C’était un chanteur, compositeur, écrivain des textes belge,
né le 8 avril 1929 à Schaarbeek, un quartier de Brussel, mort le 9 octobre 1978. Il sortait d’une famile bourgoise, son père était gérant d’une usine dans laquelle on produisait du carton, une cartonnerie. Sa mère, assez croyante , aimait jouer dans des pièces de théâtres, chanter et de temps en temps elle écrivait des chansons. Bien qu’on parle français à la maison, JB apprenait à parler néerlandais à l’âge de 12 ans. Après l’école secondaire il commençait à travailler dans la cartonnerie de son père, et sa famille croyait qu’il succédait à son père comme co-associé. Dans son temps libre il rendait visite à un mouvement de jeunesse catholique, dans lequel il rencontrait sa future femme, Thérèse Michielsen. Ils se sont mariés le premier juin 1950 et ils ont eu trois filles JB se mettait à écrire, comme sa mère , des chansons et il débutait comme chansonnier à l’aide d’une femme, Angèle Guller qui a eu un programme radio. JB partait pour Paris pour distribuer ses cartes de visites, pour promouvoir ses chansons qui n’avaient aucun succès. Mais le directeur de la télévision belge lui donnait une chance et JB chantait dans des émissions diverses. Il formait un groupe musicale, des musiciens qui l’accompagnait en chantant ses chansons. (pianiste, chef d’orkestre et un accordéoniste). Son succès éclatant, son tournant, percé(??), c’était son disque avec la chanson “Quand on n’a que l’amour” en l’an 1956. Mais la qualité de sa vie privé diminuait mais JB et sa femme ne divorçait jamais. Sous l’infuence de ses accompagnateurs musicales il commençait à changer son point de vue humaniste dans ses chansons. Il montrait l’homme comme un guerrier, l’amour faisait mal , il se battait contre le moral bourgeoise hypocrite de sa jeunesse. Il a dû son succès à la manière intense dont il crachait ses chansons dans la salle et à cause de cette manière de présenter ses chansons il aidait à mieux insérer la langue française que l’on considérait comme difficile dans les pays nordiques. Par an il se trouvait en moyenne 300 fois sur scène et il ruinait sa santé en fumant en buvant beaucoup trop. Il y avait un interview à la fin de sa vie comme chansonnier avec Ferré et Brassens qui résultait en éditant le disque “Trois poètes, Brel, Brassens et Ferré.( Le cd est à acheter aupres l’entreprise bol.com pour la somme de 40 euro.) En 1967 il réussit à obtenir son brevet de vol et de voile, et , avec son amant Maddly Bamy ils traversaient l’océan atlantique et pacifique pour arriver dans une île polinésienne (Hiva Oa). Il était mort à cause d’un cancer de poumons et enterré sur le cimétière dans l’île de Hiva Oa