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Université hassiba ben bouali de chlef

Faculté de technolgie

Département d’électronique

Exposé sur :

Présenté par :
 MAHFOUD Abderrahmane .
 ABDELLALI Ayoub.
 LAHMAR Mohammed.

L’enseignant :
 Mr. BENZOUAOUI Ahmed

 Année scolaire :2022/2023

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 Contents

 Introduction.……………………………...…….… 3

 Définition de l’énergie renouvelable………………….…. 5

 les sources d'énergie renouvelable…………………...….. 6

I. ÉNERGIE SOLAIRE ……………………………6


II. ÉNERGIE ÉOLIENNE…………………………. 6
III. HYDROÉLECTRICITÉ……………………...... 7
IV. ÉNERGIE MARINE……………………...…….. 7

 stockage d’énergies renouvelable…………….….8


 Génératrices utilisées dans les systémes à énergie
renouvelable.................................................................. 9

 Les pays qui utilisent le plus d’energie renouvlable..10

 CONCLUSION……………………………………………… 12

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 Introduction

une grande partie de l’énergie utilisée aujourd’hui dans le monde (plus de 80 %) provient de gisements
de combustibles fossiles (charbon, pétrole, gaz) ou d’uranium. Ces gisements, ces stocks, constitués au
fil des âges et de l’évolution géologique, sont évidemment en quantité limitée : ils sont épuisables Par
opposition, les énergies fournies par le soleil, le vent, les chutes d’eau, la croissance des végétaux, les
marées, la chaleur de la terre sont renouvelables. Toutes ces énergies renouvelables n’ont d’ailleurs en
définitive que deux sources : le soleil (puisque celui-ci est à l’origine du vent, du cycle de l’eau, des
marées, de la croissance des végétaux) et la terre (qui dégage de la chaleur).

Par extension, on assimile souvent l’énergie tirée des déchets à une énergie renouvelable : on peut en
effet considérer que l’activité humaine ou animale est perpétuelle, et donc source de déchets sans cesse
renouvelés. Souvent on englobe sous le nom de biomasse l’énergie d’origine végétale, encore appelée
« houille verte » (bois et biocarburants), et les déchets humains, végétaux ou animaux

L’utilisation de ces énergies renouvelables n’est évidemment pas nouvelle. Depuis des temps
ancestraux, on a utilisé la chaleur du soleil, on a brûlé du bois ou des déchets, on a utilisé dans les
régions volcaniques la chaleur de la terre, on a fait tourner les moulins à vent ou les moulins à eau, on
a exploité la force des marées.Certes, quelques « nouveautés » sont apparues plus récemment, par
exemple les biocarburants d’origine végétale, ou la production d’électricité directement à partir du
soleil, lorsque a été découvert l’effet dit « photovoltaïque ».De toutes ces énergies renouvelables, deux
seulement occupent aujourd’hui une place significative dans la fourniture d’énergie mondiale : la
biomasse (« houille verte » et déchets) pour environ 11 % et l’énergie hydraulique (ou « houille
blanche ») pour environ 2 %. Les autres énergies (soleil, vent, géothermie) sont jusqu’ici restées
marginales.

 Les énergies renouvelables ont-elles un avenir qui aille au-delà de leur part actuelle de
septième du marché ?

À vrai dire, la principale raison de développement des énergies renouvelables au xxie siècle ne viendra
peut-être pas de l’épuisement rapide des autres énergies, comme on aurait pu le craindre récemment,
notamment lors des chocs pétroliers des années 1970.En effet, les réserves de pétrole se montent à
quarante ans de la consommation actuelle, celles du gaz à environ soixante-cinq ans et celles du
charbon à plus de deux cents ans. Celles d’uranium sont encore plus importantes, du moins si l’on
maîtrise la technique des surgénérateurs qui permettent d’obtenir 50 fois plus d’énergie à partir d’une
même quantité d’uranium.

 Néanmoins, ce relatif optimisme sur les réserves doit être tempéré :

les combustibles fossiles ne sont pas interchangeables entre eux pour tous les usages. Par exemple, les
transports, qui représentent le quart de notre consommation d’énergie, reposent sur le « tout-pétrole ».
Certes on peut imaginer qu’on pourrait assez facilement tirer du charbon un nouveau carburant, le
méthanol ; il n’empêche qu’un « sacré virage » devrait être opéré ;

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le pétrole et le gaz sont très inégalement répartis dans le monde. Le Moyen-Orient détient 65 % des
réserves connues de pétrole. Les pays de l’ex-urss et du Moyen-Orient détiennent 70 % des réserves
connues de gaz. Il peut en résulter une insécurité d’approvisionnement et une tension sur les prix. Il est
vrai qu’inversement le charbon est beaucoup mieux réparti dans le monde (même s’il y en a peu en
Afrique, en Amérique du Sud et au Moyen-Orient).

11En fait, ce n’est pas seulement le risque d’épuisement des combustibles fossiles, ni le souci de la
sécurité de l’approvisionnement, mais d’autres raisons, plus « environnementales », qui pousseront à
l’essor des énergies renouvelables au cours du xxie siècle :

la lutte toujours plus poussée contre la pollution atmosphérique favorisera les énergies peu ou pas
polluantes pour l’air que sont par exemple le soleil, le vent, la géothermie ;

les combustibles fossiles contribuent massivement au réchauffement progressif de la Terre

L’environnement, no 2667, et Le… à cause du gaz carbonique que leur combustion rejette dans
l’atmosphère. Là aussi, le soleil, le vent, la géothermie nous protégeront de ce réchauffement et de
toutes ses conséquences climatiques. Même la combustion de la biomasse sera bénéfique, puisque le
gaz carbonique rejeté par le brûlage des végétaux est recyclé par ceux-ci lors de leur croissance ;

certes l’énergie nucléaire ne contribue pas à l’effet de serre, mais on sait par ailleurs les craintes
qu’inspirent la sécurité des centrales, le sort des déchets nucléaires et les risques de prolifération des
armes nucléaires ;ler développement systématique de la « houille verte », notamment en ne détruisant
pas les forêts existantes, mais en plantant spécialement des champs et des forêts à des fins
énergétiques, de préférence sur des terres non arables, abandonnées ou en jachère, revitalisera des
régions en voie de désertification.

Pour autant, toutes les énergies renouvelables ne doivent pas être béatement considérées comme ne
présentant aucun risque environnemental : les risques de déforestation dus à un usage abusif du bois,
les atteintes aux paysages causées par certaines éoliennes, les inconvénients de certains barrages
hydroélectriques, l’esthétique parfois contestable de certaines installations solaires, les critiques
adressées aux biocarburants de 1re génération (accusés de concurrencer les produits alimentaires) sont
autant de freins possibles au développement de certaines énergies renouvelables.

Le principal reproche qui a souvent été fait aux énergies renouvelables serait – sauf pour la géothermie
– d’être consommatrices, voire dévoreuses d’espace. Le déploiement de panneaux solaires, de batteries
d’éoliennes, de cultures énergétiques nécessite certes de la place.

Néanmoins les chiffres les plus fantaisistes ont circulé. Un article paru dans un grand quotidien
estimait que 80 % du territoire de l’Inde serait bientôt recouvert de panneaux solaires si l’on voulait
fournir toute l’électricité de ce pays à partir du soleil : en réalité, tous calculs faits, 1 à 2 % du territoire
indien suffirait au milieu du xxie siècle.

Un second handicap est le caractère intermittent de certaines énergies renouvelables, notamment le


soleil ou le vent, qui ne se transportent pas et ne se stockent pas.

Le caractère dispersé des sources d’énergie renouvelable peut être un avantage : c’est le cas pour le
chauffage, qu’on utilise sur place, ou pour l’électricité dans toutes les régions du monde qui ne sont
pas encore desservies par un réseau de distribution électrique. En revanche, dans les pays pourvus d’un
réseau, le raccordement de multiples installations dispersées (éoliennes, panneaux solaires, etc.) peut
créer une instabilité du réseau.

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Le dernier handicap à surmonter par les énergies renouvelables sera, bien sûr, leur coût, même si les
choses sont rapidement évolutives dans ce domaine, comme ce livre le montrera : certes l’électricité
d’origine solaire reste encore chère ; en revanche, l’énergie-bois, l’énergie des déchets, la chaleur
solaire, le vent, l’énergie hydraulique, voire certains biocarburants atteignent d’ores et déjà les seuils
de la compétitivité. Cette dernière est évidemment renforcée lors des hausses des prix du pétrole brut,
comme on en a connu en ce début de xxie siècle. En tout état de cause, beaucoup de pays ont utilisé de
nombreux outils pour alléger les coûts : subventions, incitations fiscales, tarifs d’achat préférentiels de
l’électricité d’origine renouvelable, obligation pour les producteurs d’électricité de respecter des
quotas d’électricité « verte ». Il faut, en outre, souligner que certaines énergies, qui sont encore un peu
plus chères que l’énergie fossile, notamment l’électricité solaire, sont dès maintenant compétitives
pour alimenter les régions qui ne seront pas, avant longtemps, desservies par un réseau de distribution
électrique (.En dépit de tous les aléas qui peuvent exister en matière de prévisions démographiques,
économiques, technologiques ou écologiques, plusieurs scénarios estiment que la part des énergies
renouvelables dans la production mondiale d’énergie pourrait atteindre 23 % en 2020 (au lieu des 13-
14 % actuels). Des scénarios optimistes prévoient que cette part pourrait atteindre 50 % au milieu du
xxie siècle : mais qui peut vraiment prévoir à cette échéance ?.

 Pour atteindre ces objectifs, il faut noter diverses initiatives récentes :

une directive européenne de 2009 impose aux 27 pays de l’Union européenne que 20 % de l’énergie
produite soit d’origine renouvelable en 2020 (avec des chiffres différenciés pour chaque pays : 23 %
pour la France) ;

une agence internationale de l’énergie (irenairenaa été créée en janvier 2009 réunissant, lors de sa
création, 75 pays.

 Définition de l’énergie renouvelable


Les énergies renouvelables (ou EnR) désignent un ensemble de
moyens de produire de l’énergie à partir de sources ou de ressources
théoriquement illimitées, disponibles sans limite de temps ou
reconstituables plus rapidement qu’elles ne sont consommées.
On parle généralement des énergies renouvelables par opposition
aux énergies tirées des combustibles fossiles dont les stocks sont limités
et non renouvelables à l’échelle du temps humain : charbon, pétrole,
gaz naturel… Au contraire, les énergies renouvelables sont produites à
partir de sources comme les rayons du soleil, ou le vent, qui sont
théoriquement illimitées à l’échelle humaine.
Les énergies renouvelables sont également parfois désignées par
les
termes « énergies vertes » ou « énergies propres », par abus de
langage. En effet, si les énergies renouvelables ont bien souvent des
avantages écologiques, elles ne sont pas pour autant « vertes » ou «
propres » dans le sens où elles ont aussi des conséquences
environnementales importantes.

 les sources d'énergie renouvelable

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I. ÉNERGIE SOLAIRE

L’énergie solaire est la plus abondante de toutes les ressources énergétiques et peut même être exploitée
par temps nuageux. La vitesse à laquelle l’énergie solaire est interceptée par la Terre est environ 10 000
fois supérieure à la vitesse à laquelle l’humanité consomme de l’énergie.

Les technologies de l’énergie solaire permettent de produire de la chaleur, du froid, de l’éclairage naturel,
de l’électricité et des carburants pour une multitude d’applications. Elles consistent à convertir la lumière du
soleil en énergie électrique, soit au moyen de panneaux photovoltaïques, soit au moyen de miroirs qui
concentrent le rayonnement solaire.

Même si tous les pays ne disposent pas de la même


quantité d’énergie solaire, l’énergie solaire directe
peut contribuer de manière importante au bouquet
énergétique de chaque pays.

Ce type d’énergie renouvelable est issu directement


de la captation du rayonnement solaire. On utilise
des capteurs spécifiques afin d’absorber l’énergie
des rayons du solaire et de la rediffuser selon deux
principaux modes de fonctionnement :

 Solaire photovoltaïque (panneaux solaires


photovoltaïques) : l’énergie solaire est
captée en vue de la production d’électricité.
 Solaire thermique (chauffe-eau solaire, chauffage, panneaux solaires thermiques) : la chaleur des
rayons solaire est captée est rediffusée, et plus rarement sert à produire de l’électricité.

II. ÉNERGIE ÉOLIENNE

Pour l’énergie éolienne, le principe consiste à exploiter l’énergie cinétique de l’air en mouvement à l’aide de
grandes éoliennes situées sur des zones terrestres (éoliennes terrestres), ou bien en mer ou en eau douce
(éoliennes en mer). Si l’énergie éolienne est utilisée depuis des millénaires, les technologies terrestres et
en mer ont évolué au cours de ces quelques
dernières années de manière à maximiser
l’électricité produite, grâce à des turbines plus
hautes et à des rotors de plus grand diamètre.

Bien que la vitesse moyenne du vent varie


considérablement d’un endroit à l’autre, le
potentiel technique de l’énergie éolienne dans le
monde est supérieur à la production mondiale
d’électricité et, dans la plupart des régions, le
potentiel est amplement suffisant pour permettre
un déploiement important de l’énergie éolienne.

De nombreuses régions du monde connaissent


des vents forts, mais les meilleurs endroits pour
produire de l’énergie éolienne sont parfois
éloignés. L’énergie éolienne en mer présente un
immense potentiel.

ÉNERGIE GÉOTHERMIQUE

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L’énergie géothermique consiste à utiliser l’énergie thermique accessible provenant de l’intérieur de la
Terre. La chaleur est extraite de réservoirs géothermiques par l’intermédiaire de puits ou par d’autres
moyens.

Les réservoirs qui sont naturellement suffisamment chauds et perméables sont appelés « réservoirs
hydrothermaux », tandis que ceux qui sont suffisamment chauds, mais que l’on améliore par stimulation
hydraulique, sont appelés « systèmes géothermiques améliorés ».

Une fois à la surface, des fluides à différentes températures peuvent être utilisés pour produire de
l’électricité. Les technologies de production d’électricité à partir de réservoirs hydrothermaux sont matures
et fiables : elles fonctionnent depuis plus d’une centaine d’années.

III. HYDROÉLECTRICITÉ

Pour l’hydroélectricité, l’énergie exploitée est celle de l’eau qui se déplace des hauteurs vers les basses
altitudes. La production peut s’effectuer à partir de réservoirs et de rivières. Les centrales hydroélectriques
à réservoir utilisent l’eau stockée dans un réservoir, tandis que les centrales hydroélectriques au fil de l’eau
exploitent l’énergie du débit disponible de la rivière.

Les réservoirs des centrales hydroélectriques ont


souvent plusieurs usages : ils fournissent de l’eau
potable et de l’eau pour l’irrigation ; ils permettent de
contrôler les inondations et les sécheresses, ainsi que
d’assurer des services de navigation et un
approvisionnement en énergie.

Actuellement, l’hydroélectricité constitue la plus grande


source d’énergie renouvelable dans le secteur de
l’électricité. Elle dépend de régimes pluviométriques
généralement stables et peut pâtir des sécheresses
dues à l’évolution du climat ou des changements dans
les écosystèmes qui influent sur les régimes
pluviométriques.

Les infrastructures nécessaires à la production


d’hydroélectricité peuvent également avoir des effets
néfastes sur les écosystèmes. De ce fait, nombreux sont ceux qui considèrent que les centrales
hydroélectriques de petite taille constituent une solution plus respectueuse de l’environnement et
particulièrement adaptée aux populations établies dans des endroits reculés.

IV. ÉNERGIE MARINE

L’énergie marine est issue de technologies qui utilisent l’énergie cinétique et thermique de l’eau de mer (les
vagues ou les courants, par exemple) pour produire de l’électricité ou de la chaleur.

La mise au point des systèmes d’énergie marine n’en est encore qu’à ses débuts et un certain nombre de
prototypes de dispositifs pour la houle et les courants de marée sont à l’étude.
Le potentiel théorique de l’énergie marine est largement supérieur aux besoins
actuels en énergie de l’humanité.

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 Comment stocker les énergies renouvelables ?

Quelle que soit la source d’énergie renouvelable qui vous intéresse, vous aurez
probablement besoin de stocker l’énergie produite. C’est possible grâce à des batteries.
Plusieurs types de batteries existent : au plomb ou au lithium, pour les plus connues. C’est
grâce à ces batteries que vous pourrez disposer d’énergie même lorsque le soleil ne brille
pas ou que le vent ne souffle pas. C’est aussi grâce à ces batteries que vous
pourrez revendre l’énergie transformée en électricité à EDF ou à votre entreprise locale de
distribution.

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 Génératrices utilisées dans les systémes à énergie
renouvelable
A l’intérieur de la nacelle, il transforme le couple mécanique en courant électrique. Il
transforme l’énergie cinétique du vent disponible sur le moyeu tournant en énergie
électrique grâce à un générateur électromécanique. Il adapte également le courant
électrique fourni par le générateur aux normes du réseau (couplage direct et couplage
indirect).

a) l’éolienne à couplage direct : un multiplicateur de vitesse est installé entre l’arbre de


l’hélice et l’arbre du générateur (générateur asynchrone). Cette technologie oblige
l’hélice à fonctionner à vitesse constante. Les multiplicateurs sont des pièces
mécaniques très fragiles. Un multiplicateur est une boîte de vitesse.
b) l’éolienne à couplage indirect : sur ce type de machines, le moyeu de l’hélice est relié
directement au rotor du générateur électromécanique, généralement un alternateur
synchrone. Pour pouvoir assurer le couplage avec le réseau de distribution, il faut
installer un convertisseur de fréquence (redresseur et onduleur) qui transforme le
courant à fréquence et tension variables en un courant adapté à la fréquence et à la
tension du réseau : on dit alors que le couplage est indirect. C’est le constructeur
allemand Enercon qui le premier a introduit sur le marché ce type d’éolienne (modèle
E33).

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 Les pays qui utilisent le plus d’energie
renouvlable

 L’Islande
L’Islande a fait le choix
de miser sur les
énergies
renouvelables depuis
longtemps. Il s’agit du
premier pays au
monde en termes
d’énergie produite par
habitant, avec 100 %
de l’énergie
consommée dans le
pays qui est verte et
renouvelable. 

Ce pays utilise
différents modes de production d’énergie renouvelable : éolien, solaire, hydraulique et
géothermie. L’énergie hydroélectrique représente notamment près de 75 % de la
production. Vient ensuite la géothermie, assez utilisée. En effet, dans les années
1970, à l’époque des différents chocs pétroliers, l’Islande a décidé de recourir
massivement à la géothermie. 

 Qu’est-ce que la géothermie ? Il s’agit du fait de convertir la chaleur du sol en


énergie, via l’installation de puits de forage. Ces sources d’énergies sont surtout
mises en place sur des volcans, dégageant une quantité importante de chaleur.
Toutefois, il existe des doutes sur le côté vraiment vert de cette énergie. 

En effet, elle a moins d’impact sur la planète que du pétrole ou du charbon, mais elle
en a tout de même un : forer les sols fait remonter du soufre à la surface et émet du
carbone. 

La production importante d’énergies renouvelables en Islande est donc à prendre


avec des pincettes. Il ne faut également pas oublier de prendre en compte que ce
pays émet beaucoup de CO2 au global. Le tourisme, en plein essor, ainsi que la
présence d’industries lourdes dans le pays en sont en partie responsables. 

 Le Costa Rica

Depuis mai 2019, le pays produit presque 100% de son électricité à partir
d’énergies renouvelables. Pour atteindre ces objectifs ambitieux, le Costa Rica

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mise sur l’énergie hydraulique, le solaire, l’éolien et sur l’énergie géothermique,
grâce à sa soixantaine de volcans. 

Les points d’eau fournissent 75 % de la production électrique totale du pays. Ensuite,


l’éolien représente 15 % du mix énergétique. Enfin, 10 % sont fournis par les
centrales thermiques. 

Le président Carlos Alvarado a des objectifs ambitieux pour le pays. En effet, il


souhaite atteindre la neutralité carbone le plus rapidement possible. Mais les
challenges à relever pour réussir sont encore importants. Le parc automobile a
notamment été multiplié par 8 depuis la fin des années 1980. 

 La Norvège
Fin 2015, les énergies renouvelables représentaient près de 70 % de la
consommation totale d’électricité de la Norvège. En 2020, cette part était de 95 %,
notamment grâce à une utilisation importante de l’énergie hydraulique. Il s’agit de l’un
des meilleurs ratios d’Europe.

Toutefois, il faut nuancer ce bilan très positif. En effet, la consommation d’électricité


en Norvège est bien supérieure à la moyenne mondiale, notamment en raison de son
très faible prix. 

On note également que le pétrole et le gaz naturel représentent encore plus de la


moitié de la valeur totale des exportations du pays. La Norvège est notamment un
des pays qui extrait le plus de pétrole par habitant dans le monde. Il existe donc
encore une marge de progression pour réduire l’impact de ce pays sur
l’environnement.

 L’Écosse
En 2020, l’Écosse a réussi à subvenir à 97 % de ses besoins en électricité par les
énergies renouvelables. Environ 80 % de cette énergie provient de l’éolien et de l’énergie
marine.

Le pays continue à beaucoup investir pour développer cette technologie. En 2018, il a


notamment installé un des premiers parcs éoliens flottants. 

Pour miser sur les énergies renouvelables, le pays dispose d’avantages non
négligeables. En effet, l’Écosse possède de nombreuses côtes maritimes. Ceci l’aide
notamment à être un des leaders européens de l’hydrolien. Elle est également
exposée à des vents très réguliers.

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 CONCLUSION
À la fin de nos recherches aujourd'hui, nous avons présenté dans cette recherche une définition
détaillée de l'énergie et des sources d'énergie, qui sont des « sources renouvelables » respectueuses
de l'environnement et autres.

Et l'énergie dans l'environnement est l'une des choses très importantes qui sont indispensables pour

tout être humain, que cette énergie soit renouvelable , elle est absolument indispensable dans la vie,
donc vous constatez qu'une personne, par exemple, ne peut pas se passer énergie électrique et
autres sources d'énergie nécessaires à la vie humaine.

References

 planete energies
 cairn.info
 future
 spectra
 espace-aubade

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