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Le Risque

La norme ISO/IEC Guide 73 définit le risque comme

Je peu dire que

Le simple fait d'entreprendre ouvre la possibilité d'évènements dont les conséquences sont
potentiellement bénéfiques (aléa positif) ou préjudiciables (aléa négatif).
On s'accorde de plus en plus à reconnaître que la gestion du risque s’intéresse à celui-ci
sous les deux aspects de l'aléa positif et de l'aléa négatif. C'est pourquoi le présent
document adopte les deux perspectives.

COMMENT GÉRER LES RISQUES D'UN PROJET ?

Le risque fait partie intégrante de la gestion de projet. Toute nouvelle création génère des
incertitudes et des zones d'ombres. Il convient donc de bien maîtriser les menaces potentielles
pour atteindre les objectifs fixés.

La démarche et les bonnes pratiques à retenir sont à puiser dans les méthodes de gestion des
risques en général que ce soit pour un projet, une nouvelle activité, une nouvelle structure,
ou pour la gestion de l’entreprise elle-même.

L’objectif étant de prévenir ces risques et le cas échéant d'anticiper leur traitement pour
être prêt le moment venu.

Tout projet a sa part de risque, qu’il s’agisse d’un problème en amont ou en aval (préventif ou
correctif) (la je peux dire que les risque c’est le produit de la mise en activité, sans activité y a
pas de risque), reste que la gestion c’est pour éviter de se retrouver dépassé

LES ÉTAPES POUR GÉRER LES RISQUES

1. Savoir de quoi et de quels risques on parle

Pour ça, on identifie les risques. Quelque soit le secteur d’activité les risques les plus
communs sont les :

o  Risques propres à la gestion d’un projet : un objectif irréaliste, un manque


de budget, risque sociopolitique ou économique du pays

o  Risques juridiques : non-respect du contrat, changement de l’environnement


juridique

o  Risques concernant le respect du planning  : délai trop court

o  Risques humains : mauvaise communication, mauvaise répartition des tâches


en fonction des compétences de chacun, fournisseur à risque, clients incertains,

o  Risques techniques : pas d’accès aux technologies requises, complexité du


projet, manque de moyen
o Et bien sur y a d’autres

Pour les répertorier, faites appel à vos équipes ! Le brainstorming est une méthode qui a fait
ses preuves . Plus nombreux et variés dans vos postes et compétences, mieux ce sera : plus
d’idées et moins de chance d’oublier un élément important.

C’EST LA PHASE D’IDENTIFICATION

Identification des risques : processus de recherche, de reconnaissance et de description


des risques
L'identification des risques comprend l'identification des sources de risque ,
des événements , de leurs causes et de leurs conséquences  potentielles.
Je peux dire aussi que L'identification des risques peut faire appel à des données
historiques, des analyses théoriques, des avis d'experts et autres personnes compétentes
et tenir compte des besoins des parties prenantes
Description du risque : représentation structurée du risque contenant généralement quatre
éléments: les sources, les événements  les causes et les conséquences.

Événement : occurrence ou changement d'un ensemble particulier de circonstances


Un événement peut être unique ou se reproduire et peut avoir plusieurs causes.
Un événement peut consister en quelque chose qui ne se produit pas.
Un événement peut parfois être qualifié «d'incident» ou «d'accident».
Un événement sans conséquences peut également être appelé «quasi-accident» ou «incident»
ou «presque succès».

Donc La phase la plus importante dans la gestion des risques est l’identification des
risques qui a pour but de chercher les risques à traiter, en effet un risque non
identifié ne pourra jamais être géré ou/et maîtrisé.

Lors de cette étape, les gestionnaires doivent disposer d’une bonne connaissance de
l’entreprise/projet, son fonctionnement et son environnement pour porter l'attention
sur les causes, les objets de risque, ainsi que sur ses ressources.

L’Identifier des risques, c’est donc répondre à ces quatre types d’interrogations en
s'appuyant, en particulier, sur des questionnaires généraux, divers documents
comptables, techniques, juridiques, la visite des sites, le retour d'expérience d'autres chefs
de projet et l'avis d'experts.
1. Quels sont nos objectifs vitaux?

Les objectifs vitaux ou fondamentaux sont les activités qui justifient l'existence même de
l’entreprise/projet :

‐ Ils peuvent être un produit dans une gamme, un client particulier, la possession d’un
certain savoir-faire, le maintien sur un marché particulier…

2. Quelles sont les ressources qui nous permettent aujourd'hui d'atteindre ces
objectifs ?

Par ressources on entend, bien sûr, les matériels, équipements, systèmes d’informations,
mais aussi le facteur humain et leur compétence, les moyens financiers, ainsi que
l’organisation de l’entreprise.

L'ensemble de ces ressources doit être réuni et surtout disponible pour définir
correctement les objectifs de l'organisation.

3- Quelles seraient les conséquences de l’indisponibilité de chacune de ces


ressources?

Les risques à traiter, en priorité, sont ceux qui affectent les ressources névralgiques
critiques (gravité élevée) dont l’indisponibilité est temporaire ou définitive, partielle
ou totale car elles affectent gravement les objectifs de l’entreprise.

4. Quelles sont les sources de risques pouvant affecter nos ressources perceptibles?

Une ressource critique est à la fois perceptible « névralgique » et sensible « vulnérable»


Identifier une ressource perceptible repose surtout sur la connaissance de l'entreprise.
Une ressource sensible requiert une méthode et une habitude que seul un
professionnel de la gestion des risques peut apporter.

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