AMANI NIMBA ATHANAS

L2 MONNAIE

TP D’ETHIQUE ET DEONTOLOGIE

ce cours sera subdivisé en quatre chapitres. Le chapitre premier sera consacré à la généralité
sur l’éthique, le deuxième chapitre à l’étude de sur les formes de l’éthique, le troisième
chapitre sue les dilemmes de l’éthique et enfin la quatrième chapitre sera consacré à l’éthique
dans le monde des affaires.

Ce cours a pour objectif général de de fournir à l’étudiant l’assise lui permettant d’assurer son
futur métier, lui doter une conscience d’agir en toute responsabilité selon les attentes du
milieu professionnel et il a pour objectif spécifique de permettre à l’étudiant d’être capable
d’exercer en toute lucidité les fonctions publique qui lui sont confiée, de prester sans produire
des effets indésirables et poser des actes ayant comme résultat positif attendu.

En effet dans le premier chapitre qui parle de la généralité sur l’éthique, nous avons donné la
définition de l’éthique comme étant l’ensemble des principes directeurs de l’existence
humaine. Elle fournit à l’homme les conditions nécessaire lui permettant d’agir en toute
responsabilité dans sa vie.

Dans ce chapitre nous avons vu que les contours de l’éthique se situent dans le droit et le
devoir. Entre le droit et le devoir, l’éthique exclut le subjectif entant que paramètre
d’appréciation de l’acte. Un comportement est considéré comme éthique lorsqu’il est
acceptable dans une communauté humaine donnée.

Il se distingue de la morale dans le sens qu’il y a rationalité ou la raison, l’éthique amène à la

réflexion qui consiste à justifier rationnellement l’action posée.

Dans ce chapitre nous avons vu également la déontologie qui se définit comme étant
l’ensemble codifier des règles entendu comme disposition relative au devoir et obligation
découlant de l’idéal du groupe. Elle a comme fondement la philosophie. La déontologie existe
à partir du moment où les individus vivent en communauté.

Le deuxième chapitre, nous avons vue en premièrement les différents domaines de l’éthique
que nous avons définie comme étant de champs d’usage de l’éthique. Ici l’éthique a deux
types de domaines : Les domaines originels et dérivées.

Les domaines originels sont définit par la politique et les domaines dérivées par l’application
des domaines originels. Parmi les domaines dérivés nous avons : les droits et les activités
judiciaires, l’environnement et le domaine animal, la santé, la consommation, le commerce et
les activités des entreprises.
Deuxièmement nous avons vu les instances éthiques. Nous avons cité entre autre la
conscience individuelle, l’univers et Dieu et la conscience collective.

Troisièmement nous avons développé les systèmes éthiques. Dans ce point nous avons vu les
différents systèmes éthique entre autres le système éthique qui repose sur la philosophie, le
système gideochretien qui est à la base de la civilisation occidentale et enfin le confucianisme.
Selon le système confucianisme c’est la volonté du ciel qui prime et les enseignements de
sage.

Dans le troisième chapitre nous avons vu en premier lieu les notions de dilemme. Nous avons
défini le dilemme éthique comme étant une situation, un moment où les valeurs et les
principes s’opposent. Alors face à une situation de dilemme l’individu doit agir par
discernement où il lui faut du courage pour prendre une décision, il lui faut des convictions
profondes, les respects des lois ou règlements, il doit accorder beaucoup d’attention aux
valeurs morales et au sens de responsabilité.

Le deuxième point développer dans ce chapitre c’est les cas des figures et le troisième point
c’est les enjeux éthiques. Nous avons défini un enjeu éthique comme étant un moment
d’épreuve dans lequel l’individu se trouve dans l’impossibilité d’opérer un choix en toute
liberté.

Les enjeux exigent des jugements moraux. Par définition un jugement moral est une
appréciation d’une situation, d’un évènement au regard de l’homme et du mérite. Il s’agit
d’une évaluation d’action.

La délibération éthique est une réflexion argumentée au regard du critère et se réalise en

quatre étape, entre autre l’analyse des faits, l’analyse de valeurs, la hiérarchisation de valeur et
la justice au niveau de la décision et de l’action. Dans ce cas il faut refuser l’intimidation, la
manipulation, le mensonge, l’écoute, s’exprimer, considérer tous les facteurs mis en jeux,
considérer les points de vue, même les points de vue opposés et mettre en relief les
divergences. Etant donné qu’il existe un pluralisme des valeurs, alors il faut dégager la
primauté c’est-à-dire les valeurs les plus importantes.

Le quatrième chapitre est consacré à l’éthique dans le monde des affaires, il est subdivisé en
quatre sections à savoir les principes éthiques, les règles éthiques, le vertu moral et l’éthique
dans l’entreprise. Depuis les années 1980 l’éthique a commencé à faire l’objet d’une attention
de plus en plus croissante dans le monde des affaires.

Durant ce temps son enseignement s’est avérer important au sein des entreprises. Il y avait la
nécessité par rapport à la responsabilité sociale de l’entreprise c’est-à-dire générer une culture
d’entreprise prenant en compte des sentiments d’humanité.

La plus grande préoccupation éthique dans le monde des affaires consiste à créer, maximiser
et entretenir la confiance.

La confiance résulte de plusieurs critères entre autre des vertus moral d’honnêteté ; l’autre
discipline, le respect de la loi, le respect des autres c’est-à-dire les différents partenaires de
l’entreprise, l’intégrité moral, le respect de parole donnée, le sens de responsabilité, la
recherche constante de la meilleur qualité dans ses affaires et ventes et des soucis humaniste
sur l’environnement.

Le deuxième point développé dans ce chapitre c’est les règles éthiques. Ici L’éthique
comporte des prescrits et des interdits, des attitudes à assumer, des actes à poser et aussi des
comportements à proscrire.

Dans ce point nous avons énuméré les différentes règles éthique les plus nécessaires et
importante selon leur ordre au sein de l’entreprise. Parmi ces règles, nous avons entre autre la
protection des secrets commerciaux de l’entreprise, l’interdiction de publicité mensongère, la
transparence des subordonnés etc…

Le troisième point c’est les vertus morales. Ici l’homme d’affaire véritable et responsable est
doté des qualités morales entre autre, il est idéal et élevé de générosité, bien-être de l’autre et
le respect et motivation de l’autre, etc…