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Ce mercredi 23 novembre 2022 nos inspections Au PIF aéroport de Libreville ce déroulé comme

suite :

- Remise des agréments dans les établissements autours du PIF,


- Remise des CSS aux usagés
- Sensibilisation des usages sur les conditions des denrées alimentaire et des
opérateurs économiques, dont les agréments son expiré qui ne répondait pas aux
normes.

De tous les points abordés nous retenons qu’il existe 3 catégories de Pif ; les maritimes, les
terrestres et les pif aériennes qui ont été à la base de nos inspections avec la visite des
établissements aux alentours.

Pour rappel la mission des Pif c'est d'assuré la police sanitaire et phytosanitaire à l'exportation
et à l'importation.

Lors de l'exportation au sein du Pif certains documents sont à obtenir tel que le certificat
sanitaire et de salubrité qui comporte en son sein des informations clé (noms et quantités de
produits, destination et contacts des usagers).

Pendant la vérification nous devons nous assurer que les aliments sont bien conservés c'est à
dire dans une glacière ou dans un sac isotherme et a bonne température.

Pour les opérateurs économiques qui font dans l’importation ils doivent se faire établir 3 FDI

(Formulaire de demande d’importation) a savoir :

- LTA lettre de transport aérienne ;


- Certificat sanitaire d’origine ;
- CSVI certificat sanitaire et vétérinaire à l’importation.

Nous pouvons retenir que le champ d’influence et d’action du pif aérien est vaste .Les agents
du Pif ne font pas seulement d’une part dans la délivrance de CSS pour s’assurer de la
conformité des produits à l’export ; ils font aussi d’autre l’inspection des établissements aux
alentours du PIF comme le veut le rôle de base de l’AGASA qui est de prévenir
détecter et gérer les risques liés à la sécurité sanitaire et phytosanitaire.

Au final cette mission fut enrichissante car elle nous a permis d’observer de façon pratique la
rigueur dont fait usage les équipes au quotidien afin de veiller à la bonne conservation des
produits prédisposer à l’exportation. Aussi elle nous a apporté un plus dans la documentation
sur le Pif aérien qui nous sera certainement utile dans nos échanges avec les operateurs
économiques.
témoignant du manque d’informations de nos partenaires sur notre structure. Certains
opérateurs économiques ne savent pas où nous nous situons, comment nous contacter ou
encore ils disent ne pas connaitre L’AGASA.

Aussi le Call Center, dont les missions sont l’émission et la réception des appels, pourrait se
charger du suivi des opérateurs économiques après les opérations d’inspection des agents dans
le but d’accompagner ses derniers dans la régularisation de leurs établissements. Voir projet
de suivi des opérateurs après inspection.

L’inspection n’est pas toujours une opération aisée. Parfois lors de nos missions, il faille
intervenir notre supérieur hiérarchique pour une urgence en cas de litige ou de contestation. A
cela, nous suggérons la mise à disposition d’une flotte de communication au service
halieutique pour pallier à la difficulté de crédit de communication lors des interventions.

Toutefois, nous saluons la bonne volonté des agents qui n’hésitent pas à donner de leur crédit
pour contribuer à l’avancée de la mission.

L’AGASA reste fidèle à ses principes qui sont de prévenir, détecter et gérer les risques liés à
la sécurité sanitaire et phytosanitaire. Malgré les obstacles dont elle est confrontée au
quotidien, elle ne cesse de se surpasser pour assurer ses missions régaliennes au bénéfice des
populations. Notons, également que je ressors enrichie de cette expérience qui, un peu plus,
me permet d’apprécier le travail abattu par nos collègues des services DSH.

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