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Ière PARTIE
Chapitre I :
Chapitre II :
- Section I :
Principes de l’aménagement à courant libre des rivières
alluviales
- Section II :
Amélioration du lit mineur, moyen et majeur
- Section III :
Protection contre les crues
- Section IV :
Travaux anti-affouillement
- Section V :
Aménagement des voies d’eau naturelles, canalisées et
autres ouvrages.
Chapitre II : L’Hydro-Topo
Débits liquides
Débit solide
Les Autres paramètres.
Routier
Fluvial et Maritime
Aérien
Chapitre I : Canaux
Chapitre II : Ports
Définition et Rôles
Les paramètres de Dimensionnement d’un port
Caractéristiques géotechniques type de solution
Port organe de transit
Construction d’un port
Définition
Rôles et types de Quai
Etude de Quai
- Considération générales et données de Base
Etude proprement dite
- Conception et Description
- Sollicitations
- Stabilités
Autres paramètres
1. Définitions et Rôle
2. Etude et Calcul d’une écluse
Année Académique 2011 - 2012
COURS DES TRAVAUX HYDRAULIQUES
Dispensé par : Prof. DIZONGO BODI
MS/GSE, Ir.BTP
3. Etudes des composantes d’une écluse
3.1 Etude du Radier
3.2 Etude des bajoyers
3.3 Le SAS et les lois de sassement
3.4 Etudes des portes d’une écluse
3.4.1 Portes Amont
3.4.2 Porte Aval
2 Interros
3 Travaux pratiques (TP)
- 1 TP Annuel (1ère partie Examen)
- 2 TP posés pendant l’année
Examen (partie B) théorique.
Chapitre I
a. Un BV Topographique
b. Un BV Hydrogéologique
a. Représentation du BV Topographique
Rivière
1000
1000
900
1000
800
900
800
1000 900
Ligne de crête
b. Représentation du BV Hydrogéologique
Par exemple :
Exutoire
Aussi :
- Une population
- Ravinement ; Crée au cours d’eau d’une portion de l’année
hydrographique. Au vu de ceci, l’Ingénieur conçoit certains
ouvrages pour l’évacuation des eaux de ruissellement.
1.2.1 La Genèse de réseau hydrographique
1 1 1 1
1
1
1
2
2 4
3
1
1 3
1
1 1 2
1
1 2
1. La Méthode d’Horton
- Les cours d’eau principaux au collecteur principaux
- Les segments de cours d’eau qui sont confluant au cours
d’eau principal servent de l’ordre 2
- Lorsqu’il y a ramification hydrographique, le premier
segment est de l’ordre 1. La seconde de l’ordre deux et
termine lorsqu’il y a un gonflement
1
1
2
2 2
1 4
1
2
1
1
1 1
- Le nombre de segment
- Les longueurs de segment
- Les aires
- La pente
Nous avons :
Citons :
- Le réseau dendritique
- Le réseau en treillis
- Le réseau étoilé. Radial
2.
Vallée symétrique avec couche imperméable et
cours d’eau encaissé.
4. Vallée
Vallée qui subit l’accident et le cours d’eau
accidentai (géologique)
Cours d’eau
5.
Ecoulement souterrain
Cours d’eau (CE) complet encaissé
Eau de ruissellement
7. L Structure perméable
Rivière
Structure Imperméable
8.
Pendant la pluie
Eau souterraine
Couche Imperméable
A. Coefficient de sinuosité
KR < 1
L1
LAB
L3
B
A
L2
L1 + L2 + L3 + LA + LB
LR =
LB
F(Km2) 𝐾
𝑖− 𝑁𝑥
𝐹𝑅 =
𝐹 𝐾𝑚 2
Grille quadrillée
Ligne de crête
10𝐾𝑚
= 2𝑚
5
1 3 4
2
I K K m K 5 10𝐾𝑚
= 2𝐾𝑚
mm m 5
II 2 4 10𝐾𝑚
K 3K = 2,5𝐾𝑚
1 4
m mm
III 1K 10𝐾𝑚
3
Km 3
= 3,33𝐾𝑚
m
m
IV
V
10 Km
Paramètre :
Dd : f(Qa ; K ; H ;ρ ; µ,g)
1) La superficie :
Elle se calcul à l’aide d’un planimètre. (F)
2) La longueur :
Echelle de Travail
1
E=
200.000
P
E=
Terrain
1 50
= → T = 50x200.000
200.000 T
=100Km
Exemple 2 A
R1=10cm
B
Solution :
P 1 10
Ech = → = → T = 200.000x10
T 200.000 T
T=20Km
Solution :
LR=LTxKs (*)
Avec :
F=superficie du BV
Droite
Notée : l moyenne
S Superficie
Mmo y =
L Longueur de la rivière
P ou BV
≃ 0,2821
Fou S
C’est le rectangle qui a le même air que l’aire du BV, le périmètre égal
au périmètre du BV.
2
K S 1,12
L= 1+ 1−
1,12 K
2
K S 1,12
l= 1− 1−
1,12 K
Ou bien :
4
L= K c πA/2 . 1 + 1 − . K 2c
π
4
l= K c πA/2 . 1 − 1 − . K 2c
π
8) La pente
Un paramètre très important dans le calcul des travaux en
hydraulique fluviale
Elle permet de connaître le temps de concentration (Tc) sa
détermination n’est pas simple et repose sur plusieurs critères
Critères pour déterminer la pente d’un Bassin Versant.
1. Critères de HORTON
x x
Point de tgce
axe
L : Lx + Ly
N : Nx + Ny
Longueur de ligne de la
Ligne de Intersection et tgtc
maille (Km)
maille
Nx Ny Lx Ly
Σ a B c d
Σ totale a+b c+d
x
2. On associe les mailles au système d’axes rectangulaire x, y
3. On donne un numéro à chaque …t° et on note les coordonnées
(x,y) par ex i(x1, y1)
I
a b
*I
N : nombre d’intersection
1 2 3 4 5
Intervalles de ≠n de fois Fréquence 𝐧 𝚺𝐧
classification de chaque de chaque 𝐱𝟏𝟎𝟎 𝐱𝟏𝟎𝟎
𝐍 𝐍
des pentes intervalles pente n/N
0,4500
0,4400
0 100,00
Σ N 1,000 100,00
Pente
Critère d’ALVORD
A : surface totale B
D : dénivelée H 𝔷𝐵 − 𝔷𝐴 = 𝐻
A B
1000 x
Courbe hypsométrique
500
Superficie
20 Km2 52 Km2
En d’autres termes :
800
700
900
B
Si à cette courbe, on ajoute la distribution des qualités des sols, on
aura des informations sur le BV.
Courbe Hypsométrique du BV
1 2 3 4 5
Surface
au Surface % des surfaces
dessus comprises Surface entre les côtes Surface
entre les cumulée % à la surface totale (Ao)
de 𝔷
côtes Km2 totale Ao
Km 2
𝔷o : le plus Bas
A 0 −A 1
𝔷1 A1 A0-A1 A0-A1 100
A0
𝔷2 A2 A1-A2
𝔷3 A3 A2-A3
- - - - - -
Point le 100 An − 1 − An
plus Haut An=0 An-1-An A0
A0
𝔷n
Σ AO 100,00
𝔷1
Côte max
S
A
B
D E
n: coefficient de manning
k : coefficient de STRICKLER
Cette équation est appliquée à un canal à écoulement uniforme ; la
pente de la surface de l’eau est la même que la pente du lit.
D’une manière générale, pour calculer la pente d’un tronçon, voici
différentes méthodes :
𝑍𝐴 − 𝑍𝐵 𝐻
𝑆𝐴𝐵 = =
𝐿 𝐿
ZB B
Cette valeur sera précise s’il n y a
pas de rupture de pente dans le
tronçon
(m)
L
C
B
D
x
- On va utiliser la pente AD
- Pour le calcul :
Faire basculer la règle à partir du point D de manière à
avoir une ligne rouge que donne la compensation des
surfaces. Surfaces représentées par les déblais et remblais
soient égales. La ligne rouge ne doit pas trop s’écarter du
terrain naturel.
V1 = C1 R1 S1 = K S1
V1 = K S1
∆x
Le temps de parcours T1 =
K S1
∆x
Ti =
K S1
n ∆x n ∆x
= i−1 K S
K S i
n n 2
n 1 1
= ⟹ S = n/
S i−1
Si i−1
Si
1 1 1 2
S = n/ + +⋯+
S1 S2 Sn
Pente moyenne
Relief Ip
m/Km
Très faible <5 Ip<0,070
Faible 5 – 10 0,070<Ip<0,10
Modéré 10 – 20 0,10<IP<0,23
Assez-fort 20 – 50 0,14<Ip<0,23
Fort 50 – 100 0,23<Ip<0,34
Très fort >100 Ip>0,34
A= 112Km2
Ip=0,113
On peut utiliser
- Courbimètre ou curvimètre
- Fil non élastique
- Loupe
∆𝔷
2
A gramme x n. cm2
Xcm =
A. gr
1 cm=200m=2000m=2Km
1 cm2=4x106m2=4 m2
x1 dx x2
2
Ce bras se déplace le long de l’autre 1
pour la fixation de l’échelle
y2
y1
Lecture
des
centaines 4 3
Dizaines et unités
Lecture Lecture Ai
Tour Point
initiale finale (bi-ai)
1 1 a1 b1 A1
2 2 a2 b2 A2
3 3 a3 b3 A3
ΣAi
A=
i
NB : Le planimètre donne une surface réelle par exemple en mm 2,
faire l’équivalence en Km2 à l’aide de l’échelle
En conclusion :
Altitude
1200
15%
1000
30%
800
Courbe hypsométrique
600 45%
10%
400
de 400 – 2000
de 600 – 1800
de 800 – 900
de 1200 – 0
Calcul de l’hydrogramme
∆Q (m3/s)=(Qmax – Qob)
Avec
En d’autres termes :
Débit de point
Débit de crue
103 ∆Qm3 /s
q=
F Km2
Avec F : superficie du BV
F=8.709Km2
7. Le volume d’écoulement
Avec We=Fh x Tt
Fh : surface de l’hydrogramme
Tt : temps d’écoulement
Fh
Tt
Tm Td
Avec :
Tt : temps
Avec :
Xr : hauteur de ruissellement
X : hauteur de précipitation
Noté K
𝑄𝑚𝑎𝑥
𝐾=
𝑄
Avec 𝑄 = 50 m3/s
Hydrogramme
Débit de Base
Temps
Temps de concentration : tc
Temps de ruissellement ou
Temps de base tb
Temps de l’écoulement
Q(m3/s)
Hydrogramme
P K X’
tm td Temps/j
Tt : temps d’écoulement
CONTENU
I.1 La planimétrie
La triangulation
La polygonation
Le relèvement direct et indirect
I.2 L’altimétrie
Elle comprend :
Le nivellement stœchiométrique
Le nivellement trigonométrique
Le nivellement géométrique
I.2.1 La Triangulation
I.2.2 La Polygonation
I.2.3 Le Relèvement
- Borne I ou B
- P/63 ou C
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- Poteau II ou A
A l’aide du T2 positionné à la station Borne I ou B, la lecture de
l’angle formé entre borne I, P/63 et borne I, poteau II est 36, 11
48 gr.
Le T2 position à la station P/63, la lecture de l’angle formé entre
P/63, Borne I et P/63 poteau II est 42, 13 94 gr.
En d’autres termes :
B ou B°I P/63 ou C
Pot. II ou A
Procédure :
Angle A : ?
(1) dévient:
Angle A : 121,7458
Angle B : 42,1394
Angle C : 36,1148
0,942226
0,614636
0,537348
N° Dénomination X Y Observation
1 B°VII 394 380,72 352 387,84
2 B°VI 394 400,49 352 448,15
3 B°V 394 468,07 352 431,22
4 B°IV 394 438,80 352 358,32
5 B°III 394 506,67 352 343,24
6 B°II 394 587,07 352 339,82
7 B°P/63 394 676,25 352 348,16
8 B°A TANK 394 766,26 352 344,67
9 B°VIII 394 374,78 352 390,63
10 B°I 394 598,29 352 351,42
Gisement 1 :200 -
G1=200 – 97 3394=102,6606
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Si ’=0,999127
Si ∆X est + et ∆Y +⟹gl=
Si ∆X est - et ∆Y -⟹gl=200+
77,96
𝑆𝑖𝑛 𝑔𝑙 = = 78,03𝑚
−0,999127
3,26
𝐶𝑜𝑠 𝑔𝑙 = = 78,03𝑚
−0,041780
sin 𝑎𝑛𝑔𝑙𝑒 𝐵 0,614636
𝐷2 = 𝐷1𝑥 = 78,03𝑥
sin 𝑎𝑛𝑔𝑙𝑒 𝐴 0,9422268
=50,90m
sin 𝑎𝑛𝑔𝑙𝑒 𝐶 0,537348
𝐷3 = 𝐷1𝑥 = 78,03𝑥
sin 𝑎𝑛𝑔𝑙𝑒 𝐴 0,9422269
=44,50m
Calcul du gisement 3
g3=g1+angle B=144,800
Sin 144,800=0,762442
Cos 144,800=0,647056
g2=g3+angle A = 0,865074
Cos 266, 54588=0,501643
(5)=(1) x (3)
(6)=(1) x (4)
D2 x sin g2=∆X2
D2 x cos g2=∆Y2
D3 x sin g3=∆X2
D3 x cos g3=∆Y2
X3 ±∆X2=XP
Y3 ±∆Y2=YP
X2 ±∆X3=XP
Y2 ±∆Y3=YP
I.3 Le Nivellement
C=Co±∆H
Procédure de travail
Par exemple :
ALLER
3AR (M1) 3AR (M2) M1+2 3AV (M1)’ 3AV (M2)’ M1’+M2’
0567 0567 0,769 0840 0833 1,026
203 203 +0,770 187 187 +1,019
0770 2,369 0770 2,210 1,539 1027 3079 1020 3057 2,045
202 3 203 3 185 3 184 3
1270 =0,769 0973 =0,770 1,539 1212 1,026 1204
ys
yn
yn
yn
yn
y0
0(C) ∆x
II.1 Généralités
1. Unités flottantes
- Le chaland Butembo, brûlé pendant la guerre Rwondo – Ougandais
unité qui servait de logement aux travailleurs de cette brigade.
- Des vedettes hydrographiques : pour accomplir ses tâches de sondage
et courant hydrographiques, la brigade est dotée de plusieurs vedettes
(ou canots) PUASI I et II…
2. Instruments et appareils.
- Sextant
- Stymographe
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- Echosondeur
- Télémètre
- Minute de terrain
- Chronomètre
- Jumelle
- Barre – Check
- Règle d’échelle
- Plomb à main
- Jalons et Décamètre
Repères de Sondage
Ce sont des signaux qui servent au repérage ou à la
localisation. Ils peuvent être naturelle (arbre, palmier, baobab,
borassus, buisson, tour, maison etc.) ou on construits (en bois ou en
Echelle d’Etiage
Types de sondages
a. Sondage traditionnelle
La brigade utilise trois moyens pour y parvenir :
L’ETIAGE
Les Isobathes
Ce sont des courbes de même profondeur ces courbes sont classées
suivant les caractéristiques ci-après :
De 0 A 10 courbe de 0
11 30 1
31 50 3
51 80 5
81 100 8
101 200 10
201 500 20
501 1000 50
- La période de la situation
- La lecture moyenne de l’E.E
Mission
Fonctionnement
Formule d’étalonnage
V=an + b
Principe de calcul
T : le Temps
Date……………………………… Section……………………………………
Prof. Prof.
Pt=Pm+20cm=…….+20cm=……….. Pt=Pm+20cm=…….+20cm=………..
Nombre Nombre
Profondeur de n A=……..+n V=A+…….. Profondeur de n A=……..+n V=A+……..
révolution révolution
Pt-40 Pt-40
8/10 Pm 8/10 Pm
6/10 Pm 6/10 Pm
4/10 Pm 4/10 Pm
2/10 Pm 2/10 Pm
S-100 S-100
S-30 S-30
Prof. Prof.
Pt=Pm+20cm=…….+20cm=……….. Pt=Pm+20cm=…….+20cm=………..
Nombre Nombre
Profondeur de n A=……..+n V=A+…….. Profondeur de n A=……..+n V=A+……..
révolution révolution
P-40 Pt-40
8/10 Pm 8/10 Pm
6/10 Pm 6/10 Pm
4/10 Pm 4/10 Pm
Année Académique 2011 - 2012
2/10 Pm 2/10 Pm
COURS DES TRAVAUX HYDRAULIQUES
S-100 S-100
Dispensé par : Prof. DIZONGO BODI
S-30 S-30
MS/GSE, Ir.BTP
Verticale n°_______Heure______ Verticale n°_______Heure______
Prof. Prof.
Pt=Pm+20cm=…….+20cm=……….. Pt=Pm+20cm=…….+20cm=………..
Date……………………………… Section……………………………………
Prof. Prof.
Pt=Pm+20cm=…….+20cm=……….. Pt=Pm+20cm=…….+20cm=………..
Prof. Prof.
Pt=Pm+20cm=…….+20cm=……….. Pt=Pm+20cm=…….+20cm=………..
Nombre Nombre
Profondeur de n A=……..+n V=A+…….. Profondeur de n A=……..+n V=A+……..
révolution révolution
P-40 Pt-40
8/10 Pm 8/10 Pm
6/10 Pm 6/10 Pm
4/10 Pm 4/10 Pm
2/10 Pm 2/10 Pm
S-100 S-100
S-30 S-30
Prof. Prof.
Nombre Nombre
PProfondeur
t=Pm+20cm=…….+20cm=………..
de n A=……..+n V=A+…….. PtProfondeur
=Pm+20cm=…….+20cm=………..
de n A=……..+n V=A+……..
révolution révolution
P-40 Pt-40
Distance de la rive…………………………
8/10 Pm Distance de la rive…………………………
8/10 Pm
6/10 Pm 6/10 Pm
4/10 Pm 4/10 Pm
2/10 Pm 2/10 Pm
S-100 S-100
S-30 S-30
Données :
Verticale n°1
V2 : 1,064m/s V5 : 1,632m/s
V3 : 1,413m/s V6 : 1,614m/s
V4 : 1,449m/s V7 : 1,386m/s
Vmoyenne :
Vmoyenne: 1,24m/s
Vertical n°2
V2 : 1,288m/s V5 : 1,632m/s
V3 : 1,413m/s V6 : 1,614m/s
V4 : 1,449m/s V7 : 1,386m/s
Vmoyenne :
Vmoyenne: 1,40m/s
V1 : 1,320m/s V1 : 1,030m/s
V2 : 1,435m/s V2 : 1,208m/s
V3 : 1,535m/s V3 : 1,279m/s
V4 : 1,735m/s V4 : 1,376m/s
V5 : 1,720m/s V5 : 1,521m/s
V6 : 1,763m/s V6 : 1,457m/s
V7 : 1,768m/s V7 : 1,437m/s
V1 : 0,878m/s V1 : 0,620m/s
V2 : 1,071m/s V2 : 0,915m/s
V3 : 1,186m/s V3 : 0,994m/s
V4 : 1,239m/s V4 : 1,043m/s
V5 : 1,267m/s V5 : 1,059m/s
V6 : 1,278m/s V6 : 1,050m/s
V7 : 1,250m/s V7 : 1,127m/s
V1 : 0,589m/s V1 : 0,587m/s
V3 : 0,906m/s V3 : 0,867m/s
V4 : 0,976m/s V4 : 0,913m/s
V5 : 1,004m/s V5 : 0,911m/s
V6 : 1,057m/s V6 : 0,922m/s
V7 : 1,013m/s V7 : 0,936m/s
V1 : 0,641m/s V1 : 0,678m/s
V2 : 0,846m/s V2 : 0,781m/s
V3 : 1,001m/s V3 : 0,925m/s
V4 : 1,036m/s V4 : 0,948m/s
V5 : 1,099m/s V5 : 0,999m/s
V6 : 1,120m/s V6 : 0,978m/s
V7 : 1,071m/s V7 : 0,990m/s
Verticale n°11
V1 : 0,639m/s
V2 : 0,683m/s
V3 : 0,827m/s
V4 : 0,866m/s
V6 : 0,902m/s
Vmoy : 0,80m/s
Formule générale
Où V= Vitesse
Moyen de
N° Dist.Cum Dist.Part Vitesse Débit unit. Débit total
débit unit.
R1 0 0
Débit
9,244m3/s
Total
(7) = (3)x(6)
Résultat définitif
Moyen de
N° Dist.Cum Dist.Part Vitesse Débit unit. Débit total
débit unit.
R1 0 0
Débit
6533,7m3/s
Total
Résultats définitif
a. Description du flotteur
b. Principe de la méthode
Avantages de la méthode
- Méthode rapide
- Le matériel moins coûteux
- Permet de constater et de tenir compte de certaines anomalies
dans la direction des courants dans la direction des courants c'est-
à-dire la trajectoire non perpendiculaire à la section de jaugeage.
Désavantages
- Exige une bonne connaissance de rapport Um/Us
- Méthode moins précise que la méthode classique au moulinet.
1. Généralités
La saltation :
Charriage
Définition
C’est le volume des matières solides écoulées par une
section par jour. Il s’exprime par m3/24h.
Appareils utilisés au bief maritime
Les appareils utilités actuellement au bief maritime sont
d’origines hollandaise.
Ce sont le BTMA et les bouteilles de Delft DF1 et DF2
- BTMA : mesure dans les premiers cinq centimètre
- DF2 : mesure dans les premiers quarante centimètres
- DF1 : mesures entre 40cm du fond et la surface d’eau
Bouteille de Delft suspendue à un câble (DF1)
Cet instrument est utilisé pour le transport de sable entre
40cm au dessus du lit jusqu’à la surface. Il est suspendu à un câble
passant sur une poulie fixée à un davier, ce qui permet de faire
descendre au point choisi. La mesure se fait en sommant les prises
prélevées à une série de profondeurs dont les positions sont données
dans un tableau en fonction de la profondeur totale donnée par la
moulinet. L’appareil est descendu à la première profondeur indiquée par
l’abaque des profondeurs et y est maintenu pendant un temps
renseigne, en suite, il est descendu à la position suivant et ainsi de suite.
Bouteille de Delft sur câble (DF2)
Elle est utilisée pour mesurer le transport de sable entre 0
et 40cm à partir du fond. La bouteille est fixée sur un câble. La hauteur
de l’embouchure est fixée de telle façon qu’un simple manœuvre
permette de mesurer respectivement à 0,05 ; 0,15 ; 0,25 et 0,35m à
partir du fond.
Formule de calcul du débit solide par DF1 (suspension)
𝑔𝑥 𝑑𝑥𝑓
Formule : C= 𝑒𝑛 𝑚3 /𝑚 24
𝑡
Ou g=prise (en m3)
d= épaisseur de la tranche d’eau mesurée (en cm)
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d= Pt-40
f= coefficient de l’appareil
f=3,79 pour l’ambon de ф 22 (gde)
= 7,58 pour l’ambon de ф 15,5 (pte)
No No
Profond. Prof. des Temps Ф Volume Profond. Prof. des Temps Ф Volume
vertical vertical
Totale prélèvem. par Embout transport Totale prélèvem. par Embout transport
heure heure
Pf (voir.tabl) point solide Pf (voir.tabl) point solide
début début
m m min mm cm3 m m min mm cm3
et fin et fin
No No
Profond. Prof. des Temps Ф Volume Profond. Prof. des Temps Ф Volume
vertical vertical
Totale prélèvem. par Embout transport Totale prélèvem. par Embout transport
heure heure
Pf (voir.tabl) point solide Pf (voir.tabl) point solide
début 3 début 3
m m min mm cm m m min mm cm
et fin et fin
1. Verticale n°1
g= 38 cm3
d= 6,45 – 40=6,05m
t= 35’
38𝑥6,05𝑥3,79
C= = 24,895 𝑚3 /𝑚 24
35 ′
2. Verticale n°2
g= 41 cm3
d= 7,74 – 40=7,34m
t= 40’
41𝑥7,34𝑥3,79
C= = 28,514 𝑚3 /𝑚 24
40′
3. Verticale n°3
g= 42 cm3
d= 7,88 – 40=7,48m
t= 40’
42𝑥7,48𝑥7,58
C= = 59,533 𝑚3 /𝑚 24
40′
4. Verticale n°4
g= 27 cm3
d= 9,60 – 40=9,20m
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MS/GSE, Ir.BTP
f= 3,79 pour ф22
t= 40’
27𝑥9,20𝑥3,79
C= = 23,536 𝑚3 /𝑚 24
40′
5. Verticale n°5
g= 10 cm3
t= 40’
10𝑥7,60𝑥3,79
C= = 7,201 𝑚3 /𝑚 24
40′
6. Verticale n°6
g= 6 cm3
d= 6,80 – 40=6,40m
t= 35’
6𝑥6,40𝑥3,79
C= = 4,158 𝑚3 /𝑚 24
35 ′
7. Verticale n°7
g= 5 cm3
d= 11,20 – 0,40=10,8m
t= 40’
5𝑥10,8𝑥3,79
C= = 5,117 𝑚3 /𝑚 24
40′
8. Verticale n°8
g= 1 cm3
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d= 10,22 – 0,40=9,82m
t= 40’
1𝑥9,82𝑥3,79
C= = 0,930 𝑚3 /𝑚 24
40′
9. Verticale n°9
g= 6 cm3
d= 12,63 – 0,40=12,23m
t= 40’
6𝑥12,63𝑥3,79
C= = 6,953 𝑚3 /𝑚 24
40′
g= 3 cm3
d= 8,10 – 40,0=7,70m
t= 40’
3𝑥7,70𝑥3,79
C= = 28,514 𝑚3 /𝑚 24
40′
g= 2 cm3
d= 4,35 – 0,40=3,95m
t= 35’
2𝑥3,95𝑥3,79
C= = 0,855 𝑚3 /𝑚 24
35 ′
I I
II II
III III
IV IV
I I
II II
III III
IV IV
I I
II II
III III
IV IV
I I
II II
III III
IV IV
I I
II II
III III
IV IV
I I
II II
III III
IV IV
I I
II II
III III
IV IV
I I
II II
III III
IV IV
I I
II II
III III
IV IV
I I
II II
III III
IV IV
41.041.207 41.041.207
𝐶= =
9.244𝑥86.400 7.9868160
C= 0,5135238g/cm3
C= 5,13 :166g/cm3
6425.993 6425.993
𝐶= =
6533.7𝑥86.400 5.6451168
C= 1138.3288g/cm3
C= 1,13g/cm3
>1,13 g/cm3
Introduction
C’est dans cet optique que les mesures spécifiques ont été
effectuées en fonction, d’un haut fond intermédiaire entre l’actuel route
et le projet Sud afin d’évaluer l’intensité des paramètres hydrométriques
qui puissent fournir les plus amples informations sur le comportement de
la zone à court et moyen terme.
Conclusion
Brigade Limnimétrique
(Etudes limnimétriques)
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1. Mission
Cette brigade a comme mission l’étude des fluctuations des
eaux en fonction de la crue, décrue et de la marée, ainsi que leurs
influences réciproques face aux exigences de la navigation.
IV.1 La Sédimentologie
IV.1.1 Mission :
IV.1.2 Méthodes :
Définition :
Période d’étiage
Période de crue
Pendant l’Etiage : le transport de solide est faible, les dunes ont des
grandes amplitudes, la section mouillée est réduite, la concentration de
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tous les filets liquides dans la ligne des grandes profondeurs est très
élevée, ce qui développe le phénomène d’auto – dragage.
Pendant cette période, les érosions sont plus prononcées, ce qui est
favorable pour la navigation.
Pendant la crue : le transport de solide est très élevé, les dunes ont
tendance à s’aplatir, la vitesse de déplacement des bancs est rapide.
Définition :
Définition :
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Une carte de tendance nous prédit la situation avenir. Elle
se réalise par le mixage des Isobathes et des Isotaches d’une même
zone et pendant la même période.
Interprétation :
Cette méthode n’est applicable que pour le sable dont le différent moyen
est compris entre 300 et 400 c'est-à-dire applicable rien que dans le
Bief maritime.
Cette méthode est très bonne par ce qu’elle nous permet de bien voir la
configuration du fond du fleuve. En d’autre terme, le profil en long nous
permet de voir si le fond du fleuve est constitué des dunes ou un fond
aplati.
a. Du profil à long
b. De la carte de comparaison de levé.
C. La méthode granulométrique
Types de sédimentologie
Nous avons :
La sédimentologie dynamique
La sédimentologie statique
a. La Sédimentologie Dynamique
b. La Sédimentologie Statique
Elle donne aussi l’idée sur le choix de l’engin approprié pour un sol bien
défini.
Appareillage
Mode opératoire
a. Sédimentologie statique :
Faire descendre la bouteille jusqu’au fond du lit. Le système de
liaison se fait par une corde attachée à l’engin.
L’engin se déplace soit de l’avant, soit de l’arrière suivant une
vitesse V de telle manière que la bouteille au fond du lit retienne une
quantité de sédiments destinés à l’analyse au laboratoire.
Noter l’adresse du site de prélèvement de l’échantillon recueillie,
l’année de prélèvement, le mois et la date.
La petite drague, formée par deux demi cavités qui referment dès
que l’instrument atteint le fond du lit. De cette façon elle garde
l’échantillon jusqu’à sa récupération au Labo.
b. Sédimentologie Dynamique
Analyses Granulométriques
Définition : La granulation est la distribution en poids des
différentes dimensions des grains qui constituent le sol.
But : Classifier ou mieux identifier le sol
Méthodes : ces analyses se fond par deux méthodes à savoir :
Par Tamisage
Par tube à sédimentation visuelle.
a. Par Tamisage :
Mode opératoire
1. Prélèvement : il se fait dans un site déterminé du fleuve. Les
échantillons recueillis seront placés dans des bocal sur lesquels on
prendra soin de marque :
L’adresse du site de prélèvement.
Le numéro de la prise.
L’année, le mois et la date de la prise
2. Analyse proprement dite :
Peser les échantillons avant et après l’étuvage à 150°C, pendant
24h, afin de déterminer le degré d’humidité de l’échantillon ou
la teneur en eau.
Placer les échantillons selon l’ordre de prise dans une série de
tamis emboîtés les uns dans les autres suivant les numéros
décroissants.
On soumet le tamiseur à un mouvement vibratoire pendant un
temps t.
Peser les refus de chaque tamis
Puis calculer le poids en % des refus cumulés.
Les D10, D20, D30, D40, D50, D60, D70, D80, D90
Il s’agit :
Du coefficient de courbure
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Du coefficient d’uniformité
Le coefficient de courbure :
Le coefficient d’uniformité :
La teneur en eau : est fonction du :
PS : est le poids de l’échantillon sec
PH : est le poids de l’échantillon humide
Condition
Aiguilles et
D10 : 135
D20 : 145
D30 : 155
D40 : 165
D50 : 175
D60 : 190
D70 : 220
D80 : 230
D90 : 258
= 185,8 186
Le Cc=
Le Cu=
Alors :
Matériels utilisés
Principe du travail
a. Début du mouvement
b. Mélange hétérogènes
Courbe granulométrique
50
0,06 0,1 d50 0,2 0,3 0,4 Diamètre des tamis en mm (échelle
logarithmique)
b. Sédiments cohésifs.
Consolidation du lit
La kaolinite
Les micas
Les chlorites
Tétraédrique. Kaolinite
Kaolinite 7 Octaédrique 2 dickite nacrite
ou 1 :1 métahalloysite.
Tétraédrique, Illite
Octaédrique, vertmiculite
Micas 10 3
Tétraédrique montmorillonite
ou 2 :1 muscovite
Tétraédrique,
Octaédrique,
Chlorites 14 4 Chlorites
Tétraédrique
et Octaédrique
e. De la masse volumique
A4°C, =1000Kg/m3 pour l’eau douce claire et =1025Kg/m3 pour
l’eau de mer.
Pour élevée est la masse volumique de l’eau, plus petite sera la
densité du sédiment et plus grand sera le transport.
f. De la viscosité
A4°C, la viscosité de l’eau vaut =1,567.10-6 m2/s.
comme varient en fonction de la température.
Pour une concentration volumique du sédiment comprise entre
0,1 et 0,6, BAGNOLDS (1954) établit la relation suivante permettant
de calculer la viscosité du mélange fluides – sédiments :
-1
Ou T=
6.1.1 Introduction
Formule :
On peut montrer que la force tractrice n’est rien autre que la tension
tangentielle à la paroi du cours d’eau.
Q
h
Ws0= .P.∆s
Avec W= .A.∆s ou
P : périmètre mouillé
so : pente du fond
d’où
1. CHEZY :
2. MANNING :
3. MANNING STRICKLER :
4. DARCY:
: vitesse de frottement.
Ainsi donc :
NB1 : Les deux niveaux moyens à l’échelle amont ou aval sont variables.
Procédure
En abscisse : La pente
T Degré d’ensablement
1.00
0,85 +
L Augmentation
Pente
- Deux hautes
- Deux basses
T+04h13’
Par définition
Le limnigraphe, fonctionne comme une balance qui d’un côté est placé le
flotteur qui subit les montées et les baisses des eaux et de l’autre le
contre poids qui sert à équilibrer les mouvements autour de la poulie.
Signalons également que la poulie dans le fonctionnement de l’appareil
est un PIVOT d’échelle aux dimensions variables.
1/5, 1/10, 1/20. Chaque pivot est utilisé suivant l’influence des marées
du lieu.
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L’horloge et le dispositif inscripteur appelé STYLET
exécutent en même temps des mouvements synchronisés à ceux de la
balance et fournissent ainsi les indications en heures et en niveau d’eau
à chaque instant.
Procédure de travail
1/5 : 1cm
1/10 : 2cm
1/20 : 4cm
7. Le phénomène de la marée
La marée semi-diurne
La marée diurne
La marée mixte
Contrôle marégraphe
NB. : Entre les 2 sections, il y a en charge des études. Pour canaliser les
études.
IV.1 Définition
VI.2 Mission
La planification
L’exécution des travaux de terrassement sous eau dans la route
de navigation du tronçon qui offre la passe navigable.
L’extraction
Le transport
Le déchargement de déblais dans l’eau courante ou sur le
rivage.
D’ouverture
D’approfondissement
De maintenance et entretien
De curage portuaire
D’une drague succeuse porteuse à élinde traînante de volume
1500m3 de volume du puits.
Dragage d’ouverture
Curage
= tonnage.
Cycle de dragage
NB :
Remarque :
2 3
4
1
Temps navigation aller
Temps
Chargement
2.4 Le rendement
2.5 La disponibilité
2.8 La concentration
2.9 La production
T.H=
3. Statistique de dragage
3.1 Pour l’élinde trainante
Clapage : 0h35’
T.D=12h – 7h=5h
12h =100%
1h=
5h=
Données : Cubage=6.388m3
Temps de pompage=3h45’
Rendement horaire=
Données :
- Heures opérat.=6h14’
- Cubage ou production=6.388m3
Le rendement/cycle=
- Nbre de cycle : 5
- Cubage : 6.388m3
- Capacité du puits : 1500m3
On aura :
Equation de production
P=(RCT+RCK+RCB) x T.Ux365x12
Avec:
RCT
RCK
RCB
P : production
VII.1 Introduction
Tous les matériels flottants utilisés pour lettre une Bouée en place
constituent la ligne de mouillage.
A
C
B
Barre d’attelage
Manille d’Ajustage
Emerillon Mail de cœur Patte – d’oie
Manille d’Ajustage
de mariage
ɸ
Cigale
0,1
F D
0,1
G 0,22 G
B C B
2 tonnes 1,2 0,15 0,9 0,55 0,55 0,4 0,4 0,32 0,37 0,05 1000Kg
4 tonnes 1,6 0,2 1,2 0,65 0,55 0,5 0,5 0,34 0,4 0,06 1300Kg
5 tonnes 1,8 0,3 1,2 0,65 0,55 0,5 0,6 0,34 0,4 0,06 1500Kg
B A
Emerillon (point
d’intercalation dans
une chaîne)
T=F+pH
Sortes de Bouées
On distingue :
Triangle Scotch lite blanc Chiffres scotch lite rouge 0,25 x 0,15
31
FEU ROUGE
Une bouée de ce type est garnie d’un feu vert ou blanc à éclipses 4
secondes de lumière et 2 secondes d’obscurité.
31
BOUEENOIRE
BOUEE NOIRE BOUEE NOIRE
1. Bouées de bifurcation
Jaune, Rouge
A laisser à droite lorsque
emprunte la passe se
trouvant à sa gauche.
4. Bouée d’ancre
En rappel :
Ce sont des points fixés qui ont été établis sur les rives de
façon à déterminer un lieu géométrique de la zone de sécurité.
Bief Supérieur
Bief Moyen
Bief Inférieur
1. Le Bief Supérieur
a. Le Lualaba et ses affluents
UBUNDU – KINDU 308Kms
KONGOLO – BUKAMA 640Kms
b. Le Lacs
Moero : Kilwa-Pweto 275Kms
Albert : Kasenyi-Mahangi 280Kms
Kivu : Bukavu-Goma 280Kms
Tanganyika : Motira-Uvira 740Kms
c. Autres Lacs et Rivières 716Kms
Total Bief supérieur : 3239Kms
2. Le Bief Moyen
a. Le Fleuve Congo
Kinshasa – Kisangani : 1734Kms
b. Rivière Kasaï
Malebo – Ilebo 605Kms
c. Les Affluents principaux
Ubangi : Embouchure-Mobenzele 173Kms
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Mongala : Moleka-Businga 329Kms
Itimbiri : Ubangi : Embouchure-Mobenzele 173Kms
Mongala : Moleka-Businga 329Kms
Itimbiri : Yangambi – Aketi 255Kms
Lulongo : Lulonga-Basankusu 180Kms
Ruki – Burisa – Tshuapa : Mbandaka – Ingende – Boende
408Kms
Kwilu : Embouchure – Kikwit 342Kms
Fimi – Lukenie : Mushie – Katu – Kole 952Kms
Sankuru : Benabendi – Pania – Mutambo 567Kms
Autres 6008Kms
Total Bief Moyen : 11.559Kms
3. Bief Inférieur
Matadi – Boma 60Km
Boma – Malela 60Km
Malela – Banana 30Km
Total du Bief Inférieur 150Km
T 12/Trois
Nous distinguons :
EX.
1) Schéma
30m
230m
200m
2)
X X X X X X X X X X X X
X X
20m
100m 120m
Sur la carte
Sur la carte
Utilité :
1. Serrer la rive mais pas à moins de 20m
2. Indique les obstacles au large du parcours, suivre la rive.
Ex.
3. Planche Blanche
Utilité :
1. Indique la fin du parcours, suivre la Rive
2. Avertisseur de bouée quand elle porte des barrettes
3. Indique l’emplacement du signal, suivre la rive au sens inverse.
Sur la carte
Utilité :
1. Se rapprocher de la rive et la quitter immédiatement
2. Avertisseur de bouées lorsqu’elles portent des barrettes.
5. Croix Latine
Sur la carte
Utilité :
1. Indique les obstacles situés près de la rive, tels que graviers –
sable,…
2. Se tenir de la rive à
30m sur les Fleuves et Kasaï
20m sur les Affluents
50m dans le chenal
100m 200m
Zone dangereuse
Courant
Sur la carte
Sur la carte
200m 400m
Zone dangereuse
200m
Courant
Utilité
Indique les obstacles à la rive et couvre une zone très
dangereuse
Se tenir de la rive à 250m de Hauteur à 200m en aval du signal
à 400m en Amont du Signal
Ex1 :
Ex 2 :
Utilité :
1. Indique la double route de navigation
2. Elle peut – être avertisseuse de Bouée lorsqu’elle porte des
barrettes
NB. : Cette croix à la même signification que celle e=de double planche
parallèles horizontales.
9. Lettres « S » ou signal « S »
Sur la carte
Utilité :
1. Avertisseur de passage
2. Panneau placé en Amont et en Aval des passes étroites et à forte
courbe
3. Invite le navigateur à siffler un coup long d’une demie minute afin
d’avertir le bateau navigant en sens inverse.
Sur la carte
Carré Triangle
Utilité :
Signaux de grandes distances : ce sont des signaux de direction utilisés
dans le cas où la distance de deux signaux est trop grande pour assurer
une visibilité convenable. Ils sont destinés à donner une indication
approximative de la route à suivre celle-ci étant précisée lorsqu’en se
rapprochant, le navigateur apercevra les signaux suivant qui
matérialisent exactement.
Le Carré : qui doit être laissé à gauche à la montée et à droite à la
descente
Sur la carte V
Utilité :
Indique un accostage de plus de 600m. Ce signal est placé à la limite
amont du lieu d’accostage. Valable jusqu’à 60m en aval.
EX :
600 m
Courant
Sur la carte :
Utilité :
Indique un accostage < à 600m. L’accostage n’est possible qu’entre
les deux élevés aux extrémités amont et aval du lieu.
Utilité :
Avertisseur de changement de route
La route est changée depuis la date figurant sur la planche
Le signal est maintenu tant que ce changement n’a pas été
signalé sur les cartes déposées dans les deux postes
d’informations amont et aval de la section.
Le signal se place à l’entrée et à la sortie de l’ancienne et des
nouvelles routes.
Sur carte H
Utilité :
Indique la limitation de balisage c'est-à-dire Rebrousser chemin pour
rejoindre la route principale puisque la route est sans issue.
Sur Carte
Utilité :
Signal de grande distance indique l’axe du passage balisé par une ou
plusieurs bouées.
Sur Carte
Sur Carte
Utilité :
Sur Carte
Utilité :
Utilisé dans une passe Bordée de part et d’autres des récifs dangereux.
Elle indique l’axe de la passe par superposition des sommets à la
verticale la largeur de la passe est indiquée sur la carte.
Le Δ est peints en Blanc ; des lattes peintes en Noirs sont disposées
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IIIème PARTIE : Les Ouvrages Hydrauliques Fluviaux et Maritimes
- Rivières canalisées.
I.1.1. La Terminologie
I.1.1.1. La coque
I.1.1.12. L’étrave
I.1.1.13. L’étambot
I.1.1.14. La quille
I.1.3.1. Le flottage
I.1.3.2. Le halage
I.1.3.4. Le remorquage
I.1.3.5. L’automorqueurs
I.1.3.6. Le poussage
Tableau (tables 1)
I.1.4.1. Le mouillage
a. La pente
b. La vitesse
(voir, tableau 3)
a. La largeur
b. Le mouillage
c. La forme du profil
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d. Le surlargeur dans les courbes
a. Le tronçon rectiligne
b. L’infiltration
- Généralités :
I.1.1. La Terminologie
On appelle :
I.1.1.1. La coque
Carême
Lxlxt
LP
t C
LP
I.1.1.12. L’étrave
I.1.1.13. L’étambot
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Grosse pièce de construction longitudinale et médiane située à
l’arrière d’un navire et destinée à porter le gouvernail.
I.1.1.14. La quille
R=a.s.V1,325
Elle vaut :
I.1.3.1. Le flottage
I.1.3.2. Le halage
Ils sont utilisés autrefois sur les cours d’eau lorsque la traction
des bateaux était difficile du fait de la vitesse du courant. Un toueur est
un engin dont le déplacement est assuré par la traction sur une chaine
au moyen d’un treuil placé sur l’engin. Chaque toueur desservait un
tronçon de 12 à 15Km et sa course était limitée par la longueur de la
chaine.
I.1.3.4. Le remorquage
La propulsion peut être aussi par jet d’eau obtenu grâce à une pompe
centrifuge, disposée à l’arrière. La capacité des trains dépend du type
des barges, de la capacité des écluses, de la largeur de fleuve, du rayon
des courbures etc. Elle est généralement de 3 à 4 barges.
I.1.3.5. L’automoteurs
Ce sont des bateaux équipés de moteur. Ils sont couplés et leur vitesse
est généralement élevée (8 à 15Km/h).
I.1.3.6. Le poussage
Dimensions Puissance
Unités
L(m) l(m) C(m) T(m) (CV)
Type A 16,25 3,65 1,20 0,46 2x125
Type B 56,30 11,18 2,28 0,67 2x390
Type I TB 54,00 15,00 2,50 1,50 2x695
Type I 33,10 8,00 1,50 0,90 2x220
68,80 10,90 2,80 1,20
Type K
40,00 15,03 2,50 1,20
40,00 12,50 2,40 1,30
Type L 36,04 12,50 2,20 1,20
59,00 12,50 2,40 1,20
71,25 9,50 0,64 1,50 2x280
Type Nkoy 71,25 9,50 0,64 1,50 2x300
71,25 9,50 0,64 1,50 2x650
Type O 63,92 9,00 2,50 2,00 800
Type FH 51,00 8,00 2,00 1,60 350
Type FJI 64,00 9,00 1,80 1,30 500
Type FPH 65,00 11,00 2,50 1,60 1.000
Type Nkoy 70,25 9,50 2,50 1,80 800
Type FW 80,00 11,00 3,00 1,60 900
Type V 80,50 11,50 2,50 1,60 1.000
Convoi en flèche
a
Année Académique 2011 - 2012
COURS DES TRAVAUX HYDRAULIQUES
Dispensé par : Prof. DIZONGO BODI
MS/GSE, Ir.BTP
b
c
Fig. 2 (a,b,c)
Année Académique 2011 - 2012
COURS DES TRAVAUX HYDRAULIQUES
Dispensé par : Prof. DIZONGO BODI
MS/GSE, Ir.BTP
Notes : Caractéristiques des bateaux type ONATRA
a. Le mouillage
I.1.4.1. Le mouillage
2 1
R3 . I 2
V=
n
La section du fleuve étant assimilable à un rectangle très large, on
considère son rayon hydraulique sensiblement égal au mouillage
R ≃H. n=0,033
- Mouillage
Le tirant en charge n’exerce jamais à 2m, soit m o > e m voir tableau ci-
avant présenté.
n = Le coefficient de rugosité
Rh=H
n :0,033j = projets.
Carte topographique
Caractérisation de la région
Déversoir
Barrage enrochement
Matériaux de la région
Déversoir
Q : Crue exceptionnelle.
Les travaux exécutés dans le lit d’un cours d’eau présentent des
contraintes telles que :
Ceci est généralement très onéreux et exige des délais travaux longs.
(Exemple RDC)
Inondation 1°/P.H.E
EAU tableau noyée/sec
Prise d’eau 2°/P.B.E
1) Mouillage
2) Pente et vitesse
Pour que le canal puisse être alimenté en eau en toute période, nous
avons donné au niveau statique de l’eau du canal une côte égale à celle
des P.B.E à la prise.
Section mouillée
a. La largeur
b. Le mouillage
c. La forme du profil
Dans les avant – projets, les valeurs des pentes adoptées habituellement
sont les suivantes :
𝐿2
2𝑏 =
4𝑅
Avec :
3/1
Enfoncement
l 3.00 l 1,50
0,50
51,00m 5,00m
2,50
3/1
33m
f= flèche de la courbure
A B
θ
0 R
II
III
IV
Section ordinaire
θ=π-β
R : 0 A=0B=0C=1200m
T : AD= R tg 𝜃
2
𝑓 𝑓𝑙è𝑐𝑒 = 𝐶𝐷 = 𝑅2 + 𝑇 2 − 𝑅
L : (ACB) = 2πθ/360
Dans les canaux, les pertes d’eau les plus importantes sont
celles qui sont reparties sur toute leur longueur. Il s’agit celles dues à
l’évaporation et à l’infiltration.
a. Evaporation (E)
E peut compenser Er
Infiltration
Formule de THORNTWAITE
a
(E T B)=c t
1,514
𝑡
𝑎=
5
1,6
𝑎= 𝐼 + 0,5 𝑆𝑒𝑟𝑟𝑎𝑠
100
𝑎
𝑡
𝐸𝑝𝐼 = 1,6 10
𝐼
Infiltration
Colmatassions naturelle
En crue
Cote du plan d’eau
En étiage
Distances partielles
Distances cumulées
En crue
Pentes en %
En étiage
Et
2 1 2 1
1
Q=V.S=𝐾. 𝑆. 𝑅 . 𝐼 = . 𝑆. 𝑅 . 𝐼
3 2 3 2
𝑛
Avec V : Vitesse moyenne
1
𝐾= 𝑐𝑜𝑒𝑓𝑓𝑖𝑐𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑟𝑢𝑔𝑜𝑠𝑖𝑡é
𝑛
−1
−1
𝑒𝑛 𝑆 .𝑚 3
𝑆
𝑚
𝑝
I : pente en (m/m)
(COWAN)
n : (n0+n1+n2+n3+n4)m5
= 0,01
= 0,020
Négligeables n3=0
n4= Végétation
Végétation Modérée
n4=0,010 à 0,025
Végétation importante