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-Le premier semestre de cette année a été un semestre plein de travail et de sérieux car
j’ai beaucoup étudié , et mes notes étaient bons , ma moyenne en Mathématique était
13.5 , et en Ondes et Vibration 14.4 . quant à Mécanique des fluide ma note n’étaient
pas au niveau , et c’est parce que je ne les espérais pas bien au examen aloes j’ai eu
une moyenne de 10.2 , et en Mécanique rationnelle 11.2 . à propos de les TP mes
notes étaient bonnes entre [11-15] , concernant la Métrologie ma note était tres faible ,
mais j’ai compenser avec la Technologie de bas .
-Avec ces points j’ai eu de bonne moyenne car j’ai bossé pour Améliorer mon niveau
Pédagogique ainsi intellectuelle.
- les textes régissant les enseignements dans le système LMD considèrent obligatoire
la présence dans les travaux dirigés et les travaux pratiques, ceci n’est pas le cas pour
les cours magistraux où elle est juste… recommandée ! Et c’est justement, parce qu’il
n’y a pas de fiche de présence que bon nombre d’étudiants en profitent pour sécher les
cours.
- C’est là évidemment une grosse erreur, car les cours servent à apporter les
connaissances indispensables en travaux dirigés (TD) et en travaux pratiques (TP). En
fait, trois éléments m’amènent à aborder ce sujet.
– Ensuite, il est évident que les étudiants habitués à bouder les cours durant leur
cursus universitaire n’auront pas toutes les compétences nécessaires leur permettant
d’avoir de réelles chances de réussite et d’insertion dans le monde du travail.
Objectivement, car les solutions existantes, notamment les sanctions et les mesures
coercitives sont peu efficaces. Elles ont, au contraire, tendance à favoriser une autre
forme d’absentéisme : le présentéisme contemplatif sur lequel, je reviendrai un peu
plus loin.
☆ les causes de l’absentéisme à l’université ?
- les raisons de leur absence consciente aux cours, nombreux sont ceux qui arguent du
fait que les cours académiques soient longs et ennuyeux et que leur présence
n’apporte rien de plus par rapport aux supports dont ils disposent. D’autres se
plaignent de charges d’enseignement trop lourdes et d’emploi du temps trop chargés.
Il est à noter aussi que certains étudiants choisissent les cours en fonction de
l’enseignant, de sa maîtrise du cours et de son enthousiasme à transmettre les
connaissances.
- D’autres par contre avancent des raisons d’ordres social et personnel. Pour s’assurer
un semblant d’autonomie financière, ou tout simplement venir en aide à leurs
familles, ces étudiants exercent, parallèlement à leurs études, un boulot à temps
partiel, en se livrant à des activités souvent aléatoires et, dans bien des cas, à des
emplois précaires aux lendemains incertains : simples vendeurs, ou téléopérateurs
dans un centre d’appel.
- Enfin, y a ceux qui ont tout simplement du mal à se projeter dans l’avenir et
s’investir corps et âme dans leurs études faute de modèles, dans leur entourage
proche, de quelqu’un, qui, disent-ils, «a fait des études et a réussi» ! Lorsqu’on
combine cet état d’esprit avec des difficultés d’apprentissage objectives liées à une
mauvaise orientation à l’université ou tout simplement héritées du cycle secondaire, le
décrochage est prévisible, voir programmé.
- En effet, l’absence aux cours, en particulier chez les nouveaux étudiants, s’explique
souvent par des difficultés à suivre un rythme d’apprentissage pour lequel ils sont peu
ou pas préparés au lycée. Assistant à ses premiers cours, l’étudiant découvre un grand
changement sur le plan des contenus.
- L’expérience a montré que la gestion des absences par la sanction ne conduit qu’à
une amélioration fictive de la situation et a plutôt tendance à augmenter le
présentéisme passif, et/ou contemplatif. C’est-à- dire que l’étudiant est présent
physiquement sans être complètement opérationnel. C’est une forme d’absentéisme,
qui en plus des cours théoriques, touche aussi les travaux dirigés.
- En revanche, opter pour des stratégies d’évaluation qui prennent en compte les cours
théoriques, peut conduire les étudiants absentéistes, sinon à regagner les bancs des
amphithéâtres, à apprendre à être autonomes, dès la première année universitaire,en
travaillant de façon régulière et efficace en utilisant leurs propres supports
pédagogiques.
- Ceci d’une part. D’autre part, le tutorat tel que défini et prévu dans les textes
régissant les enseignements dans le système LMD (licence, master, doctorat) et dont
la concrétisation peine malheureusement à se concrétiser sur le terrain, vise à
accompagner l’étudiant durant tout son cursus universitaire.
- Ceci étant, il est aussi évident qu’une mauvaise orientation à l’université contribue à
accentuer le phénomène de l’absentéisme. De nombreuses incohérences et
inadéquations s’observent en effet, entre les filières d’orientation des étudiants et leurs
parcours au cycle secondaire. Il est évident qu’une orientation subie ou incompatible
avec les résultats pédagogiques de l’étudiant, engendre chez lui une sorte de
démotivation qui le conduit droit à l’échec. En revanche, lorsque l’orientation à
l’université s’opère de façon convenable, le taux d’échec par manque de motivation
ou «manque d’intérêt» est nettement réduit.
- Disons pour conclure que, dès ses premiers pas à l’université, l’étudiant doit prendre
conscience de l’importance de l’assiduité dont il doit faire preuve en prévision de son
insertion professionnelle future car en milieu professionnel, se discipliner sera une
attitude obligatoire à adopter. L’université constitue le cadre idéal pour s’y habituer .
Cette démarche permet aux enseignants d’avoir un retour des étudiants sur certains
aspects de leur enseignement (l’organisation du cours, les supports de cours, les
méthodes pédagogiques, les interactions, les évaluations ). Elle peut être une source
d’informations pertinentes par rapport à des points précis qui questionnent.
Elle permet également aux étudiants d’exprimer leur point de vue au sujet de
l’environnement et d’aider les enseignants à mieux cerner leurs attentes et
préférences.
Pour évaluer l’enseignement il faut recueillir des informations auprès de trois sources
principales :
-1) les étudiants.
-2) les pairs ou un comité de pairs.
-3) l’enseignant lui-même.