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Université Sidi Mohamed Ben Abdellah

Faculté des Lettres et Sciences Humaines Saïs-Fès


Département de Langue et Littérature Françaises
Filière : Etudes françaises
Semestre 6
Année universitaire : 2019-2020

Cours de Littérature négro-africaine


Pr. Abdelmounïm EL AZOUZI

Œuvre au programme :

- Sembene Ousmane, Les Bouts de bois de Dieu, Presses Pocket, Paris,


1960

1- Héroïsme et révolte :

La situation coloniale génère chez les personnages des romans africains

un malaise entraînant des comportements à la hauteur de leur condition de

colonisés, mais aussi parfois des attitudes irrationnelles et névrotiques que les

colonisateurs n’arrivent pas à comprendre. De ce point de vue, Sembene

Ousmane, en tant qu’observateur et analyste de la situation du colonisé est

conscient du fait que la domination coloniale génère des troubles

psychologiques chez l’individu, et qui diffèrent suivant l’acuité de la

domination. Il résulte ainsi, dans l’œuvre littéraire, chez le personnage une sorte

de délire verbal provoqué par la difficulté de parler et de s’exprimer. Au

contraire, l’écrivain, figure emblématique de la lutte et de l’éveil des

consciences se rend compte de la nécessité d’une expression littéraire et

artistique. Et c’est justement ce que fait Sembene Ousmane dans Les bouts de

bois de Dieu, roman de dénonciation et de révolte. La parole y est donnée aux

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grévistes africains qui se soulèvent contre l’oppression coloniale. Si le

colonisateur procède à un véritable gommage d’une culture africaine enracinée

dans le temps, à travers l’aliénation du peuple, on assiste parallèlement à un

réveil de la communauté africaine, à une prise de conscience identitaire et une

volonté de revalorisation culturelles dont l’œuvre romanesque de Sembene

Ousmane est l’un des symboles les plus remarquables. Dès lors, on ne peut

récuser l’assertion selon laquelle le projet des écrivains africains s’inscrit

largement dans un processus de revalorisation et de réanimation positive.

De ce point de vue, Bakayoko est un héros parce qu’il incarne la

conscience de son peuple. Personnage à la personnalité forte, il est le meneur et

l’éveilleur des consciences, bien que son apparition dans le roman ne soit pas

fréquente et sa présence textuelle ne soit pas forte. Son esprit guide l’action des

grévistes qui s’engagent dans une lutte acharnée contre l’exploitation étrangère.

Bakayoko possède les caractéristiques d’un être fort par une longue expérience

de combat contre le système colonial. Mis symboliquement au devant de la scène,

il inspire les grévistes dont les actions sont déterminantes dans la transformation

de l’ordre social établi. En définitive, la notion de héros dans Les bouts de bois de

Dieu relève de procédés structuraux internes à l’œuvre et principalement de

procédés à référence à des systèmes de valeur, donc à une vision des choses et du

monde. Bakayoko n’est véritablement un héros que parce qu’il assume et incarne

les valeurs de l’auteur, lequel s’efforce de véhiculer à travers son aura des

messages prônant le changement, l’équité et le progrès Et c’est en cela que

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Sembene Ousmane est un romancier engagé. Si Bakayoko dans Les bouts de bois

de Dieu n’organise pas l’univers fictif, tâche assumée par un narrateur extérieur,

il assure la fonction de renvoi à un univers culturel et social africains.

2- Espace, réalisme et signification :

L’espace dans lequel se déroule généralement le roman africain est un

espace tragique et symbolique. C’est cet espace tragique du silence, de l’absence

qui constitue le noyau de la fiction. L’espace entretient des relations étroites

avec le personnage, relations dictées par le fait que le personnage fréquente

l’espace qui est son abri et son support. C’est dans cette perspective, alors, que

doit être perçue l’inter-influence des deux : le personnage porte les signes de son

milieu et réciproquement, ce milieu sert de cadre à l’action du personnage. Cette

dialectique fait que l’espace détermine, entre autres, les rapports qui se tissent

entre les personnages. Les lieux dans lesquels le protagoniste opère ont un

impact sur le mode d’existence de celui-ci. En somme, le personnage laisse des

empruntes dans l’espace qu’il fréquente, et vice versa. Ainsi, l’espace

romanesque négro-africain de la période coloniale est caractérisé par la dualité.

D’une part, nous avons l’espace du colonisateur, d’autre part celui du colonisé.

Le premier est euphorique, le second est dysphorique. Rien ne semble les unir.

La dualité spatiale fait ressortir deux blocs radicalement opposés.

D’emblée, cette dichotomie pose au personnage le problème d’intégration

tout en gardant le sentiment d’appartenance à l’espace négatif. Sachant que

l’entrée à l’intérieur du quartier européen ne peut pas être sereine, le personnage

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est tourmenté. Dans le cadre de cette distinction entre les deux espaces, il est à

noter qu’à l’ordre de l’espace européen s’oppose le désordre de l’espace

indigène. Dans Les bouts de bois de Dieu, l’espace qui sert de cadre à l’action

des grévistes est placé sous le signe du désordre et de la promiscuité. L’indigène

va jusqu’à y perdre son humanité puisqu’il s’y trouve pris entre le marteau de la

misère et l’enclume de l’aliénation. L’espace du colonisateur est, au contraire,

celui de la richesse et de l’opulence. Cette logique antithétique va de pair avec

les relations entre les Blancs et les Noirs et explique l’idéologie coloniale.

L’espace du colonisateur est le fief d’une civilisation monstrueuse qui

aliène l’indigène. Il est géographiquement séparé de celui du colonisé, isolé.

Ainsi, les comportements des personnages sont l’expression continuelle de leur

psychologie. Ils sont la traduction d’un état d’âme, d’un tempérament. Cela

s’applique aux personnages Les bouts de bois de Dieu, roman réaliste à plusieurs

égards. Des incidents nous transmettent des messages concernant leur

personnalité. La vision réaliste apparaît ainsi dans le fait qu’il y a un accord entre

le personnage de roman et la réalité vécue. Les actions et les désirs des

personnages trouvent un support réaliste qui leur donne une certaine

intelligibilité. C’est d’ailleurs des désirs humains. On est proche de la réalité.

Dans le roman de Sembene Ousmane, on trouve la résurrection volontaire d’un

passé vécu ou d’une réalité côtoyée. Influencé par la tradition romanesque

occidentale classique, l’auteur mêle une chronique historique de la grève des

cheminots noirs du Dakar-Niger et une histoire fictive dont les éléments versent

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dans l’épique, à travers la mise en scène de personnages singuliers. S’il est vrai

que le romancier ne copie pas à la lettre des faits historiquement repérables, il

n’en demeure pas moins vrai que le passage de ces faits à la fiction les dote d’une

grande épaisseur. Toujours est-il que la matière historique du roman a pour

source les annales de l’histoire du mouvement ouvrier noir dont la genèse était

dictée par la lutte contre le capitalisme, bras droit du colonialisme.

Dans le roman, la stratégie adoptée des commencements et des fins

permet de construire un cadre temporel où les individus se déplacent et passent

d’une expérience à une autre. Le personnage est structuré psychologiquement et

sa personnalité est richement détaillée. Chez Sembene Ousmane, on est

renseigné sur la personnalité et la psychologie du personnage avant qu’il ne soit

intégré à l’histoire. Cette conception du personnage et du roman en général est

justifiée par le fait que le roman chez Sembene Ousmane, comme chez bon

nombre de romanciers négro-africains, est une force sociale qui alterne

pessimisme et optimisme pour montrer la réalité d’un continent qui a souffert du

régime colonial et qui ne donne que peu de signes prometteurs d’une

amélioration par le biais d’un changement des conditions sociales. L’allusion à

l’histoire syndicaliste de l’Afrique rappelle le parcours atypique de Sembene

Ousmane en tant que docker au port de Marseille où il s’initia au militantisme

syndical dans les rangs de la CGT française. La grève qui constitue la toile de

fond des Bouts de bois de Dieu rappelle celle effective des cheminots du Dakar-

Niger en 1947-1948. Ainsi, les mots et les gestes des personnages se

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rapportent à cette sensation historique et traduisent des sentiments largement

partagés. De ce fait, la présentation littéraire du sujet contribue à une idéologie

dominante de ce sujet qui reflète l’ordre social établi. Sa personnalité est

présentée en fonction du système hiérarchisé qui ressort à son tour du système

social où il est intégré. Ce système reproduit des structures politiques et sociales.

La relation qui existe entre le romancier et la société montre ses tendances

réalistes. L’omniscience du narrateur et les longs commentaires et explications

sur l’histoire racontée doivent avoir comme but principal de préserver et de

garantir l’illusion réaliste.

3- Récit principal et récit secondaires :

Dans Les bouts de bois de Dieu, le thème de la grève constitue l’épine

dorsale du récit. La trame narrative laisse, toutefois, apparaître des récits

secondaires dont les plus significatifs sont :

1- Le récit de la vie menée dans la concession des Bakayoko, avec

l’insistance sur les composantes de la famille africaine traditionnelle

caractérisée par le respect rigoureux d’une hiérarchie mise au service

de la cohésion familiale. Ce récit montre également l’esprit qui encadre

et précède la grève, en mettant l’accent sur la solidarité du clan,

prélude à la solidarité syndicale.

2- Le récit, sous forme d’analepse, des souvenirs de Doudou, l’une des

figures emblématiques de la grève, à côté de Lahbib et Bakayoko.

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Doudou représente l’engagement sous toutes ses formes, et permet à

l’auteur de jeter la lumière sur une jeunesse africaine assoiffée de

changement et de progrès. Les valeurs humaines incarnées par Doudou

constituent le socle sur lequel devrait être bâtie une nouvelle société

africaine.

3- Le récit relatant l’histoire de Sounkaré, ainsi que sa fin tragique,

consacre une place prépondérante au sort réservé aux briseurs de

grève. Fanatique, égoïste et mauvais, Sounkaré n’a pas cru en la

solidarité, et meurt dans la solitude d’une mort tragique et humiliante.

Il a ainsi payé, entre autres, la méchanceté qu’il a affichée en se

réjouissant du spectacle sanglant de la fusillade par les troupes, dont

étaient victimes les grévistes. Considérant que ce qui arrive à ces

derniers relève du châtiment divin, il n’a pas pu éviter sa chute ultime.

4- Penda, la prostituée jouit d’un statut particulier dans le roman. Elle est

l’exemple de la femme libérée de toutes contraintes familiales et

sociales, l’empêchant de s’affirmer en tant qu’individu autonome,

contrairement à la femme africaine traditionnelle soumise. Son rôle

était déterminant dans la marche des femmes, où elle a associé un

courage à une abnégation exemplaire. En dépit de sa place défavorisée

dans une société où règne l’intolérance, elle a toujours été au service

de sa communauté et a fait passer les intérêts du groupe avant les siens.

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5- Système et fonctions de la description :

La description dans les romans de Sembene Ousmane, en général, tient

une place de choix. En effet, elle n’y est nullement subordonnée au récit. Elle ne

se contente pas de paraître comme une gamme de simples indications passagères

visant à instaurer une « dominante » textuelle qu’à caractériser (« caractères »,

noms, attributs …) un certain nombre d’objets ou de personnages. Elle est, au

contraire, présente avançant côte à côte avec la narration et le dialogue sans

jamais paraître ni étrangère, ni gratuite à l’attention du lecteur. Ainsi, les deux

éléments fondamentaux, la narration et la description, s’interpénètrent quelques

fois au point de ne pas pouvoir les séparer. Le texte devient, par ailleurs, un

objet en même temps qu’il renvoie à un univers dénotatif, référentiel,

extratextuel. Il devient aussi le signifiant d’un signifié social et historique.

Le savoir que le système descriptif introduit dans Les Bouts de bois de

Dieu est multiple : savoir sur le monde, savoir sur le langage (les mots, le

lexique, etc.). De façon générale, la description est l’art de répartir des

informations sur des objets et des sujets selon un ordre qui correspond à une

stratégie qu’adopte le narrateur pour raconter son histoire dans un temps et un

espace déterminés. R. Barthes parle « d’indices » et de « fonctions ».

Représentation de l’objet romanesque, la description est au départ

ornementation. Ainsi, toute description apporte un supplément d’information. Le

narrateur qui, dans l’univers romanesque de Sembene Ousmane, décrit, par

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exemple, le village, la société, la famille, la misère, les personnages, amorce un

travail documentaire. Ainsi, se constitue une vision du monde, et la

caractérisation d’un personnage ou d’un lien nous fournit des informations

nécessaires sur un univers extralinguistique. Décrire, c’est donc énoncer,

énumérer, définir, nommer, mais également suggérer. La description n’est

jamais gratuite, donnée uniquement pour le plaisir de décrire. C’est à travers la

description que nous accédons à la psychologie des personnages, à leurs désirs

et aspirations. Soulignons ici le caractère cinématographique de la description

chez Sembene Ousmane, reconnu également comme un grand cinéaste. Le souci

du détail détermine la vision de l’auteur qui associe le lecteur à ses univers

fictifs. Par ailleurs, chez Sembene Ousmane, la démarche ostensible de la

description est exprimée parfois par l’investissement humoristique, puisque

quelques descriptions de lieux ou de personnages contiennent une grande part de

comique. Ainsi, le tragique de certaines situations se trouve atténué au profit

d’une dédramatisation d’une réalité placée sous le signe de la tension. La

description progresse, de ce point de vue, suivant le déroulement de l’action. La

description des cadres où se déroule l’histoire romanesque possède un rapport

d’influence sur l’action racontée.

En effet, le regard descriptif que le narrateur porte sur les différents lieux

possède en plus de sa fonction de présentation, celle de dessiner, de délimiter

les axes de l’action. Ainsi, le point de vue descriptif oriente l’action romanesque

et anime la progression du récit. Loin d’être passive et inutile, la description

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est, donc, dynamique et expressive. Les déplacements du regard sur les

différents milieux fait de la description un élément dynamique dans la mesure où

ce regard établit des rapports entre les différentes parties de l’objet décrit. La

forme et le sens descriptifs sont, ainsi, d’une importance capitale. Le narrateur

s’attache parfois aux détails caractérisant les personnages et les lieux. Ces

détails fourmillent de signification et l’objet est débordé par sa fonction et son

fonctionnement.

Disons, pour récapituler, que la description chez Sembene Ousmane a

plusieurs fonctions : esthétique, symbolique, psychologique, dramatique, etc. Le

cadre spatial dépend de l’intrigue et révèle les personnages et les situations. La

description de l’espace et des personnages n’occupe pas des pages entières, mais

elle est mêlée à l’action qui ponctue les passages descriptifs. La description est

ainsi au service de la narration. Cette technique permet d’alléger et de dynamiser

le lieu. Le lieu n’est pas fixe, le cadre n’est pas immuable. Il est quelques fois

décrit au fur et à mesure que le personnage y pénètre.

L’entrée du personnage conditionne la description des objets (Cf. La

description de Niakoro, de Dejean et Mabigué, entre autres). Le lecteur découvre

l’objet suivant le mouvement du personnage. Ainsi, la description n’est pas

stéréotypée. Elle suit également l’état d’âme du personnage. Un état d’âme

tourmenté ne peut donner lieu qu’à une description hachée, désordonnée.

Sembene Ousmane peint, entre autres, les scènes de la vie africaine ainsi

que la nature et ces paysages. La description des lieux correspond à celle des

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personnages. La description de Thiès comme ville fantôme, par exemple,

accentue le côté dramatique de la situation du personnage qui s’y trouve. C’est

là où la description remplit une fonction dramatique et entretient des rapports

étroits avec l’intrigue et les personnages. Le désir de se révolter et de se

débarrasser de la misère apparaît chez les grévistes comme étant un remède à

l’angoisse qui le torture. Ce désir est motivé par le heurt entre eux et les

représentants de l’administration coloniale.

En définitive, la description chez Sembene Ousmane ne se contente pas de

sa fonction décorative et ornementale, mais possède une fonction explicative et

symbolique. Les portraits et les réflexions internes des personnages sont, en

définitive, révélés par les procédés descriptifs. Le descriptif, dans ce cas, sert

avant tout à assurer un « effet de réel » puisqu’il est le découpage d’un monde

déjà découpé par l’expérience du réel. « L’effet de réel » est inséparable d’un

« effet de liste ». Le texte, en découvrant l’architecture global de l’objet décrit

ainsi que les objets qui meublent son intérieur, décline un savoir sur le monde en

même temps qu’une liste de « mots » et de « choses ». La description dans les

romans de Sembene Ousmane est, en grande partie, conditionnée par le souci de

réalisme. Elle repose sur le double exercice de la dénomination et de la

classification. Le descripteur, savant sur le monde, sur les mots, fait preuve d’un

savoir-faire grâce auquel il choisit une portion d’espace, un fragment

d’expérience qu’il cadre et range des cases de grilles et de structures de

« rangement » organisées.

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6- Le thème de la religion :

Le thème de la religion est important dans Les bouts de bois de Dieu. Il

permet à l’auteur de dévoiler et dénoncer l’hypocrisie des représentants de la

religion musulmane, à savoir en particulier Mabigué, le frère de Ramatoulaye.

La contradiction entre la personnalité de Mabigué et les préceptes de l’Islam le

tourne en dérision et aboutit à son échec. Elle remet en cause même sa culture et

ses compétences. Le grotesque de ce personnage est dévoilé par sa sœur

Ramatoulaye qui n’a pas hésité à mettre à nu sa fausse dévotion, lorsqu’il a sapé

les fondements de la religion dont il se revendique pour mettre en avant sa

cupidité et son égoïsme (Cf. leur dialogue). Mabigué est comique par son allure

et ses interventions ridicules par lesquelles il croit domestiquer des gens, certes

crédules et naïfs pour la plupart, mais qui commencent à apprécier le goût du

changement.

Les marabouts de l’Islam détournent le message de Dieu et l’adaptent à

leurs propres intentions, leur fonction étant de défendre leurs intérêts. Leur

mission dépasse, ainsi, son sens religieux pour devenir une simple profession

« bien rémunérée » pour certains, puisqu’ils sont des gens matérialistes.

Ainsi, la dénonciation des pratiques louches de ces marabouts de la part

de Sembene Ousmane n’est pas une position contre la religion vue dans son

sens humaniste et transcendant, mais contre l’exploitation ignoble de cette

12
religion. L’auteur prône une religion de tolérance reconnaissant le droit de

l’homme à la liberté et à l’épanouissement.

• Quelques repères dans l’œuvre :

- La préparation et la décision de grève à Bamako.

- L’arrivée des délégués syndicaux à Thiès, et le premier affrontement

entre les grévistes et les troupes, puis la mort de l’un des fils jumeaux

de Maïmouna l’aveugle.

- Installation de la grève et rôle croissant des femmes.

- Difficultés économiques.

- Le jugement de Diarra, le contrôleur.

- L’arrestation de Fa Keita.

- Tentative de corrompre Doudou.

- Le retour de Bakayoko.

- Pourparlers et échec.

- La marche des femmes.

- Le meeting.

- La fuite de bakayoko.

- Le sabotage et le dénouement prometteur.

13
Bibliographie

• Maurice AHANHANZO GLELE, Religion, politique et culture en Afrique

Noire, Editions Economica, Paris, 1981.

• Martin BESTMAN, Sembene Ousmane et l’esthétique du roman négro-

africain, Editions Naaman, Sherbrooke, Québec, 1981.

• Roger CHEMAIN, l’Imaginaire dans le roman africain, L’Harmattan, Paris, 1986

• Jacques CHEVRIER, Littérature nègre, Armond Colin, Paris, 1984.

• Edward ELIOT, Panorama de la littérature négro-africaine, Présence

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• Lylian KESTELOOT, Les écrivains noirs de langue française : naissance

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• Henri LEMAITRE, Dictionnaire des littératures de langue française,

Bordas, Paris, 1985.

• Pius NGANDU NKASHAMA, Ecriture et discours littéraires, L’harmattan,

Paris, 1989.

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