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C'est en 1986 que j;m Coetzee publie l'oeuvre Foe, c'est à travers la bibliothèque mentale de

l'auteur que cette œuvre est publié, en pensant à de la vie et des étranges aventures de Robinson
Crusoé que nous lecteur retrouvons une similitude avec l’œuvre Foe. L'auteur sud africain, propose
une réécriture postcoloniale de Robinson Crusoé. Le 20ème siècle est imergé d'une pensée
postcoloniale, c'est à dire de faire le lien avec le présent et le passé coloniale. L'auteur J.M Coetzee
agremente la littérature anglaise d'une pensée post-colonialiste. L'extrait que nous analiserons est à
travers le deuxième chapitre du livre, la lettre du 20 avril, et celle du 21 avril, Suzan le personnage
principale de l'oeuvre écrit des lettres à un certain auteur Foe, les lettres qu'elle écrit n'obtienne pas
de réponse dans notre extrait. C'est à travers une année au sein d'une île loin de Londres que Suzan
débute un échange épistolaire à sens unique. Ce n'est pas le seul que l'on apperçoit dans l'extrait, il y
a aussi Vendredi, un esclave, peut-être que sa présence fait le lien avec la pensée post-coloniale.
Nous allons donc nous demander comment à travers cet extrait de l'oeuvre du sud-africain, ?
Il s'agit de voir dans un premier temps une expérience particulière, ensuite d'une figure féminine
étrange . Et enfin, la forme épistolaire, un roman en mémoire.

Dans un premier temps, nous savons que l’œuvre à laquelle nous faisons affaire, prend le
contre-pieds d'un passé malheureux, celui de la traite négrière, nous savons par le paratexte, qu'il y a
la présence d'un esclave dans la vie de Susan Barton. L'époque ou sont écrit les lettres de Susan,
sont écrit vers 1719, c'est écrit à l'époque de l'esclavage et du colonialisme. OU apparaît cette figure
et ce lieux que cite Susan, c'est à dire le nouveau monde, ligne 21. Vendredi, est l'une des personne
qui a été amené dans ce nouveau monde, il faisait peut-être parti de ces personnes qui a été amené
de force dans ce nouveau monde. Ces personnes qui sont victimes de ce commerce triangulaire.
C'est la solitude qui prends une très grande place dans l'extrait. Beaucoup de vous sont
addressé, susan cherche le contact avec Foe, mais il n'y a aucune réponse en retour. Elle est seule
dans sa nouvelle vie. Cette femme instaure uen sorte de monologue, elle parle a une personne qui
n'est pas là. Le pire ici c'est que nous avons deux lettres, et entre deux les deux lettre, il n'y a qu'un
seul jour qui les sépare. Mais tellement que Suzan se sent seule, elle se sent obligée d'écrire, écrire
est un moyen de garder une contact avec la civilisation, des gens qui l'a ressemble, des gens avec
qui elle ne se sent pas étrangère. Néanmoins personne est là, personne ne lui répond, elle est seule.
Susan incarne d'une certaine manière la figure de Robinson Cruséo, même si la figure de Susan est
plus complexe, parce qu'elle est une femme. Les deux protagoniste se ressemblent sur de nombreux
point, ils sont tout deux des nauffragiés. Les deux se sentent seuls, parce qu'ils le sont, ils sont seuls
face à eux-mêmes, ce qui est le plus dur pour l'humain, parce que selon Durkheim les suicides
augmentent pas en temps de guerre, mais lorsque les humains se sentent délaissés par la
communauté. On voit que el début du texte et la fin sont d'une certaine manière oppposé, parce que
dès le début d'une lettre, comme celle du 20th April, elle interpelle un locuteur ( en 12 ligne du
début du texte, il y a 14 You). Et dès que la lettre commence à prendre fin, la narratrice commence à
reprendre le contrôle de la lettre, on retrouve en 28 I en 15 lignes.
A travers une expérience unique,
John Maxwell Coezee peind le monde à travers les eux de Susan, entre la ligne 30 à 38. On
comprend que Susan écrit à travers ces lettres, un récit de soi, on retrouve une écriture de soi à
travers les lettre de cette femme qui se sent aussi seule . Cet extrait tend même à un traité de
métaphysique parce qu'il établit un traité sur l'existence humaine, et sur le monde. De même qu'avec
« When I reflect on my story », il y a une réflexion métaphysique qui s'établit sur une existence. On
trouve dans les deux lettres des phrases qui sotn fractionnées découpés, décousus, même à travers
l'écriture on trouve une hétérogénéité du monde. Aussi dans les lignes 40, 41, 42, avce le mot












susbtance on n'y retrouve un parallélisme de construction, ce parallélisme de construction, établitet


image un double regard sur le monde, des échos différent sur le New age de l'amérique qui vient
d'arriver. Susan porte un regard sur le monde par l'auteur, ces yeux sont celle d'une femme, c'est
plus à travers la lettre du 20th avril que nous retrouvons une sorte de traaité de Métaphysique. Il
entreprend d’nscrire un regard sur le monde à travers une expérience personnelle que nous compte
Susan Barton, nous penons avoir à faire à un récit très personnelle, ce qui est dans un sens vrai.
Mais à travers une expérience unique et singulière, on y retrouve un panorama du monde.

Ensuite, on peut revenir que le personnage homni présent à travers l’exrait, c’est à dire ici
Susan Barton, cette femme déborde de sensibilité et dans un certain sens de sexualité. ‘Est sous-
entendu sont subtiles. Néanmoins on y retrouve une femme qui a beosin et qui dépend des homme,
elle dépend pour écrire son histoire de Foe, l’auteur qui ne répond pas à ces lettres. elle dépend de
l’homme qui l’aide sur l’île, c’est à dire de Cruso, c’est une femme qui dépend. Elle a une figure
très maternaliste avec la quête qu’ellle entrepred en voulant retrouver sa fille. ( ligne 31, did my
daughter come to be lost), elle parle avec un passé, comme si elle n’était pas encore perdu. Elle a
besoin d’attention pour combler le manque de sa fille. Elle se considère comme un fantome
cotoyant le véritable corps de Cruso, on oeut voir ici qu’ils ont peut-être eu des relations sexuelles,
et que les deux sont devenues sexuellement proche. Et aussi le plus, das une énumération ligne
37-38: I ate and I drank, I woke and I slept, I longed, elle termine dans son énumération sur le désir
un désr d’écrire, un désir sexuel. C’est donc un personne qui attire, qui désire, malgrè qu’elle soit
dans une île en tant que naufraggée, elle ne perd pas son besoin le plus précieux, la sexualité. Après
peut-être que ce n’est pas cela, mais à travers une demand qu’elle fait ligne 40: Return to me the
substance I have lost, Mr Foe, on peut comprendre peut-être une demande tendancieuse de la part
de Susan, elle donne son corps en échange de quelque chose, elle souhaite peut-êre l’appâter.
A travers ce personnage, John-Maxwelle Coetzee construit une figure fémine ambivalente, il
démontre peut-être la sous répresentation des femmes à travers la littérature, d’ou le contexte post
colonial serait un moyen d’arranger la société, d’instaurer des amélioration sciale, et ici pour les
femmes qui sont peu représenté au sein de la littérature. Dont on retrouve le souhait de Virginia
Woolf dans « A Room of one’s own », changer sa position sociale ne peut plus être rien, les
femmes sont réduite au silence, et si elles parlent elles ne sont pas écouté, dont les non réponses
que foe lui fait. Et elles sont oblige de s’excuser, elles s’excusent elles-même pour ne pas braquer
les hommes, elles s’excusent de parler. ( ligne 46: I ask your pardon, I was unjust). La société leurs
instaur une frontière dont elles nedoivent pas franchir.
Enfn, on siat qu’il y a la figure de vendredi, vendredi étant un esclave. D’une certaine
manière Susan est une esclave, parce qu’elle dépend des hommes qui l’entoure, ele ne sait pas
écrire, elle dit trop de choses, elle dépend d’un homme, de Foe pour écrire son livre. Elle dépend de
Cruso pour survivre, et elle donne son coprs en contre partie d’une certaine façon, ce n’est pas une
prostitué, mais néanmoins, on retrouve une certaine forme d’esclave dans la figure de Susan.
La figure fémine est donc une figure complexe, elle port un regard sur le ouveau monde, elle
décrit un panorama historique. Nénamoins lles clichés autour de la femme sont grandeur inclues, la
sensualité, la sexualité, la sottise, la soumisse, l dépendnace. Dans un certain sens, l’auteur sud-
africain, dénonce ces clichés.

Pour terminer, la forme du journal, le format de la lettre, comme n’ayant pas de lecte direct





se tranforme en un journal découpé, fragmenté. On ne sait pas si les lettres ont été lu, on ne siat pas
si on va lui répondre. Donc elle écrit un journal intime, parce qu’elle écrit son histoire. C’est une
écriture en témoignage, le narrateur est interne, il y a une focalisation interne dans le texte. Si elle
meurt. Le 22 avril par exemple, il lui restera les lettre, ces lettres sont des sorte de témoignages, se
sont des parties d’elle, les lettres sont elles. Et on peut dire qu’en envoyant autant de lettre et
auxquelles on ne répond pas, on peut penser qu’elle s’épuise elle même dans ce « non »-échange
épistolaire. Elle donne des parties d’elle, elle se consumme. Même si on voit que la prose de Susan
est infantine, elle restitue malgrè tout une histoire lacunaire. C’est donc une écriture en mémoire qui
s’établit. Avec sa prose iinfantine, elle n’a pas l’étoffe d’une romancière, mais elle essaye. Elle dit
beaucoup de choses à la suite, elle n’institue pas un récit clair, comme dans le premier paragraphe
du texte, dans une lettre elle parle de nombreux sujet, le lecteur n’a pas le temps de se reposer.
Comme aves les lignes 17 et 40, dans la ligne 20, on voit les phrases sont simples, sujet, verbe et
complément. Parce qu’elle ne maitrise pas les code de l’écriture. Avec les lettres on voit que le
personnage de Susan est un personnage torturée. Elle se sent seule et veut avoir contacte avec des
personnes dud monde extérieur, des personnes de Londres, des perosnnes qui pour elles lui
ressemblent.
A travers le format de la lettre, elle construit un panorama historique. Construite un roman
par lettre, rapproche directement le récit avec le lecteur, le lecteur fait face avec un roman de la
sensiilité. Ce panorama historique est iincrit temporellement dans un contexte colonialiste et même
le leiux on est Susan fait reference au passé coloniliaste et esclavagiste des états occidentaux. Dans
la ligne 33: on retrouve la Brazilina Forest, le récit par la sensibilité de Susan Barton cache le
contexte, comme les occidentaux qui n’assument pas leur passé colonialiste, le fait de créer un
décor colonialiste, retranscrit à merveille le présent. Les états occidentaux n’assument pas que leur
histoire est inscrant dans un contexte aussi inhumain que la traite d’humain, et ici la traite négrière.
Même le format de l’île qui ets un endroit caché de tout, contribue à créer l’image d’un souhait de
dissimuler un passé pas très fameux. On retrouve aussi malgrè certaine élément qui nous montre
que Susan fait partie de cette traité, elle cite dans la ligne 32: « How did I survive among strangers
thos two long years », elle les montre comme des étranger alors qu’elle aussi n’est pas d’ici, on
pourrait aussi la qualifier d’étrangère.

En conclusion,
l’oeuvre de John-Maxwell Coetzee s’inscrit parfaitement dans un context post-colonialiste, par la
figure de Susan en particulier, et les jeux entre le présent et le passé. On établit et restitue en grande
partie le désartre et on conserve à travers le format du roman, que la mémoire sera toujours perpétué
par les livres, personne n’oubliera.

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