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UNIVERSITE DE LUBUMBASHI

FACULTE DES SCIENCES ECONOMIQUES ET DE GESTION


Département de Gestion
B.P. 1825
LUBUMBASHI

TRAVAIL PRATIQUE D’ETHIQUE ET DEONTOLOGIE


« RESUMER LE COURS EN MILLE MOTS»

Par : KABO MUNGANGA Jean de Dieu

PROMOTION : L2 GRH

ANNEE ACADEMIQUE 2022 – 2023


INTRODUCTION
Dans le cours d’éthique est déontologie, il nous a été demandé de résumer le cours en
mille mots, un travail pratique qui sévère très important dans le test de connaissance pour
nous étudiants de deuxième licence, sciences économique est gestion, particulièrement en
gestion de ressources humaines.
DEVELOPPEMENT
Le contour de l’éthique se situé dans le devoir et droit, un comportement est
considère comme pour éthique lors qu’il est acceptable par une communauté donné.
L’éthique postule en quelque sorte le problème de la vie concernant : l’avoir,
pouvoir et valoir.
A certain égard, l’éthique et la morale peuvent être confondue mais elle se distingue
notamment à leurs objectifs ; d’où la morale consiste dans le règle généralement biture qui
érige le bien et le mal.
La réflexion éthique se situe à deux niveaux : au niveau général elle porte sur la
conception du bien du juste et l’accomplissement humain, au niveau individuel, la réflexion
éthique porte sur le cas embrassant.
La déontologie est l’ensemble codifié des règles entendue comme les dispositions
relatives aux devoirs et obligations découlant de l’idéal du groupe.
La déontologie est l'ensemble des obligations morales que chacun doit respecter dans
l'exécution de ses tâches professionnelles. Elle concerne tous les secteurs de travail et revêt
une importance particulière dans le domaine du médical et de la politique. Il s'agit donc d'un
ensemble de normes que les professionnels d'un secteur doivent respecter. Elle prend
essentiellement une forme morale, afin de fixer des limites aux tâches accomplies.

Dans les formes de l’éthique nous pouvons avoir le domaine originel : qui est définit
par l’histoire, la philosophie, la politique ; le domaine dérivé qui découle de l’application de
l’éthique originel.
A ce jours on compte le domaine dérivé suivant : la santé, la consommation,
commerce et activité de l’entreprise, droit et activités judiciaire, environnement, domaine
animal.
La différence entre éthique et déontologie se trouve au niveau où la déontologie
représente des normes qui sont fixées par une autorité extérieure, tandis que l'éthique est
généralement un ensemble de règles et de principes qu'on s'applique volontairement à soi-
même. L'éthique relève davantage de la conscience personnelle tandis que la déontologie est
imposée par une hiérarchie, un code. La déontologie est en effet un code de conduite qui se
veut aussi précis que possible alors que l'éthique favorise davantage la réflexion personnelle,
ce qui engage également une personne à assumer et justifier davantage ses actes, alors qu'elle
peut se retrancher derrière la déontologie pour s'expliquer sans se justifier.

Les principes déontologiques sont au nombre de onze : la dignité, l'impartialité,


l'intégrité et la probité, la neutralité et la laïcité, le secret et la discrétion professionnels, le
devoir de réserve, le non-cumul d'activités, l'obéissance, la prévention des conflits d'intérêt, la
déclaration d'intérêts et de situation patrimoniale et enfin l'obligation de déclarer une activité
privée après la cessation de fonctions. Chaque corps de métier peut cependant ajouter des
principes dans son propre code de déontologie.

L’instance éthique est l’autorité qui assure l’éthique et on en distingue quatre


autorité d’instance éthique dont : la conscience individuel, collective, l’univers et Dieu
On distingue trois grande système d’éthique dont hellénique, judéo- chrétienne et le
système confucianisme.
Dans le dilemme de l’éthique, une situation, un moment ou les valeurs et principes
s’oppose. Cette situation est une situation d’incertitude, de perplexité, une situation ou
Lhomme se retrouve devant l’impératif dont le choix est pénible. Dans une telle situation
d’ambigüité i faut : le discernement, le courage, il faut de conviction profonde, le respect de
lois, accorder beaucoup d’atteinte aux valeurs morale au sens de responsabilité.
Dans le cas de figure, il faut : être sincère et honnête, dire la vérité rien que la vérité.
Les enjeux éthique est un moment d’épreuve alors que le dilemme c’est un moment
ou les valeurs s’oppose, les enjeux moreau exige de jugement moreaux, le jugement morale
est une appréciation au regard honneur et mérite, ou en évaluation aux actions.
La délibération éthique se réalise en quatre étapes: analyse des faits, analyse des
valeurs, hiérarchisation des valeurs et le juste. Pour ce faire : refuser l’intimidation, la
manipulation, le mensonge, il faut l’écoute, s’exprimé, considérer les facteurs mise enjeux ;
considérer le point de vue même le point opposer, mettre en relief les divergences. Il existe un
pluralisme de valeur et parfois les valeurs se suicident les uns aux autres. La pluralité entre
souvent les valeurs ne se complète pas, elle peut débouche à la crise.
L’éthique dans les affaire, malgré de centre d’étude et d’enseignement sur l’éthique a
travers le monde, l’éthique dans les affaires consiste à :
La confidence dans les affaires, qui résulte par la vertu morale d’honnêteté,
L’autodiscipline, Le respect de la loi.
L’éthique des affaires se préoccupe des principes permettant de distinguer les bons des
mauvais comportements dans le cadre de la vie des entreprises. En pratique, cela revient à
séparer ce qui est acceptable de ce qui ne l’est pas dans la vie professionnelle. L’éthique ne
relève ni de la morale ni de la loi, elle appartient plut t au registre du jugement et elle doit se
nourrir d’une réflexion critique, de délibération et de réflexivité. La réflexivité est une posture
visant prendre du recul et analyser sa propre manière d’agir ou de procéder, elle nécessite
des moments d’introspection allant contre-courant du mouvement perpétuel, pour apprendre
de ses expériences, afin d’agir au mieux.
Agir comme il faut, c’est-à-dire conformément à des règles de bonne conduite, par
exemple, ne pas chercher à abuser de la confiance de son client ou de son employeur, ne pas
tricher dans une transaction financière, ne pas se mettre en situation de conflit d’intérêt et
faire primer ses intérêt personnels sur ceux de l’entreprise qui nous emploie.
On est ici dans le domaine bien connu de la conformité, des codes de déontologie et des
règles de bonne conduite. Il existe une autre forme d’éthique tout aussi importante, mais dont
généralement on a moins conscience alors qu’elle structure pourtant fortement l’économie et
la vie des affaires

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