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UNIVERSITE DE KINSHASA - LABORATOIRES DE GENIE CIVIL 1

RAPPORT DE LABORATOIRE 2010/80


Pour le compte de DEVIMCO
Chantier : Le Prestige, croisement des Avenues LOKELE et
TOMBALBAYE, C/GOMBE

Juillet 2010
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INTRODUCTION

Le laboratoire de mécanique des sols de la Faculté Polytechnique de l’Université


de Kinshasa a été sollicité par l’entreprise DEVIMCO en vue d’une étude de
reconnaissance des sols de la parcelle située sur le croisement des avenues LOKELE
et TOMBALBAYE dans la commune de GOMBE.

Pour ce faire, nous avons procédé à :

− un essai dit de pénétration dynamique qui a consisté à mesurer les résistances


des couches de sols traversées au moyen du pénétromètre dynamique ;
− un prélèvement d’échantillons de sols remaniés à la tarière manuelle pour les
essais d’identification des sols : teneur en eau naturelle, analyse granulométrique
et limites d’Atterberg ;

Le présent rapport rend compte des résultats obtenus après essais suivant le
schéma ci-après :

I. Emplacement du chantier et points de sondage


II. Sondage à la tarière et identification visuelle
III. Teneur en eau naturelle
IV. Analyse granulométrique
V. Limites d’Atterberg
VI. Essai de pénétration au pénétromètre dynamique
VII. Conclusion
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I. EMPLACEMENT DU CHANTIER ET POINTS DE SONDAGE

Le chantier dont il est question dans le présent rapport est situé sur le croisement des
avenues LOKELE et TOMBALBAYE dans la commune de GOMBE.
Nous présentons à la figure 1 les points de sondage concernés par les essais.

Figure n°1 : Emplacements des points de sondage


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II. SONDAGE A LA TARIERE ET IDENTIFICATION VISUELLE

Nous avons recouru à la tarière afin de déterminer la stratification du sol au


niveau du point de sondage 1.

Nous avons trouvé la stratification présentée à la figure 2.


0,00 m

Sol végétal argileux

0,80 m

Argile grise jaune

1,40 m

Argile jaune

3,10 m

Argile bariolée

5,00 m

Figure n°2 : Stratification du sol au point de sondage 1

Commentaires :

Nous n’avons pas rencontré de nappe phréatique en sondant à la tarière manuelle


jusqu’à 5,00 m de profondeur.
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III. TENEUR EN EAU NATURELLE

Soient : - Ph, le poids d’un échantillon de sol à l’état naturel,


- Ps, le poids de cet échantillon de sol après passage à l’étuve à 105°C
pendant 24 heures.

La teneur en eau naturelle est donnée par l’expression :

Ph − Ps
W (%) = x 100
Ps

Les mesures faites au cours de l’essai sont reprises dans le tableau n°1.

Tableau n°1 : Mesure de la teneur en eau naturelle au point de sondage 1

Sondage 1 Sondage 1 Sondage 1 Sondage 1 Sondage 1


POINTS DE PRELEVEMENT
Echantillon 1 Echantillon 2 Echantillon 3 Echantillon 4 Echantillon 5
Profondeur (m) 1,00 2,00 3,00 4,00 5,00
Poids humide + Tare (g) 84,03 86,58 89,06 84,12 88,8
Poids sec + Tare (g) 72,42 74,46 75,74 70,08 73,72
Tare (g) 13,44 14,17 14,67 13,84 15,12
Poids d’eau Ph – Ps (g) 11,61 12,12 13,32 14,04 15,08
Poids net sec (g) 58,98 60,29 61,07 56,24 58,6
Teneur en eau w (%) 19,7 20,1 21,8 25,0 25,7
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IV. ANALYSE GRANULOMETRIQUE

IV.1. Principe de l’essai

Le but de cet essai est d’étudier la taille des particules et de mesurer l’importance
relative de chacune des fractions de sols de dimensions bien définies.
Pour l’analyse granulométrique nous distinguons deux étapes :
Le tamisage qui est utilisé pour les grains de sol de diamètre supérieur à 80µ et la
sédimentométrie pour les grains de sol de diamètre inférieur à 80µ.

IV.2. Analyse granulométrique par tamisage

Cette analyse a été effectuée sur 5 échantillons de sols remaniés prélevés au point de
sondage 1 à différentes profondeurs.
Nous présentons dans le tableau n°2 les résultats de cette analyse granulométrique.
Les courbes granulométriques sont reprises à l’annexe 1.

Tableau n°2 : analyse granulométrique au point de sondage 1

Ouverture
Tamis SONDAGE 1 SONDAGE 1 SONDAGE 1 SONDAGE 1 SONDAGE 1
(mm) Profondeur: 1,0 m Profondeur: 2,0 m Profondeur: 3,0 m Profondeur: 4,0 m Profondeur: 5,0 m
Refus Refus Refus Refus Refus
Passants Passants Passants Passants Passants
cumulés cumulés cumulés cumulés cumulés
(%) (%) (%) (%) (%)
(%) (%) (%) (%) (%)
3,15 0,0 100,0
2,5 100,0 0,0 100,0 0,0 100,0 0,0 100,0 0,1 99,9
1 0,0 100,0 0,0 100,0 0,1 99,9 0,0 100,0 0,3 99,7
0,8 0,0 100,0 0,1 99,9 0,1 99,9 0,1 99,9 0,3 99,7
0,5 0,1 99,9 0,1 99,9 0,3 99,7 0,1 99,9 0,5 99,5
0,4 0,2 99,8 0,2 99,8 0,5 99,5 0,2 99,8 0,5 99,5
0,315 0,3 99,7 0,5 99,5 0,6 99,4 0,4 99,6 0,7 99,3
0,25 0,5 99,5 1,2 98,8 1,1 98,9 0,8 99,2 1,0 99,0
0,2 1,3 98,7 2,7 97,3 2,7 97,3 1,6 98,4 1,7 98,3
0,16 3,3 96,7 13,6 86,4 14,1 85,9 7,0 93,0 6,8 93,2
0,08 18,3 81,7 35,0 65,0 30,6 69,4 23,4 76,6 21,4 78,6

IV.3. Résultats

- le diamètre maximal des grains dmax est de 2,5 mm.


- le pourcentage des fines (passant au travers du tamis de 0,080 mm) est
supérieur à 65 %.
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V. LIMITES D’ATTERBERG

V.1. Principe

Un mélange de sol et d’eau peut se présenter sous la forme soit d’une boue
liquide, soit d’une pâte plastique, soit d’un sol humide, soit d’un sol à l’aspect sec.
On appellera limite de liquidité (L.L), la teneur en eau à laquelle le sol passe de l’état
liquide à l’état plastique ; limite de plasticité (L.P), la teneur en eau à laquelle le sol
passe de l’état plastique à l’état solide avec retrait. L’indice de plasticité (I.P) est la
différence entre la limite de liquidité et la limite de plasticité.

I.P. = L.L – L.P

La détermination des limites d’Atterberg du sol a consisté à définir les limites de


liquidité et de plasticité ainsi que l’étendue du domaine plastique.

V.2. Résultats

Les résultats obtenus après essais réalisés sur 3 échantillons de sol remaniés prélevés
au point de sondage 1 à différentes profondeurs, sont repris dans le tableau n°3.
Les détails des mesures faites au cours de l’essai sont consignés dans les tableaux et
graphiques de l’annexe 2.

Tableau n°3 : Limites d’Atterberg au point de sondage 1

Sondage 1 Sondage 1 Sondage 1


POINTS DE PRELEVEMENT
Echantillon 1 Echantillon 2 Echantillon 3
Profondeur (m) 1,00 3,00 5,00
Limite de Liquidité (%) 35,60 39,80 40,90
Limite de plasticité (%) 24,90 25,85 27,55
Indice de plasticité 10,70 13,95 13,35

V.3.Commentaires

Nous avons trouvé que :

− les limites de liquidité sont toutes supérieures à 35%.


− les indices de plasticité sont tous mesurables et supérieurs à 10%
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VI. ESSAI DE PENETRATION AU PENETROMETRE DYNAMIQUE

VI.1. Principe de l’essai :

L’essai au pénétromètre dynamique consiste à enfoncer dans le sol par battage à l’aide
d’un mouton un tube de diamètre variant entre 20 et 60 mm, muni d’une pointe. Ce tube
joue le rôle d’un micropieu et possède un dispositif ayant pour but d’éliminer autant que
faire ce peut le frottement latéral.
Dans ce cas, on mesure le nombre de coups de mouton nécessaires pour enfoncer la
pointe d’une certaine profondeur.

VI.2. Matériel utilisé :

Pour réaliser ces essais, nous avons utilisé un pénétromètre dynamique lourd, ayant les
caractéristiques ci-après :

• poids du mouton : 64 daN


• poids d’une tige : 6 daN
• hauteur de chute : 75 cm
• longueur d’une tige : 1,00 m
• section de pointe : 19,63 cm²
• angle du cône : 90°

VI.3. Déroulement des essais :

4 essais au pénétromètre dynamique léger ont été effectués sur le site. Le fonçage à
chaque sondage s’est déroulé en comptant le nombre de coup pour 20 cm
d’enfoncement (N/20 cm), pour une pénétration maximale de 15,00 m pour des sols ne
présentant pas de refus. Il est à noter que le refus est obtenu pour un nombre de coups
 50/20 cm d’enfoncement.

VI.4. Résultats des essais :

Les résultats des essais obtenus sont consignés dans les tableaux 4a à 4d, tableaux qui
reprennent la résistance dynamique obtenue à chaque profondeur.
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VI.5. Interprétation des résultats d’essais :

Les résultats obtenus ont été interprétés en utilisant la formule des Hollandais. Cette
formule permet de calculer la résistance dynamique de pointe q d :

M 2H 1 1
qd = N x x
A M + m + Pz e

avec:

M = poids du mouton en daN


H = sa hauteur de chute, en cm
Pz = poids des tiges à la profondeur z en daN
A = section de la pointe en cm²
e = enfoncement en cm
m = poids de l’enclume et du guide des tiges en daN
qd = résistance dynamique de pointe en daN/cm²

Les résultats obtenus avec la formule des Hollandais sont donnés dans les tableaux 4a
à 4d.

Les courbes de résistance dynamique en fonction de la profondeur sont présentées en


annexe 3.
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a) Sondage 1 :

Profondeur Sondage n°1 Tableau n°4a : Résistances en différentes


(m) Rd. (daN/cm²) adm(daN/cm²)
profondeurs du sondage 1
0,0 0 0,00
0,2 67,1 4,47
0,4 111,8 7,45
0,6 89,5 5,97
0,8 33,6 2,24
1 44,8 2,99 Commentaires :
1,2 44,8 2,99
1,4 55,9 3,73
1,6 44,8 2,99 − Entre 0,00 m et 7,60 m, la contrainte
1,8 44,8 2,99 admissible varie de 2,24 daN/cm² à 38,00
2 44,8 2,99 daN/cm².
2,2 44,8 2,99
2,4 44,8 2,99 − Le refus est atteint à 7,80 m
2,6 33,6 2,24
2,8 33,6 2,24
3 44,8 2,99
3,2 44,8 2,99
3,4 55,9 3,73
3,6 55,9 3,73
3,8 44,8 2,99
4 44,8 2,99
4,2 55,9 3,73
4,4 67,1 4,47
4,6 67,1 4,47
4,8 55,9 3,73
5 67,1 4,47
5,2 55,9 3,73
5,4 44,8 2,99
5,6 33,6 2,24
5,8 67,1 4,47
6 134,2 8,95
6,2 145,3 9,69
6,4 89,5 5,97
6,6 100,6 6,71
6,8 78,3 5,22
7 89,5 5,97
7,2 268,3 17,89
7,4 391,2 26,08
7,6 570 38,00
7,8 Refus Refus
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b) Sondage 2 :

Profondeur Sondage n°2 Tableau n°4b : Résistances en différentes


(m) Rd. (daN/cm²) adm(daN/cm²)
profondeurs du sondage 2
0,0 0 0,00
0,2 67,1 4,47
0,4 78,3 5,22
0,6 67,1 4,47
0,8 44,8 2,99
1 55,9 3,73 Commentaires :
1,2 55,9 3,73
1,4 44,8 2,99
1,6 44,8 2,99 − Entre 0,00 m et 8,20 m, la contrainte
1,8 44,8 2,99 admissible varie de 2,24 daN/cm² à 37,25
2 33,6 2,24 daN/cm².
2,2 55,9 3,73
2,4 44,8 2,99 − Le refus est atteint à 8,40 m
2,6 44,8 2,99
2,8 44,8 2,99
3 44,8 2,99
3,2 55,9 3,73
3,4 55,9 3,73
3,6 55,9 3,73
3,8 55,9 3,73
4 67,1 4,47
4,2 67,1 4,47
4,4 67,1 4,47
4,6 55,9 3,73
4,8 55,9 3,73
5 55,9 3,73
5,2 55,9 3,73
5,4 33,6 2,24
5,6 44,8 2,99
5,8 33,6 2,24
6 44,8 2,99
6,2 78,3 5,22
6,4 67,1 4,47
6,6 55,9 3,73
6,8 67,1 4,47
7 55,9 3,73
7,2 111,8 7,45
7,4 67,1 4,47
7,6 100,6 6,71
7,8 134,2 8,95
8 301,8 20,12
8,2 558,8 37,25
8,4 Refus Refus
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c) Sondage 3 :

Profondeur Sondage n°3 Tableau n°4c : Résistances en différentes


(m) Rd. (daN/cm²) adm(daN/cm²)
profondeurs du sondage 3
0,0 0 0,00
0,2 89,5 5,97
0,4 190 12,67
0,6 89,5 5,97
0,8 44,8 2,99
1 33,6 2,24 Commentaires :
1,2 44,8 2,99
1,4 44,8 2,99
1,6 44,8 2,99 − Entre 0,00 m et 8,20 m, la contrainte
1,8 44,8 2,99 admissible varie de 2,24 daN/cm² à 37,25
2 44,8 2,99 daN/cm².
2,2 44,8 2,99
2,4 67,1 4,47 − Le refus est atteint à 8,40 m
2,6 55,9 3,73
2,8 55,9 3,73
3 55,9 3,73
3,2 55,9 3,73
3,4 67,1 4,47
3,6 55,9 3,73
3,8 44,8 2,99
4 55,9 3,73
4,2 44,8 2,99
4,4 67,1 4,47
4,6 55,9 3,73
4,8 44,8 2,99
5 33,6 2,24
5,2 33,6 2,24
5,4 44,8 2,99
5,6 44,8 2,99
5,8 67,1 4,47
6 89,5 5,97
6,2 89,5 5,97
6,4 89,5 5,97
6,6 67,1 4,47
6,8 67,1 4,47
7 89,5 5,97
7,2 78,3 5,22
7,4 123 8,20
7,6 111,8 7,45
7,8 145,3 9,69
8 257,1 17,14
8,2 558,8 37,25
8,4 Refus Refus
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d) Sondage 4 :

Profondeur Sondage n°4 Tableau n°4d : Résistances en différentes


(m) Rd. (daN/cm²) adm(daN/cm²)
profondeurs du sondage 4
0,0 0 0,00
0,2 111,8 7,45
0,4 78,3 5,22
0,6 78,3 5,22
0,8 55,9 3,73
1 55,9 3,73 Commentaires :
1,2 44,8 2,99
1,4 44,8 2,99
1,6 55,9 3,73 − Entre 0,00 m et 8,40 m, la contrainte
1,8 33,6 2,24 admissible varie de 2,24 daN/cm² à 37,25
2 44,8 2,99 daN/cm².
2,2 44,8 2,99
2,4 44,8 2,99 − Le refus est atteint à 8,60 m
2,6 44,8 2,99
2,8 33,6 2,24
3 44,8 2,99
3,2 44,8 2,99
3,4 44,8 2,99
3,6 55,9 3,73
3,8 44,8 2,99
4 44,8 2,99
4,2 55,9 3,73
4,4 55,9 3,73
4,6 67,1 4,47
4,8 44,8 2,99
5 55,9 3,73
5,2 55,9 3,73
5,4 55,9 3,73
5,6 55,9 3,73
5,8 55,9 3,73
6 78,3 5,22
6,2 100,6 6,71
6,4 89,5 5,97
6,6 89,5 5,97
6,8 67,1 4,47
7 100,6 6,71
7,2 100,6 6,71
7,4 111,8 7,45
7,6 111,8 7,45
7,8 134,2 8,95
8 257,1 17,14
8,2 346,5 23,10
8,4 558,8 37,25
8,6 Refus Refus
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CONCLUSION :

Au vu des résultats des différents essais réalisés, nous relevons ce qui suit :

1. nous ne rencontrons pas de nappe phréatique en sondant à la tarière jusqu’à


5,00 m (*) de profondeur ;
2. le sol en place est agileux entre 0,80 m (*) et 5,00 m (*) de profondeur ;
3. pour les calculs,
– pour des fondations devant être réalisées entre 0,80 m et 6,00 m de
profondeur, la contrainte admissible à considérer ne devra pas dépasser
3,0 daN/cm²,
– pour des fondations devant être réalisées après 6,00 m de profondeur, la
contrainte admissible à considérer pourra être prise égale à 3,7 daN/cm².
.

Fait à Kinshasa, le 09/07/2010

Le Chef du Département de Génie Civil

Prof. R. TOZIN

(*)

(*)
Ces profondeurs sont comptées par rapport à la surface du sol au niveau du sondage 1.
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ANNEXES
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ANNEXE 1
Analyse granulométrique
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ANNEXE 2
Limites d’Atterberg
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ANNEXE 3
Pénétromètre dynamique

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