Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
:
l’argumentation et la
communication en milieu
scolaire
Page 1 sur 18
Propos généraux sur le rôle de la communication et l’argumentation dans la
transmission du savoir à l’école.
Page 2 sur 18
1. La communication en milieu scolaire
Dans leur publication en 2002, Agnès Florin et autres auteurs, expliquent que « La
communication verbale et non verbale à l'École, c'est l'ensemble des échanges oraux, mimo-
gestuels, proxémiques et kinésiques qui se déroulent en classe et hors de la classe dans
l'institution scolaire. »1
Cette définition, bien qu’elle semble réduite, est aussi concise et précise qu’elle ait pu
résumer les différents actes de communication au milieu scolaire. Au premier lieu, elle autant
d’importance à la communication verbale que la communication non verbale, qui parait moins
préoccupante quand on évoque le terme « communication ». La communication verbale est
alors l’ensembles des actes communicatifs basés sur la parole, dont l’écrit et l’oral du même
degré d’importance. La communication écrite se manifeste dans tout ce qui est écrit au tableau
scolaire tel les cours, les explications, les exemples, les exercices ou autres instructions
magistrales y compris les propositions de devoirs ainsi que les évaluations formatives ou
sommatives. Les traces écrites des apprenants que ceux-ci portent sur leurs cahiers, feuilles,
ou sur le tableau font aussi un type de communication écrite. La note même donnée par
l’enseignant pour évaluer les acquisitions de leurs écoliers est aussi considérée comme forme
de communication écrite au milieu scolaire. Bref, tout ce qui est écrit au cours du processus
d’apprentissage peut entrer dans le domaine de communication écrite. Et ces écrits sont
souvent justifiés par des arguments : les réponses par des justifications concrètes, les notes par
des remarques sur les fautes commises, les règles d’apprentissage que doivent retenir les
écoliers sont justifiées par des exemples illustrant, et les savoirs de type scientifique sont
argumentés par l’exécution d’expériences nécessaires…
La communication verbale est mieux constatée au milieu scolaire dans le domaine de
l’oral ; les échanges verbaux qu’entretiennent les enseignants avec leurs élèves sont souvent
l’exemple le plus pertinent de l’apparition de ce type de communication. Les meilleures
leçons sont souvent celles qui passent de l’oral vers l’écrit ou vers une exécution plus
concrète. L’emploi de l’oral est souvent exigé non seulement par la nature des leçons mais
aussi par le fait que l’enseignant a recours au début de ses cours à une motivation qui
accrochera l’attention des enfants tout au long de la présentation de ses cours.
Page 3 sur 18
Cette motivation, que l’on évoquera plus tard dans la présente approche, est un outil
pertinent qui permet à l’enseignant de capter l’attention et la concentration de ses étudiants.
C’est une façon pour les convaincre, avec des arguments explicites que implicites, de suivre
avec intérêt le contenu du cours. Et au large de la présentation de la leçon, les apprenants sont
souvent tenus à faire des feedbacks en preuve de leur compréhension au fur et mesure de la
passation du cours. Ce processus de questions-réponses-explications fait de l’enseignement
apprentissage un champ fertile d’appliquer les principes de la communication verbale dans le
sens large du terme.
Il développe chez l’enseignant pratiquant un esprit de clarté et d’orateur face à son
audience qui est ses apprenants.
Ceux-ci aussi, qui reçoivent le savoir avec des degrés différents d’assimilation, interprètent ce
qu’on leur présente. Ils développent le sens de questionnement et de cogitation qui favorise
l’esprit critique. Qu’ils aient compris ou non, qu’ils cherchent des réponses ou des
explications à leurs questions, ils sont toujours en train de développer des arguments avec
lesquels ils démontrent l’objet de leur interventions en classe.
Page 4 sur 18
élèves permettent de traduire des émotions, des sensations et des émotions diverses : la
surprise, la satisfaction, le doute, la peine…
Les gestes et les mimiques sont alors d’importance élevée au milieu scolaire. Le corps
crispé d’un enseignant traduirait sa colère et son mécontentement envers ses élèves. Les forts
battements du cœur d’un élève lors d’une récitation traduisent sa peur et son état d’embarras
face à la situation de l’échec et la peur d’etre puni. La transpiration chez certains élèves
montrent leur état de remord ou de timidité. Le serrement des poings au visage de ses
étudiants montre la colère le caractère furieux du maitre face aux comportements de ses
élèves…
Reste un autre type de communication non verbale qui, celui de la proxémique, c’est-
à-dire l’occupation du lieu par l’orateur ou par son auditoire dans les situations de
communication scolaire. Ce type de communication est peut remarquable et non maitrisé que
par les enseignants qui savent bien profiter de tous les moyens pour aboutir au cœur avant
d’accéder au cerveau de leur élève. Les plus expérimentés gèrent mieux leur emprise sur le
devant que sur le derrière de la salle de cours. Ils se tiennent de façon à ce que leurs
apprenants puissent suivre au tableau ainsi que rester toujours attachés aux gestes de
l’enseignant. La maitrise de maintenir des postures différentes pour occuper l’espace scolaire
dans une classe fait que l’enseignant ne laisse à son élève aucune autre opportunité qui
pourrait distraire son attention ou occuper sa concentration. Dès son entrée en classe, il prend
soin d’être le mieux positionné possible devant son auditoire : ne pas donner son dos à son
auditoire, ne pas laisser des angles mortes de sa vue de classe, maitriser le déplacement à
travers les rangées, s’approcher et s’éloigner de ses interlocuteur selon les situations qu’il leur
présente…
I. La spécificité des situations de communication en milieu scolaire
L’une des premières spécificités repérables est la dimension du groupe : quels que soient les modes
d’accueil préscolaires utilisés par la famille (garde à la maison, crèche ou jardin d’enfants, halte
d’enfants, assistante maternelle, etc.), l’enfant se trouve inséré dans un groupe relativement large2 au
sein duquel il doit apprendre à trouver sa place ; bien souvent, il n’est en interaction avec l’adulte
qu’au sein du groupe, et - autre spécificité - pour parler d’un thème choisi par l’enseignant, thème
qu’il s’agit de traiter selon des modalités précises. 2
Page 5 sur 18
A partir de cette catégorisation, on peut dire que la communication scolaire se caractérise
par :
1. La dimension du groupe ;
C’est-a-dire que la communication en milieu scolaire est encadré par l’aspect du groupe
où les interlocuteurs sont multiples et de la même tranche d’âge que l’apprenant. Ceci se fait
systématiquement dans des situations de découverte de situation, des actes de langage déjà
conçus et expliqués par l’enseignant, et souvent mémorisés et dramatisés par les écoliers afin
de les réemployer dans des situations semblables à celles de la réalité ou investir leurs
structures, leur lexique et leur vocabulaire dans d’autres situations inventées, sous
l’encadrement de l’enseignant, par les élèves eux-mêmes…
2. La précision de modalité ;
Cette dimension implique que les « templates » ont été déjà « calibrées » pour qu’elles
simulent les situations réelles mais d’une manière préétablie avec des expressions, des
structures et un vocabulaire figé. Cette modalité de s’exprimer demeure naturellement faible
devant les exigences de communication en situations réelles que confrontera l’enfant
ultérieurement d’où l’insuffisance du matériau acquis lors de cette discipline scolaire.
II. les aspects du contexte communicatif à l’école :
A. L’inégalité d’opportunités d’interventions des enfants par rapport aux interventions
magistrales ;
« L’enseignant monopolise une grande partie du temps de parole et contrôle ainsi la
conversation »3. Il se voit « chef d’orchestre » ou « rédacteur en chef », il ne peut rien laisser
au hasard. Son grand souci est plus atteindre son objectif de communication pour accomplir sa
tache que présenter une occasion pour les échanges spontanés de ses apprenants. Et, dans tous
les cas, leur travail en communication demeure de plus en plus encadré. Dans une classe,
toutes la quasi-totalité des interventions des écoliers sont dirigées et encadrées par le maitre.
C’est lui qui organise tout le travail oral. Il suit fermement les interventions de ses élèves. Il
les leur corrige et a toujours la possibilité de leur en refuser certaines qui ne remplissent pas
ses attentes pédagogiques. C’est aussi via sa médiation que se réalisent les différents rapports
communicatifs de ses apprenants entre eux.
Page 6 sur 18
B. La ferme monopolisation directive des conversations ;
L’enseignant dirige fermement la conversation par divers moyens : quantité de discours produit (il
parle plus que tous les enfants réunis), nombreuses questions fermées, vérification de connaissances,
subtile distribution de
la parole, échanges très brefs entre l’enseignant et les élèves ; les échanges entre enfants sont rares, de
courte durée et peu encouragés.4
Ces moyens dont il est contraint le rendent peu souple envers la spontanéité de ses apprenants, ce
qui rend dure sa tache ainsi que celle de ses écoliers. La contrainte temporelle reste la plus restreinte
sachant que la masse horaire maximale de toute la discipline ne dépasse dans les meilleurs cas une
trentaine de minutes répartie sur des taches bien détaillées et bien structurées qu’il doit suivre au
peigne fin.
C. La focalisation magistrale en faveur de l’objectif communicatif ;
« Le rôle cognitif de l’enseignant apparaît comme une fonction de focalisation, indiquant
les aspects qui constituent le gros plan et ceux qui doivent rester à l’arrière-plan. ».5 Cet
aspect contraint la liberté des apprenants ainsi que celle de leur enseignant. Il ne favorise plus
le motif de communication mais plutôt la réponse aux exigences pédagogiques qui ne peuvent
la plupart des cas etre conforme à la liberté de l’expression. Ainsi, celle-ci reste encadrée et
limitée dans l’espace, le temps et les circonstances. Par ce fait, l’enseignant a souvent
tendance à valoriser les réponses et interventions des élèves qui vont dans le même sens que
ses objets didactiques. Cette perspective adoptée par le maitre de la classe élimine
systématiquement nombreuses interventions qui pourraient être considérées comme
encourageantes à la prise de parole spontanée.
Page 7 sur 18
Cette « définition » des pratiques argumentatives à l’école nous guide vers l’extraction
d’un champ principal où s’appliquent les procédés argumentatifs en milieu scolaire. Celui-ci
nous réfère à l’argumentation en tant que « art » qui met en œuvre différentes démarches de
raisonnement afin de résoudre des problématiques pour confirmer ou réfuter un fait
scientifique en but de construire ou de consolider les apprentissages.
L’acte argumentatif est alors décrit ici comme étant un outil primordial pour la
construction de nouvelles connaissances. Il consiste à faire interagir la pensée curieuse des
élèves avec les connaissances ramenées par leur enseignant. C’est par le dialogue et les
questions-réponses que se marque cet acte de l’ensemble de l’action communicative au milieu
scolaire. Mais aussi bien évidemment par le propos des arguments des uns et de l’autre. Le
maitre en tant que « détenteur »de ces connaissances met à disposition à ces élèves de
nouvelles convictions cognitives visant, avant d’être réaffirmées comme connaissances
solides, mobiliser leur sens critique et curieux d’interrogation sur les phénomènes cognitifs.
Par ailleurs, les pratiques argumentatives, sont quelquefois considérées comme buts
d’apprentissages en elles-mêmes, notamment dans le domaine littéraire, philosophique ou
politique où l’argumentation est considérée comme discipline à part entière.
Bien qu’elle soit attachée aux différents domaines scientifiques, l’argumentation demeure
un exercice littéraire, sinon « un art ».
Page 8 sur 18
Dans le domaine de la rédaction notamment, cette discipline répond à des démarches
et des normes de base qui la modalisent. Ainsi différentes méthodes sont mises en œuvre. Ce
tableau6 présente les deux démarches:
Philippe MEIRIEU considère que « la notion de donner du sens et du plaisir dans les
apprentissages est crucial. Il faut que les activités proposées les interrogent et qu’ils puissent
comprendre le pourquoi du comment, ce qui est une source considérable de plaisir »7
6 :Https://Fr.Sawakinome.Com/Articles/Science/Difference-Between-Inductive-And-Deductive-
Reasoning.Html
7 :MEIRIEU Philippe. Des lieux communs aux concepts clés. Pédagogie, le Café pédagogique. Éditions ESF, 2013,
p. 53.
Page 9 sur 18
A travers cette citation, on dédit les bases, la définition et le rôle important que joue la
motivation dans les apprentissages. On peut donc définir la motivation comme un acte qui se
fonde sur le fait de donner du plaisir à l’écolier pour optimiser ses apprentissages. Cet acte
mené par l’enseignant se base sur le fait de faire interroger l’élève sur ce qu’il entreprend
apprendre. Cet acte l’implique comme personne communicative, curieuse et critique. Il met
l’enseignant tout d’abord face à la détermination des causes qui rend de telle ou telle leçon
importante à savoir, de définir les fins de ses savoirs mêmes. Cette démarche, bien accomplie,
fait automatiquement que l’élève soit conscient de ce qu’il à faire et de la manière dont il doit
l’exécuter… être impliquée comme une personne vivante et active dans l’opération
d’apprentissage est la meilleure méthode pour l’immerger dans le bain du savoir…
8 : Etude des effets de la motivation scolaire, de l’estime de soi et du rôle médiateur de la
dépression dans le risque de décrochage scolaire au collège et au lycée, Jérémie Scellos
Page 10 sur 18
1. Pré-motivation :
C’est l’étape qui suit juste le lancement du travail à faire par l’enseignant. Dans cette
l’apprenant est appelé à « redire » la consigne ou le travail d’apprentissage avec ses propres
mots soit d’une façon orale à travers des échanges communicatifs enseignant-élève, soit
seulement en réfléchissant sur la question d’une manière mentale avec ou un brouillon ou en
mode prise de notes. C’est dans cette étape que l’écolier met en mesure ses aptitudes à
résoudre le problème. Ou il se détermine capable ce qui enchaine sur la phase de motivation
proprement dite, ou qu’il se voit incapable et là, on parle de « perte de pédale » et de l’échec
de motivation ce qui fait que l’enseignant devra encore multiplier et varier les efforts qu’il
déploiera pour faire une reprise sur l’étape…
Cette étape est souvent faite sous forme de préparation, de lecture de consigne par
exemple et de demande magistrale sur le contenu du travail à faire par le biais de questions
comme : »alors, qu’est-ce qu’on est demandé de faire ? », « Quelqu’un pour nous expliquer
d’avantage ce qui est demandé dans cet exercice, ce devoir… »
Dans une situation d’apprentissage valable pour les classes maternelles ainsi que les
premières petites classes au primaire, une épreuve9, qui consiste à mettre des quantités égales
d’un liquide dans des verres de différentes formes et dimensions, a été mise en œuvre.
(ANNEXE 1), « Une fois que l’adulte-psychologue a terminé la narration, la conversation est
laissée ouverte, donnant ainsi la possibilité aux enfants de réfléchir à la situation proposée »10
9
: épreuve tirée de : Etude des effets de la motivation scolaire, de l’estime de soi et du rôle
médiateur de la dépression dans le risque de décrochage scolaire au collège et au lycée,
Jérémie Scellos pp :130-135
10 :IBIDEM
Page 11 sur 18
Cette phase qui vient juste après « la reformulation de la consigne » s’inscrit dans
l’évaluation des capacités de l’apprenant et de la mobilisation de ses compétences et
connaissances sur le sujet. Elle est très importante parce que c’est elle qui déterminera si
l’écolier va pouvoir résoudre la situation d’apprentissage ou qu’il aura besoin de revoir ses
pré-acquis ou être soutenu par son enseignant. La négativité de ce test mettra fin, en effet, à
l’exécution de la tâche et demandera de l’enseignant à intervenir pour combler les lacunes au
niveau des ressources et des prérequis. Dans ce cadre de venir en aide aux apprenants, et dans
le but de faciliter l’apprentissage, rien qu’en se basant sur les connaissances déjà acquises de
la part des écoliers, dans cette situation, l’adulte n’emploie pas le terme « la même quantité »
mais le remplace par le terme « la même chose » pour le but d’habituer l’élève à ne mobiliser
que ses connaissances antérieures dans le langage et ne pas lui créer davantage d’autres
difficultés qui arrêteraient le processus de sa motivation à ce stade.
« Piaget employait en effet ces termes (la même chose) lorsqu’il posait aux enfants le
problème de la conservation sous forme d’une question d’égalité ou de non-égalité avec le
verre-témoin, pensant ainsi reprendre les modes d’expression spontanés des enfants. »11
C. La détermination/l’échec :
Dans le cas où l’apprenant avait réussi à bien mobiliser les compétences nécessaires, il
s’identifie personnellement apte de résoudre le problème d’apprentissage et, en effet,
commence à être « motivé » à réaliser le travail.
12 : IBID
2. Motivation en cours :
Page 12 sur 18
La motivation proprement dite se représente par la prise du contrôle de la situation
d’apprentissage et aboutit au niveau de l’élan nécessaire pour effectuer la tache demandée.
Cette procédure de motivation engage l’implication affective ainsi que la mobilisation des
compétences mentales exigées face à la situation d’apprentissage.
3. Post-motivation :
Page 13 sur 18
o Conclusion
Page 14 sur 18
Nous avons donc constaté que le traitement des principaux sujets
que nous avons choisis, nous a ouvert l’esprit sur d’autres angles de
vue des thèmes cités ci-dessus.
Notre approche accordée au livre de Breton ne serait digne d’être
à la hauteur d’un auteur de telle valeur, ni d’une œuvre semblable à la
sienne.
Page 15 sur 18
o Annexes :
I :
Dans cette épreuve les verres suivant ont été utilisés (voir figure 9). L’appellation de
ces verres (à savoir les verres identiques A et A’, et le verre C, plus large et plus bas, et le
verre B, plus mince et plus haut) est reprise de la recherche pilote effectuée au préalable de
cette recherche (Arcidiacono & Perret-Clermont, 2009, 2010).
Page 16 sur 18
II :
Elle précise alors la consigne donnée aux enfants : « on aimerait tous boire la même
chose. Il ne faut pas qu'il y en ait un qui boive plus, il ne faut pas qu'il y ait un qui boive
moins. Alors j'aimerais que vous mettiez du sirop dans ces deux verres. ((A et A')) parce que
s'il y en a un qui boit plus on ne va pas être content. Vous allez peut-être commencer par
mettre du sirop pour mon copain petit ours et mon copain petit singe » Cette consigne est
similaire dans toutes les interactions que nous avons menées, mais n’est pas exprimée
exactement avec ces mêmes mots chaque fois. La girafe présente ainsi aux enfants les verres
identiques (A et A’) de ses amis ours et singe et les invite à commencer par leur donner à
boire en effectuant eux-mêmes les divers transvasements de sirop entre les verres. Le verre C
plus large et moins haut (verre généralement attribué à la girafe) sera introduit une fois que les
enfants se seront mis d’accord sur l’égalité du sirop contenu dans les verres de départ A et A’.
C’est à partir du moment où les enfants ont devant eux les verres A, A’ et C que la
conversation est laissée ouverte.
Page 17 sur 18
Bibliographie et webographie :
1.
2. L’argumentation Dans La Communication, Philippe Breton (Corpus)
3. Agnès Florin, Daniel Véronique, Jean-Pierre Courtial, Yann Goupil. Apprentissage De La
Communication En Milieu Scolaire.
Http://Www.Recherche.Gouv.Fr/Recherche/Aci/Cognib.Htm, 2002. Edutice-0000028
4. Mémoire De Licence, Argumentation Et Apprentissage En Sciences A L'école Primaire, Analyse
En Classe D'une Séquence Pédagogique, INTÉGRANT UNE SITUATION DE DÉBAT
PORTANT SUR LES ORAGES, Sous La Direction De: DR NATHALIE MULLER MIRZA,
Experte Et Co-Directrice: PROF. Anne-Nelly Perret-Clermont, Fabienne Bonvin, AV. Du
Bois-De-La-Chapelle 15 1213 Onex+41 (0)79 674 02 35 Fabienne.Bonvin@Unine.Ch
5. Https://Fr.Sawakinome.Com/Articles/Science/Difference-Between-Inductive-And-Deductive-
Reasoning.Html
6. MEIRIEU Philippe. Des Lieux Communs Aux Concepts Clés. Pédagogie, Le Café Pédagogique.
Éditions ESF, 2013
7. Etude Des Effets De La Motivation Scolaire, De L’estime De Soi Et Du Rôle Médiateur De La
Dépression Dans Le Risque De Décrochage Scolaire Au Collège Et Au Lycée, Jérémie Scellos
8.
Page 18 sur 18