Vous êtes sur la page 1sur 5

1/Fait une analyse objective de vos résultats du 1ère semestre pour

chaque module et comment cous allez prendre pour les améliorer:

-Le premier semestre de cette année a été un semestre plein de travail et de sérieux car
j’ai beaucoup étudié , et mes notes étaient bons , ma moyenne en Mathématique était
13.5 , et en Ondes et Vibration 14.4 . quant à Mécanique des fluide ma note n’étaient
pas au niveau , et c’est parce que je ne les espérais pas bien au examen aloes j’ai eu
une moyenne de 10.2 , et en Mécanique rationnelle 11.2 . à propos de les TP mes
notes étaient bonnes entre [11-15] , concernant la Métrologie ma note était tres faible ,
mais j’ai compenser avec la Technologie de bas .
-Avec ces points j’ai eu de bonne moyenne car j’ai bossé pour Améliorer mon niveau
Pédagogique ainsi intellectuelle.

2/ Il a été constaté que beaucoup d’étudiants s’absentent aux cours et


aux TD et que les fraudes prennent de plus en plus d’ampleur , quelles
sont les causes ; donnez votre point de vue:
☆ Mon points de vue sur les causes d'absentéisme des étudiants aux cours et aux TD

- les textes régissant les enseignements dans le système LMD considèrent obligatoire
la présence dans les travaux dirigés et les travaux pratiques, ceci n’est pas le cas pour
les cours magistraux où elle est juste… recommandée ! Et c’est justement, parce qu’il
n’y a pas de fiche de présence que bon nombre d’étudiants en profitent pour sécher les
cours.

- C’est là évidemment une grosse erreur, car les cours servent à apporter les
connaissances indispensables en travaux dirigés (TD) et en travaux pratiques (TP). En
fait, trois éléments m’amènent à aborder ce sujet.

– D’abord, l’absentéisme aux cours magistraux constitue la cause majeure de l’échec


des étudiants à l’université. De ce fait, la lutte contre ce phénomène doit constituer
une urgence et une priorité absolue devant mobiliser tous les membres de la
communauté universitaire.

– Ensuite, il est évident que les étudiants habitués à bouder les cours durant leur
cursus universitaire n’auront pas toutes les compétences nécessaires leur permettant
d’avoir de réelles chances de réussite et d’insertion dans le monde du travail.

– Enfin, on constate que d’année en année, ce phénomène s’aggrave et tend à se


banaliser. Il y a donc urgence de tirer la sonnette d’alarme et de réfléchir sérieusement
sur les causes de l’absentéisme en cours magistraux afin de pouvoir envisager,
objectivement, les mesures à même de réconcilier les étudiants avec les bancs des
amphithéâtres.

Objectivement, car les solutions existantes, notamment les sanctions et les mesures
coercitives sont peu efficaces. Elles ont, au contraire, tendance à favoriser une autre
forme d’absentéisme : le présentéisme contemplatif sur lequel, je reviendrai un peu
plus loin.
☆ les causes de l’absentéisme à l’université ?

- un drôle de comportement des étudiants préférant roder à longueur de journée dans


les couloirs et les recoins de la fac, plutôt que d’assister aux cours et nous ne savons
pas trop quoi faire. Pourtant, face à n’importe quel problème, le plus judicieux est
d’en explorer les causes pour pouvoir envisager des solutions. A priori, on pourrait
penser qu’enseignants et étudiants se renvoient la responsabilité. Mais les causes
réelles de l’absentéisme universitaire sont plus complexes.

- les raisons de leur absence consciente aux cours, nombreux sont ceux qui arguent du
fait que les cours académiques soient longs et ennuyeux et que leur présence
n’apporte rien de plus par rapport aux supports dont ils disposent. D’autres se
plaignent de charges d’enseignement trop lourdes et d’emploi du temps trop chargés.
Il est à noter aussi que certains étudiants choisissent les cours en fonction de
l’enseignant, de sa maîtrise du cours et de son enthousiasme à transmettre les
connaissances.

- D’autres par contre avancent des raisons d’ordres social et personnel. Pour s’assurer
un semblant d’autonomie financière, ou tout simplement venir en aide à leurs
familles, ces étudiants exercent, parallèlement à leurs études, un boulot à temps
partiel, en se livrant à des activités souvent aléatoires et, dans bien des cas, à des
emplois précaires aux lendemains incertains : simples vendeurs, ou téléopérateurs
dans un centre d’appel.

- Enfin, y a ceux qui ont tout simplement du mal à se projeter dans l’avenir et
s’investir corps et âme dans leurs études faute de modèles, dans leur entourage
proche, de quelqu’un, qui, disent-ils, «a fait des études et a réussi» ! Lorsqu’on
combine cet état d’esprit avec des difficultés d’apprentissage objectives liées à une
mauvaise orientation à l’université ou tout simplement héritées du cycle secondaire, le
décrochage est prévisible, voir programmé.

- En effet, l’absence aux cours, en particulier chez les nouveaux étudiants, s’explique
souvent par des difficultés à suivre un rythme d’apprentissage pour lequel ils sont peu
ou pas préparés au lycée. Assistant à ses premiers cours, l’étudiant découvre un grand
changement sur le plan des contenus.

- L’enseignant tient un langage peu familier, employant un vocabulaire souvent


technique qui ne facilite pas sa compréhension. L’encadrement et l’implication du
corps enseignant sont beaucoup plus restreints qu’au lycée. Dans son environnement
nouveau, l’étudiant découvre, à son corps défendant, un enseignant qui ne lui porte
plus le même regard que lui portaient ses enseignants du secondaire.

- En outre, la prise de notes comme méthode efficace de mémorisation, constitue pour


lui un exercice difficile lors de la transition entre le lycée et l’université. Alors, au lieu
de faire un effort personnel qui lui permettra de surmonter cette période d’adaptation,
il cède plutôt à la tentation de l’absentéisme. En définitive, les causes de
l’absentéisme étudiant sont donc multiples et hétérogènes.

☆ Comment prévenir alors l’absentéisme à l’université ?


- Malgré toute l’importance de la formation théorique, le constat est bien là.
L’absentéisme aux cours magistraux a atteint un seuil intolérable dans nos universités.
Alors faut-il pour autant, rendre les cours obligatoires ? Du moins dans les modules
des unités d’enseignement dites fondamentales ? Faut-il instituer l’obligation
d’assiduité aux étudiants en 2e cycle de formation (M1 et M2) et en dispenser ceux du
1er cycle (L1, L2 et L3) ?

- Ou laisser le caractère obligatoire de la présence de l’étudiant au cours magistral à


l’appréciation de l’équipe pédagogique ? Faut-il revoir en profondeur les modalités
d’admission et d’orientation des étudiants à l’université ? Faut-il faire de l’obligation
d’assiduité une contrepartie du bénéfice des bourses ?

- L’expérience a montré que la gestion des absences par la sanction ne conduit qu’à
une amélioration fictive de la situation et a plutôt tendance à augmenter le
présentéisme passif, et/ou contemplatif. C’est-à- dire que l’étudiant est présent
physiquement sans être complètement opérationnel. C’est une forme d’absentéisme,
qui en plus des cours théoriques, touche aussi les travaux dirigés.

- En revanche, opter pour des stratégies d’évaluation qui prennent en compte les cours
théoriques, peut conduire les étudiants absentéistes, sinon à regagner les bancs des
amphithéâtres, à apprendre à être autonomes, dès la première année universitaire,en
travaillant de façon régulière et efficace en utilisant leurs propres supports
pédagogiques.

- Ceci d’une part. D’autre part, le tutorat tel que défini et prévu dans les textes
régissant les enseignements dans le système LMD (licence, master, doctorat) et dont
la concrétisation peine malheureusement à se concrétiser sur le terrain, vise à
accompagner l’étudiant durant tout son cursus universitaire.

- En tant qu’accompagnateur et confident, le tuteur est bien placé pour rendre


confiance à l’étudiant et lui faciliter la transition entre le secondaire et l’université.
Une fois la période d’adaptation passée, le tuteur veillera à maintenir et à développer
la motivation chez l’étudiant durant toute sa formation.

- Ceci étant, il est aussi évident qu’une mauvaise orientation à l’université contribue à
accentuer le phénomène de l’absentéisme. De nombreuses incohérences et
inadéquations s’observent en effet, entre les filières d’orientation des étudiants et leurs
parcours au cycle secondaire. Il est évident qu’une orientation subie ou incompatible
avec les résultats pédagogiques de l’étudiant, engendre chez lui une sorte de
démotivation qui le conduit droit à l’échec. En revanche, lorsque l’orientation à
l’université s’opère de façon convenable, le taux d’échec par manque de motivation
ou «manque d’intérêt» est nettement réduit.

- Enfin, il est peut-être temps de réexaminer en profondeur le système d’aide


financière aux étudiants de manière à venir en aide à ceux qui sont en situation
d’indépendance familiale avérée et attestée par une enquête sociale (étudiants mariés,
avec famille à charge ou dont la contribution des parents est insignifiante ou n’est pas
considérée obligatoire).
- Souvent, cette frange d’étudiants est contrainte à déserter les bancs pour exercer une
activité connexe. Le niveau d’aide accordé à chaque étudiant doit donc être estimé en
fonction de ses besoins et de ses ressources. L’effort de l’Etat pour les étudiants
boursiers est conséquent, il doit donc être utilisé à bon escient.

- Disons pour conclure que, dès ses premiers pas à l’université, l’étudiant doit prendre
conscience de l’importance de l’assiduité dont il doit faire preuve en prévision de son
insertion professionnelle future car en milieu professionnel, se discipliner sera une
attitude obligatoire à adopter. L’université constitue le cadre idéal pour s’y habituer .

3/Pouvez évaluer vos enseignants et quelles sont les critères


que vous allez prendre en compte ; donner des exemples
précis:
☆ les critères d'évaluation des enseignants :

Cette démarche permet aux enseignants d’avoir un retour des étudiants sur certains
aspects de leur enseignement (l’organisation du cours, les supports de cours, les
méthodes pédagogiques, les interactions, les évaluations ). Elle peut être une source
d’informations pertinentes par rapport à des points précis qui questionnent.

Elle permet également aux étudiants d’exprimer leur point de vue au sujet de
l’environnement et d’aider les enseignants à mieux cerner leurs attentes et
préférences.

Pour évaluer l’enseignement il faut recueillir des informations auprès de trois sources
principales :
-1) les étudiants.
-2) les pairs ou un comité de pairs.
-3) l’enseignant lui-même.

4/L'urbanisme en Algérie laisse à désirer; on a l'impression


que tout se fait à la va vite et sans planification, les
promotions immobilières poussent de partout sans foi ni loi,
comment expliquez cette situation:

☆Expliquons la situation de l'urbanisme en algerie .

- A mon avis il faut mettre fin au phénomène des constructions inachevées ce


phénomène qui défigure les villes sur le double plan urbain et esthétique, et ce à
travers le recours à toutes les procédures juridiques et opérationnelles nécessaires.
Même
- Il faut œuvrait en coordination avec les départements ministériels concernés "à
l'amélioration et la révision des différents textes de loi régissant les règles relatives à
l'aménagement et à l'urbanisme, en fonction des besoins constatés sur le terrain ainsi
que du contrôle de l'expansion du tissu urbain dont la loi relative à l'urbanisme et les
autres textes réglementaires".

Vous aimerez peut-être aussi