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Démocratie et réseaux sociaux

Peut-on se contenter aujourd’hui d’une démocratie où les débats ont lieu


uniquement entre élus à l’assemblée nationale et au Sénat ? Quel autre espace
public pour les débats entre citoyens ? les réseaux sociaux sont-ils devenus
cet espace qui remplace l’agora à athènes

quest 1: OUI:car élu par le peuple et parle au nom du peuple( logiquement )


+ but: Son rôle est de débattre, de proposer, d'amender, de voter les lois,
ainsi que de contrôler l'action du Gouvernement. À la différence du
Sénat, elle a le pouvoir de forcer la démission du gouvernement par le
vote d'une motion de censure. DONC d'être aussi en accord avec les
penser des citoyens
+ que à l’assemblé que la parole à de l’importance

quest 2 : lieu publique: ex: Bar au 11 Rue des Portes Blanches Paris
Le Politicafé est un bar insolite mêlant gastronomie et politique dans le 18e
arrondissement de Paris, au niveau du métro Marcadet Poissonnière. Il est
disponible à la réservation du lundi au samedi.

quest 3: L'agora: était la principale place publique des villes grecques antiques,
siège de l'assemblée du peuple, dotée souvent de portiques, de temples, de statues.
OUI: dans le sens où tout le monde va pouvoir exposer son avis ex: twitter

source :

https://www.larousse.fr/encyclopedie/divers/agora/19350#:~:text=L'agora%20%C3%
A9tait%20la%20principale,surtout%20l'emplacement%20du%20march%C3%A9.

https://www.interieur.gouv.fr/Elections/Les-resultats/Presidentielles/elecresult__presi
dentielle-2022/(path)/presidentielle-2022/FE.html/
La question des effets produits par les nouvelles technologies de
l’information et de la communication sur la démocratie fait l’objet d’études de
plus en plus nombreuses

https://www.youtube.com/watch?v=YANHYJ_l6s8
https://www.youtube.com/watch?v=KtDwSuqenBg

Certains mettent en exergue la construction d’un espace public élargi, caractérisé


par une culture du dialogue, un engagement politique accru, en particulier chez les
jeunes, permettant un approfondissement de la démocratie

D’autres soulignent, à l’inverse, le danger pour les libertés, l’illusion du renforcement


de la participation politique, la réalité d’un cloisonnement de l’individu enfermé dans
des « bulles cognitives », le danger de la désinformation et la mise en exergue d’un
« agir stratégique » plus que d’un « agir communicationnel »(8).

enfin un endroit où tout le monde est libre de prendre la parole, et ou la voix


de chacun à le même poids
formidable outil pour contourner la censure dans les dictatures, et dans les
dictatures pour relancer des débats,
les algorithmes ne favorisent pas l’esprit critique, et provoque de nombreuses
fake news;
démocratie directe en un clic, au moins on a le pouvoir mais c’est sans filet

et je cite emmanuel macron c'était dans le journal du dimanche en 2018

quand obama a gagné les élections, qu’il y a eu le printemps arabe en 2010


ou facebook a joué un grand rôle
on a chanté la force démocratique des réseaux sociaux

interdiction de certains médias chez les membres du sénat et du parlement:


instagram

les grandes fake news


https://jai-un-pote-dans-la.com/top-10-des-fake-news-les-pl
us-folles-sur-les-reseaux-sociaux/
la finale ligue des champions, avec des faux billets

« Soyez prudents et essayez de rester chez vous. De grandes parties du pays font
face à d’énormes quantités de neige et un froid presque record. Incroyable à quel
point ce phénomène est grand. Ça ne serait pas si mal d’avoir un peu de ce bon vieux
réchauffement climatique maintenant ! ».

Les réseaux sociaux regard critique

Premièrement les réseaux sociaux constituent un mode d’expression très


libre. Sur les réseaux sociaux, tout le monde peut ouvrir un compte et, donc,
s'exprimer. Internet devient donc le lieu d'une formidable richesse d'expression et de
pluralité. Pour les régimes autoritaires, ces réseaux sont beaucoup plus difficiles à
contrôler que les canaux centralisés d'information. Les réseaux sociaux ont
notamment joué un grand rôle dans les révolutions arabes, notamment en Tunisie,

Sur les réseaux sociaux, Twitter par exemple, il est également possible
d'interpeller directement les responsables politiques et ces derniers peuvent
également interagir directement avec les citoyens. Ils sont donc potentiellement un
lieu de débat d'une grande richesse même si la réalité est souvent bien différente.

Sur le web, on trouve tout et notamment le pire. Théories complotistes,


propagande extrémiste, fausses informations, buzz, intox... Le débat démocratique
s'est perdu dans ce tourbillon de médiocrité où plus rien n'a de sens. Les faits sont
assimilés à des opinions et tous les repères se perdent. Les experts sont remis en
question par des personnes persuadées d'avoir appris la vérité sur un site
fantaisiste.

Le phénomène est encore aggravé par l'utilisation, par les concepteurs du


réseau, d'algorithmes aux très forts effets pervers : chacun reçoit sur son compte ce
qu'il consulte en priorité et perd ainsi le contact, si important en démocratie, avec le
débat contradictoire.
Démontrer l’importance de l’opinion publique et presse

L’élection présidentielle américaine en 2016 l’a illustré de manière éclatante.

Au cours des années 1920, la radio est rapidement devenue un instrument essentiel
des campagnes et a profondément modifié la manière dont celles-ci étaient menées.

Quelques années plus tard, le Président Franklin Delano Roosevelt s’est d’ailleurs
servi avec brio de ses messages radiophoniques pour s’installer au coeur des foyers
américains(2).

En 1960, le premier débat présidentiel télévisé de l’histoire, opposant John


Fitzgerald Kennedy et Richard Nixon, a marqué un nouveau tournant(3).

La maîtrise de l’outil télévisuel dont a fait preuve le candidat démocrate au cours de


sa campagne, et en particulier pendant ce débat, contraste avec l’impréparation et le
peu d’intérêt de son adversaire(4).

Les politiques, de leurs côtés, n'hésitent pas à utiliser les réseaux dans une optique
de marketing politique et pour parler directement aux citoyens en se passant du filtre
critique indispensable des institutions ou des médias. Donald Trump était passé
maître dans ces exercices consacrant de nouveaux démagogues jusqu'à une
quasi-tentative de coup d'État lors de l'assaut contre le capitole.

Les limites de l’agora

En effet ce sont essentiellement les beaux parleurs qui influencent, le peuple se fait
manipuler,

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