p n

p=1

voir aussi : binôme de Newton, Pascal (triangle de)


Complémentaire d'une partie
C A

A ∪B = A ∩B
C (A∪B )=(C A)∩(C B )
Ω Ω Ω

A ∩B = A ∪B
C (A∩B )=(C A)∪(C B )
Ω Ω Ω
Complexes
C
i² = -1
Si z = x + i y et z' = x' + i y', avec x, x', y et y' des réels, alors :
z + z' = (x + x') + i (y + y') ;
z . z' = (x x' - y y') + i (x y' + x' y) ;
z² = (x² - y²) + i (2 x y).
voir aussi : affixe, conjugué, exponentielle
Composée de transformations
f g
M α M1 α M'
Conique
La conique de foyer F et de directrice D (la droite D ne passant pas par le point F) et d'excentricité e
(réel > 0) est l'ensemble des points M du plan tels que : d (F, M) = e d (D, M)
FM
d F ,M ( ) =e
ou : =e . Cette dernière égalité peut encore s'écrire : FM = e MH (soit : HM ), où H est la
d (D, M )
projection orthogonale de M sur D.
voir aussi : ellipse, hyperbole, parabole
Conjugué
1 a+ b a+ b
= = 2
a − b a− b a+ b a −b ( )( )
Si z = x + i y (x et y réels), alors z = x − i y .
1 1.(x−i. y ) x−i. y
= = 2 2
x+i. y (x+i. y )(
. x−i. y ) x + y
z=z : Erreur! Signet non défini. : Erreur! Signet non défini. : Erreur! Signet non défini. :
1 1
 = : Erreur! Signet non défini.
z z
z+ z z−z
Re(z )= Im(z )=
2 2i
iα −iα 1
e =e = iα
e
voir aussi : module
Continuité
lim f (x )= f (a ) lim f (x )=lim f (x )= f (a ) i.e. lim f (x )= lim f (x )= f (a )
x→a x→a x→a x→a − x→a +
x<a x>a

lim f (x )= f (x 0 ) lim f (x )= lim f (x 0 )= f (x 0 ) lim f (x )= lim f (x 0 )= f (x 0 )


x → x0 x → x0 x → x0 x → x0 − x → x0 +
x < x0 x > x0

lim f (x )= f (a ) lim f (x )= f (a )
x→a x→a−
x<a
lim f ( x) = f ( x0 )
x → x0 lim f ( x) = f ( x0 )

x < xO x → x0

lim f (x )= f (a ) lim f (x )= f (a )
x→a x→a+
x>a
lim f ( x) = f ( x0 )
x → x0 lim f ( x) = f ( x0 )
+
x > xO x → x0

Si la suite (un) converge vers a et si la fonction f est continue en a, lim f (u n )= f (a ) .


n→+∞

Si la fonction ϕ est continue et monotone sur [a, b], alors ϕ ( [ a, b ] ) = [ ϕ (a), ϕ (b) ].
Le prolongement par continuité de f en a est la fonction F définie par :
 D = D ∪{a}
 F f

 pour tout x de D f , F(x)=f (x)


 F(a)=lim f ( x)
 x →a
Convexité
 u +v  f (u )+ f (v)
f ≤
 2  2
f (λ x + ( 1 - λ) x') ≤ λ f (x) + ( 1 - λ) f (x')
n

 n  n ∑ λi = 1
f  ∑ λ i x i ≤∑ λ i f ( x i ) , avec 0 ≤ λi ≤ 1 et i = 1
 
 i =1  i =1

Coordonnées
→ → →
OM = x i + y j

 → → → → 
Cordonnées dans un repère orthonormé direct  O, i , j  d'un point M : x M =OM cos i ,OM  et
   

→ → 
yM =OM sin  i ,OM  .
 
→ → → →
Si ( i , j , k ) est une base de l'espace, alors tout vecteur u de l'espace s'écrit de manière unique :
→ → → → →
u = x . i + y . j + z . k (x, y et z sont les coordonnées de u dans cette base).

Coordonnées d'un vecteur : AB(x B − x A , y B − y A , z B − z A ) .
→ ∧ ∧
u

→ → →
→ →
Expression des coordonnées d'un vecteur u en fonction de et  i ,u  : x → = u cos i ,u  et
  u  


→ →
y → = u sin i ,u  .
u  
voir aussi : repère
Courbe représentative d'une fonction f
Cf
y = f (x), x ∈ Df
f (-x) = -f (x)
Une fonction f, d'ensemble de définition Df, est impaire quand :
 si x∈D f ,alors − x∈D f

 pour tout x∈D f , f (− x)=− f ( x)
f (-x) = f (x)
Une fonction f, d'ensemble de définition Df, est paire quand :
 si x∈D f ,alors − x∈D f

 pour tout x∈D f , f (− x)= f ( x)
f (x + P) = f (x)
Le réel P est une période de la fonction f d'ensemble de définition Df quand :
 x∈D f si et seulement si x+ P∈D f

 pour tout x∈D f , f ( x+ P)= f ( x)
Degré d'un polynôme
d ο (0)=− ∞
(
d ο (P +Q )≤max d ο (P ),d ο (Q ) )
d ο (P.Q )=d ο (P )+ d ο (Q )
A dividende, B diviseur, Q quotient et R reste dans une division euclidienne (ou division selon les
puissances décroissantes) : A = B . Q + R.
Dérivée
f (x )− f (a ) f (x )− f (x 0 )
f’(a)=Erreur! Signet non défini. lim = f ′(a ) lim = f ′(x 0 )
x→a x−a x → x0 x− x0

DERIVEES USUELLES
(f + g)' = f' + g'
(k . f)' = k . f' (où k est une constante)
(u . v)' = u' . v + u . v'
(un)' = n un - 1 u'
 1 ′ u′
  =− 2
u u
 u ′ u 'v −u v'
 =
v v2
( )u ′=
u′
2 u

(lnu )′ = u
u
( )
u ′
e =e .u ′
u
(cosu )′ =− u ′.sinu et (sinu )′ =u ′.cosu
(ϕ (at +b ))′ =aϕ ′(at +b )
(g ο f)' (x) = [g (f (x)]' = g' (f (x)) . f' (x)
(g ( f (x )))′ = g ′( f (x )). f ′(x )
( f )′= f ′ο1f
−1
−1

( f )′(y ) = f ′1(x ) , avec y = f (x)


−1

( u )′ = (u ′|u )
u
n
Formule de Leibniz : (u.v )( n ) =∑ C kn u ( k ) .v ( n − k ) .
k =1

( xp )' = p . xp -1
( )α ′ α −1
x =α x (α constante réelle)
 1 ′ 1
  =− 2
 x x
( ) x =
′ 1
2 x

(ln )′ (x )= 1
x
( ) ′
e x =e x
(e )′ =k e
kx kx
, où k est une constante
cos' = - sin sin' = cos

(tan ) ( x)= 12 =1+ tan 2 x
cos x
1
(cot)' ( x) = − 2
sin x

(Arccos x )′ =− 1
(Arcsin x )′ = 1
(Arc tan x )′ = 1
1− x 2
1− x 2 1+ x 2
déterminant
a b
=ad−bc
c d
développements Eulériens
1 +∞ 2z
cot z = + ∑ 2
z n=1 z − n π
2 2

+∞
 z2 
sin z = z∏ 1− 2 2
 
n =1  n π 

Développement limité

Développement limité d'ordre 1 d'une fonction f au voisinage de x0 :


 pour tout x∈D f , f ( x)= f ( x 0 )+ f '( x 0 ).( x− x 0 )+( x − x 0 ).ε ( x)
 lim ε ( x)=0.
 x → x0
lim ε ( x) = 0
x→0

Si la fonction f admet un développement limité d'ordre 1 au voisinage de a :


 pour tout x∈D f , f ( x)= f (a )+λ.( x−a )+( x−a).ε ( x)
 limε ( x)=0
 x → a
où λ est une constante, alors f est dérivable en a et l'on a f' (a) = λ.

Développement limité d'ordre 2 de la fonction d'expression ln (1 + x) au voisinage de 0 :


x2 2
ln(1+ x)= x− + x .ε ( x) .
2
Développement limité d'ordre 2 de la fonction exp au voisinage de 0 :
2
x
e = 1+ x + + x . ε ( x)
x 2

2 .
discriminant
p(x)=ax²+bx+c D=b²-4ac

distance
AB = (xA − xB )2 + (y A − yB )2 + (z A − zB )2
a x +b y + c
d (A,D )= , où le point A a pour coordonnées x et y, et la droite D a pour équation
a 2 +b 2
cartésienne a X + b Y + c = 0.
a x+b y +c z + d
d (A,P )= , où le point A a pour coordonnées x, y et z, et le plan P a pour équation
a 2 +b 2 +c 2
cartésienne a X + b Y + c Z + d = 0.

Distance du point M à la droite D (définie par un point A et un vecteur directeur u ) :
→ →
AM ∧ u

u
d (M, D) = .

Distance entre deux droites non parallèles, l'une passant par A et de vecteur directeur u , l'autre
 → → →
 AB|u|v 

 
passant par B et de vecteur directeur v : .
→ →
u∧v
droite

ax+by+c=0 vecteur directeur v − b,a ( )
y=ax+b y=mx+p
yB − y A

Coefficient directeur de la droite (AB) : m= xB − x A .


duplication (formules trigonométriques de)
cos (2 x) = cos2 x - sin2 x = 2 cos2 x - 1 = 1 - 2 sin2 x
sin (2 x) = 2 cos x sin x
tan(2 x )=
2tan x
1− tan 2 x
1+cos(2 x ) 1−cos(2 x )
cos 2 x= sin 2 x=
2 2
x x
1 + cos x = 2 cos 1 − cos x = 2 sin
2 2

2 2
2 2
 x x  x x
1+sin x = sin +cos  1−sin x= sin −cos 
 2 2  2 2
ellipse
2 2 2 2
X Y X Y
2
+ 2 2
+ 2
a b =1 A B =1
2 2
b B
1− 2
1− 2
Excentricité : e = a e= A (en supposant : a ≥ b, A ≥ B).
Equations des directrices :
2 2
2 a A
x=±
a x=±
c (avec : c = a −b c= A −B
2 2 2 2
a −b A −B
2 2 2 2
ou ) ou
2
a
a −b
2 2
les directrices sont parallèles au petit axe, à une distance du centre
(en supposant : a > b, A > B).
x0 . x y0 . y
2
+ 2
Equation de la tangente à l'ellipse en son point de coordonnées x0 et y0 : a b = 1.
 x= Acosθ
Représentation paramétrique :  .
 y = Bsinθ
voir aussi : conique, hyperbole, parabole
ensembles
A B = { x | x ∈ A et x ∈ B } A∩B= {x|x∈Aet x∈B }
A B = { x | x ∈ A ou x ∈ B } A∪ B={x|x∈Aou x∈B }
A - B = { x | x ∈ A et x ∉ B } A− B={x|x∈Aet x∉B }
A ∆ B = { x | (x ∈ A et x ∉ B) ou ( x ∉ A et x ∈ B) }
A∆ B={x|(x∈Aet x∉B )ou(x∉Aet x∈B )}
A ∆ B = (A - B) (B - A) A∆ B=(A− B )∪(B− A)
A (B C) = (A B) (A C) (A B) (A C) = A (B C)
A (B C) = (A B) (A C) (A B) (A C) = A (B C)
Fonction caractéristique de la partie A de l'ensemble E : ϕ A :E → {0,1}, avec ϕA (x) = 1 quand x ∈ A et
ϕA (x) = 0 quand x ∉ A.
A ⊂ B quand ϕA ≤ ϕB
ϕA = 1− ϕA
ϕ A ∪ B = ϕ A + ϕB − ϕ A . ϕB ϕ A ∩ B = ϕ A . ϕB ϕ A ∆ B = ϕ A − ϕB = ϕ A + ϕB − 2 ϕ A ϕ B
voir aussi : complémentaire
entière (partie)
Caractérisation de la partie entière d'un réel x : n = E (x) si et seulement si n est un entier tel que n ≤ x
< n + 1.
E (x + n) = E (x) + n quels que soient le réel x et l'entier n
E (-x) = - E (x) - 1 si x est réel non entier, E (-x) = - E (x) si x est entier
équations différentielles
Solution générale d'une équation différentielle linéaire du second ordre sans second membre à
coefficients constants :
- cas où l'équation caractéristique a deux solutions réelles r1 et r2 : y(x )=λ e r1 x + µ e r2 x ;
- cas où l'équation caractéristique a deux solutions complexes non réelles α + i β et α - i β, α et β réels :
y(x )=eα x (λ cos(β x )+ µ sin (β x )) ;
- cas où l'équation caractéristique a une seule solution réelle r : y (x )=e r x (λ x+ µ )
où λ et µ sont des constantes réelles quelconques.
équations trigonométriques
cos x = cos a est équivalente à x = ±a + k . 2 π, où k est un entier quelconque
sin x = sin a est équivalente à x = a + k . 2 π ou x = π - a + k . 2 π, où k est un entier quelconque
Euler (formules d ' )

iθ −iθ iθ −iθ
e +e e −e
cos θ = sin θ =
2 2i
exponentielle
ei π = -1
π
i
e 2
=i

e
=1
ei . ei = ei ( + ) e i (α + β ) =e iα e i β
−i α 1
e = iα
e
iα −iα
e =e
e iα i (α − β )
=e ab = eb ln a, a réel strictement positif et b réel quelconque
eiβ
−x 1
e = x
e
(e ) =e x y xy

factorielle
n!=1x2x…xn
0!=1
n
n! = ∏k
k =1

(n + 1) ! = (n + 1) n !
k . (k - 1) ! = k !
n+
1
 1 
n!= 2π n 2
e − n 1+ +o2 (n) 
 12n 
factorisation (formules trigonométriques de)
 p + q   p −q 
cos p +cosq =2cos cos 
 2   2 
 p + q   p −q 
cos p −cosq =− 2sin sin 
 2   2 
 p + q   p −q 
sin p+sin q =2sin cos 
 2   2 
 p −q   p + q 
sin p −sin q =2sin cos 
 2   2 
forme trigonométrique
r . ei t
ei t = cos t + i sin t
ei θ = cos θ + i sin θ
[r, θ] = r (cos θ + i sin θ)
iθ iθ
r1 e = r2 e est équivalente à r1 = r2 et θ1 ≡ θ2 modulo 2 π.
1 2

(r e )(r ′e )=(r r ′)e (


iθ iθ ′ i θθ ′)


1 1 −iθ re r c h
i θ − θ′

= e i θ′
= e
re r r′ e r′
(r e ) =r iθ n n
e niθ (e ) =e
iθ n n iθ

voir aussi : exponentielle


Fourier (série de)
1 2π 1 2π
f (t )cos(nt )dt f (t )sin (nt )dt
2π ∫0 2π ∫0
an = bn =

a n cos(n x )+bn sin (n x )= f (t )cos[n(x−t )]dt
1
π ∫ 0
+∞
f (x +
)+ f (x ) −

∑ (a n cos(n x )+bn sin(n x ))=


n =0 2
Fresnel (intégrales de)
1 π π
∫ () ∫ sin(t )dt = 2
+∞ +∞
1
cos t 2 dt = 2

0 2 2 0 2
géométrique (suite)
un + 1 = q x un pour tout indice n
un = u 0 . q
n

n
lim q
n → +∞ , où q est une constante réelle
n+1 n+1
1− q 1− x
1+ q + q + Κ + q = 1+ x + x + Κ + x =
2 n 2 n

1 − q , avec q ≠ 1 1− x
n um − un + 1
∑ uk = um + um + 1 + Κ + un =
k=m 1− q
homothétie
→ →
ΩM' = k . ΩM
z'− z Ω =k (z − z Ω )
Si les points A et B ont pour images respectives A' et B' par une homothétie de rapport λ, on a :
→ →
A 'B' = λ AB .

H Ω ,λ οH Ω, µ =H Ω , λ .µ
Image du cercle C de centre O et de rayon R par l'homothétie H de centre Ω et de rapport k :
H Ω,k (C )=C O,R H Ω , k (O ), k R

hyperbole
x . y = k (où k est une constante réelle ≠ 0)
k
y=
x (k constante réelle ≠ 0)
x2 y 2 X2 Y2
2
− 2 −
Equation réduite : a b =1 A 2 B2 = 1
c= a +b
2 2

2 2
b B
1+ 2
1+ 2
Excentricité : e = a e= A
2 2
2 a A
x=±
a x=±
a +b A +B
2 2 2 2
Equations des directrices : c ou
b
y=± x
Equations des droites asymptotes : a
x0 . x y0 . y
2
− 2
Equation de la tangente à l'hyperbole en son point de coordonnées x0 et y0 : a b = 1.
 a
 x=
Représentation paramétrique :  cost
 y =b tant

voir aussi : conique, ellipse, parabole
Gamma (fonction)
Γ (x + 1) = x . Γ (x)
+∞
Γ( z )= ∫ e −t t z −1 dt
0
x
n! n
lim
Formule de Gauss : Γ (x) =
n → +∞ x ( x + 1) Κ ( x + n) .
x
+∞ n
Γ(x )= e −γ x ∏
1 e
Formule de Weierstrass : .
x x
n =1
1+
n
+∞ 
 x −  Γ ′(x ) 1 +∞  1 1 
x
1
= xe γ x ∏  1+ e n  =− γ − +∑  − 
Γ(x ) n =1   n  Γ ( x ) x n =1  n x + n 

π
Relation des compléments : Γ(x )Γ(1− x )= .
sin (π x )
p −1 1
−x
p −1
 x+q 
Formule de multiplication de Legendre-Gauss : (2π ) 2 p 2
=∏ Γ  .
q =0  p 
Γ(x )Γ( y )
B(x, y )= ∫ t x −1 (1−t )
1 y −1
dt =
0 Γ(x+ y )
identités remarquables
(a + b)² = a² + 2 a b + b² (a - b)² = a² - 2 a b + b²
a +b =(a +b ) −2ab
2 2 2
a² - b² = (a - b) . (a + b)
a² + b² = (a - i b) (a + i b)
(a + b)3 = a3 + 3 a2 b + 3 a b2 + b3 (a - b)3 = a3 - 3 a2 b + 3 a b2 - b3
a +b =(a+b ) −3ab(a +b )
3 3 3

a3 - b3 = (a - b) ( a2 + a b + b2 ) a3 + b3 = (a + b) ( a2 - a b + b2 )

(
a n −b n =(a −b ) a n −1 + a n − 2 b+Κ + ab n− 2 + +b n −1 )
 n −1 
a n −b n =(a−b ) ∑ a n − k b k 

 k =0 
voir aussi : binôme de Newton
indéterminées (formes)
"(+∞)-(+∞)"
"+∞ - +∞"
"0 . +∞" "0 . -∞"
"+∞ / +∞"
"±∞ / ±∞"
+∞
" +∞ "
"0"
0
+∞
"1 "

indicateur d'Euler
ϕ (n )={m∈N* |m≤net m∧n=1}
 1
ϕ (n )=n∏ 1−  , où le naturel n est > 1 et où P désigne l'ensemble des naturels premiers
p∈ P  p
p| n

L'indicateur d'Euler est faiblement multiplicatif : ϕ (m n) = ϕ (m) ϕ (n), quels que soient les naturels m et
n premiers entre eux (m ∧ n = 1).
∑ ϕ ( p )=n
p|n
+∞
ϕ (n ) ζ (s −1)

n =1 ns
=
ζ (s )
inégalités
AC ≤ AB + BC
a ≤ b entraîne a + c ≤ b + c
a ≤ b entraîne - a ≥ -b
a ≤ b et c ≥ 0 entraînent a . c ≤ b . c
a < b et c > 0 impliquent a . c < b . c
0 ≤ a ≤ b entraîne a2 ≤ b2
0 ≤ a ≤ b et n ≥ 0 entraînent an ≤ bn
1 1

Si les réels a et b sont non nuls, de même signe et tels que a ≤ b, alors a b.
1 1
>
Si les réels a et b sont non nuls, de même signe et tels que a < b, alors a b.
Si la fonction f est croissante sur un intervalle I et a ≤ b, où a et b sont quelconques dans I, alors f (a)
≤ f (b).
Si la fonction f est strictement croissante sur un intervalle I et a < b, où a et b sont quelconques dans
I, alors f (a) < f (b).
Si la fonction f est décroissante sur un intervalle I et a ≤ b, où a et b sont quelconques dans I, alors f
(a) ≥ f (b).
Si la fonction f est strictement décroissante sur un intervalle I et a > b, où a et b sont quelconques
dans I, alors f (a) > f (b).
(a1 + a2 + … + an)2 ≤ n (a12 + a22 + … + an2)
voir aussi : accroissements finis (inégalités des), intégrales (inégalités), monotonie
intégrales

∫ f (x )dx = [F (x )] = F (b )− F (a ) où F est une primitive de f sur [ a, b ]


b x =b
a x=a

∫ f (t )dt =0
a

∫ f ( x)dx=−∫ f ( x)dx
a b

b a

∫ k. f (x )dx=k.∫ f (x )dx
b b

a a

α ∫ f (x )dx+ β ∫ g (x )dx = ∫ (α f (x )+ β g x )dx , où α et β sont des constantes


b b b

a a a

relation de Chasles : ∫ f (x )dx = ∫ f (x )dx + ∫ f (x )dx ∫ f (x )dx+ ∫ f (x )dx=∫ f (x )dx


b c b c b b

a a c a c a

Formule d'intégration par parties : ∫ u ′( x ).v( x )dx =[u ( x ).v( x ) ] −∫ u ( x ).v ′( x )dx
b x =b b

a x =a a

si a b et f (t) 0 pour tout t [a, b], alors ∫ f (t )dt ≥0


b

si a b et f (t) g (t) pour tout t [a, b], alors ∫ f (t )dt ≤ ∫ g (t )dt


b b

a a

∫ f (x )dx ≤∫ f (x ) dx
b b

a a
2
 b f (x )g (x )dx  ≤ b ( f (x ))2 dx  b (g (x ))2 dx 
 ∫a   ∫a  ∫a
inégalité de Schwarz :

1 1
1 1
+ =1
∫ f (x )g (x )dx ≤ ∫ f (x ) dx   ∫ g (x ) dx  , avec : p
b b p p b q q
inégalité de Hölder : q
a  a   a 
1 1 1

inégalité de Minkowski :  ∫ f (x )+ g (x ) dx  ≤ ∫ f (x ) dx  + ∫ g (x ) dx 


b p p b p p b p p

 a   a   a 

∫ f (t )dt
b

f (t )dt
1 b
b −a ∫a
a
valeur moyenne :
b−a
mb + p
m ∫ f (m x + p )dx= ∫
b
f ( X )dX
a ma + p
at2 +b
∫ f (x )dx=a.∫ f (at +b )dt
t2

a t1 + b t1

∫  ∫ f (x, y )dy dx=∫  ∫ f (x, y )dx dy


b d d b

a c c a

∫ f (t )dt
x

a
 x f (t )dt  ′= f ( x)
 ∫a 
intervalle
] 0, +∞ [ R+*
[ 0, + [ R+
] -∞, +∞ [
] -∞, 0 [ ∪ ] 0, +∞ [ R *
R = R ∪ { -∞, ∞ }
 π π  π π
− 2 ,2  − 2 , 2 
   
Kronecker (symboles de)
si i ≠ j : δ i, j = 0
δij = 0 si i ≠ j, δii = 0
Laplace (transformation de)
+∞
fˆ ( z )= ∫ f (t )e − t z dt
−∞
limite
lim ( f (x )+ g (x ))=lim f (x )+lim g (x )
x→a x→a x→a

lim ( f (x ).g (x ))=lim f (x ).lim g (x )


x→a x→a x→a

 1  1
lim  =
x→a
 f (x )  lim
x→a
f (x )

f (x ) lim f (x )
x→a
lim =
x → a g (x ) lim g (x )
x→a

Règle du terme de plus haut degré pour les limites en -∞ et en +∞ d'une fonction polynôme :
lim P(x )= lim a p x p
x →−∞ x →−∞
( ) et ( )
lim P(x )= lim a p x p , où ap xp est le terme de plus haut degré du
x →+ ∞ x→+∞
polynôme P.
Règle des termes de plus haut degré pour les limites en -∞ et en +∞ d'une fonction rationnelle :
P(x ) ap x p
 x  et lim P(x )= lim p
 a p p −q  a xp  a p p −q 
lim = lim = lim = lim  x  , où ap xp
x → − ∞ Q (x ) x → − ∞ b x q x → − ∞ b  x → + ∞ Q(x ) x → + ∞ b x q x → + ∞ b 
q  q  q  q 
(resp. bq xq) est le terme de plus haut degré du polynôme P (resp. Q).

Limite d'une fonction composée : si lim f (x )=b et lim g ( y )=c , alors lim g ( f (x ))=c .
x→a y →b x→a

 
lim u n = lim  supu k 
n→+∞

n→+ ∞ k ≤n

voir aussi : suite
limites usuelles (exponentielle)
lim e = + ∞
x

x → +∞

lim e = 0
x

x → −∞

( )
lim xe − x =0
x→+∞

lim (x e )=0 , où est une constante réelle quelconque


α −x
x →+ ∞
x
e
lim =+∞
x → +∞ x
x
e
lim α
=+∞
x → +∞ x pour α constante réelle
e −1
h

lim
h→0 h =1
n
 1
lim 1+  =e
n→+ ∞
 n
limites usuelles (logarithme)
lim ln x = − ∞
x→0
lim ln x = + ∞
x → +∞
ln x
lim =0
x→ + ∞ x
ln x
lim =0
x → +∞ x
ln x
lim α
=0
x → +∞ x pour α constante réelle > 0
lim(x.ln x )=0
x →0

( )
lim x α ln x =0 pour α constante réelle > 0
x →0
ln (1 + h)
lim
h→0 h
=1
limites usuelles (trigonométrie)
sin x
lim =1
x→0 x
sin x
lim =0
x → +∞ x
1 − cos x 1
lim 2
=
x→0 x 2
linéarisation (formules trigonométriques de)
1
sin a . sin b = cos (a − b) − cos (a + b)
2

sin a.cosb= [sin (a+b)+sin (a −b) ]


1
2
cosa.cosb= [cos(a +b )+cos(a−b )]
1
2
lipschitzienne (fonction)
f (x )− f ( y ) ≤k x− y f (x )− f ( y ) ≤k x− y

logarithmes
1

x
ln x= dt
1 t
Signe de Ln sur R
x 0 1 +∞
ln x - 0 +

a
ln(ab )=ln a +lnb ln =ln a−lnb
1
ln =−ln a ( )
ln a α =α ln a
b a
LOGARITHME DECIMAL
ln x
loga x =
ln x ln a
log x= loga x = loga b . logb x
ln10

log (a . b) = log a + log b


a
log =loga −logb
1
log =−loga ( )
log a α =α loga
b a

loi de composition
Un élément e est neutre pour une loi de composition interne ! sur un ensemble H quand, pour tout
élément a de H, on a : a ! e = e ! a = a.
Un élément a' est inverse d'un élément a pour une loi de composition interne ! sur un ensemble H
quand a ! a' = a' ! a = e, où e est le neutre de cette loi.
Mac-Laurin (formule de)
f ′′(0) 2 f ′′′(0) 3 f ( n ) (0) n x
.x + ∫ f
(x−t )n dt
f ( x)= f (0)+ f ′(0).x + .x + .x +Λ + ( n +1)
(t )
2 3! n! 0 n!
n (k )
(0 ) (t )(x−t )
n

f (x )=∑
f x
(n +1)
x k +∫ f dt
k =0 k! 0 n!

médianes (théorèmes de la)


I désigne le milieu de [A, B]
2
AB
AM + BM = 2 IM +
2 2 2

2
→ → → →
AM − BM = 2 AB . IM AM . BM = IM − IA = IM − IB
2 2 2 2 2 2

→ →  AB 
2

AM .BM = IM 2 − 
 2 
voir aussi : métriques (relations)
métriques (relations)
théorème de Pythagore : AB² = AC² + CB²
a = BC, b = CA et c = AB
Somme des angles dans un triangle (ABC) :
∧ ∧ ∧ ∧ ∧ ∧
BAC + CBA + ACB = π A + B + C = π.
a b c
= = = 2R
∃ ∃
sin A sin B sin C ∃
, où R est le rayon du cercle circonscrit au triangle
∃= b +c −a
2 2 2

cos A
a2 = b2 + c2 − 2 b c cos A∃ 2bc

BC = AB + AC − 2 AB . AC . cos BAC
2 2 2

1 a+b+c
b c sin A∃
Aire du triangle : S = 2 = p( p −a )( p −b )( p −c ) , où p est le demi-périmètre : p = 2 .
voir aussi : cercle, médianes (théorèmes de la), trigonométrie circulaire
milieu
x + xV y + yV z + zV
xM = U yM = U zM = U
coordonnées du milieu M de deux points U et V : 2 , 2 et 2
→ 1 →
→ → → IA = BA
I est le milieu de [ A, B ] quand IA + IB = 0 ou 2 .
z A + zB
zI =
affixe : 2
min
si a ≤ b, min (a, b) = a
si a ≥ b, min (a, b) = b
module
x+iy = x +y z = x +y (Re(z ))2 +(Im(z ))2 z =
2 2 2 2
zz
z=
1 1 z z
= =
z z′ = z z′ z′ z′
2
z =zz z z

z = z
I-zI= z
voir aussi : affixe, valeur absolue

moyenne
a1 + a 2 + Λ + an
m= n
norme
→ → → →
u+v ≤ u + v
→ →
ku = k u
, où k est un scalaire
voir aussi : produit scalaire
parabole
y = a . x² + b . x + c
voir aussi : conique, ellipse, hyperbole
parallélogramme
→ →
le quadrilatère (ABCD) est un parallélogramme quand on a : AB = DC .
primitives
La fonction F est une primitive de la fonction f sur l'intervalle I quand F est dérivable sur I et F' (x) = f
(x) pour tout x de I.

∫ k. f ( x)dx=k.∫ f ( x)dx
∫ (α f (x )+ β g (x ))dx=α ∫ f (x )dx+ β ∫ g (x )dx , où α et β sont des constantes
∫ u ′( x).v( x)dx=u( x).v( x)−∫ u( x).v ′( x)dx
x n +1 1 1
∫ x dx= ∫ x dx=ln x ∫ x dx=ln x
n

n+1
ek x
∫e =
kx
, où k est une constante non nulle
k
-cos(ω t +ϕ ) sin (ω t +ϕ )
∫ sin(ω t +ϕ )dt = ω et ∫ cos(ω t +ϕ )dt =
ω
, où ω (≠ 0) et ϕ sont des constantes

1
∫ tan xdx=− ln cos x ∫ cos 2 x dx=tan x
1 1  1+sin x  1 x
∫ cos x dx= 2 ln 1−sin x  ∫ sin x dx=ln tan 2
1 1
∫ 1+ x 2
dx= Arc tan x ∫ 1− x 2
dx= Arcsin x

1 1 1+ x
∫ 1− x 2
dx= Arg th x= ln
2 1− x

∫ 1+ x
1
2
dx= Arg sh x=ln x+ 1+ x 2 ( )
1
∫ x −12
dx= Arg ch x=ln x+ x 2 −1

probabilité
P ( A ∩ B)

Probabilité conditionnelle : P (A B) = P (B) P (A B) = P (A B) . P (B).


Card ( A )
P ( A) =
Équiprobabilité : Card ( Ω) .
Si les événements A et B sont disjoints : P (A B) = P (A) + P (B).
Indépendance : P (A B) = P (A) . P (B).
Quand les événements A1, A2, …, An sont indépendants deux à deux, on a : P (A1 A2 … An) = P
(A1) . P (A2) . … . P (An).
Probabilité de l'événement contraire : P(A )=1− P(A) .
n
Espérance : E (X )= ∑ P(ω )X (ω ) E (X )=∑ p i x i , en supposant que les valeurs prises par
ω ∈Ω i =1
la variable aléatoire X sont x1, x2, …, xn, et en posant : pi = P (X = xi).
2  
n n
V (X )=∑ p i (x i − E (X )) = ∑ p i x i2 −(E (X )) .
2
Variance :
i =1  i =1 
Écart-type : σ (X )= V (X ) .
E (X + Y) = E (X) + E (Y)
puissance
x+y
a .a = a
x y

p
−p 1 p−q a
= =
(a ) =a
a a
a
p
a
q p q pq
(a.b )n =a n .b n
n
a a
n
  = n
b b
voir aussi : exponentielle
quotient
a c
=
b d si et seulement si a . d = b . c (et b et d non nuls)

racine
= u =u
2 2
x ≥0 u u
si u ≥ 0,

si u ≤ 0,
u
2
= −u ( u ) =u2
a . b = ab
1 1
n
x = x2 a = an = a
n n
a
(n naturel pair)
n a ≥0 n 1
pour tout réel a ≥ 0 =1
n n
a =a
pour tout réel a ≥ 0
n a n
a
=
(n a )n =a n a.b = n a . n b
b
n
b
mn a = m n a

récurrence (relation de)


un + 1 = (un)
lim un = λ
n → +∞ et continue en : () =
g + dn
mn = n
Méthode de dichotomie : 2 ; si f (mn) > 0, alors gn + 1 = mn ; si f (mn) ≤ 0, alors dn + 1 =
mn .
f (u n )
un + 1 = un −
Méthode de Newton : f ' (u n ) .

Méthode d'Ostrowski
f ( xn )
f ′ ( xn )
xn + 1 = xn −
f ( xn ) f ′′ ( xn )
1− 2
f ′ ( xn )
.
rectangles (méthode de calcul de valeurs approchées d'intégrales des)
b−a n −1  b−a  (b−a ) Sup f ′( x) 2

∫ ∑
b
f ( x)dx = f  a+k +ε n , avec ε n ≤
a n k =0  n  2n x∈[ a ,b]
réflexion
s o s = Id où s est une réflexion
S D2 ο S D1 =R ∧ , avec I ∈ D1 ∩ D2
I,2(D1 , D2 )
SD ο SD
Si les axes D1 et D2 ont en commun un point I, 2 1 est la rotation de centre I et d'angle

2(D1 , D 2 ) .
SD ο SD →
Si les axes D1 et D2 sont parallèles, 2 1 est la translation de vecteur 2 U orthogonal à D1 et D2
et tel que t → (D1 )= D 2 .
U
rotation
Caractérisation de l'image M ' d'un point M par la rotation de centre Ω et d'angle α :
 ΩM '=ΩM
 ∧
 → → 
  ΩM ,ΩM ' =α quand M ≠ Ω
 

 → → 
 ΩM ,ΩM ′  =α
 

 → 
Si r est une rotation d'angle α, alors  MN,  =α quels que soient les points distincts M
→

 r  M r  N  


 
et N du plan.
R(Ω, α) ο R(Ω, β) = R(Ω, α + β)

z' = e . z (pour une rotation dont le centre est l'origine du repère)
z '− z Ω =e iα (z − z Ω )
−1
R Ω, α = R Ω, − α
voir aussi : réflexions
scalaire (produit)
→ →
→ →
Si, dans un repère orthonormé, u (x, y) et v (x', y'), alors u . v = x x ′ + y y ′
→ →
→ →
Si, dans un repère orthonormé, u (x, y, z) et v (x', y', z'), alors u . v = x x′ + y y ′ + z z′

→→ →
 → → →
u.v = u v cos u , v  .
 
→ →
Expression du produit scalaire : AB . CD = AB . cd , où c et d sont les projections orthogonales
respectives des points C et D sur une droite orientée passant par les points A et B.
→ → → →
0 . u = u . 0 =0
→ → → →
v.u = u.v

→ → → → → → →
→ → →→ →→
u. v + w =u.v + u.w u. v −w =u.v −u.v
   

 → → →→ → →  → → →  → → →
u.α v + β w =α u.v + β u.w  k u .v =u. k v =k  u .v 
       
2 2
 → →  →2 → → →2 → → → 2 → → → 2
 u + v  =u +2u.v + v  u − v  = u −2u .v + v
   
2
→2 →
→2 u = u
→2
 → →  → → 
→2
AB = AB
2
u − v = u + v . u − v 
  
→ → 1
→→ 1 → →
2 → 2 → 2 
u .v =  u + v − u − v  (
AB. AC = AB 2 + AC 2 − BC 2
2
)
2  
voir aussi : norme, produit vectoriel (identité de Lagrange), formule du double produit vectoriel)
segment
AC = AB + BC si et seulement si B appartient au segment [B, C]
→ →
Un point M appartient au segment [ A, B ] (resp. ] A, B [ ) si et seulement si AM = λ AB , où le réel λ est
tel que λ ∈ [ 0, 1 ] (resp. ] 0, 1 [ ).
série
+∞ n
x
e =∑
x

n= 0 n!

(1+ x )α =∑ α (α −1)Κ (α −n+1)x n


+∞

n =1 n!
+∞ 2n
x
ch x=∑
n =0 (2n )!
x 2n +1
+∞
sh x=∑
n = 0 (2n+1)!
+∞
x 2n
cos x =∑ (− 1)
n

n =0 (2n )!
+∞
x 2n +1
sin x=∑ (− 1)
n

n =0 (2n+1)!
+∞
1 2x
cot x = + ∑
x −n π
2 2 2
x n=1
2n+1
+∞
1 . 3 . 5 Κ ( 2 n − 1) x
Arc sin x = ∑
n=0 2 . 4 . 6 Κ ( 2 n) 2n +1
n
1

Série harmonique : k =1 k
+∞
(− 1) π
n −1


n =1 2n−1 4
=

+∞
π
2
1
∑ 2
=
n=1 n 6
 xn +1 
Critère de d'Alembert : soit (xn) une série de réels strictement positifs ; si la suite   est majorée
 xn 
par une constante < 1 (resp. minorée par 1), alors la série (xn) converge (resp. diverge).
lim n xn
Critère de Cauchy : soit (xn) une série de réels strictement positifs ; si n → + ∞ < 1, alors la série
(xn) converge (resp. diverge).

similitude
Expression analytique complexe de la forme z' = a . z + b ou z ′ = a z + b
s (M) s (N) = k . MN (si l'on pose : M ' = s (M) et N ' = s (N), cette égalité s'écrit : M'N' = k . MN, ou
M'N'
=k
encore, si l'on suppose M et N distincts : MN

→ → 
Si s est une similitude plane directe d'angle α, on a : AB, s( A) s ( B ) =α quels que soient les points

 
 
distincts A et B.
La similitude directe plane de centre Ω, de rapport k et d'angle α est la composée
R Ω , α ο HΩ , k HΩ, k οRΩ, α
=
Simpson (formule de)
b−a   a +b   (b−a )
5

f (b)− f (a)=  f ′(a)+ 4 f ′ + f ′(b) − f (5)


(ξ ),aveca <ξ <b
6   2   2880
somme
n

∑u k = u1 + u 2 + Κ + un
k =1

n n n n  n 
∑ (u k +v k )=∑ u k + ∑ v k ∑ (λ u )=λ  ∑ u
k k


k =1 k =1 k =1 k =1  k =1 
n m n

n +1
 n  ∑u = ∑u + ∑u
∑ k ∑ k 
k kk
u = u  + u n +1
k =1 k =1 k =m+1

k =1  k =1 
n    
∑ u k = ∑ u k + ∑ u k  , où I et J sont des ensembles disjoints tels que I ∪ J = { 1, …, n }
k =1  k∈I   k∈J 

n
Procédé de l'escalier : ∑ (u
k =0
k +1 −u k )=u n +1 −u 0 .
n

∑ k = 2 n(n+1)
1
k =1
n
= n(n+1)(2n+1)
1
∑k
k =1
2

6
n
= n 2 (n+1)
1
∑k 3 2

k =1 4

( )
n
= n(n+1)(2n+1) 3n 2 +6n−1
1
∑k
k =1
4

6
voir aussi : série, suite arithmétique, suite géométrique
suite
(un)n ≥ 0
(un)n ≥ 1
n α un
croissante : un + 1 ≥ un ou un + 1 - un ≥ 0
strictement croissante : un + 1 - un > 0
décroissante : un ≥ un + 1 ou un + 1 - un ≤ 0
strictement décroissante : un + 1 - un < 0
un + 1 - λ ≤ k (un - λ) | un + 1 - λ | ≤ k | un - λ |
un - λ ≤ kn (u0 - λ) | un - λ | ≤ kn | u0 - λ |
lim un ≤ lim v n
Si pour tout indice n assez grand, on a : un ≤ vn, alors : n → +∞ n → +∞ .
Théorème des gendarmes ou du sandwich : si un ≤ vn ≤ wn pour tout indice n assez grand, et si
lim un = L lim w n = L lim v n = L
n → +∞ et n → +∞ , alors n → +∞ .
lim xn = + ∞
Si les suites (xn) et (yn) sont telles que xn ≤ yn pour n assez grand et si n → +∞ , alors
lim y n = + ∞
n → +∞ .
voir aussi : relation de récurrence, suite géométrique

tangente
Equation cartésienne de la droite tangente à la courbe représentative de la fonction f en son point
d'abscisse x0, f étant dérivable en x0 : y - f (x0) = f' (x0) (x - x0).
f ( x) − f ( a) f ( x) − f ( a)
lim =+∞ lim =−∞
Quand
x→a x − a ou
x → a x − a , la fonction f n'est pas dérivable en a ; si, de
plus, f est continue en a, une courbe représentative de f admet en son point d'abscisse a une droite
tangente, d'équation x = a.
Une courbe paramétrée admet une droite tangente en son point de paramètre t = a quand les dérivées

x' (a) et y' (a) des fonctions coordonnées existent et sont telles que le vecteur V défini par
→ → → →
V = x' ( a) i + y ' ( a) j soit différent de 0 et ce vecteur est alors un vecteur directeur de cette droite
tangente.
Thalès (propriété de)
Si les points A, B et C (resp. A', B' et C') sont situés sur la droite (D) (resp. (D ')), avec les droites (AA'),
AB BC CA
= =
(BB') et (CC') parallèles entre elles, alors : A ′B ′ B ′ C ′ C ′A ′ .
translation
→ → −1
T = T→
MM' = u

T ο T =T→ → → →
u −u
u v u+v
→ z′ = z + z z→ →
La translation du plan de vecteur u a pour écriture complexe : u , où u désigne l'affixe

complexe du vecteur u .
trapèzes (méthode de calcul de valeurs approchées d'intégrales des)
b−a  f (a)+ f (b) n −1  b− a  (b−a ) 3

∫ +∑ f  a+ k
b
f ( x)dx =   +ε n , avec ε n ≤ Sup f ′′( x)
a n  2 k =1  n  12n 2 x∈[ a ,b ]
triangulaire (inégalité)
I z1 + z2 I ≤ Iz1I + Iz2I
∧ AC
sin ABC =
trigonométrie circulaire Si (ABC) est un triangle rectangle en A, on a : BC et
∧ BA
cos ABC =
BC .
π π π π
α 0 6 4 3 2
3 2 1 1
cos α 1 2 2 ou 2 2 0
1 1 3
2 2
sin α 0 2 ou 2 1
2
1
3 3
tan α 0 1

Pour tout réel x : -1 ≤ sin x ≤ 1 et -1 ≤ cos x ≤ 1.


cos² θ + sin² θ = 1
cos (- α) = cos α sin (- α) = - sin α
cos (α + π) = - cos α sin (α + π) = - sin α
cos (π - α) = - cos α sin (π - α) = sin α
π  π 
cos −α =sinα sin −α =cosα
2  2 
π  π 
cos +α =− sinα sin +α =cosα
2  2 
A cos x + B sin x = R cos (x - θ) R = I z I z = A+iB=Reiθ
sin x
tan x =
π  π  1
cos x R − + kπ |k∈Z  tan α +π = tanα
 ( ) tan −α =
2   2  tanα
1 cos x 1
1 + tan α = cot x = 1 + cot t =
2 2

cos α
2 2
sin x pour x ≠ k π, k entier sin t
1 1
sec x = cosec x =
cos x sin x

x
t = tan
En posant 2

1− t
2
2t 2t x
cos x = sin x = tan x = t = tan
1+ t , 1+ t 1 − t , où l'on a posé
2 2 2
et 2 (quand x ≠ π [ 2 π ])
sin (3x )=3sin x−4sin x 3
cos(3x )=4cos x−3cos x
3

3sin x−sin (3x ) 3cos x+cos(3x )


sin 3 x= cos 3 x=
4 4
cos(4 x )=8cos 4 x−8cos 2 x + 1
trigonométrie hyperbolique
−x −x
e +e e −e
x x

−x ch x = sh x =
e = ch x + sh x = ch x − sh x
x
e 2 2
−x
e −e −1
x 2x
sh x e
th x = = −x
=
e +e +1
x 2x
ch x e
ch x − sh x = 1
2 2
ch2 x - sh 2 x = 1
1
1 − th x = 2
2

( )
ch x
Arg sh x=ln x+ x 2 +1
Arg ch x = ln x + F
H x −1
2 I
K
1 1+ x
Arg th x = ln
2 1− x
ch z = cos i z
sh z = - i sin i z
trinôme
a x2 + b x + c = 0
 b  b 2 −4ac 
2

a x +b x+c=a  x+  −
2

 2a  4a 2 
∆ =b −4ac
2

−b − ∆ −b + ∆

x' = 2a et x" = 2a

a x² + b x + c = a ( x - x') ( x - x")

signe du trinôme :
x -∞ x' x" +∞
ax+bx+c signe de a 0 signe de - a 0 signe de a

a z² + b z + c = 0
−b − i − ∆ −b + i −∆

z' = 2a et z" = 2a
a z² + b z + c = a ( z - z') ( z - z")
b
x' + x" = −
a
c
x' . x" =
a
voir aussi : discriminant
valeur approchée
Le réel a est une valeur approchée par défaut à ε près du réel x quand a ≤ x ≤ a + ε.
Le réel a est une valeur approchée de x à ε par excès quand : a - ε ≤ x ≤ a.
U est une valeur approchée à 10-n près par défaut de α quand U ≤ α ≤ U + 10-n
Le réel X ≥ 0 a pour valeur approchée x avec une erreur relative de n % quand :
n n
− X≤ X − x≤ X
100 100
ou encore (quand X est un réel non nul) :
x n
−1 ≤
X 100 .
voir aussi : arrondi, entière (partie)
vecteur
→ → → → → → →
Relation de Michel Chasles : AB + BC = AC BA = − AB AA = 0

u

u
Vecteur unitaire : .
→ →
Les vecteurs u (x, y) et v (x', y') sont colinéaires si et seulement si x . y' - x' . y = 0

voir aussi : alignement, affixe, barycentre, colinéarité, coordonnées, repère, produit_scalaire,


produit_vectoriel
vectoriel (produit)
→ → → → → → → → →
→ → →
Si  i , j , k  est une base orthonormée directe de l'espace : i ∧ j = k , j ∧ k = i et k ∧ i = j .
 
→ →

Coordonnées d'un produit vectoriel u ∧ v (dans un repère orthonormé direct) en fonction des
y → z→ z → x→ x→ y →
u u u u u u

→ → y→ z→ z→ x→ x→ y→
v v v
coordonnées des vecteurs u et v : v , v , v .
→ → → → →
   →
Si u ≠ 0 : u ∧ v = u r  p v   ,
  

où p est la projection orthogonale sur le plan P orthogonal à u , r est la rotation plane de P d'angle droit

direct (P étant orienté conformément à u ).
→ →
Pour des vecteurs u et v non nuls :

→ → →
 → → →

u ∧ v = u v sin u , v  k ,
 
→ → → →
où k est un vecteur unitaire orthogonal à u et à v , l'angle étant mesuré dans le plan orthogonal à k et

orienté par k .

→ →
→ → → →
u ∧ v = u v sin u , v 
 
2 2 2 2
→ →
→ → → →
Identité de Lagrange : u ∧ v + u.v  = u . v .
 
→ → → →
u∧v ≤ u v

→  → → → → → → →  → → → → → →
u ∧ v + w = u ∧ v + u ∧ w u ∧ v − w = u ∧ v − u ∧ w
   
  → →
 → →
 →
  
→ → →

 k u  ∧ v =k  u ∧ v  u ∧ k v =k  u ∧ v  , où k est un réel
       
 → →
   → →
 → →
 →
  →
k  u ∧ v = k u ∧ v k  u ∧ v =u ∧ k v  , où k est un réel
       
→ → → →
v∧u=−u∧ v
→ → → → →
u ∧ v = 0 si et seulement si u et v sont colinéaires
→ → → →
u ∧ v est orthogonal à u et à v
 → →   → → →  → →  →

Formule du double produit vectoriel : u ∧ v ∧ w = u.w  v − u.v w .
     

 → →
 →
 → →
 →  → →
 →
Identité de Jacobi : u ∧  v ∧ w  + v ∧  w ∧ u  + w ∧  u ∧ v  = 0 .
     

 → →
  → →
 →
  
→→ → →→ →

u ∧ v ∧ w − u ∧ v  ∧ w= v .w u − v.u w
       
 → → →
  → → →
 → →  →  → → →
Produit mixte : u v w =  u ∧ v .w =  v ∧ w .u =  w∧ u .v
       
→ → →
Un vecteur w appartient au plan défini par les vecteurs u et v non colinéaires si et seulement si
→ → →
 u ∧ v .w=0 .
 
→ →
→ → → →
Si u et v ne sont pas colinéaires,  u , v ,u ∧ v  est une base directe de l'espace.
 
voir aussi : distance
volume
( f (x ))2 dx
b
V =π ∫
a
Wallis (intégrales de)
π
I n = ∫ 2 sin n t dt
0

(2 p )! π
I2p =
2 ( p!) 2
2p 2

2 2 p ( p!)
2

I 2 p +1 =
(2 p +1)!

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